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MATHÉMATIQUES
STAGE D'HIVER
1. On a
A(x) = (3e x + 1) (e x − 1) = 3e x × e x − 3e x + e x − 1 = 3 (e x )2 − 2e x − 1
Or
e x × e x = e x+x = e2x ainsi (e x )2 = e2x
On obtient donc
A(x) = 3e2x − 2e x − 1
2. On a
Ainsi
B(x) = e x − 2
D’où
1
Auteur : T. Belmekki 2
A(x) = 5e x (1 + 2x)
B(x) = 3e−x (x − 2)
C(x) = 2e x (e x − 2)
4. En utilisant le fait que e2x = (e x )2 , on a D(x) = (e x )2 − 2 × e x × 1 + 12 , qui n’est rien d’autre qu’une identité
remarquable. Ainsi
D(x) = (e x − 1)2
3 3 2x
5. En factorisant par , on a E(x) = e + 2e x + 1 . Ainsi
2 2
3 x
E(x) = (e + 1)2
2
2
6. On a F (x) = e8x − 49 = e4x − 72 . On reconnaît une identité remarquable. Par conséquent
Pour résoudre les équations de cet exercice, on utilisera la propriété fondamentale suivante
ex = e y ⇐⇒ x=y
valable pour tous x et y dans R.
1. On a
2
e−x = e−x−1 ⇐⇒ −x 2 = −x − 1 ⇐⇒ x2 − x − 1 = 0
p
1− 5
Or ∆ = 5 > 0, donc les deux racines réelles de cette équation du second degré sont x 1 = et
p 2
1+ 5
x2 = . Par conséquent, l’ensemble des solutions de l’équation de départ est
2
p p
1− 5 1+ 5
S= ;
2 2
2. On cherche à résoudre e x+3 = 0. Or, la fonction exponentielle est strictement positive ! Donc cette équation
n’a pas de solution et
S=;
Cours Thalès - 36 rue de la Folie-Regnault - 75011 Paris - 01.42.05.41.36 - contact@cours-thales.fr - www.cours-thales.fr
Auteur : T. Belmekki 3
D’où
S = {2}
x2 x2 x
e1+x+ 2 = e1 ⇐⇒ 1+ x + =1 ⇐⇒ x 1+ = 0.
2 2
On obtient une équation produit nul dont l’ensemble des solutions est
S = {−2; 0}
5. Méthode 1 : On cherche à résoudre l’équation e2x + e x + 2 = 0. Pour cela, on utilise le fait que pour tout
x dans R : e2x = (e x )2 . Ainsi, l’équation de départ devient
(e x )2 + e x + 2 = 0.
X2 + X + 2 = 0 dont ∆ = −7 < 0.
S=;
e2x{z
| + e}x = |{z}
−2
>0 <0
X2 − X + 2 = 0 avec ∆ = −7 < 0.
Il s’ensuit que cette équation n’admet aucune solution réelle. Par conséquent
S=;
2. La fonction exponentielle étant strictement positive, l’inéquation −e3x > 0 équivalente à e3x < 0 n’admet
aucune solution et
S=;
3. On a
1
e5x−1 ≤ 1 ⇐⇒ e5x−1 ≤ e0 ⇐⇒ 5x − 1 ≤ 0 ⇐⇒ x≤
5
D’où
1
S = −∞ ;
5
4. Pour tout nombre réel x, e x > 0 et a fortiori pour tout réel x, 7e x + 1 > 0. Il en résulte que
S=R
5. On a
2 2
−5x+6 −5x+6
ex ≥1 ⇐⇒ ex ≥ e0 ⇐⇒ x 2 − 5x + 6 ≥ 0.
Il s’agit donc de résoudre une inéquation du second degré. On calcule d’abord le discriminant et on trouve
∆ = 1 > 0.
Les deux racines de l’équation du second degré x 2 − 5x + 6 = 0 sont données par x 1 = 2 et x 2 = 3.
Ainsi, d’après le cours sur le second degré
x 2 − 5x + 6 ≥ 0 si et seulement si x ∈] − ∞ ; 2] ∪ [3 ; +∞[.
Par conséquent
S =] − ∞ ; 2] ∪ [3 ; +∞[
6. On a
2 2
ex > 1 ⇐⇒ e x > e0 ⇐⇒ x 2 > 0.
On conclut que
S = R∗
1. On sait que pour tout nombre réel x, e x > 0. Ainsi le signe l’expression A(x) est celui de x. D’où
A(x) ≥ 0 si x ≥ 0 et A(x) ≤ 0 si x ≤ 0.
2. On a B(x) = (x − 3)e−x . Or e−x > 0 pour tout nombre réel x. Ainsi le signe de B(x) est celui de x − 3. Donc
B(x) ≥ 0 si x ≥ 3 et B(x) ≤ 0 si x ≤ 3.
2 2
3. On a C(x) = (x 2 + x − 6)e x +x−6 . Or, l’expression e x +x−6 est strictement positive quel que soit le nombre
x. Donc le signe de C(x) est celui du trinôme du second degré x 2 + x − 6 dont ∆ = 25 = 52 > 0.
Ses deux racines réelles sont donc x 1 = −3 et x 2 = 2 et d’après le cours sur les fonctions du second degré
x 2 + x − 6 ≤ 0 si x ∈ [−3 ; 2]. Par conséquent
Ainsi
−3 −3 −3 −3
x<y =⇒ x> y =⇒ e 2 x
>e 2 y
=⇒ f (x) > f ( y).
