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RATIONNELLES
Polynômes
1- Définition
( )= + + + ⋯+
2- Notations
- Le polynôme P s’écrit aussi ( )= ∑ avec n le degré de P et on
=0
note deg =
- L’ensemble des polynômes est noté [ ] ou = ℝ ou =ℂ
- [ ] est un ensemble de polynômes de degrés
1
5- Formule de Taylor
( ) ( )
= (1, ,…, );
! !
( ) ( )
( ) = ( ) + ′( )( − ) + ⋯ + ( )
!
Exemple : soit ( ) = + −5 −9
( ) ( ) ( )
On a = = −3 et
( ) ( )
( ) ( ) ( )
= = =1−
( ) ( )
( )= ( )=⋯= ( )( )=0
2
8- Polynômes irréductibles
B Fractions rationnelles
1- Définition
Exemple : ( ) =
2- Pôle
Soit = une fraction écrite sous forme irréductible. On appelle pôle d’ordre
( − 1)( − 2) −2
( )= =
( − 1)( + 1)( + 1) ( + 1)( − )( + )
3
Exemple : la division euclidienne de ( ) = 2 +3 − + 1 par
( )= − 3 + 1 s’écrit :
2 +3 − +1 =( − 3 + 1)(2 + 9 + 25),
On a donc : ( )
=2 + 9 + 25 + ( )
4- Pratique de la décomposition
forme.
= + + +⋯+ + +⋯+
− ( − ) ( − ) − ( − )
Exemple : ( ) =
( )= + + +
−1 − −
D’où ( )= + ( − − )
4
CHAPITRE III : FONCTION D’UNE VARIABLE REELLE ET
DEVELOPPEMENT LIMITE
Si ( )=
→+
+∞ −∞
Et ( )= ′ +∞ −∞ +∞ −∞ −∞
→+
= +∞ et lim = 0. Donc ( ) = +∞
→ +∞ → +∞ → +∞
Si ( )= +∞ −∞
→+
5
Exemple : lim = +∞ , donc lim − 3 = −∞
→ +∞ → +∞
Si ( )= ≠0 0 +∞
→ ou
−∞
Et lim ( )= ′ +∞ +∞ +∞
→ ou ou ou
−∞ −∞ −∞
Alors lim[ ( ) ( )] = ′ ±∞ F.I ±∞
Exemple : lim + = +∞
→ +∞
lim − 3 = −∞
( )= +∞
→ ≠0 0 ou
−∞
= 1 Voir théorème 1
→ ( ) 0
et 2
Théorème 1 :
( )
= +∞
→
Théorème 2 :
( )
= −∞
→
6
( )
Sur tout intervalle I où le quotient est défini, on remarque que
( )
( )
= ( )x et on utilise les théorèmes sur la limite de l’inverse et de
( ) ( ) ( )
la limite d’un produit.
On en déduit :
Théorème
lim ( ) = ( )
Théorème
On a lim ( ) = −∞ et lim ( ) = +∞
→2 →2
< >
Les limites à gauches et à droite de 2 sont infinies (et de signe différent), la
fonction n’admet pas de limite en 2.
2- Continuité
a- Continuité en un point a :
lim ( ) = lim ( )= ( )
→
7
Exemple :
√ ∈ [0; 1]
1) ( )=
√2 − ∈ ]1,2]
on a lim ( ) = lim √2 − = √1 = 1
→1 →1
> >
lim ( ) = lim √ = √1 = 1
→1 →1
< <
et (1) = √1 = 1
+1 ∈ [0; 1[
2) ( )= 2− ∈ ]1,2]
(1) = ( )
Etudier la continuité en 1
est continue sur l’intervalle = [ , ] lors que est continue en tout point de
l’intervalle ouvert ] , [ ; continue à gauche de et continue à droite de
lim ( )= ( )
→1
<
est continue à droite de lorsque
8
lim ( )= ( )
→1
<
Exemple :
√ ∈ [0,1]
1) ( )=
√2 − ∈ ]1,2]
f n’est pas continue sur l’intervalle [0,2] car elle est discontinue u point 1
Conséquences
Remarque
9
est continue sur l’intervanlle I⇔ la courbe est continue.
