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1 Remerciements
Par ce projet nous tenions à vous adresser ce mot de merci sincère pour votre soutien, votre enseignement
et pour votre encadrement dont vous avez fait preuve tout le long de ces deux dernières années.
Nous tenions aussi à exprimer nos profondes gratitudes de nous avoir donné cette opportunité d’aiguiser
nos connaissances et de mettre en œuvre la modélisation mathématique en méthode des éléments finis
dans un projet réel et applicable dans le domaine.
Nous remercions également l’ensemble des professeurs de cette filière qui ont su nous aider à compléter et
à forger nos connaissances du début jusqu’à cette année qui est décisif de notre formation.

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2 Introduction
La méthode des éléments finis permet à l’ingénieur d’effectuer des simulations numériques de phénomènes
physiques. Elle fait partie des outils de mathématiques appliquées. Il s’agit de mettre en place, à l’aide des
principes hérités de la formulation variationelle ou formulation faible, un algorithme discret mathématique
permettant de rechercher une solution approchée d’une équation aux dérivées partielles (ou EDP) sur
un domaine compact avec conditions aux bords. On parle couramment de conditions de type Dirichlet
(valeurs aux bords) ou Neumann (gradients aux bords). Il s’agit donc avant tout de la résolution approchée
d’un problème, où, grâce à la formulation variationnelle, les solutions du problème vérifient des conditions
d’existence plus faibles que celles des solutions du problème de départ et où une discrétisation permet de
trouver une solution approchée.
Dans le but de concrétiser nos savoirs dans ses disciplines nous sommes amenés à réaliser un projet dans
le cadre du module de modélisation numérique. Nous tacherons à détailler toutes les étapes de calculs afin
de faire de ce modeste rapport une référence pour nos prochaines études. En plus de nos remarques, nous
avons essayé d’établir des comparaisons entre les différents modes et résultats obtenus pour en tirer des
conclusions.

3 Chapitre 1 : Présentation du projet


Soit un portique composé par les éléments suivants :
Deux poteaux de longueur = 2L = 2x1m = 2m, et de section carrée S = 3cm x 3cm.
Une poutre de longueur L = 1m, et de section carrée S = 3cm x 3cm.
Deux articulations dans les 2 nœuds suivants : n1 et n6.
Données numériques :
Module de Young E = 200000 Mpa .
3
Moment quadratique d’une section carrée : I = bh 12 .
Au nœud n2 on applique un chargement = 6000 N porté par axe x.
Au nœud n4 on applique un chargement = 6000 N porté par axe -y.
Un chargement uniformément réparti de densité linéique q = 4000 N/ml, sur la longueur totale de la poutre
et porté par axe -y, (entre les nœuds n3 et n4).
On suppose que les éléments (poteaux et poutre) sont sollicités à la traction et à la flexion.
4 Chapitre 2 : Résolution du problème par la méthode manuelle

Question 1 : Définir le vecteur global des degrés de liberté ?


Réponse 1 :
On a 6 nœuds avec 3 degrés de liberté chacun, donc la matrice de rigidité globale est de dimension (18×18).
Les conditions au limites donnent :
Nœuds 1 : articulé alors u1 = v1 = 0 et θ1 6= 0
Nœuds 2 : u2 6= v2 6= 0 et θ2 6= 0
Nœuds 3 : u3 6= v3 6= 0 et θ3 6= 0
Nœuds 4 : u4 6= v4 6= 0 et θ4 6= 0
Nœuds 5 : u56= v5 6= 0 et θ5 6= 0
Nœuds 6 : articulé alors u6 = v6 = 0 et θ6 6= 0
On obtient alors le vecteur global :
 

 0 


 

0 

 

 

 
θ1 

 

 


 




 u2 



 
v2 

 

 


 



 θ2 



 




 u3 



 
v3 

 

 


 

 θ3 
U=


 u4 


 
v4 

 

 


 




 θ4 



 
u5 

 

 


 



 v5 



 

θ5 

 

 

 
0 

 


 

 




 0 



 
θ6
 

Question 2 : Définir le vecteur d’efforts nodaux ?