−3
2 <0
2 2 exp croissante
Ainsi
1. La fonction f est de la forme ec x+d dont la dérivée est donnée par cec x+d . Ainsi
f 0 (x) = 3e3x+5
f 0 (x) = e x (x + 1)
u u0 v − uv 0
4. La fonction f est de la forme dont la dérivée est donnée par .
v v2
(e x + 1) − xe x
Donc f 0 (x) = . D’où
(e x + 1)2
e x (1 − x) + 1
f 0 (x) =
(e x + 1)2
u u0 v − uv 0
5. La fonction f est de la forme dont la dérivée est donnée par .
v v2
e x (x 4 + 1) − e x × 4x 3
Donc f 0 (x) = . Ainsi
(x 4 + 1)2
e x (x 4 − 4x 3 + 1)
f 0 (x) =
(x 4 + 1)2
6. La fonction f est de la forme k ×(uv) où k est une constante. Sa dérivée est donc de la forme k ×(u0 v +uv 0 ).
Ainsi
f 0 (x) = 5 2xe−3x+2 + (x 2 − 1) × (−3)e−3x+2
On conclut que
Rappel : Soit (un ) une suite géométrique de premier terme u0 et de raison q 6= 1. Alors
n
X 1 − raisonnombre de termes 1 − q n+1
uk = premier terme × = u0 ×
k=0
1 − raison 1−q
1. On a
n
X
1 +e + e2 + · · · + en−2 + en−1 + en
ek = |{z}
k=0 e0
= (e) + (e)1 + (e)2 + · · · + (e)n−2 + (e)n−1 + (e)n
0
n
X 1 − en+1
ek = 1 ×
k=0
1−e
On conclut que
n
X 1 − en+1
ek =
k=0
1−e
2. Il s’agit ici du calcul de la somme de termes consécutifs de la suite géométrique de raison e−1 6= 1 et de
premier terme e0 = 1. En effet
0 1 2 n
1 1 1 1 1 1 1
Sn = 1 + + 2 + ··· + n = + + + ··· +
e e e e e e e
−1 0 −1 1 −1 2 −1 n
= e + e + e + ··· + e
Il en résulte que
1 − e−n−1
Sn =
1 − e−1
11, 11
3, 718281828459045
(c) Les résultats sont différents. Il s’agit d’une erreur dans le script initial. En effet, range(n) permet de
parcourir les entiers de 0 a n − 1 et non pas de 0 à n. Ainsi, la commande somme(2) calcule la somme
1 + e au lieu de 1 + e + e2 .
Le script modifié qui suit permet d’obtenir le calcul souhaité
1. En tant que fonction rationnelle, f est bien définie si et seulement si son dénominateur est non nul. Ainsi
2. Pour tout x ∈ D f , on a
c
f (x) = a x + b +
x +1
a x(x + 1) + b(x + 1) + c
=
x +1
a x 2 + (a + b)x + (b + c)
=
x +1
Ainsi
a x 2 + (a + b)x + (b + c) 2x 2 + 8x + 5
=
x +1 x +1
Par identification, on trouve que a = 2 ; b = 6 et c = −1. On conclut que
1
∀x ∈ D f f (x) = 2x + 6 −
x +1
1 −1
3. En posant u(x) = , on a u0 (x) = . Ainsi
x +1 (x + 1)2
1
∀x ∈ D f f 0 (x) = 2 +
(x + 1)2
∀x ∈ D f f 0 (x) > 0
8
Auteur : T. Belmekki 9
5. On a (T ) : y = f 0 (0)x + f (0). Or
f 0 (0) = 2 + 1 = 3 et f (0) = 5
Il en résulte que
(T ) : y = 3x + 5
6. On a pour tout x ∈ D f
1 1 −x 2
f (x) − (3x + 5) = 2x + 6 − − 3x − 5 = −x + 1 − =
x +1 x +1 x +1
Ainsi
Par conséquent
800x − 60 000
f 0 (x) =
x3
2. x 3 > 0 sur l’intervalle [30; 130]. Le signe de f 0 est donc celui de 800x − 60 000. Or
800x − 60 000 = 0 ⇐⇒ x = 75
x 30 75 130
f 0 (x) − 0 +
44 612
3 169
f (x)
8
3
la consommation de carburant est minimale pour x = 75 km/h et elle vaut 2, 67 litres pour 100 km.
Il s’agit d’une équation du second degré dont le discriminant vaut ∆ = 1002 . Ainsi
x = 50 ou x = 150 ∈
/ [30; 130]
Donc quand x = 50, on a y = 4 ≥ 4. Mais comme la fonction f est décroissante sur [30; 75], quand x
va prendre la valeur suivante x + 1 = 51, y sera strictement inférieure à 4, ce qui déclenchera l’arrêt du
programme.
On conclut que
1. La fonction f est dérivable sur ]0; +∞[ comme la somme de trois fonctions dérivables sur ]0 ; +∞[ et
on a, pour tout x > 0
1
f 0 (x) = 1 + =⇒ f 0 (1) = 2
x2
D’autre part f (1) = 1. Il s’en suit que l’équation de la tangente (T ) à C f au point d’abscisse 1 s’écrit
y = f 0 (1)(x − 1) + f (1) = 2(x − 1) + 1.
