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∀x, y > 0, xα y β 6 M (x + y)
Continuité
Exercice 2 [ 01734 ] [correction]
Soit A une partie non vide de R2 et x un point de R2 . On note Exercice 7 [ 01738 ] [correction]
d(x, A) = inf kx − ak. Soit f : R2 → R définie par
a∈A
Montrer que d : R2 → R est lipschitzienne. 1
x2 + y 2 − 1 si x2 + y 2 > 1
f (x, y) = 2
− 1 x2 sinon
Limite 2
Montrer que f est continue.
Exercice 3 [ 01735 ] [correction]
Etudier les limites en (0, 0) des fonctions suivantes :
a) f (x, y) = x2xy
+y 2
x2 +xy+y 2
Exercice 8 [ 01739 ] [correction]
b) f (x, y) = x2 +y 2 Soient f : R → R une fonction de classe C 1 et F : R2 → R la fonction définie par
x2 y
c) f (x, y) = x2 +y 2 (
f (x)−f (y)
d) f (x, y) = x2 y 2 x−y si y 6= x
x2 +y 2 F (x, y) =
f 0 (x) si y = x
x2 +y 2 si (x, y) 6= (0, 0)
Montrer que f (x, y) =
0 sinon
∂f ∂f
(x, y) + (x, y) = 0
∂x ∂y a) Montrer que f est de classe C 1 .
b) La fonction f est-elle de classe C 2 ?
Exercice 22 [ 01753 ] [correction]
Soit f : R2 → R de classe C 1 telle que
∀t ∈ R, ∀(x, y) ∈ R2 , f (tx, ty) = f (x, y) Exercice 27 [ 01759 ] [correction]
Soit f et ϕ : R → R deux applications de classe C 2 et F : R2 → R définie par
Montrer que F (x, y) = f (x + ϕ(y)).
∂f ∂f
x (x, y) + y (x, y) = 0 a) Justifier que F est de classe C 2 .
∂x ∂y 2
∂ 2 F ∂F
b) Vérifier l’égalité : ∂∂xF2 ∂F
∂y − ∂x∂y ∂x = 0.
sur (R+? )2 .
On a Exercice 6 : [énoncé]
xα+β Par le théorème des accroissements finis, il existe cx,y ∈ 0, x2 + y 2 tel que
f (x, x) = F (x, y) = f 0 (c).
2x
Quand (x, y) → (0, 0) alors cx,y → 0 puis F (x, y) → f 0 (0).
f bornée implique α + β = 1.
Inversement, supposons α + β = 1.
Si y > x alors
xα y 1−α y
α
x Exercice 7 :[énoncé]
0 6 f (x, y) = 6 61
x+y x+y y Notons D = (x, y) ∈ R2 /x2 + y 2 < 1 et E = (x, y) ∈ R2 /x2 + y 2 > 1 .
f est continue sur D et E.
Si x > y alors idem. Soit (x0 , y0 ) tel que x20 + y02 = 1.
Si (x, y) → (x0 , y0 ) avec (x, y) ∈ D alors
f (x, y) → 21 x20 + y02 − 1 = − 12 x20 = f (x0 , y0 ).
Exercice 2 : [énoncé] Si (x, y) → (x0 , y0 ) avec (x, y) ∈ E alors f (x, y) → − 21 x20 = f (x0 , y0 ).
Pour tout a ∈ A, d(x, A) 6 kx − ak 6 kx − yk + ky − ak donc Donc lim f (x, y) = f (x0 , y0 ) et finalement f est continue sur R2 .
d(x, A) − kx − yk 6 d(y, A). (x,y)→(x0 ,y0 )
Ainsi |d(x, A) − d(y, A)| 6 kx − yk et donc x 7→ d(x, A) est lipschitzienne.
Exercice 8 : [énoncé]
Exercice 3 : [énoncé] Soit a = (α, β) ∈ R2 .
a) f (0, 1/n) = 0 → 0 et f (1/n, 1/n) = 1/2 → 1/2. Pas de limite en (0, 0). Si α 6= β alors au voisinage de a,
b) f (1/n, 0) → 1 et f (1/n, −1/n) → 1/2. Pas de limite en (0, 0).
f (y) − f (x) f (β) − f (α)
c) |f (x, y)| = |x| x2|xy| 1
+y 2 6 2 |x| −−−−−−−→ 0 ou F (x, y) = −−−−−→ = F (α, β)
(x,y)→(0,0) y−x (x,y)→a β−α
f (x, y) = r cos2 θ sin θ −−−−−−−→ 0.
