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1.

L'étude de la microéconomie comprend l'étude :

a) De l'investissement du secteur privé et des dépenses de l'État sur les marchés.


b) De la façon dont les entreprises, les travailleurs, les consommateurs et les
investisseurs interagissent et prennent des décisions sur les marchés.
c) De la croissance de la production et de l'emploi au fur et à mesure que les marchés
s'étendent en réaction à l'accroissement des prix dans l'économie.
d) Du nombre d'emplois et du revenu générés lorsque l'économie croît.

2. Les modèles microéconomiques illustrent, entre autres :

a) L'arbitrage entre inflation et chômage qui a lieu au sein de l'économie.


b) Les arbitrages auxquels les consommateurs, les travailleurs et les entreprises doivent
faire face et les façons dont le gouvernement peut les aider à maximiser leur bien-être
et leurs profits.
c) Les arbitrages auxquels les consommateurs, les travailleurs et les entreprises doivent
faire face et la manière dont ces arbitrages se réalisent sur les marchés.
d) L'arbitrage entre investissement privé et investissement public auquel le
gouvernement fait face lorsqu'il augmente les taxes ou qu'il vend des obligations pour
financer le déficit.

3. En microéconomie, la théorie du consommateur étudie :

a) Le niveau total des dépenses et de l'épargne des consommateurs dans l'économie.


b) Les dépenses totales des consommateurs en biens ou services durables ou non
durables.
c) La façon dont les consommateurs maximisent leur bien-être en choisissant d'acheter
un panier de biens plutôt qu'un autre ou en arbitrant entre consommation présente et
consommation future, étant donné leurs revenus limités.
d) Le montant des salaires, profits, dividendes et intérêts dont les consommateurs
disposent pour faire leurs achats sur les marchés.

4. La théorie économique tente :

a) De modéliser la totalité des mécanismes de l'économie.


b) De fournir une analyse étape par étape des processus de décision des entreprises, des
travailleurs, des consommateurs et des investisseurs.
c) D’expliquer les phénomènes observés et d'établir des prédictions à l'aide de modèles
mathématiques des processus de décision des travailleurs, des consommateurs, des
entreprises et des investisseurs.
d) D'utiliser des modèles mathématiques pour comprendre rigoureusement étape par
étape les processus de décision des travailleurs, des consommateurs, des entreprises et
des investisseurs, quelle que soit la capacité prédictive ou explicative du modèle.

5. En économie, on définit un "marché" comme :


a) Un lieu où les achats et les ventes sont organisés et enregistrés, comme la Bourse de
New York, la Bourse des métaux de Londres ou la Bourse de Paris.
b) Une boutique, un ensemble de boutiques ou un marché où les biens et les services
sont physiquement échangés.
c) Un ensemble d’entreprises qui vendent des produits identiques ou proches.
d) Un ensemble d’acheteurs et de vendeurs qui se rencontrent et déterminent le prix des
biens et des services par leurs interactions, réelles ou potentielles.

6. L’analyse microéconomique est un outil de planification efficace pour les


entreprises car :

a) Les modèles permettent de prédire précisément les ventes et l’évolution du profit.


b) Les modèles permettent aux décideurs de prédire l’évolution future des prix, de la
production et des coûts en réaction aux changements observés des goûts des
consommateurs, des prix des facteurs et des politiques gouvernementales.
c) Les modèles permettent aux décideurs de prédire l’évolution du chômage et de
l’inflation en fonction des changements de goût des consommateurs, des prix des
facteurs et des politiques gouvernementales.

7. La théorie du comportement du consommateur permet aux entreprises de


comprendre :

a) La façon dont les consommateurs allouent leur temps entre travail et activités de
consommation.
b) La manière dont les variations de revenu et de prix affectent la demande de biens et de
services.
c) Le prix maximum que les consommateurs sont prêts à payer pour les biens ou les
services que l'entreprise vend.
d) La façon dont les consommateurs opèrent systématiquement des choix rationnels en
trois étapes distinctes.

8. Les trois hypothèses de base que doivent respecter les préférences des
consommateurs sont :

a) Les consommateurs font face à des contraintes budgétaires, ils préfèrent les biens et
les services les moins chers et ne sont jamais satisfaits de leur niveau de
consommation.
b) Les consommateurs ne prennent pas toujours des décisions d’achat rationnelles, ils
préfèrent souvent disposer d'une quantité moindre d’un bien et sont incohérents dans
leurs préférences pour certains paniers de biens.
c) Les consommateurs peuvent comparer et classer selon leurs préférences tous les
paniers de biens disponibles sur le marché, leurs préférences sont transitives et les
consommateurs préfèrent toujours disposer d'un bien en plus grande quantité.
d) Les consommateurs sont incapables de comparer et de classer des paniers contenant
des biens différents, leurs préférences ne sont pas transitives et les consommateurs
préfèrent toujours disposer d'un bien en plus grande quantité.