D’où
(T ) : y = 2x − 1
6 (T ) Cf
x
−2 −1 0 1 2 3 4 5 6
1 −x 2 + 1
g 0 (x) = −1 + =
x2 x2
En utilisant l’identité remarquable 1 − x 2 = 12 − x 2 = (1 − x)(1 + x), on obtient
(1 − x)(1 + x)
pour tout x > 0 g 0 (x) =
x2
(b) Le signe de g 0 (x) est celui de (1 − x)(1 + x). On en déduit le tableau de variations de g
x 0 1 +∞
g 0 (x) + 0 −
g(x)
(c) D’après le tableau de variations de g ci-dessus, pour tout x > 0 : g(x) ≤ g(1) = 0. Or
1 1
f (x) − (2x − 1) = x + 1 − − 2x + 1 = 2 − x − = g(x)
x x
Donc, pour tout x > 0 :
f (x) − (2x − 1) ≤ 0
On conclut que
1. Pour tout x ∈ R : −x ∈ R et on a
−4x 4x
f (−x) = =− 2 = − f (x)
(−x) + 1
2 x +1
Ainsi
4(1 − x)(1 + x)
∀x ∈ R f 0 (x) =
(x 2 + 1)2
3. Sur [0; +∞[, le signe de f 0 est celui de 1 − x. On en déduit donc les variations de f sur [0; +∞[ repré-
sentées dans le tableau suivant
x 0 1 +∞
f 0 (x) + 0 −
f (x)
4. f étant impaire, on sait que sa courbe est symétrique par rapport à l’origine. Ainsi f est décroissante sur
[−1; 0] et croissante sur ] − ∞; −1]. De plus f (−1) = − f (1) = −2. On obtient au final le tableau de
variations suivant :
x −∞ −1 1 +∞
2
f (x)
−2
1. • Méthode 1 :
Õ = 60◦ . Donc
CAB = GAD
Le triangle ABC étant équilatéral, on a Õ
AD AD x
Õ=
cos GAD ce qui entraîne AG = = 1.
AG cos (60 )
◦
2
On conclut que
AG = 2x
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• Méthode 2 :
Les droites (G F ) et (AB) sont parallèles. On peut donc appliquer le théorème de Thalès dans les
triangles C G F et ABC et on obtient
CG CF GF
= = =⇒ C G = G F = DE = 2 − 2x = 2(1 − x)
CA CB AB
Il s’en suit que AG = AC − C G = 2 − 2 + 2x. D’où
AG = 2x
2. • Méthode 1 :
On a
p
GD 3
Õ=
sin GAD donc G D = 2x × .
AG 2
Ainsi
p
GD = 3x
• Méthode 2 :
En appliquant le théorème de Pythagore dans le triangle rectangle ADG, il vient
p Æ p
GD = AG 2 − AD2 = (2x)2 − x 2 = 3x 2
Ainsi
p
GD = 3x
p
3. L’aire du rectangle DE F G est donnée par le produit G D × DE. Ainsi A (x) = (2 − 2x) 3x.
On conclut que
p
∀x ∈ [0; 1] A (x) = 2 3x(1 − x)
Ainsi
p 1
A 0 (x) = 0 ⇐⇒ 2 3(1 − 2x) = 0 ⇐⇒ x=
2
On en déduit donc le tableau de variations suivant
1
x 0 2 1
A 0 (x) + 0 −
p
3
2
A (x)
0 0
p
1 3
l’aire du rectangle DE F G est maximale en x = et elle vaut
2 2
Exercice 6 Difficulté
∀x ∈ R f 0 (x) = 2e2x + 4e x − 6
— Dans un premier temps, résolvons l’équation 2e2x + 4e x − 6 = 0. Pour cela, on effectue le changement
de variables suivant X = e x .
On obtient ainsi l’équation du second degré 2X 2 + 4X − 6 = 2 X 2 + 2X − 3 = 0 équivalente à X 2 +
2X − 3 = 0.
Or ∆ = 16 = 42 > 0, donc cette équation admet deux racines réelles données par
−2 − 4 −2 + 4
X1 = = −3 et X2 = = 1.
2 2
impossible
x −∞ 0 +∞
f 0 (x) − 0 +
f (x)
Exercice 7 Difficulté
1. Pour tout x appartenant à R, e x > 0 et a fortiori, pour tout x appartenant à R, e x + 1 > 0. Donc
Df = R
2. On a pour tout x ∈ R :
e x (e x + 1) − e x × e x e2x + e x − e2x
f 0 (x) = =
(e x + 1)2 (e x + 1)2
D’où
ex
∀x ∈ R f 0 (x) =
(e x + 1)2
3. D’après ce qui précède, pour tout x ∈ R : f 0 (x) > 0, il s’en suit que
e−x
4. Pour tout x ∈ R : f (−x) = e−x +1 . Donc
Comme e x + e−x + 2 est non nul quel que soit x appartenant à R, en simplifiant, on obtient :
Exercice 8 Difficulté
Ainsi
2. On a
−4
f 0 (x) ≥ 0 ⇐⇒ (3x + 4)e3x ≥ 0 ⇐⇒ 3x + 4 ≥ 0 ⇐⇒ x≥
e3x >0 3
On obtient donc le tableau de variation suivant :
−4
x −∞ 3 +∞
f 0 (x) − 0 +
f (x)
−e−4
3
On conclut que
−4 −e−4
la fonction f admet un minimum global en qui est égal à
3 3
−4
4. La dérivée f 0 s’annule en 3 . Donc
−e−4
la courbe C f admet une unique tangente horizontale d’équation y =
3
5. On a
f (x) = 0 ⇐⇒ (1 + x)e3x = 0 ⇐⇒ 1 + x = 0.
e3x 6=0
Ainsi
S = {−1}.
