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République Démocratique du Congo

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT ENSEIGNEMENT SUPERIEUR


ET UNIVERSITAIRE
INSTITUT DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS
IBTP/KIS

B.P 517
Kisangani
Section : bâtiment et des travaux publics
TRAVAIL DE FIN DE CYCLE
Sujet : l’avant-projet de construction d’une morgue au
centré hospitalière de Kibali dans la cite de Durba, territoire
de watsa, province de haut-Uélé »

Présenté par : TIBOGO AGAZA LEON

 Encadrer par assistant : DAN BISELENGE


 Sous la direction de L’assistant : OLO NGA Sylvie

ANNE ACADEMIQUE 2021-2022


I
EPIGRAPHI
Si l’éternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain

Psaumes 127 :1a

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


ii

DEDICACE
Je dédie ce travail à ma mère AGAZANE Charlotte et toutes la famille AGAZA

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


iii

REMERCIEMENT
Nos remerciements s’adressent à Dieu tout puissant pour sa force et sa grâce
Nos remerciements le plus émie s’adressent aux autorités de l'Institut du Bâtiment et des
Travaux Publics (IBTP) pour nous avoir donné des enseignements de qualité qui font
de nous des futurs ingénieurs compétents pour le service de la nation congolaise.
Nos remerciements les plus sincères et considérable d’adressent à madame Sylvie OLONGA qui a tenu
la direction de ce travail et a l’assistant DAN BISELENGE pour son encadrement.

Nous restons très reconnaissants durant toute notre vie de tous les efforts et sacrifices consentis par
KAREL AGAZANE a qui nous disons merci.

Nous Tenons à remercier également toutes la famille nous passons à : PAKULA


Lucie, ANDONIANE Aimée, ADIMONZI Elise, BASADE Jose, MANZIAMA Annie

Nos remerciements s'adressent aussi à mon grand frère LIBAKI KOPI Et sa femme
Jose, GAGA KANOLD, AGAZA Timothée.

Sans oublier TWAKALI Mireille Pour ses conseille et encadrement.

Merci à tous mes collègues avec qui nous avion entretenue de bonnes relation durant notre passage
académique a l’IBTP et par tout ailleurs je pense à : KIBA Dieu merci, KABEYA Mwepu, SENGELI
NGWANGWA, MUSA fiston, MAMBATA Rachel, PANGAPANGA Rolande

A tous ceux dont les noms n’ont pas été cites trouvent ici l’expression de notre profonde reconnaissance
et nous leurs disons merci

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iv

LISTE DES NOTATIONS ET SYMBOLES

Notations en lettres majuscules romaines

B Section du béton

Br : Section réduite du béton

Notations en lettres majuscules romaines

b: longueur de base

fbu : Résistance du béton à l’état ultime

fc28: Résistance caractéristique à la compression du béton à 28 jours

fe : Limite d’élasticité de l’acier

ft28 : Résistance caractéristique à la traction du béton à 28 jours

g : Charge permanente uniformément répartie

h : Hauteur

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v

Notation en lettre grecques.


μ: Coefficient sans dimension
: Diamètre nominal des armatures
γ : Rapport de dimensions

𝛾𝑏 : Coefficient de sécurité partiel du béton

𝛾𝑠 : Coefficient de sécurité partiel de l’acier

𝜎𝑏𝑐 : Contrainte de compression du béton

𝜏 : Contrainte tangentielle

𝜏𝑏𝑓 : Contrainte tangentielle réduite

𝜏𝑢 : Contrainte tangentielle ultime

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Vi
LISTE DES ABREVIATIONS
Ar : Ariary

B.A : Béton Armé

B.A.E.L. : Béton Armé aux Etats Limites

CEM : Ciment

C.P.A. : Ciment Portland Artificiel

D.E.P. : Descente des Eaux Pluviales

D.T.U. : Document Technique Unifié

E.C. : Entièrement Comprimée

E.L.S. : Etat Limite de Service

E.L.U. : Etat Limite Ultime

E.P. : Eaux Pluviales

E.U. : Eaux Usées

E.V. : Eaux Vannes

G.C.N.T : Grave Concassée Non Traitée

H.A. : Haute Adhérence

H.T. : Hors Taxe

L.N.T.P.B : Laboratoire National des Travaux Publics et des Bâtiments

N.F. : Normes Françaises

P.M.E. : Petites et Moyennes Entreprises

P.U. : Prix Unitaire

P.V.C. : Polyvinyle Chlorique

R.D.C. : Rez-de-chaussée

T.O.G. : Tôle Ondulée Galvanisée

T.T.C. : Toutes Taxes comprises

T.V.A. : Taxe sur les Valeurs Ajoutées


WC : Water Close

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00.INTRODUCTION

Si nombre de gens ont peur de la mort, la mort ne craint personne et être courageux sans compassion
mène à la mort. La compassion fait agir alors que la faiblesse rend craintif. Vieillir, c’est passer de la
passion à la compassion. Alors la mort nous fait penser à nos très chers et de leur organiser un bon
dernier hommage digne de leur vécu sur la terre1.

C’est pour cette raison que nous avions bien suggérer de focaliser notre étude sur « l’avant-projet de
construction d’une morgue au centré hospitalière de Kibali dans la cite de Durba, territoire de watsa,
province de haut-Uélé » pour organiser un bon dernier hommage au personne décède.

0.1ETAT DE LA QUESTION

Tout en nous référant aux travaux antérieurs, la pertinence de la reconnaissance de


efforts de nos prédécesseurs s’avère indispensable et importante. Ainsi nous avons
l’honneur d’énumérer certains travaux qui ont été confectionné sur ce thème dont nous
nous sommes servi à titre de référence leur hypothèse nous a aider à réaliser cette
étude tel que présenter dans le tableau ci-dessous.

N° NOM & POST SUJET ANNEE PROBLEMATIQUE HYPOTHESE


NOM
Projet de 2construction Cette situation Le projet de construction
1 KAMBALE d’une salle de mort à 2019- inquiétante n’échappe d’une salle de mort serait
MALUMALU l’hôpital imani quartier 2020 pas l’hôpital IMANI ou indispensable au sein de
Jérémie plateau boyoma, de personnes décèdes cette hôpital pour la
commune makiso. sont de fois exposer ou bonne conservation de
acheminer à l’hôpital personnes décèdes sur
général de makiso. place.
2 BAELO Avant-projet de 2019- Comment construire La construction de cet
YOKANA 3
construction d’une 2020 une morgue et ouvrage demande
Mardochée morgue à l’hôpital conserver le corps de beaucoup de moyen pour
général d’isangi personne décède à construire une morgue
isangi ? respectant les normes
architectural à isangi.

1
http://evene.fr
2
KAMBALE MALUMALU Jérémie, TFC, IBTP ,2020
3
BAELO YOKANA Mardochée, TFC, IBTP,2020
2|Page

3 NZEGE Avant-projet4de 2019- Comment cet ouvrage Cette morgue serait


YEVINE construction d’une 2020 doit-il se présenter construit selon les
Trésor morgue a l’hôpital architecturalement ? normes d’art et à
général de référence de l’exigence de génie civil.
Buta
4 AWAGWINZE Avant-projet5 de 0217- Il observe l’absence de La construction de la
NGESI Denis construction d’une 2018 d’une morgue dans la morgue dans l’hôpital
morgue a l’hôpital ville de buta générale de buta tiendrait
général de référence de a un type précis de
Buta conception.

0.2 PROBLEMATIQUE DE LA RECHERCHE

Il y a l’absence d’une morgue dans la cite miliaire de Durba, ce qui cause un grand problème pour la
congélation des cadavres dans cette cite sur peuple de la province du haut-Uélé, pour palier à ces
problématiques qui semble être évident pour cette cite, nos ambitions s’étale sur des questions
suivantes :
 Comment faire pour doter la cite de Durba d’une morgue ?
 Quel sera le cout total du projet ?

0.3 HYPOTHESE DU TRAVAIL

L’idée que nous avons présentée où défendre au cours de notre travail, compte tenus de nôtres
problématique, est la solution à de question pause a la problématique pour les problématique ci-dessus,
voici quelque élément de réponse.
 Cette morgue serait construite selon le norme architecturale pour doter la cite de durba une
morgue
 Pour trouver le cout total de cette ouvrage, on procèderait à la quantification de matériaux,
mètre et devis.

0.4 OBJECTIF DU TRAVAIL


Ce travail tient à atteindre les objectifs suivants :
 Définir les concepts généraux et les concepts des bases
 Etablir le mettre et devis de l’ouvrage
 L’analyse de la conception de l’ouvrage
 Étudie les types de matériaux de construction à utiliser

4
NZEGE YEVINE Trésor, TFC, IBTP,2020
5
AWAGWINZE NGESI Denis, TFC, IBTP,2018

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:70.5 CHOIX ET INTERET DU TRAVAIL

Ce travail présente un triple intérêt qui est à la fois scientifique, socio-économique


Intérêt scientifique : le présent travail servira comme document de référence au futur chercher
au travaux de génie civil et à la construction d’une morgue.
a) Intérêt socio-économique : la construction de cet ouvrage permettra à la population du
territoire se watsa de conserver les morts.

0.5.1 Méthodes et techniques du travail


1.Méthodes
La réalisation d’un travail scientifique exige une démarche en vue d’atteindre son but. Dans notre
travail, nous avons fait recours à la méthode ethnographique. Cette méthode est soutenue par les
techniques d’analyse documentaire, d’observation et d’entretien.

1.1 Méthode ethnographique.

Selon Luc Bonneville, Sylvie Grosjean et Martine Lagacé16, la méthode ethnographique permet au
chercheur en communication d’étudier un groupe de gens, ses conduites, ses actions et de les
interpréter en contexte. Cette méthode repose sur une tradition théorique (l’interactionnisme
symbolique) selon laquelle la signification sociale des phénomènes sociaux provient du sens qu’on
leur donne au cours de nos interactions.7
0.5.2 Technique

La rédaction d’un travail scientifique doit avoir à son sein des techniques réalisés. C’est pour cette
raison que nous utiliserons quelques techniques pour donner sens à notre travail. Ces techniques
sont :

1. technique documentaire
La consultation des ouvrages qui traitent sur le domaine du sujet en étude, les travaux de fin de cycle
de nos prédécesseurs, les notes de cours et les recherche de données sur internet.

2. technique interview
Nous avons recueilli auprès des agents de diffèrent morgue dans la ville de Kisangani sur le
fonctionnement d’une morgue.
3. technique d’observation
Observer le site par rapport à l’état de ‘ouvrage enfin de mieux positionner l’ouvrage à
construire ,et recueillir les données nécessaires à intégrer dans la réalisation de cet ouvrage8.

6
BONNEVILLE, L., GROSJEAN, S. et LAGACE, M., Introduction aux méthodes de recherche en communication, Montréal
(Québec), Gaëtan Morin éditeur, 2007, pp. 163-164.

7
BONNEVILLE, L., GROSJEAN, S. et LAGACE, M., Introduction aux méthodes de recherche en communication, Montréal
(Québec), Gaëtan Morin éditeur, 2007, pp. 163-164.
8
Www, Google consulté le 20/05/2022 à 15h00

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0.6 DELIMITATION DU TRAVAIL


Etant dans l’obligation de nous conformer aux exigences de la rédaction d’un travail scientifique,
notre travail sera limité dans une spatio-temporelle.

0.6.1 Dans le temps


En faisant l’analyse de notre travail, nous nous sommes proposé de considérer la période allant du 15
juin 2022 au 23 décembre 2022.

0.6.2 dans l’espace


Par rapport à la délimitation spatiale de champ de notre étude, nous pensons que l’espace d’étude dans
lequel se limiteront nos recherches scientifiques par rapport à ce travail est la province de haut-Uélé,
territoire de watsa, cite de Durba.

0.7 DIFFICULTE RENCONTREES DE RECHERCHER

Pour la réalisation de ce travail, nous nous sommes buté aux multiples difficultés telles que :
 La non disponibilité des informations suite à une perte de certains documents de l’hôpital par
d’autres chercheurs qui nous ont précédés.
 Néanmoins, il est à signaler qu'en dépit de ces différentes difficultés rencontrées et la
persévérance, avec une bonne formation reçue de nos enseignants après toutes ces années, nous
nous sommes en sorti, pour ainsi arriver à réaliser ce présent travail.

0.8 SUBDIVISION DU TRAVAIL

Notre travail s’intitule « avant-projet de construction d’une morgue au centre hospitalière de Kibali
dans la cite de Durba province de haut-Uélé » En dehors de l’introduction et la conclusion, notre
étude s’articule autour de trois chapitres principaux et fondamentaux, lesquels chanque chapitres
comprendront chacun des sections subdivisées en paragraphes.

 LE PREMIER CHAPITRE PORTERA SUR LES GENERALITES


 LE DEUXIEME CHAPITRE S’ARTICULE SUR L’ANALYSE DE LA CONCEPTION
DE L’OUVRAGE ET ETUDE DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION A UTILISER
 ET LA TROISIEME CHAPITRE ABORDE SUR LES RESULTATS L’ANALYSE DE
DIMENSIONNEMENT DE LA STRUCTRURE

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CHAPITRE I : GENERALITES

I.1 Définitions des concepts

Au cours de ce chapitre, nous allons définir les concepts clés liés à notre sujet ainsi que ceux
couramment utilisés dans notre domaine. Notons que certains concepts auront un sens plus particulier,
surtout du point de vue technique. Ensuite, nous présenterons notre milieu d’étude : Centre
Hospitalière de Kibali : Sa dénomination, son objectif poursuivi, son historique, sa situation
géographique et sa structure organique et fonctionnelle, et nous allons boucler par les étapes des
constructions.

I.1.1 Définition des concepts des bases

1.Avant-projet: étude technique 9 et économique préalable d’un projet donnant lieu à un dossier
constitue de pièces écrits(devis, descriptif en particulier) et document graphique.
On distingue deux phases : l’avant-projet sommaire (sigle :aps) qui aborde les grandes lignes du projet,
puis l’avant-projet détaillé (sigle :APD),plus précis, sans toutefois atteindre l’exhaustivité du dossier
final
2.Construction:opération 10 Qui consiste à assembler, à disposer les matériaux ou les différentes
parties pour former un tout complexe et fonctionnel.

3.Morgue:la morgue11 Est une unité de conservation des corps durent le temps nécessaire pour que
les familles ou que l’entreprise de pompe funèbres vient retirer le corps.
Elle est constituée des frigos pour cadavres ; de locaux d’autopsie ; d’un local de préparation et retrait
de depouille.il faut aussi prévoir un local de réception de corps ainsi qu’une petite administration avec
accueil et attente.
Il existe deux types de morgues :
a) A température positive +2°C /.4°C ou le corps peut être conserve quelque semaines (mais la
décomposition se poursuit.
b) A température négative (congélation) pour une conservation plus longue (la décomposition est
arrêtée).
La législation de la majorité de pays exige un enterrement sous 48 ou 72 heures mais dans de nombreux
pays, notamment en Afrique noire, les corps demeurent parfois plusieurs semaine, mois avant que la
famille ne vienne returer le corps de la morgue pour effectuer l’enterrement.
La nécessite de regrouper les membres de la famille et le cout parfois exagère des funérailles demande
du temps pour réunir les sommes nécessaires à des funérailles dignes.

9
www.edition-eyrolles.com
10
www.cnrtl.fr
11
Professeur Dominique Leconte, directeur de l’institut médico-légal de paris »la médecine légale »,Ed

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4.centre hospitalière : Est un établissement 12de soins ou un personnel soignant peut prendre en
charge des personnes malades ou victimes de traumatismes trop complets pour être traites à domicile
ou dans le cabinet de médecin.
5. la cite :(latin civitas) Est un statut administratif13 ou honorifique attribue à un établissement humain
généralement plus peuplé qu’une ville selon les règles locales.
Dans l’antiquité, avant la création des états, elle désignait un groupe d’hommes sédentarises libres,
continuant une société politique, indépendante des autres, ayant son gouvernement, ses lois, sa religion
et ses propres mœurs
De nos jours, la cite est aussi un statut légal défini différemment selon les régions du monde.