Réponse 2 :
De même que le vecteur des degrés des libertés, le vecteur des efforts nodaux contient 18 éléments.
On en déduit
 que : 
 x1 
 

 

y1

 


 

 
0

 


 


 




 F 



 
0

 


 


 



 0 



 




 0 



ql
 


 


 2 

2
 
 ql
 

12
Fglobale =


 0 


 ql

− −F

 

 2






 ql 2 

 

 12 

 
0

 


 


 



 0 



 

0

 


 

 
x6

 


 


 




 y6 



 
0
 

Question 3 : Etablir la matrice de rigidité pour chaque élément de la structure ?


Élément 1 (α=90◦ )
Puisque cet élément est soumis à une sollicitation combinée (traction+ flexion), donc sa matrice de rigidité
locale résultante est obtenue à partir de l’assemblage des matrices de rigidité traction + flexion. Celle-ci
est de dimension (6x6).
Dans le repère local :
• La matrice de rigidité locale de traction est :
!
−1 1
[K]loc = A (1)
1 −1

On pose :
C1= EA
L ;C2= L3 ;C3= L2 ;C4= L ;C5= L ;
12EI 6EI 4EI 2EI

• La matrice de rigidité locale de flexion est :

 
C2 C3 −C2 C3
 
 C3 C4 −C3 C5 
[K]loc =  (2)
 

−C2 −C3 C2 −C3
 
C3 C5 −C3 C4

• En assemblant les deux matrices de rigidité, on obtient :


 
C1 0 0 −C1 0 0
 
 0
 C2 C3 0 −C2 C3 

 
 0 C3 C4 0 −C3 C5 
[Kp1 ]loc =   (3)
−C1 0 0 C1 0 0 
 
 
 0
 −C2 −C3 0 C2 −C3

0 C3 C5 0 −C3 C4

Dans le repère global :


On pose la matrice de passage du repère local vers le repère global :
 
0 1 0 0 0 0
 
−1 0 0 0 0 0
 
 
0 0 1 0 0 0
[P] =   (4)
0 0 0 0 1 0
 
 
 0 0 0 −1 0 0
 
0 0 0 0 0 1

Et donc
 
0 −1 0 0 00
 
1 0 0 0 0 0
 
 
T
0 0 1 0 0 0
[P] =   (5)
0 0 0 0 −1 0
 
 
0 0 0 1 0 0
 
Puisque [K]glob = [P]T [Kp1 ] [P]
On trouve :
 
C2 0 −C3 −C2 0 −C3
 
 0
 C1 0 0 −C1 0 

 
−C3 0 C4 C3 0 C5 
[Kp1 ]glob =
 
−C2 0 C3 C2 0 C3

 
 
 0
 −C1 0 0 C1 0 

−C3 0 C5 C3 0 C4
Élément 2 (α=90◦ )

Cet élément subit la traction et la flexion dans le repère local, après changement en repère globale on
trouvera la même matrice de rigidité assemblée de l’élément 1
 
C2 0 −C3 −C2 0 −C3
 
 0
 C1 0 0 −C1 0 

 
−C3 0 C4 C3 0 C5 
[Kp2 ]glob = 
−C2 0 C3 C2 0 C3 
 
 
 0
 −C1 0 0 C1 0 

−C3 0 C5 C3 0 C4

Élément 3 (α=0◦ )
Dans le repère local :

• La matrice de rigidité locale de traction est :


!
−1 1
[K]loc = A (6)
1 −1

• La matrice de rigidité locale de flexion est :

 
C2 C3 −C2 C3
 
 C3 C4 −C3 C5 
[K]loc =  (7)
 

−C2 −C3 C2 −C3
 
C3 C5 −C3 C4

• En assemblant les deux matrices de rigidité, on obtient :


 
C1 0 0 −C1 0 0
 
 0
 C2 C3 0 −C2 C3 

 
 0 C3 C4 0 −C3 C5 
[Kp3 ]loc =   (8)
−C1 0 0 C1 0 0 
 
 
 0
 −C2 −C3 0 C2 −C3

0 C3 C5 0 −C3 C4

Dans le repère global :


On pose la matrice de passage du repère local vers le repère global :
 
1 0 0 0 0 0
 
0 1 0 0 0 0
 
 
0 0 1 0 0 0
[P] =   (9)
0 0 0 1 0 0
 
 
0 0 0 0 1 0
 
0 0 0 0 0 1

Et donc
 
1 0 0 0 0 0
 
0 1 0 0 0 0
 
 
T
0 0 1 0 0 0
[P] =   (10)
0 0 0 1 0 0
 
 
0 0 0 0 1 0
 
0 0 0 0 0 1

Puisque [K]glob = [P]T [Kp3 ] [P]


