DÉCISION

PAR BOB PROCTOR

Il existe un seul mouvement mental que vous pouvez faire et qui, en une
milliseconde, résoudra d'énormes problèmes pour vous. Elle peut améliorer
presque toutes les situations personnelles ou professionnelles que vous
rencontrerez... et elle peut littéralement vous propulser sur la voie d'un succès
incroyable. Nous avons un nom pour cette activité mentale magique... elle
s'appelle DÉCISION.

Les décisions, ou l'absence de décisions, sont responsables de la réussite ou de l'échec

de nombreuses carrières. Les personnes qui sont devenues très compétentes dans la
prise de décisions, sans être influencées par les opinions des autres, sont celles dont
les revenus annuels se situent dans la catégorie des six ou sept chiffres. Cependant, ce
n'est pas seulement votre revenu qui est influencé par les décisions ; votre vie entière
est dominée par ce pouvoir. La santé de votre esprit et de votre corps, le bien-être de
votre famille, votre vie sociale, le type de relations que vous développez... tout cela
dépend de votre capacité à prendre des décisions judicieuses.

On pourrait penser que quelque chose d'aussi important que la prise de décision, qui a
un pouvoir aussi étendu, serait enseigné dans toutes les écoles, mais ce n'est pas le
cas. Pour aggraver le problème, non seulement la prise de décision est absente du
programme de nos établissements d'enseignement, mais jusqu'à récemment, elle était
également absente de la plupart des programmes de formation et de ressources
humaines disponibles dans les entreprises.

Alors, comment une personne est-elle censée développer cette capacité mentale ?
Tout simplement, vous devez le faire par vous-même. Cependant, je pense qu'il est
important de comprendre qu'il n'est pas difficile d'apprendre à prendre des
décisions judicieuses. Armé des informations appropriées et en vous soumettant à
certaines disciplines, vous pouvez devenir un décideur très efficace.

Vous pouvez pratiquement éliminer les conflits et la confusion dans votre vie en
devenant compétent en matière de prise de décision. La prise de décision met de
l'ordre dans votre esprit et, bien sûr, cet ordre se reflète ensuite dans votre monde
objectif... vos résultats.

James Allen pensait peut-être aux décisions lorsqu'il a écrit : "Nous pensons en
secret et les choses se réalisent. L'environnement n'est que notre miroir".
Personne ne peut vous voir prendre des décisions, mais ils verront presque
toujours les résultats de vos décisions. La personne qui ne développe pas sa
capacité à prendre des décisions est condamnée parce que l'indécision crée des
conflits internes qui peuvent, sans avertissement, dégénérer en guerres mentales
et émotionnelles. Les psychiatres ont un nom pour décrire ces guerres internes :
l'ambivalence. Mon dictionnaire Oxford me dit que l'ambivalence est la coexistence
chez une personne de sentiments opposés à l'égard d'un même objectif.

Il n'est pas nécessaire d'être titulaire d'un doctorat en psychiatrie pour

comprendre que vous aurez des difficultés dans votre vie si vous laissez votre
esprit dans un état second.
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L'état ambivalent ne peut être maintenu pendant un certain temps. La personne qui
permet à cet état d'exister deviendra très découragée et virtuellement incapable de
tout type d'activité productive. Il est évident que quiconque se trouve dans un tel état
mental ne vit pas ; au mieux, il ne fait qu'exister. Une décision ou une série de
décisions pourrait tout changer.

