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I.2 - Organisation .
Une trentaine d’heures de cours par semaine, des cours à comprendre et à apprendre, des colles (inter-
rogation orales), des devoirs surveillés, des TP...la quantité de travail demandée est importante, mais reste
raisonnable avec une bonne organisation. L’encadrement, le soutien des professeurs, de la vie scolaire et le
contrôle continu vous aideront à assurer un travail régulier
Organisez votre travail, répartissez le de façon homogène, évitez les « coups de collier» sans lendemain,
afin d’être efficace toute la semaine. Les temps de cours, de travaux dirigés et de TP, pour être fructueux,
doivent être préparés et suivis avec attention et de façon active.
La répartition de votre travail ne doit pas négliger les matières considérées à tort comme « secondaires»(langues
étrangères, français....) qui vous permettront de faire la difference aux concours : 1 point de moyenne aux
concours peut représenter jusqu’à 500 places dans le classement. Répartissez votre temps selon vos points
forts et vos lacunes.
I.3 - Confiance.
Ayez confiance en vous : la selection des dossiers, faire à l’entrée en classe préparatoire, et les besoins
actuels de la société en ingénieurs et en cadres commerciaux sont tels que tout élève entrant en prépa peut
assurément intégrer une grande école s’il en a la volonté. Les concours consistent plus en une répartition
des candidats sur les différentes écoles qu’en une selection par elimination. Cela ne s’appliquent s’applique
qu’aux élèves faisant preuve du plus grand sérieux et de la plus grande régularité dans leur travail.
Corrélativement, faites confiance à vos professeurs : leur seule préoccupation est d’amener chacun à son
meilleur niveau. Suivrez leurs conseils, ils seront toujours disponibles pour vous guider dans votre orien-
tation et dans votre travail.
les barèmes d’évaluations, les notations, ne sont pas fondées sur la même échelle que pour une classe prépa-
rant à un examen. L’appréciation des résultats scolaires demande une relecture dans l’esprit des concours :
la sacro-sainte moyenne à 10/20 n’a guère de sens ...Là encore, soyez confiants dans vos professeurs.
Ne jouez pas la compétition au sein de votre classe : elle est sterile et ridicule. la compétition aura lieu aux
concours, à l’échelle nationale et de façon impersonnelle. Au contraire, une classe soudée fournira un cadre
motivant et stimulant pour chacun. Travaillez en groupes, échangez vos idées sur le cours, les devoirs.Vous
retrouverez cette pratique dans les Grandes Écoles.
Profitez de vos jours de congé. La détente fait partie de travail : elle permet d’être plus efficace et d’éviter le
surmenage. Profitez aussi de vos vacances. Avant d’entrer en prépa : lisez, faites des séjours linguistiques...
et reposez-vos pour attaquer l’année en pleine forme.
MPSI Chap. 0 - Rédaction et raisonnements 2
II Propositions logiques
II.1 - Négation, conjonction et disjonction.
On appelle proposition un énoncé mathématique qui peut être vrai ou faux.
Exemples : 1. «1 + 1 = 2» est une proposition vraie.
2. «7 est un entier pair» est une proposition fausse.
Remarque : Quand on demande par exemple dans une question de montrer que la suite (un ) est crois-
sante, on demande en fait de montrer que la proposition « la suite (un ) est croissante » est
vraie.
Quand on suppose par exemple dans une démonstration que l’entier k est pair, on suppose
en fait que la proposition « k est pair » est vraie.
Définition 1. Négation
A une proposition P, on peut associer sa négation notée k P qui est vraie si P est fausse et fausse si
P est vraie.
Définition 2. Conjonction
A deux propositions P et Q, on peut associer la conjonction de P et Q notée ( P et Q) qui est vraie si
les deux propositions P et Q sont vraies et fausse si l’une au moins des deux propositions P ou Q est
fausse.