3- dérivabilité
Soit I ⊂ ℝ ℝ
( )
a- Dérivabilité en un point
Definition
( ) ( )
lim
→
cette limite « quand elle axiste » est appelée dérivée de au point on note
( ) AInsi
( ) ( )
( ) = lim
→
Une fonction est dérivable sur l’intervalle [ , ] si elle est dérivable en tout
point de [ , ]
Exemple :
10
Donc la fraction n’est pas dérivanle sur [0; +∞[ car n’est pas dérivable en 0
mais derivable seulement sur l’intervalle ]0; +∞[.
Remaques
( ) ′( )
0
1
, ∈ ℕ∗
1 1
−
∈ ℕ∗ _
, ∈ℝ
1
ln
1
√
2√
( + )′ = ′+ ’
( )’ = ku’ ( k ∈ ℝ)
( )’ = ’ + ’
′= − ( ≠ 0)
′= ( ≠ 0)
( ∘ )′ = ’x .
( )′ = ′
( ) = avec > 0 sur I
e- Sens de variation
4- Règle de l’hospital
( ) ( )
Alors lim ( )
= lim
→ → ( )
12
Exemple : calculons lim = lim = cos = 1
→0 →0
Remarque :
Exemple :
B- Developpement limité
1- Formule de Taylors
( − ) ( − ) ( )
( ) = ( )+( − ) ( )+ ( )+ ( )
2! 3!
( − ) ( )( )
( − ) ( )
+ ⋯+ + ( )
! ( + 1)!
Avec ∈] , [
2- Developpement limité : = 0 et =
13
Théorème : si f est une fonction dérivable à l’ordre + 1 alors :
( )
( )
( )
Avec ∈ ]0; [
( )(
Dans la formule de Taylor-Young, on pose 0( )= )
!
Remarque
1) 0( ) → 0 lorsque →0
2) 0( ) n’est pas une fonction, c’est une manière symbolique
d’écrire : quantité tend vers 0 avec c’est-à-dire lim ( ) =0
→0
3) Théoreme de Taylors-young
voisinage du point = ,
( ) = ( )+ ( )+ ( ) + ⋯+
! !
( )( ) + 0( )
!
14
4) Quelque developpements limités importants.
=1+ + + ⋯+ + 0( )
1! 2! !
1
= 1− + + ⋯ + (−1) + 0( )
1+
1
= 1+ + + ⋯+ + 0( )
1−
ln(1 − ) = − − − ⋯− + 0( )
2
ln(1 + ) = − + ⋯ + (−1) + 0( )
2
= − + ⋯ + (−1) + 0( )
3! 2 +1
=1− + ⋯ + (−1) + 0( )
2! 2 !
ℎ = + + ⋯+ + 0( )
3! (2 + 1)!
ℎ =1+ +⋯+ + 0( )
2! (2 )!
= − + ⋯ + (−1) + 0( )
3! 2 +1
ℎ = + + ⋯+ + 0( )
3! 2 +1
15
(1 + ) = 1 + + ⋯ + ( − 1) … ( − + 1) + 0( )
!
1.3 … (2 − 1)
arcsin = + +⋯+ + 0( )
6 2 2 +1
2
tan = + + + 0( )
3 15
Remarque
16
b- Developpement d’une fraction composée
Ex : ( ) = =1+ + + 0( )
( )= + + 0( )
3
( 0 ) =1+ + + 0( )
2
17
1er cas : est pair.
Remarque
18
5- Calcul de limites
( ) ( )
a) lim (1 + ) = lim = lim =
→0 →0 →0
b) lim = lim + 0( ) = 1
→0 → 0→ 0
Si → ∞, on pose que =
Exemple :
1
lim − (1 + ) =?
→∞
( )
On a (1 + ) =
Or lorsque → ∞ alors → 0
Or ln 1 + = − + 0( ) ordre 2
( )
Ainsi (1 + ) =
19
( )
= .
(1 + ) = (1 − + 0( ))
Finalement − (1 + ) = + 0( )
= + 0( )
Conclusion
1
lim − (1 + ) =
→∞ 2
20
CHAPITRE IV : INTEGRALE D’UNE FONCTION
NUMERIQUE
I- PRIMITIVES
1) Définition
Soit une fonction définie sur un intervalle . Une fonction est une primitive
de sur , et seulement si, elle est dérivable sur et pour
tout de ; ( ) = ( ).