Une loi fondamentale de l'univers est "créer ou désintégrer". L'indécision entraîne la

désintégration. Combien de fois avez-vous entendu une personne dire : "Je ne sais pas
quoi faire". Combien de fois vous êtes-vous entendu dire : "Que dois-je faire ?".
Réfléchissez à certains des sentiments d'indécision que vous et pratiquement tout le
monde sur cette planète éprouvez de temps en temps.
LES AIMER - LES QUITTER
LES QUITTER - RESTER
LE FAIRE - NE PAS LE FAIRE
FAIRE FAILLITE - NON NE
PAS ALLER TRAVAILLER -
REGARDER LA TÉLÉ
L'ACHETER - NE PAS
L'ACHETER
LE DIRE - NE PAS LE DIRE
LE DIRE - NE PAS LE DIRE

Il arrive à tout le monde d'éprouver ces sentiments d'ambivalence. Si cela vous

arrive fréquemment, décidez dès maintenant d'y mettre fin. La cause de
l'ambivalence est l'indécision, mais il faut garder à l'esprit que la vérité n'est pas
toujours dans l'apparence des choses. L'indécision est une cause de l'ambivalence,
mais c'est une cause secondaire, ce n'est pas la cause première. Depuis plus d'un
quart de siècle, j'étudie le comportement de personnes qui sont devenues très
compétentes en matière de prise de décision. Elles ont toutes un point commun.
Elles ont une image très forte d'elles-mêmes, une grande estime de soi. Elles sont
peut-être aussi différentes que la nuit l'est du jour à bien d'autres égards, mais
elles ont assurément confiance en elles. Une faible estime de soi ou un manque de
confiance en soi est le véritable coupable. Les décideurs n'ont pas peur de se
tromper. S'ils commettent une erreur dans leur décision ou s'ils échouent dans
quelque chose, ils sont capables d'en tirer les conséquences. Ils tirent les leçons de
l'expérience, mais ne se soumettent jamais à l'échec.

Chaque décideur a eu la chance d'être élevé dans un environnement où la prise de

décision faisait partie de son éducation, ou a développé cette capacité par la suite. Ils
sont conscients d'une chose que tous ceux qui espèrent vivre pleinement doivent
comprendre : La prise de décision est une chose que l'on ne peut pas éviter.

C'est le principe cardinal de la prise de décision. DÉCIDER LÀ OÙ L'ON EST AVEC CE

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QUE L'ON A. C'est précisément la raison pour laquelle la plupart des gens ne
maîtrisent jamais cet aspect important de la vie. Ils laissent leurs ressources dicter
si et quand une décision doit ou peut être prise. Lorsque John Kennedy a demandé
à Werner Von Braun ce qu'il était prêt à faire, il lui a répondu que c'était la
meilleure façon de prendre une décision.

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Pour savoir ce qu'il faudrait pour construire une fusée qui transporterait un homme sur la
lune et le ramènerait sain et sauf sur terre, sa réponse a été simple et directe : "La volonté
de le faire". "La volonté de le faire. Le président Kennedy n'a jamais demandé si c'était
possible. Il n'a jamais demandé s'ils pouvaient se le permettre, ni aucune des mille autres
questions qui auraient toutes été... à l'époque... des questions valables.

Le président Kennedy a pris une décision... il a dit : "Nous enverrons un homme sur la
lune et nous le ramènerons sain et sauf sur terre avant la fin de la décennie". Le fait
que cela n'ait jamais été fait auparavant dans les centaines de milliers d'années de
l'histoire de l'humanité n'a même pas été pris en considération. Il a DÉCIDÉ où il se
trouvait avec ce qu'il avait. L'objectif a été atteint dans son esprit à la seconde où il a
pris la décision. Ce n'était qu'une question de temps ... qui est régi par la loi naturelle
avant que le but ne se manifeste sous une forme visible par le monde entier.

J'étais ... il y a quelques heures ... dans un bureau avec trois personnes. Nous discutions de
l'achat d'actions d'une entreprise. Je vendais, ils achetaient. Au bout d'un certain temps,
l'un des associés m'a demandé quand je voulais prendre une décision. J'ai répondu : "Tout
de suite". J'ai dit : "Vous savez déjà ce que vous voulez faire." Il y a eu une discussion sur
l'argent. J'ai fait remarquer que l'argent n'avait rien à voir là-dedans. Une fois que vous
aurez pris la décision, vous trouverez l'argent... à chaque fois. Si c'est le seul avantage que
vous retirez de ce message sur la prise de décision, gravez-le dans votre esprit. Il changera
votre vie. J'ai expliqué à deux de ces personnes que je ne laisse jamais l'argent entrer dans
mon esprit lorsque je décide de faire ou de ne pas faire quelque chose. Que je puisse me le
permettre ou non n'entre jamais en ligne de compte. La seule chose qui compte, c'est de
savoir si j'en ai envie ou non. On peut tout se permettre, l'argent est disponible à l'infini.
Tout l'argent du monde est à votre disposition, lorsque la décision est fermement prise. Si
vous avez besoin d'argent, vous l'attirerez.

