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CPGE MAROC ECTION

RR
O

DU
e-mail : cpgespe.mp@Gmail.com Corrigé proposé par M.Ouzi

C
⋆ C -N-


2013-2014


-I
-P
H Y SI QUE

C
-
différentielle demandée :
Problème I C
θ̈ + θ =0
2m ℓ2
Pendule de torsion
La solution est donc harmonique :
I.1. θ (t ) = A cos(ωo t + ϕ) et puisque θ (0) = θo
Un référentiel Galiléen est un réfé- dθ
rentiel dans lequel le principe d’inertie alors A cos ϕ = θo , et )t =0 = 0 alors
dt
est vérifié. Aωo sin ϕ = 0 ce qui donne :
s i n ϕ = 0 donc cos ϕ = 1 d’où A = θo
I.2.
finalement :
Le référentiel Terrestre est le ré- Ç
férentiel dont l’origine est lié à la C
θ (t ) = θo cos ωo t où ωo =
Terre et ces axes pointent vers des 2m ℓ2
étoiles lointaines.
I.4.1.
La déviation vers l’Est d’une pierre
L’air est l’origine des frottements
lâchée dans un puis et le pendule de
visqueux agissant sur les deux masses.
Foucault sont deux expériences cé-
lèbres qui ont mis en évidence le ca- I.4.2.
ractère non Galiléen du référentiel Le théorème du moment cinétique
Terrestre. appliqué à l’ensemble dans le réfé-
Dans notre cas, le temps de l’expé- rentiel R , en tenant compte des
rience est faible de sorte que l’ori- frottements, s’écrit par :


gine du référentiel Terrestre décrit d σo −→ −→ −→ −→
= M o (P) + Γ + M o (F1 ) + M o (F2 )
un mouvement rectiligne uniforme dt


dans le référentiel de Copernic et où F i = −λ−→ v i force agissant sur la
donc il peut être considéré comme masse i (i = 1 ou i = 2 : 1 en A , 2 en B )
Galiléen. et −→ −→ −

v i = ℓθ̇ e θi , où e θi est le vecteur
unitaire orthoradiale normale à la
I.3.
tige en A et en B dont le sens est
En appliquant le théorème du mo-
celui du mouvement des masses.
ment cinétique en O au système
Alors :
{2m a s s e s + t i g e } dans le référentiel −→ −→ −→ −→
M o (F1 ) = OA ∧ (−λℓθ̇ ) e θ1 = −λℓ2 θ̇ e z
R supposé Galiléen on a :


d σo −→
de même :
−→ −→ −→ −→ −→
= M o (P) + Γ M o (F2 ) = O B ∧ (−λℓθ̇ ) e θ2 = −λℓ2 θ̇ e z
dt
où σo est le moment cinétique en finalement le T.M.C s’écrit :
−→ −→ −→

→ −→
O du système, soit σ o = J ∆ θ̇ e z car 2m ℓ2θ̈ e z = −C θ e z − 2λℓ2 θ̇ e z ce qui
l’axe ∆ ≡ Oz est un axe de symétrie du donne :
système étudié, et J ∆ est le moment d 2θ λ dθ C
+ + θ =0
d’inertie du système, donc : dt 2 m dt 2m ℓ2
λ
J ∆ = m ℓ2 + m ℓ2 = 2m ℓ2 ( la tige est donc β = dont la dimension est
de masse négligeable) et P = 2m g le m
poids su système dont le barycentre [T −1 ].
−→ −→ − → − →
est en O , donc M o (P) = OO ∧ P = 0 . et γ = ωo2 =
C
dont la dimension
Ce qui donne : 2m ℓ2
−→ −→
2m ℓ2θ̈ e z = −C θ e z d’où l’équation est [T −2 ].