Exemple :
La fonction : ⟼5 +3
En effet ( )= ( )= : ( ) = 10 + 3
2) Théorème
3) Théorème
Soit une fonction continue sur un intervalle I admet des primitives sur et
une primitives de sur .
Exemple
21
La fonction f admet pour primitives sur ℝ la fonction
( )= − + + − 5 + où est un réel
Exemple
( )= − + 2 + avec ∈ ℝ
La condition (1) = 0
1 3
(1) = − +2+ =0
3 2
Soit =− + −2 =−
( )= − +2 −
22
5) Primitives des fonctions usuelles
Fonction définie
Primitive de de Sur
par
( )= où ∈ℝ ( )= + , ∈ℝ = ℝ
( )= ( ∈ ℕ∗ ) + , ∈ℝ = ℝ
+1
1 1
( )= − + , ∈ℝ = ]0; +∞[ ]−∞; 0[
1
( )= ( ) = 2√ + , ∈ℝ = ]0; +∞[
√
( )= ( )=− + , ∈ℝ = ℝ
( )= ( )= + , ∈ℝ = ℝ
1
( ) = 1+ = ( )= + , ∈ℝ = − + , + ( ∈ ℕ)
Propriété
23
désigne une fonction dérivable sur I.
1
′ ( ∈ ℕ∗ ) + , ∈ℝ ℝ
+1
′ 1 ∀ ∈ avec ( ) ≠ 0
− + , ∈ℝ
′
2√ + , ∈ℝ ∀ ∈ avec ( ) > 0
√
1 1 ∀ ∈ avec ( ) ≠ 0
( ∈ ℕ, ≥ 2) − + , ∈ℝ
−1
Exemple
de f sur ℝ.
Exemple 2
( )
Posons ( ) = 3 + 5 alors ( ) = 3 et ( ) =
( )
de sur = − ; +∞
24
II- INTEGRALES
1) Définition
( )
D’où ∫ ( ) = [ ( )] = ( ) − ( )
2) Remarques
1- La variable apparaissant dans l’intégrale est une variable muette, on
peut aussi écrire :
∫ ( ) où ∫ ( )
Et [ ( )] = [ ( )] = ( ( ) + ) − ( ( ) + )
= ( ) − ( ) = [ ( )]
3) Propriété
a) Inversion des bornes
25
( ) =− ( )
b) Linéarité
∫ ( ) = ∫ ( )
∫ ( )+ ( ) =∫ ( ) +∫ ( )
c) Relation de Chasles
∫ ( ) =∫ ( ) +∫ ( )
d) Positivité
Si ≥ 0 et < , alors ∫ ( ) ≥0
e) Comparaison
Si ≥ et < , alors ∫ ( ) ≥∫ ( )
f) Valeur absolue
4) Valeur moyenne
a) Inégalité de la moyenne
( − )≤ ( ) ≤ ( − )
| ( ) − ( )| ≤ ( − )
Définition
26
Si est dérivable sur [ , ], on appelle valeur moyenne de sur [ , ] le
nombre réelle ∫ ( )
5) Application
− − 3 = 15
2- Calculer ∫ (√ − 1)
Développons le carré √ − 1 = − 2√ + 1 = −2 +1
On a ( ) = −2 + = − √ +
( )= ( )
( )=∫ ( ) ⇒
( )=0
27
2) Remarque
Alors ∫ =[ ] −∫ .
( )= et ( )=
Alors ∫ ( ) =∫ [ ( )] ( )
Calculer ∫ ln(1 + )
On a
1
ln(1 + ) = ln(1 + )
= 2 − ln( + 1) − ∫ − ( )
= 2 2 − ln( + 1) − ln( + 1) + 1
28
CHAPITRE V : EQUATIONS DIFFERENTIELLES
I- GENERALITE
Une équation différentielle est une équation dont l’inconnue n’est plus un
nombre, mais une fonction.
Une équation différentielle est une équation liant une fonction et sa ou ses
dérivée(s).
Résoudre une telle équation signifie déterminer toutes les fonctions qui
satisfont à l’égalité.