−e−4
Par ailleurs, comme la valeur minimale de f est ≈ −18, 2 > −30, on conclut que
3
f (0) = 1 ⇒ c = 1 et e−1 = 0 ⇒ b = a + 1.
f (−1) = (a − b + 1) |{z}
6=0
0
Par ailleurs, la fonction f admet un minimum local en −1. Donc f (−1) = 0.
D’où
a = 1, b = 2, c = 1 et f (x) = (x 2 + 2x + 1)e−x .
Il s’agit dans cet exercice d’une simple utilisation de la formule fondamentale suivante
180r d
d= ou r= π.
π 180
Par exemple si d = 7, 5, alors
15
d 7, 5 1
r= π= π= 2 π= π.
180 180 180 24
π
Si maintenant r = 18 , alors
π
180r 180 × 18 10π
= d= = = 10.
π π π
Les autres calculs se font de la même manière. D’où le tableau qui suit
Mesure en radians π π π π π π 2π 3π 5π 2π
24 18 5 6 15 4 5 4 6 3
Exercice 2 Difficulté *
On a
10π 12π − 2π 2π
= = 4π − .
3 3 3
−2π
Ainsi les points E 10π
3 et K 3 sont confondus car 4π = 2 × 2π représente deux tours entiers du cercle
trigonométrique. De même
11π 12π − π π
= = 6π − .
2 2 2
11π −π
Donc les points F 2 et L 2 sont confondus car 6π = 3 × 2π représente trois tours entiers du cercle trigo-
nométrique.
17
Auteur : T. Belmekki 18
A
p × C
3
×
B 2 p
× 2
2
p
−1 3
2 2
p
− 2 1
2
x
2
−1
2 ×
D
p
× − 3
2
E ×
F
1. On a
11π
2. On a vu que 7 est la mesure comprise entre 0 et 2π de l’angle α. Il nous faut donc faire un tour en arrière
53π
supplémentaire sur le cercle trigonométrique pour obtenir la mesure principale de 7 . Or
N (π − x)× × M (x)
cos(π − x) O cos(x)
π
3. cos x − = sin x, comme le montre le schéma suivant
2
× M (x)
sin(x)
cos(x − π2 )
O
π
×N (x − 2 )
× M (x)
sin(x)
O
sin(π + x)
N (π + x)×
π
− x = cos −π
3π
5. cos 2 2 − x = cos 2 + x = − sin x.
7. cos(x + π) = − cos x.
8. sin x + π2 = cos x.
9. cos x + π2 = − sin x.
1. On a
cos (198π) = cos(0) = 1
sin (198π) = sin(0) = 0.
2. On a
−13π −π 1
= cos =
cos 3 3 2p
−13π −π − 3
sin 3 = sin 3 = 2 .
3. On a
p
π π
¨
53π − 2
cos 4 = cos π + 4 = − cos 4 = p2
53π π π − 2
sin 4 = sin π + 4 = − sin 4 = 2 .
4. On a
p3
= cos(2π − π6 ) = cos −π
11π
cos 6 6 = 2
π
sin 11π
6 = sin(2π − 6 ) = sin 6 = −1
−π
2 .
5. On a
−11π π
cos 2 = cos 2 =0
−11π π
sin 2 = sin 2 = 1.
6. On a
2019π
cos 3 = cos (672π + π) = cos(π) = −1
2019π
sin 3 = sin (672π + π) = sin(π) = 0.
Exercice 6 Difficulté **
x2 − y2 x 2 + y 2 = x 4 − y 4.
(cos α)2 − (sin α)2 (cos α)2 + (sin α)2 = (cos α)4 − (sin α)4 .
Exercice 7 Difficulté **
(cos x + sin x)2 + (cos x − sin x)2 = cos2 (x) + 2 cos(x) sin(x) + sin2 (x) + cos2 (x) − 2 cos(x) sin(x) + sin2 (x)
Par conséquent
2. On a
p p
p
2 2
sin x + cos x = 2 sin x + cos x
2 2
p π π
= 2 cos sin x + sin cos x .
4 4
p π
sin x + cos x = 2 sin x + .
4
Exercice 8 Difficulté **
1. On sait que
π π
cos2 + sin2 = 1.
8 8
Donc
π π p p
2 2 2− 2 2+ 2
cos = 1 − sin =1− = .
8 8 4 4
π
Et comme cos 8 > 0, il en résulte que
π
p p
2+ 2
cos = .
8 2
2. On a
Ainsi
p p
−37π 2− 2
cos =− .
8 2
α β
2x 2 x 1
cos β = p =p et sin β = p =p .
5x 5 5x 5
De même, on trouve
3x 3 x 1
cos α = p =p et sin α = p =p .
10x 10 10x 10
Ainsi
3 2 1 1 1
cos(α + β) = cos α cos β − sin α sin β = p × p − p × p = p .
10 5 10 5 2
On en déduit que
p
2
cos(α + β) = .
2
Il en résulte que
π π
α+β = + 2kπ; k ∈ Z ou α+β =− + 2kπ; k ∈ Z.
4 4
Or α + β > 0, par conséquent
π
α+β = .
4
sin x
f (x) = .
1 + cos2 x
1. f est bien définie si et seulement si son dénominateur est non nul, c’est-à-dire si et seulement si 1+cos2 x 6=
0. Or cos2 ≥ 0 ⇒ 1 + cos2 x > 0 et ce, pour tout réel x. Ainsi
D f = R.
