Fasc Tle C-D

1
Ce cahier d’activités, conçu et réalisé par le conseil d’enseignement de SCIENCES
PHYSIQUES de l’Ecole d’Application JEAN PIAGET / E.N.S est un précieux outil de travail
qui devrait permettre :
 à l’enseignant d’avancer plus rapidement et de façon plus harmonieuse dans son
cours et dans la correction des exercices avec les élèves,
 à l’élève qui l’utilise correctement et régulièrement de mieux comprendre les
leçons de SCIENCES PHYSIQUES en Tle C et D tout en se familiarisant avec l’esprit
des questions qu’il peut rencontrer dans les sujets d’interrogation écrite et de
devoir ; l’objectif final étant de le préparer à réussir l’épreuve de S.P au BAC.
Le conseil d’enseignement remercie l’administration de l’E.A.J.P / E.N.S pour le soutien
logistique qu’il lui a apporté et souhaite une bonne année scolaire aux élèves.
EMPLOI DU TEMPS
LUN MAR MER JEU VEN
7h45 – 8h40
8h40 – 9h35
9h35 – 10h30
R E C R E A T I O N
10h45 – 11h40
11h40 – 12h35
A P R E S - M I D I
14h00 – 14h55
14h55 – 15h50
15h50 – 16h45
16h45 – 17h40
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CONSEIL D‟ENSEIGNEMENT SCIENCES PHYSIQUES E.A.J.P / E.N.S ABIDJAN – année scolaire 2011-2012
2
S O M M A I R E
PHYSIQUES
I- MECANIQUE
1- Cinématique du point………………………………………………………….……..……….3
2- Mouvement du centre d’inertie d’un solide…………..…………………….………..……..5
3- Interaction gravitationnelle………………………………………………………………….. 7
4- Mouvement dans un champ uniforme…………………………………………………….. .9
5- Oscillations mécaniques…………………………………………..……………….………..13
II- ELECTROMAGNETISME
6- Champ magnétique……………………………………………………………….…………16
7- Mouvement d’une particule chargée dans un champ magnétique uniforme……….....18
8- Loi de Laplace………………………………………………………………………...……...21
9- Induction électromagnétique…………………………………………………….……….....24
10- Auto-induction…………………………………………………………..………...……..….26
11- Oscillations électriques libres dans un circuit LC………………………..……….….….28
12 -Dérivateur Intégrateur……………………………………………………………..…….....31
13- Circuits RLC en régime sinusoïdal forcé………………………………………………...32
14- Physique nucléaire ……………………………………………………………………35
CHIMIE
I- CHIMIE GENERALE
1- Solutions aqueuses - Notion de pH……………………………………………………….37

2- Acide fort – Base forte………………………………………………………………………39
4- Acide faible – Base faible……………………………………………………………………41
5- Notion de couple acide/base – Constante d’acidité – Classification…………………...43
6- Réactions acido-basiques – Dosages – Solutions tampons………..………………......45
II- CHIMIE ORGANIQUE
7- Les alcools………………………………………..…………………………………….……48
8- Les amines………………………………………………………………………………..….50
9- Acides carboxyliques et dérivés…………………… ……………….………………….…52
10-Acides  aminés………………………………………………………..……………….....55
ANNEXES............................................................................................................................................... 56
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3
EXERCICES D’APPLICATION
APPLICATION 1
Dans un repère (O, , , ), la position d‟un point M est définie à chaque instant par :
1. Donner les positions respectives du point M aux instants 0 s, 1 s, 3 s et 4 s.

2. Tracer la trajectoire du point M et écrire son équation cartésienne.
APPLICATION 2
A partir des schémas, ci-dessous :

1. Préciser la nature du mouvement du centre d‟inertie G du solide;
2. Préciser les conditions initiales et écrire les équations horaires du mouvement de G.
G 0 G 0
x' O G0 x x O G0 x'
3. Déterminer dans chaque cas la position du centre d‟inertie du solide à t = 10 s et en déduire la

distance parcourue. =1m = 1 m.s-1 = 1 m.s-2
APPLICATION 3
Une voiture roulant en ligne droite à la vitesse de 36 km.h-1 s‟arrête en 5 s.
Donner les caractéristiques de l‟accélération supposée constante au cours du mouvement.
APPLICATION 4
L‟hélice d‟un ventilateur est animée d‟un mouvement circulaire uniforme à raison de N = 1200 tours/min.
1- Déterminer:
1.1- La fréquence f et la période T du mouvement de l‟hélice.
1.2- La vitesse angulaire de cette hélice.
1.3- La vitesse linéaire d‟un pointe M de l‟hélice situé à 30cm de son axe de rotation.
2- Calculer l‟accélération normale an et l‟accélération tangentielle at. En déduire l‟accélération a du point M.

3- Représenter les vecteurs et à un instant quelconque.
On donne : 1cm ↔ 5 cm ; 1 cm ↔ 10 m.s-1 ; 1cm ↔ 103 m.s-2.
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4
EXERCICES DE RECHERCHE
EXERCICE 1
Un véhicule se déplace sur un trajet rectiligne. Sa vitesse est

caractérisée par le diagramme ci-contre. Déterminer sur les 5
intervalles de temps : t(s)
1. La valeur algébrique de l'accélération a.
2. L'expression V= f(t) on utilisera au début de chaque phase un
nouveau repère de temps.
3. La nature du mouvement.
EXERCICE 2
1-Un mobile A décrit une trajectoire rectiligne munie d‟un repère d‟espace (O, ); son vecteur accélération
est constant pendant toute la durée du mouvement qui est fixée à tF = 10 s.
A l‟instant t0 = 0, le mobile part du point A0, d‟abscisse x0 = -1m, avec une vitesse V0 = -2 ms-1. Puis, il
passe au point A1, d‟abscisse x1 = +6m, avec une vitesse V1 = 5ms-1
1-1 Calculer l‟accélération a du mobile.
1-2 Donner l‟équation horaire du mobile.
1-3 Calculer la date t1 à laquelle le mobile passe au point A1.
2- A la date  = 2s, un deuxième mobile B part de l‟abscisse x1 = +6m, avec un mouvement rectiligne et
uniforme dont la vitesse est VB = 3,5ms-1.
2-1 Ecrire l‟équation horaire du mouvement du mobile B.
2-2 Calculer la date tR de la rencontre des deux mobiles.
2-3 Calculer l‟abscisse xR où aura lieu cette rencontre.
3- Vérifier ces deux derniers résultats à l‟aide d‟un diagramme des espaces.
Echelles : 1cm ↔ 1s et 1cm ↔ 3m
EXERCICE 3
Une personne arrive en retard à la gare. Elle se met alors à courir sur le quai à la vitesse constante de
18 km/h. Arrivée à 20 m de la derniére porte du train, celui-ci démarre avec une accélération constante de
2,0 m.s -2.
1- Cette personne réussira-t-elle à prendre le train ?
2- Si ce n' est pas le cas, calculer la distance minimale qui la séparera du train lors de sa course.
EXERCICE 4
Une bille supposée ponctuelle, fixée à un fil de longueur =1,2m, décrit un cercle de centre O à
vitesse constante v = 0,9 m.s-1.
1- Déterminer les caractéristiques de son vecteur vitesse à un instant t quelconque.
2- Déterminer les caractéristiques de son vecteur accélération au même instant.
3- Calculer la vitesse angulaire O et la période TO du mouvement de la bille.
4- Donner les lois horaires s(t) et (t) du mouvement de la bille, en supposant qu‟à t = 0, s0 = 0 et
0 = 0.
5- Représenter et à t = 698 ms.
Echelles : 1cm ↔ 0,3 m; 1cm ↔ 0,3 m.s-1 ; 1cm ↔ 0,3 m.s-2
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5
APPLICATION 1
A

α
 C
B
Un tremplin comporte une partie AB formant un angle  = 30° avec l‟horizontale et une partie BC,
horizontale.
Un solide ponctuel de masse m est lâché sans vitesse initiale en A. Il glisse le long de ce tremplin. Les
forces de frottements sont équivalentes à une force constamment parallèle au déplacement et de valeur
constante sur tout le trajet ABC.
1 – Faire le bilan des forces extérieures qui s‟exercent sur le solide. Les représenter sur chaque portion du
tremplin.
– En appliquant le théorème du centre d‟inertie, déterminer:
2 -1 L‟accélération a1 du solide entre A et B. En déduire la nature du mouvement.
2 -2 L‟accélération a2 du solide entre B et C. En déduire la nature du mouvement.
3 - En appliquant le théorème de l‟énergie cinétique, déterminer sa vitesse VB en B.
4- Déterminer la distance maximale parcourue par le solide jusqu‟à son arrêt au point C.
Données : m = 200 g ; f = 0,25 N ; α = 30° ; g = 10 m/s2 ; AB = l =100 cm.
APPLICATION 2
Un solide de petites dimensions de masse m et assimilable à un point matériel, est placé au sommet A d‟une
piste circulaire AB de centre O et de rayon r = 5m. Le solide quitte le point A sans vitesse initiale et glisse sans
frottement le long de la piste. Le solide perd le contact avec la piste en un point C tel que (OA, OC) = .
On repère le mobile au point M telque (OA, OM) = .
1-Représenter toutes les forces extérieures appliquées au solide au point M.
2-En appliquant le théorème de l‟énergie cinétique, exprimer la vitesse VM du solide au point M en fonction de r
et de .
3-En appliquant le théorème du centre d‟inertie, montrer que dans le repère de Frénet, la réaction normale a
pour intensité RN = mg (2 +3cos).
4-En déduire la valeur de l‟angle .
5-Représenter le vecteur vitesse VC du solide au point C. A
M
6-Calculer la vitesse Vc du solide au point C.
B
O
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6
EXERCICE 1
Un solide S de masse m = 0,5 kg descend le long d‟une pente inclinée d‟un angle  = 20° avec
l‟horizontale. A l‟instant t = 0, S part du point A avec une vitesse initiale nulle pour atteindre le point B
avec AB = 2 m. On donne g = 10 m.s-2
A
S

B
1. On néglige les frottements :
1.1 Déterminer la valeur algébrique de l‟accélération du mouvement de S et en déduire la
nature de ce mouvement.
1.2 Donner les équations horaires a(t), V(t) et x(t) du mouvement de S.
1.3 Etablir l‟expression de la durée de descente et calculer sa valeur.
2. En réalité, il existe des forces de frottements , de sens opposé au mouvement et de valeur constante
f. Pour en déterminer la valeur, on relève à intervalle de temps régulier Δt = 80 ms, les positions Mi
du mobile.
ti t0 t1 t2 t3 t4 t5 t6
AMi 0 3,2 12,8 28,8 51,2 80 115,2
Vi
2.1 Compléter le tableau en calculant les valeurs de la vitesse du mobile aux instants indiqués.
2.2 Construire le graphe V = f(t). Echelle : 1 cm  0,08 s et 0,5 cm  0,08 m/s.
2.3 Déterminer la nouvelle valeur a2 de l‟accélération. En déduire la valeur des frottements .
EXERCICE 2
Une bille de masse m = 10g se déplace sans frottement sur un trajet ABS representé ci-dessous. A t = 0s la
bille est lâchée sans vitesse initiale. On pose  = ( MOC);  = (BOC) = 30°; OB = OC = OS = r = 20cm.
1.
1-1-Determiner l‟accélération de la bille sur le plan incliné. En déduire la nature du mouvement.
1-2-Déterminer l‟équation horaire de la bille sur le plan incliné (le point A est choisi comme origine des
espaces).
1-3-Déterminer la date et la vitesse de la bille à son arrivée au point B. Prendre AB = l = 50cm
2- La bille aborde la partie circulaire BS avec une vitesse VB = 2,2ms-1.
2-1 Exprimer la vitesse de la bille au point M enfonction g, r,  et VB. A
2-2 Exprimer l‟intensité de la réaction R de la bille en fonction de m
O
g, r, , VB et .
 