6.Territoire14 :Portion de l’espace terrestre dépendant d’un Etat, d’une ville, d’une
juridiction ;espace considère comme un ensemble formant une unité cohérente, physique,
administrative et humaine.

7. province15 : Division territoriale d’un état placée sous l’autorité d’un délègue de pouvoir centrale,
en particulier .

I.1.2 Définition des concepts généraux

1. Chambre mortuaire: Est un équipement 16 qui n’existe que dans les établissements de sante,
obligatoirement dans les grands hôpitaux, ou clinique.

2. Chambre funéraire: C’est l’endroit 17 ou réponse le défunt en attendant la cérémonie des


obsèques ;elle est créé soit par une régie municipale, soit par une entreprise de pompes funèbres.
3. Thanatopracteur : il consiste à prodiguer des soins de conservation au défunt, des soins dits
d’hygiènes et de prévention, elle retardant la dégradation de corps et gomme les stigmates de la
mort.

4. Autopsie :Enquêtes policières 18décrétée par un juge dans le cadre d’un affaire judiciaire, elle a
pour objectif :- déterminer l’identité d’un mort anonyme
-comprendre les circonstances de sa disparition
-accumuler données scientifique et preuves en vue d’un éventuel procès

12
https://fr.m.wikipedia.org
13
https://fr.m.wikipedia.org
14
http://www.larousse.fr
15
http://www.larousse.fr
16
http://www.lassurance-obseques.fr
17
http://www.lassurance-obseques.fr
18
http://www.lassurance-obseques.fr

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5.cellule réfrigérantes : Sont constituées19 de panneaux sandwich autoportants, de très haute densité
et avec un coefficient d’isolation sans équipement, il sont, sans aucun doute, les meilleurs du marché
à ce jour.
- panneaux sandwich :est un panneau20 isole de couverture compo

6.chambre froid : Une chambre froide est une pièce dédiée au stockage et à la conservation des
denrées alimentaires pendant une longue période de temps, les denrées périssables comme la viande,
le poisson, les fruits et légumes, les produits laitiers et les pâtisseries doivent être entreposes dans cet
entrepôt a basse température.
Il existe deux types de chambre froides :


Chambre froides négative : Est une chambre froide au sein de laquelle la température est en-
dessous de 0° C et -18°C elle utiliser pour la congélation
 Chambre froides : Set une chambre dans laquelle la température avoisine set de 0°C -3°C cela
peut varier en fonction de l’utilisation et maintient au frais et à la portée de main.
7.refrigirateur : Est un appareil électroménager équiper d’un compartiment principal, dont la
température est maintenue entre 2 et 6° C’est d’un compartiment dédie à la congélation, dont la
température est à -18°C.

8.congelateur: Un congélateur 21 ou surgélateur est un appareil destiné à stocker durablement les


aliments surgelés ou congelés en les maintenant à une température de −18 °C. On distingue les produits
surgelés (refroidissement rapide pour une température à cœur de −18 °C) et les produits congelés
(refroidissement plus lent pour une température à cœur de −12 °C).

9. hôpital : Établissement public ou établissement22 privé ayant passé certaines conventions avec l'État
et où peuvent être admis tous les malades pour y être traités.

10.centre de sante : Les centres de santé23: sont des structures d’exercice regroupé de premier recours
permettant de répondre aux enjeux d’accès à une prise en charge coordonnée de qualité, notamment
dans des zones de désertification médicale.

11.clinique: Une clinique médicale24 est un établissement de santé offrant des soins de première ligne
variés tels que la médecine familiale, des soins d’urgence, des suivis médicaux et autres services de
santé selon l’établissement.

19
http://www.elcya-funeraire.com
20
http://www.bacacier.com
21
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cong%C3%A9lateur
22
https://www.larousse.fr/
23
https://www.centres-sante-auvergnerhonealpes.org/
24
https://www.indexsante.ca/

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I.2.ETUDE DU MILIEU DU SITE


I.2.1. ETUDE GEOTECHNIQUE DU SITE
1. SOL : En génie civil, la nature du sol est déterminée par des analyses des différentes couches du
sol par rapport à :

 Première étape : la reconnaissance géologique « in situ ». Emplacement, adresse, plans de


coupe, cartes géologiques, existences de chantiers antérieurs… Le géotechnicien mène
l’enquête. Ensuite, plusieurs solutions techniques sont envisageables.13

 La méthode de Sondage : Cette méthode sert à déterminer les différentes couches du sol par
un appareil appelé : pénétromètre soit statique ou dynamique.
 La plus courante consiste à utiliser un pénétromètre dynamique (encore appelé panda) qui
va enfoncer à l’aide d’un marteau une tige à travers les couches du sol sur environ cinq
mètres d’épaisseur. L’appareil mesure la vitesse du marteau et son enfoncement. Ce qui
permet d’évaluer la densité et la portance du sol. C’est-à-dire sa capacité à supporter le
poids de la future maison.

 Autre technique : tester la résistivité du sol en lui injectant de l’électricité. Cela permet
de déterminer si le terrain est plutôt homogène ou hétérogène. C’est une donnée essentielle. Car les
fondations doivent reposer sur un sol de même nature sous peine de voir la maison s’effondrer.

 Tube carottier : un carottage sera aussi effectué grâce à un cylindre. Il permettra de


connaître précisément les différentes strates qui constituent le sol.
C’est ainsi donc, nous avons choisi la méthode par sondage mais d’une manier alcaïque qui nous a
permis de déterminer la contrainte du sol de notre site, le sol de notre site est de type Argileux
Sablonneux. Ce qui nous écartes de tous les paramètres faisant défaut à la réalisation de notre structure
avec une contrainte de : 2 à 4 kg/cm2.
TABLEAU DES CONTRAINTE DU SOL

N° NATURE DU TERRAIN RESISTENCE AUX CONTRAINTES


DU SOL
01 Les roches (éruptives calcaires dures) 15 kg/cm2 ou plus
02 Les roches tendres (calcaires tendres, les 5 à 8 kg/cm2
marnes et argiles compacts)
03 Les sables et les graviers 3 à 5 kg/cm2
04 Les roches tendres désagrégée mânes 15 2 à 4 kg/cm2
05 Argileux Sablonneux 2 à 3 kg/cm2.

06 Argiles pur et les marnes argileuse 1 à 2 kg/cm2


07 Argile, sable saturé d’eau, les vases 0,5 kg/cm2
d’estuaire

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I.2.2 SITUATION TOPOGRAPHIQUE


Il est situé sur une plaine avec une altitude qui varie de 513m à 506m données fournie au moyen de
l’appareil GPS.

Les coordonnées géo référentielles sont :

 Amont : - Altitude : 853m


 Latitude : 03° 30΄ 29,5´´N
 Longitude :29,5° 17ʼ 36,5ʺE
 Aval : - Altitude : 506m
 Latitude : 05° 27ʼ 32,6ʺE
 Longitude : 24ʼ 13,3′ 23,2″E

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10 | P a g e

I.2.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE

I.2.4. SITUATION ADMINISTRATIVE.

Le Territoire de Watsa se situent géographiquement au Nord-est de la République Démocratique


du Congo, dans l’actuelle province de Haut Uélé l’un de district de l’ancienne province Orientale
démembrée.
Le Territoire de Watsa fait frontière avec le Territoire de Faradje au Nord-Est, au Nord-Ouest par
le Territoire de Dungu, au Sud-Est par la province de l’Ituri (Territoires de Mahagi et Djugu), au
Sud-Ouest par les Territoires de Rungu et de Wamba.
À plus de 700 km à l'Est de Kisangani, et à environs 400Km d’Isiro qui est le chef-lieu de la province
du Haut Uélé.
Les territoires de Watsa composés de 17 secteurs et chefferies

I.2.5 SUPERFICIE DU SITE

Notre site a une superficie de 423.02m


0.42km
1.16ha
11619.39m2
0.01km2

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11 | P a g e

I.2.6 APERCU HISTORIQUE DU CENTRE HOSPITALIER DE KIBALI

1. Brève historique.

Rappelons au ’en 2006, la société minière MOTOGOLD, qui avait comme activité principale la
prospection minérale, s’était dotée d’un centre médical lui permettant d’offrir les soins de santé a ses
personnels.
De 2006 à 2013, le centre médicale Kibali(CMK), jadis appelé le centre médicale borgakim(CMB) a
fonctionné dans deux anciens bâtiment de la SOKIMO situe au quartier malemba.
Le centre hospitalière Kibali (CHK), tire ses vraies origines depuis la date du 07 aout 2004, qui
correspond à la cession officielle du centre médicale Kibali(CMK) par la société minière Kibali gold
mine au gouvernement provincial de l’ancienne province orientale non encore démembrée, et celle au
profil de la communauté locale du territoire de watsa.
Ce qui fait à ce jour du centre hospitalier Kibali(CHK), un patrimoine exclusif du gouvernement
congolais.

I.2.5 ORGANIGRAMME DE L’HOPITAL

COMITE DE GESTION

COMITE DIRECTEUR

MEDECIN DIRECTEUR

AGIS DN MEDECIN CHEF DE STAFF

CHEF DES MEDECINS


COMPTABLE
SERVICES TRAITANTS

CAISE INFIRMIE
R
SECRETARIANT

LOGISTIQUE
SOUS- TRAITANTS

HUISSIER
TECHNICIENS DE SURFACE

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I.2.6 TAUX DE MORTALITE DE L’HOPITAL

Année Nombre des malades Nombre des décès Moyenne de l’année par %

2015 23458 70 70/23458*100=0.29%


2016 28413 118 118/28413*100=0.41%
2017 34248 76 76/34248*100=0.22%
2018 30642 90 90/30642*100=0.29%
2019 41253 102 102/41253*100=0.24%
2020 31849 83 83/31849*100=0.26%
2021 36768 85 85/36768*100=0.23%

I.3 ETAPE DE LA CONSTRUCTION


I.3.1 LES TRAVAUX PREPARATOIRE
1.Terrassement : Le terrassement25 vise à préparer le terrain qui accueillera la future construction en
modifiant son relief. Au cours de cette opération, de grandes quantités de matière (terre, pierres...)
seront déplacées afin d'élever (remblai) ou de baisser (déblai) le niveau du sol. Le terrassement
comprend plusieurs étapes :

2.Le piquetage : consiste notamment à délimiter le terrain, situer l'emplacement du futur bâtiment, et
prévoir les zones consacrées aux canalisations.

3.L’évacuation des eaux : pour garantir la stabilité du terrain par temps humide, on va creuser une
tranchée et poser des canalisations permettant l'écoulement des eaux de pluie.

4.Le décapage et la création des accès : le décapage consiste à extraire la couche supérieure d'un
terrain (constituée de terre végétale), afin d'atteindre une couche de sol suffisamment solide pour
assurer la stabilité de la future construction. L'emplacement de chaque voie d'accès (entrée de garage,
de maison...) sera ensuite recouvert d'un film géotextile, lui-même surmonté d'une couche de roches
concassées.

5.Les fouilles en tranchées : on va creuser les tranchées qui permettront le passage des canalisations
d'eau et le raccordement aux différents réseaux (électricité, gaz, internet...)

6.Le remblaiement : il s'agit ici de reboucher 26les différentes tranchées et trous réalisés pour enterrer
les canalisations et autres réseaux. On utilise pour cela un mélange de terre, de gravats, et de cailloux.

Une fois le terrassement terminé, les terres prélevées inutilisées seront transportées pour être évacuées
du chantier.

25
https://www.travaux.com
26
https://www.cnrtl.fr

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13 | P a g e

I.3.2 LES GROS OUEVRES


1. Gros œuvre: Le gros œuvre désigne27 l'ensemble des travaux qui contribuent à la solidité et
à la stabilité d'un bâtiment. Il s'agit donc des travaux liés à la construction ou à la rénovation
de l'ossature du bâtiment, qui incluent :
Les ouvrages assurant la solidité et la stabilité de l'édifice, ainsi que les éléments qui leur sont
indissociables (terrassement, fondations, assainissement, soubassement...)
Les ouvrages qui contribuent à la fermeture, la couverture et l'étanchéité du bâtiment, en dehors de
leurs parties mobiles (portes, fenêtres, couverture...).
Les travaux de gros œuvre doivent donc permettre à l'édifice de résister aux forces qu'il subit en
permanence (charges liées au bâtiment en lui-même) et à celles qu'il subit de manière
temporaire (intempéries, séismes...).
En construction, on associe généralement au gros œuvre les notions de mise hors d'eau et hors d'air :

Mise hors d'eau : il s'agit des travaux permettant de rendre le bâtiment étanche aux intempéries
(charpente et couverture)
Fondations : La fondation d’un ouvrage est l’élément d’assise de l’ouvrage qui permet à ce dernier
d’être en contact avec le sol, destinée à reprendre à la fois les charges et les surcharges provenant de la
superstructure et de les transmettre au sol dans les transmettre au sol dans les bonnes et meilleurs
conditions possibles afin d’en assurer la stabilité.

Type des fondations (choix du type des fondations

Fondations superficielles : peu profondes28 (50 cm à 3m), elles conviennent aux terrains présentant
une bonne qualité de portance et peuvent soutenir des constructions légères. Ce sont les plus
couramment utilisées dans la construction de maisons individuelles.

Fondations semi-profondes : elles nécessitent 29 de creuser à une profondeur de 3 à 6 m afin


d'atteindre une couche de sol suffisamment solide pour garantir la stabilité de la construction à venir.
Reposant sur des pieux ou des longrines, ce type de fondations peut convenir à une maison individuelle
ou un agrandissement latéral.

Fondations profondes : pour trouver un sol suffisamment résistant, il faut parfois creuser au-delà de
6 m de profondeur. On parle dans ce cas de "fondations profondes". Celles-ci sont généralement
réalisées sous la forme de puits, dans lesquels sera coulé le béton, ou par la mise en place de pieux ou
micropieux en béton armé.

En fonction du type de fondations choisi, on va creuser des tranchées plus ou moins profondes, y
disposer des tiges de fer ou d'acier, puis les recouvrir en coulant une semelle en béton. Ce sont les
fondations qui serviront de support aux futurs murs de soubassement.

27
https://www.univ-chlef.

28
https://www.construction-maison.ooreka.fr
29
https://www.cours-genie-civil.com

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14 | P a g e

Élévation des murs : Cette étape du gros œuvre consiste à dresser les murs porteurs, qui constitueront
la colonne vertébrale de la future maison. En effet, ils permettront de soutenir les planchers et la
charpente du bâtiment.

Selon les performances thermiques et phoniques souhaitées et le budget alloué au projet, on choisira le
plus souvent l'un des matériaux de construction suivants pour concevoir les murs : le parpaing, la
brique, la pierre, le béton cellulaire, ou encore le bois. D'autres matériaux peuvent également être
utilisés, tels que la terre crue ou la paille.

Au fur et à mesure que les murs s'élèvent, des linteaux seront posés au-dessus de chaque emplacement
de porte ou de fenêtre.

Charpente et couverture
Composée de pièces de bois 30 ou de métal assemblées entre elles (en atelier ou sur le chantier),
la charpente permet de soutenir la couverture et de répartir les charges verticales de la maison.
Il existe deux principaux types de charpente :

La charpente à fermettes (ou industrielle) : à la fois solide et économique, la charpente à fermettes


peut supporter une charge de 150 kg / m². Préfabriquée en usine, elle peut être montée rapidement. En
revanche, ce type de charpente ne permet généralement pas l'aménagement de combles, car sa structure
occupe une grande partie de l'espace disponible sous la toiture.

La charpente traditionnelle : plus coûteux, ce type de charpente réalisé sur-mesure permet de


bénéficier d'un volume facilement aménageable, et peut supporter tous types d'ouvertures et de
couvertures. Pour pouvoir aménager un espace habitable dans les combles, la hauteur sous plafond doit
être d'au moins 1,80 m.

