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Q2 Evaluons le nombre de Reynolds avec une vitesse de 50 nœuds=25m.s-1 (catamaran parmi les plus
ρ Lc u0 Lc u0 0,3 × 25
rapides) : Re = = = = 7,5.106 >> 1 . L'écoulement est donc turbulent.
η νe 10−6
1
Q3 Comparons les forces de portance Fp = ρ SC z v 2 dans l'air et dans l'eau. Pour un même profil,
2
Fp eau ρ v2 1000 × 252
une même surface et une même incidence, = Fp = eau eau = = 9 . Les efforts sont
Fp air ρ air vair
2
1, 2 × 2402
presque du même ordre de grandeur.
Contrairement au commentaire au-dessus de la figure 3, l'extrados est en dépression et l'intrados en
surpression (l'axe vertical de la figure 3 est orienté vers le bas).
L
Q4 En notant I le point d'application, M I = M A + IA ∧ Fp avec la portance Fp = lz 0
p( x)dx y et le
L
moment par rapport à A : M A = lz 0
x. p( x)dx.z .
L L
Par définition du point d'application, M I = 0 , d'où M I = 0 = lz 0
x. p( x)dx.z + IA ∧ lz p( x)dx y ,
0
L L L L
soit lz
0
x. p( x)dx.z − IA x ∧ lz p( x)dx y = lz x. p ( x)dx.z − AI lz p( x)dxz = 0 .
0 0 0
L
Q6 On pourrait écrire un code plus efficace en factorisant par la largeur des intervalles qui est
constantes, en disposant de 3 listes distinctes pour les valeurs de x, pext, pint, ou encore mieux en
utilisant des tableaux.
def CDP(Valeurs):
# code pas du tout optimal
ip , xp = 0.0 , 0.0 # initialisation des sommes cumulées
for i in range(len(Valeurs) - 1): # nombre de trapèzes
xg, pextg, pintg = Valeurs(i) # à gauche du trapèze
xd, pextd, pintd = Valeurs(i+1) # à droite du trapèze
# intégrale calculant la résultante
ip += (pextg-pintg + pextd-pextd)/2.*(xd-xg)
# intégrale calculant le moment résultant
ixp += ((pextg-pintg)*xg + (pextd-pextd)*xd)/2.*(xd-xg)
return ixp/ip
A 2 – Choix du profil
Q7 On a besoin d'une jointure entre les deux tables. (Dans la table Polaire, Id ne peut être une clé
primaire : pour un même profil, on suppose des mesures à plusieurs angles et plusieurs nombres de
Reynolds. Id pourrait être un numéro de mesure)
On suppose l'inégalité stricte pour l'angle d'incidence ; l'égalité pour le nombre de Reynolds ; le
pourcentage Emax étant au format réel, on ne peut normalement pas tester avec une égalité stricte
(avec des entiers on écrirait simplement g.Emax=11)
SELECT p.Nom
FROM Géométrie as g JOIN Polaire as p on g.nom=p.nom
WHERE p.Cz/p.Cx>70 AND p.Inc<10
AND p.Re = 7E6
AND g.Emax>10 and g.Emax<12
AND g.Sym="O"
Q8 Sur la courbe polaire, il s'agit de voir s'il existe un angle inférieur à 10° pour lequel la finesse est
supérieurs à 70. La finesse 70 correspond à droite en rouge de pente 70. Pour un angle de 8° on a donc
une finesse supérieure à 70, le critère C1 est bien vérifié.
A 3 – Conditions d'équilibre et performance de vitesse
Q12 La force de portance générée par le vent apparent sur la voile est
1
F p (Va → voile ) = ρ air S v C z ( µ a )V app2
n a donc sa projection donnant la force de traction est
2
1 1
F p (Va → voile ) .e x = ρ air S v C z ( µ a )Vapp
2
na .e x = ρ air S v C z ( µ a )Vapp
2
sin ψ
2 2
Q13 On comprend qu'à u, V et µ a fixés, il faut trouver le couple (θ ,ψ ) qui donne la force de traction
maximale ? Je ne vois pas bien.
