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TFC Tibogo Azaga Leon
TFC Tibogo Azaga Leon
B.P 517
Kisangani
Section : bâtiment et des travaux publics
TRAVAIL DE FIN DE CYCLE
Sujet : l’avant-projet de construction d’une morgue au
centré hospitalière de Kibali dans la cite de Durba, territoire
de watsa, province de haut-Uélé »
DEDICACE
Je dédie ce travail à ma mère AGAZANE Charlotte et toutes la famille AGAZA
REMERCIEMENT
Nos remerciements s’adressent à Dieu tout puissant pour sa force et sa grâce
Nos remerciements le plus émie s’adressent aux autorités de l'Institut du Bâtiment et des
Travaux Publics (IBTP) pour nous avoir donné des enseignements de qualité qui font
de nous des futurs ingénieurs compétents pour le service de la nation congolaise.
Nos remerciements les plus sincères et considérable d’adressent à madame Sylvie OLONGA qui a tenu
la direction de ce travail et a l’assistant DAN BISELENGE pour son encadrement.
Nous restons très reconnaissants durant toute notre vie de tous les efforts et sacrifices consentis par
KAREL AGAZANE a qui nous disons merci.
Nos remerciements s'adressent aussi à mon grand frère LIBAKI KOPI Et sa femme
Jose, GAGA KANOLD, AGAZA Timothée.
Merci à tous mes collègues avec qui nous avion entretenue de bonnes relation durant notre passage
académique a l’IBTP et par tout ailleurs je pense à : KIBA Dieu merci, KABEYA Mwepu, SENGELI
NGWANGWA, MUSA fiston, MAMBATA Rachel, PANGAPANGA Rolande
A tous ceux dont les noms n’ont pas été cites trouvent ici l’expression de notre profonde reconnaissance
et nous leurs disons merci
B Section du béton
b: longueur de base
h : Hauteur
𝜏 : Contrainte tangentielle
CEM : Ciment
R.D.C. : Rez-de-chaussée
00.INTRODUCTION
Si nombre de gens ont peur de la mort, la mort ne craint personne et être courageux sans compassion
mène à la mort. La compassion fait agir alors que la faiblesse rend craintif. Vieillir, c’est passer de la
passion à la compassion. Alors la mort nous fait penser à nos très chers et de leur organiser un bon
dernier hommage digne de leur vécu sur la terre1.
C’est pour cette raison que nous avions bien suggérer de focaliser notre étude sur « l’avant-projet de
construction d’une morgue au centré hospitalière de Kibali dans la cite de Durba, territoire de watsa,
province de haut-Uélé » pour organiser un bon dernier hommage au personne décède.
0.1ETAT DE LA QUESTION
1
http://evene.fr
2
KAMBALE MALUMALU Jérémie, TFC, IBTP ,2020
3
BAELO YOKANA Mardochée, TFC, IBTP,2020
2|Page
Il y a l’absence d’une morgue dans la cite miliaire de Durba, ce qui cause un grand problème pour la
congélation des cadavres dans cette cite sur peuple de la province du haut-Uélé, pour palier à ces
problématiques qui semble être évident pour cette cite, nos ambitions s’étale sur des questions
suivantes :
Comment faire pour doter la cite de Durba d’une morgue ?
Quel sera le cout total du projet ?
L’idée que nous avons présentée où défendre au cours de notre travail, compte tenus de nôtres
problématique, est la solution à de question pause a la problématique pour les problématique ci-dessus,
voici quelque élément de réponse.
Cette morgue serait construite selon le norme architecturale pour doter la cite de durba une
morgue
Pour trouver le cout total de cette ouvrage, on procèderait à la quantification de matériaux,
mètre et devis.
4
NZEGE YEVINE Trésor, TFC, IBTP,2020
5
AWAGWINZE NGESI Denis, TFC, IBTP,2018
Selon Luc Bonneville, Sylvie Grosjean et Martine Lagacé16, la méthode ethnographique permet au
chercheur en communication d’étudier un groupe de gens, ses conduites, ses actions et de les
interpréter en contexte. Cette méthode repose sur une tradition théorique (l’interactionnisme
symbolique) selon laquelle la signification sociale des phénomènes sociaux provient du sens qu’on
leur donne au cours de nos interactions.7
0.5.2 Technique
La rédaction d’un travail scientifique doit avoir à son sein des techniques réalisés. C’est pour cette
raison que nous utiliserons quelques techniques pour donner sens à notre travail. Ces techniques
sont :
1. technique documentaire
La consultation des ouvrages qui traitent sur le domaine du sujet en étude, les travaux de fin de cycle
de nos prédécesseurs, les notes de cours et les recherche de données sur internet.
2. technique interview
Nous avons recueilli auprès des agents de diffèrent morgue dans la ville de Kisangani sur le
fonctionnement d’une morgue.
3. technique d’observation
Observer le site par rapport à l’état de ‘ouvrage enfin de mieux positionner l’ouvrage à
construire ,et recueillir les données nécessaires à intégrer dans la réalisation de cet ouvrage8.
6
BONNEVILLE, L., GROSJEAN, S. et LAGACE, M., Introduction aux méthodes de recherche en communication, Montréal
(Québec), Gaëtan Morin éditeur, 2007, pp. 163-164.
7
BONNEVILLE, L., GROSJEAN, S. et LAGACE, M., Introduction aux méthodes de recherche en communication, Montréal
(Québec), Gaëtan Morin éditeur, 2007, pp. 163-164.
8
Www, Google consulté le 20/05/2022 à 15h00
Pour la réalisation de ce travail, nous nous sommes buté aux multiples difficultés telles que :
La non disponibilité des informations suite à une perte de certains documents de l’hôpital par
d’autres chercheurs qui nous ont précédés.
Néanmoins, il est à signaler qu'en dépit de ces différentes difficultés rencontrées et la
persévérance, avec une bonne formation reçue de nos enseignants après toutes ces années, nous
nous sommes en sorti, pour ainsi arriver à réaliser ce présent travail.
Notre travail s’intitule « avant-projet de construction d’une morgue au centre hospitalière de Kibali
dans la cite de Durba province de haut-Uélé » En dehors de l’introduction et la conclusion, notre
étude s’articule autour de trois chapitres principaux et fondamentaux, lesquels chanque chapitres
comprendront chacun des sections subdivisées en paragraphes.
CHAPITRE I : GENERALITES
Au cours de ce chapitre, nous allons définir les concepts clés liés à notre sujet ainsi que ceux
couramment utilisés dans notre domaine. Notons que certains concepts auront un sens plus particulier,
surtout du point de vue technique. Ensuite, nous présenterons notre milieu d’étude : Centre
Hospitalière de Kibali : Sa dénomination, son objectif poursuivi, son historique, sa situation
géographique et sa structure organique et fonctionnelle, et nous allons boucler par les étapes des
constructions.
1.Avant-projet: étude technique 9 et économique préalable d’un projet donnant lieu à un dossier
constitue de pièces écrits(devis, descriptif en particulier) et document graphique.
On distingue deux phases : l’avant-projet sommaire (sigle :aps) qui aborde les grandes lignes du projet,
puis l’avant-projet détaillé (sigle :APD),plus précis, sans toutefois atteindre l’exhaustivité du dossier
final
2.Construction:opération 10 Qui consiste à assembler, à disposer les matériaux ou les différentes
parties pour former un tout complexe et fonctionnel.
3.Morgue:la morgue11 Est une unité de conservation des corps durent le temps nécessaire pour que
les familles ou que l’entreprise de pompe funèbres vient retirer le corps.
Elle est constituée des frigos pour cadavres ; de locaux d’autopsie ; d’un local de préparation et retrait
de depouille.il faut aussi prévoir un local de réception de corps ainsi qu’une petite administration avec
accueil et attente.
Il existe deux types de morgues :
a) A température positive +2°C /.4°C ou le corps peut être conserve quelque semaines (mais la
décomposition se poursuit.
b) A température négative (congélation) pour une conservation plus longue (la décomposition est
arrêtée).
La législation de la majorité de pays exige un enterrement sous 48 ou 72 heures mais dans de nombreux
pays, notamment en Afrique noire, les corps demeurent parfois plusieurs semaine, mois avant que la
famille ne vienne returer le corps de la morgue pour effectuer l’enterrement.
La nécessite de regrouper les membres de la famille et le cout parfois exagère des funérailles demande
du temps pour réunir les sommes nécessaires à des funérailles dignes.