Une fois la charpente installée, place à l'étape de la couverture, qui va permettre d'assurer l'étanchéité
du toit et contribuer à son isolation. Les matériaux de couverture doivent être suffisamment solides
pour pouvoir résister aux aléas climatiques et doivent respecter les règles d'urbanisme applicables dans
votre commune. Parmi les matériaux les plus utilisés pour couvrir un toit, on peut citer : les tuiles (en
terre cuite, en béton...), l'ardoise, ou encore le zinc.

Menuiseries extérieures
Dernière phase du gros œuvre31 31 , les menuiseries extérieures concernent l'ensemble des portes
et fenêtres donnant sur l'extérieur du bâtiment, ainsi que les volets.
Elles jouent un rôle essentiel dans la sécurité du logement, son isolation thermique et phonique, ainsi
que dans la luminosité des pièces de vie. La qualité des matériaux utilisés pour vos menuiseries
extérieures ne doit donc pas être négligée.

30
https://www.eyrolles.com
31
https://www.construction-travaux.com

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15 | P a g e

I.3.3 SECONDS OUEVRES


Le second œuvre concerne l’ensemble des travaux qui vont succéder le gros œuvre pour la construction
d’un logement. Également appelés “œuvre léger”, ces travaux n’impactent ni la solidité ni la stabilité
de l’habitation. Ils n’en sont toutefois pas moins importants puisqu’ils permettent de rendre la
construction habitable.
Les travaux de second œuvre débutent dès la fin du gros œuvre et permettent aux professionnels
de différents corps d’état d’entrer en scène. Ainsi se succèderont plombiers, électriciens, menuisiers,
carreleurs, parqueteurs, chauffagistes, peintres, et bien d’autres.

La partie électrique : L’installation électrique intervient une fois le gros œuvre terminé. Les différents
points d’utilisation électrique seront identifiés à l’intérieur de la maison, et à l’extérieur. Ils seront
alimentés en électricité grâce au passage de gaines et de câbles électriques, tous reliés au tableau
électrique de l’habitation.

L’isolation : L’isolation thermique et phonique de l’habitation fait partie des étapes essentielles des
travaux de second œuvre. Elle permet, grâce à des matériaux de qualité, de protéger efficacement la
maison du froid et de l’humidité. Inutile de dire qu’une bonne isolation permettra d’augmenter le
confort du logement, sans oublier les économies d’énergie à la clé ! Cette partie comprend l’isolation
du sol, des murs, et de la toiture.

Les cloisons : La mise en place des murs et des cloisons va permettre de créer les différentes pièces de
la maison afin d’avoir une vraie visibilité sur les volumes définitifs. Elles peuvent être conçues en
pavés de verre, en béton, en briques, ou encore à base de plâtre avec ossature métallique. La pose de
plafonds fait également partie du second œuvre en construction.

La plomberie, le chauffage et la ventilation


La partie plomberie consiste à relier l’installation sanitaire de la maison à l’arrivée d’eau provenant du
réseau de ville, mais aussi au chauffage et à l’évacuation des eaux usées. Il s’agit donc d’une étape
importante également, tout comme l’installation du chauffage.
Ce dernier, qu’il soit électrique, au gaz, au bois, solaire, par pompe à chaleur ou encore au fioul, garantit
le confort aux habitants de la maison, tout comme la ventilation. En effet, VMC et VMI sont
essentielles pour permettre le renouvellement de l’air et éviter l’humidité.

Les menuiseries intérieures


La pose de ces éléments fait également partie des travaux de second œuvre dans le bâtiment. Portes,
poignées, plinthes et frises seront posées durant cette étape.

La climatisation : La climatisation32a pour but de rafraîchir les pièces, mais aussi de les chauffer grâce
au système réversible. Tout comme la ventilation ou le chauffage, la climatisation permet d’apporter
un certain confort de vie aux habitants du logement. L’équipement en mobilier

32
https://www.obat.fr/blog/second-oeuvre/

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16 | P a g e

Cela concerne avant tout les cuisines et salles de bain qui seront équipées en mobiliers et sanitaires.
Ces divers éléments possèdent bien évidemment une durée de vie et comme la plupart des éléments du
second œuvre BTP, ils seront amenés à être remplacés en cours de vie du logement.

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17 | P a g e

CHAPITRE II ANALYSE DE LA CONCEPTION DE L’OUVRAGE ET ETUDE DE


MATERIAUX DE CONSTRUCTION A UTILISER

II.1 ANALYSE DE LA CONCEPTION DE L’OUVRAGE

a) Présentation de vue en plan cotée

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18 | P a g e

b) Présentation de façades
 Latérale gauche

 Latérale droite

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19 | P a g e

 Façade principal

 Façade postérieur

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20 | P a g e

C) présentation des coupes


 Coupe longitudinale

 Coupe transversale

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21 | P a g e

c) Présentation de plan
 Plan de Masse

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22 | P a g e

 Plan de Fondation

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23 | P a g e

II.1.1 PRESENTATION DE L’OUVRAGE


1.DESCRIPTION DE L’OUVRAGE33

Ce travail de fin de cycle est consacré à l’avant-projet de construction d’une morgue dans la cite de
DURBA, territoire de Watsa, province de haut Uélé dans le centre hospitalier de KIBALI. Cet
bâtiment comprend dans son sein des bureaux, deux balcon, d’une salle d’exposition de corps et une
salle d’autopsie. Il mesure :

 Hauteur : 3.60 m (sous chainage)


 Longueur : 21 m
 Largueur : 28 m

Dans ses différentes parties comprend :

 Nous avons deux petites rampes qui constituent une entrée et une sortie.

 Un véranda d’entrée principale et d’une salle d’exposition de corps ainsi qu’une salle de
réception pour son accès au public
 Un hall d’entrée et un balcon latéral gauche qui sera toujours en communication avec la salle
frigorifique et une salle pour lave les corps de personne décède et une pharmacie pour stocke
le produit pharmaceutique
 Il comporte également un hall d’entrée et des bureaux ainsi que les sanitaires
 Une partie qui constituent la partie non accès au public.
 Une salle dont ces deux derniers peuvent loger 20 corps et une salle d’autopsie.
 Une salle pour le dépôt de cercueil et de chariaux et des salles de WC, etc.

II.1.2 ETUDE FONCTIONNELLE DE L’OUVRAGE


Dans 34c’est avant-projet de construction d’une morgue il s’agit de concevoir un plan
des caractéristiques ci-après.
 Réception : 5.32m²
 Caisse : 7.84m²
 Morgue : 7.84m²
 Secrétariat : 9.24m²
 Bureau directeur : 10.89m²
 Locale Technique : 10.89m²
 Salle d'infirmiers : 9.24m²
 Pharmacie : 11.27m²
 Dépôt de cercueil et chariaux : 10.64m²
 Lavabo de corps : 10.64m²
 Salle d'habillement : 25.37m²

33
www.rakotonirina-espa-lic.com
34
www.africmemoire.com

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24 | P a g e

 Salle des armoires frigorifique : 45.26m²


 Salle d'autopsie : 38.69 m²
 Terrasse 2 :20.28m²
 Hall 2 : 67.38m²
 Wc1 :5.04m²
 Wc2 :5.04m²
 WC 3 :3.64m²
 Hall1 :10.02m²

1.La circulation dans le bâtiment

Nous avons qu’un seul type de circulations dans le bâtiment à savoir La circulation horizontale qui
s’effectue à l’aide des couloirs, hall et balcons.

II.1.3 NORME ARCHITECTURALE DE L’OUVRAGE

1.Conditions d'implantation d'une morgue

L’attention35 de Mme la ministre de la santé, sur le fait d’implanter une morgue au milieu du tissu
urbain, notamment lorsque cette morgue comporte également des locaux pour des autopsies médico-
légales et la pratique de la thanatopraxie. Il souhaiterait connaître la nature de ces normes. De manière
générale, il lui demande si ce type d'établissement ne devrait pas être préférentiellement implanté près
des cimetières, ou au moins à une distance minimale d'immeubles habités.
Le développement des chambres funéraires répond à un besoin en raison de l'évolution des conditions
de vie. Dans les villes notamment, le défunt est rarement conservé à domicile et la chambre funéraire
offre des services dont la famille peut avoir besoin (faire pratiquer des soins de conservation,
disposer d'un lieu où l'on peut visiter le défunt, etc.). Les nombreuses normes techniques auxquelles
sont soumises les chambres funéraires sont définies dans le code général des collectivités territoriales
aux articles R. 2223-74 à R. 2223-88. La création puis l'exploitation d'un établissement de ce type est
particulièrement encadrée : les exigences de sécurité sont le fondement même de ces normes. La
procédure de création d'une chambre funéraire est ainsi définie à l'article R. 2223-74 de ce code. C'est
le maire de la ville qui autorise la création ou l'extension d'une chambre funéraire. Il fait procéder à
une enquête de commodo et incommodo et consulte le conseil départemental de l'environnement et
des risques sanitaires et technologiques (CODERST). Il recueille l'avis du conseil municipal, qui se
prononce dans le délai de deux mois. La décision intervient dans le délai de quatre mois suivant le
dépôt de la demande. En l'absence de notification de la décision à l'expiration de ce délai,
l'autorisation est considérée comme accordée. L'autorisation ne peut être refusée qu'en cas d'atteinte à
l'ordre public, de danger pour la salubrité publique ou lorsque l'installation crée une gêne excédant les
inconvénients normaux de voisinage. Le maire de la ville n'est pas dans une situation de «
compétence liée » car il n'a pas obligation de se conformer aux avis favorables recueillis au cours de
la procédure tels que ceux du conseil municipal ou du CODERST. Il prend notamment en compte les

35
https://www.senat.fr/question /base

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25 | P a g e

conclusions de l'enquête de commodo et incommodo. En effet, comme pour toute décision


administrative, un refus de création d'une chambre funéraire doit être argumenté, pour éviter tout
contentieux
2.une cellule frigorifique de la marque WIESSMANN

1)Choix constructif:
En général il y a 2 possibilités. La cellule préfabriquée et celle sur mesure. Pour ce qui concerne la
cellule sur mesure il faut éviter la création de pont thermique par exemple quand on chevauche les
panneaux sandwich il faut découper la tôle sur les extrémités des panneaux que l'on colle ensemble
pour éviter les ponts thermiques surtout pour les chambres de congélations (risque de formation de
glace) et de la condensation aussi valable pour les chambres froides. On choisira une bonne épaisseur
d'isolation de la paroi, minimum 100mm pour la positive et 140mm pour la cellule négative. Une
bonne cellule bien montée vous fera économiser de l'énergie donc de l'argent et préservera le
vieillissement de la chambre des risques d'humidité et la longévité du compresseur sera accrue.

2) Choix du coefficient de transmission thermique des parois :

Si dans le bilan thermique, l'isolation des parois prend une importance relative élevée, il faut isoler
(cas des chambres de conservation de longue durée). Des ordres de grandeur à atteindre pour les
coefficients de transmission thermique sont :

• 0,350 à 0,263 W/m²K en stockage réfrigéré,


• 0,263 à 0,162 W/m²K en stockage surgelé.

Pour des raisons hygiéniques, on évitera la formation de condensation; c'est pour cela qu'il est
nécessaire de prévoir une isolation suffisante et placée correctement. Enfin, l'optimum des gains
annuels suite à une meilleure isolation interviendra en tenant compte à la fois des coûts liés à la
consommation (diminution), à l'investissement dans l'isolation (augmentation) et la machine
frigorifique (diminution).

3.MORGUE 20 CORPS 4 PORTES DE PASSAGE 36

La morgue 20 corps modèle FRIMA est faite de 4 portes de passage utile de 70 cm en largeur et de
190 cm en hauteur sans balai racleur pour une meilleure isolation ni seuil de porte pour une meilleure
nettoyabilité.
La porte est montée sur charnières à rampes hélicoïdales fermant à clé, équipée d'un système de
décondamnation intérieur.
Le Châssis intérieur est fait de rail tout en inox avec supports. Ces rails sont réglables en hauteur tous
les 5 cm. Il dispose également d'une butée de fin de course pour civières soudées sur les rails.
Véritable structure intérieure composée de 6 montants avec renforts latéraux et horizontaux pour une
meilleure répartition des charges. 6 équerres renforcées par niveau.
Description de la Morgue 20 corps 4 portes de passage de 70 cm, Modèle FRIMA

36
https://www.socimed.com

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26 | P a g e

Dimensions intérieures : L 270 x P 210 x H 210


Dimensions extérieures : L 286 x P 226 x H 230 (hors groupe frigorifique).
Panneaux d'épaisseur 80 mm
Isolation en mousse polyuréthane.
Coefficient K d’isolation : 0,27 W/m²K.
Finition extérieur et intérieure en standard acier laqué en blanc.
Eclairage par hublot étanche
Porte étiquettes

La Morgue 20 corps 4 portes, Modèle FRIMA est livrée avec :


- 1 GROUPE FRIGORIFIQUE A CHEVAL MGM21102E

Température réglable 0°C / +5°C


Pour température extérieure 40°C
Gaz réfrigérant R404a
Alimentation 230V/1~/50Hz
Puissance absorbée 1,1 KW / 7 A.
Groupe sur le côté droit ou gauche à définir.
Affichage digital de la température
Commande éclairage

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27 | P a g e

II.1.4 METHODE DE CALCUL


II.1.2. Les hypothèses pour le calcul organique19
1. Les hypothèses fondamentales
 1 .1 domaine d'application
Les présentes règles de calcul 37 , dites Règles BAEL 91, sont applicables à tous les ouvrages et
constructions en béton armé, soumis à des ambiances s'écartant peu des seules influences climatiques,
et dont le béton est constitué de granulats naturels normaux, avec un dosage en ciment au moins égal
à 300 kg par m de béton mis en oeuvre.
Le calcul organique des sections en béton armé est basé sur les hypothèses de base suivantes
 Les sections droites demeurent planes lors des déformations (c'est l’hypothèse de BERNOUILLI)
;
 Les armatures adhérentes, tendues ou comprimées, subissent les mêmes déformations que le
béton adjacent (pas de glissement relatif)
 Les contraintes du bêton compriment et de l'acier se déduisent des diagrammes de calcul
contraintes déformations
 Les diagrammes linéaires des déformations passent obligatoirement par l'un des trois pivots A,
B ou C.
 MOUGI, J, N ; 2000 : Règle BAEL 91 et modification 99, Rabba, 2ièm éd ; EYROLLES

2. Etats limites :

Un état limite38 est un état qui satisfait strictement ces conditions sous l’effet des charges appliquées
sur une construction ou un de ces éléments. L’article A.1.2 du CBA93 précise :
« Un état limite est celui qui satisfait pour lequel une condition requise d’une construction (ou d’un de
ces éléments) est strictement satisfaite et cesserait de l’être en cas de modifications défavorable d’une
action.
Nous distinguons (02) état limites :
 Les états limites ultimes (ELU) : Il s’agit de l’état pour lequel la valeur maximale de la
capacité portante est atteinte, et son dépassement entrainerait la ruine de l’ouvrage.
Il correspond à la limite :
 De l’équilibre *statique : non renversement de la construction.

Exemple : Vérification de la stabilité d’un mur.

 De résistance pour les matériaux constitutifs. -


 De stabilité de forme : Instabilité élastique due au flambement les pièces élancées.

 Les états limites de service (ELS) :


Ils correspondent à des conditions normales d’exploitation et de durabilité. Il n’est pas suffisant
qu’une construction soit stable et résiste, il est aussi nécessaire qu’elle ne présente pas une

37
CD-DTU V2 - Edition 150 - Décembre 2007
38
Master ingénier de la construction FGC/USTHB 2017

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28 | P a g e

fissuration ou des déformations excessives. Cela pourrait entrainer des désordres dans les
revêtements ou cloisons et donc une gêne sérieuse a l’exploitation.