2. Pour tout x ∈ R : −x ∈ R et
sin(−x) − sin x
f (−x) = = = − f (x).
1 + cos (−x) 1 + cos2 x
2
Il en résulte que
Par conséquent
Exercice 11 Difficulté **
1. Pour tout x ∈ R
2π 2π 2π
sin x + = sin x cos + sin cos x
3 3 3
π π
= − sin x cos + sin cos x
3 3
p
1 3
= − sin x + cos x.
2 2
Aussi
4π 4π 4π
sin x + = sin x cos + sin cos x
3 3 3
p
1 3
= − sin x − cos x.
2 2
Ainsi
p p
2π 4π 1 3 1 3
sin x + sin x + + sin x + = sin x − sin x + cos x − sin x − cos x.
3 3 2 2 2 2
D’où, pour tout nombre réel x :
2π 4π
sin x + sin x + + sin x + = 0.
3 3
2. Pour tout x ∈ R, on a
π
π π p2
cos x + = cos x cos − sin x sin = (cos x − sin x) ,
4 4 4 2
et
π π π p2
cos x − = cos x cos − − sin x sin − = (cos x + sin x) ,
4 4 4 2
Ainsi
π π 1
cos2 x + + cos2 x − cos2 x − 2 sin x cos x + sin2 x + cos2 x + 2 sin x cos x + sin2 x
=
4 4 2
= cos2 x + sin2 x.
π π
cos2 x + + cos2 x − = 1.
4 4
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i π πh 1
3. Pour tout x ∈ I = − ; , la fonction x 7−→ est bien définie et on a
2 2 cos2 x
Or,
cos2 x + sin2 x = 1.
1
1 + tan2 x = .
cos2 x
Exercice 12 Difficulté **
1. On a
π
Par lecture graphique, on a cos 2 − x = sin x et sin (π + x) = − sin x.
Il s’en suit que
π
sin (128π − x) + cos − x + sin (π + x) + sin x = − sin x + sin x − sin x + sin x
2
On conclut que
π
sin (128π − x) + cos − x + sin (π + x) + sin x = 0.
2
N (π − a)× × M (a)
cos(π − a) O cos(a)
Ainsi
11π π
cos − x = cos π − −x
12 12
π
= cos π − x +
12
π
= − cos x +
12
Par conséquent
π 11π
cos x + + cos − x = 0.
12 12
Exercice 13 Difficulté **
1. On a pour tout a de R
C’est-à-dire
v v
t 5 t 5
cos a = 1− ou cos a = − 1− .
9 9
On conclut que
2 −2
cos a = ou cos a = .
3 3
i −π πh 2
2. a∈ ; entraîne que cos a > 0 donc d’après ce qui précède cos a = .
2 2 3
Par définition de la fonction tangente, on a
p
5 p
sin a 3 5 3
tan a = = 2
= × .
cos a 3
3 2
Il en résulte que
p
5
tan a = .
2
1. La fonction donnée dans l’exercice prend en entrée un angle en radian et donne en sortie sa mesure prin-
cipale (dans ]−π ; π]).
2. La boucle if n’est pas utile dans le programme donné, on peut donc la supprimer pour obtenir le script
suivant
Exercice 1 Difficulté
→
−→
−
p
~·~
Figure 1 : On a u BAC) = 4 × 2 2 × cos(45◦ ). Ainsi
v =
AB
×
AC
× cos(Õ
~·~
u v=8
Figure 2 : On a
1
v k2 − k~
uk2 − k~
v k2
~·~
u v= u+~
k~
2
uk = 3; k~
Or k~ v k = 2, 24 et k~
u+~
v k = 4, 47. Ainsi
1
(4, 472 − 32 − 2, 242 .
~·~
u v=
2
D’où
~·~
u v = 2, 98165.
~·~
u v = (−4) × (−1) + (−1) × (−4) = 4 + 4.
D’où
~·~
u v = 8.
Exercice 2 Difficulté
→ −→
−
− →
−→
AB · AC =
AB
×
AC
× cos Õ BAC = AB × AC × cos ÕBAC
p
◦ 3
= 3 × 2 × cos (30 ) = 3 × 2 ×
2
Ainsi
→ −→
− p
AB · AC = 3 3
27
Auteur : T. Belmekki 28
→ −→
− −1
AB · AC = 6 × 2 × cos (120◦ ) = 6 × 2 ×
2
Par conséquent
→ −→
−
AB · AC = −6
Exercice 3 Difficulté
1. On a
−→ −→
→ −→
− AB · AC 9 1
AB · AC = AB × AC × cos ÕBAC =⇒ cos BAC =
Õ = =
AB×AC6=0 AB × AC 18 2
On peut donc choisir comme mesure en degré
BAC = 60◦
Õ
2. On a
→ −→
−
AB · AC = 0 =⇒ cos ÕBAC = 0
BAC = 90◦
Õ
Exercice 4 Difficulté
→ −→
−
− →
−→
1. Par définition du produit scalaire de deux vecteurs, AB · AC =
AB
×
AC
× cos(Õ
BAC). Donc
π 1
→ −→
−
AB · AC = 5 × 4 × cos =5×4× .
3 2
Ainsi
→ −→
−
AB · AC = 10.
−→ −→ −→ −→ − → −→ −→ −→ − →
CA · C B = CA · CA + AB = CA · CA + CA · AB
−→ −→ − → −→ − →
= CA2 − AC · AB = AC 2 − AC · AB
−→ −→
= AC 2 − AB · AC = 16 − 10.