Q14 Le bateau est en translation rectiligne uniforme dans un référentiel galiléen : la résultante des
forces est nulle. Dans ce contexte, u=3V. On projette le bilan des forces sur ex et ey
1
− 2 ρ eau S p 9V k x1α − ρ eau S sa 9V k x 2 β + ( 3a0 + a1 ) = 0
2 2
1 ρ S 9V 2 k α + ρ S 9V 2 k β − mg = 0
2 eau p z1 eau sa z2
α 1 3a0 + a1
On met sous la forme demandée en divisant par V2, soit A1 = 2 mg avec la matrice :
β V
9
ρ eau S p k x1 9 ρ eau S sa k x 2
A1 = 2
9 ρ S k 9 ρ eau S sa k z 2
eau p z 1
2
Q15 Si les profils des foils avant et arrière sont identiques, k x 1 = k x 2 et k z 1 = k z 2 . Le déterminant
de la matrice est alors nul : il n'y a aucun réglage (α , β ) qui permette d'obtenir les performances
souhaitées.
α + 10 β = 60
Q16 On résout simplement le système par combinaison, d'où
40α + 30 β = 380
37α = 380 − 180 = 200 α = 5, 41
soit .
37 β = 240 − 38 = 202 β = 5, 46
Les angles sont bien inférieurs à 9° conformément à l'hypothèse H1
Q17
(
On en déduit e f ∧ ez .VS∈Rb / R0 = − cos(ϕ + β )ey + sin(ϕ + β )ex .VS∈Rb / R0 et )
( )
VS∈Rb / R0
sin β a = . sin(ϕ + β )ex − cos(ϕ + β )ey
u
Q18
AR / R
{ }
DRb / R0 =
b 0
δ P , Rb / R0 P
●Commençons par la résultante dynamique ARb / R0 = m Γ G∈Rb / R0
de
yey − ϕɺɺxG eby + ϕɺ xG by
ΓG∈Rb / R0 = ɺɺ
dt R0
yey − ϕɺɺxG eby + ϕɺ 2 xG ebx
ΓG∈Rb / R0 = ɺɺ
dσ p, R / R
δ p, R / R = b 0
+ mVP∈Rb / R0 ∧ VG∈Rb / R0
dt R
b 0
dIɶP , Rb Ω R / R d PG ∧ VP∈R / R
δ p, R / R = b 0
+m b 0
mVP∈Rb / R0 ∧ VG∈Rb / R0
dt R dt R
b 0
0 0
I Pϕɺɺez
d PG dVP∈R / R
m ∧ VP∈Rb / R0 + m PG ∧
b 0
dt R0 dt R
0
b
( b 0 b 0
)
δ p , R / R = I Pϕɺɺez + m VG∈R / R − VP∈R / R ∧ VP∈R / R + m PG ∧ Γ P∈R / R + mVP∈R / R ∧ VG∈R / R
0 b 0 b 0 b 0 b 0
δ p , R / R = I Pϕɺɺez + m PG ∧ Γ P∈R / R
b 0 b 0
(
δ p , R / R = I Pϕɺɺez + m − xG ebx ∧ ɺɺyey
b 0
)
δ p , R / R = ( I Pϕɺɺ − m xG ɺɺy cos ϕ ) ez
b 0
1
− ρ air Sv Cz ( µa ) Vapp
2
ex
2
1
ρeau S sa u 2 k z 2 β a ey
2
1
− ρ eau S sa u 2 k x 2 β a ex
2
−m gey
1
ρ eau S P u 2 k z1α a ey
2
1
− ρ eau S P u 2 k x1α a ex
2
1 1 1 1 1
− ρ eau S P u 2 k z1 xS α a + ρ eau S sa u 2 k z 2 xF β a − ρ eau S P u 2 k x1 ySα a − ρ eau S sa u 2 k x 2 yF β a + mgxG + ρ air S vC z ( µ a ) y BVapp
2
