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Qui est Joseph

Saint Joseph est le père adoptif de Jésus Christ et l’époux de la Vierge


Marie. La principale source d’information le concernant est la
Bible où il apparaît dans le Nouveau Testament, dans
les évangiles de saint Luc et de saint Matthieu. Joseph est un
descendant du roi David, il habite à Nazareth en Palestine, où il
exerce le métier de charpentier. Joseph est appelé “le Juste” car c’est
le qualificatif que donne de lui l’evangéliste Matthieu. La
tradition rapporte que Joseph avait un tempérament humble et
doux et était doué de grands talents. Il est le fils de Jacob et
troisième de six frères, l’un d’eux, Alphée, est le père des
apôtres Jacques et Jude que l’évangile appelle “frères de Jésus”
et qui ne sont autres que ses cousins germains. 
A l'âge d’environ trente ans, Joseph est convoqué par les
prêtres du temple, avec d'autres célibataires de la tribu de
David, pour désigner parmi eux lequel épousera la jeune
vierge ayant grandi au Temple de Jérusalem, Marie de Nazareth.
Arrivés au temple, les prêtres présentent à chacun des
prétendants une branche leur expliquant que la jeune Vierge
Marie marierait le premier dont la branche aurait germé. Cela
fait écho à la prophétie d’Isaïe : "De la racine de Jessé sortira une
branche, et sur laquelle naîtra une fleur". Seule la branche de Joseph
fut fleurie et il fut reconnu l'époux destiné par le Seigneur à la
Sainte Vierge. Saint Joseph est fiancé à Marie qui avant-même
d’avoir habité avec son époux reçoit la visite de l’archange
Gabriel, lors de l’Annonciation (Lc 1, 38), et devient enceinte du
Sauveur. Joseph est originaire de Bethléem en Judée, où il se rend
lors du recensement ordonné par César. C’est là que Marie met
au monde Jésus (Lc 2, 1-7).
https://hozana.org/saints/saint-joseph
La personne de Jésus dans le
judaïsme et l’islam

 Par Claire Bernole
 25/11/2020
 2:20
 1 commentaire

Qui est Jésus ? La question se pose au-delà du monde chrétien. Le rabbin


Philippe Haddad et le grand imam de Bordeaux Tareq Oubrou ont répondu
respectivement à la question de la place du Christ dans le judaïsme et
l’islam. Et à la façon dont son personnage historique est abordé.

© Engin Akyurt / Unsplash

Un rabbi miraculeux
Par Philippe Haddad, rabbin
Le judaïsme ne propose pas une vision globale et unifiée de l’image de Jésus. Les

courants libéral et orthodoxe témoignent de nuances. Jusqu’où peut aller la tradition

juive ? Disons que Jésus est perçu comme un maître, un rabbi (quoique le terme soit

quelque peu anachronique pour son époque) qui enseignait la Torah selon des

critères spécifiques. Il a développé des points de vue très originaux et pointus dans

sa manière de lire les textes. Quoi qu’il en soit, pour la communauté juive, il reste un

enfant d’Israël. Il est né dans une famille juive, il a vécu dans le judaïsme et il est

mort en juif. Cet élément est invariable.

Quant à sa naissance, on peut prendre les textes au premier degré et y voir un

événement miraculeux. On peut aussi en faire une lecture critique, appliquée à la

Bible dans son ensemble. De fait, le judaïsme libéral nourrit une approche historico-

critique. Dans cette perspective, ce qui est important et ce qui se dégage du texte,

c’est que cet enfant a une grande destinée, un grand message pour l’humanité. Il est

en danger dès sa naissance, ce qui l’inscrit de fait dans la droite ligne de plusieurs

récits fondateurs. En effet, Moïse a également été menacé et la tradition rabbinique

ancienne rapporte que Nemrod voulait tuer Abraham. Il y a un parallélisme entre ces

trois personnages. Les dépositaires d’un message d’importance se retrouvent

toujours confrontés à des forces négatives, cherchant à empêcher la réalisation du

projet : Pharaon, Nemrod, Hérode… Voilà le message de fond. 