Il est donc nécessaire d’effectuer des vérifications portant sur :

 La limite d’ouverture des fissures : cela évite la corrosion rapide des aciers et donc augmente
la durabilité et la sécurité des ouvrages.
 La limitation de la compression du béton.
 La limite de déformation : Les déformations (flèches par exemple) doivent rester dans les
limites admissibles c'est-à-dire compatibles avec l’utilisation de l’élément.

2.1.1. État- limite ultime de résistance :

Les calculs sont conduits à partir des hypothèses suivantes, les sollicitations étant obtenues à l’aide de
la combinaison d’action correspondant à l’état-limite ultime :
Hyp 1 : Hypothèse de Navier : Les sections droites restent planes après déformation ;
Hyp 2 :il n’y a pas de glissement relatif entre les armatures d’acier et le béton ;
Hyp 3 : l’acier et le béton sont considérés comme des matériaux élastiques linéaires et il est fait
abstraction du retrait et du fluage du béton ;
Hyp 4 : La résistance à la traction du béton est négligée à cause de la fissuration ;
Hyp 5
:par convention, le rapport entre les coefficients d’élasticité longitudinale de l’acier et du béton, ou
coefficient d’équivalence, est pris égal à n = Es/Eb = 15.
Hyp 639 on ne déduit pas les aires d’acier de l’aire du béton comprimé ; on suppose en outre que la
section d’acier est concentrée en son centre de gravité, pourvu que l’erreur ainsi commise sur les
déformations unitaires ne dépassent pas 15 % ;

2.1.3. Hypothèse supplémentaires pour les E.L.U :

Le raccourcissement relatif du béton est limité à : εbc =3.5‰ en flexion simple et εbc =2 ‰ en
compression simple.

 L’allongement maximal des aciers est conventionnellement limité à : εs 10‰.

39
https://fr.scridb.com

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29 | P a g e

 Le diagramme de déformation de la section doit obligatoirement passer par l’un des trois

pivots « A, B, ou C »Règle de trois pivots


 Pivot A : Déformation des armatures tendues égal à 10‰ : la section est soumise à la traction
simple ou à la flexion simple ou composée.
 Pivot B : Déformation des fibres de béton les plus comprimées à 3.5‰ : la section est
soumise à la flexion simple ou composée.
 Pivot C : Déformation des fibres de béton comprimées à 2‰ la section est soumise à la
flexion composée ou à la compression simple.

I.1.4. Diagramme contrainte-déformation : (Article A.4.3.4 du CBA 93) :


 Aux états limites ultimes40 : Le diagramme contraintes () déformation du béton aux ELU
réglementaires est lediagramme de calcul simplifié dit « PARABOLE-RECTANGLE » le diagramme ci-
dessous schématise ces dispositions :

: Diagramme contrainte-déformation du béton a l’ELU.

40
Master ingénier de la construction FGC/USTHB 2017 page :8

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30 | P a g e

 Contrainte de compression dans le béton.


 Déformation du béton
 Contrainte caractéristique de compression à « j » jours.
 f bu :Résistance conventionnelle ultime à la compression donnée par :
. Diagramme contrainte-déformation du béton a l’ELS

La contrainte de compression du béton sera limitée dans les calculs a 0.6fcj. Jusqu’à cette valeur, le
diagramme des contraintes peut être assimile à une droite.

Pour le calcul des déformations, le coefficient b peut être réduit jusqu'à 1,35 de façon à être plus
représentatif du comportement d'ensemble de la pièce, car lorsque celle-ci est de grandes
dimensions, les effets locaux sont susceptibles de se compenser partiellement. Par contre, il
conserve sa valeur de 1.5 pour la justification des sections à l'état limite ultime.
En outre, lorsque la structure est soumise à plusieurs actions appliquées chacune à des temps
différents, on peut superposer les états successifs correspondants.
Dans les problèmes où intervient la torsion (par exemple le déversement des poutres), on ne tient
compte de l'inertie correspondante que dans les zones comprimées, avec un module de déformation
transversale évalué à 0,4 fois le module de déformation longitudinale déduit du diagramme
déformations-contraintes adopté ci-dessus.

Il faut noter que cette hypothèse est plutôt optimiste pour les fortes valeurs de la contrainte
longitudinale.
.4.5 états limites de service vis-à-vis de la durabilité de la structure
Les vérifications à effectuer portent sur :
 Un état limite de compression du béton (A.4.5,2 ) ;
 Un état limite d'ouverture des fissures ( A.4.5,3 ).

Les combinaisons d'actions à considérer sont celles de l’article A.3.3,3 , sous réserve des indications
données en A.4.5,31 .

La liste des états limites indiqués ici ne saurait être considérée comme exhaustive. Il peut y avoir
lieu de vérifier d'autres états limites en fonction du rôle assumé par la structure.

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31 | P a g e

II.2 ETUDE DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION A UTILISE

Les matériaux de construction41 sont des matériaux utilisés dans les secteurs de la construction :
bâtiment et travaux publics (souvent désignés par le sigle BTP). La gamme des matériaux utilisés
dans la construction est relativement vaste. Elle inclut principalement le bois, le verre, l'acier, les
matières plastiques (isolants notamment) et les matériaux issus de la transformation de produits de
carrières, qui peuvent être plus ou moins élaborés. On a ainsi dérivés de l'argile, les briques, les
tuiles, les carrelages, les éléments sanitaires.
Pour la réalisation de notre travail nous allons utiliser 2 types de matériaux. A savoir :
 Matériaux naturel
 Matériaux artificiels.

II.2.1 ETUDE DE MATERIAUX NATUREL

Un matériau naturel 42 est un matériau issu de la nature et qui n’a reçu aucune ou très peu de
modifications de l’homme.
Il existe 3 types de matériaux naturels :
 Les minéraux
 Les organiques d’origine végétale
 Les organiques d’origine animale

 Granulats’’ les matériaux inertes, sables graviers ou cailloux, qui entrent dans la composition
des bétons. C’est l’ensemble des grains compris entre 0 et 125 mm dont l’origine peut être
naturelle, artificielle ou provenant de recyclage.
Les granulats naturels : issus de roches meubles ou massives extraites in situ et ne subissant
aucun traitement autre que mécanique.
Les granulats artificiels : qui proviennent de la transformation thermique des roches, de
minerais, des sous-produits industriels.
1. Sables
2. Graviers
3. Moellon
4.L’eau de gâchage
1.sable : Un sable 43de bonne granulométrie doit contenir à la fois des grains fins, moyens et gros. Les
grains fins se disposent dans les intervalles entre les gros pour combler les vides. Le mortier obtenue
est ainsi plus résistant et d’une meilleure compacité.
Pour une meilleure qualité du béton ou du mortier, le sable utilisé devra être du sable de rivière non
micacée, dépourvue de terre, d’impuretés, de scories et notamment d’argiles.
La désignation du sable correspond à la norme NF P 18 – 304 :

41
https://www.techno-science.net/
42
https://www.ecobati.com
43
https://construction-maison.ooreka.fr

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32 | P a g e

Sable fin : tamis 0,080 / 0,315 mm


Sable moyen : tamis 0,315 / 1,25 mm
Sable gros : tamis 1,25 / 5 mm
Les sables ne devront pas renfermer des grains dont la plus grande dépasse :
Sable pour crépis et enduits : 2.5 mm ;
Sable pour béton armé : 5 mm ;
Sable pour béton de fondation : plus de 10 mm.
2.gravier
Le gravier 44 est un granulat composé d'un mélange de sable et de gravillons. Il est utilisé
principalement dans l'exécution des corps de chaussées (routes et autoroutes), de plateformes (parcs de
stationnement, aires de stockage…), de pistes d'aérodromes. Dans toutes ces réalisations, quelques
décimètres d'épaisseur de gravier sont utilisées sous la couche de finition (enrobé bitumineux de
couverture, dallage béton, enduit superficiel d'usure…). Les graviers peuvent être naturels, reconstitués
en centrale, traités aux liants hydrauliques (ciment, laitier…), à la chaux, ou aux liants hydrocarbonés
(bitume).
Dénominations
Les graviers sont des granulats dont la granulométrie est de type d/D (d étant le diamètre du plus petit
grain et D du plus gros).
Traditionnellement en France (repris par les normes NF), les granulométries typiques des graviers
sont : 0/14 mm, 0/20 mm, 0/31.5 mm et 0/63 mm, voire 0/80 et 0/150 mm.
Nécessaire à l’hydratation du ciment, elle facilite aussi la mise en œuvre du béton, dans la mesure
où on n’abuse pas de cette influence par un excès d’eau qui diminue les résistances et la durabilité
du béton. L’eau doit être propre et ne doit pas contenir d’impuretés nuisibles (matières organiques,
alcalis). Le gâchage à l’eau de mer est à éviter, surtout pour le béton armé. L’eau potable convient
toujours.

La quantité d’eau varie avec un très grand nombre de facteurs (dosage en ciment, granulats,
consistance recherchée du béton frais). Le dosage en eau est donné par le rapport pondéral C/E
(liant/eau) qui est optimal pour une valeur voisine de 2. Il est souhaitable de s'en rapprocher. En
général, les valeurs du rapport C/E sont comprises entre 1,66 et 2,5. Il convient de tenir compte de
l’eau apportée par les granulats.

Bref, les caractéristiques des eaux requises pour la conception des mortiers et des bétons sont précisées
dans la norme NF P 18 – 303.

3.Moellon : Un moellon45 (appellations anciennes « maillon » ou « moilon ») est une pierre à bâtir,
en général de calcaire, plus ou moins tendre, taillée partiellement ou totalement, avec des dimensions
et une masse qui le rendent maniable par une seule personne. Le moellon provient ordinairement des
carrières d'où on tire la pierre de taille et on le prend dans les bancs qui ont peu d'épaisseur. Les
moellons bruts étaient principalement employés à l'intérieur des maçonneries dans la maçonnerie de
blocage. Correctement taillés, ils remplaçaient la pierre de taille et venaient en parement dans des
constructions qui présentaient peu d'importance sous le rapport de l'architecture[1]. On dit que le

44
https://www.leroyemerlin.fr
45
https://monmacon.pro

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33 | P a g e

moellon forme le petit appareil, alors que la pierre de taille, de plus grande dimension, forme le grand
appareil.

Le moellon brut ne sert guère que pour le remplissage. Cependant on peut avoir à l'employer en
parement alors le maçon choisit dans le tas de pierres qu'il a à côté de lui sur l'échafaud les plus belles
dont il dresse la tête aussi bien que possible avec sa hachette. Le manœuvre arrose ces moellons
avant l'emploi afin qu'ils ne dessèchent pas trop vite, puis le maçon étend à la truelle sur l'assise déjà
existante un lit de mortier de 2 cm à 3 cm d'épaisseur, met le moellon en place et fait refluer le
mortier en frappant avec la tête de sa hachette.

4.L’eau de gâchage : Eau46 incorporée au mélange liant et granulats afin d'enclencher sa priseet de
conférer au béton sa plasticité, donc son ouvrabilité. La qualité de l'eau de gâchage doit répondre à
la norme NF EN 1008.
Pour du béton standard, vous devez utiliser 250 kg de ciment, 1200 kg de granulat, 800 kg de sable, et
de 125 litres d'eau. Le dosage du béton standard nécessite 350 kg de ciment, 900 kilogrammes de
granulat, 800 kilogrammes de sable, et de 180 litres d'eau.
L'eau de gâchage des bétons doit être propre ne doit pas contenir des matières en suspension au-delà
de certaines valeurs : Tolérances réglementaires sont les suivantes : *2g/litre pour les bétons type A et
type B . *5g/litre pour les bétons type C.

1.Rôle de l'eau de gâchage :

Elle est nécessaire pour l'hydratation du liant ; le mouillage des granulats ;


Et la facilité de mise en œuvre du béton.
2.Classification des bétons d'après la quantité d'eau de gâchage :
On distingue trois types de béton d'après la quantité d'eau de gâchage :
 Béton sec si la quantité d'eau est faible.
 Béton plastique si la quantité d'eau est moyenne.
 Béton coulé si la quantité d'eau est forte

II.2.2 ETUDE DE MATERIAUX ARTIFICIEL

Les matériaux47 artificiels proviennent de la nature mais sont transformés par l'homme :
• les alliages sont une combinaison (mélange) d'un métal avec un ou plusieurs éléments, le bronze est
un mélange de cuivre et d'étain,
• les céramiques comme le carrelage fabriqué à partir de l'argile,
• les matériaux synthétiques ou matières plastiques issus de la nature, comme le pétrole par

46
https://www.infociments.fr/glossaire/eau-de-gachage
47
https://www.skell.fr/

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34 | P a g e

1.Les mortiers :
Les mortiers sont4548 obtenus par mélange homogène d’agrégats : le sable, avec une matière active
: le liant (ciment ou chaux), le tout gâché avec certaine quantité d'eau et d’adjuvants (si on en a
besoin). De la proportion des composants dépendent en grande partie la qualité et la résistance du
mortier mise en œuvre. Le rapport quantité de liant sur quantité de mortier prend le nom de "dosage"
; celui-ci permet de classer les mortiers en plusieurs catégories :
1. Catégorie de mortier :

1.1 Mortier normal :


C'est un mortier qui contient en volume une partie de liant pour trois parties de sable normal. Avec
ces proportions le liant remplit le vide du sable, c'est à dire que 1m3 de sable plus 1/3 de m3 de liant
ne fournit qu'un m3 de mortier.
1m3 de sable + 1/3 liant (m3) = 1m3 de mortier.
1.2 Mortier maigre :
Le volume de liant est inférieur au volume des vides.

1m3 de sable + liant ≤ 1m3 de mortier.

4.3 Mortier gras :


Le volume de liant est supérieur au volume des vides.
2. Dosage
Il sera dosé selon sa nature d’emploi. Puisqu’il est destiné à faire :

• Des enduits ;
• Des joints de maçonnerie ;

• Des chapes.

On va présenter dans le tableau ci-dessous leur dosage respectif avec la quantité des matériaux qui le
compose :

Tableau de Dosage et quantité des matériaux qui composent le mortier.


Dosage Quantité de Ciment Quantité de sable Quantité d’eau
Désignation 3
[kg/m ] [kg] [Sacs] [l] [brouette] [l] [brouette]
Enduit 350 350 7 400 8 175 17.5
Chape 400 400 8 400 8 200 20
Joint 300 300 6 400 8 150 15
Mais sur le chantier, on utilise du brouette et du seau pour quantifier ces matériaux de construction
(sable, gravillons, eau) dont 1 brouette = 50 l et 1 seau = 10 l.

48
https://www.futura-sciences.com

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35 | P a g e

2. Les liants :
Les liants 4549sont des produits généralement employés sous forme de poudres fines et qui,
gâchés avec l’eau en pâte plus au moins épaisse, durcissent et forment une masse dure et compacte
analogue à la roche naturelle.
1.Liants hydraulique (ciment portland)
Les Romains et les Grecs savaient déjà fabriquer du liant hydraulique en faisant réagir la chaux
éteinte et des cendres volcaniques. La recherche sur l'hydraulicité des chaux a commencé à la fin
du 18e siècle, pour aboutir vers 1840 à la fabrication des ciments modernes. Le Français Louis
Vicat découvre en 1817 le principe d'hydraulicité des chaux concernant la proportion d'argile et la
température de cuisson- et publie ses travaux sans prendre de brevet. En 1840, Louis Vicat
découvre les principes d'hydraulicité des ciments Portland, par une cuisson à une température de
1450°C qui permet d'obtenir le clinker.

2. Fabrication du ciment
Le ciment Portland est une poudre minérale dont la propriété est de durcir sous l'eau, formant une
pâte qui durcit suivant une réaction et un processus d’hydratation.
La fabrication de ciment passe par les opérations suivantes:
 Extraction et concassage,
 Préparation du cru,
 Cuisson ou calcination,
 Broyage,
 Expéditions.

