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Les parties d’une introduction de dissertation

L’introduction d’une dissertation permet de poser le sujet et d’exposer le problème


auquel vous allez répondre dans le développement.

L’introduction d’une dissertation ne doit pas être trop longue (10 à 15 lignes) et est
censée s’adresser à un lecteur qui ignore le sujet.

Elle doit comporter :

 Une phrase d’accroche (amorce) ;
 L’énoncé du sujet ;
 La définition termes et reformulation du sujet ;
 Une problématique ;
 L’annonce du plan.

Rédiger un développement de dissertation


Le développement du devoir s’articule en parties ; mais l’élément de base de la rédaction est le paragraphe.
Passez toujours deux lignes entre l’introduction et le développement, le développement et la conclusion ;
passez une ligne entre deux parties du développement. À la fin de chaque paragraphe, passez à la ligne et
commencez en retrait le paragraphe suivant, sans jamais passer de ligne.

Un développement comprend toujours des parties, ces parties comprennent toujours des paragraphes. Vous
pouvez, mais ce n’est pas une obligation, rédiger pour chaque partie une introduction de partie et une
conclusion de partie ; entre deux parties doit toujours figurer une transition.

Le développement du devoir doit être directement écrit au propre : vous n’auriez pas le temps de faire un
brouillon.

Les différentes parties d’une conclusion de


dissertation
La conclusion d’une dissertation est une synthèse du développement. Il faudra
clairement indiquer la réponse à la problématique de l’introduction.

La conclusion d’une dissertation est donc composée de plusieurs éléments :

 Le rappel de la problématique.
 Le bilan (synthèse) des arguments des parties du développement.
 La réponse à la problématique de l’introduction.
 Une ouverture.

Le travail est-il aliénant ?


Employés qui poussent certains à démissionner. L’entreprise e Selon Pierre Simon
Ballanche : « le succès est un chemin que la patience et le travail rendent accessible »
Pourtant, certains pensent que le travail est aliénant ? Pour d’ébattre ce sujet nous allons
commencer par définir le mot travail. Selon le dictionnaire le travail est l’activité de l’homme
appliqué à la production, à la création, à l’entretien de quelque chose. On pense parfois que
travailler est une forme d’esclavage. On se demande alors :le travail est-il une aliénation ou
une délivrance. Dans la présente étude, nous allons d’abord recueillir les arguments de ceux
qui avancent la servilité du travail. Ensuite, nous abonderons la thèse de se qui assure qu’au
contraire, le travail est une délivrance.

Concernant, la thèse qui soutient l’idée que le travail est une souffrance nous trouvons
Simon Weil qui est institutrice de collège est qui a fait l’expérience de travailler dans des
usines on France au XXe siècle. Elle a découvert la souffrance des ouvrières et surtout des
ouvrières qui passaient de longues heures à faire un travail fatiguant devant des machines
monstrueuses. Cette expérience douloureuse lui a donné des maux de tête et elle est morte
jeune à l’âge de 34 ans. Son livre la condition ouvrière est une série de lettres adressées à des
amis dans lesquelles elle décrit le condition infernal du travail dans les usines de l’époque .Son
objectif est de militait pour des conditions humains pour les ouvriers .

Michel Vinaver dans son roman Par-dessus Bord relate sa vie professionnelle dans une
entreprise française qui fabrique le papier toilette. Il décrit les relations conflictuelles entre les
employés. L’entreprise elle-même court le risque de la faillite en raison de la concurrence American.
Ce rythme de vie infernale va pousser Vinaver à quitter l’entreprise pour se consacrer à son activité
favorite qui est le théâtre.

Cependant, d’autre penseur assure que le travail est au contraire une délivrance. Nous
trouvons ainsi l’auteur Virgil 70 av. J.-C qui assure que c’est Jupiter qui a rendu le travail de
la terre difficile pour amener les gans a déployer leur ingéniosité afin de venir à bout des
obstacles. Ainsi, malgré l’aridité de la terre et aux aléas du climat, les animaux qui ravagent
les champs et les maladies contagieuse les hommes doivent faire un travail acharne pour
vaincre les difficultés et c’est se qui montre leur valeur.
De même Voltaire dans son compte philosophique « Candide » trace la vie d’un
personnage qui parcourt le monde entier à la recherche du bonheur et d’un sens à la vie il
découvre l’esclavage, la guerre le tremblement de la terre est fini par être convaincu que le
bonheur réside dans le travail qui éloigne de l’homme trois grands maux : l’ennui, le vis et le
besoin. Candide achète une métairie est dit à son philosophe Pangloss : « Cultivons notre
jardin ».