9. Une courbe d’indifférence représente ______________ et sa pente est égale


____________________.

a) Les différentes combinaisons de biens et de services que le consommateur peut


acheter. - Au ratio du prix des deux biens.
b) Les différentes combinaisons de deux biens qui procurent le même niveau de
satisfaction. - Au prix d’un bien par rapport à l’autre.
c) Les différentes combinaisons de deux biens qui procurent le même niveau de
satisfaction. -Au taux marginal de substitution.
d) Les différentes combinaisons de biens et de services que le consommateur peut
acheter. - Au taux marginal de substitution.

10. Dans la théorie du comportement du consommateur, le taux marginal de


substitution (TMS) est :

a) Le taux auquel la satisfaction décroît quand on réduit la consommation d’un bien.


b) Le montant d’un bien que l’on doit ajouter à un panier de biens pour maintenir la
satisfaction constante le long d’une courbe d’indifférence.
c) Le taux auquel la satisfaction augmente quand on accroît la consommation d’un bien.
d) La quantité d’un bien que l’on doit substituer à un autre pour maintenir la satisfaction
constante le long d’une courbe d’indifférence.

11. Les courbes d’indifférence sont décroissantes et convexes, car :

a) Le principe des utilités marginales décroissantes implique que, lorsque la


consommation d’un bien augmente, il est nécessaire de sacrifier de plus en plus
d’autres biens pour maintenir la satisfaction constante.
b) Le principe des utilités marginales décroissantes implique que, lorsque la
consommation d’un bien augmente, on sacrifie de moins en moins d’autres biens pour
maintenir la satisfaction constante.
c) Lorsqu’on se déplace vers le bas et vers la droite le long d’une courbe d’indifférence,
et que l’on substitue la consommation d’un bien à un autre, la satisfaction totale
diminue.
d) Lorsqu’on se déplace vers le haut et vers la droite le long d’une courbe d’indifférence,
et que l’on substitue la consommation d’un bien à un autre, la satisfaction totale
augmente.

12. Dans la théorie du comportement du consommateur, deux biens sont dits


parfaitement substituables lorsque :

a) Les courbes d’indifférence représentant les différentes combinaisons des deux biens
sont des droites avec une pente égale à -1.
b) Le taux marginal de substitution (TMS) entre les biens est égal à 1.
c) L’accroissement de la consommation d’un bien ne nécessite pas de sacrifier la
consommation d’un autre bien pour maintenir la satisfaction constante

13. Une fonction d’utilité :

a) Classe les paniers de biens du meilleur au moins bon dans l’ordre des préférences du
consommateur, le meilleur étant le plus éloigné de l’origine.
b) Quantifie les différences de satisfaction entre plusieurs paniers de biens.
c) Quantifie la satisfaction que procure un panier de biens et permet d'identifier un
panier de biens qui doublerait la satisfaction du consommateur.

14. Les contraintes budgétaires :

a) Peuvent facilement être contournées en empruntant des fonds pour acheter davantage
de biens et de services.
b) Existent pour le consommateur mais ne peuvent être quantifiées.
c) Peuvent être contournées si les consommateurs prennent des décisions d’achat
rationnelles.
d) Limitent la quantité de biens et de services que les consommateurs peuvent acheter au
cours d'une période donnée.

15. La droite de budget illustre toutes les combinaisons de deux biens X et Y :

a) Qui peuvent être achetées avec un revenu donné, dont l'équation est R = Y - (Px /
Py)X, où Px et Py sont les prix des biens X et Y et R représente le revenu.
b) Qui peuvent être achetées avec un revenu donné, dont l'équation est R = PxX + PyY,
où Px et Py sont les prix des biens X et Y et R représente le revenu.
c) Qui peuvent être achetées avec un revenu donné, dont l'équation est R = Y + (Px /
Py)X, où Px et Py sont les prix des biens X et Y et R représente le revenu.
d) Qui peuvent être achetées avec un revenu donné, dont l'équation est Y = (R / Py) - (Px
/ Py)X, où Px et Py sont les prix des biens X et Y et R représente le revenu.
16. Lorsque le prix d’un bien augmente et que le prix de l’autre bien ainsi que le
revenu sont maintenus constants, la droite de budget :

a) Effectue une rotation de telle sorte que le point d’intersection entre la droite de budget
et l’axe associé au bien dont le prix a augmenté est plus éloigné de l’origine.
b) Effectue une rotation de telle sorte que le point d’intersection entre la droite de budget
et l’axe associé au bien dont le prix a augmenté est plus proche de l’origine.
c) Se déplace parallèlement à la droite de budget initiale en s’éloignant de l’origine.
d) Se déplace parallèlement à la droite de budget initiale en se rapprochant de l’origine.

17. Quel est l’impact d’une augmentation en proportions égales des prix et du
revenu sur la droite de budget ?

a) Aucun : la droite de budget ne se déplace pas et ne tourne pas.


b) L’impact est incertain : on a besoin de plus d’information sur le revenu, les prix et le
taux d’inflation pour répondre à cette question.
c) La droite de budget s’éloigne de l’origine suite à l’augmentation des prix, mais pas
autant que si le revenu était resté constant.
d) La droite de budget s’éloigne de l’origine suite à l’augmentation du revenu, mais pas
autant que si les prix étaient restés constants.