2-3 En quel point cette réaction est-elle maximale ? Justifier votre réponse.  A S
2-4 Déterminer les caractéristiques de la vitese VS de la bille au point S B A
M
Sachant que  = (COS) = 20° C
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7
APPLICATION 1
Calculer la valeur du champ de gravitation terrestre :

1- au niveau du sol.
2- A l‟altitude h d‟un satellite artificiel géostationnaire (h = 36000 km)
APPLICATION 2
La terre effectue une révolution complète autour du soleil en 1 an (365,26 jours). Venus effectue cette
révolution en 224,7 jours.
En utilisant la 3ème loi de Kepler, déterminer la distance moyenne Vénus-Soleil en km puis en unités
astronomiques (U.A.).
Données : distance moyenne terre-soleil = 1,5.1011 m ; 1U.A = 1,49.1011m
APPLICATION 3
1- À partir de la deuxième loi de Newton, retrouver la troisième loi de Képler pour le satellite Io, en
orbite circulaire de rayon R = 421 600 km autour de Jupiter.
2- Quelle est la masse MJ de Jupiter, sachant que la période de révolution de Io est T = 152 424 s ?
APPLICATION 4
1-Enoncer la troisième loi de Képler.

2-La Terre tourne en un an autour du Soleil. La distance Mars- Soleil vaut 1,5 fois la distance Terre- Soleil.
Calculer la duréée de révolution de Mats autour du Soleil.
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8
EXERCICE 1
On suppose que la Terre de centre O et la Lune de centre L ont une distribution de masse à symétrie
sphérique. Dans le référentiel géocentrique, la Lune n‟est soumise, en première approximation, qu‟à la
force d‟attraction gravitationnelle exercée par la Terre et son centre décrit une trajectoire circulaire de
centre O.
Soit R = OL la distance du centre de la Terre au centre de la Lune.
a) Montrer que le mouvement circulaire du centre de la Lune est uniforme.
b) Rechercher l‟expression de la vitesse vL du centre de la Lune en fonction de la constante de
gravitation universelle G, de la distance R et de la masse MT de la Terre.
c) En déduire l‟expression de la période de révolution de la Lune en fonction de G, R et MT.
2
d) Montrer alors que la troisième loi de Kepler ( T 3
 cste ) est bien vérifiée dans le cas de la Lune.
R
e) Calculer la valeur de cette constante en précisant les unités.
f) Sachant que la période de révolution de la Lune vaut 27 jours 7 heures et 30 minutes, en déduire
une valeur approchée de la distance du centre de la Lune au centre de la Terre.
g) On émet depuis la surface de la Terre un signal laser qui est alors réfléchi par un miroir posé sur le
sol lunaire vers la station émettrice terrestre. La durée entre l‟émission et la réception du signal est
égale à t = 2,563 s. En déduire une nouvelle valeur approchée de OL.
h) On désire placer en orbite autour de la Terre un satellite dont la période de révolution soit égale
à 41 heures exactement. A quelle altitude h faut-il le positionner ?
Données : G = 6,67  10 –11 S.I.
Masse de la Terre : MT = 5,97  10 24 kg
Rayon de la Terre : RT = 6380 km
Rayon de la Lune : RL = 1740 km
EXERCICE2
La planète Mars décrit autour du Soleil une orbite pratiquement circulaire de rayon r = 228,9.106 km et de
période T = 686,98 jours.
1-Preciser le reférentiel utilisé.
2
2-1 Etablir l'expression du vecteur accélération du centre d‟inertie de la planète Mars en fonction de la
masse MS du Soleil et du rayon orbital r. Préciser le référentiel utilisé.
2-2 Etablir de même les expressions de la vitesse et la période T.
e
2-3 En déduire la 3 loi de Kepler. Formuler son énoncé.
2-4 Enoncer les 2 autres lois (figure explicative).
2-5 Calculer la masse du Soleil.
3- On veut placer en orbite un satellite géostationnaire de Mars.
3-1 Expliquer le terme satellite géostationnaire et décrire l'orbite de celui-ci. Calculer la hauteur à laquelle
il devrait évoluer.
3-2 Calculer la vitesse. Préciser le vecteur vitesse de lancement. Quelle est alors la nature du mouvement?
Quelle serait la trajectoire, si la vitesse de lancement était supérieure à vo?
23
(Masse de Mars: M = 6,42·10 kg, rayon de Mars r = 3398 km; temps de révolution sidéral de Mars autour
de lui même: 24,62 h)
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9
APPLICATION 1
1- Donner les coordonnées du vecteur position et du vecteur vitesse à t = 0s dans chacun des schémas
1; 2 et 3.
2- Donner la nature de la trajectoire correspondant à chaque schéma et dessiner son allure.
3- Associer l‟équation cartésienne à chaque schéma.
z= + ; z= ; z=
z z  = 60° z
0 V0
G0 G0
0
 = 30° x
G0 O
O  x O  x 
APPLICATION 2
Une balle de base-ball est lancée à 40° au-dessus du sol à une vitesse 45,7 m/s. Calculer sa
portée, en négligeant les frottements.
APPLICATION 3
Préciser le signe des plaques correspondant à chacun des schémas ci-dessous et representer le champ E:
A C F K
0 0
0 0
B D G L
q >0 q >0 q<0 q<0
APPLICATION 4
1- Un électron de charge q et de masse me est émis sans vitesse initiale à partir d‟un point A et atteint le
point B avec une vitesse VB = 20000 kms-1 (voir figure).
1.1. Donner le sens du champ .
1.2. Calculer la valeur du champ créé entre A et B. B
A
2-
Le champ est uniforme entre les deux plaques définies à partir des points A et B.O
2.1. Déterminer la tension UAB.
2.2. Représenter cette tension sur la figure précédente.
On donne -e = -1,6.10-19C ; me = 9,1.10-31kg ; d = AB =10cm
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10
EXERCICE1
Un projectile est lancé à partir du sol. Deux secondes après avoir été lancé, sa vitesse est
de 30 m/s et est inclinée de 20° par rapport à l'horizontale.
1-Donner les caractéristiques du vecteur-vitesse initiale (grandeur et orientation)?
2-Etablir les équations horaires du mouvement du projectile, deux sécondes après son lancement. On
prendra l‟origine du répère d‟espace au niveau du sol. En déduire son équation cartésienne.
3-Déterminer sa hauteur maximale.
4- Quelle est la portée du tir?
EXERCICE 2
Au cours d‟uns compétition de moto-cross, des motards doivent franchir un lac artificiel de largeur
OJ = 30 m sur leur trajet (voir figure).
C
K
A B  lac

O J L
On étudie le mouvement d‟un motard assimilé à un point matériel. De A à B le mouvement du motard est
rectiligne uniformément accéléré d‟accélération a = 5 m.s-2. Il arrive au point B avec la vitesse VB qui lui
permet d‟aborder la rampe BC pour le saut au point C.
1-Dans la phase ABC, les frottements sont négligeables, AB = BC = 10 m.
1-1 Calculer la vitesse du motard au point B, on supposera qu‟il démarre sans vitesse intiale.
1-2 Calculer l‟accélération pendant la phase BC qui lui permet d‟acquérir le double de la vitesse VB au
point C.
2 Au point C, le motard effectue le saut dans le vide avec la vitesse VC = 20 m.s-1.
2-1 Représenter le vecteur vitesse au point C et déterminer les équations horaires de son mouvement dans le
repère (O, , ) indiqué sur la figure. En déduire l‟équation cartésienne du mouvement.
2-2 Le motard peut-il franchir le lac OJ?
3 On considère qu‟il tombe au point K avec la vitesse VK = 47,51 m.s-1 et commence à freiner après
20 m. L‟ensemble des forces de freinage est assimilé à une force unique qui lui permet de s‟arrêter au
point I.
3-1 Représenter qualitativement les forces appliquées au motard sur la piste KI.
3-2 Calculer la valeur de la force .
EXERCICE 3
Dans tout l‟exercice, on négligera le poids de la particule devant toute autre force.
Une particule de charge q = 2e et de masse m = 9,62.10-27 kg, sortant d‟une chambre d‟ionisation, pénètre
avec une vitesse négligeable par un trou O1, dans l‟espace compris entre deux plaques verticales P1 et P2.
Elle en sort en O2 avec une vitesse v0 = 5,16.105 m.s-1.
1-Déterminer le signe et la valeur de la tension . On donne: e = 1,6.10-19 C.
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11
2-A la sortie de O2, la particule pénètre avec la vitesse 0 horizontale, entre les armatures A et B d‟un
condensateur, de longueur l entre lesquelles on applique une tension UAB = U0 = 220 V. On donne
AB = d = 4 cm et l = 10cm.
2.1Etablir dans le repère d‟axes Ox et Oy les équations horaires du mouvement des ions entre A et B.
2.2Montrer que la trajectoire est une parabole d‟équation y(x) = - 0,34 x2.
2.3La particule sort des plaques A et B percute un écran E au point I.
2.3.1 Justifier que la particule sort effectivement des plaques.
2.3.2 A quelle distance D des plaques A et B,
l‟écran E est-il situé ? y
A
écran E
O1 O2 0 0
O
I
P1 l D
P2 B
EXERCICE 4
Un pigeon vole horizontalement à l‟haltitude h = 1m avec une vitesse constante Vp = 4i. Un chasseur se
tiend à l‟affût en O derrière un bosquet et tire une flèche au moment où le pigeon se trouve à sa verticale
( voir figure). La flèche, supposée animée d‟un mouvement rectiligne uniforme, part avec une vitesse
initiale Vp d‟intensité Vp = 8 m.s-1 qui fait un angle  avec l‟horizontale.
1-Determiner les coordonnées des vecteurs positions de la flèche et du pigeon à l‟instant initial.
2-Determiner les coordonnées des vecteurs positions de la flèche et du pigeon au cours du temps.
3-En déduire la valeur de  pour que la flèche touche effectivement le pigeon et déterminer la postion xi du
point d‟impact. y VP
P
V0
 x
O xi xc
4-Une fois touché, le pigeon chute avec une accélération a = -10j et s‟écrase en un point d‟abscisse xc.
4-1 Montrer que la nouvelle trajectoire du pigeon est une parabole dont on déterminera l‟équation.
4-2 Déterminer xC.
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12
EXERCICE 5
Une bille ponctuelle de masse m est abandonnée sans vitesse initiale en A.Elle glisse alors sur une piste
ABCDOE réprésenté par la figure ci-dessous :
z
A
 V0
 I
B C O E
 x
M
D
On donne : m = 100g ; g = 10m.s-2;  = 25°; f = 0,2N AB = l = 2m ; r = IM =ID = 20cm BC = l’ = 1m.