9
www.edition-eyrolles.com
10
www.cnrtl.fr
11
Professeur Dominique Leconte, directeur de l’institut médico-légal de paris »la médecine légale »,Ed
4.centre hospitalière : Est un établissement 12de soins ou un personnel soignant peut prendre en
charge des personnes malades ou victimes de traumatismes trop complets pour être traites à domicile
ou dans le cabinet de médecin.
5. la cite :(latin civitas) Est un statut administratif13 ou honorifique attribue à un établissement humain
généralement plus peuplé qu’une ville selon les règles locales.
Dans l’antiquité, avant la création des états, elle désignait un groupe d’hommes sédentarises libres,
continuant une société politique, indépendante des autres, ayant son gouvernement, ses lois, sa religion
et ses propres mœurs
De nos jours, la cite est aussi un statut légal défini différemment selon les régions du monde.
6.Territoire14 :Portion de l’espace terrestre dépendant d’un Etat, d’une ville, d’une
juridiction ;espace considère comme un ensemble formant une unité cohérente, physique,
administrative et humaine.
7. province15 : Division territoriale d’un état placée sous l’autorité d’un délègue de pouvoir centrale,
en particulier .
1. Chambre mortuaire: Est un équipement 16 qui n’existe que dans les établissements de sante,
obligatoirement dans les grands hôpitaux, ou clinique.
4. Autopsie :Enquêtes policières 18décrétée par un juge dans le cadre d’un affaire judiciaire, elle a
pour objectif :- déterminer l’identité d’un mort anonyme
-comprendre les circonstances de sa disparition
-accumuler données scientifique et preuves en vue d’un éventuel procès
12
https://fr.m.wikipedia.org
13
https://fr.m.wikipedia.org
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http://www.larousse.fr
15
http://www.larousse.fr
16
http://www.lassurance-obseques.fr
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http://www.lassurance-obseques.fr
18
http://www.lassurance-obseques.fr
5.cellule réfrigérantes : Sont constituées19 de panneaux sandwich autoportants, de très haute densité
et avec un coefficient d’isolation sans équipement, il sont, sans aucun doute, les meilleurs du marché
à ce jour.
- panneaux sandwich :est un panneau20 isole de couverture compo
6.chambre froid : Une chambre froide est une pièce dédiée au stockage et à la conservation des
denrées alimentaires pendant une longue période de temps, les denrées périssables comme la viande,
le poisson, les fruits et légumes, les produits laitiers et les pâtisseries doivent être entreposes dans cet
entrepôt a basse température.
Il existe deux types de chambre froides :
Chambre froides négative : Est une chambre froide au sein de laquelle la température est en-
dessous de 0° C et -18°C elle utiliser pour la congélation
Chambre froides : Set une chambre dans laquelle la température avoisine set de 0°C -3°C cela
peut varier en fonction de l’utilisation et maintient au frais et à la portée de main.
7.refrigirateur : Est un appareil électroménager équiper d’un compartiment principal, dont la
température est maintenue entre 2 et 6° C’est d’un compartiment dédie à la congélation, dont la
température est à -18°C.
9. hôpital : Établissement public ou établissement22 privé ayant passé certaines conventions avec l'État
et où peuvent être admis tous les malades pour y être traités.
10.centre de sante : Les centres de santé23: sont des structures d’exercice regroupé de premier recours
permettant de répondre aux enjeux d’accès à une prise en charge coordonnée de qualité, notamment
dans des zones de désertification médicale.
11.clinique: Une clinique médicale24 est un établissement de santé offrant des soins de première ligne
variés tels que la médecine familiale, des soins d’urgence, des suivis médicaux et autres services de
santé selon l’établissement.
19
http://www.elcya-funeraire.com
20
http://www.bacacier.com
21
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cong%C3%A9lateur
22
https://www.larousse.fr/
23
https://www.centres-sante-auvergnerhonealpes.org/
24
https://www.indexsante.ca/
La méthode de Sondage : Cette méthode sert à déterminer les différentes couches du sol par
un appareil appelé : pénétromètre soit statique ou dynamique.
La plus courante consiste à utiliser un pénétromètre dynamique (encore appelé panda) qui
va enfoncer à l’aide d’un marteau une tige à travers les couches du sol sur environ cinq
mètres d’épaisseur. L’appareil mesure la vitesse du marteau et son enfoncement. Ce qui
permet d’évaluer la densité et la portance du sol. C’est-à-dire sa capacité à supporter le
poids de la future maison.
Autre technique : tester la résistivité du sol en lui injectant de l’électricité. Cela permet
de déterminer si le terrain est plutôt homogène ou hétérogène. C’est une donnée essentielle. Car les
fondations doivent reposer sur un sol de même nature sous peine de voir la maison s’effondrer.
1. Brève historique.
Rappelons au ’en 2006, la société minière MOTOGOLD, qui avait comme activité principale la
prospection minérale, s’était dotée d’un centre médical lui permettant d’offrir les soins de santé a ses
personnels.
De 2006 à 2013, le centre médicale Kibali(CMK), jadis appelé le centre médicale borgakim(CMB) a
fonctionné dans deux anciens bâtiment de la SOKIMO situe au quartier malemba.
Le centre hospitalière Kibali (CHK), tire ses vraies origines depuis la date du 07 aout 2004, qui
correspond à la cession officielle du centre médicale Kibali(CMK) par la société minière Kibali gold
mine au gouvernement provincial de l’ancienne province orientale non encore démembrée, et celle au
profil de la communauté locale du territoire de watsa.
Ce qui fait à ce jour du centre hospitalier Kibali(CHK), un patrimoine exclusif du gouvernement
congolais.
COMITE DE GESTION
COMITE DIRECTEUR
MEDECIN DIRECTEUR
CAISE INFIRMIE
R
SECRETARIANT
LOGISTIQUE
SOUS- TRAITANTS
HUISSIER
TECHNICIENS DE SURFACE
Année Nombre des malades Nombre des décès Moyenne de l’année par %
2.Le piquetage : consiste notamment à délimiter le terrain, situer l'emplacement du futur bâtiment, et
prévoir les zones consacrées aux canalisations.
3.L’évacuation des eaux : pour garantir la stabilité du terrain par temps humide, on va creuser une
tranchée et poser des canalisations permettant l'écoulement des eaux de pluie.
4.Le décapage et la création des accès : le décapage consiste à extraire la couche supérieure d'un
terrain (constituée de terre végétale), afin d'atteindre une couche de sol suffisamment solide pour
assurer la stabilité de la future construction. L'emplacement de chaque voie d'accès (entrée de garage,
de maison...) sera ensuite recouvert d'un film géotextile, lui-même surmonté d'une couche de roches
concassées.
5.Les fouilles en tranchées : on va creuser les tranchées qui permettront le passage des canalisations
d'eau et le raccordement aux différents réseaux (électricité, gaz, internet...)
6.Le remblaiement : il s'agit ici de reboucher 26les différentes tranchées et trous réalisés pour enterrer
les canalisations et autres réseaux. On utilise pour cela un mélange de terre, de gravats, et de cailloux.
Une fois le terrassement terminé, les terres prélevées inutilisées seront transportées pour être évacuées
du chantier.
25
https://www.travaux.com
26
https://www.cnrtl.fr
Mise hors d'eau : il s'agit des travaux permettant de rendre le bâtiment étanche aux intempéries
(charpente et couverture)
Fondations : La fondation d’un ouvrage est l’élément d’assise de l’ouvrage qui permet à ce dernier
d’être en contact avec le sol, destinée à reprendre à la fois les charges et les surcharges provenant de la
superstructure et de les transmettre au sol dans les transmettre au sol dans les bonnes et meilleurs
conditions possibles afin d’en assurer la stabilité.
Fondations superficielles : peu profondes28 (50 cm à 3m), elles conviennent aux terrains présentant
une bonne qualité de portance et peuvent soutenir des constructions légères. Ce sont les plus
couramment utilisées dans la construction de maisons individuelles.
Fondations profondes : pour trouver un sol suffisamment résistant, il faut parfois creuser au-delà de
6 m de profondeur. On parle dans ce cas de "fondations profondes". Celles-ci sont généralement
réalisées sous la forme de puits, dans lesquels sera coulé le béton, ou par la mise en place de pieux ou
micropieux en béton armé.
En fonction du type de fondations choisi, on va creuser des tranchées plus ou moins profondes, y
disposer des tiges de fer ou d'acier, puis les recouvrir en coulant une semelle en béton. Ce sont les
fondations qui serviront de support aux futurs murs de soubassement.
27
https://www.univ-chlef.