1
I.4.3. ωo − ω 1 ω 1
< ⇒ >1− soit :
L’équation caractéristique de l’équa- ωo 100 ωo 100
tion précédente est : ω2
> (1 − 0, 01)2
r 2 + β r + γ = 0 dont le discriminent est ωo2
∆ = β 2 − 4γ donc suivant le signe de ∆ et puisque ω2 = ωo2 −
λ2
alors :
on a 3 cas à envisager : 4m 2
1 p λ2 2m ℓ2
• r1,2 = (−β ± ∆) si ∆ > 0 soit : 1− × > 1 − 2 × 0, 01
2β 4m 2 C
p p
θ (t ) = e 2 (A 1 e ∆t + B 1 e − ∆t ) car ((1 + ǫ)n ≃ 1 + n ǫ )
1 p donc :
• et r1,2 = (−β ± i −∆) si ∆ < 0 λ2 ℓ 2
2 β p 1 − 0.98 > ce qui donne :
c-à-d : θ (t ) = e − 2 (A 2 e i −∆ t + B 2 e −i −∆t ) p 2m C
• finalement si ∆ = 0 on a 0, 02 × 2m C
β λ< ou bien :
θ (t ) = e − 2 (A 3 + B 3 t ) donc dans tous ℓ
les cas on a :
p
0, 04m C
t
θ (t ) = f (t )e − τ λ<

β 1 2m (on vérifie bien qu’on est tou-
où = , donc τ = jours
2 τ λ p en régime pseudo-périodique
2m C
La première solution : ∆ > 0 corres- λ< )
pond au régime apériodique. ℓ
La seconde solution : ∆ < 0 corres- I.4.6.
pond au régime pseudopériodique. 1
On a θ (t ) = θo (cos ωt +
t
sin ωt )e − τ
La dernière solution correspond au ωτ
régime critique. dont l’allure du graphe est la sui-
vante :
I.4.4.
La solution donc f (t ) = c 1 cos ωt + θ (t )
c 2 sin ωt correspond au régime pseudo
θo
périodique, c-à-d ∆ < 0 donc β 2 − 4γ < 0
λ2 C
soit 2
−4 <0 ⇒ :
m 2m ℓ2
1p t
λ< 2m C e −τ

La solution dans ce cas est : × t
t
θ (t ) = e − τ (c 1 cos ωt + c 2 sin ωt ) τ
donc :
dθ 1 t
= − θ (t ) + e − τ ω(−c 1 sin ωt + c 2 cos ωt )
dt τ
et les conditions initiales donnent :
θo θo I.4.7.
c 1 = θo et − + c 2 ω = 0 soit c 2 =
τ ωτ
et puisque la solution de l’équa- Le décriment logarithmique est dé-
tion caractéristique dans ce cas est 1 θ (t )
1 p fini, en général, par : δ = ln(
r1,2 = (−β ± i 4γ − β 2) n θ (t + n T )
2 Ç mais le texte l’a volontairement dé-
1 4C λ2 θ (t )
⇒ ω= − alors : fini par δ = ln( donc on suit
2 2m ℓ2 m 2 θ (t + n T )
la définition du texte.
Ç
C λ2
ω= − θ (t )
2m ℓ2 4m 2 δ = ln( )
θ (t + n T )
1
 
− τt
I.4.5.  o θ (cos ωt +
ωτ
sin ωt )e 
L’erreur relative introduite lorsque δ = ln  
 1 − t +n T 

on suppose ω = ωo est inférieure à θo (cos ωt +


ωτ
sin ωt )e τ
1% si : car cos ω(t ) = cos ω(t + n T ) et

2
sin ω(t ) = sin ω(t + n T ) 2.4
donc : δ = ln e τ soit :
nT
−−→
nT −
→ m M A 1 B1
δ= F B 1 →A 1 = −G −−→
τ ||A 1 B 1 ||3

I.5. −−→

→ m M A 2 B2
F B 2 →A 2 = −G −−→
||A 2 B 2 ||3
(i) 2T = 32 s donc la pseudo-période est :
T = 16 s −
→′ mM −