Donc
−→ −→
CA · C B = 6.
Par ailleurs
−→ −→
−→
−→
CA · C B =
CA
×
C B
× cos(AC
Õ B).
Ainsi
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6
cos(AC
Õ B) = p .
4 × 21
Par conséquent
p
21
cos(AC
Õ B) = .
14
Exercice 5 Difficulté
(−1)
~·~
u v =4× + 8 × 1 = −2 + 8
2
D’où
~·~
u v=6
~·~
u v =1×2−3×2=2−6
Ainsi
~·~
u v = −4
Exercice 6 Difficulté
~ et ~
u v sont des vecteurs orthogonaux.
2. On a
~·~
u v = 3 × 1 + (−2) × (−2) = 7 6= 0.
Ainsi
~ et ~
les vecteurs u v ne sont pas orthogonaux.
3. On a
p
p 3 3
~·~
u v = 3 × 3 + (−5) × = 0.
5
Ainsi
~ et ~
u v sont des vecteurs orthogonaux.
~·~
u v = 0 × x + 0 × y = 0.
Ainsi
~ et ~
u v sont des vecteurs orthogonaux. On dit que le vecteur nul est orthogonal à tout vecteur.
Exercice 7 Difficulté
D’après le cours
~·~
u v=0 ⇐⇒ ~ et ~
u v sont orthogonaux.
1
Ce qui équivaut à −5 × 2 + (−x) = 0.
Par conséquent
−5
~ et ~
u v sont orthogonaux pour x =
2
Exercice 8 Difficulté
uk = k~
En utilisant le fait que k~ v k, on a
(~
u+~
v ) · (~
u−~
v ) =~ ~−u
u·u ~·~
v+~ ~−~
v·u v·~
v
uk2 − k~
= k~ v k2 = 0
Ainsi
~+~
les vecteurs u ~−~
v et u v sont orthogonaux.
Exercice 9 Difficulté
−
→ −→ −→
On a AB(2; 0); AC(2; −2) et BC(0; −2). Ainsi
−
→
p
−→
Æ p p
−→
Æ
AB
= 22 + 02 = 2
AC
= 22 + (−2)2 = 8 = 2 2 et
BC
= 02 + (−2)2 = 2.
Donc
Exercice 10 Difficulté
−
→ − → − → 1− → 1 −→ 1 −→ 1 −→ −→ −→
I J = I B + BJ = AB + BC = AB + AD car BC = AD.
2 2 2 2
Ainsi
1 1
−
→ − → −→
les coordonnées de I J dans le repère A; AB, AD sont ; .
2 2
De la même manière, on a
−→ − → −→ −
→ −→
BD = BA + AD = −AB + AD.
Ainsi
−→ − → −→
les coordonnées de BD dans le repère A; AB, AD sont (−1; 1).
− → −→ −
→ −→ 1
2. Le repère A; AB, AD est orthonormé. Donc I J · BD = 2 × (−1) + 12 × 1 = 0.
−
→ −→
Il en résulte que les vecteurs I J et BD sont orthogonaux. Par conséquent
Exercice 11 Difficulté
−
→ −→ − → − → −→ −→ − → −→ − → −→
1. Par la relation de Chasles : BA2 = BA2 = BA · BA = BA · BC + CA = BA · BC + BA · CA.
→ −→ −→ −→
−
Et comme H est le projeté orthogonal de A sur (BC), on a BA · BC = BH · BC. Par ailleurs le triangle ABC
→ −→
− → −→
−
est rectangle en A, donc les vecteurs BA et CA sont orthogonaux. Ainsi BA · CA = 0. Il s’en suit que
−→ −→
BA2 = BH · BC.
2. De la même manière, on a
−→ −→ −→ −→ −→ − → −→ −→ −→ − →
CA2 = CA2 = CA · CA = CA · C B + BA = CA · C B + CA · BA .
| {z } | {z }
−→ −→ =0
=C H·C B
Ainsi
−→ −→
CA2 = C H · C B.
Exercice 12 Difficulté
p
5
IC = c.
2
p
CA = 2c.
−
→ −→ − → −→ 1 −→
C I = C D + DI = −C D + DA.
2
Ainsi
→ −→ 1 −→
−
C I = C D + C B.
2
(b) On a
−
→ −→ −→ 1 −→ −→ −→ −→ 1 1 −→ −→
−
→
C D2 + |{z}
BA = C D · C B + |{z}
C I · CA = CA + C B · C B + |{z} C B2 + C B · C D .
2 −→
| {z } 2 2 | {z }
=C D =0 =c 2 =c 2 =0
Par conséquent
→ −→ 3
−
C I · CA = c 2
2
3p10
I CA =
cos Ô . La mesure de l’angle Ô
I CA est indépendante de c.