28
https://www.construction-maison.ooreka.fr
29
https://www.cours-genie-civil.com
Élévation des murs : Cette étape du gros œuvre consiste à dresser les murs porteurs, qui constitueront
la colonne vertébrale de la future maison. En effet, ils permettront de soutenir les planchers et la
charpente du bâtiment.
Selon les performances thermiques et phoniques souhaitées et le budget alloué au projet, on choisira le
plus souvent l'un des matériaux de construction suivants pour concevoir les murs : le parpaing, la
brique, la pierre, le béton cellulaire, ou encore le bois. D'autres matériaux peuvent également être
utilisés, tels que la terre crue ou la paille.
Au fur et à mesure que les murs s'élèvent, des linteaux seront posés au-dessus de chaque emplacement
de porte ou de fenêtre.
Charpente et couverture
Composée de pièces de bois 30 ou de métal assemblées entre elles (en atelier ou sur le chantier),
la charpente permet de soutenir la couverture et de répartir les charges verticales de la maison.
Il existe deux principaux types de charpente :
Une fois la charpente installée, place à l'étape de la couverture, qui va permettre d'assurer l'étanchéité
du toit et contribuer à son isolation. Les matériaux de couverture doivent être suffisamment solides
pour pouvoir résister aux aléas climatiques et doivent respecter les règles d'urbanisme applicables dans
votre commune. Parmi les matériaux les plus utilisés pour couvrir un toit, on peut citer : les tuiles (en
terre cuite, en béton...), l'ardoise, ou encore le zinc.
Menuiseries extérieures
Dernière phase du gros œuvre31 31 , les menuiseries extérieures concernent l'ensemble des portes
et fenêtres donnant sur l'extérieur du bâtiment, ainsi que les volets.
Elles jouent un rôle essentiel dans la sécurité du logement, son isolation thermique et phonique, ainsi
que dans la luminosité des pièces de vie. La qualité des matériaux utilisés pour vos menuiseries
extérieures ne doit donc pas être négligée.
30
https://www.eyrolles.com
31
https://www.construction-travaux.com
La partie électrique : L’installation électrique intervient une fois le gros œuvre terminé. Les différents
points d’utilisation électrique seront identifiés à l’intérieur de la maison, et à l’extérieur. Ils seront
alimentés en électricité grâce au passage de gaines et de câbles électriques, tous reliés au tableau
électrique de l’habitation.
L’isolation : L’isolation thermique et phonique de l’habitation fait partie des étapes essentielles des
travaux de second œuvre. Elle permet, grâce à des matériaux de qualité, de protéger efficacement la
maison du froid et de l’humidité. Inutile de dire qu’une bonne isolation permettra d’augmenter le
confort du logement, sans oublier les économies d’énergie à la clé ! Cette partie comprend l’isolation
du sol, des murs, et de la toiture.
Les cloisons : La mise en place des murs et des cloisons va permettre de créer les différentes pièces de
la maison afin d’avoir une vraie visibilité sur les volumes définitifs. Elles peuvent être conçues en
pavés de verre, en béton, en briques, ou encore à base de plâtre avec ossature métallique. La pose de
plafonds fait également partie du second œuvre en construction.
La climatisation : La climatisation32a pour but de rafraîchir les pièces, mais aussi de les chauffer grâce
au système réversible. Tout comme la ventilation ou le chauffage, la climatisation permet d’apporter
un certain confort de vie aux habitants du logement. L’équipement en mobilier
32
https://www.obat.fr/blog/second-oeuvre/
Cela concerne avant tout les cuisines et salles de bain qui seront équipées en mobiliers et sanitaires.
Ces divers éléments possèdent bien évidemment une durée de vie et comme la plupart des éléments du
second œuvre BTP, ils seront amenés à être remplacés en cours de vie du logement.
b) Présentation de façades
Latérale gauche
Latérale droite
Façade principal
Façade postérieur
Coupe transversale
c) Présentation de plan
Plan de Masse
Plan de Fondation
Ce travail de fin de cycle est consacré à l’avant-projet de construction d’une morgue dans la cite de
DURBA, territoire de Watsa, province de haut Uélé dans le centre hospitalier de KIBALI. Cet
bâtiment comprend dans son sein des bureaux, deux balcon, d’une salle d’exposition de corps et une
salle d’autopsie. Il mesure :
Nous avons deux petites rampes qui constituent une entrée et une sortie.
Un véranda d’entrée principale et d’une salle d’exposition de corps ainsi qu’une salle de
réception pour son accès au public
Un hall d’entrée et un balcon latéral gauche qui sera toujours en communication avec la salle
frigorifique et une salle pour lave les corps de personne décède et une pharmacie pour stocke
le produit pharmaceutique
Il comporte également un hall d’entrée et des bureaux ainsi que les sanitaires
Une partie qui constituent la partie non accès au public.
Une salle dont ces deux derniers peuvent loger 20 corps et une salle d’autopsie.
Une salle pour le dépôt de cercueil et de chariaux et des salles de WC, etc.
33
www.rakotonirina-espa-lic.com
34
www.africmemoire.com
Nous avons qu’un seul type de circulations dans le bâtiment à savoir La circulation horizontale qui
s’effectue à l’aide des couloirs, hall et balcons.
L’attention35 de Mme la ministre de la santé, sur le fait d’implanter une morgue au milieu du tissu
urbain, notamment lorsque cette morgue comporte également des locaux pour des autopsies médico-
légales et la pratique de la thanatopraxie. Il souhaiterait connaître la nature de ces normes. De manière
générale, il lui demande si ce type d'établissement ne devrait pas être préférentiellement implanté près
des cimetières, ou au moins à une distance minimale d'immeubles habités.
Le développement des chambres funéraires répond à un besoin en raison de l'évolution des conditions
de vie. Dans les villes notamment, le défunt est rarement conservé à domicile et la chambre funéraire
offre des services dont la famille peut avoir besoin (faire pratiquer des soins de conservation,
disposer d'un lieu où l'on peut visiter le défunt, etc.). Les nombreuses normes techniques auxquelles
sont soumises les chambres funéraires sont définies dans le code général des collectivités territoriales
aux articles R. 2223-74 à R. 2223-88. La création puis l'exploitation d'un établissement de ce type est
particulièrement encadrée : les exigences de sécurité sont le fondement même de ces normes. La
procédure de création d'une chambre funéraire est ainsi définie à l'article R. 2223-74 de ce code. C'est
le maire de la ville qui autorise la création ou l'extension d'une chambre funéraire. Il fait procéder à
une enquête de commodo et incommodo et consulte le conseil départemental de l'environnement et
des risques sanitaires et technologiques (CODERST). Il recueille l'avis du conseil municipal, qui se
prononce dans le délai de deux mois. La décision intervient dans le délai de quatre mois suivant le
dépôt de la demande. En l'absence de notification de la décision à l'expiration de ce délai,
l'autorisation est considérée comme accordée. L'autorisation ne peut être refusée qu'en cas d'atteinte à
l'ordre public, de danger pour la salubrité publique ou lorsque l'installation crée une gêne excédant les
inconvénients normaux de voisinage. Le maire de la ville n'est pas dans une situation de «
compétence liée » car il n'a pas obligation de se conformer aux avis favorables recueillis au cours de
la procédure tels que ceux du conseil municipal ou du CODERST. Il prend notamment en compte les
35
https://www.senat.fr/question /base
1)Choix constructif:
En général il y a 2 possibilités. La cellule préfabriquée et celle sur mesure. Pour ce qui concerne la
cellule sur mesure il faut éviter la création de pont thermique par exemple quand on chevauche les
panneaux sandwich il faut découper la tôle sur les extrémités des panneaux que l'on colle ensemble
pour éviter les ponts thermiques surtout pour les chambres de congélations (risque de formation de
glace) et de la condensation aussi valable pour les chambres froides. On choisira une bonne épaisseur
d'isolation de la paroi, minimum 100mm pour la positive et 140mm pour la cellule négative. Une
bonne cellule bien montée vous fera économiser de l'énergie donc de l'argent et préservera le
vieillissement de la chambre des risques d'humidité et la longévité du compresseur sera accrue.
Si dans le bilan thermique, l'isolation des parois prend une importance relative élevée, il faut isoler
(cas des chambres de conservation de longue durée). Des ordres de grandeur à atteindre pour les
coefficients de transmission thermique sont :
Pour des raisons hygiéniques, on évitera la formation de condensation; c'est pour cela qu'il est
nécessaire de prévoir une isolation suffisante et placée correctement. Enfin, l'optimum des gains
annuels suite à une meilleure isolation interviendra en tenant compte à la fois des coûts liés à la
consommation (diminution), à l'investissement dans l'isolation (augmentation) et la machine
frigorifique (diminution).