3.La consistance : La consistance est le pourcentage optimal d’eau qui permet d’obtenir une pâte de
ciment de consistance normale. On utilise généralement l’appareil de "Vicat" pour mesurer cette
consistance et selon la norme NF EN 196-3. La figure 3.11 présente une photo de l’appareil de mesure
de la consistance normale.
4.La prise : C’est le terme employé pour décrire le raidissement de la pâte de ciment. La prise est
définie comme étant le changement d’un état fluide à un état solide. Le début de prise correspond à
l’augmentation brusque de la viscosité de la pâte de ciment et à une élévation de sa température. La
fin de prise correspond à la transformation régulière et progressive de la pâte de ciment en un bloc
rigide. Pour mesurer le temps de débit et de fin de prise, on utilise généralement l’essai de "Vicat",
NF EN 196-3. La figure 3.12 illustre l’appareil et résume la méthode de détermination du temps de
prise.

49
https://cimentbec.com

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36 | P a g e

5.Propriétés mécaniques

Les résistances mécaniques, en traction et en compression des ciments, sont déterminées sur des
éprouvettes 4x4x16 cm en mortier normal à 28 jours d'âge. La résistance du mortier est alors
considérée comme significative de la résistance du ciment. Les figures 3.9 (a) et (b) montrent
l’évolution des résistances des différents produits d’hydratation du ciment.

6.Classification des ciments

Les normes4650 NA 442 et EN 197-1 définie cinq types de ciments. Ils sont classés en fonction de leur
composition :
 CEM I : Ciment Portland artificiel,
 CEM II : Ciment portland composé,
 CEM III : Ciment de haut fourneau,
 CEM IV : Ciment pouzzolanique,
 CEM V : Ciment au laitier et aux cendres.

4.LE BETON.

Le matériau le béton armé 51est un matériau complexe, constitué de la réunion de deux matériaux
simple, le béton et l’acier.

2. GENERALITES

Le béton se compose de granulats (sables, graviers, cailloux) 'collés' entre eux par un liant hydraulique
: le ciment. Lorsque le ciment se trouve en présence d'eau, il fait prise, puis
durcit progressivement. Un béton hydraulique est constitué :
• D’une pâte pure (ciment + eau),
• D’un mélange granulaire,
• De produits additionnels (adjuvants, additions minérales, ...). On désigne
habituellement sous le vocable :
• De matrice ou de mortier : le mélange (liant + eau + sable),
• De squelette solide ou de squelette granulaire : le mélange des granulats.
Eau Air Ciment Granulats
Volume 14% -22% 1% -6% 7% -14% 60% -78%

Poids 5% -9% / 9% -18% 63% -85%

50
https://ft.univ-tlemcen.dz
51
https://www.futura-sciences.com

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37 | P a g e

3.1 ESSAI AU CONE D’ABRAMS 4752

Cet essai, consiste à mesurer la hauteur d'affaissement d'un volume tronconique de béton frais.

RESISTANCE

La résistance et l’ouvrabilité sont à étudier de pair, car ces 2 propriétés sont étroitement
dépendantes l’une de l’autre et d’autant plus, qu’elles varient en sens inverse en fonctions de
certains facteurs essentiels de la composition du béton.

RESISTANCE CARACTERISTIQUE A LA COMPRESSION

Selon la NFP 18-406, la résistance 4853


d’une éprouvette cylindrique de béton, de dimensions ϕ16x32
(ou
Fr
ϕ11x22), est définie à (j) jours, à partir de (Fr ) conduisant à sa rupture :R =cj
A
En raison de la dispersion des résultats et de l'hétérogénéité du matériau béton, il est nécessaire lors du
contrôle d'une fabrication de réaliser (n) essais.

Dans le cas courant, pour l'établissement des projets, la résistance de référence est prise à 28 j. (fc28).
Cette valeur fc28 est souvent définit par défaut, en fonction des exigences du CCTP et des conditions
de fabrication (cf. Tableau ci-dessous BAEL B.1.1). Dans le cas où les documents d'un marché le
permettent, une entreprise peut élaborer une composition de béton particulière. Dans ce cas, une étude

52
https://www.toutsurlebeton.fr
53
https://www.cerib.com

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38 | P a g e

en laboratoire poursuivie par des essais de convenance peut être nécessaire selon les conditions du
marché.
Dosage en ciment en kg par m3 de béton Résistances caractéristiques
Classe 32.5 et 32.5R Classe 42.5 et 42.5R fc28 ft28
CC AS CC AS (MPa) (MPa)
300 / / / 16 1.56
350 325 325 300 20 1.80
/ 400 375 350 25 2.10
CC : conditions courantes de fabrication AS : auto contrôle surveillé

4.1.1 Evolution de la résistance dans le temps

Dans les cas courant, on considère 5054que la résistance du béton évolue dans le temps très rapidement
à court terme (entre 0 et 7 j), puis ralentie (de 7 à 28 j) pour tendre vers une asymptote horizontale à
partir de 60 jours. Pour la référence en temps de 28 jours prise dans les calculs, on considère que le
béton a atteint, à cet âge, 90% de sa résistance à long terme. L'article A 2.1.11 du BAEL 91 donne les
formules suivantes afin d'estimer les résistances du béton en fonction du temps : Pour j≤28

3.Acier

Est appelé acier5155, un matériau contenant en masse plus de fer que tout autre élément, dont la teneur
en carbone est généralement inférieure à 2 % et qui contient d’autres éléments métalliques ou non.
Les aciers sont livrés en barre de 12 m de diamètres 6, 8, 10, 12, 14, 16, 20, 25, 32, 40 millimètres.

Les aciers utilisés comme armatures sont désignés par :

54
https://www.toutsurlebeton.fr
55
https://www.inoxdesign.fr

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39 | P a g e

 Leur limite élastique conventionnelle E en MPA;


 Leur nuance (doux, mi-dur, dur)
 Leur forme (lisse ou haute adhérence)

Par la combinaison de ces caractéristiques on distingue principalement :

 Les ronds lisses, dont la surface est lisse. Ce sont des aciers doux ; leur résistance est
moyenne, ils sont souples et élastiques ;
 Les aciers à haute adhérence (HA) : la surface présente des reliefs (crantages,
crénelures, stries, nervures en hélice) qui améliorent l’adhérence de la barre au béton.
Ces aciers sont très résistants, mais peu souples : ils se cassent facilement si on les tord
sans précautions.

Les aciers utilisés pour les armatures sont des barres à haute adhérence et ont les qualifications
suivantes :

Tableau : Caractéristique des aciers à haute adhérence.


Caractéristique A haute adhérence, symbole HA
Dénomination Fe E400 Fe E500
Limite élastique en MPa fe = 400 fe = 500
Résistance à la rupture σR en MPa σR ≥ 480 σR ≥ 550
Allongement à la rupture 14% 12%
Coefficient de scellement, Ψs 1,5
Coefficient de fissuration, 1,6
Diamètres courants an [mm] 6-8-10-12-14-16-20-25-32-40

6.1 Stockage des aciers


Les aciers sont déchargés et 56posé sur une surface plane et propre. Ils sont rangés par nuances dans
des zones différentes selon leurs diamètres.

6.2 Nomenclature
Il faut, avant de façonner les armatures, prendre connaissance du travail à réaliser qui est dessiné
sur le plan de ferraillage et détaillé sur la nomenclature, tableau qui donne toutes les informations
nécessaires pour couper et façonner les aciers.

6.3 Coupe des aciers


Pour couper les barres on utilise le banc de coupe, composé de deux tables équipées d'une cornière
de guidage des barres, munie d'une butée, et d'une cisaille à levier, qui coupe les aciers jusqu'au 20
mm. Pour les aciers de diamètre inférieur à 12 mm, on peut utiliser une cisaille à main.

56
https://www.a3ms.fr

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40 | P a g e

6.4 Façonnage des aciers


Pour façonner les barres selon la 53 57 forme demandée, on utilise une cintreuse à main. Plus
pratiquement, on utilise souvent une table en madrier sur laquelle sont fixées des petites barres en
acier Ø12 ou Ø14 appelé goujons. On trace des marques pour obtenir les dimensions voulues. Le
pliage se fait au moyen de griffe à couder.

6.5 Assemblage x des aciers


Pour monter l'armature, il faut successivement :

1. Marquer sur les filants la position des cadres et des épingles conformément au plan de ferraillage
2. Placer les cadres en alternant la position de leur fermetures (toujours en haut, à droite puis à
gauche) et les lier aux filants avec du fil d'attache (fil d'acier doux de 1 à 2 mm de diamètre) à
l'aide d'une pince à ferraille ;
3.suspendre le montage sur des chevalets ;
4.placer les épingles er les attache

CHAP III ANALYSE DE DIMENSIONNEMENT DE LA STRUCTURE

L’analyse 58structurale est utilisée pour le dimensionnement de la structure ,elle permet de déterminer
la destruction de la charge aux divers états-limites soit des sollicitation ,soit des contraintes,
déformations et déplacements de l’ensemble ou d’une partie de la structure.

III.1 ETUDE DE DIMENSIONNEMENT DE LA POUTRE CHAINAGE

La poutre est un élément de la structure soumit à la flexion, elle reçoit les charges qui lui sont transmis
et les transmet aux poteaux

III.1.1 PRE-DIMENSIONNEMENT DE POUTRE CHAINAGE

Le pré-dimensionnement59 des élément de l’ossature est primordiale pour évaluer les charges et la
résistance requises pour la sécurité d’un bâtiment

57
https://www.infociments.fr
58
www.infociments.fr
59
www.ABC-manconnerie.com

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41 | P a g e

Dans 60 cet outil de calcul ,l’utilisateur spécifie de la forme et la longueur (portée) de la poutre pour
assure une bonne stabilité de la structure il faut nécessairement pré- dimensionnée la poutre chainage,
de telle manière a répondre toute les sollicitation suivantes.
 Sollicitation, consternant les séismes et le vent
 Sollicitation verticale, concernant les charges permanentes et les charges de l’ouvrage
Les pré-dimensionnement de la poutre est calculé conformément aux règles BAEL461 91/99 ,la
poutre sera pré-dimensionne par la condition de la flèche et elle sont vérifiée par RPA99 version
𝐿 𝐿
2003 selon la règles de BAEL qui nous dis h≥ 15 et h≤10
H= la hauteur
L=la distance entre les deux axes à l’appui de la poutre
790
Donc L= 790cm↔h≥ =52.66cm et h≤ 79𝑐𝑚
15
Nous avons l’inertie maximum la hauteur de la poutre chainage est de h= 60cm et la base est
égale a l’épaisseur du mur porteur

H=60cm

b= 20cm

III.1.2 CALCUL DE MOMENT FLECHISSENT DE LA POUTRE CHAINAGE

Dans la théorie des poutres, élément de réduction correspondant à la composante du moment résultant
des action extérieures (par convention situées a gouache de la section qui provoque la flexion
longitudinale de la poutre
a) Evaluation de la charges4 62sur la poutre chainage
 Surcharge de vent :45gk/m²x07.9m=355.5 kg/m
 Poids de la charpente en bois :200kg/m²x7.9m=1580kg/m
 Poids propre de la poutre :0.60x0.20x2500kg/m3=300kg/m
 Poids du mur en maçonnerie :0.40x0.20x2400kg /m3=192kg/m
 Poids enduit du mur en maçonnerie :0.06x7.9x2200kg/m3=1042.8kg/m
 Surcharge d’entretien :100kg/m²x7.9m=790kg/m
 Pour cette analyse dimensionnelle de la poutre, la combinaison de charge se fait soit en ELU
et en ELS
 En ELU= 1.35G+1.5Q+1.5W
Or G=1580+300+192+1042.8
G=3114.8Kg/m et Q=790Kg/m

60
Bael 91/99
61
: Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) page 101
62
www.africmemoire.com

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42 | P a g e

W= 355.5kg/m
En ELU = 1.35(3114.8) +1.5(790) +1.5(355.5) =4204.98+1185+533.25
Pt=5923.23Kg/m
En ELS= G+Q+W or Pt= 3114.8+790+355.5
Pt= 4260.3kg/m
Pour cette analyse dimensionnelle, nous avons adoptes la combinaison de charges en ELU

b) schéma statique d’une poutre parfaite


Pour c’et analyse63 de dimensionnement de moment fléchissant de la poutre chainage ,nous
avons préfèré d’utiliser la méthode de KANI CROSS, pour le calcul de moment parfait de la
poutre
𝑝𝑙2 𝑝𝑙2
MA=+ et MB= -
12 12
5923.23𝐾𝐺/𝑚(7.9𝑚)² 46793.517𝑘𝑔/𝑚
MA= + = =3899.46Kg/m
12 12
5923.23𝐾𝑔/𝑚(7.𝑚9)² 46793.517𝐾𝑔/𝑚
MB= - = = -3899.46Kg/m
12 12

III.1.2. MODELISATION DE LA POUTRE


1.SCHEMA STATIQUE

2.DIAGRAMME DE L’EFFORT TRANCHANT

63
: Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992)page 160

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43 | P a g e

3.DIAGRAME DE MOMENT FLECHISSANT

III.1.3 CALCUL64 DE LA SECTION DES ARMATURE POUR LA POUTRE


CHAINAGE

Mu : Moment de calcul ultime


MU= 3899.46Kg/m
𝑀𝑈 3899.46 3899.46
MU= 𝑏𝑥𝑓𝑐28𝑥𝑑² = 20𝑥141.67𝑥58² =10200240 = 0.038< 0.39
C’est-à-dire pas des armatures de la compression, la poutre sera simplement armée
ɤ𝑢 = 1.25(1 − √1 − 2𝑥ℳ𝑢)
= 1.25(1 − √1 − 2𝑥0.038)
=1.25(√1 − 0.076)
=1.25(1-√0.924
=1.25(1-0.961249187)
=0.048
𝒴𝑢 = 𝑑𝑥ɤ𝑢 ↔ 60𝑥0.048 = 2.88
Zu=d(1-0.40xɤu)↔60(1-0.4x0.48)
Zu=60(0.9808)=58.85cm
𝑀𝑈 389946𝐾𝑔/𝑐𝑚 389946
S A= = = 204695.601 = 1.90cm² ≅ 1.57 𝑐𝑚²= 2HA10
𝑧𝑢𝑥𝑓𝑠 58.85𝑐𝑚𝑥3478.26

64
: Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) page 70

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44 | P a g e

Après le calcul dimensionnel de section des armatures de la poutre chainage, nous avons
analyse que, chaque coin de la poutre, soit armée avec les barre de diamètre 10, c’est-à-dire
HA10 section, la disposition constructive, les armatures doivent être disposées près de parois
pour empêcher la flexion et autre de déformation, en suite respecte le centre de gravité de la
pièce
a) plan d’exécution de la poutre chainage
Coupe A-A’
2cm HA6

56cm
2cm HA10

2cm 16 cm 2cm

B=20cm

III.4 ETUDE DE LA COLONNE

La colonne865 étant une structure qui est sollicité par des charges ou forces verticales, qui travail mieux
en compression.