Quelques rares penseurs ont remis en cause l’historicité de Jésus, tels que -

Yeshayahou Leibowitz, mais ils s’accordent généralement à admettre qu’il a existé

un rabbi, un thaumaturge, un maître miraculeux. Puis quatre évangiles, en particulier

les trois synoptiques, se sont construits autour de cette personnalité charismatique

qui a dû marquer ses contemporains. Pour la tradition juive, on ne peut pas prendre

ces textes au premier degré mais des parallèles sont possibles. On retrouve des

récits rappelant les miracles de Jésus (prendre la main, guérir à distance…) dans le -
Talmud. On peut convenir qu’une personne a été à l’origine de cette littérature,

réunie à partir d’une matière orale. Ces récits ont convergé vers l’image d’un rabbi

qui a porté un message universel d’amour.

Aujourd’hui encore, les enseignements de Jésus peuvent parler à tout homme, juif

ou pas. Le Notre Père est remarquable et le sermon sur la montagne est

incontestablement d’une grande puissance, tout en étant en cohérence complète

avec l’enseignement des prophètes et, plus tardivement, avec celui des maîtres de la

tradition talmudique. 

Un modèle humain
Par Tareq Oubrou, imam

Jésus n’est pas moins important en islam que dans le christianisme, même s’il revêt

un rôle différent. Son personnage est central dans le Coran, son nom et celui de sa

mère sont même davantage évoqués que celui de Mahomet lui-même. Sa naissance

est perçue comme un événement exceptionnel, car « le verbe s’est fait chair » par

création et non par engendrement. C’est-à-dire sans contact avec un homme. 

En ce sens, l’islam est un protestantisme radical, qui remet en cause les conciles de

Nicée (le premier professant un Dieu trinitaire, le second réaffirmant le caractère

sacré des icônes). Dans la tradition musulmane, Jésus est le verbe de Dieu mais il

n’est pas Dieu. Le Saint-Esprit existe, mais c’est l’archange Gabriel – une autre

figure centrale du Coran – qui en est le vecteur. C’est lui qui fait le lien entre Dieu et

les prophètes, de même que c’est lui qui souffle dans les entrailles de Marie l’âme de

son fils. 
Jésus incarne un tel point de convergence entre christianisme et islam que dans ses

premiers siècles d’existence, l’islam a été considéré comme une secte chrétienne.

C’est aussi à partir de la personne de Jésus que s’opère une disjonction entre les

deux religions. Les musulmans le considèrent comme un modèle humain proposé

par Dieu. Son charisme réside dans son humanité. Prenons le pardon. Un Dieu qui

pardonne, cela n’étonne personne : tout lui est possible ! Il n’en va pas de même

pour un être humain et c’est parce que Jésus est humain que son exemple demeure

accessible. 

Son ministère, comme sa naissance, appartiennent toutefois à l’extraordinaire. Il

donne du souffle à la loi de Moïse, il donne vie à la lettre de l’Ancien Testament. Si

bien que le Coran le présente comme celui qui est venu alléger les enfants d’Israël

du joug de la loi.

Propos recueillis par Claire Bernole


https://www.reforme.net/les-dossiers-reforme/les-protestants-et-noel/2020/11/25/la-personne-de-
jesus-dans-le-judaisme-et-lislam/