(x,y)→(0,0) Si α = β alors :
d) |f (x, y)| 6 |xy| xy
x2 +y 2 6 1
2 |xy| → 0 ou f (x, y) = r2 cos2 θ sin2 θ −−−−−−−→ 0. Quand (x, y) → a avec x = y, F (x, x) = f 0 (x) → f 0 (α) = F (a).
(x,y)→(0,0)
Quand (x, y) → a avec x 6= y, par le théorème des accroissements finis
F (x, y) = f 0 (c)
Exercice 4 : [énoncé]
a) f (0, 1/n) → 0 et f (1/n, 1/n3 ) → 1. Pas de limite en (0, 0) avec c compris entre x et y. Par le théorème des gendarmes, c → α et par
b) f (0, −1/n) = 2n → +∞ et f (0, 1/n) = −2n → −∞. Pas de limite en (0, 0). composition
c) 0 6 f (x, y) 6 21 |xy| → 0 ou f (r cos θ, r sin θ) = O(r2 ). F (x, y) → f 0 (α) = F (a)
Finalement F est continue en tout a ∈ R2 .
Exercice 15 : [énoncé]
Exercice 10 : [énoncé] La courbe Γ d’équation y 2 = x est une parabole séparant le plan en deux portions
a) ∂f
∂x (x, y) = yx
y−1
et ∂f y
∂y (x, y) = ln x.x . ouvertes
U = (x, y)/x < y 2 et V = (x, y)/x > y 2
∂f ∂f y
b) ∂x (x, y) = √ 2x 2 et ∂y (x, y) = √ 2 2 .
x +y x +y
∂f ∂f
c) ∂x (x, y) = sin(x + y) + x cos(x + y) et ∂y (x, y) = x cos(x + y).
Exercice 11 : [énoncé]
a) Soit h = (α, β) ∈ R2 .
1 1 0 si α = 0
− f (0, 0)) =
t (f (t.h) t (f (tα, tβ))
= .
β 2 /α sinon
(
0 si α = 0
Donc Dh f (0, 0) = . Soit (x0 , y0 ) ∈ U . Au voisinage de ce couple, f (x, y) = x et donc
β 2 /α si α 6= 0
√ ∂f ∂f
b) f (1/n, 1/ n) = 1 → 1 6= f (0, 0) donc f n’est pas continue en (0, 0). (x0 , y0 ) = 1 et (x0 , y0 ) = 0
∂x ∂y
Exercice 24 : [énoncé]
Exercice 20 : [énoncé] ∂2f ∂2f
a) (ρ, θ) 7→ (ρ cos θ, ρ sin θ) est de classe C 1 donc g l’est aussi par composition. a) ∂f 2
∂x (x, y) = 3x + 2xy,
∂f
∂y (x, y) = x2 , ∂x2 (x, y) = 6x + 2y, ∂x∂y (x, y) = 2x,
∂2f
b) Par dérivation de fonctions composées ∂y 2 (x, y) = 0.
∂g ∂f ∂f
∂ρ (ρ, θ) = cos θ ∂x (ρ cos θ, ρ sin θ) + sin θ ∂y (ρ cos θ, ρ sin θ) et b) ∂f ∂f ∂2f
= −y 2 cos(xy),
∂g ∂x (x, y) = −y sin(xy), ∂y (x, y) = −x sin(xy), ∂x2 (x, y)
∂θ (ρ, θ) = −ρ sin θ ∂f
∂x (ρ cos θ, ρ sin θ)
+ ρ cos θ ∂f
∂y (ρ cos θ, ρ sin θ)
2
∂ f 2
∂ f 2
∂x∂y (x, y) = − sin xy − xy cos(xy) et ∂y 2 (x, y) = −x cos(xy).
c) En résolvant le système formé par les deux équations précédentes.
∂f ∂g ∂g ∂f ∂g ∂g
∂x (x, y) = r cos θ ∂r − sin θ ∂θ et ∂y = r sin θ ∂r + cos θ ∂θ avec
(x, y) = (r cos θ, r sin θ).