1-Lors du parcours ABC, la bille est soumise à des frottements représentés par une force unique f, opposée
au vecteur vitesse de valeur f.
1.1 Déterminer l‟accélération a1 de la bille au cours de son mouvement sur le trajet AB.
1.2 Calculer sa vitesse vB à son arrivée au point B.
1.3 Calculer son accélération a2 au cours du déplacement BC.
1.4 Exprimer sa vitesse vC à son arrivée en C en fonction de g, l, f, l‟ et m. Faire l‟application numérique.
2-Lors du parcours CDO, les frottements sont supposés nuls
2.1 Etablir l‟expression de la vitesse de la bille lorsqu‟elle passe en M en fonction de g, vC,  et r.
2.2 En déduire sa vitesse aux points D et O.
3-Le raccordement est tel que la bille quitte ce point situé au même niveau que C avec le vecteur vitesse v0,
faisant un angle  = 20° avec la verticale passant par ce point. On donne v0 = 2,13 m.s-1.
3.1 Etablir, dans le repère indiqué sur la figure, l‟équation cartésienne de la trajectoire de la bille.
3.2 Déterminer les coordonnées du point de chute E de la bille.
3.3 La bille arrive au point E avec une vitesse vE. Donner les caractéristiques de vE.
EXERCIE 6
Une pétite sphère S de masse m = 5g portant une charge électrique q = +4.0-7C,

y E
part d‟un point A sans vitesse initiale et se déplace dans un espace où il y a g
-2 4 -1
à la fois les champs g et E uniformes. h = 0,5m; g = 10 ms ; E = 10 V.m . A
1-Comparer les valeurs de la force électrostatique Fe et le poids P. Conclure.
2-Etablir les équations horaires du mouvement de la sphère. En déduire h
la nature du mouvemnt.
3- Représenter l‟allure générale de la trajectoire de la sphère. O I x
4- La sphère tombe au point I à la date tI. Déterminer tI et les coordonnées du point I.
5-Reprendre les questions 2 et 3 en considérant que les deux champs ont le même sens.
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13
APPLICATION 1
La loi horaire du mouvement d‟un oscillateur est donnée (unité S.I.) par : x(t)= 0,05sin(25t-/3).
1-Determiner l‟amplitude Xm, la phase , la période T0 du mouvement et la fréquence f0 de l‟oscillateur.
2-Exprimer v(t) et préciser sa vitesse maximale.
APPLICATION 2
Etablir la loi horaire donnant l‟abscisse x(t) d‟un pendule élastique horizontal de masse m = 100g et de
raideur k = 20 N.m-1 qui passe par sa position d‟équilibre à la date t = 1 s avec une vitesse v = -2m.s-1.
APPLICATION 3
Un oscillateur vertical s‟allonge de 10 cm quand on lui accroche une masse m = 50g
1Calculer sa constante de raideur k
2Cet osciallateur effectue 10 oscillations en 26s.
2-1Calculer sa période.
2-2En déduire sa pulsation.
3-Calculer l‟énergie mécanique totale de cet oscillateur.
APPLICATION 4
L‟énergie cinétique d‟un pendule élastique horizontal est donnée par la rélation: EC = 2,5.10-3- 50x2.
En se servant de la definition de l‟énergie mécanique et de la relation précédente, déterminer les valeurs de
l‟énergie mécanique du pendule élastique et de la constante de raideur du ressort.
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14
EXERCICE 1
Un ressort élastique de masse négligeable est fixé par une de ses extrémités. On suspend à l‟autre extrémité
une masse M =500 g. La constante k du ressort est égale à 20 N.m-1.
1. Calculer l‟allongement du ressort.
2. On tire la masse verticalement vers le bas de 5 cm à partir de sa position d‟équilibre précédente et on
l‟abandonne à l‟instant t = 0 sans vitesse initiale. La masse se met à osciller verticalement. Montrer que le
mouvement de M est rectiligne et sinusoïdal. Ecrire l‟équation de ce mouvement.
3. Calculer la période T des oscillations de M.
4. A quel instant M passe-t-elle pour la première fois par sa position d‟équilibre, et avec quelle vitesse ?
EXERCICE 2
La figure ci-dessous donne le diagramme temporel de la vitesse d‟un pendule élastique horizontal de masse
m = 0,04kg.
Echelles : 1cm 0,08s

1cm 2,5m.s-1
t(ms)
1-Préciser à t = 0, la vitesse initiale et la position initiale du pendule. Justifier votre réponse.

2-Calculer la période du pendule. En déduire la raideur du ressort.
3-Déterminer les lois horaires donnant la vitesse v(t), l‟abscisse x(t) et l‟accélération a(t), tel  = 0.
EXERCICE 3
Soit un ressort élastique, à réponse linéaire, de constante de raideur k, de masse négligeable. Une de ses
extrémités est fixée en O, l‟autre est attachée à un solide S, de masse m, qui peut se déplacer sans
frottement sur une table à coussin d‟air horizontale. On réalise ainsi un pendule élastique horizontal. On
écarte le solide S d‟une distance X0 par rapport à sa position d‟équilibre et on le lâche sans vitesse initiale.
1. Exprimer à chaque instant, sous forme littérale, l‟énergie cinétique, l‟énergie potentielle et l‟énergie
mécanique du système S, en précisant l‟état de référence choisi. Que peut-on dire de l‟énergie mécanique
du système ? Pourquoi ?
2. A partir de l‟étude énergétique, établir l‟équation différentielle du mouvement du solide en prenant
comme variable l‟abscisse du solide par rapport à sa position d‟équilibre. En déduire la nature du
mouvement de S.
3. L‟étude expérimentale du mouvement montre que 25 oscillations du solide dure 8,1 s. Sachant que la
masse du solide vaut m = 200 g, en déduire la valeur numérique du coefficient de raideur k du ressort.
EXERCICE4
Un pendule élastique horizontal est constitué d‟un ressort (R) de raideur k = 50N.m-1 et de masse
négligeable, enfilé à travvers une tige, à l‟extrémité duquel est soudé un solide ponctuel (S) de masse m
pouvant coulisser sans frottement à travers la tige.
A l‟origine des dates on écarte le solide (S) de xo à partir de sa x
position d‟équilibre dans le sens positif puis on l‟abandonne avec
O
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15
une vitesse vo dans le sens positif. A un instant t quelconque, au cours des oscillations, l‟élongation du
solide est x et sa vitesse est v.
1-Donner l‟expression de l‟énergie mécanique du pendule en fonction de k, m, x et v.
2-Sachant que le système(S), (R) est conservatif, déduire l‟équation différentielle régissant les oscillations
de du solide (S).
3-Exprimer la pulsation propre ω0 et vérifier que x = xmsin(ω0t + ) est une solution de l‟équation
différentielle obtenue.
4-Le graphe de la figure ci-dessous réprésente les variations de l‟énergie potentielle élastique Ep du pendule
du pendule au cours du temps.
4-1Etablir l‟expression Ep = k 1-cos(2 t+2).
4-2Déduire l‟expression de l‟énergie mécanique en fonction de k et xm.

4-3Déterminer par exploitation du graphique et de ce qui précède xm, x0, T0 m, et vo.
4-4Déterminer graphiquement les postions pour lesquelles, la vitesse du nsolide (S) est réduite à moitié de
sa valeur acquise au npassage par sa position d‟équilibre.
EXERCICE 5 (TC uniquement)
Deux ressorts R1 et R2 de constante de raideur k1 et k2 sont reliés entre eux par un crochet B, de masse
négligeable. La masse m peut glisser sans frottement sur une tige horizontale.
1. On note x1 et x2 les élongations respectives à un instant t des 2 ressorts. Chaque élongation est
comptée à partir de la position à vide du ressort correspondant. En appliquant le théorème du centre
d'inertie au crochet B, établir la relation entre x1 et x2.
2. Exprimer x1 en fonction de k1, k2 et de l'élongation totale x des 2 ressorts (avec x = x1+x2) .De
même exprimer x2 en fonction de k1, k2 et x.
3. Exprimer la somme des énergies potentielles élastiques des 2 ressorts en fonction de k1, k2 et x.
4. En utilisant la relation traduisant la conservation de l'énergie mécanique de ce système, établir
l'équation différentielle de cet oscillateur (R1, R2, m). Exprimer sa pulsation propre 0 en fonction
de k1, k2, m.
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16
APPLICATION 1
Superposition de champs magnétiques

Deux aimants droits identiques sont placés sur le même axe selon le schéma suivant :
Chaque aimant crée au point O un champ magnétique d'intensité 4,0 mT.