On déduit alors que les à vis sont partagés entre les partisans du travail et les détracteurs
et que certains y voient une indépendance et une preuve de courage alors que d’autre
l’assimilent à la souffrance et à l’aliénation.
Cependant ne peut-on pas faire du travail un plaisir en exertion une activité qu’on aime
comme dit Confucius « Choisissez que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul
jour de votre vie  

Exemples de sujets de dissertation

Travailler rend-il libre ?

Le travail est-il aliénant ?


L'homme peut-il se contenter de travailler en vue du seul gain ?

Le travail peut-il être pour l'homme autre chose que le moyen de subvenir à ses besoins ?

Pourquoi parler du travail comme d'un droit ?

Faut-il renoncer à faire du travail une valeur ?

La liberté humaine est-elle limitée par la nécessité de travailler ?

Le travail contribue-t-il à unir les hommes ou à les diviser ?

Est-il toujours possible de faire la différence entre travail et divertissement ?

Le travail n'est-il pour l'homme qu'un moyen de subvenir à ses besoins ?

L'homme doit-il craindre que la machine travaille pour lui ?

L'homme peut-il se contenter de travailler en vue du seul gain ?

L'inégale puissance de travail des hommes est-elle source d'injustice ?

Est-on moralement obligé de travailler ?

Le travail a-t-il une valeur morale ?

Gagne-t-on sa vie en travaillant ?

Travailler, est-ce seulement mettre en œuvre une technique ?

Peut-on dire que "tout travaille à faire un homme en même temps qu'une chose" ?

Peut-on opposer le travail au loisir ?

Quel est le sens du travail ?

Y a-t-il un travail de l'artiste ?

Le travail permet-il à l'homme de devenir une personne ?

Des citations d’auteurs sur le travail


Le travail = le bonheur
«  Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à
travailler un seul jour de votre vie  » Confucius

«  Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le


besoin.  »  Voltaire

«  Le succès est un chemin que la patience et le travail rendent


accessible  »  Pierre-Simon Ballanche

«  Le travail fait le bonheur, il est compagnon de la vertu, du repos,


de l’abondance.  » Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre

«  Malheureux celui qui ne connaît pas le charme du travail ! il ne


connaîtra que trop tôt le dégoût des plaisirs.  » Gaston de lévis

«  Travail, noble soutien de l’indépendance, seul bien que l’injustice


des hommes ne saurait nous ravir, tu nous délivres du malheur de
l’oisiveté, et tu nous fais goûter les douceurs du repos.  » Gaston de
lévis

Le travail = le malheur
 Le travail est la plaie des classes qui boivent. [Oscar Wilde]
 Une société fondée sur le travail ne rêve que de repos. [L. Langanesi]
 Le propre du travail, c’est d’être forcé. [Alain]
 Le seul lieu où le « succès » précède le « travail » est le
dictionnaire. [Vidal Sassoon]

Explication des citations


Le travail = le bonheur
«  Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de
votre vie  » Confucius

Lorsqu’on fait le travail qu’on aime, on le fait avec le plaisir et on est heureux de le
faire. C’est pourquoi, il faut toujours choisir un travail qui nous plait.

«  Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin.  »  Voltaire

L’homme qui travaille ne s’ennuie jamais car il est occupé. En plus, il n’a pas de temps
pour faire de mauvaises choses et prendre de mauvaises habitudes. Enfin, celui qui a un
métier perçoit un salaire ou un rendement qui lui permettent d’assurer ses besoins.

«  Le succès est un chemin que la patience et le travail rendent accessible  »  Pierre-


Simon Ballanche

Par la patience face aux difficultés et l’acharnement au travail, le succès est assuré.

«  Le travail fait le bonheur, il est compagnon de la vertu, du repos, de


l’abondance.  » Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre

Le bonheur réside dans le travail car il permet l’abondance en permettant d’acquérir des
biens et c’est une activité honnête

«  Malheureux celui qui ne connaît pas le charme du travail ! il ne connaîtra que trop
tôt le dégoût des plaisirs.  » Gaston de Lévis

Celui qui ne travaille pas et ne connait pas le plaisir de travailler sera dégouté de tous les
plaisirs et nous trouvera goût n’a rien.