Je suis bien conscient que de nombreuses personnes diront que c'est absurde. On
ne peut pas décider de faire quelque chose si l'on ne dispose pas des ressources
nécessaires. Et c'est très bien si c'est ainsi qu'ils choisissent de penser. Je considère
qu'il s'agit là d'une façon de penser très restrictive. En réalité, il ne s'agit
probablement pas d'une façon de penser... mais très probablement d'une opinion
exprimée qui a été héritée d'un membre plus âgé de la famille qui ne pensait pas
non plus.

La réflexion est très importante. Les décideurs sont de grands penseurs. Vous arrive-t-il
d'accorder beaucoup d'attention à vos pensées ? ... comment elles affectent les
différents aspects de votre vie ? Bien que cela devrait être l'une de nos préoccupations
les plus sérieuses, ce n'est pas le cas pour de nombreuses personnes. Il n'y a qu'une
infime minorité qui tente de contrôler ou de gouverner ses pensées.

Quiconque a étudié les grands penseurs, les grands décideurs, les grands hommes
d'affaires de l'histoire, sait qu'ils sont rarement d'accord sur quoi que ce soit lorsqu'il
s'agit d'étudier la vie humaine. Cependant, il y a un point sur lequel ils étaient
totalement et unanimement d'accord : "Nous devenons ce à quoi nous pensons".

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À quoi pensez-vous ? Vous et moi devons réaliser que nos pensées contrôlent en
fin de compte toutes les décisions que nous prenons. Vous êtes la somme totale de
vos pensées. En prenant les choses en main à l'instant même, vous pouvez vous
assurer une bonne journée. Refusez de vous laisser affecter par des personnes ou
des circonstances malheureuses et négatives.

La plus grande pierre d'achoppement que vous rencontrerez lorsque vous prendrez
des décisions importantes dans votre vie, ce sont les circonstances. Nous laissons
les circonstances nous tirer d'affaire alors que nous devrions donner tout ce que
nous avons. Il y a plus de rêves brisés et d'objectifs perdus à cause des
circonstances qu'à cause de n'importe quel autre facteur.

Combien de fois vous êtes-vous surpris à dire : "J'aimerais faire ou avoir ceci, mais
je ne peux pas parce que...". Ce qui suit le "parce que" est la circonstance. Les
circonstances peuvent causer un détour dans votre vie, mais vous ne devez jamais
leur permettre de vous empêcher de prendre des décisions importantes.

Napoléon a dit : "Les circonstances, c'est moi qui les fais".

La prochaine fois que vous entendrez quelqu'un dire qu'il aimerait partir en vacances à
Paris ou acheter une voiture particulière mais qu'il ne peut pas le faire parce qu'il n'a
pas d'argent, expliquez-lui qu'il n'a pas besoin d'argent tant qu'il n'a pas pris la décision
d'aller à Paris ou d'acheter la voiture. Une fois la décision prise, ils trouveront un
moyen d'obtenir la somme nécessaire. Ils y parviennent toujours.

De nombreuses personnes malavisées essaient quelque chose une ou deux fois et, si
elles n'atteignent pas la cible, elles ont l'impression d'avoir échoué. L'échec ne fait pas
de quelqu'un un raté, mais l'abandon en fait certainement partie, et l'abandon est une
décision. Si l'on suit ce raisonnement, on peut dire que lorsqu'on décide d'abandonner,
on décide d'échouer.