Exercice 25 : [énoncé]
a) Par composition f est de classe C 1 sur R2 \ {(0, 0)}.
∂f y3 2x2 y 3 ∂f 3xy 2 2xy 4
Exercice 21 : [énoncé] ∂x (x, y) = x2 +y 2 − (x2 +y 2 )2 et ∂y (x, y) = x2 +y 2 − (x2 +y 2 )2 .
∂f
On dérive la relation par rapport à t avant d’évaluer en t = 0. De plus 1t (f (t, 0) − f (0, 0)) = 0 et 1t (f (0, t) − f (0, 0)) = 0, donc ∂x (0, 0) et
∂f ∂f ∂f
∂y (0, 0) existent et on a ∂x (0, 0) = ∂y (0, 0) = 0.
2
y2
De plus ∂f xy
∂x (x, y) 6 |y| x2 +y 2 + 2 |y| x2 +y 2 −−−−−−−→ 0
Exercice 22 : [énoncé] (x,y)→(0,0)
On dérive la relation par rapport à t avant d’évaluer en t = 1. ∂f |xy| |xy| y2
et ∂y (x, y) 6 3 |y| x2 +y 2 + 2 |y| x2 +y 2 x2 +y 2 −−−−−−−→ 0.
(x,y)→(0,0)
Par suite
f est C 1 sur R2.
Exercice 23 : [énoncé] b) t ∂x (0, t) − ∂f
1 ∂f
∂x (0, 0) = 1 → 1 et
1
t
∂f ∂f
∂y (t, 0) − ∂y (0, 0) = 0 → 0.
a) En dérivant la relation f (tx, ty) = tn f (x, y) en la variable t
2 2
∂ f ∂ f ∂2f ∂2f
Donc ∂x∂y (0, 0) et ∂y∂x (0, 0) existent et on a ∂x∂y (0, 0) = 0 et ∂y∂x (0, 0) = 1.
∂f ∂f On en déduit que f n’est pas C 2 .
x (tx, ty) + y (tx, ty) = ntn−1 f (x, y)
∂x ∂y
et de même ∂f
∂y (0, 0) = 0. Exercice 30 : [énoncé]
Par opérations, f est de classe C 1 sur R2 \ {(0, 0)} et pour (x, y) 6= (0, 0), a) Point critique (0, 3), f (0, 3) = −9. Posons u = x et v = y − 3.
∂f y(x4 − y 4 + 4x2 y 2 ) ∂f x(x4 − y 4 + 4x2 y 2 ) 1 2 1
(x, y) = , (x, y) = f (x, y) − f (0, 3) = u2 + uv + v 2 = (u + v 2 ) + (u + v)2 > 0
∂x (x2 + y 2 )2 ∂y (x2 + y 2 )2 2 2
En passant en coordonnées polaires, on vérifie aisément f admet un minimum en (0, 3).
∂f ∂f b) Point critique (1, 1), f (1, 1) = 4. Posons u = x − 1 et v = y − 1
(x, y) −−−−−−−→ 0 = (0, 0)
∂x (x,y)→(0,0) ∂x
f (x, y) − f (1, 1) = u2 + 2v 2 − 2uv = (u − v)2 + v 2 > 0
∂f 1 2
Il en est de même pour On en déduit que f est de classe C sur R .
∂y .
b) f admet un minimum en (1, 1).
∂2f ∂2f c) Point critique (0, 0).
1 ∂f ∂f
(0, 0) = lim (0, t) − (0, 0) = −1 et (0, 0) = 1 Pour tout n ∈ N? ,
∂y∂x t→0 t ∂x ∂x ∂x∂y
f (1/n, 0) > 0 et f (−1/n, 0) < 0
On en déduit que f n’est pas de classe C 2 car la conclusion du théorème de
Schwarz n’est pas vérifié. Pas d’extremum.
d) Point critique (0, 0).
Exercice 27 : [énoncé] 1 1 1 2
a) Par composition F est C 2 . f (1/n, 0) = + 3 ∼ 2 > 0 et f (−1/n, −1/n + 1/n2 ) ∼ − 3 < 0
0 0 0 2 n2 n n n
b) ∂F ∂F
∂x (x, y) = f (x + ϕ(y)), ∂y (x, y) = ϕ (y)f (x + ϕ(y)),
∂ F
∂x2 (x, y) = f 00 (x + ϕ(y))
2 Pas d’extremum.
et ∂ F
∂x∂y (x, y) = ϕ0 (y)f 00 (x + ϕ(y)). Par suite l’égalité proposée est vérifiée.
e) Points critiques (0, 0) et (1, 1).