Dès l’enfance, nous recevons, comme première approche de la religion, peu importe nos croyances,
la notion de Prophète et de Messie et, plus particulièrement, en Europe occidentale, de Jésus-Christ.
Il nous apparait comme l’enfant divin né de la vierge Marie et dont le père est Joseph. C’est la version
humaine de Dieu nous dit-on mais lui, nous dit ne pas être Dieu ; pourtant, il a fait des miracles toute
sa vie. Est-ce vraiment la juste interprétation de cet avènement ?
De plus, en cours, nous avons énormément parlé de la mort et de la résurrection du Christ, de la
montée de l’Esprit saint vers les Cieux et il s’agit des passages de sa vie les plus souvent évoqués au
monde avec sa naissance mais, qu’en est-il de son enfance et adolescence ? A-t-il vécu comme « un
simple Palestinien » entre sa naissance et sa mort ?
Ainsi, je me suis rendu compte qu’on ne connait pas trop la vie de Jésus, on tire des conclusions trop
hâtives sur qui il est. Quelle est sa véritable nature en fin de compte ; est-il Homme, Demi-Dieu ou
Dieu ?
Avant de commencer, il est important de comprendre dans quel sens est utilisé ici le mot Dieu. Je me
réfère ici au Dieu issu des religions monothéistes ; l'être suprême, transcendant, universel, créateur
de toutes choses, constituant le principe de salut pour l'humanité et celui qu’il faut adorer avant tout.

Il est possible d’analyser ce sujet sur trois points de vue différents.


Tout d’abord, je parlerai du point de vue archéologique. Sur base de mon voyage récent en Terre
Sainte et du document parut sur National Géographic et rédigé par Kristin Romey : « La véritable
histoire de Jésus : ce que révèle l’archéologie », je vous parlerai de traces du Christ découvertes et de
leur juste interprétation.

Ensuite, il est nécessaire de se pencher sur l’aspect biblique. Il s’agit quand même du document
parlant le plus de cet être. On analysera mot pour mot comment la Bible décrit Jésus et s’il s’agit
vraiment de la même idée que nous avons de lui. Il est important de faire aussi des parallélismes avec
les descriptions du Christ dans la Torah et le Coran car, oui, la Bible n’est pas le seul livre saint
racontant la vie de Jésus. On parlera évidemment exclusivement du Nouveau Testament et
majoritairement des Ecrits des Evangiles que l’on comparera éventuellement entre eux.

En dernier lieu, je ne peux sauter le point de vue théologique qui est là le plus marquant pour tous
puisque bien des fidèles de nos jours répandent encore la parole et les actes de Jésus. C’est sur ce
point que l’universalité et l’unicité du Christ seront les plus remises en question. Pour cette partie des
plus complexes, je me suis reposée sur un texte qu’Erudit a publié incluant un écrit d’Edward
Schillebeeckx apparu dans la revue « Laval théologique et philosophique, 50, 2 »

Et finalement pouvoir évidemment comparer ces trois points de vue et peut-être même trouver enfin
la réponse à cette question.
Jésus-Christ, Homme, demi-Dieu ou Dieu ?
En début d’année scolaire, nous avons beaucoup parlé de la trahison de Judas, la dernière
cène, de la mort et bien-évidemment de la résurrection de Jésus. C’est vrai qu’il s’agit de la
phase la plus marquante de sa vie avec son annonciation et sa naissance. Mais, depuis
quelques temps, je me demandais souvent « Que s’est-il passé entre sa naissance et sa mort,
qui est-il vraiment pourquoi s’agit-il de lui le personnage phare du Nouveau Testament ? ».
Comme toutes ces questions prendrai un temps fou à analyser et rechercher., je me suis
surtout concentrée sur sa réputation. Certains le qualifient d’incarnation humaine Dieu,
d’autres de fils de Dieu et d’une femme, ce qui fait de lui en théorie un demi-Dieu et certains
pensent tout simplement un Homme qui répand le message de Dieux et le bien.
La encore, le sujet étant très étanche, j’ai dû synthétiser et pour cela, j’ai décidé de me
fonder sur 3 domaines majeurs qui sont nul autre que l’archéologie, les textes religieux et
aussi la théologie d’un point de vue dogmatique et pratique.