Définition 3. Disjonction
A deux propositions P et Q, on peut associer la disjonction ( P ou Q) qui est vraie si l’une au moins
des deux propositions P ou Q est vraie et fausse si les deux propositions P et Q sont fausses.
Remarque : Le «ou» considéré ici est un «ou» non exclusif. La proposition ( P ou Q) est vraie si l’une au
moins des deux propositions P ou Q est vraie et non si exactement une des propositions est
vraie.
II.2 - Implication et équivalence.
Définition 4. Implication
A deux propositions P et Q, on peut associer la proposition P =⇒ Q qui est vraie si P est fausse ou
si P est vraie et Q fausse et fausse si P est vraie et Q fausse.
Définition 5. Equivalence
A deux propositions P et Q, on peut associer la proposition P ⇐⇒ Q qui est vraie si P et Q sont
vraies ou si P et Q sont fausses et qui est fausse sinon.
Exercice .1.
Soit x ∈ R. La proposition «x > 1» est-elle une condition nécessaire de la proposition «x2 + x + 2 >
3» ? Même question avec suffisante.
Exercice .2.
On peut construire des propositions logiques (vraies ou fausses) à l’aide de ces quantificateurs.
Exemples : 1. «∀ x ∈ R, x2 > 0» est une proposition vraie,
2. «∃n ∈ N, n < 0» est fausse,
3. «∀r ∈ Q, ∃ p ∈ N, pr ∈ Z» est vraie,
4. «∃n ∈ N, ∀ x ∈ R, x 6 n» est fausse.
5. Soient f et g deux fonctions de R dans R. Alors f = g ⇐⇒ ∀ x ∈ R, f ( x) = g( x).
Remarque : Ordre des quantificateurs .
L’ordre des quantificateurs est important : on ne peut pas permuter un ∀ et un ∃ sans
changer le sens de la proposition. Par contre, on peut changer l’ordre de plusieurs ∀ qui se
suivent ou de plusieurs ∃ qui se suivent.
Exemple : On se convaincra de la pertinence de la remarque précédente en comparant les deux pro-
positions suivantes (on note H l’ensemble des hommes et F celui des femmes) :
∀h ∈ H, ∃ f ∈ F, f est la mère de h
autrement dit «tout homme à une mère» et
∃ f ∈ F, ∀h ∈ H, f est la mère de h
autrement dit «il existe une mère de tous les hommes».
Exercice .3.
Traduire en toutes lettres les huit propositions suivantes lorsque x désigne un individu, y un film et
que p( x, y) est la proposition « L’individu x a vu le film y ».
1. ∀ x, ∀ y, p( x, y) ; 3. ∃ y, ∀ x, p( x, y) ; 5. ∃ x, ∃ y, p( x, y) ; 7. ∀ y, ∃ x, p( x, y).
2. ∃ x, ∀ y, p( x, y) ; 4. ∀ x, ∃ y, p( x, y) ; 6. ∃ y, ∃ x, p( x, y) ;
Exercice .4.
Soit f une fonction de R dans R. Écrire à l’aide de quantificateurs les propositions suivantes :
L’essentiel dans cet encadré et dans les suivants , c’est la distinction «réfléchir/ ne pas réfléchir». Les
modèles de rédactions proposés ici doivent devenir des réflexes. Vous ne pourrez pas vous en sortir en
Mathématiques tant que cela ne sera pas le cas.
x 1
Exemple : Montrer que : ∀ x ∈ R : 6 .
x2 + 1 2
La difficulté, bien sûr, ne consiste souvent pas à vérifier que x a la propriété P , mais à avoir l’idée d’un
tel objet x. Il n’existe pas de règle générale pour avoir des idées.
Exemple : Montrer que : ∀ x, y ∈ R, ∃ z ∈ R : z > x + y.
Montrer «P =⇒ Q»
Quand on veut montrer que «P =⇒ Q» est vraie , on écrit sans réfléchir :
Supposons P est vraie, montrons que
o Q est vraie.