10
Exercice 13 Difficulté
1. On est dans un repère orthonormé, donc la formule adaptée du produit scalaire est :
−
→·− →
u 1 u2 = x 1 x 2 + y1 y2
1 def produit_scalaire_1 ( x1 , x2 , y1 , y2 ):
2 return x1 ∗ x2 + y1 ∗ y2
3. Attention ! la première position dans une liste est repérée par 0 et la suivante par 1. Ainsi u1[0] = x1 et
u1[1] = y1 et le script attendu est le suivant :
1 def produit_scalaire_2 ( u1 , u2 ):
2 return u1[0] ∗ u2[0] + u1[1] ∗ u2[1]
4b − 3a − 4 = 0
f 0 (−2) = 0
25 4b − 3a = 4
=⇒ =⇒
f (−2) = 5 4 − 2a + b =5
b − 2a = 21
5
D’après la deuxième équation b = 21 + 2a. En remplaçant b par 21 + 2a dans la première équation, on trouve
−80
4b − 3a = 4 =⇒ 4(21 + 2a) − 3a = 4 =⇒ a= = −16
5
Il s’en suit que
b − 2a = 21 =⇒ b − 2 × −16 = 21 =⇒ b = −11
Par conséquent
x 2 − 16x − 11
f (x) =
x2 + 1
Exercice 2 Difficulté
34
Auteur : T. Belmekki 35
−→ −→
Et comme AD = BC, il s’en suit que
−→ −→ − → −→
E D · EC = EA · EB + AD2
−→ −→
EB + AD2 = −16 + 36 = 20.
E D · EC = EA × EB × cos A
Ô
−→ −→
E D · EC = E D × EC × cos DEC
Õ
En appliquant le théorème de Pythagore respectivement dans les triangles rectangles ADE et EBC, il vient
p p p
ED = 62 + 82 = 10 et EC = 22 + 62 = 2 10
Ainsi
−→ −→ p 20
20 = E D · EC = 10 × 2 10 × cos DEC
Õ =⇒ Õ =
cos DEC p
20 10
On conclut que
1
Õ =p
cos DEC
10
Õ ≈ 72◦
DEC
Exercice 3 Difficulté
1. Posons
p p p p
2− 3 6− 2
A= et B=
2 4
On a donc
p p p
2 2− 3 8−4 3 2− 3
2
A = et B = =
4 16 4
Il en résulte que A2 = B 2 . Mais comme les réels A et B sont strictement positifs, on conclut qu’ils sont égaux,
c’est-à-dire
p p p p
2− 3 6− 2
=
2 4
2. Dans le repère orthonormé (O; I, J), les coordonnées des points A et B sont données par
π π π π
A cos ; sin et B cos ; sin
4 4 3 3
Ainsi
p p p
2 2 1 3
A ; et B ;
2 2 2 2
3. D’une part
−→ −→
−→
−→
−→ −→
OA · OB =
OA
×
OB
× cos OA, OB
π π
= 1 × 1 × cos −
π 3 4
= cos
12
π p6 + p2
cos =
12 4
4. En utilisant la relation fondamentale, valable pour tout x dans R : cos2 x + sin2 x = 1, on trouve
π p p
2 π ( 6 + 2)2
2
sin = 1 − cos =1−
12 12 42
p p
8−4 3 2− 3
= =
16 4
Or
π i πh π
∈ 0; =⇒ sin >0
12 2 12
Ainsi
π t 2 − p3 p
v p
2− 3
sin = =
12 4 2
Et d’après la question 1, on obtient
π p6 − p2
sin =
12 4
Exercice 4 Difficulté
1. Dans le repère orthonormé (A; B, D), les coordonnés des points A, D, I et J sont respectivement
1 1
A(0; 0) D(0; 1) I ;0 et J ;1
2 2
p
3
2. On va donner deux méthodes pour prouver que EJ = 2 .
• Méthode 1 :
Le triangle DEJ est rectangle en J, donc par le théorème de Pythagore :
p
v v
u 2
1 1 3
p t
EJ = = = 1− =
t
DE 2 − DJ 2 DE 2 − DC
2 4 2
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• Méthode 2 :
Le triangle DEC est équilatéral. Donc EÕ DC = π3 .
Par ailleurs, le triangle E DJ est rectangle en J, donc
EJ π p3
DC =
sin EÕ =⇒ EJ = DE × sin E DC = 1 × sin
Õ =
DE 3 2
Au final
p
3
EJ =
2
p
1 3
E ;1 +
2 2
p
3 1
F 1+ ;
2 2
4. On a
p p
→ 1
− 3 −→ 3 −1
AE ;1 + et DF 1 + ;
2 2 2 2
Donc
p p
→ −→ 1
− 3 3 −1
AE · DF = × 1 + + 1+ × =0
2 2 2 2
−
→ −→
Il s’en suit que les vecteurs AE et DF sont orthogonaux. Autrement dit
1. La fonction f est dérivable sur R comme quotient de deux fonctions dérivables sur R avec un dénominateur
qui ne s’annule jamais. On a donc, pour tout réel x
e x (x 2 + 1) − 2xe x x 2 e x + e x − 2xe x e x (x 2 − 2x + 1)
f 0 (x) = = =
(x 2 + 1)2 (x 2 + 1)2 (x 2 + 1)2
Ainsi
e x (x − 1)2
Pour tout réel x dans R f 0 (x) =
(x 2 + 1)2
2. On sait que, pour tout nombre réel x : e x > 0, donc d’après l’expression de la dérivée obtenue à la question
précédente
pour tout réel x ∈ R \ {1} f 0 (x) > 0 et f 0 (1) = 0.
Il en résulte que
eh − e0 eh − 1
τ(h) = =
h h
eh − 1
lim τ(h) = = e0 = 1
h→0 h
Par conséquent, en remplaçant la variable h par x dans la relation précédente, on obtient
ex − 1
lim =1
x→0 x
1. La fonction f est dérivable sur R comme somme de fonctions dérivables sur R et on a pour tout x ∈ R
f 0 (x) = e x − 1
2.
f 0 (x) = 0 ⇔ e x − 1 = 0 ⇔ e x = 1 = e0 ⇔ x = 0.
x −∞ 0 +∞
f 0 (x) − 0 +
f (x)
3. D’après le tableau de variations, la fonction f est à valeurs positives, c’est-à-dire que pour tout x ∈ R :
e x − x − 1 ≥ 0. Par conséquent
pour tout x ∈ R e x ≥ x + 1.
