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Introduction :
Le craquelage a été identifié dans le chapitre précédent (paragraphe III) comme étant
le dégât morphologique occasionné par l’impact. La perte de résistance en pression en
fonction du niveau d’impact également constatée témoigne d’une corrélation entre l’étendue
de la zone craquelée et la charge d’impact fournie. Il semble donc évident que l’énergie de
séparation associée pour créer des surfaces libres de craquelures soit fonction du chargement
d’impact. De même, l’étendue de cette zone craquelée est un paramètre déterminant quant à
son incidence sur le comportement global de la structure. L’étude de cette incidence sur le
comportement global du PVC rigide nécessite une définition quantitative de la zone craquelée
correspondant aux différents niveaux d’impact.
Cette étude fait suite au chapitre précédent, paragraphe III, et est consacrée à la
détermination de l’étendue de la zone craquelée.
La particularité de cette étude est la méthodologie proposée et suivie pour déterminer
l’étendue (ou la longueur) de la zone craquelée dans le tube en PVC rigide soumis à une
charge d’impact.
Une craquelure, tout comme la fissure, est caractérisée par trois étapes : amorçage,
propagation et rupture [GIESSEN, 1997], [GEARING, 2004]. On trouve dans la littérature
des critères en contrainte permettant de décrire chacune de ces étapes. Du schéma de la
fissuration de Kauch [Kausch, 1976] (cf. Figure III-27a du Chapitre III), l’on retient que la
zone B de germination ou d’amorçage de micros vides correspond aux limites de la zone
craquelée et ce vis-à-vis de l’autre non craquelée. Cette limite correspondant à l’étape
d’amorçage de craquelure, la délimitation de la zone craquelée dans la méthodologie adoptée
nécessite une comparaison des contraintes générées dans la structure versus les contraintes
critiques d’amorçages. Par conséquent, il est également nécessaire de choisir le critère
d’amorçage adéquat pour le PVC rigide.
L’accès aux champs de contraintes dans le tube impacté est obtenu via un modèle
numérique du problème d’impact quasi statique [LACY, 2003]. De ce fait, lors de cette étude,
le problème d’impact est considéré quasi statique. En effet, différents auteurs [AMINANTA,
2004] estiment qu’une équivalence statique d’un problème dynamique peut être établie dans
le cas de basses vitesses d’impact.
Le travail présenté dans ce chapitre s’articule essentiellement autour des points
suivants :
Chapitre IV 125
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
- Acquisition d’un modèle numérique du problème d’impact sur le code de calcul ANSYS
[ANSYS, 2005].
- Discrimination des critères d’amorçages de(s) craquelure(s). Le but est de choisir parmi la
multitude de critères existant, celui qui décrit au mieux le contour de la zone craquelée du
PVC.
- Détermination de l’étendue de la zone craquelée pour les charges d’impact fournies, via le
modèle numérique et le critère d’amorçage.
Dans cette section, il s’agit de construire par éléments finis sur le code de calcul
ANSYS [ANSYS, 2005] un modèle numérique statique du contact entre deux corps solides.
Le caractère statique est approuvé par l’équivalence statique/dynamique vérifiée pour des
impacts de faibles vitesses (inférieures à 6m/s) [AMANTINA, 2004]. Nos vitesses d’impacts
intègrent cette plage (cf. tableau III-1, III-2 et III-3, chapitre III). L’astuce consiste donc à
appliquer une charge statique (cf. Figure IV-1) sur la base supérieure du solide venant en
contact (percuteur) afin d’obtenir les mêmes effets observables qu’un essai d’impact, en
d’autres termes les dimensions de la zone impactée. Le chargement normal statique est
calculé via les équations de Hertz, qui lient les dimensions de la zone impactée à la force
normale statique [RINGSBERG, 2001].
Chapitre IV 126
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
I.2. Maillage :
Figure IV-2 : géométrie dessinée du quart de la structure et conditions aux limites. (a) point
d’application de la charge, (b) déplacement imposé sur la surface intérieure du tube
représentant la barre solide, (c) déplacement imposé nul sur la base inférieure du tube
représentant le support solide
Chapitre IV 127
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
Selon la géométrie des solides en contact, le maillage appliqué est différent. Le percuteur
est maillé par l’élément « SOLID92 », qui est défini par 10 nœuds et possède 3 degrés de
libertés à chacun d’entre eux : Ux, Uy et Uz (cf. Figure IV-3a). Le tube, quant à lui, est maillé
par l’élément « PIPE16 », spécialisé dans l’analyse des corps cylindriques creux. Il possède 6
degrés de libertés à chaque nœud à savoir 3 translations et 3 rotations (cf. Figure IV-3b).