III.4.1 PREDIMENSIONNEMENT DE LA COLONNE

a) Recherche de la colonne la plus charge (surface d’impact)

1.5 2.5

Ly 3.95 0.75
LX

Lx=3.95+0.75=4.7m
Ly=1.5+2.5=4m
S=lx.ly↔s=4.7mx4=m= 18.8m²

65
Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) :page 142

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45 | P a g e

ℓ𝑓𝑥√12
A= ƛ
A= la plus petite cote de la colonne
ℓ𝑓= longueur de flamblement de la colonne
ƛ= 35 élancement mécanique d’une pièce comprime
L𝑓 = 𝐾𝑥ℓ𝑜
ℓ𝑜 = Hauteur sous plafond de la morgue
K= coefficient d’encastrement de la colonne dans le massif du béton
L𝑓 =0.65 et L=3m = 300cm
=0.65x300cm=195 cm
L𝑓 = 195𝑐𝑚
195𝑥√12 675.499815
A= = =19.29 cm
35 35
Pour la meilleur stabilité et résistance, nous avons adopté a= 20 cm, c’est à dire notre colonne sera de
section carrée a x a= 20cmx20cm

20cm

.
20cm

III.4.2 VERIFICATION DE FLAMBEMENT DE LA COLONNE

𝑏𝑥ℎ² 20𝑥(20) 3 160000


Ix=Iy= = = = 13333.33 cm4
12 12 12
a) rayon de giration
√𝐼 √160000𝑐𝑚4
ix=iy= 𝐴 = = 20 cm²
400𝑐𝑚2
b) calcul d’élancement66
ℓ𝑓 195𝑐𝑚
𝜆x=𝜆y= 𝑖𝑥 = 20𝑐𝑚² = 9.75cm
9.75< 35 c’est-à-dire notre colonne ne peut pas flamble, face a toutes sollicitations
c) évaluation des charges sur la colonne
 Poids propre de la colonne :0.20mx0.20mx18.8m²x2500kg/m3=1880kg/m
 Poids enduit de la colonne :0.03x18.80m²x2400kg/m3 =1353.6kg/m
 Le poids verni de la poutre chainage est de :5923.23kg/m
G=1880+1353.6=3233kg/m x 1.35 = 4365.36kg/m
T= 4365.36+5923.23= 10288.59gk/m

66
BAEL ne traitent pas des poteaux en béton non armé (Se référer à page 114

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46 | P a g e

III.4.3 CALCULS DE SECTION DES ARMATURE DE LA COLONNE67

𝑁𝜇 0.85𝑥𝐵𝑟𝑥𝑓𝑐28 ɤ𝑠 0.85 𝜆 35
As=( - ) 𝑓𝑠 or ɤ = et ß=1+0.2(35)↔ 1+0.2(35) = 1.2
ɤ 0.9𝑥ɤ𝑏 ꝭ
0.85
ɤ= 1.2 = 0.708
ßr= (a-2)x(b-2)↔ (20-2)x(20-2)= 324cm²
10288.59 0.85𝑥324𝑥250 1.15
SA=( - ) 4000
0.708 0.9𝑥1.5
(14531.90-51000)0.0002875
(-36468.1)0.0002875 =-10.48cm²
SA= - 10.60 cm² comme la section des armatures de la colonne donne négativement, c’est-à-dire que
le béton elle-même peut répondre à la résistance à la pièce comprime
Pour une meilleure analyse statique, de la pièce comprime, qui travail mieux a compression, il faut
arme pour augmenter sa résistance à la compression avec les armature de la construction.

III.4.3.1 DISPOSITION CONSTRUCTIVE DE LA PIECE COMPRIME

Les armatures qui travaille à la pièce comprime, doivent être disposées près de parois pour empêcher
les flambements et respecte le centre de gravite
La distance entre deux barres vaut de petit cote+ 10 cm
Chaque angle comme coin, doit comporter une barre

III4.3.2 PLAN D’EXECUTION DE LA PIECE

Coupe :AA

HA10
HA6

2cm 16 cm 2cm
b= 20 cm

coupe :BB

67
Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) : page 165

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47 | P a g e

III.5 ETUDE DE IMENSIONENEMENT DE LA BASE DE FONDATION ET


SEMELLE CONTINUE SOUS MUR

La fondation1168 et la partie de l’ouvrage qui est en contact avec le sol


Elle doit être conçue et calculée de façon qu’elle puisse bien transmettre et bien repartir le poids de
l’ouvrage au sol et par conséquent, il est important de connaitre d’abord :
 La portance du sol
 La profondeur de la nappe phréatique
 La profondeur à laquelle se trouve le bon sol
La fondation sur la semelle continue preuve s’exécuter au moyen d’une semelle de
section rectangulaire ou trapézoïdale
La base (b) de la semelle dépend de la résistance du sol en place de site en étude.
𝑝+𝑝′ 𝑝+𝑝′
Nous pouvons écrire, la formule de la manière suivant : 𝜎𝑠𝑜𝑙 = 100𝑏 d ou b = 100.𝜎𝑠𝑜𝑙
P= poids de la descente de charges de l’ouvrage
P’= le poids de la semelle transmis au sol
B= la base de la fondation
𝜎𝑠𝑜𝑙= la contrainte admissible du sol en place.

III.5.1 PRE- DIMENSIONNEMENT DE LA SEMELLE CONTUNIE SOUS


MUR

𝑝 𝑝
𝜎𝑠𝑜𝑙 = 𝑠 ↔S= 𝜎𝑠𝑜𝑙
𝑜𝑟 p=9687.46kg et 𝜎𝑠𝑜𝑙 = 4𝑘𝑔/𝑐𝑚²
9687.46
𝑠 = 4𝑘𝑔/𝑐𝑚²= 2421.865 cm²
Comme C’est une semelle continue sous mur, le pré dimensionnement se fait à une bande d’un metre
(1m)
𝑆 = 𝐵𝑥𝑏 𝑜𝑟 𝐵 = 1𝑚 = 100𝑐𝑚
S= Bxb = 2421.8654cm²
= 100 cmxb=2421.865cm²
2421.8654cm²
B= = 24.98 cm
100𝑐𝑚
Pour le = raison de la meilleure stabilité, nous adoptons b= 40 cm
Ht= hauteur totale de la semelle
B−b 40−20
Ht= + s↔ ht = + 5 = 10 cm
4 4
a) poids propre de la semelle de propriété
 0.40mx0.10mx2500kg/m= 100kgx1.35=135kg
P’=135kg

68
www.construction-habitat.com

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48 | P a g e

III.5.2 PRE -DIMENSIONNEMENT DE LA BASE DE FONDATION

p+p′
B= 100𝜎𝑠𝑜𝑙 or p=9687.46kg et p’=135kg
9687.46kg+135kg 9822.46kg
p= = 4 00𝑘𝑔/𝑐𝑚 = 24.55615cm
100𝑥4 𝑘𝑔/𝑐𝑚²
Si le mur de fondation sera construit avec le pierre naturelle (moellons), la base de la fondation doit
être égale a la base de la semelle de propriété
Tandis que, le mur de fondation est construit avec les brique, le mur de fondation doit être inferieur a
la base de la semelle de propriété

III5.3 DIMENSIONNEMENT DE LA SECTION DES ARMATURES DE LA


SEMELLE DE PROPRIETE

P(b−a) 10423.59kg(40−20) 208471.79


SA= 8𝜎𝑠(ℎ𝑡−𝑑) = = = 1.49cm² =156= 2HA10
8𝑥3478.26(10−5) 139130.4

III.5.4 PLAN D’EXECUTION DE LA SEMELLE DE PROPRIETE DE LA


FONDATION

DF
= 1.5
𝑏

DF = bx1.5
=40x1.5
DF= 60cm

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49 | P a g e

III.4 VERIFICATION DE LA STABILITE DE L’OUVRAGE

P+p′ 10288.59+135 10423.59kg


↔100𝑏≤ 𝜎𝑠𝑜𝑙 ↔ 100𝑐𝑚𝑥40𝑐𝑚 = = 2.60kg/cm²≤ 4kg/cm² c’est-à-dire notre ouvrage sera stable
400𝑐𝑚²
,face en toutes sollicitation possible car la contrainte effective est inferieur a la contrainte admissible
du sol de site en etude.

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50 | P a g e

CHAP IV.1 : ETUDE QUANTITATIF DES MATERIAUX DE LA MORGUE

Dans ce chapitre ,nous allons69 nous vocalise sur L’étude de prix a pour but de calculer, les prix de
vente unitaires hors taxes (P.V.H.T.) des ouvrages élémentaires (O.E.) afin d’en déduire à l’aide du
devis quantitatif le montant total ou partiel des travaux hors taxes (H.T) et toutes taxes comprises
(T.T.C.).

4.1.1 DEFINITION DE L'AVANT METRE :

C’est70 le détail méthodique et analytique des ouvrages permettant l’établissement du


devis quantitatif. Il est réalisé sur une trame ou « minute » (feuille de métré )et doit
comporter :
♦ la description des ouvrages et de leur mise en œuvre,
♦ le détail précis des calculs de leurs quantités
♦ des croquis (croquis minute) améliorant la compréhension technique
des indications dimensionnelles.

♦ La méthode utilisée doit permettre :


♦ une étude rapide
♦ l’obtention de résultats précis
♦établissement d’un document exploitable La minute doit être : - lisible - vérifiable –
structurée.

4.1.2 METRE

Le métré 71est une fonction de travail qui consiste à effectuer les relevés des quantités de matériaux,
dans le but d'obtenir le coût des ouvrages, en prenant en considération leur mesurage selon les modes
conventionnels ou normalisés (ex. : le m³ de béton, le kilogramme d'acier, le m² de carrelage, le m² de
cloison.

69
https://mcours.net/cours/pdf/econm/Etude_de_prix.pdf
70
https://www.4geniecivil.com/2020/01/definition-du-metre-et-definition-de.html
71
https://www.institut-grasset.qc.ca/batiment/quest-ce-que-le-metre-pour-lestimation-en-construction/

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51 | P a g e

4.1.3 DEVIS
Le 72devis est d'abord un document d'information qui matérialise l'engagement des parties et qui doit
être signé avant la prestation. .
4.1.4 DEVIS DESCRIPTIF
Le devis descriptif 73et estimatif détaillé (DDED) est un élément qui permet d'analyser les éléments
composant le prix et donc de comparer les offres. Le devis descriptif et estimatif détaillé comporte
toutes indications permettant d'apprécier les propositions de prix.
4.1.5 DEVIS ESTIMATIF

Le devis estimatif 74(DQE) détaillé est un document qui permet d'analyser les éléments composant le
prix et donc de comparer les offres proposées. Il comporte toute indication permettant d'apprécier les
propositions de prix.

4.1.6. ROLE DES DEVIS

Le devis75 sert à sécuriser la relation commerciale avec le client: lorsque ce dernier a donné son accord
pour l'exécution de la prestation, il est engagé sur l'offre qui a été convenue

4.2. QUA NTIFICATION DES MATERIAUX MISE EN ŒUVRE POUR LA


CONSTRUCTION DE LA MORGUE

Pour cette partie d’étude, nous allons commencer par la fondation, qui est comme l’infrastructure et
ensuite, nous allons terminer par la superstructure comme élévation et la charpente en bois.

4.2.1 L’INFRASTRUCTURE (FONDATION).

Partie 76 inferieur d’une construction (fondation), dans cette partie nous allons quantifier tous les
élément qui compose l’infrastructure
LCT= 258.5 longueur cumule totale de la fondation
b=0.40 m ,base de la fondation
h=fD= 0.70, comme la profondeur de la fondation
V= volume d’excavation de la fondation
LTC x b x Fd
= 258.6x0.40x0.70
V=72.41m3, comme volume d’excavation de fondation

72
https://www.google.com/search?q=devis&rlz=1C1BNSD_frCD980CD980&oq=devis&aqs=chrome.0.69i59l3j0i
73
https://biblus.accasoftware.com/fr/devis-metre-quantitatif-estimatif
74
/http://www.marche-public.fr/repondre-appels-offres-20100301-paris-sw01.html
75
https://www.l-expert-comptable.com/a/532419-comment-faire-un-devis.html
76
www.linternaute.fr

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52 | P a g e

4.2.2 QUANTIFICATION DE LA SEMELLE DE FONDATION

LCT= 258.5 longueur cumule totale de la fondation


b=0.40 m ,base de la semelle de fondation
e = 0.10m, comme l’épaisseur de la semelle filante ou continue de la fondation
V= LTC x b x e
= 258.6x0.40x0.10 = 10.344 m3
Le dosage du béton, pour la confection de la semelle de fondation sous mur est de 300kg/m3
10.344m3 x300kg/m 3 310.2
a) ciment : = = 62 sac x 1.2 = 74 sac de ciment
50kg 50

b) gravier :10.344 m3 x 0.8 = 8.27 m3x 1.2 = 9.9 ≈ 10 m3

c) sable :10.344 m3x0.4= 4.14 m3 x1.2 = 4.96 ≈ 5 m3


d) barre de fer : LCT = 258.6 x 4 comme nombre de barre dans la semelle
1034.4
→ 258.6x4 = = 89HA10
11.5
→ fil a ligature: 10.344 m3x2.5kg/ m3=26 kg
258.6 1293
→ epingle = = 112HA6
0.20 11.5

4.2.3 QUANTIFICATION DE LA FONDATION EN MOELLON

LCT= 258.5 longue cumule totale


B=0.40 m, base de la fondation
h = 0.60m+0.4 de sous bassement de la fondation
V= LTC x b x h
= 258.6 x 0.40 x 1 = 103.44 m3
a) n volume de la maçonnerie est de 75% (moellon)
103.44m3 x75 7758
→ 100
= 100 = 78m3 de moellons x 1.2 = 93.6 ≈ 94 m3

b) volume de mortier de la maçonnerie est de 25%


103.44m3 x25 2586m3
= = 25.86 m3
100 100
25.86m3 x250kg/m 3 6465
 𝐜𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭: = =130 sacs
50kg 50
 𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐦𝐞𝐥𝐚𝐧𝐠𝐞: 25.86 m3x1.2 = 31 m3 de sable

c) socles de la fondation
H= 1m
e=0.40m
b=0.40m
V= H x e x b

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53 | P a g e

1x0.40x0.40
V=0.16 m3x33 socles = 5.28 m3
5.28m3 x300kg/m 3 1584
 ciment : = = 32 sac de ciment
50kg 50
 Gravier :5.28 m3 x 0.8 = 4.22 m3x 1.2 = 5 m3
 Sable :5.28 m3x0.4= 2.11 m3 x1.2 = 3 m3
 barre de fer de ∅ 𝐋.
b=0.40m
h= 1m
→ 1 + 0.5 = 1.5m
198 mt
→ 1.5mmx4=6 mx33 socles = 11.5mt = 17 HA 10x 1.2 20.4HA
1.5m
→ = 7.5≈ 8 etrier↔ 40-(4x2) = 32+10= 42 cm3
0.20
110.88
C’est à dire 0.42 x 8 = 3.36 x 33 socles = = 10HA6
11.5
 → fil de recuit: 5.28m3x2.5 kg/ m3 = 13kg x1.2 = 16kg
 → bois de coffrage : volume a coffre est 5.28 m3
 → volume de coffragen (bois):3mx0.03x0.30=0.027 m3
5.28m3 195
 →Nombre de bois est de : 0.027 m3 = = 98 pieces
2
 → clous de fixation ∶ 5.28 m3x10kg/m3=53kg de clous

4.3 PARTIE SUPER STRUCTURE

On désigne comme 77 superstructure l’ensemble des parties supérieurs d’une construction, ou des
parties situées au-dessus du niveau du sol, par opposition aux infrastructure

4.3.1 QUANTIFICATION DE L’ELEVATION DE L’OUVRAGE

1. ELEVATION DE MURS

LCT : 252.4 ml, la longueur cumule totale d’élévation


h=3.00m hauteur sous plafond de l’ouvrage
e=0.20mx,l’epaisseur de murs en élévation
V= LCT x h x e = 252.4mx3x0.20m= 151.44m3
V= 151.44m3 volume de la maçonnerie de l’élévation
 volume de brique a utiliser pour le mur d′ elevationest de V = 0.40x0.20x0.15 =0.012m3
151.44m3 x75% 11358
→ = = 113.58 m3
100 100
113.58m3
Nombre de brique a utilisé est de : = 9465 piece de briques par pingues.
0.012 m3

77
www.lamy-expertise.fr

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54 | P a g e

2.QUANTIFICATION DE MORTIER DE LA MAÇONNERIE (25%)


