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deux vecteurs directeurs unitaires u et – u. O θ
→
Conséquence: ρ, θ) et (ρ
Les couples (ρ ρ', θ') représentent le même point M
ρ' = ρ ρ' = – ρ
ssi ou ∈ZZ.
avec k∈
θ' = θ + 2kπ
π θ' = θ + π + 2kπ
π
Vocabulaire: Si M ≠ O
→
→ OM s'appelle le rayon vecteur du point M.
→ →
→ ( i , OM) s'appelle l' angle polaire du point M.
y M
ρ
θ
O x
y
si x > 0 alors θ = Arctanxy
si x < 0 alors θ = Arctanx + π
si x = 0 et y > 0 alors θ = π2
y
et car si x ≠ 0 alors θ.
= tanθ
x
si x = 0 et y < 0 alors θ = – π
2
(ρ, π – θ)
(-ρ, -θ) (ρ, θ) (ρ, 2θ0 – θ)
θ = θ0
(ρ, θ)
→
le vecteur u→ étant défini par ( i , u) = ϕ.
→
→ Dans les calculs d'asymptote (voir plus loin), il arrive que l'on obtienne
p
une équation de la forme avec p < 0.
cos(ϕ – θ)
On place alors le point P en tenant compte de la mesure algébrique OP.
–p
En effet, cela revient à écrire avec – p > 0
– cos(ϕ – θ)
–p
donc avec – p > 0
cos[(π + ϕ) – θ]
et ceci équivaut à faire tourner la demi droite [O, u)
→
d'un demi tour.
(C)
Ω M
R
ϕ ρ
θ
→
O i
ρ>0 ρ<0
→
v
→
→
u u M
θ
→
M v
θ
→
→
O i O i
→
→ → →
On note souvent u(θ) = eρ et v (θ) = eθ.
2-) Théorème
→
u θ) = v→(θ
'(θ θ) et
→
θ) = v→ '(θ
u"(θ θ) = – u(θ
→
θ)
On obtient immédiatement;
→ →
dM d2 M
= ρ' u
→
+ ρ v→ et ρ" – ρ) u
= (ρ
→
ρ' v→
+ 2ρ
θ
dθ dθθ2
Dans ces deux formules, la variable de dérivation est θ.
ρ(θ
θ) = 0
Attention! Il y a un point stationnaire en O si et seulement si .
ρ'(θ
θ) = 0
ρ
→
v ρ'
→
M u
2θ 2 – θ2
On calcule D(θ) = = θ4 + 6θ2 = θ2(θ2 + 6)
θ2 4θ
D(θ) ne s'annule que si θ = 0.
Donc un éventuel point d'inflexion ne peut correspondre qu'à la valeur 0
de l'angle polaire (et, dans ce cas, comme ρ = 0, il serait au pôle).
Cependant, ∀θ∈IR, D(θ) ≥ 0 donc D(θ) ne change pas de signe.
Par suite, la courbe ne présente pas de point d'inflexion.
> plot([t^2,t,t=-10..10],coords=polar);
→ Si lim ρ(θ
θ) = 0 alors O est un point asymptôte (spirale convergente).
θ → +∞
∞
→ Si lim ρ(θ
θ) = ±∞
∞ alors on a une spirale divergente.
θ → +∞
∞
λ
et, dans ce cas, c'est la droite d'équation polaire ρ=
cosπ + θ0 – θ
2
Si lim ρ(θ
θ)×
×sin(θ
θ – θ0) = ∞ alors on a une branche parabolique.
θ → θ0
→
→
En effet, si on se place dans le repère (O, u(θ0), v (θ0)),
→ →
MH = OM×sin(OH, OM) = ρ(θ)×sin(θ – θ0).
H
θ
θ0
O
1
Ex: Pour la courbe d'équation ρ = , lim ρ(θ) = +∞.
1 + cosθ θ → π–
On a donc une direction asymptôtique de direction θ = π.
sinh sinh 2
lim –ρ(θ)×sin(θ – π) = lim – = – ∞ car ~
θ→π h → 0 1 – cosh 1 – cosh h
o
D'où une branche parabolique de direction (Ox).
> plot([1/(1+cos(t)),t,t=0..Pi],-10..2,0..10,coords=polar);
→ > plot({[t,Pi/4,t=0..1],[sin(2*t),t,t=0..Pi/4]},coords=polar);
> plot({[t,Pi/4,t=0..1],[sin(2*t),t,t=0..Pi/2]},coords=polar);
> plot({[t,Pi/4,t=0..1],[sin(2*t),t,t=-Pi..Pi],
[1,t,-Pi..Pi]},coords=polar);
1 1 θ
→ ρ'(θ) = – × × cos ≤ 0 et ∀θ∈]0, π], ρ(θ) > 0.
2θ 2 2
sin 2
θ 0 π
ρ'(θ) – 0
+∞
ρ(θ)
1
→ > plot([1/sin(t/2),t,t=-2*Pi..2*Pi],-8..8,-2..2,coords=polar);