Γ = 2ℓG 2 e z
d
(ii) L’amplitude des oscillations est réduite
d’un facteur 3 au bout de 10 oscilla-
θ (t )
tions donc = 3 donc : 2.5
θ (t + 10T )
Á l’équilibre on a :
δ = ln 3 −→ −→ − → − →
M o (P) + Γ ′ + Γ = 0
nT nT mM
(iii) Sachant que δ = alors τ = ici 2ℓG 2 − C ′ α = 0 ce qui donne :
τ δ d
on a n = 10 ce qui donne : C ′ αd 2
10T 10 × 16 G=
τ= = soit : 2ℓm M
δ ln 3
τ = 146
2π 2.6
(iv) ω = ⇒ ω = 0.39 r d .s −1 . Lorsque la tige tourne d’un angle
T
2 α le rayon lumineux réfléchi tourne
D’après la question I .4.3. on β = et
τ d’un angle 2α. donc d’après la figure
β2 a
sachant que ω2 = γ− et γ = ωo2 alors : on a tan 2α = et puisque α est faible
4 d
1 alors tan 2α ≃ 2α et donc :
ω2 = ωo2 − 2 ) donc : a
Ç τ α=
1 2D
ωo = ω2 + 2 ⇒ ωo = 0, 39 r d .s −1
τ α = 8, 89.10−4 r a d
C Donc :
(v) On a ωo2 = γ = donc C = 2m ℓ2ωo2
2m ℓ2 G = 6, 675.10−11 N .k g −2 .m 2
soit :
C = 3.75.10−8 N .m

2.1 2.7
La force d’interaction attractive La mesure de la période Tp du pendule
entre deux masses m et M distants simple de longueur ℓ sur Terre à une
mM altitude h , permet de remonter à la
de r est donnée par F = G 2 . masse de la Terre connaissant G , et
r
C’est Newton qui est à l’origine de donc g .
cette loi. En effetq:
2π g G m MT
2.2 ωo = = et m g = 2
d’où R T .
Tp ℓ (R T + h)
Les interactions fondamentales sont
Connaissant M T et G et en utilisant
l’interaction gravitationnelle citée
la loi de K e p l e r on peut déduire la
plus haut, l’interaction électroma-
masse de la lune, et celle des planète
gnétique, l’interaction faible (ces
par la mesure de leur période autour
deux dernières sont en fait rassem-
de la Terre.
blée en une seule interaction appelée
interaction électrofaible) et l’inter-
action forte. Problème II- Thermodynamique
2.3 Généralités
A l’échelle du noyau atomique c’est
l’interaction forte qui explique la co-
hésion des nucléons. 1.1.

3
P
est la courbe d’ébullition et la courbe
(2) en pointillés de v > v C est appelé
courbe de rosée.
(3) C
l iq • On appelle pression de vapeur satu-
sol
rante, la pression de l’atmosphère qui
règne sur un liquide saturant c-à-d
(1) PI I I (2) vap lors de sa vaporisation.

1.4.
T

voir aussi cours


H = H ℓ + H v (l’enthalpie est extensive)
H Hℓ Hv
• La courbe (1) est la courbe d’équi- donc : h(T ) = = +
m m m
libre sublimation ⇆ solidification Hℓ m ℓ Hv m v
• La courbe (2) est la courbe d’équi- soit h(T ) = +
mℓ m mv m
libre liquéfaction ⇆ vaporisation ce qui donne h(T ) = x ℓ h ℓ + x v h v
• La courbe (3) est la courbe d’équi- et puisque x v + x ℓ = 1 alors :
libre fusion ⇆ solidification h(T ) − h ℓ
Le point PI I I est le point triple, c’est le xv =
hv − hℓ
point où on a coexistence des trois
phases ; solide, liquide et vapeur. même démonstration pour S .
Le point critique C est le point au
delà duquel on ne peut pas distinguer 1.5.
la phase vapeur de la phase liquide. L v = m l v avec l v est la chaleur mas-
(il est caractérisé dans le digramme sique latente qui est donnée par :
∂P l v = h v − h ℓ donc :
de C l a p e y ron P = f (v ) par )T = 0 et
∂v C L v (T ) = m (h v (T ) − h ℓ(T )
∂ 2P
)T = 0 )
∂ v2 C
1.6.1.
1.2. Une transformation quasi-statique
le digramme d’état de l’eau présente adiabatique est caractérisée par S =
une pente négative pour la courbe (1) c t e (isentropique)
(voir figure précédente)
Ceci est dû au fait que la masse volu-
1.6.2.
mique diminue lors de la solidification
Puisque la transformation est isen-
et c’est la liaison hydrogène qui en
tropique alors d s = 0 donc :
est responsable. d T αv ℓ T2 αv ℓ
= d P ⇒ ln = (P2 − P1 )
1.3. T cℓ T1 cℓ
Le diagramme d’Andrews demandé ⇒
T2 αv ℓ
(P −P )
= e cℓ 2 1 ⇒
T2 − T1 αv ℓ
+ 1 = e cℓ 2 1
(P −P )