«  Travail, noble soutien de l’indépendance, seul bien que l’injustice des hommes ne
saurait nous ravir, tu nous délivres du malheur de l’oisiveté, et tu nous fais goûter les
douceurs du repos.  » Gaston de Lévis

Le travail permet à l’homme d’être indépendant car il n’a pas besoin des autres
pour vivre. En plus, il nous permet d’être actif et d’apprécier la valeur du repos .

Le travail= le malheur
 Le travail est la plaie des classes qui boivent. [Oscar
Wilde]
Le travail constitue une souffrance pour la classe ouvrière
 Une société fondée sur le travail ne rêve que de repos. [L.
Langanesi]
Le seul rêve de tous les gens d’une société qui travaille
beaucoup est d’avoir un peu de repos. Le repos devient un
rêve et un luxe.
 Le propre du travail, c’est d’être forcé. [Alain]
La nature même du travail c’est d’être obligatoire et on le fait
malgré soi
 Le seul lieu où le « succès » précède le « travail » est le
dictionnaire. [Vidal Sassoon]
Il faut toujours travailler durement pour avoir le succès et la
réussite

Le travail a-t-il une valeur morale ?


Introduction :

«  Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le


besoin.  »  Voltaire pense donc que l’homme qui travaille ne s’ennuie jamais car
il est occupé. En plus, il n’a pas de temps pour faire de mauvaises choses et
prendre de mauvaises habitudes. Enfin, celui qui a un métier perçoit un salaire
ou un rendement qui lui permettent d’assurer ses besoins. Ainsi Voltaire
reconnait que le travail permet le gain matériel.
Beaucoup de gens définissent le travail comme une activité obligatoire pour
avoir un rendement qui nous permet de subvenir à nos besoins est que donc
c’est une forme d’esclavage. D’autres lui attribuent d’autre qualités. La question
qui se pose alors est la suivante : Dans quelle mesure peut-on dire que le travail
a une valeur morale qui constitue un vrai bonheur ?
Dans La Condition Ouvrière de Simone Weil, Les Géorgiques de Virgile et Par-
dessus bord de Michel Vinaver le travail est présenté comme une souffrance est
une aliénation, mais il a aussi une valeur morale car on peut s’y épanouir et y
trouver notre bonheur.

Développement :

Une certaine catégorie de gens assure que le travail est un vrai bonheur qui
permet d’acquérir des qualités et d’éviter un certain nombre de vices et de
défauts.

En effet, grâce au travail, on peut mettre on pratique les théories et les idées
que nous avons en tête afin d’en vérifier la véracité c’est le cas de Simone Weil
qui reconnait dans une lettre adressée a une ancienne élevé que grâce au travail,
elle échappe aux abstractions de la philosophie et de l’intellectualité en
travaillant dans les usines.

En plus, le travail procure la fierté et le bonheur de contribuer à la réalisation


d’une œuvre collective. C’est le cas dans le roman de Michel Vinaver après la
réussite de toute l’équipe à sauver la société du danger de la concurrence
American.

Puis, le travail est non seulement une source de plaisir et de bonheur, il est
aussi un principe vital comme le signifie Passemar dans l’œuvre de Vinaver : « On
dit que le taux de mortalité des gens à partir du moment où on les met à la
retraite grimpe d’une façon vertigineuse.

Néanmoins, d’autres personnes affirment que le travail est une forme


d’esclavage et d’aliénation. Pour eux, le travail est forcé et répond à une
nécessité vitale.

D’un côté, ils s’expliquent que l’organisation du travail est parfois inhumaine
comme l’affirme Simone Weil dans La Condition Ouvrières. Elle démontre que la
parcellisation des tâches, isolement des ouvriers et l’effort de concentration sur
la tâche à exécuter aliènent les ouvriers.
D’un autre côté, le travail requiert un grand effort de la part de l’ouvrier
comme explique Virgil dans Les Géorgiques. L’auteur assure que l’activité
laborieuse est rendue difficile par les contraintes imposes à l’homme par la
nature et que le travail prend la forme d’une lutte qui s’engage entre le laboureur
et la terre hostile.

