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La France et le Mondialisme
Les incompétents du pouvoir en France
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AZF, le procès : chronique de la thèse officielle
AZF : l’histoire d’une raison d’état
Les sept sacrifiés du mensonge
Clearstream : les affaires
Le système ABM, bouclier anti-missile
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06/12/2021 08:44 Le Projet TerraMar de Ghislaine Maxwell cachait la privatisation de l'eau et des océans - Geopolintel
Si l’on évoque Ghislaine Maxwell, on pense immédiatement à l’affaire du pédophile, maître chanteur
Epstein, qui travaillait pour plusieurs Etats, avec la complicité des services secrets.
Les dirigeants qui ne peuvent refuser l’irrésistible marche vers le Nouvel Ordre Mondial, se sont fait
prendre dans les mailles d’Epstein, mais aussi de Maxwell.
Son projet TerraMar, co-financé par l’ONU et Davos, était tout
simplement la volonté de placer cette
« Blue Economie » afin de privatiser l’eau et la pêche, pour mieux spéculer sur nos futures denrées
alimentaires.
La démographie
galopante, selon l’OMC, est coupable de la pollution, du dérèglement climatique, et force
les industriels à utiliser des produits dangereux pour « leur » nature.
Comme ils se prennent pour des Dieux, ils ont décidé de créer leur « Jardin d’Eden » où Eve et Adan
devront payer pour respirer, manger, boire et se déplacer.
Ces dingues ont déjà commencé la purge avec la campagne
eugéniste de la vaccination, pour contrôler la
future démographie mondiale, tel un élevage de saumon de Norvège.
Notre identité deviendra le futur étalon financier.
Des idées novatrices, de nouvelles solutions, des débats sérieux, audacieux et imaginatifs sur l’avenir de
l’océan. Un forum actif d’idées inattendues, d’opinions, d’idées, de propositions de changement dans la
politique et l’action relatives aux océans dans le monde entier. https://medium.com/world-ocean-foru...
[https://medium.com/world-ocean-forum/about]
Intervenants :
[https://worldoceanobservatory.org/content/sponsors-world-ocean-observatory]
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Donc l’affaire Epstein est bien plus qu’une affaire de moeurs, il faut la mettre en relation avec tous les
projets de Bill Gates, et d’autres...
Janicki Omniprocessor
Il y a un mois, une bombe était lancée sur le marché financier des États-Unis :
l’opérateur boursier Chicago Mercantile Exchange, principale entreprise au monde de
bourse d’échange de marché à terme introduisait les contrats à court terme sur l’eau.
Ces contrats, basés sur l’index « Nasdaq Veles California Water Index » sont les
premiers d’un tout nouveau marché qui se crée. Mais comment un bien, essentiel à la
vie de tout individu, est devenu un placement financier juteux ?
De toutes les ressources, jamais nous n’aurions pensé à ce que l’eau devienne un bien
exploitable sur les marchés. Tout comme l’air, l’eau a toujours été désignée comme
un bien naturel commun. Un bien commun est un bien rival – car sa consommation
par un individu empêche la consommation d’un autre – ainsi qu’excluable – ce qui
signifie qu’il existe des barrières et des règles au niveau de sa consommation. L’eau,
d’après la définition du 28 juillet 2010 de l’Assemblée Générale de l’Organisation des
Nations Unies jouit d’un statut particulier : « le droit à une eau potable propre et de
qualité et à des installations sanitaires est un droit de l’homme, indispensable à la
pleine jouissance du droit à la vie. ».
L’eau, au même titre que l’air, devrait être un bien commun. Mais l’augmentation
constante de la population, qui atteindra 10 milliards en 2050, entraîne des
conséquences dramatiques : selon l’Organisation des Nations Unies, d’ici 2025, deux
tiers de la population mondiale se trouveront en situation de stress hydrique, période
pendant laquelle la demande dépasse la quantité d’eau disponible. En attendant, un
tiers de la population mondiale n’a toujours pas accès à l’eau potable. Cette ressource
devient donc d’une rareté inestimable, ce qui attire les convoitises.
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C’est un point de vue que partagent certains investisseurs ; ainsi, l’excuse de Water
Find, la première bourse au monde d’achat et de vente de l’eau ou encore de la
banque CitiGroup, concernant la privatisation de l’eau est la même : les individus
doivent réaliser que l’eau devient une ressource rare qu’il faut protéger. Pour éviter de
gâcher l’eau, il est nécessaire de mettre un prix ; ce prix déterminera la valeur de l’eau
et permettra aux individus de se rendre compte de l’importance de ce bien. Cette
pensée peut être résumée par la phrase de Willem Buiter, conseiller économique de
Citigroup dans le documentaire Main basse sur l’eau, réalisé par Jérôme Fritel en
2018 : « ce n’est pas parce que l’eau est la vie qu’elle ne doit pas avoir un prix. »
Cette nouvelle façon de penser a connu une résonance importante sur les marchés
financiers. Cette idée de privatisation est apparue dans un premier temps, en
Angleterre, sous la gouvernance de Margaret Thatcher. C’est à partir de 1989 que le
gouvernement britannique décide de privatiser l’eau. Les fonds d’investissements
commencent à s’intéresser à ce nouveau marché.