La morgue 20 corps modèle FRIMA est faite de 4 portes de passage utile de 70 cm en largeur et de
190 cm en hauteur sans balai racleur pour une meilleure isolation ni seuil de porte pour une meilleure
nettoyabilité.
La porte est montée sur charnières à rampes hélicoïdales fermant à clé, équipée d'un système de
décondamnation intérieur.
Le Châssis intérieur est fait de rail tout en inox avec supports. Ces rails sont réglables en hauteur tous
les 5 cm. Il dispose également d'une butée de fin de course pour civières soudées sur les rails.
Véritable structure intérieure composée de 6 montants avec renforts latéraux et horizontaux pour une
meilleure répartition des charges. 6 équerres renforcées par niveau.
Description de la Morgue 20 corps 4 portes de passage de 70 cm, Modèle FRIMA
36
https://www.socimed.com
2. Etats limites :
Un état limite38 est un état qui satisfait strictement ces conditions sous l’effet des charges appliquées
sur une construction ou un de ces éléments. L’article A.1.2 du CBA93 précise :
« Un état limite est celui qui satisfait pour lequel une condition requise d’une construction (ou d’un de
ces éléments) est strictement satisfaite et cesserait de l’être en cas de modifications défavorable d’une
action.
Nous distinguons (02) état limites :
Les états limites ultimes (ELU) : Il s’agit de l’état pour lequel la valeur maximale de la
capacité portante est atteinte, et son dépassement entrainerait la ruine de l’ouvrage.
Il correspond à la limite :
De l’équilibre *statique : non renversement de la construction.
37
CD-DTU V2 - Edition 150 - Décembre 2007
38
Master ingénier de la construction FGC/USTHB 2017
fissuration ou des déformations excessives. Cela pourrait entrainer des désordres dans les
revêtements ou cloisons et donc une gêne sérieuse a l’exploitation.
La limite d’ouverture des fissures : cela évite la corrosion rapide des aciers et donc augmente
la durabilité et la sécurité des ouvrages.
La limitation de la compression du béton.
La limite de déformation : Les déformations (flèches par exemple) doivent rester dans les
limites admissibles c'est-à-dire compatibles avec l’utilisation de l’élément.
Les calculs sont conduits à partir des hypothèses suivantes, les sollicitations étant obtenues à l’aide de
la combinaison d’action correspondant à l’état-limite ultime :
Hyp 1 : Hypothèse de Navier : Les sections droites restent planes après déformation ;
Hyp 2 :il n’y a pas de glissement relatif entre les armatures d’acier et le béton ;
Hyp 3 : l’acier et le béton sont considérés comme des matériaux élastiques linéaires et il est fait
abstraction du retrait et du fluage du béton ;
Hyp 4 : La résistance à la traction du béton est négligée à cause de la fissuration ;
Hyp 5
:par convention, le rapport entre les coefficients d’élasticité longitudinale de l’acier et du béton, ou
coefficient d’équivalence, est pris égal à n = Es/Eb = 15.
Hyp 639 on ne déduit pas les aires d’acier de l’aire du béton comprimé ; on suppose en outre que la
section d’acier est concentrée en son centre de gravité, pourvu que l’erreur ainsi commise sur les
déformations unitaires ne dépassent pas 15 % ;
Le raccourcissement relatif du béton est limité à : εbc =3.5‰ en flexion simple et εbc =2 ‰ en
compression simple.
39
https://fr.scridb.com
Le diagramme de déformation de la section doit obligatoirement passer par l’un des trois
40
Master ingénier de la construction FGC/USTHB 2017 page :8
La contrainte de compression du béton sera limitée dans les calculs a 0.6fcj. Jusqu’à cette valeur, le
diagramme des contraintes peut être assimile à une droite.
Pour le calcul des déformations, le coefficient b peut être réduit jusqu'à 1,35 de façon à être plus
représentatif du comportement d'ensemble de la pièce, car lorsque celle-ci est de grandes
dimensions, les effets locaux sont susceptibles de se compenser partiellement. Par contre, il
conserve sa valeur de 1.5 pour la justification des sections à l'état limite ultime.
En outre, lorsque la structure est soumise à plusieurs actions appliquées chacune à des temps
différents, on peut superposer les états successifs correspondants.
Dans les problèmes où intervient la torsion (par exemple le déversement des poutres), on ne tient
compte de l'inertie correspondante que dans les zones comprimées, avec un module de déformation
transversale évalué à 0,4 fois le module de déformation longitudinale déduit du diagramme
déformations-contraintes adopté ci-dessus.
Il faut noter que cette hypothèse est plutôt optimiste pour les fortes valeurs de la contrainte
longitudinale.
.4.5 états limites de service vis-à-vis de la durabilité de la structure
Les vérifications à effectuer portent sur :
Un état limite de compression du béton (A.4.5,2 ) ;
Un état limite d'ouverture des fissures ( A.4.5,3 ).
Les combinaisons d'actions à considérer sont celles de l’article A.3.3,3 , sous réserve des indications
données en A.4.5,31 .
La liste des états limites indiqués ici ne saurait être considérée comme exhaustive. Il peut y avoir
lieu de vérifier d'autres états limites en fonction du rôle assumé par la structure.
Les matériaux de construction41 sont des matériaux utilisés dans les secteurs de la construction :
bâtiment et travaux publics (souvent désignés par le sigle BTP). La gamme des matériaux utilisés
dans la construction est relativement vaste. Elle inclut principalement le bois, le verre, l'acier, les
matières plastiques (isolants notamment) et les matériaux issus de la transformation de produits de
carrières, qui peuvent être plus ou moins élaborés. On a ainsi dérivés de l'argile, les briques, les
tuiles, les carrelages, les éléments sanitaires.
Pour la réalisation de notre travail nous allons utiliser 2 types de matériaux. A savoir :
Matériaux naturel
Matériaux artificiels.
Un matériau naturel 42 est un matériau issu de la nature et qui n’a reçu aucune ou très peu de
modifications de l’homme.
Il existe 3 types de matériaux naturels :
Les minéraux
Les organiques d’origine végétale
Les organiques d’origine animale
Granulats’’ les matériaux inertes, sables graviers ou cailloux, qui entrent dans la composition
des bétons. C’est l’ensemble des grains compris entre 0 et 125 mm dont l’origine peut être
naturelle, artificielle ou provenant de recyclage.
Les granulats naturels : issus de roches meubles ou massives extraites in situ et ne subissant
aucun traitement autre que mécanique.
Les granulats artificiels : qui proviennent de la transformation thermique des roches, de
minerais, des sous-produits industriels.
1. Sables
2. Graviers
3. Moellon
4.L’eau de gâchage
1.sable : Un sable 43de bonne granulométrie doit contenir à la fois des grains fins, moyens et gros. Les
grains fins se disposent dans les intervalles entre les gros pour combler les vides. Le mortier obtenue
est ainsi plus résistant et d’une meilleure compacité.
Pour une meilleure qualité du béton ou du mortier, le sable utilisé devra être du sable de rivière non
micacée, dépourvue de terre, d’impuretés, de scories et notamment d’argiles.
La désignation du sable correspond à la norme NF P 18 – 304 :
41
https://www.techno-science.net/
42
https://www.ecobati.com
43
https://construction-maison.ooreka.fr
La quantité d’eau varie avec un très grand nombre de facteurs (dosage en ciment, granulats,
consistance recherchée du béton frais). Le dosage en eau est donné par le rapport pondéral C/E
(liant/eau) qui est optimal pour une valeur voisine de 2. Il est souhaitable de s'en rapprocher. En
général, les valeurs du rapport C/E sont comprises entre 1,66 et 2,5. Il convient de tenir compte de
l’eau apportée par les granulats.
Bref, les caractéristiques des eaux requises pour la conception des mortiers et des bétons sont précisées
dans la norme NF P 18 – 303.
3.Moellon : Un moellon45 (appellations anciennes « maillon » ou « moilon ») est une pierre à bâtir,
en général de calcaire, plus ou moins tendre, taillée partiellement ou totalement, avec des dimensions
et une masse qui le rendent maniable par une seule personne. Le moellon provient ordinairement des
carrières d'où on tire la pierre de taille et on le prend dans les bancs qui ont peu d'épaisseur. Les
moellons bruts étaient principalement employés à l'intérieur des maçonneries dans la maçonnerie de
blocage. Correctement taillés, ils remplaçaient la pierre de taille et venaient en parement dans des
constructions qui présentaient peu d'importance sous le rapport de l'architecture[1]. On dit que le
44
https://www.leroyemerlin.fr
45
https://monmacon.pro
moellon forme le petit appareil, alors que la pierre de taille, de plus grande dimension, forme le grand
appareil.