est le suivant : T1 T1
P donc :
αv ℓ
(P2 −P1 )
∆T = T1 (e cℓ
− 1)
T > TC Application numérique :
3,5.10−4 ×10−3
(55−0.05).105
C ∆T = 306(e 4,18.103 − 1)
∆T = 0.14 K
l iq La compression isentropique de l’eau
(1) T = TC liquide est donc aussi presque iso-
(2)
therme
T < TC v a p
v
Étude d’une centrale thermique motrice

La courbe (1) en pointillés de v < v C 2.1.

4
P s D (33) − s ℓ(33)
xv D = or s D (33) = s C (270)
s v (33) − s ℓ(33)
(isentropique) donc :
5.92.103 − 0.475.103
xv D = soit :
A B C 8.39.103 − 0.475.103
x v D = 0, 68
270o C h D (33) − h ℓ(33)
Et puisque x v D = alors :
h v (33) − h ℓ(33)
33o C
E D h D (33) = x v D (h v (33) − h ℓ(33)) + h ℓ(33)
Application numérique :
v
h D (33) = 0, 68 × (2560 − 138) + 138 k J .k g −1
soit :
h D (33) = 1785 k J .k g −1
En point C disparaît la dernière
goutte liquide (vapeur saturante à
2.6.
T = 33o C )
En point E disparaît la dernière bulle Dans le générateur de vapeur, l’eau
gazeuse (liquide saturant à T = 270o C ) reçoit de la chaleur donc q2 > 0 , par
En D on a mélange liquide vapeur (pa- contre dans le condenseur l’eau cède
lier de liquéfaction). de la chaleur donc q1 < 0
Le sens du cycle est celui d’un cycle
moteur (sens horaire). 2.7.
2.2. Appliquons le premier principe entre
Le diagramme (T, s ) est représenté C et D :
ci-dessous : ∆h = h D − h C = w u + qC D or la trans-
T formation C − > D est isentropique
(donc adiabatique) alors qC D = 0 et
h C = h v C (270) = 2787 k J .k g −1 donc :
w u = 1785 − 2787 = −1002 k J .k g −1 donc
B C
le travail fourni par un kilogramme
A d’eau à la turbine est :
WTu = −m w Tu = −1002 k J

E D 2.8.
Le rendement de ce cycle est le
s rapport entre ce qu’on gagné : |w Tu |
et ce qu’on a dépensé : la quantité
2.3. de chaleur reçue dans le générateur
Voir cours : de vapeur + travail de compression
Le premier principe de la thermody- q2 + w E −>A :
namique d’un écoulement permanent |w Tu |
s’écrit : ηR =
c2 q2 + w E −>A
∆( + g z + h) = qt h + w u
2
Puisque la variation de l’énergie ci- la suite est erroné puisque la
nétique et de l’énergie potentielle valeur de +w E −>A est fausse, je
de pesanteur est négligée, alors ce vais rectifier Dans le généra-
dernier s’écrit : teur de vapeur on a P = 55 b a r
∆h = q + w u constante donc δq2 = d h A−>B −>C or
d h A−>B = c ℓ d T (phase condensée) et
2.4.
d h B −>C = h C − h B = ℓv (270) donc :
j e m e s u i s t rom p é l à q2 = c ℓ(TB − TA ) + h v C (270) − h ℓB (270)
or TB = 270o C et ∆T = TA − 33o C
2.5. d’après la question 1.6.2. soit
D’après la formule démontrée plus TA = 0.14 + 33 = 33.14o C ou bien :
haut on a : TA = 306, 14 K