Etude en (0, 0) :
Exercice 28 : [énoncé]
a) g est C 2 par composition. f (1/n, 0) > 0 et f (1/n, 1/n) ∼ −3/n2 < 0
∂g
b) ∂u (u, v) = v ∂f 2 2 ∂f 2 2
∂x (uv, u + v ) + 2u ∂y (uv, u + v ),
∂g ∂f 2 2 ∂f 2 2 Pas d’extremum en (0, 0).
∂v (u, v) = u ∂x (uv, u + v ) + 2v ∂y (uv, u + v ), Etude en (1, 1) :
2
∂ g
∂u2 (u, v) = Posons u = x − 1 et v = y − 1.
2
∂2f 2
v 2 ∂∂xf2 (uv, u2 + v 2 ) + 4uv ∂x∂y (uv, u2 + v 2 ) + 4u2 ∂∂yf2 (uv, u2 + v 2 ) + 2 ∂f 2
∂y (uv, u + v ),
2
3 2 3 2 3 2 3 2 3
∂2g f (x, y)−f (1, 1) = u +3u +v +3v −3uv = 3
u + u + v + v + (u−v)2
3
∂u∂v (u, v) = 2 2 2
2
∂2f 2
uv ∂∂xf2 (uv, u2 + v 2 ) + 2(u2 + v 2 ) ∂x∂y (uv, u2 + v 2 ) + 4uv ∂∂yf2 (uv, u2 + v 2 ) + ∂f ∂x (, ),
∂2g 2
2∂ f 2 2 ∂2f 2
2∂ f ∂f Comme
∂v 2 (u, v) = u ∂x2 (uv, u + v ) + 4uv ∂x∂y (. . .) + 4v ∂y 2 (. . .) + 2 ∂y (. . .) 3 3 3 3
u3 + u2 ∼ u2 > 0 et v 3 + v 2 ∼ v 2 > 0
2 0 2 2 0 2
Exercice 29 : [énoncé] on a localement
∂g ∂f ∂f ∂g
∂r = cos θ ∂x + sin θ ∂y , ∂θ = −r sin θ ∂f ∂f
∂x + r cos θ ∂y ,
f (x, y) − f (1, 1) > 0
∂2g 2
2 ∂ f ∂2f 2
2 ∂ f
∂r 2 = cos θ ∂x2 + 2 cos θ sin θ ∂x∂y + sin θ ∂y 2 , f admet un minimum relatif en (1, 1).
2 2
1 ∂ g 2 ∂ f ∂2f 2
2 ∂ f Ce minimum ne peut être absolu car f (−n, 0) → −∞.
r 2 ∂θ 2 = sin θ ∂x2 − 2 cos θ sin θ ∂x∂y + cos θ ∂y 2 − 1
r cos θ ∂f
∂x −
1
r sin θ ∂f
∂y
2 2 2 2
donc ∂∂xf2 + ∂∂yf2 = ∂∂rg2 + 1r ∂g 1 ∂ g
∂r + r 2 ∂θ 2 .
φ est une bijection de classe C 1 . on peut affirmer que f est solution de l’équation aux dérivées partielles étudiée si,
Soient f : R2 → R une fonction de classe C 1 et g : R2 → R définie par et seulement si,
g(u, v) = f (3u − v, v − 2u), ∂g
(r, θ) = 0
Par composition g = f ◦ φ est de classe C 1 sur R2 et ∂θ
∂g ∂f ∂f c’est-à-dire, si, et seulement si, g(r, θ) = C(r) avec C fonction de classe C 1 définie
(u, v) = 3 (3u − v, v − 2u) − 2 (3u − v, v − 2u) sur ]0, +∞[.
∂u ∂x ∂y p
On obtient alors f (x, y) = C( x2 + y 2 ) puis f (x, y) = D(x2 + y 2 ) avec D
f est solution de l’équation aux dérivées partielles étudiée si, et seulement si, fonction de classe C 1 définie sur ]0, +∞[.
∂g
∂u = 0 ce qui conduit à g(u, v) = h(v) puis f (x, y) = h(2x + 3y) avec h fonction
de classe C 1 .