= δ p , Rb / R0 .ez
2 2 2 2 2
I Pϕɺɺ − m xG ɺɺ
y (après simplification)
Q20
L’équation de résultantes du PFD donne en « statique » :
1 1
ρeau SPu2kz1αa0 + ρeau Ssau2kz 2βa0 = 0
2 2
C’est-à-dire : S P k z1α a 0 + S sa k z 2 β a 0 = 0
1 1 1
− ρeau S P u 2 ( k z1 xS + k x1 yS ) α a 0 + ρ eau S sa u 2 ( k z 2 xF − k x 2 yF ) β a 0 + mgxG + ρ air Sv C z ( µa ) yBVapp
2
=0
2 2 2
ρ eau S P ( k z 1 x S + k x1 y S ) ρ eau S sa ( k z 2 x F − k x 2 y F )
− 2
A2 = 2 m gx G + ρ air S v C z ( µ a ) y BV app
2
2 mgx G + ρ air S v C z ( µ a ) y BV app
S P k z1 S sa k z 2
Q21
a11 a12
Posons A2 =
a21 a22
1
Si la vitesse du bateau est très faible, c’est-à-dire u très petit alors le termesera très grand et il
u2
1
sera impossible d’obtenir a11α a 0 + a12 β a 0 suffisamment grand pour égaler 2 d’autant que α a 0 et
u
β a 0 ont des valeurs faibles. L’équilibre ne sera donc pas possible.
Q22
1 1 1 1
ρ eau S P u 2 k z1δ + ρ eau S sau 2 k z 2δ + ρeau S P u 2 k z1α a 0 + ρ eau S sau 2 k z 2 β a 0 = myɺɺ
2 2 2 2
Avec les changements de variables l’équation de moments devient :
1 1 1
− ρeau SPu 2 ( kz1 xS + kx1 yS )(α a 0 + δ ) + ρeau Ssau 2 ( kz 2 xF − kx 2 yF )( βa 0 + δ ) + mgxG + ρair SvCz ( µa ) yBVapp
2
= I Pδɺɺ − m xG ɺɺ
y
2 2 2
Ou sous la forme :
1 1
− ρeau S P u 2 ( k z1 xS + k x1 yS ) δ + ρeau S sa u 2 ( k z 2 xF − k x 2 yF ) δ ...
2 2
1 1 1
... − ρeau S P u 2 ( k z1 xS + k x1 yS ) α a 0 + ρeau S sa u 2 ( k z 2 xF − k x 2 yF ) β a 0 + mgxG + ρ air Sv Cz ( µa ) yBVapp
2
= I Pδɺɺ − m xG ɺɺ
y
2 2 2
Donc :
m 0
M=
−mx I
G P
1 1
R1 = S k + S k
2 P z1 2 sa z 2
1
(
R2 = − S k x + k y + S
2 P z1 S x1 S
1
k x −k y
2 sa z 2 F x2 F ) ( )
0
F0 =
mgxG + 1 ρ air Sv Cz ( µ a ) yBVapp
2
2
1 1
ρ S u 2k α + ρ S u 2k β
2 eau P z1 a 0 2 eau sa z 2 a 0
X0 =
− 1 ρ
2 eau P
2
z1 (
S u k x +k y α + ρ
S x1 S a 0
1
2
)
eau
S u k x − k y β
sa
2
z2 F x 2 F a0 ( )
Remarque : on peut se demander l’intérêt de cette question qui impose des calculs pénibles alors que
poser directement la question 23 en supprimant la question 22 intermédiaire ne posait aucune difficulté
supplémentaire car il est évident que les constantes du changement de variables vont amener des
simplifications.