Ainsi, en 2006, Thames Water, une entreprise chargée de la gestion de l’eau potable et
des eaux usées de Londres est rachetée par un fond d’investissement de la banque
australienne Macquarie. Ce fond d’investissement est un fond dit vautour : il se
spécialise dans l’achat à bas prix de dettes émises par des débiteurs en difficulté. Le
fond va cibler une entreprise cotée en bourse, en rachetant des actions afin de pouvoir
intervenir sur sa stratégie et imposer sa décision par la suite. C’est ainsi ce qui s’est
produit pour l’entreprise Thames Water. Enfin, ce fond d’investissement étant
temporaire, le but est de réaliser une plus-value, et de verser un maximum de
dividendes aux actionnaires de ce fond. Le fond vautour Macquarie a donc laissé sur le
marché, en disparaissant, une dette bien plus grande à la compagnie, de plus de 50
milliards d’euros. Cette dette a été ensuite transférée sur le compte de Thames Water
par un jeu financier bien rôdé. Ainsi, ces milliards d’euros ne devront pas être
remboursés par les actionnaires du fond vautour mais bien par les consommateurs
britanniques. Ce modèle de privatisation a été repris dans d’autres pays, notamment
l’Australie, grâce au Water Act de 2007. Il s’agit de la création d’un marché des droits
d’accès à l’eau. Le gouvernement fixe le volume d’extraction autorisé et les détenteurs
de droits d’eau peuvent échanger leurs droits sur un marché.
C’est dans ce pays que naissent les principaux acteurs de cette privatisation. Ainsi,
Water Find, la première bourse au monde d’achat et de vente de l’eau avec comme
unité le mégalitre est créée en 2003. Cette bourse agit sur le marché australien
comme un médiateur entre les consommateurs et le marché. Grâce à une application
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mobile, elle prévient les acheteurs et les vendeurs du prix de l’eau ainsi que de son
évolution.
Cet index, connu comme NQH20 est le premier à déterminer le véritable prix de l’eau
en Californie, en se concentrant sur cinq marchés de l’eau différents de la région. Il
représente le prix moyen de l’eau en fonction du volume, sans prendre en compte les
pertes d’eau et autres coûts. Ainsi, il était de 703. 48 le 17 juin 2020 pour
redescendre à 488. 83 le 14 octobre 2020. Il varie notamment en fonction des
conditions météorologiques : la pluie baissera le prix alors que la sécheresse
l’augmentera. C’est sur cet index que la Californie a décidé d’intégrer, elle aussi, le
marché financier de l’eau. Ceci a notamment été rendu possible grâce à la loi Sigma
qui a décidé d’imposer des quotas pour contrôler la consommation de l’eau de cette
région, la première à consommer de l’eau aux États-Unis. Ainsi, une entrée en bourse
est nécessaire pour que le marché des quotas sur l’eau prospère.
En France, le marché de l’eau en bouteille est aussi très concentré : c’est un marché de
monopoles, qui a laissé la place à trois grands groupes : Neptune, Nestlé Water et
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Danone. Ces groupes concentrent 76% d’un marché juteux car quatre verres d’eau
consommés sur dix proviennent d’une eau en bouteille.
Il est clair que les marchés autour de l’eau ne sont que très rarement concurrentiels.
De surcroît, la privatisation de l’eau ne va pas entraîner une concurrence pure et
parfaite ; en effet, seuls les grands géants de l’agriculture, par exemple, vont trouver
les moyens de payer l’eau nécessaire à leurs cultures. L’entreprise australienne
Webster l’a bien compris ; première productrice d’amande du pays, elle est
propriétaire de l’eau avec un stock d’une valeur de 200 millions d’euros. Plus l’eau
sera rare, plus il sera difficile de s’en procurer, plus les entreprises auront du mal à
rentrer sur un marché où des monopoles ont déjà été créés. L’aspect concurrentiel est
donc biaisé. Le nouveau conflit entre Veolia et Suez nous montre que la privatisation
de l’eau est un enjeu essentiel. La fusion que Veolia envisage avec Suez, dont Engie
est la maison mère, souligne que les monopoles sont de plus en plus courants dans
ces nouveaux marchés.
L’introduction en bourse de contrats à court terme sur l’eau est un premier voyant
d’un futur basé sur la privatisation de l’eau. Les économistes néoclassiques, en
spéculant sur les conditions climatiques et sur l’augmentation de la population, ont
compris l’importance de cette ressource, vitale à la vie de chaque individu sur Terre.
L’eau est en passe de devenir le nouvel or noir du 21e siècle. Tout de même, certains
économistes se battent pour la gratuité et contre la marchandisation de bien comme
l’eau. Il s’agit des partisans du modèle de la décroissance. Le principal argument est
de montrer que les ressources planétaires sont limitées et donc que la croissance, telle
qu’elle est mise en avant aujourd’hui, est menacée.
Cette privatisation de l’eau pourrait entraîner des conséquences dramatiques sur la vie
de milliards d’êtres humains. Défendre ce droit d’accès à l’eau semble plus vital que
jamais.
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