Figure IV-3 : Eléments de maillage (disponibles dans ANSYS) utilisés dans notre structure
L’étude d’un problème de contact est conditionnée au choix des éléments de contact.
Ces éléments sont appliqués à l’ensemble des nœuds des deux corps susceptibles d’entrer en
contact après chargement. Les types d’éléments « Target surface » disponibles dans la
bibliothèque ANSYS permettent de définir la surface cible (la surface supérieure du tube). Par
contre, les nœuds de la surface appartenant au corps venant en contact (percuteur) sont maillés
par l’élément type CONTACT175. Le maillage final de la structure est représenté dans la
figure IV-4.
-(a)- -(b)-
Chapitre IV 128
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
-(c)- -(d)-
Figure IV-4 : maillage affiné, appliqué aux deux solides, (a) Vue suivant la section
longitudinale, (b) Zoom dans la vue longitudinale, au point de contact, (c) Vue suivant la
section diamétrale du tube, (d) Zoom au point de contact suivant la section diamétrale
Chapitre IV 129
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
Pour débuter cette étude de validité de notre modèle numérique, nous représentons
d’abord les cartographies des champs de contraintes (cf. Figure IV-5) et les déformations (cf.
Figure IV-6) de Von Mises dans la structure en contact.
-(a)- -(b)-
Figure IV-5 : cartographie des contraintes de Von mises (a) vue suivant l’axe longitudinal
du tube (x, z), (b) zoom de la zone de contact
-(a)- -(b)-
Figure IV-6: cartographie des déformations de Von mises (a) vue suivant l’axe longitudinal
du tube (x, z), (b) zoom de la zone de contact
Sur la figure IV-5, on observe que les champs de contrainte ont des valeurs
maximales en dessous du point de contact. Qualitativement, celles-ci sont conformes aux
prédictions faites par d’autres auteurs ayant traité des problèmes de contact [Hertz, 1896]
[RINGSBERG, 2001]. Les mécanismes dégradants (craquelures) thémomécaniquement
activés sont donc localisés préférentiellement en dessous de la zone d’impact.
Chapitre IV 130
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
-(a)- -(b)-
Figure IV-7 : (a) empreinte elliptique sur le tube après l’essai d’impact 1,25m/16kg, (b)
schématisation de l’empreinte (zone impactée)
-(a)- -(b)-
Figure IV-8 : Photographie numérique de la courbure (ou affaissement) de la surface
supérieure du tube en contact avec le percuteur. (a) Vue dans la direction longitudinale (x, z),
(b) vue dans la direction diamétrale (y, z)
Sachant que l’évolution des valeurs Uz des nœuds appartenant à la surface de contact
(tube/percuteur) est différente de celle des nœuds en dehors, les points de singularité de cette
évolution permettront la détermination des dimensions recherchées dans une direction
donnée.
Chapitre IV 131
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
Chapitre IV 132
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
concernés de la figure IV-10, on obtient aisément la dimension « a » qui est égale : 13,51mm.
La valeur expérimentale de cette grandeur est : 13,75mm (cf. Tableau IV-1). On remarque
que les dimensions « a » obtenues numériquement et expérimentalement sont très proches et
l’écart relatif est de l’ordre de 2%. On peut estimer que la prédiction du modèle numérique
pour cette dimension est satisfaisante.
0
-30 -20 -10 0 10 20 30
-0,2
-0,4
-0,6
-0,8
2a = 27,039 mm
Deplacement Uz
-1
-1,2
-1,4
-1,6
-1,8
-2
Coordonnée suivant x (mm)
Chapitre IV 133
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
La courbure du tube dans cette direction rend moins évidente la détermination précise
de « b » à partir des valeurs du déplacement des nœuds impliqués dans le contact de la figure
IV-12. Par contre, la représentation de la génératrice curviligne supérieure du tube en
configuration déformée, permet d’identifier aisément la zone affaissée correspondant à la
surface de contact (cf. Figure IV-13). De la figure IV-13, on peut donc déduire la dimension
du rayon du petit axe « b » de l’ellipse de contact : 6,93 mm. Pour rappel, la mesure
expérimentale de « b » pour l’essai d’impact 1,25m /16kg avait donné : 7,75 mm (cf. Tableau
IV-1). L’écart relatif entre la dimension expérimentale et celle numérique est de l’ordre de
10%.