Enfin, pour sauvegarder son travail et son gagnant pain, on n’est parfois
obligé de mener une lutte sans merci. C’est le cas des employés dans le roman
de Michel Vinaver Par-dessus bord où les actions menées par le personnel de
l’entreprise contre les concurrents s’apparentent à une vraie guerre. Le travail
devient alors une torture et une souffrance

Ainsi, le travail par son aspect forcé, fatiguant et utilitaire devient


une sorte de servitude que l’homme se voit obligé de subir pour
subsister.

Pour clore, le travail est perçu par certain comme une délivrance
de la nécessité et une affirmation de soi pendant que d’autre n’y
voient que de la souffrance et de la servitude. Toutefois, il faut
admettre que c’est l’effort fourni qui procure le plaisir du résultat,
sans oublier que cet effort lui-même constitue un vrai plaisir car il
permet de se dépasser et de prouver ses capacités en plus du
bonheur d’être utile à la société.

Ainsi, Simone Weil a avoué éprouver un grand plaisir en mettant


en exécution ses connaissances théoriques même si le milieu de
l’usine est pénible.

Le travail et autrui
Citations d’auteurs
1-"L'individualisme est la source de tous les maux de la
société." - Albert Schweitzer
2- "Le travail en équipe divise les tâches et multiplie les
succès." - Auteur anonyme

3-"Le respect est la première des devoirs envers les autres."


– Confucius

4- "La coopération augmente la force." - Proverbe africain

5-"Le bonheur sur le lieu de travail dépend des relations que


vous construisez avec les autres." - Stephen Covey

6-"Le succès d'une entreprise dépend de la capacité de ses


employés à travailler ensemble vers un objectif commun."
- H. Ross Perot

7-"Les relations positives au travail conduisent à un


environnement de travail sain et à un meilleur rendement."
- Dale Carnegie.

Sujet
"Le bonheur sur le
lieu de travail
dépend des
relations que vous
construisez avec les
autres." - Stephen
Corey

Introduction
"Les relations positives au travail conduisent à un environnement de
travail sain et à un meilleur rendement." - Dale Carnegie.

Dans ces deux citations, les deux auteurs assurent que les relations dans
le lieu du travail doivent être favorables pour assurer un bon rendement
et permettre l’épanouissement de l’employé. Dans quelle mesure peut-
on dire que le travail permet de bonnes relations entre les employés ?

Pour beaucoup d’auteurs comme Simone Weil dans La Condition


ouvrière, Les Géorgiques de Virgil et Par -dessous bord de Michel Vinaver
les relations entre les employés se caractérisent certes parfois par le
conflit et la concurrence, mais ce n’est pas toujours le cas, on peut aussi
être solidaire et constituer une même famille.

Développement
Concernant les rapports conflictuels dans le milieu du travail, Simone
Weil explique que la solitude de l’ouvrier et sa séparation de ses
semblables est due à la rationalisation du travail, à la parcellisation(‫)التجزئة‬
des tâches occasionnées par la taylorisation. Ainsi, les jalousies et les
rivalités l’emportent sur la sympathie et la solidarité. En effet, les rapports
entre les ouvriers et les chefs sont tendus et crispés. Tyrannique(‫)سلطوية‬,
les supérieurs humilient(‫ )إهانة‬leurs subordonnés. La condition de la
femme est pire car elle est doublements humiliés par les chefs et par les
hommes machistes (‫)عنصرية ضد نساء‬. Quant à Virgil dans Les Géorgiques, il
assure que l’homme doit se soumettre à la volonté des dieux par des
offrandes et Virgil lui-même montre sa soumission à son protecteur
Mécène à qui il rend hommage ; et il s’escrime à exécuter ses ordres. De
même, il exhorte les Romains à s’unir autour de leur empereur dans le
but de préserver l’unité de l’empire. Dans la même optique Michel
Vinaver démontre dans son roman que les rapports au sein de
l’entreprise sont parfois tendus et conflictuels. Il en est ainsi de la relation
d’hostilité et de jalousie entre madame Bachevski et madame Alvarez.
Dutôt, le chef des ventes est renvoyé par Fernand Dehaze. D’autres
relations finissent par le divorce comme Margerie et son mari Benoit.
Ainsi, pour ces trois auteurs, dans le milieu du travail, les valeurs de
solidarité et d’entraide s’estompent(s’effacent) et la jalousie, la suspicion
(le doute) et la rivalité s’installent.