Chaque jour en Amérique, vous entendez parler d'un joueur de base-ball qui signe un
contrat qui lui rapportera quelques millions de dollars par an. Il faut essayer de garder
à l'esprit que ce même joueur rate la balle plus souvent qu'il ne la frappe lorsqu'il
s'approche du marbre.

Tout le monde se souvient de Babe Ruth pour les 714 home runs qu'il a frappés,
mais on mentionne rarement le fait qu'il a frappé 1 330 fois.

Charles F. Kettering a dit, et je cite : "Lorsque vous inventez, si vous échouez 999 fois et
que vous réussissez une fois, vous êtes accepté".

C'est vrai pour à peu près toutes les activités que vous pouvez nommer, mais le
monde oubliera vite vos échecs à la lumière de vos réussites. Ne vous inquiétez pas
des échecs, ils vous endurciront et vous prépareront à la grande victoire. Gagner
est une décision.

Il y a de nombreuses années, on a demandé à Helen Keller si elle pensait qu'il y

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avait quelque chose de pire que d'être aveugle. Elle a rapidement répondu qu'il y
avait quelque chose de bien pire. Elle a dit : "La personne la plus pathétique au
monde est celle qui a la vue mais pas de vision". Je suis d'accord avec Helen Keller.

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À 91 ans, on a demandé à J.C. Penny comment allait sa vue. Il a répondu que sa vue
baissait mais que sa vision n'avait jamais été aussi bonne. C'est vraiment
formidable, n'est-ce pas ?

Lorsqu'une personne n'a pas de vision d'une vie meilleure, elle s'enferme
automatiquement dans une prison, elle se limite à une vie sans espoir. C'est
souvent le cas lorsqu'une personne a sérieusement essayé, à plusieurs reprises, de
gagner, mais qu'elle s'est heurtée à des échecs répétés. Les échecs répétés
peuvent nuire à l'image de soi et faire perdre de vue le potentiel d'une personne.
Elle prend alors la décision d'abandonner et de se résigner à son sort.

Faites le premier pas pour prédire votre propre avenir prospère. Faites-vous une
image mentale de la façon dont vous aimeriez vivre. Prenez la ferme décision de
vous en tenir à cette vision et les moyens positifs d'améliorer les choses
commenceront à affluer dans votre esprit.

De nombreuses personnes ont une vision magnifique de la façon dont elles

aimeraient vivre, mais parce qu'elles ne voient pas comment elles vont y parvenir,
elles abandonnent leur vision. S'ils savaient comment ils allaient y parvenir, ils
auraient un plan et non une vision. Il n'y a pas d'inspiration dans un plan, mais il y
en a dans une vision. Lorsque vous avez une vision, faites un arrêt sur image en
prenant une décision et ne vous inquiétez pas de savoir comment vous allez vous y
prendre ou d'où viendront les ressources. Mettez de l'enthousiasme dans votre
décision... c'est important. Refusez de vous préoccuper de la manière dont les
choses se passeront.

Prise de décision avancée

Nous faisons des réservations à l'avance lorsque nous prenons l'avion pour aller
quelque part - c'est assez courant. Nous réservons à l'avance pour éviter toute
confusion ou tout problème au moment du voyage. Nous faisons de même lorsque
nous louons une voiture, pour la même raison. Pensez aux problèmes que vous
éliminerez en prenant la plupart des décisions que vous devez prendre... longtemps à
l'avance. Je vais vous donner un excellent exemple. Au moment où je prépare ce
message, c'est le Ramadan, une période où tous les musulmans pratiquants jeûnent.
Hier, je me trouvais dans un bureau à Kuala Lumpur et on m'a demandé si je voulais
une tasse de thé ou de café. J'ai répondu que j'apprécierais une tasse de thé. On a
alors demandé à la dame à côté de moi si elle voulait une tasse et elle a répondu...
"Non, je suis à jeun". Lorsqu'on lui a posé la question, elle n'a pas eu à décider si elle
voulait quelque chose ou non. Le fait qu'elle ait soif ou non n'entrait pas en ligne de
compte. Une décision avait été prise auparavant et sa décision avancée était bien
tempérée par la discipline.