1. Représenté graphiquement les deux vecteurs champs magnétiques au point O.
2. Si on néglige le champ magnétique terrestre, quelle est la valeur du champ résultant en ce point ?
3. On retourne l'aimant 1. Quelle sera la nouvelle valeur du champ résultant au point O ?
APPLICATION 2
On place une aiguille aimantée en un point P. En l'absence de tout autre aimant, elle prend l'orientation
indiquée fig. 1. Le champ magnétique terrestre est considéré comme horizontal et d'une valeur de 20μT. On
place ensuite un aimant à proximité de l'aiguille aimantée, l'axe nord-sud de l'aimant passant par P.
Celle-ci dévie alors d'un angle α = 60° comme indiqué fig. 2.
1. En déduire les caractéristiques du champ magnétique A Br dû à l'aimant en P en fonction de α.
2. Quel champ magnétique A B r serait nécessaire pour obtenir une déviation de 80° ? de 90° ?
APPLICATION 3
Une bobine de longueur l =20 cm comporte N =1000 spires de diamètre d=3cm. Elle est
traversée par un courant d‟intensité I=200 mA.
1. Peut-on considérer cette bobine comme un solénoïde ?
2. Quelle est la valeur du champ magnétique à l‟intérieur ?
3. Pour quelle valeur de I, l‟intensité du champ est-elle égale à Bh ?
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17
EXERCICE 1
On réalise l‟expérience suivante : une sonde à effet de Hall est placée au centre O d‟un solénoïde; on note
alors la valeur du champ magnétique B en en fonction de l‟intensité I du courant qui circule dans le
solénoïde. On note les résultats dans le tableau ci-dessous:
I(A) 0,50 1,00 1,50 2,00 2,50
B(mT) 34 67 102 132 168
1-Tracer l‟allure de courbe B = f(I). Echelles : 1cm pour 0,25A et 1 cm pour 20 mT.
2-Que peut-on conclure?
3-La longueur du solénoïde est l = 40cm. En déduire le nombre de spires du solénoïde.
On prendra o = 4.10-7 S.I.
EXERCICE 2
Un solénoïde de grande longueur L par rapport à son diamètre D, comporte une couche de fil à spires
jointives. Le diamètre du fil est d.
1- Exprimer en fonction de l‟intensité I du courant qui parcourt les spires, la valeur B du champ
magnétique crée par le courant au centre de la bobine. On donne: d=0.5mm.
2- Représenter sur un schéma, le sens du courant dans les spires puis la direction et le sens du
champ magnétique.
3-L‟axe D de la bobine est perpendiculaire au méridien magnétique du lieu de l‟expérience et la
composante horizontale du champ magnétique terrestre est B0 = 2 ,0.10-5 T.
Une petite aiguille aimantée SN mobile autour d‟un axe vertical et placée au centre de la bobine prend
une position d‟équilibre telle que l‟angle de la ligne des pôles SN et de l‟axe soit α = 60°.
Quelle est l‟intensité I du courant dans les spires ?
EXERCICE 3
A l‟intérieur d‟un solénoïde S1 comportant 1000 spires par mètre et parcouru par un courant d‟intensité
2 A, on a placé un solénoïde S2 dont l‟axe est perpendiculaire à celui de S1 (cf figure). Le solénoïde S2 est
formé de 200 spires régulièrement enroulées sur une longueur de 5 cm et l‟intensité du courant qui y circule
vaut 1 A.
1- Calculer l‟intensité du champ magnétique crée à l‟intérieur de chaque solénoide.
2- Déterminer les caractéristiques du vecteur champ magnétique au point O (direction, sens et norme).
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18
APPLICATION 1
Sur chacun des schémas suivants doivent figurer les trois vecteurs orthogonaux: vitesse , champ
magnétique et la force de Lorentz .
Représenter, dans chaque cas, le vecteur manquant (en respectant le type de représentation choisie).
APPLICATION 2 :
Des électrons pénètrent dans un champ magnétique  .
1. Représenter sur un schéma, , et .
2. Calculer la norme de pour V0 = 2.105 m.s-1 et B = 0,2 T.
3. Comparer F et P. Conclure. On prendra me = 1,67.10-27 kg et g =10 m.s-2.
4. Répondre aux mêmes questions si la particule est un noyau d‟hélium 24He2+ de masse m = 6,7 .10-27kg.
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19
I
O‟
(II) (III)
EXERCICE 1: DEVIATION PAR UN CHAMP MAGNETIQUE

Y
1-Des électrons de mase m et de charge q sont émis (C) (I) (A) N
sans vitesse initiale par la cathode C. 
E
1-1Preciser la nature du mouvement des électrons entre la cathode O1 M O2 O3
et l‟anode. D
1-2 Calculer leur vitesse en O1
2-A leur arrivée en O1, les électrons sont soumis sur une d
distance l (domaine II) à un champ magnétique uniforme B
de direction perpendiculaire au plan de la figure.
2-1 Preciser le sens B.
2-2 Etablir l‟expression du rayon de la trajectoire dans cette espace et calculer sa valeur.
Données: B = 2 mT.
3
3-1 Donner la nature de la trajectoire des électrons dans le domaine III.
3-2 Exprimer la déviation magnétique Y en donction de m, e, B, l, v0 et d. En déduire sa valeur.
On supposera que M se trouve au milieu du domaine II et que l‟angle  est faible.
Données: D = 40cm; l = 1cm.
EXERCICE 2: SPECTROGRAPHE DE MASSE
Le schéma répresente un spectographe de masse, vu de dessus. (I) (C1) (C2)

Des ions de masse m et de charge q 0 sont produits E
dans une chambre d‟ionisation I puis accélérés par une (A)
différence de potentiel U0 dans une chambre d‟accélération. S
1-Donner l‟expression de la vitesse des ions en S.
C1 C2
2-A leur sortie en S, les ions pénètrent dans une région où règne
un champ magnétique uniforme vertical.
2-1Préciser le sens de ce champ pour que les ions puissent (D)
atteindre la région O1O2.
2-2Montrer que le mouvement des ions est uniforme.
2-3Calculer la distance séparant les deux collecteurs en précisant lequel reçoit les ions de masse m1.
Données : U0 = 4kV; B = 1T. Le jet sortant de la chambre d‟ionisation est un mélange d‟ions 79Br- et
d‟ions 81Br- de masse m1 = 1,3104.10-25kg et m2 = 1,3436.10-25kg.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
20
EXERCICE 3:FILTRE DE VITESSE
Pour obtenir un faisceau homocinétique àl‟entrée d‟un spectromètre de masse, on place avant la chambre
de déviation un dispositi schématisé par la figure ci-dessous.
Les particulesz chargées, de vitesse v dirigée selon l‟axe xx‟sont soumises simultanement au champ
électrique E créé par les plaques et à un champ magnétique B orthogonal à E.
1-On observe que certaines particules ne sont pas déviées. Montrer que leur vitesse vaut v0 = E/B.
En déduire sa valeur.
2-Expliquer comment sont déviées les particules de vitesses supérieures à v0 et celles de vitesses
inférieures à v0. y
E v0 v0 x
B
EXERCICE 4 : LE CYCLOTRON
Un cyclotron est constitué de deux boîtes

Demi-cylindriques D et D‟ à l‟intérieur desquelles
règne un champ magnétique B.
Entre les deux boites on établit une tension
alternative u. Ses ions positifs sont injectés en O
avec une vitesse négligeable. (D‟) O (D)
1-Exprimer et calculer l‟énergie cinétique des ions à
leur première arrivée en D‟.
Données : q = 2e ; m = 0,3310-25 kg ; U = 100 kV.
2-Les ions pénètrent dans D‟ ; donner la nature de
leur mouvement ultérieur; exprimer le rayon R1
de leur trajectoire en fonction de B, e, U et m.
Données B = 1T.
3-Les ions ressortent de D‟ et sont accélérés à nouveau par la tension u.
3-1 Etablir l‟expression de leur énergie cinetique et de leur vitesse à l‟entrée en D;
3-3 Exprimer le rayon de la trajectoire des ions dans D.
3-4 Genéraliser: donner l‟expression du rayon de la trajectoire en fonction de R1 ( puis de B, e, U et m) et
du nombre n de passages entre D et D‟.
3-5 Calculer la durée d‟un demi tour; en déduire la fréquence de la fréquence de la tension alternative U.
3-6 Le rayon du cyclotron est de 49,5 cm ; calculer le nombre total de tours décrits par les ions et leur
énergie à la sortie du cyclotron.
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21
APPLICATION 1
Un conducteur de longueur l, est parcouru par un courant d‟intensité I. Le conducteur entièrement plongé
dans un champ magnétique uniforme est soumis à la force de Laplace .
Sur chacun des schémas ci-dessous représenter le vecteur qui manque.
c)
b)
a)
I I
B F F
. B
APPLICATION2
On considère les rails de Laplace (dispositif vu en cours) que l‟on regarde par le dessus.
1- Tracer sur le schéma la force de Laplace qui agit sur la barre CD pour que celle-ci se
déplace vers la droite.
2- Donner l‟expression de cette force en fonction de I, B et de la distance l qui sépare les deux
rails.
3-Calculer le module de la force de Laplace si le module de B est de 100 mT.
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22
EXERCICE 1 : TIGE DE LAPLACE

1- Un fil de cuivre rigide, rectiligne, homogène, de longueur R est susceptible de se mouvoir dans un
plan vertical, autour d‟une de ses extrémités. L‟autre extrémité plonge dans un bac de mercure qui
permet de maintenir le contact électrique avec un générateur de tension continue.
L‟intensité du courant électrique dans le circuit est I. Le dispositif peut être plongé dans un champ
magnétique uniforme , horizontal et orthogonal au plan de la figure.
1-1 Que se passe-t-il lorsque :

1-1-1 I = 0, B  0 ;
1-1-2 I  0, B = 0 ;
1-1-3 I  0, B  0 ?
1-2 Modifie-t-on quelque chose quand on permute les bornes du générateur ?
1-3 On néglige la longueur de la partie de la tige située dans le mercure et l‟on admet d‟autre part que la
ligne d‟action de la force électromagnétique passe par le milieu de la tige.
Calculer la déviation angulaire de la tige quand elle atteint sa position d‟équilibre dans le cas où I = 6A ;
B = 0,02 T ; R = 10 cm. Le poids de la tige est égal à 8.10-2 N.
2-Soit le dispositif suivant : une roue mobile autour d‟un axe horizontal  constituée de rayons rigides en
cuivre de longueur R régulièrement répartis. Le dispositif est plongé dans un champ magnétique uniforme B.

2-1 Expliquer pourquoi on observe un mouvement de rotation. Préciser son sens.

2-2 La vitesse de rotation est 90 tours/ minute. Calculer la puissance développée par la force
électromagnétique, supposée appliquée au milieu d‟un rayon. On donne : B = 2.10-2 T; R =10 cm I =10A
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23
EXERCICE 2 : RAILS DE LAPLACE
Deux rails conducteurs rectilignes sont disposés horizontalement, parallèles S

entre eux et sont distants d'une longueur L=10cm. Une tige de cuivre cylindrique
de masse m =30g est libre de rouler sur ces deux rails et assure entre eux un contact
électrique. La résistance électrique du circuit ainsi formé est négligeable. Cette tige N
est placée dans l'entrefer de l'aimant en U qui crée un champ magnétique uniforme
et vertical autour de la tige. Sa valeur est B = 100 mT. Les deux rails sont reliés
aux bornes d'un générateur continu de force électromotrice E=12V et de résistance interne r = 10 Ω.
1- Faire le schéma du dispositif en indiquant le sens du courant, du champ magnétique, de la force de
Laplace.
2- Exprimer et calculer l'intensité I du courant dans la tige.
3- Exprimer et calculer l‟intensité de la force de Laplace qui s'exerce sur la tige.
4- En appliquant le théorème du centre d‟inertie, montrer que le mouvement de la tige est rectiligne et
uniformement varié. On négligera le phénomène d‟induction dû au mouvement de la tige.
5- En supposant que la tige démarre sans vitesse initiale, déterminer le temps mis pour parcourir une
distance de 5cm sur les rails.
EXERCICE 3 : BALANCE DE COTTON

On se propose de déterminer la valeur du champ magnétique dans l‟entrefer d‟un aimant en U. Pour cela
on utilise le dispositif de la balance de Cotton. On place différentes masses marquées dans le plateau et on
détermine l‟intensité I du courant nécessaire pour rétablir l‟équilibre. On obtient le tableau suivant :
I(A) 0,74 1,50 2,35 3,20 3,90 4,80
m (mg) 5 10 15 20 25 30
1- Indiquer sur le schéma le sens de B crée par l‟aimant.

