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Je suis convaincu que cela peux aider les leaders ou futurs leaders dans
différentes domaine, l’église, le business, la créativité. Mon but est de
vous faire gagner du temps et vous éviter de nombreux pièges dans le-
quel un leader peut tomber.
PENSÉE 1
La clé c’est le leader
L e premier constat, c’est que derrière chaque organisme, chaque victoire ou dé-
faite, il y a un leader. J’ai rencontré de nombreux organismes avec un potentiel
hallucinant, du réseau, des finances, mais un mauvais leadership. Je précise, mauvais
ne veux pas dire méchant, je dirais plutôt «pas stratégique», ou alors limité, fatigué.
A l’inverse, certains organismes n’ont aucun moyen, ou sont dans des situations très
tendues, et de nulle part sort un leader, ou un groupe de personnes prenant leur
courage à deux mains, affrontant le dragon pour permettre à l’organisme d’émerger
et de faire l’impossible.
N ous sommes dans un monde qui bouge, qui évolue à une vitesse de plus en
plus folle. J’ai constaté qu’une des clés est la capacité d’arrêter ce qui ne fonc-
tionne pas ou qui n’est pas à 100% aligné avec la vision, et cela malgré l’ancienneté
du projet ou de l’organisme.
Il arrive souvent qu’une rencontre existe uniquement pour maintenir une tradi-
tion, parce que cela a toujours été comme ça, mais qu’elle n’ait plus de vrai sens.
E tre au courant de ce qui se fait, constamment être à l’écoute des nouveautés qui
pourraient faire gagner du temps, de l’argent, de l’impact, de la visibilité, de la
fluidité à votre vision.
Bien sûr, sans tomber dans le piège du geek qui veut à tout prix le nouvel objet ou
la dernière méthode qui vient de sortir ! Mais trop de leaders sont campés sur des
méthodes caduques et complément hermétiques aux nouveautés.
Un organisme doit tout faire pour être attractif aux top profils.
O n a chacun nos petits kiffs… nos préférences, nos ambitions. J’ai vu beaucoup
de leaders confondre leurs intérêts et ce qui leur plaisait avec les intérêts de
l’organisme et de sa vision. C’est n’est pas un sujet évident, sur lequel je suis le pre-
mier à me remettre en question.
Le monde évolue, les gens aussi, les méthodes aussi. En cultivant votre réseau,
vous allez élargir votre horizon, mieux comprendre les enjeux, les opportunités
de développement et aussi mieux comprendre comment les gens d’autres milieux
perçoivent votre travail.
C ’est l’un des points les plus compliqués : avoir la capacité de ne pas prendre
personnellement les critiques et avoir un regard juste sur l’état de son orga-
nisme et de son leadership. Chaque personne a sa manière de réagir face à la réalité
: on enfouit le problème, on est dans le déni, on le prend personnellement, on se
laisse offenser…
Un leader qui n’arrive pas à gérer la critique ni à regarder la réalité en face va beau-
coup souffrir et faire souffrir.
J ’entends souvent cette phrase : qui n’avance pas recule. Cela étant dit, trouver le
juste milieu entre chercher la sécurité et prendre des risques n’est pas une science
exacte. Pour qu’un organisme puisse avoir un impact significatif, il est primordial
d’apprendre à gérer cet aspect...
Pensez à définir un objectif pour chacun de vos projets, en accord avec votre vision
et revenez souvent à ce document pour pouvoir ajuster, appuyer sur la pédale de
frein ou d’accélérateur. Il est important donner des objectifs et un timing.
Cela l’aide à prendre du recul sur sa situation, surtout si le mentor n’a aucun intérêt
personnel dans le conseil qu’il donne.
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