Exercice 9 Difficulté
Partie A
1. En partant de l’indication donnée dans l’énoncé, on a pour tout point M du plan :
Or,
−
→ − → −1 − → 1−→
IA + I B = AB + AB, car I est le milieu du segment [AB].
2 2
On en déduit que
−→ −−→ 1
pour tout point M du plan : M A · M B = M I 2 − AB 2 .
4
−→ −−→ 1 1 2 1
MA · MB = 0 ⇐⇒ M I 2 − AB 2 = 0 ⇐⇒ M I2 = AB ⇐⇒ MI = AB
4 4 2
car M I et AB représentent des longueurs et sont par définition positives. Il s’en suit que
−→ −−→
l’ensemble des points M du plan tel que M A · M B = 0 est le cercle de diamètre [AB].
Partie B
1. On a
−→ −−→
M ∈E ⇐⇒ M A · M B = 16
1
⇐⇒ M I 2 − AB 2 = 16
4
1
⇐⇒ M I 2 = 16 + AB 2
4
1
⇐⇒ M I 2 = 16 + × 62 .
4
Ainsi
M ∈E ⇐⇒ M I 2 = 25.
2. On a
M ∈E ⇐⇒ M I 2 = 25 ⇐⇒ M I = 5.
Donc
Exercice 10 Difficulté
Partie A
1. Au départ, le café est très chaud (T0 = 80 ◦ C). Il se trouve dans une pièce dont la température est nettement
plus basse (M = 10 ◦ C). Le café va donc refroidir et sa température va petit à petit se rapprocher de celle
du milieu environnant. Ainsi,
2. Par hypothèse, pour tout entier naturel n : Tn+1 − Tn = −0, 2 (Tn − 10). Donc
Tn+1 = Tn − 0, 2Tn + 2
Ainsi
pour tout entier naturel n Tn+1 = 0, 8Tn + 2
(b) La suite (un ) est géométrique de raison q = 0, 8 et de premier terme u0 = 70. Donc, pour tout entier
naturel n :
un = u0 × q n = 70 × 0, 8n
Or,
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un = Tn − 10 =⇒ Tn = un + 10.
On conclut que
Partie B
1. — La fonction θ est dérivable sur [0; +∞[,
— la fonction qui à t associe e−0,2t est dérivable et ne s’annule pas sur [0; +∞[.
Alors, par quotient, la fonction f est dérivable sur [0; +∞[. De plus, pour tout t dans [0; +∞[, on a
2. D’après la question précédente, pour tout t ∈ [0; +∞[, f 0 (t) = 0. Donc f est constante sur tout l’intervalle
θ (0)
[0; +∞[. Or, f (0) = e0 = 80. Il s’en suit que f (t) = f (0) = 80.
Par ailleurs, pour tout t ∈ [0; +∞[ :
θ (t)
f (t) = =⇒ θ (t) = f (t)e−0,2t .
e−0,2t
Il en résulte que θ (t) = 80e−0,2t . En résumé, on a :
3. Pour tout t ∈ [0; +∞[ : θ (t) = 80e−0,2t . Donc θ (0) = 80. Aussi :
Ainsi
• Grâce à la fonction exponentielle, on peut connaitre la température du café à n’importe quel instant. Ainsi
θ (4) = 80 × e−0,2×4 ≈ 35, 95 ◦ C.
Au bout de 10 minutes, la température du café est d’environ 10, 83 ◦ C, valeur proche de la température de
la pièce !
• On trouve une expression de la fonction θ en résolvant l’équation
L’équation 5.1 s’appelle une équation différentielle ordinaire, qui de manière générale, relie une fonction
à sa fonction dérivée.
Pré-rentrée
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Séance 1 Suites arithmétiques Outils de description d’un système chimique Histoire littéraire du genre de l’argumentation
Séance 2 Suites géométriques Ondes mécaniques Les notions génériques de l’argumentation
Séance 3 Probabilités Réactions d’oxydoréduction Grammaire - lexique - syntaxe - figures de style
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Toussaint
Séance 5 Bilan et prolongement Dosage spectrophotométrique La dissertation
Noël
Séance 4 Fonction exponentielle Mouvement d’un système mécanique Le commentaire littéraire
Séance 5 Bilan et prolongement Structure des espèces chimiques La dissertation
Février
Séance 4
Séance 5 Bilan et prolongement Introduction à la chimie organique La dissertation
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Séance 2 Application du produit scalaire Synthèse d’espèces chimiques organiques Les notions génériques de la poésie
Séance 3 Variables aléatoires Aspect énergétique des phénomènes mécaniques Grammaire - lexique - syntaxe - figures de style
Séance 4 Suites numériques et fonctions Lois de l’électricité Le commentaire littéraire
Pâques
Séance 5 Bilan et prolongement Énergie et réaction chimique La dissertation
Juillet
Séance 4 Trigonométrie Structure et propriétés de la matière Pas de stage
Séance 5 Variables aléatoires et probabilités conditionnelles Ondes mécaniques Pas de stage
* Ces programmes sont donnés à titre indicatif. Ils peuvent être modifiés au cours de l’année selon le niveau des groupes et selon les éventuelles réformes.