2- Montrer que les forces de Laplace s‟exerçant sur les portions AB et CD n‟ont aucune action sur
l‟équilibre de la balance.
3- Déterminer l‟expression de I en fonction de B, v, g et m.
4- A partir du tableau, tracer la courbe I = f (m).
5- Déduire de cette courbe la valeur de B du champ magnétique.
On donne g = 10m.s-2 ; l = BC = 2,9 cm. Echelles : 2cm 5mg 2 cm 0,75 A
B
A

Zone d‟action B I
 C
de B D
I
ℓ m
l l
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24
APPLICATION 1
Dans chacun des cas ci-dessous, lors du déplacement de l‟aimant ou de la bobine :

1 Dessiner le champ magnétique B créé par l’aimant
2 Dessiner le champ magnétique induit Bind crée.
3 En déduire si la face F de la bobine présente un pôle nord ou un pôle sud.
APPLICATION 2
Dans les cas suivants :
1 Dessiner le champ magnétique induit Bind crée par le courant induit indiqué.
2 En déduire si il s‟agit d „un éloignement ou d‟un rapprochement.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
25
EXERCICE 1
Une spire de rayon a = 10cm et de resistance r = 5 ( voir figure) est plongée dans un champ magnétique
constant en direction et sens et de valeur B = 100t2.
1-Représenter le vecteur surface.
2-Etablir l‟expression du flux magnétique Φ(t) à travers la spire.
3-Calculer la variation du flux Φ pendant l‟intervalle  0, 2s. En déduire le sens du courant induit.
4-Calculer la valeur moyenne de la f.e.m induite emoy pour t   0, 2s
5-Calculer à l‟instant t = 0,5s, la f.e.m induite et le courant induit i.
M
EXERCICE 2
La résistance de la tige est supposée négligeable.
R2
On réalise le dispositif correspondant au schéma suivant:  R1
V
1. Quels sont les courants induits dans chaque résistance?
2. Quelle est l‟intensité du courant qui traverse la tige MN?
3. Quelle force faut-il exercer pour la maintenir en mouvement uniforme? N
On donne : B = 0,1 T, v = 3 m.s-1, R1 = 5 et R2 = 10 .
EXERCICE 3
Un solénoïde possède deux enroulements entrelacés de rayon commun R = 5cm et de longueur
l = 41,2cm. Le nombre de spires de l‟enroulement (1) est N1 = 600 spires et celui de l‟enroulement (2) est
N2 = 300 spires. On fait passer un courant d‟intensité variable dans l‟enroulement (1).
(Voir figure ci-dessous).
1-Donner l‟expression du champ magnétique au centre de l‟enroulement (1) en fonction de µo, N1, l et i
l‟intensité du courant.
2-Exprimer le flux magnétique à travers l‟enroulement (2) en fonction de µo, N1, N2, R, l et i.
3- Ecrire l‟expression précédente sous la forme Φ = a.i. Avec a une constante que l‟on calculera.
4.
4.1-Enoncer la loi de Faraday puis exprimer la f.é.m. induite dans l‟enroulement (2).
4.2-Calculer les valeurs de la f.é.m. induite dans l‟intervalle de 0 à 40 ms.
5-Représenter la f.é.m. induite en fonction du temps dans l‟intervalle de 0 à 40ms.
i (A)
0,4
t (ms)
0 10 20 30 40
-0,4
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
26
APPLICATION 1
On considère le montage ci-dessous.
R
On veut visualiser à l‟aide d‟un oscilloscope bicourbe la

GBF tension aux bornes du générateur GBF sur la voie A et
Bobine
l‟intensité qui traverse le circuit sur la voie B.
1-Reproduire le schéma avec tous les branchements nécessaires
K représenter les grandeurs électriques observées sur la voie A et
sur la voie B.
2-Donner l‟allure des oscillogrammes obtenus.
3-Quel est le rôle de la bobine ?
4-Quel phénomène physique a-t-on mis en évidence dans cette expérience ?
APPLICATION 2
i(mA)
L‟intensité du courant dans une bobine d‟inductance
L = 0,1 H varie en fonction du temps comme indiqué
120
sur le graphique ci-contre.
1. Ecrire l‟expression de la f.e.m d‟auto-induction e.
2. Calculer la f.e.m. entre 0 ms et 5 ms.
3. Représenter graphiquement la variation de e
au cours du temps.
0 3 5 8 10 t(ms)
APPLICATION 3
1. Décrire une expérience qui permet de mettre en évidence le phénomène d'auto-induction
2. Expliquer l'origine de la force électromotrice auto-induite.
3. Une bobine d'inductance L = 50 mH et de résistance interne r = 20  est parcourue par un courant
d'intensité croissante i(t) = 20 t + 2. Calculer pour t = 0,1 s la valeur de :
3.1 la f.é.m. auto-induite
3.2 la tension aux bornes de l'inductance.
3.3 l'énergie magnétique emmagasinée dans la bobine
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
27
EXERCICE 1
Un circuit en série se compose d‟un générateur de f.é.m. eo = 20V et de résistance interne négligeable, d‟un
interrupteur et d‟une bobine d‟inductance L et de résistance r (fig.a).On ferme l‟interrupteur à l‟instant t = 0
s. On enregistre les variations de l‟intensité i du courant en fonction du temps (fig .b).
Le coefficient directeur de la tangente à l‟origine est 40 S.I.
Au bout de t = 0, 2 s, on peut considérer que le courant est établi, son intensité étant constante et égale à
2A.
1- A l‟aide de la représentation graphique, préciser le sens de variation de la valeur absolue de la f .e.m e
d‟auto induction.
2- Déterminer à l‟instant de la fermeture, lorsque l‟intensité est pratiquement nulle, la valeur absolue de
e. En déduire l‟inductance L de la bobine.
3- Calculer la valeur de e lorsque t  0,2 s. En déduire la résistance r de la bobine.
tangente
i (A)
E
i 
(L ,r) K
t(s)
0 0, 2
fig. a fig. b
EXERCICE 2
On branche en série, aux bornes d‟un générateur, un conducteur ohmique de résistance R =100 Ω et une
bobine d‟inductance L et de résistance négligeable (voir figure 1).
Les tensions u1 et u2 sont appliquées aux voies
d'un oscilloscope. On obtient sur l‟écran les
oscillogrammes suivants (voir figure 2).
L‟oscilloscope est réglé de la façon suivante :
 Base de temps : 1 ms/div
 Voie 1 : 1 V/div
 Voie 2 : 0,5 V/div
En l‟absence de tension, les traces du spot sont
figure 1
confondues avec l‟axe horizontale graduée.
1. La tension u1 détectée sur la voie 1 est-elle
uCA ou uAC ? Exprimer u1 en fonction de R et i. 
2. La tension u2 détectée sur la voie 2 est-elle
uAB ou uBA ? Trouver la relation entre
L, R, u2 et .
3. Pourquoi la tension u2 est-elle rectangulaire
avec deux créneaux non symétriques 
(de hauteurs différentes) ?
Pourquoi cette tension est-elle négative lorsque
La tension u1 croît ?
4. Calculer l‟inductance L de la bobine.
5. Calculer l‟énergie maximale emmagasinée dans la bobine. figure 2
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28
APPLICATION 1
1-Un condensateur de capacité C = 10-5 F est initialement chargé sous une tension constante Uo.
A l‟instant initial t = os, il est connecté aux bornes d‟une bobine d‟inductance L.
1.1-Faire le schéma du montage.
1.2-Quel phénomène se produit-il entre le condensateur et la bobine ?
2-Un oscilloscope à mémoire permet d‟obtenir
l‟oscillogramme ci-dessous.
2.1-Interpréter l‟allure de ce graphe.
Que peut-on dire de l‟énergie électrique du circuit ?
2.2-Mesurer la pseudo période T des oscillations.
2.3-A quel phénomène électrique est dû
l‟amortissement des oscillations ?
2.4-Calculer la valeur numérique de l‟inductance L
base de temps : 5 ms / div
APPLICATION 2
Un condensateur de capacité C = 1µF initialement chargé sous une tension UAB = 20 V, est branché aux
bornes d‟ une bobine d‟inductance L= 40 mH.
1- Calculer la charge maximale Qm du condensateur.
2- Calculer la fréquence propre N0 du circuit ainsi réalisé.
3- En déduire l‟intensité maximale Im du courant qui traverse ce circuit.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
29
EXERCICE 1
1- Un condensateur de capacité C, est chargé sous une tension constante U. On réalise le montage suivant :
1 K 2
Voie A
La voie A d‟un oscilloscope est branchée aux bornes du condensateur.

L a base de temps de l‟oscilloscope est en service. Le condensateur a
une capacité C = 0,1 F et la bobine a une inductance L inconnue .On
place l‟inverseur K en position 1. Que se passe-t-il pour le
condensateur ? On place ensuite K en position 2 .On observe alors sur
l‟écran la courbe suivante. Echelle : 1 carreau pour 1 V (vertical)
1 carreau pour 0,2 ms (horizontal)
1.1Quel phénomène représente-t-elle ?

1.2Quelle est la valeur de la pseudo-période ?
L‟amortissement étant très faible, on le considère comme négligeable dans la suite de l‟exercice.
2-
2.1En déduire l‟expression de la charge q(t) du condensateur ainsi que celle de l‟intensité i(t) du
courant. On prendra l‟origine des dates à l‟instant où q prend sa valeur maximale.
2.2Tracer les représentations q =f(t) et i = g(t).
2.3Exprimer l‟énergie emmagasinée dans le condensateur d‟une part et dans la bobine d‟autre part.
Représenter graphiquement leurs variations en fonction du temps.
2.4Calculer l‟énergie totale du circuit.
EXERCICE 2
On étudie les oscillations électriques d'un dipôle constitué d'un conducteur ohmique de résistance R, d'une
bobine inductive d'inductance L= 9 mH, de résistance r=2  et d'un condensateur de capacité C=20 F. On
enregistre la tension u aux bornes du condensateur à l'aide d'un ordinateur.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
30
On appelle q la charge de l'armature A du condensateur et i l'intensité du courant arrivant sur l'armature
A. Le condensateur étant chargé, on ferme l'interrupteur K et l'enregistrement débute.
On effectue trois enregistrements de u pour les valeurs de Rf = R+r égales à 2 , 12, 70.
1-Attribuer à chaque courbe la valeur de la résistance totale du dipôle. Justifier.
2-On souhaite modéliser la courbe de variation de u au cours du temps. On se place dans le cas où la
résistance totale est nulle, toutes les autres variables étant inchangées.
- Etablir l'équation différentielle vérifiée par la charge q au cours du temps.