5
q2 = 4, 18.103(270 − 33.14) + (2787 − 1184).103 3.4.1.
(∆T en K ou en o C c’est pareil) Dans le surchauffeur on a : δqS = d h
q2 = 990 k J donc qS = h C ′ − h C c-à-d :
qS (400) = 3182 − 2787 = 395 k J .k g −1
............................ ⇒ Q S = 395 k J .
...............................
qS (500) = 3426 − 2787 = 639 k J .k g −1
⇒ Q S = 639 k J .
Le rendement
de C a r not est
TB 273 + 33, 14 qS (600) = 3660 − 2787 = 873 k J .k g −1
ηC = 1 − ⇒ ηC = 1 − ce
TA 273 + 270 ⇒ Q S = 873 k J .
qui donne :
qS (400) = 3894 − 2787 = 1107 k J .k g −1
ηC = 0, 44 soit ηC = 43, 6%
⇒ Q S = 1107 k J .
ηR < ηC c’est normale puisque le ren-
dement du cycle de C a r not est le 3.4.2.
rendement maximale entre les deux Pour le titre x v D ′ on utilise la rela-
sources de chaleur à TA et TB .(cycle tion démontrée en 1.4
théorique) xv D′ =
s D ′ − s ℓ (33)
or s D ′ = s C ′ (isen-
2.9. s v (33) − s ℓ(33)
tropique) donc :
Le cycle de Ra n k i n e est un cycle réel 6, 58 − 0, 475
alors que celui de C a r not est théo- x v D ′ (400) =
8.39 − 0, 475
rique
⇒ x v D ′ (400) = 0, 77
Augmentation du rendement 6, 92 − 0, 475
x v D ′ (500) =
8.39 − 0, 475
3.1.
P ⇒ x v D ′ (400) = 0, 81
7, 2 − 0, 475
x v D ′ (600) =
8.39 − 0, 475
⇒ x v D ′ (400) = 0, 0, 85
A B C C′ 7, 46 − 0, 475
x v D ′ (700) =
270o C 8.39 − 0, 475
⇒ x v D ′ (400) = 0, 88
D′ 33o C
E
3.4.3.
v Comme précédemment (2.5) :
h D ′ = x v D ′ (h v (33) − h ℓ(33)) + h ℓ(33) soit :
3.2. h D ′ (400) = 0, 77 × (2560 − 138) + 0, 138
T ⇒ h D ′ (400) = 2003 k J .k g −1
h D ′ (500) = 0, 81 × (2560 − 138) + 0, 138
C′ ⇒ h D ′ (400) = 2100 k J .k g −1
B C
h D ′ (600) = 0, 85 × (2560 − 138) + 0, 138
A ⇒ h D ′ (400) = 2197 k J .k g −1
h D ′ (700) = 0, 88 × (2560 − 138) + 0, 138
D ⇒ h D ′ (400) = 2270 k J .k g −1
E
s 3.4.4.
Appliquons le premier principe entre
3.3. C ′ et D ′ :
La présence des gouttes d’eau dans la ′′
∆h = h D ′ − h C ′ = w Tu + qC ′ D ′ or la trans-
vapeur humide font que les pales de formation C − > D est isentropique
′ ′

la turbines vont se corroder, c’est (donc adiabatique) alors qC ′ D ′ = 0 donc


pourquoi il vaut mieux de les faire ′′
w Tu = h D ′ − h C ′ qui est donc le travail
fonctionner avec de la vapeur sèche massique reçu par l’eau, donc le tra-

6
vail fourni à la turbine est :
′ ′′
w Tu = −w Tu = hC ′ − h D′

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