z
2b = 13,87 mm
Chapitre IV 134
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
1,6
1,4
1,2
Rapport de contrainte
0,8 zz/ pm
sx/pm
sy/pm
yy / pm
sz/pm
xx/ pm
0,6
0,4
0,2
0
0 5 10 15 20 25 30
-0,2
-0,4
Axe suivant grand axe de l'empreinte (mm)
-(a)-
-(b)
Figure IV-14: Evolution des contraintes adimensionnelle sur la surface de contact selon : (a)
prédiction de Hertz et Ringsberg [RINGSBERG, 2002], (b) notre simulation numérique sur
ANSYS
Chapitre IV 135
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
Chapitre IV 136
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
(IV-1)
(IV-2)
(IV-3)
Où 1 et 2 sont les contraintes principales ; A0, B0, A, et B sont des paramètres du matériau.
(IV-4)
Chapitre IV 137
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
(IV-5)
Sur une plaque de PMMA percée d’un trou circulaire (de très petite dimension), des
essais de traction à contrainte constante, selon le cycle charge-maintien en charge puis
décharge, sont réalisés à température ambiante par Gouider [GOUIDER, 2005]. A l’aide d’un
microscope optique à transmission, l’auteur a délimité après décharge de traction, le contour
craquelé au voisinage du trou (Annexe B).
A partir des photographies de la zone craquelée à différents niveaux de contrainte,
l’auteur a rapporté sur des graphes ces contours craquelés pour mieux en suivre l’évolution
(cf. Figure IV-15).
Chapitre IV 138
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
(a) (b)
(c) (d)
Figure IV-15 : Evolution du contour des craquelures pour chaque niveau de contrainte en
fonction du temps de chargement [GOUIDER, 2005]. Différents chargements (a) 25 MPa, (b)
30 MPa, (c) 35 MPa, (d) 40 MPa
On peut remarquer sur la figure IV-15 que les contours craquelés sont de forme moins
arrondie à la fois pour des charges et pas de temps de grandes envergures. Nous rappelons que
chaque point du contour craquelé correspond à un état de contrainte critique d’amorçage
Chapitre IV 139
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
II.4.2. Cartographie des contraintes dans la plaque selon les différents critères
d’amorçages :
Les différents états de contraintes recherchés sont rapportés à (contrainte loin du
trou, voir Annexe) comme suit : I1 / , 1/ , 1 - 2 / et 1 - 2 / . Les
cartographies donnant les isovaleurs de contraintes dans la plaque aux alentours du trou et
selon les différents critères d’amorçages, sont présentées dans la figure IV-17.
Les contours d’isovaleurs de contraintes théoriques, obtenus pour chaque critère,
représentent les limites possibles de la zone craquelée.
Chapitre IV 140
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
Chapitre IV 141
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
-(a)- -(b)-
Figure IV-18 : contour de la zone craquelée, (a) contour de craquelure expérimental pour un
chargement de 35 MPa, (b) contours théoriques obtenus des isovaleurs de contrainte du
critère de Sternstein et Myers ( 1 - 2) / .
Comme nous l’avons auparavant établi, l’impact du percuteur sur le tube génère un
mécanisme morphologique dégradant dans la zone impactée : c’est la craquelure, dont
l’étendue est fonction du niveau de l’énergie d’impact fournie. Dans cette partie de l’étude,
nous mettons en application la méthodologie numérique en vue de déterminer l’étendue de la
craquelure dans l’épaisseur du tube, en dessous de la zone impactée. Sachant que l’état de
Chapitre IV 142
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
contrainte sur le contour craquelé expérimental du PVC rigide est décrit par les contraintes
critiques du critère de Sternstein et Myers [STERNSTEIN, 1973], la méthodologie d’étude
consistera à délimiter, dans la structure, les zones de contraintes supérieures aux contraintes
critiques ( ≥ , : contrainte critique d’amorçage). L’accès aux contraintes dans
l’épaisseur du tube sous sollicitation d’impact, est obtenu via le modèle numérique construit
au paragraphe I de ce chapitre.
Les essais d’impacts effectués étant nombreux, les détails de la méthodologie de
détermination de l’étendue de la zone craquelée dans l’épaisseur du tube ne seront présentés
que pour l’impact du percuteur de masse 16kg et lâché de h = 1,25m (désignation impact :
1,25 m/ 16kg), de charge normale statique appliquée Fz =17430,7N. Nous résumerons ensuite
dans un tableau (cf. Tableau IV-2) l’ensemble des étendues craquelées pour le reste des
essais d’impact effectués.