dans la suite de l'exercice on considère que la solution de l'équation différentielle précédente est du
type : q = q0 cos (t) avec =
3-On souhaite comparée la période théorique et la période expérimentale. La période théorique est
T0 = 2
- Calculer la période théorique des oscillations.
- Déterminer à partir de l'enregistrement correspondant au règime le moins amorti, la valeur de la
pseudo-période.
- Comparer ces valeurs.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
31
EXERCICE 1
On applique à un montage dérivateur une tension d‟entrée uE sinusoïdale: uE = 4 sin 500 πt (t en secondes,
u en volts).
1. Compléter le tableau ci-dessous:
t(ms) 0 0,2 0,4 0,6 … 3,6 3,8 4
uE(V)
uS(V)
R = 30 kΩ ; C = 5 nF.
2. Sur une même feuille de papier millimétrée, représenter les variations de uE et de uS en fonction de t.
Echelle : 1 ms ↔ 5 cm ; 1 V ↔ 1 cm.
EXERCICE 2
On applique à un montage dérivateur tel que R = 20 kΩ et C = 10 nF, une tension d‟entrée uE dont les
variations sont représentées sur la figure ci-dessous.
uE
0 t(ms)
2 ms 1 ms
1-Représenter les variations de la tension de sortie.
2-On augmente l‟amplitude de uE. A partir de quelle valeur de cette amplitude l‟A.O. sature-t-il?
On donne VSat = 13 V.
EXERCICE 3
0n réalise le montage électronique ci dessous :
C
R
-
Ue + US
BF
1. Ce montage est-il un montage intégrateur ou dérivateur? Justifier votre réponse succinctement en

considérant l‟AO comme parfait.
2. Avec un oscillographe à deux voies, on veut observer la tension aux bornes du générateur BF et la
tension de Us. A l‟aide d‟un schéma clair indiquer le mode de branchement de l‟oscillographe
3. A la sortie S, on observe le signal ci-dessous. Quelle est la période de ces oscillations? Dessiner le
signal observé à la sortie.
Ue(V)
2,2
0.5 1,5 2.5 3.5 t(ms)
- 2,2
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
32
APPLICATION 1
On réalise un circuit serie comprenant un conducteur ohmique de resistance R, une bobine de resistance
interne r, d‟inductance L et un condensateur de capacité C, alimenté par un générateur de basse fréquence.
Faire le schema de ce circuit en y ajoutant les bornes d‟un oscillocope bicourbe permettant de visualiser la
tension aux bornes du générateur et l‟intensité du courant qui traverse ce circuit.
APPLICATION 2
Les schémas ci-après représentent trois oscillographes. Préciser dans chaque cas :
1-La courbe en avance ou celle en retard.
2-Les amplitudes U1m et U2m.
3-Les tensions efficaces correspondantes U1 et U2.
4-La période T, la fréquence N et la pulsation ω des tensions.
5-On donne: u1(t) = U1m cos (ωt ). Détermine : u1(t) et u2(t).
fig 1 fig 2 fig 3

u1 u1 u1
u2
u2 u2
u1 (voie A) : 10V/div ; u2 (voie B) : 5V/div ; balayage : 2ms/div.
APPLICATION 3
Un générateur impose aux bornes d‟un dipôle une tension u = 25cos100t. (en V et t en s). L‟intensité du
courant qui traverse ce dipôle est de la forme : i = 0,5cos(100t-/4). (i en A)
1- Calculer l‟intensité efficace et la tension efficace aux bornes de ce dipôle.
2- Déterminer la fréquence du courant.
3- Donner la phase de tension par rapport à l‟intensité du courant. En déduire la phase de l‟intensité
par rapport à la tension.
4- Calculer l‟impédance Z du circuit
APPLICATION 4
Un circuit est constitué d‟une résistance R = 200, d‟une bobine d‟inductance L = 0,1H et de résistance
nulle et d‟un condensateur de capacité C = 1F. Il est alimenté par un générateur B.F. qui délivre à ses
bornes une tension sinusoïdale u de fréquence 250Hz et de valeur efficace U = 5V.
1- Calculer l‟intensité I du courant dans le circuit.
2- Calculer les tensions efficaces UR, UB et UC, respectivement aux bornes de la résistance R, de la
bobine et du condensateur. Comparer la somme UR+UB+UC à U et conclure.
3- Calculer les impédances Z, ZR, ZB et ZC. Comparer ZR+ZB+ZC à Z et conclure.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
33
EXERCICE 1
On réalise un circuit fermé comportant (figure 1):
- un générateur G de tension sinusoïdale
- un conducteur ohmique de résistance R = 40 
- un condensateur de capacité C.
Pour analyser ce circuit on utilise un oscillographe bicourbe, on observe sur l‟écran
d‟un oscilloscope les deux courbes uR et u représentées ci-dessous sur la figure 2 :
1. Indiquer sur un schéma le branchement permettant de visualiser uR sur la voie 1 et u sur la voie 2.
Expliquer pourquoi uR est “ l‟image ” de l‟intensité du courant dans le circuit.
2. A partir des courbes observées sur l‟écran :
2.1. Déterminer la période T de la tension d‟alimentation ; en déduire la fréquence f.
2.2. Déterminer la phase u/i entre la tension u et l‟intensité i du courant passant dans le circuit.
2.3. La tension uR est-elle en avance ou en retard sur la tension u ? Justifier.
En déduire le signe de u/i.
3. A partir des courbes observées sur l‟écran :
3.1. Donner les valeurs maximales de u et uR
En déduire les valeurs efficaces U et UR de u et uR, puis la valeur efficace I de i.
3.2. Écrire les expressions i(t) et u(t) de l‟intensité i du courant et de la tension u en fonction du temps,
en prenant l‟intensité i comme référence.
3.3. Calculer numériquement l‟impédance Z du dipôle (R, C).
4.
4.1. Construire la représentation de Fresnel du circuit (R, C) [ échelle: 1cm pour 1 V ]
4.2. A partir de cette représentation :
• déterminer la réactance X du condensateur, en déduire sa capacité
• établir la relation donnant cos  en fonction de R et Z.
EXERCICE 2
On considère trois dipôles : un conducteur ohmique de résistance R, un condensateur de capacité C et une
bobine de résistance r et d‟inductance L, enfermés dans trois boites différentes.
1- On branche successivement ces trois dipôles sur une alimentation continue délivrant une tension de
12V. On mesure l‟intensité du courant (en régime permanent). On obtient les résultats suivants :
- Pour la boite1 I1 = 0
- Pour les boites 2 et 3 I2 =I3 = 240mA.
Quelles sont les conclusions que l‟on peut tirer de ces résultats ?
2- On branche successivement ces trois dipôles sur une alimentation alternative délivrant une tension
efficace de 24V de fréquence 50Hz.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
34
On mesure l‟intensité efficace du courant traversant chaque dipôle .On obtient :

- Pour la boite1, I1 = 75mA ;
- Pour la boite2 I2 = 480mA ;
- Pour la boite3 I3 = 406mA.
2-1 Calculer les impédances des trois dipôles.
2-2 Préciser le contenu de chacune des boites. Déterminer les valeurs de L et de C.
3- On monte ces dipôles en série. On alimente ce circuit(R, L, C) en courant alternatif de tension
efficace 24V et de fréquence variable.
3-1 Pour quelle fréquence l‟intensité et la tension seront-elles en phase ?
3-2 Calculer alors la valeur de l‟intensité efficace correspondante.
EXERCICE 3
Un circuit comprenant une résistance R, une inductance pure L, un condensateur C montés en série, est
alimenté sous une tension alternative sinusoïdale, de valeur efficace U de fréquence réglable.
Données : U = 2,00 V ; R = 14,0 Ω; L = 69,6 mH; C = 10,0 F.
1.
1.1 Pour une pulsation ω correspondant à une fréquence f, exprimer l‟impédance Z du circuit, l‟intensité
efficace I du courant et la phase Φu/i de la tension d‟alimentation par rapport au courant.
Calculer Z, I et Φu/i si f = 175 Hz.
1.2 Donner les expressions de u(t) et de i(t) ; on prendra i comme référence pour la phase.
2.
Pour des fréquences variant de 90 à 300 Hz, on relève les valeurs correspondantes de l‟intensité
efficace du courant :
f (Hz) 90 120 150 160 170 180 185 190 195 200 210 250 300
I (mA) 14,
22,8 38,5 60,4 83,2 116,3 132,7 142,5 141,7 135,4 93,5 40,9 25,7
9
2.1 Tracer la courbe représentant I en fonction de f, sur papier millimétré avec les échelles suivantes :
1 cm pour 20 Hz et 1 cm pour 10 mA. On portera un soin tout particulier à cette représentation
graphique.
2.2 Déterminer graphiquement la fréquence f0 et l‟intensité efficace I0 du courant correspondant à la
résonance.
2.3 Calculer ces valeurs et comparer à celles déterminées graphiquement.
3.
3.1 Pour la fréquence de résonance f0, donner l‟expression littérale de la tension efficace UC aux
bornes du condensateur.
3.2 Montrer que cette tension peut se mettre sous la forme UC = QU où Q est indépendant de U.
3.3 Q est appelé le coefficient de surtension. Indiquer un autre nom possible pour Q.
3.4 Calculer numériquement Q et UC.
3.5 Indiquer l‟inconvénient que peut présenter le phénomène de surtension.
4- On appelle bande passante en fréquence l‟intervalle de fréquence pour lequel l‟intensité efficace I est
I0
supérieure ou égale à .
2
4.1 Déterminer graphiquement la bande passante B = f2 – f1, f2 et f1 étant les fréquences pour
I0
lesquelles I =
2
f0
4.2 Comparer cette largeur de la bande ainsi déterminée à celle calculée à partir de la relation B = Q
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
35
EXERCICE 1
Les niveaux d‟énergie quantifiée de l‟atome d‟hydrogène sont données par la relation En = - 13.6 /n2 avec
En en eV et n entier supérieur ou égal à 1.
1- Quelle est l‟énergie d‟ionisation d‟un atome d‟hydogène ?
2- Quelle est l‟énergie cinétique minimale capable de provoquer par choc l‟excitation d‟un atome
d‟hydrogène de son état fondamental (n=1) à son 1er niveau excité (n=2) ?
3- L‟atome d‟hydrogène précédemment excité revient à l‟état fondamental n = 1 avec émission d‟une
onde lumineuse. Quelle est sa longueur d‟onde ?
4-Etablir la relation littérale donnant la fréquence des ondes lumineuses émises lorsque des atomes
d‟hydrogène préalablement excités, passent d‟un état d‟énergie caractérisées par n supérieur à 2 à l‟état
n = 2.
5- Calculer la plus grande longueur d‟onde des ondes lumineuses émises dans ce cas.
EXERCICE 2
1. Enoncé les lois de conservation que doivent vérifier les équations nucléaires
2. Le tantale 174 est radioactif   . Le noyau fils obtenu est dans un état excité : il retrouve spontanément
son état fondamental en émettant un rayonnement 
Ecrire l‟équation de désintégration du tantale 174. Ecrire l‟équation de l‟émission  qui s‟en suit.
EXERCICE 3
1. Définir la demi-vie d‟une source radioactive
2. Quelle relation relie la demi-vie et la constante radioactive d‟un échantillon ?
3. Ecrire la loi de décroissance radioactive, caractérisant l‟évolution temporelle du nombre N de noyaux
radioactifs contenus dans un échantillon
4. Définir l‟activité A d‟une source radioactive. Quel est le lien entre A(t) et le nombre de noyaux
radioactifs à l‟instant t considéré ?
EXERCICE 4
1. Au bout de quelle durée la quantité initiale de noyaux radioactifs a-t-elle été divisée par 8 ?
2. la demi-vie d‟un échantillon est 3,8x105 ans. Calculer la valeur de sa constante radioactive dans l‟unité
du système international.
3. une source radioactive de demi-vie 65,0 jours comporte 1,256x1021 noyaux radioactifs à un instant
t0 = 0
Calculer l‟activité de cette source à l‟instant t0 = 0
Calculer le nombre de noyaux radioactifs restant à la date t1 = 17 h
Calculer la date t2 où l‟échantillon ne contient plus que 5,0x1015 noyaux radioactifs
EXERCICE 5
Le laboratoire d‟un lycée possède une source contenant du césium 137. L‟activité initiale de cette source
est A0 = 1,5x105 Bq. Le césium 137 est radioactif de type  , sa demi-vie est de 30,2 ans
1. Ecrire l‟équation de da désintégration du césium 137
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
36
2. Calculer la constante radioactive du césium 137
3. Calculer la masse initiale m0 de césium 137 dans cette source
4. Calculer l‟activité de cette source 3 ans plus tard
5. Cette source n‟est plus utilisable lorsque son activité devient inférieure 0,3x105 Bq. Déterminer la
durée pendant laquelle elle est encore utilisable. Quelle est alors la masse de la source ?
EXERCICE 6
Données (valables pour tout l‟exercice) :