37.86m3 x25 3786
= = 37.86 m3 de mortiers
100 100

37.86m3 x250kg/m 3 9465


 → ciment = =189 sacs
50kg 50
 → sable melange: 37.86m3x1.2 = 45.43 m3 de sable

3. QUANTIFICATION DES MATERIAUX DE COLONNE

Lo=3.00m
h=0.20m
e=0.20m
V= Loxhxe
=3.00x0.20x0.20
V=0.12x33 colonne = 3.96 m3
3.96m3 x300kg/m 3 1188
 → ciment = =23.76 sacsx1.2 = 29 sacs
50kg 50
 →gravier : 3.96m3x0.8 = 3.17 m3
 → sable melange: 3.96m3x0.4 = 1.58 m3 de sable
 →Barre de fer de ØL :3x4 barres = 12x33 colonnes
396
= 34.43 HA10
11.5
3
 → barre de fer de ØAT : 0.15 = 20+1 = 21 etriers pour la colonne or (0.16x4+0.10=0.74m
comme longueur de l’étrier)
512.82m
Nombre de barre de fer est de :0.74x21=15.54x33 colonnes = = 44.59≈ 45 HA6
11.5m
 Fil de recuits : 3.96m3x2.5kg/m3= 9.9≈ 10kg
3.96m3 146.66
 Bois de coffrages : 0.027m3 = = 73 pieces de bois
2
 Clous de fixation :3.96m3x10kg = 40kg

4. QUANTIFICATION DES MATERIAUX DE LA POUTRE CHAINAGE


LCT= 252.4 longuer cumile totale
b=0.40 m ,base de la poutre
h=60 m, comme la hauteur de la poutre chainage
V= volume LTC x b x h = 258.6x0.20x 0.60 V=30.29m3
30.29m3 x300kg/m 3 9086.4
 ciment = =182sacs
50kg 50
 Gravier : 30.29m3x0.8 = 29 m3
 sable melange: 30.29m3x0.4 = 12.12 m3 x1.2 = 15 m3 de sable
1514.4m
 Barre de fer de ØL :252.4mx6 barres = =132HA10
11.5

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55 | P a g e

252.4
 Barre de fer de ØAT : +1 = 1684 morcaux des étriers or la longueur d’un étrier est de(
0.15
1380.88
60-4)+(20-4) = 72+10=82 cm = 82x 1684 = = 120HA6
11.5
 Fil de recuits :30.29 m3x2.5kg/m3=70kg
30.29m3 1122
 Bois de coffrage est de : 0.027m3= = 560 pieces de bois de coffrage ou 15 m3 de bois
2
 Clous de fixation :30.29m3x 10 kg/m3= 303k

4. QUANTIFICATION DE LA CHARPENTE ET COUVERTURE


a) détermination de ferme

1m 1m

21.00m
23.00m

La pente de l’ouvrage est de 18 %


32.00x 18 % 414m
 = = 4.14 = 4 m3
100% 100

12.18m
4m 2.66
4.66 4.05

3.83 3.83 1.33 3.83


A c

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56 | P a g e

a²=b²+c²→a=√b 2 + c 2
a=√(4)2 + (11.5)²= =√16 + 132.25= √148.25 = 12.18m
LTC= d’une ferme est de
(4.66x2)+(2.66x2)+(4.05x2)+(1.33x2)+(11.5+4)↔9.32+5.32+8.1+2.66+11.5+5=40.9m x14
687.12m
Ferme = 5726mx1.2 = = 152.69 = 153 pièces de madriers de (10x5cm)
4.5m

b) Détermination des panne et calcul de chevrons (5x5 cm)


12.18m
 Pannes : +1= 17.4+1=18 lignes des de pannes
0.70
 18 lignes de x 26 m de la longueur= 478.4x 2 versants = 956.8x 1.2 = 1148.16m
1148.164m
 Nombre de chevrons est de = 255 pièces
4.5

C) clous de fixation de la charpente

 Volume de madrier est de :0.05x0.10x5 = 0.025 m3


 Volume de chevron est de :0.05x0.05x5= 0.0125m3
 V1+v2 = 0.025m3+0.0125m3 =0.0375 m3x408 pieces= 15.3 m3
 Nombres de kilo de clous est de 15.3 m3x10kg/ m3= 153kg de clous ordinaires

d) quantification de couverture en tôle galvanise

 Surface à couvrir est de 12.8 m x 26m = 316.68x2 versants = 633.36 m3


 Surface d’une tôle est de :2.80mx0.70m = 1.96 m3
633.36m3
 Nombre de tôles est de : = 323 pieces de toles galvanise BG28
1.96m3
26m
 Tôle faitière : 1.80m = 14.44+1 = 15 pieces de toles.
 Clous de fixation de tôles : 1kg de clous de tôles =120 pièces de clous, une pièce de tôles = 18
tige de clous de tôles
6084
Comme nous avons 323 pièces +15 pièces =338 pièces x 18 tiges = 120p/kg= 50.7 =51kg de
clous de toles.

e) planche de rive

 (12.18mx4)+(26x2)=48.72+52=98.72m ,or une plache de rive est de H= 0.25 m et e=0.03m


et L=5m
698.72m
 Nombre de planche de rive est de = 19.744= 20 pieces
5m
 Clous de fixation de planche des rive
V= 0.25 m x0.30 m x5 m = 0.0375 x 20 pieces = 0.75 m3 = 0.75 m3 x10kg/m3 =7.5 =10kg de
clous ordinaire

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57 | P a g e

f) quantification de matériaux des finitions

1. plafonnage (faitage)

23m
Sens de y = +1 = 39 lignes x 26 m = 1014m
0.60m
26
Sens x = 0.60 + 1= 44 lignes x 23m = 1012m
LTC(1014m) +(1012m) = 2026m
 Chevrons de (5x5)
2026m
 Nombres de chevrons est de = 405 x1.2 = 486 pieces
5m
 Clous de fixation V= 5m x 0.5 x0.05 = 0.0125x486= 6.075m3
 = 6.075m3x10kg/m3 = 60.75 =61kg de clous ordinaire

2.TRIPLEXE

 L1= 26m de longueur du bâtiment


 L1= 23m largueur du bâtiment
 S1 = L1xl1= 26x23 = 598 m², surface du bâtiment
 L2= 2.44m, longueur de triplex
 L2=1.22m, largueur de triplex
 S2 = 2.44x1.22 = 2.9768m²
598m²
Nombre de triplex est de = 200.88 x 1.2= 241 pices de triplexe
2.9768m²
Et les nombre de chevron = aux nombre de lattes.

3.CREPISAGE
LCT= 252.4 longueur cumule totale
H=3.00 m
e = 0.02m, comme l’épaisseur
V= LTC x h x e
= 252.4x3.00x0.02 = 15.144 m3
15.144m3 x250kg/m 3 3786
 ciment : = = 75.72sac x 1.2 = 91 sac de ciment x 2 interface de mur
50kg 50
=182 sacs
 sable fin:30.288m3x1.2 x1.2 = 44m3

3.1. CREPISSAGE MUR PIGNON

HxB 21x4 m 84
S= = == == = 42 m² x 2 pignons =84 m²
2 2 2
V= 84 m²x0.02m= 168m3 x 2 interface V= 3.36m3
3.36m3 x250kg/m 3 840
 ciment : = = 16.8 x1.2 = 20 sacs de ciment
50kg 50

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58 | P a g e

 Sable fin:3.36m3x1.2 x1.2 = 4.8384 = 5m3

QUANTIFICATION DE LA PEINTURE

S1= LCT x H =252.4m x 3m S1= 757.2m²


21mx4 84
S2= == = 42m² x 2 pignons = 84m²
2 2
ST= S1+S2 = 757.2 m² + 84m² = 841.2m²
841.2 m²
 Choux = = = 210.3 kg x1.2 = 252 kg
4m²

525kg
Nombre de sacs de chaux est de = = 5 sacs
50
841.2m²
 Email = = = 280.4 l x 1.2 ) 336.48 l
3m2 /l

336.48 l
Nombres de boites des emails est de = = 17 boites de 20 litres
20
QUANTIFICATION DE PAVEMENT LISSE
L=24 m
l=21 m
e=0.10m
v= Lx lxe= 24x21x0.10
V= 50.4 m3
50.4m3 x300kg/m 3 15120
 𝐜𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 = x1.2 = 362.88sacs
50kg 50
 →gravier :50.4m3x0.8x1.2 = 48 m3
 → 𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐦𝐞𝐥𝐚𝐧𝐠𝐞: 50.4x1.2m3x0.4 = 24 m3 de sable

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59 | P a g e

TABLEAU DE DEVIS ESTIMATIF

N° DESIGNATION UNITE QUANTIT PU PT OBSERVATION


E $ $
I TRAVAUX
PREPARATOIRE
1 Nettoyage du terrain FF 588m² 5 2940

2 Mise en nivellement du FF 2000


terrain
3 Implantation du FF 2000 200
panneau publicitaire
4 Implantation du FF 200 3000
bâtiment
5 bureaucratie FF 300

SOUS TOTAL 5440$


II TERRASSEMENT
6 Fouille de m3 72.41 5 362
fondation(déblai)
7 Remblai m3 41.38 5 206.9

SOUS TOTAL 568.9$

MAÇONNERIE
II FONDATION
SEMELLE DE
FONDATION
8 ciments kg 74 12 888

9 graviers m3 10 16 160

10 sables m3 5 16 80

11 Barre de fer ∅10 Q 89HA10 8 712

12 Barre de fer ∅6 Q 112HA6 4 448

13 Fil de recuits kg 26 2 52

SOUS TOTAL 23 40$

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60 | P a g e

IV FONDATION

14 moellons m3 94 22 2068

15 ciment kg 130 12 1560

16 gravier m3 31

IV2 SOCLES DE FONDATION

17 ciment kg 32 12 384

18 gravier m3 5 16 80

19 sables m3 3 16 48

20 Barre de fer ∅10 m3 20HA10 8 160

21 Barre de fer ∅6 m3 12 4 48

22 Fil de recuits Kg 16 2 32

Bois de coffrage PCS 98 6 588


23
24 Clous de fixation kg 53 2.5 132.5

SOUS TOTAL 1440.5

V1 MANCONNERIE EN ELEVATION

25 Brique palping PCS 9465 0.83 7887.5

26 Ciment kg 189 12 2268

27 Sables mélanges m3 45 16 720

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V2 COLONNES 61 | P a g e

28 Ciment kg 29 12 348

29 Gravier m3 4 16 64

30 Sables m3 2 16 32

31 Q 40HA10 8 320
Barre de fer ∅10
32 Barre de fer ∅6 Q 54HA6 4 216

33 Fil de recuits kg 12 2 24

34 Bois de coffrage PCS 73 6 438

35 Clous de fixation kg 40 2.5 100

V,3 :POUTRE CHAINAGE


36 Ciment kg 182 12 2184

37 Gravier m3 29 16 664

38 Sables m3 15 16 240

39 Barre de fer ∅10 Q 132HA10 8 1056

40 Barre de fer ∅6 Q 120HA6 4 480

41 Fil de recuits Kg 76 2 152

42 Bois de coffrage PCS 15 222 3330

43 Clous de fixation Kg 303 2.5 757.5

SOUS TOTAL 1076025$

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62 | P a g e
VI CHARPENTE EN BOIS ET COUVERTURE

44 Madriers(10x5 cm) PCS 153 15 2295

45 Chevrons (5x5 cm) PCS 255 10 2550

46 Clous de fixation kg 153 2.5 382.5

47 Tôles (galvaniser) PCS 323 15 4845

48 Clous de tôle kg 51 2 102

49 Planche de rives PCS 20 12 240

50 Clous de fixation kg 10 2.5 25


51 Tôles faitier PCS 15 15 225

SOUS TOTAL 1066.4.5$

VII :PLAFONAGE OU FETAGE

52 Chevrons (5x5) PCS 486 10 4860

53 Clous de fixation Kg 61 2.5 152.5

54 Triplex de 3 mm PCS 241 6 1446

55 Lattes PCS 486 1.5 729

56 Clous de 4 cm Kg 20 2.5 50

SOUS TOTAL 7237.5$

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63 | P a g e
VIII : CREPISAGE (ENDUITS)

57 Ciment kg 202 12 2424

58 Sable fin m3 50 16 800

SOUS TOTAL 3224

IX :PAVEMENT

59 Ciment kg 363 12 4356

60 Graviers m3 48 16 768

61 Sables m3 24 16 384
SOUS TOTAL : 5508$

X :PEINTURES

62 Chaux en sacs PCS 5 15 75

63 Email boites 17 90 1530

SOUS TOTAL 1605$

XI ARMOIR FRIGORIFIQUE PCS 20 6500 130 000$

 Les couts du projet sont :11 140 534 $


 La main d’œuvre 30% du cout de projet :3342 16$
 Imprévue 10% du cout du projet 111405$
 Transport 5% du cout du projet 55702.67$
 Frais d’étude 3% du cout du projet 33421.6$
 Frais d’installation de chantier 2% = 2.228.1$
 Le cout global du projet est de = 167.107$

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64 | P a g e

IV .2 DISCUTION DE RESULTATS

Dans cette partie, nous allons discuter le résultat de dimensionnement des éléments structuraux du
bâtiment de la morgue du centre hospitalier de KIBALI.
La structure son compose des éléments rectiligne ou oblique, relier entre eux par les nœuds rigides.
Dans ces cas, les charges peuvent être appliquée aux nœuds et son les travées.
La structure spécialisant utilisées dans les ouvrage de génie civil, le système de chargement est applique
sur la poutre chainage, suivent les dimensions structurales et aux nœuds.
Les sollicitations représentent le cas Générale, il s’agit de la flexion, cisaillement, l’effort normal et la
torsion.
L’évaluation des charges extérieures joue un rôle très important dans la conception de la structure,
tandis que l’évaluation avec soin des charge extérieures, conduit à une exactitude des résultats de toute
analyse statique de la structure
Les charges exerçant sur la structure peuvent être regroupées en deux groupes qui sont

1. CHARGES PERMANENTES

2. CHARGES D’EXPLOITATION

IV.2.1 CHARGES PERMANENTE

1 – Définition : La278 charge permanente comprend non seulement le poids propre des éléments
porteurs, mais aussi les poids des éléments incorporés aux éléments porteurs tels que : plafond, sol,
enduits et revêtements quelconques ainsi que ceux des éléments de la construction soutenus ou
supportés par les éléments porteurs tels que : cloisons fixes, conduits de fumée, gaines de ventilation,
etc…
La valeur de telles charges se calcule d’après le volume des matériaux et leur densité la plus grande
dans les conditions d’emploi.

En vue de faciliter le calcul de ces charges, il a été donné, à titre indicatif, en annexe des valeurs
moyennes d’un certain nombre de paramètres (poids volumiques et surfaciques, angle de frottement)
qui pourront être utilisées à défaut de mesures plus précises.

78
https://btp-cours.com/charges-permanentes-et-charges-dexploitation/

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


65 | P a g e

IV.2.2 CHARGES D’EXPLOITATION

1 – Généralités :
Les79 valeurs des charges d’exploitation sont fonction :

 Des surfaces auxquelles elles sont appliquées,


 Des dégressions horizontales ou verticales retenues liées aux types et caractères des charges en cause,
 De leur mode de prise en compte etc…
Ces différents facteurs d’ailleurs non indépendants, sont traités ci-après avant de donner les valeurs des
charges d’exploitation pour diverses natures de locaux en fonction, s’il y a lieu de ces différents
facteurs.

Ces valeurs se réfèrent à un mode normal d’utilisation des locaux de la morgue.

Elles sont utilisées en tenant compte, d’une part, des réductions ou dégressions pour grandes surfaces
ou pluralité d’ouvrage, d’autre part, des conditions défavorables possibles de leur distribution
(existence ou absence totale ou partielle dans les diverses travées) (3)

. Sauf indication contraire, ces charges sont appliquées sur l’ouvrage.

La somme de charges d’exploitation pour l’entretien est de 100kg/m² et pour le vent de 45kg/m², selon
euro code.