29
a) On appelle équation différentielle linéaire du premier ordre
normalisé ou équation sans second membre (ESSM) toute équation du
type :
( )+ ( ) ( ) =0
( )+ ( ) ( ) = ( )
Théorème :
Exemple : ( )+ ( ) =0
( ) = 1 donc = ℝ et ( ) = ∫ ( )
=
30
4) Recherche d’une solution particulière de ( )+ ( ) ( )= ( )
Exemple :
( )= ( )
′ ( ) = ′( ) − ( )
( )+ ( ) = 2 ⇔ ′( ) − ( ) + ( ) =2
( )=2 = 2. D’où ( ) = +2
31
On appelle équation différentielle linéaire du second ordre à coefficient
constants toute équation du type :
(E) : ( )+ ( )+ ( )= ( )
membre (E ) : + + =0
Solution de l’équation
Solution générale de ( )
caractéristique associée
2 racines réelles
∆> 0 √∆ √∆
( )= +
= et =
( ): ( )+ ( )+ ( )= ( )
32
a) Si = + n’est pas racine de l’équation caractéristique de l’ESSM
alors il existe une solution particulière de la forme
( )= ( ) cos( )+ ( ) ( )
( )= ( ) cos( )+ ( ) ( )
Où A et B … uniques.
( )= ( ) cos( )+ ( ) ( )
Où A et B … uniques.
3) Théorème
La solution de ( ) est ( )= ( )+ ( )
Exemples
1- ( ): −3 ( )+2 = 2 −6 +4
On a
( )= + 1 et + + +1
2- −3 ( )+2 =
+ et ( ) = (6 + 5)
D’où ( ) = + + (6 + 5)
33
3- ( )+ ( )=
( )=−
2
D’où ( ) = + −
34
CHAPITRE VI : FONCTION A DEUX ET TROIS
VARIABLES
Une fonction à deux variables est un objet qui à tout couple de nombres réels
( , ) associé au plus un nombre réelle. Si est une telle fonction on note.
: ℝxℝ ⟼ ℝ
Une fonction à trois variables est un objet qui à tout triplet de nombres
réels ( , , ) associé au plus un nombre réel. Si est une telle fonction, on note
: ℝxℝxℝ ⟼ ℝ
Exemple
Soit ( , ) =
C’est une fonction à deux variable qu’on peut évaluer en tous les couples ( , )
tels que − ≠ 0.Ainsi
( ) = {( , ) ∈ ℝxℝ: ≠
35
II- DERIVEES PARTIELLES-CONDITION D’EXTREMUMS
1) Dérivées partielles premières
Si la limite existe.
( , ) = ( , ).
( , ) , )
( , )= ( , ) = lim
ℎ→0
( , )= + +3
On a : =3 +3
= constante
= constante
( , ) = ′′ = =
( , ) se dérive en :
( , )= =
36
( , )= =
( , ) se dérive en :
( , ) = ′′ = =
( , )=3 sin +3
′′ = = (3 + 3) = 6
= = (3 + 3) = 3
= = ( + 2 )=3
′′ = = ( + 2 )= +2 2
3) Condition d’extrémum
Soit ∈ℝ
alors : ( )= ( )=0
4) Points critiques
Remarque :
5) Cas particuliers
37
Un extremum local est un minimum local ou un maximum local. On pose
= ( ), = ( ), = ( )
38
CHAPITRE VII : CALCUL VECTORIEL
39
→ →
→
vi) ( + ) = +
→
vii) ( )=( )→
→ →
viii) =
→
ix) 0 →= 0
2) Barycentre de deux points pondérés
a) Point pondérés
Soient ( ; ) et ( ; )
le barycentre du système {( , ), ( , )}
a pour coordonnée ;
Remarque
3)Produit scalaire
a) Definition et propriétés
→ →
Soit ( , , )un repère orthonormal
a) Définition et propriétés
→ →
Soit ( , , ) un repère orthonomal, →( , ) et →( ′, ′) deux
→ → → →
vecteurs. Posons = et → = et = ( →, )
41
lit scalaire est le réel x où H le projeté orthogonal de B sur
(OA).