Le même concept s'applique à une personne qui suit un régime pour perdre du
poids. Ses décisions sont prises à l'avance. Si on lui propose une grosse part de
gâteau au chocolat, elle n'a pas besoin de se dire : "Ça a l'air bon... Je me demande
si je dois le faire". Je me demande si je devrais le faire". La décision est prise à
l'avance.
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Il y a longtemps, j'ai pris la décision de ne pas participer à des discussions sur les
raisons pour lesquelles une chose ne peut pas être faite. La seule compensation que
vous recevrez pour participer ou donner de l'énergie à ce type de discussion est
quelque chose que vous ne voulez pas. Je suis toujours étonné par le nombre de
personnes apparemment intelligentes qui s'obstinent à vous entraîner dans ces
séances de remue-méninges négatives. D'un seul souffle

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ces personnes vous disent qu'elles veulent sérieusement atteindre un objectif
particulier. Et, dans le souffle suivant, elles commencent à dire pourquoi elles n'y
arrivent pas. Pensez à la vie qu'elles pourraient mener en décidant de ne plus
participer à ce type d'énergie négative.

Le psychologue humaniste Abraham Maslow, qui a consacré sa vie à l'étude des

personnes épanouies, a déclaré très clairement que nous devrions suivre notre
guide intérieur et ne pas nous laisser influencer par l'opinion d'autrui ou les
circonstances extérieures. Les recherches de Maslow ont montré que les
personnes qui prennent des décisions dans la vie avaient un certain nombre de
points en commun, le plus important étant qu'elles accomplissaient un travail
qu'elles jugeaient utile et important. Ils considéraient le travail comme un plaisir et
faisaient peu de distinction entre le travail et le jeu. Selon le Dr Maslow, pour se
réaliser, il faut non seulement faire un travail que l'on considère comme important,
mais aussi le faire bien et y prendre plaisir.

Le Dr Maslow a constaté que ces personnes aux performances supérieures avaient des
valeurs, c'est-à-dire les qualités de leur personnalité qu'elles considéraient comme
valables et importantes. Leurs valeurs n'étaient pas imposées par la société, les
parents ou d'autres personnes dans leur vie. Ils prenaient leurs propres décisions. Tout
comme leur travail, ils choisissaient et développaient eux-mêmes leurs valeurs.

Votre vie est importante et, dans le meilleur des cas, elle est courte. Vous avez la
possibilité de faire tout ce que vous voulez, et de le faire bien. Mais vous devez
prendre des décisions et, lorsque le moment de prendre une décision arrive, vous
devez prendre votre décision là où vous en êtes avec ce que vous avez.

Permettez-moi de vous laisser sur les mots de deux grands décideurs, William
James et Thomas Edison. William James a suggéré que, par rapport à ce que nous
devrions être, nous n'utilisons qu'une petite partie de nos ressources physiques et
mentales. Selon cette conception, l'individu humain vit donc bien en deçà de ses
limites. Il possède des pouvoirs de toutes sortes, qu'il n'utilise généralement pas.

Des années plus tard, Thomas Edison a déclaré, et je cite : "Si nous faisions tous les
choses que nous sommes capables de faire, nous nous étonnerions littéralement nous-
mêmes".

En prenant une simple décision, les plus grands esprits du passé sont à votre
disposition. Vous pouvez littéralement apprendre à transformer vos rêves les plus fous
en réalité.

Mettez à profit ces informations précieuses et reconnaissez la grandeur qui existe en

vous. Votre potentiel et vos capacités sont illimités et ne demandent qu'à être
développés. Commencez dès aujourd'hui - il n'y a jamais de meilleur moment que le
présent. Soyez tout ce que vous êtes capable d'être.

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