Toutefois, les mêmes auteurs s’accordent à dire que parfois le milieu du


travail offre l’occasion pour des rapports positifs entre ouvriers.

En effet, Simone Weil assure dans son ouvrage que malgré les
circonstances déplorables de l’usine, le travail est un moyen d’établir la
fraternité entre les hommes et le philosophe propose d’établir une boite
a suggestion qui permettrait au travailleur de communiquer avec la
direction et surtout de faire par de leurs doléances. De même, elle note
que l’on peut rencontrer des ouvriers bienveillants comme le magasinier
du magasin à outils. Elle note qu’il y a une lueur d’espoir dans l’univers
de l’usine et que le cœur de l’ouvriers garde toujours un brin de g
générosité. La bonté des ouvriers est illustrer dans les trois lettres à
Albertine Thevenon.

Dans la même optique, Virgil dans les géorgique assure que le rapport
a autrui ne pose aucun probleme parce que le travail de l’éleveur et de
laboureur n’est pas collectif ; par conséquent le travailleur n’a pas de
supérieur hiérarchique. Ainsi le travail ne génère pas de tension avec
autrui. De même, Virgile illustre l’harmonie qui règne au sein de la cité
grâce au travail par la vie collective dans la ruche d’abeille. En effet, à
l’instar des abeilles, le laboureur est un héros qui endure avec constance
la souffrance, la fatigue et la douleur pour subvenir au besoin de sa
famille, de ses compatriotes et de ses animaux. Donc, l’harmonie et
l’amour dominent la relation entre le paysan et sa famille et ses
compatriotes car le travail dissipe les discordes et les conflits entre les
membres de la communauté.

Dans le même esprit, Michel Vinaver Dans par-dessus bord présente


des employés de l’entreprise Ravoire et Dehaze qui ont une relation
familiale puisque Fernand Dehaze est le père d’Olivier et Benoit et que
Margerie est l’épouse de Benoit. De même, dans la salle de fête où se
tient la réunion du personnel de l’entreprise, Fernand Dehaze compare la
vie au sein de l’entreprise à la vie au sein de la famille signifiant que les
relations entres les employés sont fondes sur la fraternité et la
convivialité. Cet esprit de famille est confirmé par le mariage d’Ales avec
Jiji (fille de Lubin). Pour sa part, Young assiste sur l’esprit de famille en
parlant de l’union de l’entreprise United Paper Company et l’entreprise
Ravoir et Dehaze car même la concurrence qui les oppose est
solutionnée à la fin de la pièce par la fusion des deux entreprises.

Pour conclure cette partie, nous pouvons dire que les trois œuvres
soulignent la positivité des relations humains malgré les conditions
difficile du travail. L’espoir reste de mise.

En guise de conclusion et à la lumière de ce qui précède, nous pouvons


affirmer que le travail permet de bonnes relations entre les
employés malgré les mauvaises conditions qui peuvent parfois entraver
« gêner » l’employé, l’ouvrier ou le laboureur et qui sont du au climat ou
à la concurrence. Et comme dit Dale Carnegie « Les relations positives
au travail conduisent à un environnement de travail sain et à un
meilleur rendement ».
Expression pour enchainer et introduire un nouvel dans la même partie

 Dans le même esprit


 Dans le même cadre
 Dans le même objectif
 Selon la même approche
 De la même manière
 Sur la même ligne
 Conformément à la même idée
 En accord avec la même perspective
 Avec la même intention

Transition pour enchainer une conclusion partielle

1. En conclusion, il est clair que...


2. Pour résumer, nous avons vu que...
3. En somme, nous pouvons conclure que...
4. Pour conclure cette partie, nous pouvons dire que...
5. En fin de compte, il ressort que..

Transition pour enchainer une conclusion générale

 En somme,
 Pour conclure,
 En résumé,
 En fin de compte,
 En définitive,
 En guise de conclusion,
 En récapitulation,
 Tout bien considéré,
 En dernier lieu,
 En conclusion de ce qui précède,
 Pour terminer,
 En un mot,
 En deux mots,
 En bref,
 En définitive,
 Pour résumer,
 En gros,
 Pour récapituler,
 En conclusion,
 En finalité.
Le travail et l’art :

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