Q23
1 1
ρeau S P u 2 k z1δ + ρeau S sa u 2 k z 2δ = myɺɺ
2 2
− 1 ρ S u 2 ( k x + k y ) δ + 1 ρ S u 2 ( k x − k y ) δ = I δɺɺ − m x ɺɺ
Gy
2 eau P z1 S x1 S
2
eau sa z2 F x2 F P
1 1
0 SPkz1 + Ssakz2 y 0
m 0 y
ɺɺ 2 2
− ρ u2
=
−mxG IP δɺɺ eau 1 1 δ 0
0 − SP ( kz1xS + kx1 yS ) + Ssa ( kz2 xF − kx2 yF )
2 2
On retrouve bien la forme indiquée.
Q24
Xɺɺ 0 W = ? Xɺ
ɺ =
X I2 0 X
Xɺɺ = WX à identifier avec MXɺɺ + KX = 0
Xɺɺ = − KM −1 X
Donc W = −KM −1
0 −KM −1
A=
I2 0
N.B. : il n’était pas inutile de remarquer, lors de l’épreuve, que cette question constitue un « point
d’entrée » du sujet et qu’elle est de toute évidence liée à la question suivante.
Q25
Le polynôme caractéristique d’une matrice carrée A est det(A − λI) et les valeurs propres sont les
racines du polynôme.
−λI −KM −1
A− λI = 2
I2 −λI2
Q26
m 0 2
0 R1
λ2M + K = λ2 − ρeauu
−mxG IP 0 R2
λ2m −ρeauu2R1
λ M +K = 2
2
−λ mxG λ IP − ρeauu R2
2 2
det(λ2M + K) = mλ2 λ2IP − ρeauu2 ( R2 − xGR1 )
L’expression de R1 trouvée à la question 23 est forcément positive par contre il est clair que R2 peut
être soit positif soit négatif.
ρeau ( R2 + xGR1 )u
Si R2 + xG R1 > 0 alors σ ( A) = 0, et puisqu’une valeur propre est à partie réelle
IP
positive, le système sera instable.
−ρeau ( R2 + xGR1 )u
Si R2 + xG R1 < 0 alors σ ( A) = 0, i et puisqu’aucune valeur propre n’est à partie
IP
réelle positive, le système sera stable.
B 1 Actionneurs - Introduction
B 2 Modèle magnétostatique d'une machine brushless
Q27 Hypothèses liées à un modèle magnétostatique ? Faut-il comprendre que l'on demande les
équations de Maxwell en statique ? Soit dans un milieu magnétique divB = 0 ; rot H = j
Q28 Théorème d'Ampère : Soit Γ en contour fermé orienté, S une surface de bord Γ , orientée
d'après le contour, alors Γ
H .d ℓ = I enlacé où I enlacé est l'intensité algébrique traversant S.
Γ
H .d ℓ = 2 H a H a + 2eH e +
stator
H fs d ℓ cmfs +
rotor
H fr d ℓ cmfr = 0
Q30 Notons S r l'aire d'une section traversée par les champs dans le rotor et S s l'aire d'une section
traversée par les champs dans le stator. Le champ B étant à flux conservatif,
Ba L a ℓ fs = Be L a ℓ fs = B fs S s = B fr S r
Dans la suite on considère les aires des sections égales, donc la valeur du champ B est la même dans
tous les milieux : Ba = Be = B fs = B fr = B .
Lcmfs Lcmfr
donc Be 2H a + 2e + + = 2 Br H a .
µ fs µ fr
On en déduit le flux à travers une spire que l'on multiplie par le nombre de spires N pour obtenir le
flux total :
2 NL a ℓ fs Br H a N L a ℓ fs Br
Φ = N ϕ = NL a ℓ fs Be = = .
L L L L
2H a + 2e + cmfs + cmfr 1 + 1 e + cmfs + cmfr
µ fs µ fr H a 2 µ fs 2 µ fr
Q33 On peut tracer l'allure du flux total en fonction de H a (nul pour H a = 0 et croissant) et en
déduire le flux maximal Φ max = N L a ℓ fs Br .