.. Preuve de Q .
.
Montrer «E = F»
Quand on veut montrer que «E = F» est vraie , deux possibilités :
— soit on raisonne par double inclusion :
⇒) Soit x ∈ E . Montrons que x ∈ F.o
.. Preuve que x ∈ F .
.
⇐) Réciproquement,soit x ∈ F . Montrons que x ∈ E.
..
o
. Preuve que x ∈ E .
— soit on raisonne directement par équivalence (successive) en changeant
peu à peu P en Q.
Pour tout x : x ∈ E ⇐⇒ . . . ⇐⇒ . . . ⇐⇒ x ∈ F.
Quand on veut montrer qu’une proposition P est vraie, on peut raisonner par
l’absurde de la manière suivante :
On suppose que P est fausse.
..
o
. Obtention d’une contradiction .
Contradiction (Absurde). Par conséquent p est vraie.
Exemples : 1. Montrer que tout entier est pair ou impair, mais pas les deux.
√
2. Montrer que 2 est irrationnel.
Quand on veut déterminer l’ensemble des éléments d’un ensemble E qui sa-
tisfont une propriété P , on raisonne souvent par analyse-synthèse de la manière
suivante :
• Analyse : Soit x ∈ E. On suppose que x vérifie P .
..
o
. On cherche les têtes possibles de x .
• Synthèse : Posons x = . . . (têtes possibles de x). Vérifions que x ∈ E et que
P ( x) est vraie.
..
o
. Vérification que x ∈ E et satisfait P .
IV Principe de récurrence
IV.1 - Parties de N.
Définition 6. Ordre dans N
On définit dans N la relation d’ordre "6" par : Pour tout m et n de N, m 6 n si et seulement si il
existe p de N tel que : n = m + p.
Cette une relation d’ordre est totale sur N : Pour tout m et n de N on a : m 6 n ou n 6 m.
Proposition 2.
→ 0 est le minimum de N.
→ Toute partie non vide de N possède un plus petit élément .
Définition 7.
On dit qu’une partie non vide A de Z est :
◦ majorée (dans Z) s’il existe M dans Z tel que : ∀ x ∈ A : x 6 M.
◦ minorée (dans Z) s’il existe m dans Z tel que : ∀ x ∈ A : x > m.
Théorème 1.
Soit (m, n) dans N × N∗ , Il existe un unique couple (q, r) de N2 tel que : m = nq + r et 0 6 r < n .
Rédaction
Quand on veut montrer par récurrence que : ∀n > i, Pn , on rédige ainsi :
• Vérification que Pi est vraie.
• Soit n > i. On suppose que
o Pn est vraie. Montrons que Pn+1 est vraie.
.. Preuve que Pn+1 est vraie .
.
• D’après le principe de récurrence, on a alors pour tout n > i, Pn est
vraie.
Exemple : Soit (un )n>5 une suite géométrique de raison q et de premier terme u5 = a ∈ R. Montrer
que pour tout n > 5 on a : un = a × qn−5 .
Rédaction
Quand on veut montrer par récurrence que : ∀n > i, Pn , on rédige ainsi :
• Vérification que Pi et Pi+1 sont vraies.
• Soit n > i. On suppose que Pn et Pn+1 sont vraies. Montrons que Pn+2
est vraie.
..
o
. Preuve que Pn+2 est vraie .
• D’après le principe de récurrence, on a alors pour tout n > i, Pn est
vraie.
Exemple : (un )n>0 la suite réelle définie par : u0 = −1, u1 = 5 et ∀n > 0 : un+2 = 3.un+1 − 2.un .
Montrer que pour tout n > 0 on a : un = 6.2n − 7.
Exercice .5.
Démontrer, par récurrence, que 106n+2 + 103n+1 + 1 est divisible par 111 pour tout n ∈ N.