Cet élément subit la traction et la flexion dans le repère global, alors sa matrice de rigidité est :

 
C1 0 0 −C1 0 0
 
 0
 C2 C3 0 −C2 C3 

 
 0 C3 C4 0 −C3 C5 
[Kp3 ]glob =   (11)
−C1 0 0 C1 0 0 
 
 
 0
 −C2 −C3 0 C2 −C3

0 C3 C5 0 −C3 C4
Élément 4 (α= -90◦ )
Dans le repère local :
Cet élément subit la traction et la flexion dans le repère local, pour une combinaison entre traction et
flexion on a :
 
C1 0 0 −C1 0 0
 
 0
 C2 C3 0 −C2 C3 

 
 0 C3 C4 0 −C3 C5 
[Kp4 ]loc =   (12)
−C1 0 0 C1 0 0 
 
 
 0
 −C2 −C3 0 C2 −C3

0 C3 C5 0 −C3 C4
Dans le repère global :
On pose la matrice de passage du repère local vers le repère global :
 
0 −1 0 0 0 0
 
1 0 0 0 0 0
 
 
0 0 1 0 0 0
[P] = 
  (13)
0 0 0 0 −1 0

 
0 0 0 1 0 0
 
Et donc
 
0 1 0 00 0
 
−1 0 0 0 0 0
 
 
T
0 0 1 0 0 0
[P] =   (14)
0 0 0 0 1 0
 
 
0
 0 0 −1 0 0

0 0 0 0 0 1

Puisque [K]glob = [P]T [Kp4 ] [P]


On trouve :

Après changement
 en repère globale on trouvera la matrice
 de rigidité assemblée :
C2 0 C3 −C2 0 C3
 
 0
 C1 0 0 −C1 0 

 
 C3 0 C4 C3 0 C5 
[Kp4 ]glob = 
−C2 0 −C3 C2 0 −C3
 
 
 0
 −C1 0 0 C1 0 

C3 0 C5 −C3 0 C4
Élément 5 (α= -90◦ )

Cet élément subit la traction et la flexion dans le repère local, après changement en repère globale on
trouvera la même matrice de rigidité assemblée de l’élément 4
 
C2 0 C3 −C2 0 C3
 
 0
 C1 0 0 −C1 0 
 
 C3 0 C4 C3 0 C5 
[Kp5 ]glob =
 
−C2 0 −C3 C2 0 −C3

 
 0
 −C1 0 0 C1 0 
C3 0 C5 −C3 0 C4

Question 4 : Etablir assemblée des matrices élémentaires ?


Réponse 4 :
Afin d’obtenir la matrice de rigidité global du système (18x18) il suffit d’assemblée les matrices (6x6) de
tous les éléments déjà obtenus a savoir 1,2,3,4et5 ce qui donne :
 
C2 0 −C3 −C2 0 −C3 0 0 0 0
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 C1 0 0 −C1 0 0 0 0 0 

0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 
 −C3 0 C4 C3 0 C5 0 0 0 0 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 −C2 −C2 −C3
 
0 C3 2C2 0 0 0 0 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 −C1 0 0 2C1 0 0 −C1 0 0 

 
 0 0 0 0 0 0 0 0 
 
 −C3 0 C5 0 0 2C4 C3 0 C5 0
 

 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 0 0 −C2 0 C3 C1 + C2 0 C3 −C1 

0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 

 0 0 0 0 −C1 0 0 C1 + C2 C3 0 

 
 −C2 C3 0 0 0 0 0 0 
 
0 0 0 −C3 0 C5 C3 C3 2C4 0
 
 
 
 −C3 C5 0 0 0 0 0 0 
[K]glob =
 


 0 0 0 0 0 0 −C1 0 0 C1 + C2 

0 C3 −C2 0 C3 0 0 0
 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 −C2 −C3 0 

 
C1 + C2 −C3 0 −C1 0 0 0 0 
 
−C3 
 
 0 0 0 0 0 0 0 C3 C5
 
 −C3 2C4 −C3 0 C5 0 0 0
 

 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 −C2  
 

 0 −C3 2C2 0 0 −C2 0 C3 

0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 
 −C1 0 0 2C1 0 0 −C1 0 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 C3  
0 C5 0 0 2C4 −C3 0 C5
 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 0 −C2 0 −C3 C2 0 −C3 

