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Emma

Benoît-Joseph
Marie
Très chers auditeurs, aujourd’hui notre chronique est dédiée à l’évolution du nombre
d’espèce et de leur population face au changement climatique et ses conséquences.
Nous aurons donc comme inviter le biologiste Benoit-Joseph membre de l’UICN
(union internationale pour la conservation de la nature). va nous éclairer sur le
problème des espèces face à une modification du climat et sur les projections
possibles pour l’avenir.
Cher radio spectateur, pour que vous puissiez comprendre les effet du changement
climatiques, il faut savoir qu’a l’UICN on récence chaque année toutes les espèces
du monde et on établit ensuite une liste dite « rouge » qui nous souligne le nombre
d’espèces envoie de disparition et disparue afin d’avoir un ordre d’idée qu’en à l’état
du niveau de conservations de la biodiversité terrestre. Nous constatons que depuis
de plusieurs années de plus en plus d’espèces disparaisse, à notre plus grand
désarroi. En 2020, le recensement nous a révéler que sur 129.918 espèces, il y a eu
31 espèces qui ont officiellement disparu cette année-là. Ce qui est un chiffre
considérable. Parmi ces espèces qui sont en voit d’extinction, plusieurs font parties
des familles des amphibiens, des mammifères et des oiseaux. En effet, à partir de
1900 il y a un pic qui ne cesse de s’accroitre d’espèces qui disparaissent. En 2018, il
y a 2% des amphibiens qui ont disparue et 1,5% pour les mammifères et les oiseaux
par an depuis 2018. À l’heure actuel, ce phénomène s’est amplifié. Les plantes
également sont très toucher.
D’après le GIEC, leur projection nous annonce une disparition de 60% des plantes et
40% environ pour les espèces tels que les oiseaux, les mammifères, amphibiens et
reptiles d’ici 2080. Je vous ai parler à l’instant de la date ou les espèces ont
commencer à disparaitre drastiquement. Celle de 1900. Cette date est en corrélation
avec le développement des technologies, de l’industrialisation, responsable de
l’augmentation de la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Même
si à l’époque on ne connaissait pas l’influence du CO2.
Justement maintenant que vous abordez les causes de cette disparition de
l’écosystème, je vais demander à la climatologue, Marie de nous en dire un peu plus.
En effet, chers auditeurs l’augmentation des gaz à effet de serre amplifie le
phénomène du réchauffement climatique et fait augmenter la température terrestre.
Ainsi, ce réchauffement climatique menace les espèces qui ne sont pas habituer à
ces températures. On constate par exemple chez les tortues de luth que
l’augmentation de la température du sable dérègle le cycle d’éclosion des œufs. Les
œufs mal éclos dans des températures plus fraîches que celle des femelles. Ainsi, il
n’éclos plus que des œufs femelles. La perte de biodiversité est également due à la
surexploitation et la surpêche lie à la croissance démographique et à l’urbanisation.
L’extension des villes réduisent la superficie de l’écosystème qui abrite ses espèces.
Cela engendre également la disparition des espèces car elle non plus d’habitat
naturelle et de ressources.
Mais les espèces qui disparaissent sont-elles remplacées ?
Non pour la plupart l’es espèces qui disparaissent ne sont remplacées par aucune
équivalentes, et je dois rajouter que si certaines espèces disparaissent, celle-ci sont
remplacer par des espèces invasives qui sont peut appréciables et provoquant des
modifications importantes de l’écosystème tels que les moustique tigre, présent dans
58 départements. C’est un vrai problème car ça accentue le phénomène et ces
espèces se développe au détriment de la biodiversité local. De plus, ce moustique se
reproduit plus vite dans des températures chaudes et véhicule des maladies tel que
le paludisme.
Mais comment est-ce que cela pose des problèmes climatiques ?
Les conséquences de cette disparition c’est qu’on dérègle encore plus les cycle du
carbone car les plantes sont moins nombreuses et consomme moins de co2. De
plus, d’autre espèces dangereuses les remplacent et si les insectes disparaissent,
les plantes ne se reproduisent plus et le domaine de l’agriculture est donc en péril.
Chaque espèce est importante et s’il manque une espèce s’en ai d’autre qui sont en
danger car on a une coévolution.
Pour conclure chers auditeurs le changement du climat provoque la disparition de
certaines espèces ce qui va influer sur la biodiversité et potentiellement provoquer
une boucle de rétroaction positive accentuant le cercle vicieux du changement
climatiques.
Protégez votre planète et à la semaine prochaine avec un nouvel invitée sur RSVT.
(Radio SVT)

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