18. Étant donné la contrainte budgétaire du consommateur, la maximisation de la


satisfaction se situe :

a) Sur un point qui est sur la droite de budget et sur la courbe d’indifférence la plus
éloignée possible de l’origine.
b) Sur un point sur la courbe d’indifférence la plus proche de l’origine.
c) Sur un point qui est sur la droite de budget et sur la courbe d’indifférence la plus
proche de l’origine.
d) Sur un point qui est sur la courbe d’indifférence la plus éloignée de l’origine.

19. La pente de la droite de budget, lorsque le bien Y est sur l’axe des ordonnées et
le bien X sur l’axe des abscisses, est constante et égale à :

a) L’opposé du taux marginal de substitution (TMS) du consommateur.


b) L’opposé du rapport des prix des deux biens.
c) L’opposé du nombre d’unités de X qui doivent être sacrifiées pour pouvoir acheter
une unité supplémentaire de Y, soit - ∆Y / ∆X.

20. Au point où la courbe d’indifférence est tangente à la droite de budget :

a) Le taux marginal de substitution est inférieur au rapport des prix des deux biens, le
consommateur peut accroître sa satisfaction en choisissant un panier de biens sur une
courbe d’indifférence plus élevée.
b) Le taux marginal de substitution est inférieur au rapport des prix des deux biens, et le
consommateur ne peut choisir un panier que lorsque les deux sont égaux.
c) Le taux marginal de substitution est égal au rapport des prix des deux biens, et la
satisfaction du consommateur est maximale.

21. L’utilité marginale mesure :

a) La satisfaction perdue lorsque l’on consomme une unité en moins d’un bien ou d’un
service, en maintenant constante la consommation de tous les autres biens et services.
b) La satisfaction supplémentaire gagnée suite à la consommation d’une unité
supplémentaire d’un bien ou d’un service, en gardant la consommation de tous les
autres biens et services constante.
c) La satisfaction supplémentaire gagnée suite à l’accroissement dans une même
proportion de la quantité consommée de tous les biens et services.
d) La variation dans la satisfaction lorsque l’on consomme une unité supplémentaire
d’un bien et une unité en moins d’un autre bien.

22. Lorsque l’on se déplace le long d’une courbe d’indifférence et que l’on
consomme des paniers de biens différents contenant des biens X et des biens Y, la
variation globale de la satisfaction est :

a) Égale au TMS et elle se représente par l’équation TMS = Px( ∆X) + Py ( ∆Y).
b) Égale à zéro, et elle se représente par l’équation 0 = Px( ∆X) + Py( ∆Y).
c) Positive et elle se représente par l’équation ∆Satisfaction = Umx ( ∆X) + Umy ( ∆Y),
où Um désigne l’utilité marginale.
d) Égale à zéro et elle se représente par l’équation 0 = Umx ( ∆X) + Umy ( ∆Y), où Um
désigne l’utilité marginale.
23. Dans la théorie du comportement du consommateur, le principe d’égalisation
marginale affirme que :

a. L’utilité est maximale lorsque le consommateur a égalisé l’utilité marginale


par MAD dépensé pour tous les biens.
b. L’utilité est maximale lorsque le consommateur a égalisé les utilités
marginales pour tous les biens.
c. L’utilité est maximale lorsque le consommateur a consommé la même quantité
de chaque bien dans le panier de biens.
d. L’utilité est maximale lorsque le ratio des prix des biens dans le panier de bien
est égal au ratio du nombre des biens consommés.

24. Un consommateur a maximisé la satisfaction qu’il peut obtenir à partir de la


consommation de deux biens étant donné sa contrainte budgétaire. Si l’utilité
marginale du bien X est de 25, que le prix du bien X soit de 5 € et que l’utilité
marginale du bien Y soit de 15, alors :

a. Le consommateur doit se tromper car l’utilité marginale de X est plus élevée


que celle de Y.
b. Le prix du bien Y est de 3 €.
c. Le prix du bien Y est également de 5 €.
d. Le consommateur va consommer plus de X et moins de Y à la période
suivante car Umx > Umy.

25. Si l’utilité marginale du bien X est de 25, le prix du bien X de 5 €, l’utilité


marginale de Y de 15 et le prix du bien Y de 5 € également, alors :

a. L’utilité marginale par euro dépensé pour X est plus élevée que pour Y, et
donc le consommateur devrait choisir un panier de biens avec plus de Y et
moins de X jusqu’à ce que l’utilité marginale de Y soit égale à celle de X.
b. L’utilité marginale par euro dépensé pour X est plus élevée que pour Y, et
donc le consommateur devrait choisir un panier de biens avec plus de Y et
moins de X pour accroître sa satisfaction.
c. L’utilité marginale par euro dépensé pour X est plus élevée que pour Y, et
donc le consommateur devrait choisir un panier de biens avec plus de X et
moins de Y pour accroître sa satisfaction.
d. Le consommateur doit prendre un panier de biens qui ne contient que du bien
X, car l’utilité marginale par euro dépensé est plus élevée pour le bien X que
pour le bien Y.

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