Je vais ainsi démarrer avec le sujet le plus concret selon moi. Vous vous rappelez peut-être
que sur mon plan j’ai parlé d’un voyage ne Terre Sainte. Je suis partie en aout de l’année
passée et ce voyage enrichissant certes, m’a suscité énormément de questions à propos de
son habitant le plus connu, Jésus. Parallèlement, j’ai enrichi mes connaissances sur les lieux
et les traces laissées avec un article de Kristin Romey paru dans le magazine National
Geographic que voici.
Ça peut paraître un peu anodin mais on peut se demander si Jésus a bel et bien existé et si ce
n’est pas simplement le fruit d’une imagination collective. La question est vite bouclée
puisque Jésus a bel et bien laissé des traces « humaines » dans l’histoire. L’archéologue Eric
Meyers affirme même qu’il ne connait aucun chercheur important qui doute du personnage
historique de Jésus. Il est vrai que les miracles qui lui sont attribués sont redoutables mais on
ne doit pas pour autant nier l’existence de Jésus de Nazareth. Concernant son lieu d’habitat,
les archéologues et chercheurs ne sont pas du même avis entre eux. De plus, ils suspectent
les textes Bibliques de ne pas avoir modifié certains lieux et dates pour quelques
convenances comme son lieu de naissance qui ne serait pas forcément Bethléem faute de
preuves matérielles. Cependant, il y a un exemple très clair de l’existence du Jésus
Historique. Il s’agit de Capharnaüm, une des plus importantes découvertes archéologiques
du 20e siècle. Voici une Église octogonale datant d'il y a 1500 ans. Mais après quelques
fouilles en plus, les archéologues se sont rendu compte qu'elle fut bâtie sur une maison
datant du 1er siècle. Cette maison a eu plusieurs fonctions au virus du temps mais elle est
connue aujourd'hui comme la maison de Pierre ; ce n'est pas sûre mais beaucoup de
spécialistes affirment qu'il aurait pu vivre là. C'est à Capharnaüm qu'il aurait fait des miracles
en soignant divers malades. C'est peut-être pour cela qu’une église ait été construite sur ce
lieu sacré. Cependant des traces de guérisons, on n’en a pas.

On peut aussi confirmer l'existence des personnages jouant un rôle dans le Nouveau
Testament. Par exemple pour Caïphe présent lors du procès de Jésus, on a retrouvé un
ossuaire orné à son nom.
Concernant son tombeau au saint sépulcre, on n’a, certes, pas de traces de son corps mais
après de nombreuses analyses du lieu, celui-ci aurait été construit sur un cimetière Juif,
surement celui où Jésus aurait été placé avant sa résurrection. 
On peut conclure que pour l'archéologie, il y a suffisamment de preuves soulignant
l'existence du Jésus historique et purement humain. 
Évidemment, toutes ces recherches ont été entreprises avec l'aide de la lecture des livres
Saints mais, comme dit plus haut, il y avait certaines contradictions entre les écrits ou avec
les découvertes même....