CALCUL STATIQUE DE MOMENT DE LA STRUCTURE

La structure est stable et aussi calcule, par le les équation d’équilibre Pour c’et analyse de
dimensionnement de moment fléchissant de la poutre chainage, nous avons préfère d’utiliser la
méthode de KANI CROSS, pour le calcul de moment parfait de la poutre

𝑝𝑙2 𝑝𝑙2
MA=+ et MB= -
12 12

ANALYSE STATIQUE DE LA COLONNE

La colonne80 étant une structure qui travail mieux en compression et sollicite par des charge verticales
Pour notre structure, l’analyse statique deb la colonne la plus charges a été analyse par la formule du
béton arme, selon la méthode de BAEL 91 ? Est

79
https://btp-cours.com/charges-permanentes-et-charges-dexploitation/
80
file:////BAEL91MOD99,VERSION%20 DEUXIEME2ED

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


66 | P a g e

ℓ𝑓𝑥√12 𝑁𝜇 0.85𝑥𝐵𝑟𝑥𝑓𝑐28 ɤ𝑠 0.85 𝜆 35


a= et As( - ) 𝑓𝑠 or ɤ = et ß=1+0.2(35)↔ 1+0.2(35) = 1.2
ƛ ɤ 0.9𝑥ɤ𝑏 ꝭ
0.85
ɤ= 1.2 = 0.708
En ce qui concerne les matériaux, ils étaient déterminés en tenant compte de leur qualité. Les matériaux
prédominants dans ce projet sont le béton et les aciers.
Après le calcul dimensionnelle nous avons conclus que notre ouvrage est stable car la contrainte
P+p′
effective du bâtiment est inférieure à la contrainte du sol de notre terrain soit ≤ 𝜎𝑠𝑜𝑙 ↔
100𝑏
10288.59+135 10423.59kg
= = 2.60kg/cm²≤ 4kg/cm² c’est-à-dire notre ouvrage sera stable ,face en toutes
100𝑐𝑚𝑥40𝑐𝑚 400𝑐𝑚²
sollicitation possible car la contrainte effective est inferieur a la contrainte admissible du sol de site en
étude.
comparativement aux ouvrage consultés entre autre : KAMBALE MALUMALU Jérémie Projet de
81
construction d’une salle de mort à l’hôpital imani quartier plateau boyoma, commune makiso.2019-
2020
Dans son sujet, il a abordé les hypothèses ci-après :
Cet ouvrage serait construit en respectant les normes architecturaux et l’art de génie civil.
Les matériaux naturels et artificiels de bonne résistance seraient utilisés pour la réalisation de notre
projet
Pour582 atteindre la vérité de l’étude, l’auteur a fait recours à la méthode aux états limites ultimes
(ELU). PU=1,35G + 1,5Q +1,2W suivant les normes BAEL91 de génie civil.
A la fin de ces études il a conclu que son bâtiment était stable avec une contrainte effective de
2,5Kg/𝑐𝑚2 < 3 Kg/𝑐𝑚2 .
Notre ouvrage, conformément aux ouvrages précités, présente un degré de sécurité élevé ce qui nous
rassure que notre ouvrage peut se réaliser en toute quiétude, dans des bonnes conditions et cela résistera
aux différentes sollicitations qui pourra surgir.
On vérifie en suite si le tassement reste compatible avec la stabilité de l’ouvrage pour le cas général,
de diffèrent type de fondation notre analyse est base sur la fondation superficielle dont, la profondeur
est moin de 3 metre.

81
KAMBALE MALUMALU Jérémie, TFC, IBTP ,2020
82
file://BAEL91MOD99,VERSION%20 DEUXIEME2ED

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67 | P a g e

CONCLUSION

Si nombre de gens ont peur de la mort, la mort ne craint personne et être courageux sans compassion
mène à la mort. La compassion fait agir alors que la faiblesse rend craintif. Vieillir, c’est passer de la
passion à la compassion. Alors la mort nous fait penser à nos très chers et de leur organiser un bon
dernier hommage digne de leur vécu sur la terre83.

C’est pour cette raison que nous avions bien suggérer de focaliser notre étude sur « l’avant-projet de
construction d’une morgue au centré hospitalière de Kibali dans la cite de Durba, territoire de watsa,
province de haut-Uélé » pour organiser un bon dernier hommage au personne décède.

Pour parvenir à notre fin. Nous nous sommes pose des questions suivantes :
 Comment faire pour doter la cite de Durba d’une morgue ?
 Quel sera le cout total du projet ?

L’idée que nous avons présentée où défendre au cours de notre travail, compte tenus de nôtres
problématique, est la solution à de question pause a la problématique pour les problématique ci-dessus,
voici quelque élément de réponse.
 Cette morgue serait construite selon le norme architecturale pour doter la cite de Durba une
morgue
 Pour trouver le cout total de cette ouvrage, on procèderait à la quantification de matériaux,
mètre et devis.
Pour atteindre les objectifs assigne. Nous avons fait recours à la méthode de travaux publique qui
consiste à recevoir un ouvrage de génie- civil et cette méthode a été compléter par les techniques telle
que : analyse, documentaire, interview libre, récolte des données, webographie.
En dehors de l’introduction et la conclusion, notre étude s’articule autour de trois chapitres
principaux et fondamentaux, lesquels chaque chapitre comprendra chacun des sections subdivisées
en paragraphes.

 Le premier chapitre portera sur les généralités


 Le deuxième chapitre s’articule sur l’analyse de la conception de l’ouvrage et étude de
matériaux de construction à utiliser
 Et le troisième chapitre aborde sur les résultats l’analyse de dimensionnement de la
structure
 La quatrième porte sur la discutions de résultats et le devis
Sur notre résultat de calcul de pré-dimensionnement nous avons abouti au résultats suivant

 Poutre : H=60cm
b= 20cm
 Colonne :20x20

83
http://evene.fr

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


68 | P a g e

 Semelle de fondation :DF = bx1.540x1.5


DF= 60cm
 D’après le calcul de devis que nous avion calcul culer nous estimons que Le cout global du
projet est de = 167.107$
Tout au long de ce travail nous nous sommes heurtés à des nombreuses difficultés dont les principales
sont les suivantes
La résistance de certains enquêtés à livrer toutes les informations

Certains enquêtés analphabètes n’étaient pas disposer à répondre à nos questions lors de nos
enquêtes.

Mais nous avons surmonté ces difficultés grâce à notre courage et endurance.

Sur ce, nous ne prétendons pas avoir réalisé un travail parfait c’est la raison pour laquelle nous
restons ouvert à toutes les critiques tant positives que négatives de nos éventuels lecteurs dans le but
de l’amélioration de son contenu.

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


69 | P a g e

TABLE DES MATIERES


EPIGRAPHI ................................................................................................ Erreur ! Signet non défini.
DEDICACE................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
REMERCIEMENT ..................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
LISTE DES NOTATIONS ET SYMBOLES ............................................. Erreur ! Signet non défini.
LISTE DES ABREVIATIONS ................................................................... Erreur ! Signet non défini.
00.INTRODUCTION........................................................................................................................... 14
0.1ETAT DE LA QUESTION ........................................................................................................... 1
0.2 PROBLEMATIQUE DE LA RECHERCHE............................................................................... 2
0.3 HYPOTHESE DU TRAVAIL ..................................................................................................... 2
0.4 OBJECTIF DU TRAVAIL .......................................................................................................... 2
0.5 CHOIX ET INTERET DU TRAVAIL ........................................................................................ 3
0.6 DELIMITATION DU TRAVAIL................................................................................................ 4
0.7 DIFFICULTE RENCONTREES DE RECHERCHER ............................................................... 4
0.8 SUBDIVISION DU TRAVAIL ................................................................................................... 4
CHAPITRE I : GENERALITES ........................................................................................................... 5
I.1.2 Définition des concepts généraux .......................................................................................... 6
I.2.ETUDE DU MILIEU DU SITE ............................................................................................... 8
I.2.1.ETUDE GEOTECHNIQUE DU SITE .................................................................................. 8
TABLEAU DES CONTRAINTE DU SOL ................................................................................... 8
I.2.2 SITUATION TOPOGRAPHIQUE........................................................................................ 9
I.2.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE ....................................................................................... 10
I.2.4. SITUATION ADMINISTRATIVE. ................................................................................... 10
I.2.5 SUPERFICIE DU SITE ....................................................................................................... 10
I.2.6 APERCU HISTORIQUE DU CENTRE HOSPITALIER DE KIBALI .............................. 11
I.2.5 ORGANIGRAMME DE L’HOPITAL ................................................................................ 11
I.2.6 TAUX DE MORTALITE DE L’HOPITA .......................................................................... 12
I.3 ETAPE DE LA CONSTRUCTION ....................................................................................... 12
I.3.1 LES TRAVAUX PREPARATOIRE ................................................................................... 12
I.3.2 LES GROS OUEVRES ....................................................................................................... 13
I.3.3 SECONDS OUEVRES ........................................................................................................ 15
CHAPITRE II ANALYSE DE LA CONCEPTION DE L’OUVRAGE ET ETUDE DE MATERIAUX
DE CONSTRUCTION A UTILISER .................................................................................................. 17
II.1 ANALYSE DE LA CONCEPTION DE L’OUVRAGE ........................................................... 17
II.1.1 PRESENTATION DE L’OUVRAGE ........................................................................................ 23

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


70 | P a g e

1.DESCRIPTION DE L’OUVRAGE .............................................................................................. 23


II.1.2 ETUDE FONCTIONNELLE DE L’OUVRAGE .................................................................. 23
II.1.3 NORME ARCHITECTURALE DE L’OUVRAGE .............................................................. 24
3.MORGUE 20 CORPS 4 PORTES DE PASSAGE .................................................................. 25
II.1.4 METHODE DE CALCUL ..................................................................................................... 27
2.1.1. État- limite ultime de résistance : ............................................................................................... 28
2.1.3. Hypothèse supplémentaires pour les E.L.U : ............................................................................. 28
I.1.4. Diagramme contrainte-déformation : (Article A.4.3.4 du CBA 93) :......................................... 29
II.2 ETUDE DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION A UTILISER .......................................... 31
II.2.1 ETUDE DE MATERIAUX NATUREL ................................................................................ 31
4.L’eau de gâchage ....................................................................................................................... 31
II.2.2 ETUDE DE MATERIAUX ARTIFICIEL ............................................................................. 33
1.Les mortiers :................................................................................................................................. 34
1. Catégorie de mortier :............................................................................................................... 34
2. Dosage ............................................................................................................................... 34
2. Les liants : ................................................................................................................................ 35
4.LE BETON................................................................................................................................ 36
2. GENERALITES ....................................................................................................................... 36
3.1 ESSAI AU CONE D’ABRAMS 47 ........................................................................................ 37
RESISTANCE.................................................................................................................................. 37
RESISTANCE CARACTERISTIQUE A LA COMPRESSION ................................................ 37
3.Acier .......................................................................................................................................... 38
CHAP III ANALYSE DE DIMENSIONNEMENT DE LA STRUCTURE ....................................... 40
III.1 ETUDE DE DIMENSIONNEMENT DE LA POUTRE CHAINAGE ................................... 40
III.1.1 PRE-DIMENSIONNEMENT DE POUTRE CHAINAGE .................................................. 40
III.1.2 CALCUL DE MOMENT FLECHISSENT DE LA POUTRE CHAINAGE ....................... 41
III.1.3 CALCUL6 DE LA SECTION DES ARMATURE POUR LA POUTRE CHAINAGE ...... 43
III.4 ETUDE DE LA COLONNE .................................................................................................... 44
III.4.1 PREDIMENSIONNEMENT DE LA COLONNE ................................................................ 44
III.4.2 VERIFICATION DE FLAMBEMENT DE LA COLONNE ............................................... 45
III.4.3 CALCULS DE SECTION DES ARMATURE DE LA COLONNE ................................ 46
III.4.3.1 DISPOSITION CONSTRUCTIVE DE LA PIECE COMPRIME..................................... 46
III4.3.2 PLAN D’EXECUTION DE LA PIECE ............................................................................. 46
III.5 ETUDE DE IMENSIONENEMENT DE LA BASE DE FONDATION ET SEMELLE
CONTINUE SOUS MUR ................................................................................................................ 47

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


71 | P a g e

III.5.1 PRE- DIMENSIONNEMENT DE LA SEMELLE CONTUNIE SOUS MUR .................... 47


III.5.2 PRE -DIMENSIONNEMENT DE LA BASE DE FONDATION ....................................... 48
III5.3 DIMENSIONNEMENT DE LA SECTION DES ARMATURES DE LA SEMELLE DE
PROPRIETE .................................................................................................................................... 48
III.5.4 PLAN D’EXECUTION DE LA SEMELLE DE PROPRIETE DE LA FONDATION ....... 48
III.4 VERIFICATION DE LA STABILITE DE L’OUVRAGE ..................................................... 49
CHAP IV.2 : ETUDE QUANTITATIF DES MATERIAUX DE LA MORGUE .......................... 50
4.1.1 DEFINITION DE L'AVANT METRE : 50
4.1.3 DEVIS ..................................................................................................................................... 51
4.1.4 DEVIS DESCRIPTIF .............................................................................................................. 51
4.1.6. ROLE DES DEVIS ................................................................................................................ 51
4.2. QUA NTIFICATION DES MATERIAUX MISE EN ŒUVRE POUR LA CONSTRUCTION
DE LA MORGUE ............................................................................................................................ 51
4.2.1 L’INFRASTRUCTURE (FONDATION). .............................................................................. 51
4.2.2 QUANTIFICATION DE LA SEMELLE DE FONDATION ................................................ 52
4.2.3 QUANTIFICATION DE LA FONDATION EN MOELLON ............................................... 52
4.3.1 QUANTIFICATION DE L’ELEVATION DE L’OUVRAGE .............................................. 53
3. QUANTIFICATION DES MATERIAUX DE COLONNE ........................................................ 54
TABLEAU DE DEVIS ESTIMATIF .............................................................................................. 59
IV .2 DISCUTION DE RESULTATS ................................................................................................. 64
1. CHARGES PERMANENTES ..................................................................................................... 64
2. CHARGES D’EXPLOITATION ................................................................................................. 64
IV.2.1 CHARGES PERMANENTES .............................................................................................. 64
IV.2.2 CHARGES D’EXPLOITATION .......................................................................................... 65
1 – Généralités : ........................................................................................................................... 65
CALCUL STATIQUE DE MOMENT DE LA STRUCTURE ....................................................... 65
ANALYSE STATIQUE DE LA COLONNE .................................................................................. 65
Conclusion............................................................................................................................................ 67
BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................................... 72

Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI


72 | P a g e

BIBLIOGRAPHIE
1. OUVRAGE
1.BAEL91MOD99,VERSION%20 DEUXIEME2ED
2.CD-DTU V2 - Edition 150 - Décembre 2007

II.TFC ,COURS ,MEMOIRE


1. .KAMBALE MALUMALU Jérémie, TFC, IBTP ,2020
2. BAELO YOKANA Mardochée, TFC, IBTP,2020
3. NZEGE YEVINE Trésor, TFC, IBTP,2020
4. AWAGWINZE NGESI Denis, TFC, IBTP,2018
III. WEB
/http://www.marche-public.fr/repondre-appels-offres-20100301-paris-sw01.html
https://www.l-expert-comptable.com/a/532419-comment-faire-un-devis.html
www.linternaute.fr
https://mcours.net/cours/pdf/econm/Etude_de_prix.pdf
1
https://www.4geniecivil.com/2020/01/definition-du-metre-et-definition-de.html
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https://www.institut-grasset.qc.ca/batiment/quest-ce-que-le-metre-pour-lestimation-en-construction/
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https://www.google.com/search?q=devis&rlz=1C1BNSD_frCD980CD980&oq=devis&aqs=chrome.0.69i59l3j0i
1
https://biblus.accasoftware.com/fr/devis-metre-quantitatif-estimatif
1
https://btp-cours.com/charges-permanentes-et-charges-dexploitation/
1
https://btp-cours.com/charges-permanentes-et-charges-dexploitation/
https://fr.m.wikipedia.org
1
http://www.larousse.fr
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http://www.larousse.fr
1
http://www.lassurance-obseques.fr
1
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1
http://www.elcya-funeraire.com
1
http://www.bacacier.com
1
Master ingénier de la construction FGC/USTHB 2017
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https://www.techno-science.net/
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https://www.leroyemerlin.fr
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Travail de fin de cycle :2021-2022 IBTP KISANGANI

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