Le moellon brut ne sert guère que pour le remplissage. Cependant on peut avoir à l'employer en
parement alors le maçon choisit dans le tas de pierres qu'il a à côté de lui sur l'échafaud les plus belles
dont il dresse la tête aussi bien que possible avec sa hachette. Le manœuvre arrose ces moellons
avant l'emploi afin qu'ils ne dessèchent pas trop vite, puis le maçon étend à la truelle sur l'assise déjà
existante un lit de mortier de 2 cm à 3 cm d'épaisseur, met le moellon en place et fait refluer le
mortier en frappant avec la tête de sa hachette.
4.L’eau de gâchage : Eau46 incorporée au mélange liant et granulats afin d'enclencher sa priseet de
conférer au béton sa plasticité, donc son ouvrabilité. La qualité de l'eau de gâchage doit répondre à
la norme NF EN 1008.
Pour du béton standard, vous devez utiliser 250 kg de ciment, 1200 kg de granulat, 800 kg de sable, et
de 125 litres d'eau. Le dosage du béton standard nécessite 350 kg de ciment, 900 kilogrammes de
granulat, 800 kilogrammes de sable, et de 180 litres d'eau.
L'eau de gâchage des bétons doit être propre ne doit pas contenir des matières en suspension au-delà
de certaines valeurs : Tolérances réglementaires sont les suivantes : *2g/litre pour les bétons type A et
type B . *5g/litre pour les bétons type C.
Les matériaux47 artificiels proviennent de la nature mais sont transformés par l'homme :
• les alliages sont une combinaison (mélange) d'un métal avec un ou plusieurs éléments, le bronze est
un mélange de cuivre et d'étain,
• les céramiques comme le carrelage fabriqué à partir de l'argile,
• les matériaux synthétiques ou matières plastiques issus de la nature, comme le pétrole par
46
https://www.infociments.fr/glossaire/eau-de-gachage
47
https://www.skell.fr/
1.Les mortiers :
Les mortiers sont4548 obtenus par mélange homogène d’agrégats : le sable, avec une matière active
: le liant (ciment ou chaux), le tout gâché avec certaine quantité d'eau et d’adjuvants (si on en a
besoin). De la proportion des composants dépendent en grande partie la qualité et la résistance du
mortier mise en œuvre. Le rapport quantité de liant sur quantité de mortier prend le nom de "dosage"
; celui-ci permet de classer les mortiers en plusieurs catégories :
1. Catégorie de mortier :
• Des enduits ;
• Des joints de maçonnerie ;
• Des chapes.
On va présenter dans le tableau ci-dessous leur dosage respectif avec la quantité des matériaux qui le
compose :
48
https://www.futura-sciences.com
2. Les liants :
Les liants 4549sont des produits généralement employés sous forme de poudres fines et qui,
gâchés avec l’eau en pâte plus au moins épaisse, durcissent et forment une masse dure et compacte
analogue à la roche naturelle.
1.Liants hydraulique (ciment portland)
Les Romains et les Grecs savaient déjà fabriquer du liant hydraulique en faisant réagir la chaux
éteinte et des cendres volcaniques. La recherche sur l'hydraulicité des chaux a commencé à la fin
du 18e siècle, pour aboutir vers 1840 à la fabrication des ciments modernes. Le Français Louis
Vicat découvre en 1817 le principe d'hydraulicité des chaux concernant la proportion d'argile et la
température de cuisson- et publie ses travaux sans prendre de brevet. En 1840, Louis Vicat
découvre les principes d'hydraulicité des ciments Portland, par une cuisson à une température de
1450°C qui permet d'obtenir le clinker.
2. Fabrication du ciment
Le ciment Portland est une poudre minérale dont la propriété est de durcir sous l'eau, formant une
pâte qui durcit suivant une réaction et un processus d’hydratation.
La fabrication de ciment passe par les opérations suivantes:
Extraction et concassage,
Préparation du cru,
Cuisson ou calcination,
Broyage,
Expéditions.
3.La consistance : La consistance est le pourcentage optimal d’eau qui permet d’obtenir une pâte de
ciment de consistance normale. On utilise généralement l’appareil de "Vicat" pour mesurer cette
consistance et selon la norme NF EN 196-3. La figure 3.11 présente une photo de l’appareil de mesure
de la consistance normale.
4.La prise : C’est le terme employé pour décrire le raidissement de la pâte de ciment. La prise est
définie comme étant le changement d’un état fluide à un état solide. Le début de prise correspond à
l’augmentation brusque de la viscosité de la pâte de ciment et à une élévation de sa température. La
fin de prise correspond à la transformation régulière et progressive de la pâte de ciment en un bloc
rigide. Pour mesurer le temps de débit et de fin de prise, on utilise généralement l’essai de "Vicat",
NF EN 196-3. La figure 3.12 illustre l’appareil et résume la méthode de détermination du temps de
prise.
49
https://cimentbec.com
5.Propriétés mécaniques
Les résistances mécaniques, en traction et en compression des ciments, sont déterminées sur des
éprouvettes 4x4x16 cm en mortier normal à 28 jours d'âge. La résistance du mortier est alors
considérée comme significative de la résistance du ciment. Les figures 3.9 (a) et (b) montrent
l’évolution des résistances des différents produits d’hydratation du ciment.
Les normes4650 NA 442 et EN 197-1 définie cinq types de ciments. Ils sont classés en fonction de leur
composition :
CEM I : Ciment Portland artificiel,
CEM II : Ciment portland composé,
CEM III : Ciment de haut fourneau,
CEM IV : Ciment pouzzolanique,
CEM V : Ciment au laitier et aux cendres.
4.LE BETON.
Le matériau le béton armé 51est un matériau complexe, constitué de la réunion de deux matériaux
simple, le béton et l’acier.
2. GENERALITES
Le béton se compose de granulats (sables, graviers, cailloux) 'collés' entre eux par un liant hydraulique
: le ciment. Lorsque le ciment se trouve en présence d'eau, il fait prise, puis
durcit progressivement. Un béton hydraulique est constitué :
• D’une pâte pure (ciment + eau),
• D’un mélange granulaire,
• De produits additionnels (adjuvants, additions minérales, ...). On désigne
habituellement sous le vocable :
• De matrice ou de mortier : le mélange (liant + eau + sable),
• De squelette solide ou de squelette granulaire : le mélange des granulats.
Eau Air Ciment Granulats
Volume 14% -22% 1% -6% 7% -14% 60% -78%
50
https://ft.univ-tlemcen.dz
51
https://www.futura-sciences.com
Cet essai, consiste à mesurer la hauteur d'affaissement d'un volume tronconique de béton frais.
RESISTANCE
La résistance et l’ouvrabilité sont à étudier de pair, car ces 2 propriétés sont étroitement
dépendantes l’une de l’autre et d’autant plus, qu’elles varient en sens inverse en fonctions de
certains facteurs essentiels de la composition du béton.
Dans le cas courant, pour l'établissement des projets, la résistance de référence est prise à 28 j. (fc28).
Cette valeur fc28 est souvent définit par défaut, en fonction des exigences du CCTP et des conditions
de fabrication (cf. Tableau ci-dessous BAEL B.1.1). Dans le cas où les documents d'un marché le
permettent, une entreprise peut élaborer une composition de béton particulière. Dans ce cas, une étude
52
https://www.toutsurlebeton.fr
53
https://www.cerib.com
en laboratoire poursuivie par des essais de convenance peut être nécessaire selon les conditions du
marché.
Dosage en ciment en kg par m3 de béton Résistances caractéristiques
Classe 32.5 et 32.5R Classe 42.5 et 42.5R fc28 ft28
CC AS CC AS (MPa) (MPa)
300 / / / 16 1.56
350 325 325 300 20 1.80
/ 400 375 350 25 2.10
CC : conditions courantes de fabrication AS : auto contrôle surveillé
Dans les cas courant, on considère 5054que la résistance du béton évolue dans le temps très rapidement
à court terme (entre 0 et 7 j), puis ralentie (de 7 à 28 j) pour tendre vers une asymptote horizontale à
partir de 60 jours. Pour la référence en temps de 28 jours prise dans les calculs, on considère que le
béton a atteint, à cet âge, 90% de sa résistance à long terme. L'article A 2.1.11 du BAEL 91 donne les
formules suivantes afin d'estimer les résistances du béton en fonction du temps : Pour j≤28
3.Acier
Est appelé acier5155, un matériau contenant en masse plus de fer que tout autre élément, dont la teneur
en carbone est généralement inférieure à 2 % et qui contient d’autres éléments métalliques ou non.