Exercice 34 : [énoncé]
Soient f : R+? × R → R une fonction de classe C 1 et g : R+? × ]−π/2, π/2[ → R
Exercice 32 : [énoncé] définie par g(r, θ) = f (r cos θ, r sin θ). Par composition g est de classe C 1 sur
Soit f : R2 → R une fonction de classe C 1 sur R2 solution de R+? × ]−π/2, π/2[ et
∂f ∂f ∂g ∂f ∂f
+ =f r (r, θ) = r cos θ (r cos θ, r sin θ) + r sin θ (r cos θ, r sin θ)
∂x ∂y ∂r ∂x ∂y
Soit g : R2 → R définie par g(u, v) = f (u, u + v). f est solution de l’équation aux dérivées partielles étudiée si, et seulement si,
Par composition g est de classe C 1 sur R2 et
∂g
∂g ∂f ∂f r (ρ, θ) = r
(u, v) = (u, u + v) + (u, u + v) = f (u, u + v) = g(u, v) ∂r
∂u ∂x ∂y
ce qui conduit à g(r, θ) = r + h(θ) puis
La fonction u 7→ g(u, v) est solution de l’équation différentielle y 0 = y donc il
existe C(v) ∈ R tel que g(u, v) = C(v)eu . p y p 2 y
f (x, y) = x2 + y 2 + h arctan = x + y2 + k
Notons que C : R → R est de classe C 1 car C(v) = g(0, v) avec g de classe C 1 . x x
Par suite, on obtient f (x, y) = C(y − x)ex .
Inversement, de telles fonctions sont solutions. avec k fonction de classe C 1 définie sur R.
Par composition g est de classe C 2 sur R2 et, par calculs, f est solution de et
l’équation aux dérivées partielles étudiée si, et seulement si, ∂2F ∂2F ∂2F ∂2F ∂F
2 2
(M ) = ρ2 sin2 θ 2 (M )+ρ2 cos2 θ 2 (M )−2ρ2 cos θ sin θ (M )−ρ cos θ (M )−
∂ g ∂θ ∂x ∂y ∂x∂y ∂x
(u, v) = 0
∂u∂v On observe alors
On obtient g(u, v) = C(u) + D(v) puis f (x, t) = C(x + ct) + D(x − ct) avec C et ∂2F ∂2F ∂2F ∂2F
∂F
D fonctions de classe C 2 . ρ2 2
(M ) + ρ (M ) + (M ) = ρ2 (M ) + (M )
∂ρ ∂ρ ∂θ ∂x2 ∂y 2
et donc
Exercice 36 : [énoncé] ∂2F 1 ∂F 1 ∂2F
∆F = + +
a) f (x, y) = 21 x2 y 2 + C te sur R2 . ∂ρ2 ρ ∂ρ ρ2 ∂θ2
p
b) f (x, y) = x2 + y 2 + C te sur R2 \ {(0, 0)}.
c) Il n’y a pas de solution car ∂f x
∂x (x, y) = x2 +y 2 donne Exercice 38 : [énoncé]
1 2 2
f (x, y) = 2 ln(x + y ) + C(y) qui injectée dans la deuxième équation donne : Introduisons les représentations cartésiennes et cylindriques de F .