Exercice .6.
n n
n(n + 1) n(n + 1)(2n + 1)
Montrer , par récurrence, que : ∑k= et ∑ k2 = pour tout n ∈ N∗
k=1
2 k=1
6
Exercice .7.
2x2n − 3
Soit la suite ( xn )n∈N définie par x0 = 4 et xn+1 = .
xn + 2
1. Montrer que : ∀n ∈ N xn > 3.
3
2. Montrer que : ∀n ∈ N x n + 1 − 3 > ( x n − 3 ).
2
n
3
3. Montrer que : ∀n ∈ N xn > + 3.
2
4. La suite ( xn )n∈N est-elle convergente ?
Exercice .8.
Soit une application f : N → N vérifiant, pour tout n ∈ N : f (n + 1) > f ( f (n)).
1. Montrer, à l’aide d’un raisonnement par récurrence : pour tout p ∈ N, n > p ⇒ f (n) > p.
2. En déduire que f est strictement croissante (i.e f (n + 1) > f (n) pour tout entier n ∈ N).
3. En déduire f = IdN .
Exercice .9.
4n
2n 2n + 2 4n + 2 2n
Montrer, par récurrence, que : ∀n > 1, √ 6 . Prouver d’abord : = .
2 n n n+1 n+1 n
Exercice .10.
Démontrer que, si P0 est vraie, et que pour tout entier naturel n : Pn ⇒ ( P2n et P2n+1 ), alors Pn est
vraie pour tout entier naturel n.
(On pourra considérer l’hypothèse Hn : "P0 , P1 , . . . , P2n sont vraies ")
Exercice .11.
n
1
On veut démontrer, par récurrence, que pour tout entier n > 2, la somme Sn = ∑ est le quotient
k=1
k
d’un nombre impair par un nombre pair.
Posons donc l’hypothèse Hn : «Sn est le quotient d’un nombre impair par un nombre pair».
n
1 1
1. En remarquant S2n = ∑ + Sn , prouver l’implication Hn ⇒ H2n pour n > 1.
k=1
2k − 1 2
1
2. En remarquant S2n+1 = S2n + , prouver l’implication Hn ⇒ H2n+1 pour n > 1.
2n + 1
3. Ainsi, on a prouvé, pour tout n > 1, l’implication Hn ⇒ ( H2n et H2n+1 ).
Montrer que, pour tout n > 1, Hn est vraie.
4. Sn peut-il être entier ?
Exercice .12.
√ √ √
On se propose de montrer que, ∀n ∈ N : ∃ N ∈ N∗ , N tel que : (1 + 2)n = N+ N − 1.
1. Trouver N pour n = 1, 2, 3.
√ √
2. Montrer que, ∀n ∈ N : ∃ an , bn ∈ N tels que : (1 + 2)n = an + 2bn .
3. Calculer | a2n − 2b2n |. Déterminer alors N.
Exercice .13.
On peut prouver, à l’aide d’un dénombrement, que le nombre Pndepartitions d’un ensemble à n
n
n
éléments vérifie : P0 = P1 = 1 et, pour tout entier n > 2, Pn+1 = ∑ P.
k=0
k k
1. Calculer P2 , P3 .
2. Montrer, à l’aide d’une récurrence forte, que, pour tout n ∈ N : Pn 6 n!.
3. Redémontrer ce résultat
àl’aide d’une
récurrencesimpleen utilisant le résultat suivant :
n−1 n−1
n n
= 6n pour 0 6 k 6 n − 1.
k n−k k k
V Calculs algébriques
V.1 - Le symbole Sigma.
Définition 8. Symbole ∑
Soient m et n de Z tels que m 6 n et I = {m, m + 1, . . . , n − 1, n}. Pour toute famille finie ( ak )k∈ I
n
de nombres complexes, la somme am + am+1 + . . . + an−1 + an est notée ∑ ak ou ∑ ak ou encore
k∈ I k=m
∑ ak .
m6k 6n
Remarques :
1. La lettre k peut être remplacée par tout symbole distinct des bornes m et n et ne
figurant pas dans les ak
2. ( ak )m6k6n+1 et (bk )m6k6n+1 deux familles de nombres complexes et α un complexe.