Les aciers sont livrés en barre de 12 m de diamètres 6, 8, 10, 12, 14, 16, 20, 25, 32, 40 millimètres.
54
https://www.toutsurlebeton.fr
55
https://www.inoxdesign.fr
Les ronds lisses, dont la surface est lisse. Ce sont des aciers doux ; leur résistance est
moyenne, ils sont souples et élastiques ;
Les aciers à haute adhérence (HA) : la surface présente des reliefs (crantages,
crénelures, stries, nervures en hélice) qui améliorent l’adhérence de la barre au béton.
Ces aciers sont très résistants, mais peu souples : ils se cassent facilement si on les tord
sans précautions.
Les aciers utilisés pour les armatures sont des barres à haute adhérence et ont les qualifications
suivantes :
6.2 Nomenclature
Il faut, avant de façonner les armatures, prendre connaissance du travail à réaliser qui est dessiné
sur le plan de ferraillage et détaillé sur la nomenclature, tableau qui donne toutes les informations
nécessaires pour couper et façonner les aciers.
56
https://www.a3ms.fr
1. Marquer sur les filants la position des cadres et des épingles conformément au plan de ferraillage
2. Placer les cadres en alternant la position de leur fermetures (toujours en haut, à droite puis à
gauche) et les lier aux filants avec du fil d'attache (fil d'acier doux de 1 à 2 mm de diamètre) à
l'aide d'une pince à ferraille ;
3.suspendre le montage sur des chevalets ;
4.placer les épingles er les attache
L’analyse 58structurale est utilisée pour le dimensionnement de la structure ,elle permet de déterminer
la destruction de la charge aux divers états-limites soit des sollicitation ,soit des contraintes,
déformations et déplacements de l’ensemble ou d’une partie de la structure.
La poutre est un élément de la structure soumit à la flexion, elle reçoit les charges qui lui sont transmis
et les transmet aux poteaux
Le pré-dimensionnement59 des élément de l’ossature est primordiale pour évaluer les charges et la
résistance requises pour la sécurité d’un bâtiment
57
https://www.infociments.fr
58
www.infociments.fr
59
www.ABC-manconnerie.com
Dans 60 cet outil de calcul ,l’utilisateur spécifie de la forme et la longueur (portée) de la poutre pour
assure une bonne stabilité de la structure il faut nécessairement pré- dimensionnée la poutre chainage,
de telle manière a répondre toute les sollicitation suivantes.
Sollicitation, consternant les séismes et le vent
Sollicitation verticale, concernant les charges permanentes et les charges de l’ouvrage
Les pré-dimensionnement de la poutre est calculé conformément aux règles BAEL461 91/99 ,la
poutre sera pré-dimensionne par la condition de la flèche et elle sont vérifiée par RPA99 version
𝐿 𝐿
2003 selon la règles de BAEL qui nous dis h≥ 15 et h≤10
H= la hauteur
L=la distance entre les deux axes à l’appui de la poutre
790
Donc L= 790cm↔h≥ =52.66cm et h≤ 79𝑐𝑚
15
Nous avons l’inertie maximum la hauteur de la poutre chainage est de h= 60cm et la base est
égale a l’épaisseur du mur porteur
H=60cm
b= 20cm
Dans la théorie des poutres, élément de réduction correspondant à la composante du moment résultant
des action extérieures (par convention situées a gouache de la section qui provoque la flexion
longitudinale de la poutre
a) Evaluation de la charges4 62sur la poutre chainage
Surcharge de vent :45gk/m²x07.9m=355.5 kg/m
Poids de la charpente en bois :200kg/m²x7.9m=1580kg/m
Poids propre de la poutre :0.60x0.20x2500kg/m3=300kg/m
Poids du mur en maçonnerie :0.40x0.20x2400kg /m3=192kg/m
Poids enduit du mur en maçonnerie :0.06x7.9x2200kg/m3=1042.8kg/m
Surcharge d’entretien :100kg/m²x7.9m=790kg/m
Pour cette analyse dimensionnelle de la poutre, la combinaison de charge se fait soit en ELU
et en ELS
En ELU= 1.35G+1.5Q+1.5W
Or G=1580+300+192+1042.8
G=3114.8Kg/m et Q=790Kg/m
60
Bael 91/99
61
: Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) page 101
62
www.africmemoire.com
W= 355.5kg/m
En ELU = 1.35(3114.8) +1.5(790) +1.5(355.5) =4204.98+1185+533.25
Pt=5923.23Kg/m
En ELS= G+Q+W or Pt= 3114.8+790+355.5
Pt= 4260.3kg/m
Pour cette analyse dimensionnelle, nous avons adoptes la combinaison de charges en ELU
63
: Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992)page 160
64
: Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) page 70
Après le calcul dimensionnel de section des armatures de la poutre chainage, nous avons
analyse que, chaque coin de la poutre, soit armée avec les barre de diamètre 10, c’est-à-dire
HA10 section, la disposition constructive, les armatures doivent être disposées près de parois
pour empêcher la flexion et autre de déformation, en suite respecte le centre de gravité de la
pièce
a) plan d’exécution de la poutre chainage
Coupe A-A’
2cm HA6
56cm
2cm HA10
2cm 16 cm 2cm
B=20cm
La colonne865 étant une structure qui est sollicité par des charges ou forces verticales, qui travail mieux
en compression.
1.5 2.5
Ly 3.95 0.75
LX
Lx=3.95+0.75=4.7m
Ly=1.5+2.5=4m
S=lx.ly↔s=4.7mx4=m= 18.8m²
65
Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) :page 142
ℓ𝑓𝑥√12
A= ƛ
A= la plus petite cote de la colonne
ℓ𝑓= longueur de flamblement de la colonne
ƛ= 35 élancement mécanique d’une pièce comprime
L𝑓 = 𝐾𝑥ℓ𝑜
ℓ𝑜 = Hauteur sous plafond de la morgue
K= coefficient d’encastrement de la colonne dans le massif du béton
L𝑓 =0.65 et L=3m = 300cm
=0.65x300cm=195 cm
L𝑓 = 195𝑐𝑚
195𝑥√12 675.499815
A= = =19.29 cm
35 35
Pour la meilleur stabilité et résistance, nous avons adopté a= 20 cm, c’est à dire notre colonne sera de
section carrée a x a= 20cmx20cm
20cm
.
20cm
66
BAEL ne traitent pas des poteaux en béton non armé (Se référer à page 114
𝑁𝜇 0.85𝑥𝐵𝑟𝑥𝑓𝑐28 ɤ𝑠 0.85 𝜆 35
As=( - ) 𝑓𝑠 or ɤ = et ß=1+0.2(35)↔ 1+0.2(35) = 1.2
ɤ 0.9𝑥ɤ𝑏 ꝭ
0.85
ɤ= 1.2 = 0.708
ßr= (a-2)x(b-2)↔ (20-2)x(20-2)= 324cm²
10288.59 0.85𝑥324𝑥250 1.15
SA=( - ) 4000
0.708 0.9𝑥1.5
(14531.90-51000)0.0002875
(-36468.1)0.0002875 =-10.48cm²
SA= - 10.60 cm² comme la section des armatures de la colonne donne négativement, c’est-à-dire que
le béton elle-même peut répondre à la résistance à la pièce comprime
Pour une meilleure analyse statique, de la pièce comprime, qui travail mieux a compression, il faut
arme pour augmenter sa résistance à la compression avec les armature de la construction.