0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 

 0 0 0 −C1 0 0 C1 0 

 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 

0 0 C3 0 C5 −C3 0 C4

Application numérique
 
0.162 0 −0.081 −0.162 0 −0.081 0 0 0 0
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 180 0 0 −180 0 0 0 0 0 

0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 
 −0.081 0 0.054 0.081 0 0.027 0 0 0 0 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 −0.162 −0.162 −0.081
 
0 0.081 0.324 0 0 0 0 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 −180 0 0 360 0 0 −180 0 0 

 
 0 0 0 0 0 0 0 0 
 
 −0.081 0 0.027 0 0 0.108 0.081 0 0.027 0
 

 

 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 0 0 −0.162 0 0.081 180.162 0 0.081 −180 

0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 

 0 0 0 0 −180 0 0 180.162 0.081 0 

 
 −0.162 0.081 0 0 0 0 0 0 
 
0 0 0 −0.081 0 0.027 0.081 0.081 0.108 0
 
 
 
 −0.081 0.027 0 0 0 0 0 0 
[K]glob =
 


 0 0 0 0 0 0 −180 0 0 180.162

0 0.081 −0.162 0 0.081 0 0 0
 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 −0.162 −0.081 0 

 
180.162 −0.081 0 −180 0 0 0 0 
 
0.027 −0.081 
 
 0 0 0 0 0 0 0 0.081
 
 −0.081 0.108 −0.081 0 0.027 0 0 0
 

 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 −0.162 

 

 0 −0.081 0.324 0 0 −0.162 0 0.081 

0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 
 −180 0 0 360 0 0 −180 0 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0.081 

0 0.027 0 0 0.108 −0.081 0 0.027
 
 
 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 

 

 0 0 −0.162 0 −0.081 0.162 0 −0.081 

0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
 
 
 

 0 0 0 −180 0 0 180 0 

 

 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 

0 0 0.081 0 0.027 −0.081 0 0.054

Après simplification des lignes et colonnes correspondantes aux restrictions Imposées, matrice globale
18∗18 se réduit à matrice (14x14) ci-dessous dont la singularité est levée (déterminant non nul, vérifié sous
MATLAB).
 
0.054 0.081 0 0.027 0 0 0 0 0 0
 
 0 0 0 0 
 
−0.162 −0.081
 
 0.081 0.324 0 0 0 0 0 0 
 
 0 0 0 0 
 
 
 0
 0 360 0 0 −180 0 0 0 0  
 
 0 0 0 0 
 
 0.027 0 0 0.108 0.081 0 0.027 0 0 0 
 
 
 0 0 0 0 
 
 
 0
 −0.162 0 0.081 180.162 0 0.081 −180 0 0  
 0 0 0 0
 

 
 0
 0 −180 0 0 180..162 0.081 0 −0.162 0.081 
 
 0 0 0 0 
 
 0 −0.081 0 0.027 0.081 0.081 0.108 0 −0.081 0.027 
 
 
 0 0 0 0 
[K]glob =
 

 0
 0 0 0 −180 0 0 180.162 −0 0.081 

−0.162 0 0.081 0
 

 
 0
 0 0 0 0 −0.162 −0, 081 0.081 180.162 −0.081 
 
 0
 −180 0 0 

−0.162 −0.081 0.108 
 
 0 0 0 0 0 0.081 0.027
 
−0.081 0 0.027 0
 

 
 0
 0 0 0 0 0 0 0.081 0 −0.081
 
 0.324 0 0 0.081 
 
 0 0 0 0 0 0 0 0 −180 0 
 
 
 0 360 0 0 
 
 
 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0.027 
 
 0 0 0.108 0.027
 

 
 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 
 
0.081 0 0.027 0.054

Question 5 : Déterminer les vecteurs de degré de liberté ?