Ce qui m'en vient au deuxième point de vue, celui biblique. Pour cela, je vais me baser sur
certains versets de la Bibli, mais pas que, qui vont nous définir qui est le Christ en quelque
sorte.
Tout d’abord, à de nombreuses reprises, la Bible affirme de Jésus n’est pas Dieu. Il faut tenir
en compte que Dieu appelle fils plusieurs de ses Serviteurs, personnes pieuses et proches de
Dieu. En effet, le mot grec pias fut traduit par fils dans le sens de serviteur. La Bible affirme
que Dieu n’est pas un homme comme ici (Nb 23 :19) ; de plus, Jésus est appelé homme
plusieurs fois dans la Bible (Actes 2 : 22). Finalement, Jésus nie aussi être Dieu (Luc 18 : 19)
Cependant, un verset dans le Nouveau Testament soutient la doctrine de l’incarnation divine
est 1ere lettre à Timothée Chap. 3 verset 16 où il est mis que « Dieu s’est manifesté en
chair ». Mais bon, il y a eu le remplacement frauduleux d’un mot par un autre vers le 6eme
siècle qui est venu changer totalement le sens de la phrase afin de faire affirmer la Bible de la
nature divine du Christ.
Et même dans d’autres livres Sacrés comme le Coran Jésus réfute aussi cette comparaison à
Dieu. A plusieurs reprises Jésus affirme qu’il ni Dieu, ni « fils de Dieu » mais bien le Messie et
un prophète de celui-ci. Par rapport a la Torah, il est surtout dit qu’il est un enfant d’Israël. Il
est né dans une famille juive, il a vécu dans le judaïsme et il est mort en juif et que cet
élément est invariable. Ce qui dégage aussi beaucoup des textes, c’est le fait que cet enfant a
une grande destinée, un grand message pour l’humanité mais, il n’et jamais dit mot pour
mot que cet enfant est en fait Dieu lui-même.
Concernant ses miracles, la reste encore les recherches vagues car il y a peu d’information
sur l’origine de ses dons, on suppose cependant qu’ils aient été amplement exagérés dans les
textes Bibliques. Certains chercheur Juifs tels que J. Klausner confirment tout de même que
Jésus pratiquait de la sorcellerie selon eux.
Passons finalement à la partie dont on a encore des preuves en quelques sortes de nos jours.
Il s’agit de la partie théologique et principalement de la piété.
Tout d’abord j’aimerai faire un point sur la Trinité. C’est un principe très complexe qui met Le
Père, le Fils et le Saint-Esprit sur un même piédestal ; c’est-à-dire que Jésus est Dieu. Ce
principe est apparu vers les premiers siècles du Christianisme. On peut aussi en apercevoir
des sous-entendus dans la Bible mais il ne fait pas oublier qu’après toutes ces traductions, la
Bible est un des livres les plus corrompus. Pour cette séquence, j’ai appuyé mes recherches
sur une séquence du Laval Théologique et Philosophique de Erudit. Chaque, croyance et
même croyant dans certains cas. Comme dit plus haut, les textes bibliques opinent que Jésus
n’est qu’un homme. Cependant, de nombreux Chrétiens élèvent Jésus au Rang de Dieu. Ce
qui en fait une optique paradoxale puisque pour la Bible il porte mieux son nom Jésus de
Nazareth tandis que pour les Chrétiens, il est plus connu comme le Christ et Seigneur.
Ensuite, il ne faut pas se baser que sur une seule religion, pour ce point de vue, il est
nécessaire de prendre en compte la multiculturalité de notre société.DONNER EXEMPLE ??
En effet, le Christianisme ne détient pas la vérité absolue ; d’autant plus que ce sujet n’a
même pas une seule vérité. C’est pour cela que selon E. Schillebeeck, l’auteur du document ;
le meilleur moyen de se faire une opinion propre sur qui est Jésus, est de marcher nous-
même sur ces traces. De plus, on peut aussi en faire une actualisation contextuelle si ça peut
nous aider.
Malheureusement, au niveau de la foi, il est difficile de pouvoir conclure si Jésus est un
simple homme ou Dieu. Sur ce coup, faisons alors une moyenne et disons qu’il est demi-
Dieu.

En bref, il y a, certes, plein d’autres points de vue que l’on pourrait explorer et analyser mais,
en tenant compte des trois plus gros et en faisant une moyenne de leurs opinions, on
pourrait conclure que Jésus s’approche plus de l’homme que du Dieu. Il est, dès lors, plus
favorable de distinguer ces deux personnages et de les hiérarchiser en mettant Jésus à notre
niveau et Dieu, bien évidemment, au-dessus de tous. N’oublions tout de même pas que cette
conclusion n’est pas définitive. Elle est bel est bien variable puisqu’il reste tellement à
découvrir, analyser et interpréter qui pourrait changer beaucoup. PLUS DANS CONCLUSION ?

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