Les armatures qui travaille à la pièce comprime, doivent être disposées près de parois pour empêcher
les flambements et respecte le centre de gravite
La distance entre deux barres vaut de petit cote+ 10 cm
Chaque angle comme coin, doit comporter une barre
Coupe :AA
HA10
HA6
2cm 16 cm 2cm
b= 20 cm
coupe :BB
67
Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) : page 165
𝑝 𝑝
𝜎𝑠𝑜𝑙 = 𝑠 ↔S= 𝜎𝑠𝑜𝑙
𝑜𝑟 p=9687.46kg et 𝜎𝑠𝑜𝑙 = 4𝑘𝑔/𝑐𝑚²
9687.46
𝑠 = 4𝑘𝑔/𝑐𝑚²= 2421.865 cm²
Comme C’est une semelle continue sous mur, le pré dimensionnement se fait à une bande d’un metre
(1m)
𝑆 = 𝐵𝑥𝑏 𝑜𝑟 𝐵 = 1𝑚 = 100𝑐𝑚
S= Bxb = 2421.8654cm²
= 100 cmxb=2421.865cm²
2421.8654cm²
B= = 24.98 cm
100𝑐𝑚
Pour le = raison de la meilleure stabilité, nous adoptons b= 40 cm
Ht= hauteur totale de la semelle
B−b 40−20
Ht= + s↔ ht = + 5 = 10 cm
4 4
a) poids propre de la semelle de propriété
0.40mx0.10mx2500kg/m= 100kgx1.35=135kg
P’=135kg
68
www.construction-habitat.com
p+p′
B= 100𝜎𝑠𝑜𝑙 or p=9687.46kg et p’=135kg
9687.46kg+135kg 9822.46kg
p= = 4 00𝑘𝑔/𝑐𝑚 = 24.55615cm
100𝑥4 𝑘𝑔/𝑐𝑚²
Si le mur de fondation sera construit avec le pierre naturelle (moellons), la base de la fondation doit
être égale a la base de la semelle de propriété
Tandis que, le mur de fondation est construit avec les brique, le mur de fondation doit être inferieur a
la base de la semelle de propriété
DF
= 1.5
𝑏
DF = bx1.5
=40x1.5
DF= 60cm
Dans ce chapitre ,nous allons69 nous vocalise sur L’étude de prix a pour but de calculer, les prix de
vente unitaires hors taxes (P.V.H.T.) des ouvrages élémentaires (O.E.) afin d’en déduire à l’aide du
devis quantitatif le montant total ou partiel des travaux hors taxes (H.T) et toutes taxes comprises
(T.T.C.).
4.1.2 METRE
Le métré 71est une fonction de travail qui consiste à effectuer les relevés des quantités de matériaux,
dans le but d'obtenir le coût des ouvrages, en prenant en considération leur mesurage selon les modes
conventionnels ou normalisés (ex. : le m³ de béton, le kilogramme d'acier, le m² de carrelage, le m² de
cloison.
69
https://mcours.net/cours/pdf/econm/Etude_de_prix.pdf
70
https://www.4geniecivil.com/2020/01/definition-du-metre-et-definition-de.html
71
https://www.institut-grasset.qc.ca/batiment/quest-ce-que-le-metre-pour-lestimation-en-construction/
4.1.3 DEVIS
Le 72devis est d'abord un document d'information qui matérialise l'engagement des parties et qui doit
être signé avant la prestation. .
4.1.4 DEVIS DESCRIPTIF
Le devis descriptif 73et estimatif détaillé (DDED) est un élément qui permet d'analyser les éléments
composant le prix et donc de comparer les offres. Le devis descriptif et estimatif détaillé comporte
toutes indications permettant d'apprécier les propositions de prix.
4.1.5 DEVIS ESTIMATIF
Le devis estimatif 74(DQE) détaillé est un document qui permet d'analyser les éléments composant le
prix et donc de comparer les offres proposées. Il comporte toute indication permettant d'apprécier les
propositions de prix.
Le devis75 sert à sécuriser la relation commerciale avec le client: lorsque ce dernier a donné son accord
pour l'exécution de la prestation, il est engagé sur l'offre qui a été convenue
Pour cette partie d’étude, nous allons commencer par la fondation, qui est comme l’infrastructure et
ensuite, nous allons terminer par la superstructure comme élévation et la charpente en bois.
Partie 76 inferieur d’une construction (fondation), dans cette partie nous allons quantifier tous les
élément qui compose l’infrastructure
LCT= 258.5 longueur cumule totale de la fondation
b=0.40 m ,base de la fondation
h=fD= 0.70, comme la profondeur de la fondation
V= volume d’excavation de la fondation
LTC x b x Fd
= 258.6x0.40x0.70
V=72.41m3, comme volume d’excavation de fondation
72
https://www.google.com/search?q=devis&rlz=1C1BNSD_frCD980CD980&oq=devis&aqs=chrome.0.69i59l3j0i
73
https://biblus.accasoftware.com/fr/devis-metre-quantitatif-estimatif
74
/http://www.marche-public.fr/repondre-appels-offres-20100301-paris-sw01.html
75
https://www.l-expert-comptable.com/a/532419-comment-faire-un-devis.html
76
www.linternaute.fr
c) socles de la fondation
H= 1m
e=0.40m
b=0.40m
V= H x e x b
1x0.40x0.40
V=0.16 m3x33 socles = 5.28 m3
5.28m3 x300kg/m 3 1584
ciment : = = 32 sac de ciment
50kg 50
Gravier :5.28 m3 x 0.8 = 4.22 m3x 1.2 = 5 m3
Sable :5.28 m3x0.4= 2.11 m3 x1.2 = 3 m3
barre de fer de ∅ 𝐋.
b=0.40m
h= 1m
→ 1 + 0.5 = 1.5m
198 mt
→ 1.5mmx4=6 mx33 socles = 11.5mt = 17 HA 10x 1.2 20.4HA
1.5m
→ = 7.5≈ 8 etrier↔ 40-(4x2) = 32+10= 42 cm3
0.20
110.88
C’est à dire 0.42 x 8 = 3.36 x 33 socles = = 10HA6
11.5
→ fil de recuit: 5.28m3x2.5 kg/ m3 = 13kg x1.2 = 16kg
→ bois de coffrage : volume a coffre est 5.28 m3
→ volume de coffragen (bois):3mx0.03x0.30=0.027 m3
5.28m3 195
→Nombre de bois est de : 0.027 m3 = = 98 pieces
2
→ clous de fixation ∶ 5.28 m3x10kg/m3=53kg de clous
On désigne comme 77 superstructure l’ensemble des parties supérieurs d’une construction, ou des
parties situées au-dessus du niveau du sol, par opposition aux infrastructure
1. ELEVATION DE MURS
77
www.lamy-expertise.fr
Lo=3.00m
h=0.20m
e=0.20m
V= Loxhxe
=3.00x0.20x0.20
V=0.12x33 colonne = 3.96 m3
3.96m3 x300kg/m 3 1188
→ ciment = =23.76 sacsx1.2 = 29 sacs
50kg 50
→gravier : 3.96m3x0.8 = 3.17 m3
→ sable melange: 3.96m3x0.4 = 1.58 m3 de sable
→Barre de fer de ØL :3x4 barres = 12x33 colonnes
396
= 34.43 HA10
11.5
3
→ barre de fer de ØAT : 0.15 = 20+1 = 21 etriers pour la colonne or (0.16x4+0.10=0.74m
comme longueur de l’étrier)
512.82m
Nombre de barre de fer est de :0.74x21=15.54x33 colonnes = = 44.59≈ 45 HA6
11.5m
Fil de recuits : 3.96m3x2.5kg/m3= 9.9≈ 10kg
3.96m3 146.66
Bois de coffrages : 0.027m3 = = 73 pieces de bois
2
Clous de fixation :3.96m3x10kg = 40kg
252.4
Barre de fer de ØAT : +1 = 1684 morcaux des étriers or la longueur d’un étrier est de(
0.15
1380.88
60-4)+(20-4) = 72+10=82 cm = 82x 1684 = = 120HA6
11.5
Fil de recuits :30.29 m3x2.5kg/m3=70kg
30.29m3 1122
Bois de coffrage est de : 0.027m3= = 560 pieces de bois de coffrage ou 15 m3 de bois
2
Clous de fixation :30.29m3x 10 kg/m3= 303k
1m 1m
21.00m
23.00m
12.18m
4m 2.66
4.66 4.05
a²=b²+c²→a=√b 2 + c 2
a=√(4)2 + (11.5)²= =√16 + 132.25= √148.25 = 12.18m
LTC= d’une ferme est de
(4.66x2)+(2.66x2)+(4.05x2)+(1.33x2)+(11.5+4)↔9.32+5.32+8.1+2.66+11.5+5=40.9m x14
687.12m
Ferme = 5726mx1.2 = = 152.69 = 153 pièces de madriers de (10x5cm)
4.5m
e) planche de rive
1. plafonnage (faitage)
23m
Sens de y = +1 = 39 lignes x 26 m = 1014m
0.60m
26
Sens x = 0.60 + 1= 44 lignes x 23m = 1012m
LTC(1014m) +(1012m) = 2026m
Chevrons de (5x5)
2026m
Nombres de chevrons est de = 405 x1.2 = 486 pieces
5m
Clous de fixation V= 5m x 0.5 x0.05 = 0.0125x486= 6.075m3
= 6.075m3x10kg/m3 = 60.75 =61kg de clous ordinaire
2.TRIPLEXE
3.CREPISAGE
LCT= 252.4 longueur cumule totale
H=3.00 m
e = 0.02m, comme l’épaisseur
V= LTC x h x e
= 252.4x3.00x0.02 = 15.144 m3
15.144m3 x250kg/m 3 3786
ciment : = = 75.72sac x 1.2 = 91 sac de ciment x 2 interface de mur