y 0 −y
x2 +y 2 + C (y) = x2 +y 2 qui est incompatible avec C fonction de la seule variable y. F (M ) = f˜(ρ, ϕ, z) = f (ρ cos ϕ, ρ sin ϕ, z)
On en tire
Exercice 37 : [énoncé]
a) Puisque ∂ f˜ ∂f ∂f
(ρ, ϕ, z) = cos ϕ (ρ cos ϕ, ρ sin ϕ, z) + sin ϕ (ρ cos ϕ, ρ sin ϕ, z)
−−→ ∂F ~ ∂F ~ ∂ρ ∂x ∂y
grad F = i+ j
∂x ∂y qu’on réécrit :
on a ∂F ∂F ∂F
−−→ ∂2F ∂2F (M ) = cos ϕ (M ) + sin ϕ (M )
∆F = divgrad F = + ∂ρ ∂x ∂y
∂x2 ∂y 2
De même :
b) Introduisons f et f˜ les représentations cartésiennes et polaires de F . ∂F ∂F ∂F
(M ) = −ρ sin ϕ (M ) + ρ cos ϕ (M )
On a ∂ϕ ∂x ∂y
F (M ) = f˜(ρ, θ) = f (ρ cos θ, ρ sin θ) Sachant ~uρ = cos ϕ~i + sin ϕ~j et ~uϕ = − sin ϕ~i + cos ϕ~j, on obtient :
donc ∂F 1 ∂F ∂F ∂F ∂F ∂F
∂ f˜ ∂f ∂f (M )~uρ + (M )~uϕ + (M )~k = (M )~i + (M )~j + (M )~k
(ρ, θ) = cos θ (ρ cos θ, ρ sin θ) + sin θ (ρ cos θ, ρ sin θ) ∂ρ ρ ∂ϕ ∂z ∂x ∂y ∂z
∂ρ ∂x ∂y
ce qu’on réécrit Ainsi
−−→ ∂F 1 ∂F ∂F ~
∂F ∂F ∂F grad F = ~uρ + ~uϕ + k
(M ) = cos θ (M ) + sin θ (M ) ∂ρ ρ ∂ϕ ∂z
∂ρ ∂x ∂y
De même
∂F ∂F ∂F Exercice 39 : [énoncé]
(M ) = −ρ sin θ (M ) + ρ cos θ (M )
∂θ ∂x ∂y F~ (M ) = √ 2x 2~i + √ 2y 2 ~j.
x +y x +y
c) Aussi
2 y2
a) divF~ (M ) = √ 2 2 − √ 2x
1
3 + √ 1
−√ 3 = 1
OM .
2 2 2 2 x +y x +y 2 x2 +y 2 x2 +y 2
∂ F ∂ F ∂ F ∂ F
(M ) = cos2 θ 2 (M ) + sin2 θ 2 (M ) + 2 cos θ sin θ (M ) b) F~ dérive du potentiel V (M ) =
p
x2 + y 2 = OM .
∂ρ2 ∂x ∂y ∂x∂y
Exercice 40 : [énoncé]
F~ (M ) = √ 2 x 2 2 3~i + √ y
3
~j + √
z ~
3k
x +y +z x2 +y 2 +z 2 x2 +y 2 +z 2
a) F~ dérive du potentiel V (M ) = − √ 2 1 2 2 = − OM 1
.
x +y +z
x2 y2 z2
b) divF~ (M ) = OM 1
3 − 3 OM 5 + OM 1
3 − 3 OM 5 + 1
OM 3 − 3 OM 5
2
= − OM 3.
−−→ ~
Rot F = ~o car F~ dérive d’un potentiel.
Exercice 41 : [énoncé]
~ = ωx~i + ωy~j + ωz~k. F~ (M ) = (ωy z − ωz y)~i + (ωz x − ωx z)~j + (ωx y − ωy x)~k.
ω
−−→
a) divF~ (M ) = 0. Rot F~ (M ) = 2ωx~i + 2ωy~j + 2ωz~k = 2~ ω.
b) Lorsque ω ~ 6= ~o, le champ F~ ne dérive pas d’un potentiel.
Lorsque ω ~ = ~o, le champ F~ est nul est donc d’un dérive de n’importe quel
potentiel constant.
Exercice
42 : [énoncé]
∂2 ∂ ∂ ∂2 ∂2 ∂ ∂ ∂2
a) ∆ ∂f ∂
∂x = ∂x (∆f ) = 0 car ∂x2 ∂x f = ∂x ∂x2 f et ∂y 2 ∂x f = ∂x ∂y 2 f .
Ainsi ∂f est harmonique et il en est de même de ∂f∂y .
∂x
∂3f ∂2f ∂3f ∂3f 3
∂2f
∆ x ∂x + y ∂y = x ∂x3 + ∂x2 + y ∂x2 ∂y + x ∂y2 ∂x + y ∂∂yf3 +
∂f ∂f
∂y 2 =
x∆ ∂f ∂f
∂x + y∆ ∂y + ∆f = 0.
∂f ∂2f
b) ∂x = 2xϕ0 (x2 + y 2 ), 0 2
∂x2 = 2ϕ (x + y 2 ) + 2x2 ϕ00 (x2 + y 2 ),
2
∂ f
∂y 2 = 2ϕ0 (x2 + y 2 ) + 2y ϕ (x + y ).
2 00 2 2