Unité de masse atomique = 1,660 54.10-27kg
Energie de masse de l‟unité de masse E=931,5 MeV
atomique
Vitesse de la lumière dans le vide = 3,00.108 m s-1
Nom du noyau ou Radon Radium Hélium Neutron Proton Electron

De la particule
222 226 4 1 0 O
Symbole 86 Rn 88 Ra 2 He 0 n 1 p -1 e
Masse (en ) 221,970 225,977 4,001 1 ,009 1,007 5,49.10-4
L‟air contient du radon 222 en quantité plus ou moins importante. Ce gaz radioactif naturel est issu des
roches contenant de l‟uranium et du radium. Le radon se forme par désintégration du radium (lui-même
issu de la famille radioactive de l‟uranium 238), selon l‟équation de réaction nucléaire suivante :
88 Ra  86Rn 2He
226 222 4
()
1. Quel est le type de radioactivité correspondant à cette réaction de désintégration ? justifier votre
réponse.
2. Défaut de masse
a-Donner l‟expression littérale du défaut de masse du noyau de symbole et de masse .
b-Calculer le défaut de masse du noyau de radium Ra. L‟exprimer en unité de masse atomique .
3. Ecrire la relation d‟équivalence masse-énergie.
4. Le défaut de masse (Rn) du noyau de radon Rn vaut 3,04.10-27 kg.
a-Définir l‟energie de liaison E d‟un noyau.
b-Calculer, en joule, l‟énergie de liaison E (Rn) du noyau de radon en MeV
c-En déduire l‟énergie de liaison par nucléon E /A du noyau de radon. Exprimer ce résultat en
MeV nucléon-1.
5. Bilan énergétique
a-Etablir littéralement la variation d‟énergie de la réaction ( ) en fonction de , et ,
masses respectives des noyaux de radium, de radon et d‟hélium.
b-Exprimer E en joule.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
37
APPLICATION 1
1. Ecrire l‟équation traduisant la dissolution dans l‟eau du sulfate de sodium Na2SO4
2. La concentration en soluté apporté du sulfate de sodium est c = 0,15 mol·L-1.
2-1 Calculer la concentration massique du sulfate de sodium.
2-2 Quelles sont dans la solution, les concentrations des ions Na+(aq) et SO42- (aq) ?
On donne en g.mol-1 Na = 23; S = 32; O = 16.
APPLICATION 2
On dilue 100 fois une solution aqueuse. Pour cela on dispose de la verrerie suivante: pipettes 10mL, 20mL
et 25mL; fiole jaugées 100mL, 250mL et 1000mL et une pissette contenant de l‟eau distillée.
1. Indiquer de manière précise le mode opératoire.
2. La concentration de la solution diluée est C = 0,1mol.L-1. En déduire la concentration de la solution
initiale.
APPLICATION 3
Une solution aqueuse S a une concentration C.
On veut préparer à partir de la solution S, une solution S‟ de concentration C‟ = .
1-Quel volume d‟eau faut-il ajouter à 25 cm3 de la solution S ?
2- Comment appelle-t-on cette opération? Indiquer précisément le mode opératoire
APPLICATION 4
Les pH de coca cola et de l‟eau minérale sont respectivement 2,6 et 6,1 à 25° C.
1-Calculer pour chacune de ces boissons, les concentrations molaires en ion H3O+ et OH-.
2- Calculer les quantités d‟ ions H3O+ et OH- dans 150 cm3 de chacune d‟elles.
APPLICATION 5
A 60°C le pH de l‟eau pure est 6,5. Calculer les concentrations des ions hydronium et hydroxyde à cette
température. Calculer le produit ionique de l‟eau à cette température.
APPLICATION 6
Compléter le tableau suivant. Les boissons sont prises à 25°C. On donne Ke = 10-14
Boissons pH [H3O+](mol.L-1) [OH-](mol.L-1) Nature de la solution
Bière 4,2
Eau pure neutre
-12
Coca-Cola 3,16.10
Eau de javel 10-10
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
38
EXERCICE 1
1- Quel volume de chlorure d‟hydrogène (mesuré dans les CNTP) faut- il dissoudre dans 50 mL d‟eau
pour obtenir une solution de pH = 4 ?
2- On ajoute 0,585g de chlorure de sodium à la solution précédente puis on complète avec de l‟eau à 1L.
2-1 Calculer les concentrations molaires des différentes espèces contenues dans la solution.
2-2 Vérifier l‟électroneutralité du mélange obtenu.
EXERCICE 2
A 25°, une solution aqueuse contient des ions hydronium et hydroxyde tel que : OH-/H3O+ = 6,5
1- La solution est-elle acide ou basique? Justifier votre réponse.
2- Calculer les concentrations en ions hydronium et hydroxyde de cette solution;
3- En déduire le pH de cette solution.
EXERCICE 3
Le pH d‟une solution très dilué de potasse KOH est égal à 9,2.

1- En déduire la concentration molaire des différentes espèces présente dans la solution
2- Etablir un tableau des espèces majoritaires, minoritaires et ultra minoritaire dans ce milieu.
EXERCICE 4
Dans une fiole jaugée, on place 8,33g de chlorure de calcium CaCl2; 0,146g de chlorure de sodium NaCl et
0,278g de chlorure de plomb PbCl2. On complète à 250ml avec de l‟eau distillée. La dissolution des solides
introduits est totale et ceux-ci existent en solution exclusivement sous forme d‟ions.
1-Ecrire les 3 équations de dissociation des composés ioniques ci-dessus;
2+ - 2+
2- Calculer le nombre de moles d‟ions Ca ; Cl ; Na+ ; Pb apportés par chacune des solutions.
3-En déduire la concentration de chacun des ions dans le mélange.
4-Donner le pH de ce mélange à 25°. Justifier votre réponse.
EXERCICE 5
On dispose d‟une solution aqueuse de nitrate de potassium KNO3 à 0,5 mol .L-1, d‟une solution aqueuse de
nitrate de calcium Ca (NO3)2 à 0,8 mol. L-1, d‟une solution aqueuse de chlorure de potassium à 1 mol. L-1,
et de chlorure de magnésium cristallisé, de formule : Mg Cl2, 6H2O. On souhaite préparer un litre de
solution finale contenant les ions Mg2+, Ca2+, K+,
NO-3 et Cl- tels que : [Mg2+] = 0,2 mol. L-1; [NO-3] = 0, 25 mol. L-1; [Ca2+] = 0, 1 mol. L-1; [K+] = 0, 25 mol. L-1.
1-Ecrire l‟équation bilan de la réaction de dissolution de chaque soluté dans l‟eau.
2-Déterminer les volumes des solutions et la masse de solide à mélanger pour préparer cette solution finale,
que l‟on complète à 1 L avec de l‟eau distillée.
3-Calculer directement la concentration [Cl-].
4-Vérifier l‟électroneutralité de la solution.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
39
.
APPLICATION 1
A partir de deux schémas annotés, montrer que la solution aqueuse d‟acide chlorydrique contient des ions.
APPLICATION 2
Une solution aqueuse fait bleuir un papier pH. Un clou imbibé de cette solution, rend jaune une flamme
d‟un labo gaz.
1 Identifier les constituants de cette solution.
2 Proposer un nom à cette solution.
3 Proposer deux schemas de cette expérience.
APPLICATION 3
Ecrire les équations bilan de réactions de dissolution dans l‟eau des composés chimiques suivants et
préciser s‟il s‟agit d‟un acide fort ou d‟une base forte:
Bromure d‟hydrogène; acide nitrique; sulfure d‟hydrogène; acide sulfurique, acide phosphorique;
hyfroxyde de potassium; hydroxyde de calcium; éthanolate de sodium.
APPLICATION 4
On dissout 2,4mL de chlorure d‟hydrogène gazeux dans les conditions normales de température et
pression dans 500mL d‟eau pure.
1-Calculer la concnetration molaire volumique du chlorure d‟hydrogène dissout.
2-En déduire le pH de la solution obtenue.
NB On admettra que le volume molaire dans les C.N.T.P est V0 = 24 L.mol-1
APPLICATION 5
500 mL d‟une solution aqueuse d‟acide chlorhydrique contient 2,510-2mol d‟ions H3O+ à 25°.
Calculer la concentration molaire volumique de cette solution. En déduire son pH.
APPLICATION 6
Une solution d‟acide bromhydrique (acide fort) de volume 2 litres a un pH égal à 2,1.
1-Ecrire l‟équation de la dissolution du bromure d‟hydrogène HBr dans l‟eau.
2- Calculer la concentration des ions H3O+; Br; OH.
APPLICATION 7
Une solution aqueuse d‟hydroxyde de sodium a un pH égal à 11,6 à 25 °C.