50kg 50
=182 sacs
sable fin:30.288m3x1.2 x1.2 = 44m3
HxB 21x4 m 84
S= = == == = 42 m² x 2 pignons =84 m²
2 2 2
V= 84 m²x0.02m= 168m3 x 2 interface V= 3.36m3
3.36m3 x250kg/m 3 840
ciment : = = 16.8 x1.2 = 20 sacs de ciment
50kg 50
QUANTIFICATION DE LA PEINTURE
525kg
Nombre de sacs de chaux est de = = 5 sacs
50
841.2m²
Email = = = 280.4 l x 1.2 ) 336.48 l
3m2 /l
336.48 l
Nombres de boites des emails est de = = 17 boites de 20 litres
20
QUANTIFICATION DE PAVEMENT LISSE
L=24 m
l=21 m
e=0.10m
v= Lx lxe= 24x21x0.10
V= 50.4 m3
50.4m3 x300kg/m 3 15120
𝐜𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 = x1.2 = 362.88sacs
50kg 50
→gravier :50.4m3x0.8x1.2 = 48 m3
→ 𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐦𝐞𝐥𝐚𝐧𝐠𝐞: 50.4x1.2m3x0.4 = 24 m3 de sable
MAÇONNERIE
II FONDATION
SEMELLE DE
FONDATION
8 ciments kg 74 12 888
9 graviers m3 10 16 160
10 sables m3 5 16 80
13 Fil de recuits kg 26 2 52
IV FONDATION
14 moellons m3 94 22 2068
16 gravier m3 31
17 ciment kg 32 12 384
18 gravier m3 5 16 80
19 sables m3 3 16 48
21 Barre de fer ∅6 m3 12 4 48
22 Fil de recuits Kg 16 2 32
V1 MANCONNERIE EN ELEVATION
28 Ciment kg 29 12 348
29 Gravier m3 4 16 64
30 Sables m3 2 16 32
31 Q 40HA10 8 320
Barre de fer ∅10
32 Barre de fer ∅6 Q 54HA6 4 216
33 Fil de recuits kg 12 2 24
37 Gravier m3 29 16 664
38 Sables m3 15 16 240
56 Clous de 4 cm Kg 20 2.5 50
IX :PAVEMENT
60 Graviers m3 48 16 768
61 Sables m3 24 16 384
SOUS TOTAL : 5508$
X :PEINTURES
IV .2 DISCUTION DE RESULTATS
Dans cette partie, nous allons discuter le résultat de dimensionnement des éléments structuraux du
bâtiment de la morgue du centre hospitalier de KIBALI.
La structure son compose des éléments rectiligne ou oblique, relier entre eux par les nœuds rigides.
Dans ces cas, les charges peuvent être appliquée aux nœuds et son les travées.
La structure spécialisant utilisées dans les ouvrage de génie civil, le système de chargement est applique
sur la poutre chainage, suivent les dimensions structurales et aux nœuds.
Les sollicitations représentent le cas Générale, il s’agit de la flexion, cisaillement, l’effort normal et la
torsion.
L’évaluation des charges extérieures joue un rôle très important dans la conception de la structure,
tandis que l’évaluation avec soin des charge extérieures, conduit à une exactitude des résultats de toute
analyse statique de la structure
Les charges exerçant sur la structure peuvent être regroupées en deux groupes qui sont
1. CHARGES PERMANENTES
2. CHARGES D’EXPLOITATION
1 – Définition : La278 charge permanente comprend non seulement le poids propre des éléments
porteurs, mais aussi les poids des éléments incorporés aux éléments porteurs tels que : plafond, sol,
enduits et revêtements quelconques ainsi que ceux des éléments de la construction soutenus ou
supportés par les éléments porteurs tels que : cloisons fixes, conduits de fumée, gaines de ventilation,
etc…
La valeur de telles charges se calcule d’après le volume des matériaux et leur densité la plus grande
dans les conditions d’emploi.
En vue de faciliter le calcul de ces charges, il a été donné, à titre indicatif, en annexe des valeurs
moyennes d’un certain nombre de paramètres (poids volumiques et surfaciques, angle de frottement)
qui pourront être utilisées à défaut de mesures plus précises.
78
https://btp-cours.com/charges-permanentes-et-charges-dexploitation/
1 – Généralités :
Les79 valeurs des charges d’exploitation sont fonction :
Elles sont utilisées en tenant compte, d’une part, des réductions ou dégressions pour grandes surfaces
ou pluralité d’ouvrage, d’autre part, des conditions défavorables possibles de leur distribution
(existence ou absence totale ou partielle dans les diverses travées) (3)
La somme de charges d’exploitation pour l’entretien est de 100kg/m² et pour le vent de 45kg/m², selon
euro code.
La structure est stable et aussi calcule, par le les équation d’équilibre Pour c’et analyse de
dimensionnement de moment fléchissant de la poutre chainage, nous avons préfère d’utiliser la
méthode de KANI CROSS, pour le calcul de moment parfait de la poutre
𝑝𝑙2 𝑝𝑙2
MA=+ et MB= -
12 12
La colonne80 étant une structure qui travail mieux en compression et sollicite par des charge verticales
Pour notre structure, l’analyse statique deb la colonne la plus charges a été analyse par la formule du
béton arme, selon la méthode de BAEL 91 ? Est
79
https://btp-cours.com/charges-permanentes-et-charges-dexploitation/
80
file:////BAEL91MOD99,VERSION%20 DEUXIEME2ED
81
KAMBALE MALUMALU Jérémie, TFC, IBTP ,2020
82
file://BAEL91MOD99,VERSION%20 DEUXIEME2ED
CONCLUSION
Si nombre de gens ont peur de la mort, la mort ne craint personne et être courageux sans compassion
mène à la mort. La compassion fait agir alors que la faiblesse rend craintif. Vieillir, c’est passer de la
passion à la compassion. Alors la mort nous fait penser à nos très chers et de leur organiser un bon
dernier hommage digne de leur vécu sur la terre83.
C’est pour cette raison que nous avions bien suggérer de focaliser notre étude sur « l’avant-projet de
construction d’une morgue au centré hospitalière de Kibali dans la cite de Durba, territoire de watsa,
province de haut-Uélé » pour organiser un bon dernier hommage au personne décède.
Pour parvenir à notre fin. Nous nous sommes pose des questions suivantes :
Comment faire pour doter la cite de Durba d’une morgue ?
Quel sera le cout total du projet ?
L’idée que nous avons présentée où défendre au cours de notre travail, compte tenus de nôtres
problématique, est la solution à de question pause a la problématique pour les problématique ci-dessus,
voici quelque élément de réponse.
Cette morgue serait construite selon le norme architecturale pour doter la cite de Durba une
morgue
Pour trouver le cout total de cette ouvrage, on procèderait à la quantification de matériaux,
mètre et devis.
Pour atteindre les objectifs assigne. Nous avons fait recours à la méthode de travaux publique qui
consiste à recevoir un ouvrage de génie- civil et cette méthode a été compléter par les techniques telle
que : analyse, documentaire, interview libre, récolte des données, webographie.
En dehors de l’introduction et la conclusion, notre étude s’articule autour de trois chapitres
principaux et fondamentaux, lesquels chaque chapitre comprendra chacun des sections subdivisées
en paragraphes.
Poutre : H=60cm
b= 20cm
Colonne :20x20
83
http://evene.fr
Certains enquêtés analphabètes n’étaient pas disposer à répondre à nos questions lors de nos
enquêtes.
Mais nous avons surmonté ces difficultés grâce à notre courage et endurance.
Sur ce, nous ne prétendons pas avoir réalisé un travail parfait c’est la raison pour laquelle nous
restons ouvert à toutes les critiques tant positives que négatives de nos éventuels lecteurs dans le but
de l’amélioration de son contenu.
BIBLIOGRAPHIE
1. OUVRAGE
1.BAEL91MOD99,VERSION%20 DEUXIEME2ED
2.CD-DTU V2 - Edition 150 - Décembre 2007