Réponse 5 :
D’abord on a :
   

 0 
 
 0 


 
 
 




 F 






 6000  


   
0 0

 
 
 


 
 
 


 
 
 



 0 




 0 



 
 
 




 0 






 0 



− ql
   
−2000 

 
 
 

 2 
 
 

 ql2

 
  
 
 333.34 

F= 12
=


 0 




 0 


 ql
  
− 2 −F −8000 

 
 
 

 
 
 

   
 ql2   



 12

 




 −333.34  


   
0 0

 
 
 


 
 
 


 
 
 



 0 
 
 
 0 



 
 
 

0 0

 
 
 


 
 
 

 
  
0 0
  
Ce qui fait, le vecteur de degrés de liberté :

   

 θ1 
 
 −0.4066 


 
 
 




 u2 






 0.366 


   
v2  0.1988 

 
 
 

  
 

   
−0.2544 
   


 θ2 




 


 
 
 




 u3 






 0.4811 


   
v3  0.4001 

 
 
 

  
 


 
 
 

 θ3   −0.2007 
U= =


 u4 




 0.4801 

   
v4  −0.1445 

 
 
 

  
 


 
 
 




 θ4 




 
 −0.54 


   
u5  0.3001 

  
 

 
 
 

   
−0.811 
   


 v5 




 


 
 
 

θ5  −0.3 

 
 
 

  
 

 
  
θ6 −0.331
  

Question 6 : Déterminer les efforts de liaisons ?


Réponse 6 :

On a [K]glob X U = F
   


 x1 




 −4000.71 



   
 y1 
 
 −3989.02 

Donc =


 x6 




 −2033.23 


   
 y6 
  −12000
  

5 Chapitre 3 : Résolution du problème par logiciels

1.Par RDM6
Le principe général d’utilisation du logiciel est de créer un modèle de la structure (nœuds, barres, liaisons,
actions) Ensuite, on effectue les calculs et on traite les résultats.

Dans notre cas, on va travailler dans le type : PLANE

En se basant sur l’énoncé du problème ; chaque nœud sera mentionné par ses abscisses :
On introduit les eux poteaux et la poutre en liant entre les différents nœuds effectués précédemment et
on a une section carrée de 3cm x 3cm donc : Aire = 9 cmˆ2 et le moment quadratique = 6,75cmˆ4.

On travaille avec l’acier d’un module de Young = 200000 MPa avec une masse volumique est 7800 Kg/m.
En définissant toutes les données du problème :

Les résultats des diagrammes sont :

• La déformation
• Effort normal
• Moment fléchissant

2.Par ROBOT Structural Analysis


En se basant sur l’énoncé du problème ; chaque nœud sera mentionné par ses abscisses :
Pour chaque élément, on utilise des barres en acier de 200000 MPa d’une section carrée 3cm x 3cm
Pour notre problème ; on définit deux forces nodales et un chargement réparti
En définissant toutes les données du problème ; on obtient :
On obtient les résultats de déplacement à l’aide du logiciel ROBOT :

• Effort normal

• Effort tranchant

• Moment fléchissant
6 Chapitre 4 : Résolution du problème par MATLAB

On a établi un programme à l’aide de l’outil Matlab qui modélise et analyse les comportements des
portiques unidimensionnels soumis à des chargements concentriques ou répartis sous forme polynomiale.
Pour notre problème on a opté à suivre trois étapes sur Matlab qui sert :

1. La première étape : Créer une fonction qui donne la matrice de rigidité pour un élément.

2. La deuxième étape : Créer une fonction qui sert à assembler la matrice de rigidité pour chaque
élément afin d’obtenir notre matrice d’assemblage.

3. La troisième étape : résoudre notre problème et avoir notre vecteur de déplacement.


Les syntaxes du programme :

1. Le premier fichier :
Variable :
a= Module de plasticité E
A= l’aire
Ia= Indice d’inertie
1. Le deuxième fichier :
- Variables :
KG = Matrice d’assemblage
K = Matrice élément
i et j = indices vecteurs colonne et lignes

1. Le troisième fichier :
Dans ce fichier Matlab on a éliminé les lignes et les colonnes dont les composantes sont nulles. Puis
on a calculé le vecteur déplacement U=K/f
Résultat de la compilation

Vecteur déplacement
Matrice de rigidité K

Matrice d’assemblage KG
7 Chapitre 5 : Comparaison des résultats
Que ce soit manuellement, à l’aide de l’outil Matlab ou par le logiciel RDM6 et ROBOT ; nous avons
aboutis aux mêmes résultats avec une marge d’erreur due à la différence de précision après la virgule. Voici
des tableaux récapitulatifs qui nous permettront de faire une comparaison entre les différents outils de
calcul :

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