2emeexpression :
→ →
→ →
. = . = x x = ‖ →‖ ‖ →‖ ( , )
→
3eme expression : →. = ’+ ’
4emeexpression: →. → = (‖ → + →‖ − ‖ →‖ − ‖ →‖ )
→
H O B
c) Propriétés
Pour tout réel vecteurs →, →’, →, →’ et tout réel
→
. ( →+ →’) = →. → + →. →’
→
( + →’)→ = →. → + →’. →
→ →
( ). = ( →. →)
42
→ →
Soient et deux vecteurs
→ →
Si → et →
sont colinéaire : ⋏ =0
→
Sinon → ⋏ →
est l’unique vecteur vérifiant :
→
1- orthogonal à → et →
→ →
2- ( →, , ) directe
3- ‖ →‖=‖→‖. ‖→‖|sin( →; →)|
→
⋏→
→
→
b) Propriétés
→ et → colinéaire ssi → ⋏ →
→ ⋏ → = −→ ⋏ →
( →) ⋏ → = → ⋏ ( →) = ( → ⋏ →)
→ ⋏ ( → + →) = → ⋏ → + → ⋏ →
( → + →) ⋏ → = → ⋏ → + → ⋏ →
43
2) Produit mixte
a) Définition
→ →
On appelle produit mixte de trois vecteurs de dimension 3 →, , pris dans ce
→ → → →→ → → → →
ordre, le nombre réel noté [ , , , ] défini par [ , , , ] = . ( ⋏ )
b) Propriété
→ → →
Soit B = ( ; , ) une base orthonormée directe.
′ ′′
Si u= , v= ′ et ′′ alors :
′ ′′
′ ′′
[ , , ] = det( , , ) = ′ ′′
′ ′′
= + + − − − − ′′ ′
44
CHAPITRE VIII : TRIGONOMETRIE, FONCTIONS
TRIGONOMETRIQUES, HYPERBOLYQUE ET LEUR
RECIPROQUES
A- TRIGONOMETRIE PLANE
1) Définition
2) Formules classiques
a) Formule de symétries
cos(− ) =
sin(− ) = − sin
cos( − ) = −
sin( − ) = sin
( + ) = − cos
sin( + ) = −
− =
2
− =
2
+ =−
2
+ =−
2
b) Formules d’addition
cos( + ) = − sin
cos( − ) = + sin
45
sin( − ) = sin − sin
c) Formule de duplication
2 = −
2 = 2 sin cos
3) Equation trigonométriques
= ⟺ = +2 =− +2 , ∈ℤ
= ⟺ = +2 = − +2 , ∈ℤ
= ⟺ = + , ∈ℤ
4) Equation du type + =
On pose =√ + ; = et =
√ √
D’où il vient :
+ = ⟺ cos( − ) =
B- FONCTION TRIGONOMETRIQUES
sur − ; et − = −1et =1
46
admet donc une fonction réciproque définie sur [−1; 1]qu’on appelle arcsinus
= =
définie par ⟺
−1 ≤ ≤1 − ≤ ≤
2) La fonction arccos
admet donc une fonction réciproque définie sur [−1; 1] qu’on appelle
= =
arccosinus definie par : ⟺ 0≤ ≤
−1 ≤ ≤1
47
3) La fonction arctg ou arctan
croissante sur − ; et ( ) = −∞ et ( ) = +∞
→ − −
2 →
2
admet donc une fonction réciproque définie sur ℝ qu’on appelle arc tangente
= =
définie par : ⟺ − ≤
∈ℝ ≤
48
4) Dérivation des fonctions circulaire réciproques
−
ℎ( ) =
2
+
ℎ( ) =
2
−
ℎ( ) =
+
b) Formule fondamentale
ℎ − ℎ =1
ℎ
ℎ =
ℎ
49
1
1− ℎ =
ℎ
c) Formule d’addition
ℎ( + ) = ℎ ℎ + ℎ ℎ
ℎ( − ) = ℎ ℎ − ℎ ℎ
ℎ( + ) = ℎ ℎ + ℎ ℎ
ℎ( − ) = ℎ ℎ − ℎ ℎ
d) Parité
ℎ(− ) = − ℎ ∀ ∈ℝ
ℎ(− ) = ℎ ∀ ∈ℝ
ℎ(− ) = − ℎ ∀ ∈ℝ
e) Dérivées
( ℎ ) = ℎ
( ℎ ) = ℎ
1
(ℎ ) = =1− ℎ
ℎ
50
3) Théorème
Les fonctions argsh, argth, argth sont dérivables partout où elles sont définies
(sauf argch en = 1) et l’on a :
1
( ℎ ) =
√1 +
1
( ℎ ) =
√ −1
1
( ℎ ) =
1−
51