Ce flux maximal correspond à un aimant très épais, d'où un compromis à trouver à la fois pour des
questions de coût, de ressources en terres rares et d'encombrement.
Q35 On envisage une transformation isochore de la tranche du barreau située entre x et x+dx.
La capacité thermique volumique est ρthC et le volume de la tranche est Sdx .
Pendant dt, la variation d'énergie interne est alors d U ( x, t ) = ρ th C .Sdx.dT .
2
Q36 L'application du premier principe de la thermodynamique à la tranche pendant dt conduit à
δ Q( x, t ) − δ Q( x + dx, t ) = d 2U ( x, t )
Donc S . jth ( x, t ).dt − S . jth ( x + dx, t ).dt = ρth C.Sdx.dT .
∂jth ∂j dT
D'où − ( x, t ) Sdx.dt = ρ th C .Sdx.dT puis − th ( x, t ) = ρ th C ( x, t ) .
∂x ∂x dt
∂T
En utilisant la loi de Fourier, jth ( x , t ) = − K ( x, t ) on retrouve l'équation de diffusion thermique
∂x
∂ 2T ρ C dT
( x, t ) = th ( x, t ) .
∂x 2
K dt
Q37 Il est curieux d'introduire la notion de résistance thermique avec une différence de température
(Tin-Tout) mais en gardant une tranche élémentaire de largeur dx.
∂ 2T
En régime stationnaire, l'équation de diffusion s'écrit ( x, t ) = 0 . On en déduit que T ( x ) est
∂x 2
dT T −T
linéaire et jth = − K = − K out in uniforme, en prenant plus classiquement Tin ( x = 0) et
dx e
Tout ( x = e) ,
KS
On définit la résistance thermique à partir du flux thermique J th = Sjth = (Tin − Tout ) .
e
T −T e
Rth = in out = .
J th KS
Q38 En lien avec la question suivante : la puissance dissipée par effet Joule est transférée à travers les
4 côtés de l'encoche. On utilise la résistance thermique vers les 4 côtés.
J th1 + J th 2 + J th 3 + J th 4 = J PJ
TC − T1 = Req J th1
TC − T2 = Req J th 2
TC − T3 = Req J th 3
TC − T4 = Req J th 4
Ce modèle pose plusieurs problèmes : températures différentes sur les faces (discontinuité aux
angles ?) . L'effet Joule est réparti non au centre de température TC . mais en volume. Utilisation de
lois unidimensionnelles pour une situation au moins 2D.
Q42 Recherche de l'indice du maximum dans la colonne i, entres les indices i et n inclus.
###
import numpy as np
Q44 Transvection
def transvection(Matrice, i, j, alpha):
# i ligne du pivot
Matrice[j,i:] = Matrice[j,i:] + alpha * Matrice[i,i:]
# pas de return : Matrice modifiée par effet de bord
for k in range(n-1) :
# On s'arrête à l'avant dernière ligne de numéro n-2 incluse
# Recherche du pivot - méthode du pivot partiel
pos = cherche_pivot(AB , k)
# Permutation des lignes
echange_lignes(AB, pos, k)
for m in range(k+1,n) : # Combinaison des lignes
transvection(AB, pos, m, -AB[m,k]/AB[k,k])
# On rend nulle la valeur avant la diagonnale de A
# Remontée
# AB est à ce moment une matrice triangulaire augmentée
# Retourne In|B où In matrice unité.
for i in range(n-1,-1,-1) : # vérifier bornes
for k in range(i+1,n) :
AB[i,k:]=AB[i,k:]-AB[i,k]*AB[k,k:]
AB[i,i:]=AB[i,i:]/AB[i,i]
return AB # On pourrait aussi retourner la dernière colonne B.
Q46
Q47