Alors
n n n n n
∑ ( ak + bk ) = ∑ ak + ∑ bk et ∑ α.ak = α. ∑ ak .
k=m k=m k=m k=m k=m
Changement d’indice
Le changement d’indice est une opération très courante. Les exemples valent ici mieux qu’un long dis-
cours :
n n+1
1 1 1 1
a) ∑ 2
= 1 + 2
+ . . . + 2
= ∑ 2
On a effectué ici le changement d’indice p = k + 1 .
k=0
(k + 1) 2 (n + 1) p=1 p
Cela revient à remplacer tous les k de la somme initiale par des p − 1 . Mais il faut aussi changer les bornes.
Quand k varie de 0 à n que fait p = k + 1 ? Il varie de 1 à n + 1.
9 7
b) ∑ rr = 22 + 33 + . . . + 99 = ∑ (s + 2)s+2 . On a effectué le changement d’indice r = s + 2 Quand r
r=2 s=0
varie de 2 à 9 , s = r − 2 varie de 0 à 7.
Proposition 9. Simplifications télescopiques
n
Soit ( ak )m6k6n+1 une famille de nombres complexes. Alors on a : ∑ ( ak+1 − ak ) = an+1 − am .
k=m
Exercice .14.
Calculer les sommes suivantes :
A= ∑ ij B= ∑ ij C= ∑ ij D= ∑ i( j − 1) E= ∑ (i + j )
16i, j6n 1 6i 6 j 6 n 1 6i < j 6 n 1 6i < j 6 n 16i, j6n
Exercice .15.
1. Soit n un entier tel que n > 1. Simplifier la somme : Sn = 1.1! + 2.2! + 3.3! + . . . + n.n!.
n n
2. Que valent les sommes : Sn = ∑ (2k + 1) et Tn = ∑ (−1)k (2k + 1) ?
k=0 k=0
n n n n
3. Comparer les sommes ∑ k et ∑ (n − k). Simplifier ∑ k+ ∑ (n − k). Conclusion ?
k=0 k=0 k=0 k=0
!
n n
k k
4. Soit Q, une constante. Simplifier ∑Q −Q ∑Q . Conclusion ?
k=0 k=0
1 − qn+1
n
k si q 6= 1
+ Pour tous n ∈ N et q ∈ C on a : ∑ q = 1−q .
k=0 n si q = 1
V.2 - Le symbole Pi .
Définition 9. Symbole ∏
Soient m et n de Z tels que m 6 n et I = {m, m + 1, . . . , n − 1, n}. Pour toute famille finie ( ak )k∈ I de
n
nombres complexes, le produit am × am+1 × . . . × an−1 × an est noté ∏ ak ou ∏ ak ou encore ∏ ak
k∈ I k=m m6k 6n
.
Exercice .16.
n n
1. Simplifier les produits suivants : ∏ (2k) et ∏ (2k − 1).
k=1 k=1
n
∏ (2k − 1)
k=1
2. Simplifier le produit : n .
∏ (2k)
k=1
n n
(2n)!
3. Prouver les égalités : ∏ (4k − 2) = ∏ (n + k) = n!
.
k=1 k=1
Exercice .17.
n n
1 k
1. Simplifier la somme : ∑ k(k + 1)(k + 2) ∑ (k + 1)! .
. et
k=1 k=1
n
1
2. Simplifier, pour n ≥ 2, la somme Sn = ∑ ln 1 − 2 .
k=2
k
n n k+ p
α +n−1 β+n−1 k+ p
3. Calculer Sn = ∑ ∑ e2iπ ( n ) et Tn = ∑ ∑ e2iπ ( n ) .
k=1 p=1 k=α p=β
MPSI Chap. 0 - Rédaction et raisonnements 16
i
Finn