(IV-6)
Où 1 et 2 sont les contraintes principales (avec 2 la contrainte intermédiaire telle que 1 >
2 > 3). A0 et B0 sont des paramètres du matériau, calculés en mesurant les dimensions de la
zone craquelée expérimentale, rapportées dans le repère . Pour le PVC
rigide, la bibliographie indique des valeurs A0 et B0, respectivement de l’ordre de 19,9 MPa et
1203,3MPa [STERNSTEIN, 1973], [ESTEVEZ, 2000].
(IV-7)
(IV-8)
Chapitre IV 143
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
60
50
= A0 + B0/I1 (MPa)
40
30
20
cr
10
am
0
0,012 0,014 0,016 0,018 0,02
1/I1(MPa-1)
Figure IV-19 : tracé des états de contrainte critique d’amorçage des craquelures du critère
de Sternstein et Myers autour d’un contour quelconque d’isovaleur de
contrainte dans l’épaisseur du tube.
Chapitre IV 144
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
-(a)- -(b)-
Figure IV-20 : cartographie des états de contrainte . Les contours
d’isovaleurs de contrainte représentent les contours possibles de craquelures. (a) structure
entière composée du percuteur (2) et du tronçon de tube (1), (b) section (S1) épaisseur du
tube en dessous du point de contact
Chapitre IV 145
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
300
S1-S2
Critique
250
ac = 7,62mm
150
100
50
0
0 2 4 6 8 10 12
x (mm)
Figure IV-21: tracé des contraintes critiques correspondant à l’amorçage des
craquelures, et tracé de l’état de contrainte dans le matériau sollicité, le long d’une
droite fictive sélectionnée dans le tube.
Chapitre IV 146
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
14
12
0,6
ac/acMax
10
8
0,4
6
4
a: zone impactée 0,2
2
ac: zone craquelée
0 0
0 0,5 1 1,5 2 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1
hauteur de lachée h (m) a/aMax
-(a)- -(b)-
Figure IV-22 : (a)Evolution comparative de la zone craquelée « ac » et impactée « a » en
fonction de la hauteur d’impact. (b) Evolution corrélative adimensionnelle de ac/acMax en
fonction de a/aMax
Dans la plage des essais d’impacts effectués (h [0,2m, 1,7m]), les évolutions de
« ac » et de « a » montrent une croissance quasi-rectiligne avec le niveau d’impact (cf. Figure
IV-22a). Dans la figure IV-22b, leur évolution corrélative indique une dépendance linéaire de
ces deux grandeurs.
En outre, au niveau du tableau IV-2, on constate une forte augmentation de la longueur
du craquelage, de 4mm à 12.9mm, pour un faible incrément d’impact entre la désignation
Chapitre IV 147
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
25
20
A
15
Lc (mm)
10
5
Masse percuteur = 16kg
0
0 1 2 3 4
Sel/Re*e
Figure IV-23 : Evolution de zone craquelée en fonction de l’aire de l’ellipse de contact
adimensionnelle.
Chapitre IV 148
Etude numérique du craquelage : Détermination de l’étendue de la zone craquelée
craquelée. La zone C, caractérisée également par une forte croissance de Lc, mais où, à la
différence de la zone B, la pente d’évolution est moins accentuée.
Les essais de pressions effectués sur les tubes impactés dans le chapitre III
(paragraphe III), ont montré une faible perte de la résistance à l’éclatement pour de bas
niveaux d’impacts. De ce constat, on peut penser que la frontière entre les zones A et B
correspond à la longueur de craquelage seuil, en dessous de laquelle le PVC rigide garde
entièrement son aptitude à la pression. Ce constat est confirmé par les mesures des résistances
résiduelles en traction des éprouvettes extraites des tubes impactés (chapitre III, paragraphe
IV).
IV. Conclusion :
Cette étude numérique nous a permise de déterminer l’étendue de la zone craquelée
sur la zone impactée du tube en PVC rigide. La particularité de ce travail réside dans la
démarche élaborée afin de déterminer l’étendue du dégât occasionné par l’impact : la
craquelure.
Cette démarche s’articule autour des points suivants :
- Développement d’un model numérique d’impact quasi statique ;
- Discrimination des critères d’amorçages de craquelure ;
- Implémentation du critère d’amorçage dans le modèle numérique d’impact.
Chapitre IV 149