Calculer sa concentration molaire volumique.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
40
EXERCICE 1
Il existe dans un laboratoire une bouteille d‟acide chlorhydrique possédant une étiquette sur laquelle est
écrite masse volumique 1190kg/m3; pourcentage en masse d‟acide pur 37; masse molaire HCl: 36,5g/mol.
On en extrait 4,15mL et on complète avec l‟eau distillée à 500mL.
1-Déterminer la concentration molaire de cette solution acide.
2-Indiquer avec précision le mode opératoire.
EXECICE 2
On mélange 50 mL d‟une solution aqueuse de chlorure d‟hydrogène de pH = 2,5 avec 150 mL d‟une
solution aqueuse d‟acide nitrique de pH = 3,5. Enfin, on complète à 250 mL en ajoutant de l‟eau
distillée.
1-Calculer la concentration initiale de chaque solution. Justifier vos réponses.
2-Ecrire les équations bilan des réactions chimiques qui ont lieu au cours de ce mélange.
3-Calculer les concentrations de toutes les epèces chimiques présentes dans ce mélange.
4-En déduire le pH du mélange obtenu.
EXERCICE 3
1 Calculer la concentration molaire volumique de l‟hydroxyde de calcium à 0,1g.L-1.
2 Calculer les concentrations molaires volumiques de toutes les espèces chimiques dans cette solution
d‟hydroxyde de calcium à 25°C.
3 En déduire le pH de cette solution. On donne: Ca: 40g.mol-1; O: 16g.mol-1;H:1g.mol-1.
EXERCICE 4
On prépare des solutions Si en introduisant un volume Vi d‟une solution S0 d‟hydroxyde de sodium de
concentration C0 = 5,0.10 – 2 mol.L-1 dans une fiole jaugée de 100 mL et en complétant avec de l‟eau
distillée. Le pH est ensuite mesuré à 37 °C.
Les résultats obtenus sont consignés dans le tableau suivant :
Solutions S1 S2 S3 S4 S5 S6
Vi (mL) 0,5 1,0 2,0 5,0 10,0 20,0
pH 10,0 10,3 10,6 10,9 11,2 11,5
1. A partir du tableau des résultats, compléter le tableau suivant
Solutions S1 S2 S3 S4 S5 S6
pH 10,0 10,3 10,6 10,9 11,2 11,5
ni
Ci
– log Ci
2. Tracer la courbe pH = f(– log Ci)

3. Montrer que le pH d‟une base forte peut s‟écrire : pH = log Cb – log Ke; Ke étant le produit ionique
de l‟eau.
4. Déduire de la courbe le produit ionique de l‟eau à 37 °C.
5. Une solution a un pH à 37 °C égal à 6,9. Cette solution est-elle acide, basique ou neutre ?
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
41
APPLICATION 1
On réalise l‟electrolyse de deux solutions aqueuses d‟acides A et B de même concentration C.

La solution B fait devier plus l‟aiguille de l‟ampéremètre que la solution A.
1 Quelle hypothèse peut-on formuler quant à la nature de chaque acide ?
2 La mésure du pH de la solution B donne 2,5. En déduire C.
APPLICATION 2
Montrer à partir d‟une expérience que la solution aqueuse de l‟éthanoate de sodium est une base. Préciser
alors l‟espèce chimique responsable de cette basicité.
APPLICATION 3
Le pH d‟une solution d‟acide éthanoïque de concentration Ca =0.1mol/L est égal à 2,9.

1-Calculer le coefficient d‟ionisation de cet acide.
2-Comparer cette valeur de α avec la valeur 1 caractéristique d‟un acide fort.
APPLICATION 4
Une solution d‟éthanoate de sodium de concentration 0,1mol/L a un pH de 8,9.

1-Calculer les concentrations molaires des différentes espèces présente dans cette solution.
2- En déduire la proportion d‟ion éthanoate transformé en molécules.
3- Conclure.
APPLICATION 5
Les pH de 2 solutions d‟acide éthanoïque A et B de concentration CA = 5,10-2 mol/L et CB = 5,10-3 mol/L

sont respectivement 3 et 3,5.
1-Calculer le coefficient d‟ionisation correspondant à chacune des 2 solutions d‟acide éthanoïque.
2-Quelle est l‟influence de la dilution sur la réaction de l‟acide avec l‟eau ?
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
42
EXERCICE 1
Les étiquettes de deux flacons portent respectivement la mention S1et S2. Chaque flacon contient une
solution aqueuse d‟un monoacide. La mesure du pH de ces solutions donne la même valeur 2,4 à 25°C.
1-On prélève 10cm3 de chaque solution que l‟on dilue avec de l‟eau distillée jusqu‟à 50cm3. Le pH de la
solution diluée de S1 est 3,1 celui de la solution S2 est 2,8.
Comparer les quantités d‟ions H3O+ contenues dans chaque échantillon avant et après dilution.
En déduire que l‟un des flacons contient une solution d‟acide fort et l‟autre une solution d‟acide faible.
2-Déterminer la concentration molaire de la solution S1.
3- Soit Co la concentration initiale de la solution S2.
3-1 Exprimer les coefficients d‟ionisation α et α‟ de la solution S2 avant et après la dilution en
fonction de Co.
3-2 Comparer α et α‟. Conclure.
EXERCICE 2
On dissout une masse m de chlorure d‟ammonium solide dans 500mL d‟eau pure. La solution obtenue a
une concentration Ca = 4.10-2 mol.L-1.
1- Calculer la masse m.
2- On mesure le pH et on trouve la valeur de 5,3 à 25°C
2-1 Montrer que la solution contient un acide faible que l‟on précisera.
2-2 Ecrire l‟équation bilan de la réaction entre cet acide et l‟eau.
2-3 Calculer les concentrations de toutes les espèces chimiques présentes dans la solution.
2-4 Préciser celles qui sont majoritaires, minoritaires ou ultra minoritaires.
On donne Ke =10-14 et H:1 ; Cl : 35 ,5 ; N :14 (g.mol-1)
EXERCICE 3
Une solution d‟acide fluorhydrique HF à 0,1mol/L et une solution d‟acide arsénique de formule HASO3
de concentration 0,01 mol/L ont sensiblement le même pH = 2,1.
1- Ecrire l‟équation de la réaction d‟ionisation de chacun de ces acides avec l‟eau.
2- Dire simplement pourquoi ces deux acides sont faibles.
3- Quelle est qualitativement celui qui est le plus ionisé ?
4- Pour chacune de ces 2 solutions, calculer la concentration des espèces chimiques présentes.
5- Calculer le coefficient d‟ionisation de chacun de ces 2 acides .Conclure.
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43
APPLICATION 1
On considère les espèces chimiques suivantes :

C6H5COOH ; HCOO- ; C2H5OH ; HF ; HCl ; F-; Cl- ; CH3NH2; C6H5COO-; CH3NH3+; C2H5O- ; HCOOH.
1-Préciser leur nom.
2-Former tous les couples acide/base possibles à partir des espèces chimiques précédentes.
3-Repérer ceux dont l‟une des formes acide ou base est forte.
4-Ecrire leur équation de réaction avec l‟eau si possible.
APPLICATION 2
Une solution de chlorure d‟ammonium (NH4Cl) de concentration molaire

C = 10-2 mol.L-1 a un pH égal à 5,6.
1-Ecrire l‟équation –bilan de la réaction de l‟ion ammonium avec l‟eau.
2-Faire l‟inventaire des espèces chimiques présentes dans cette solution.
3-Calculer la constante d‟acidité Ka puis le pKa du couple NH4+/ NH3.
APPLICATION 3
On donne les couples acide/base suivants : NH4+/NH3 (pKa = 9,2) ; CH3COOH/CH3COO- (pKa = 4,8).
On mélange un volume VA = 60 mL de la solution SA d'acide éthanoïque à un volume VB1=20 mL de la
solution SB1 d'ammoniac de concentration CB1= 2,0.10-2 mol.L-1.
La mesure du pH de la solution donne 5,0.
1-Sur un axe gradué en pH, placer les domaines de prédominance des 4 espèces acido-basiques
concernées.
2-Quelles sont les espèces qui prédominent à pH = 5,0 ?
APPLICATION 4
Une solution d‟acide AH de concentration 10-2 mol/L a un pH de 2,9.

1-A partir de la valeur du pH, montrer que cet acide est faible.
2-Calculer les concentrations molaires volumiques de toutes les espèces chimiques en solution après avoir
fait l‟inventaire de celles-ci. Retrouver le résultat précédent.
3-Pour préparer un volume V = 500 mL de la solution précédente, il a fallu dissoudre dans l‟eau une
masse m = 0,23 g d‟acide pur.
Calculer la masse molaire M de cet acide.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
44
EXERCICE 1
On considère le couple acide méthanoïque HCOOH/ ion méthanoate HCOO-.
On mélange 20 cm3 de méthanoate de sodium HCOONa de concentration molaire 5.10-2 mol/L à 50 cm3
d‟acide méthanoïque de concentration molaire 10-2 mol/L. Le pH du mélange obtenu est 4,1.
1-Ecrire les équations-bilans de la réaction avec l‟eau de l‟acide méthanoïque et du méthanoate de sodium
solide. Préciser chaque fois les couples acide/base en présence.
2-Calculer les concentrations molaires des espèces chimiques présentes dans le mélange.
3-Vérifier que le pKa du couple acide méthanoïque/ion méthanoate est 3,8.
4-Quel volume de solution de méthanoate de sodium de concentration 5.10-2 mol/L faut-il ajouter à 250
cm3 d‟acide méthanoïque de concentration 10-2 mol/L pour obtenir une solution de pH = 3?
EXERCICE 2
Soit une solution aqueuse d‟acide nitreux HNO2, de concentration molaire C = 10-2 mol/L, de volume
V = 50 cm3. L‟acide nitreux est un acide faible.
1.1. Ecrire l‟équation de la réaction de dissolution de l‟acide nitreux dans l‟eau.
1.2. Ecrire les relations traduisant l‟électroneutralité de la solution et la conservation de la matière.
1.3. Quelle est l‟expression de la constante d‟acidité Ka du couple acide nitreux/ion nitrite ? L‟exprimer en
fonction de H3O+] et C. Quelle(s) approximation(s) est-il légitime de faire ?
1.4. Le pKa du couple HNO2/NO-2 vaut 3,4. Quel est le pH de la solution ?
2. On dissout sans que le volume en soit affecté 2,5.10-4 mol de chlorure d‟hydrogène HCl dans la solution
aqueuse d‟acide nitreux.
2.1. Ecrire l‟équation de dissolution du chlorure d‟hydrogène.
2.2. Quelle influence cette dissolution a-t-elle sur la solution de l‟acide nitreux ?
2.3. Le pH de la solution vaut 2,3 après dissolution du chlorure d‟hydrogène. Vérifier, en calculant les
concentrations molaires en acide nitreux HNO2 et en ion nitrite NO-2, la réponse à la question précédente.
EXERCICE 3
On donne: pKa (CH3-NH3+/CH3-NH2) =10,8 et pKa (CH3COOH/CH3COO-) = 4,8
On dispose de cinq béchers contenant chacun une solution aqueuse d‟un des composes cites ci-dessous. Les
solutions sont de même concentration molaire.
Numéro du 1 2 3 4 5
bécher
Nom du Acide nitrique Chlorure de Ethanoate de Hydroxyde de Acide
composé méthylammonium sodium sodium éthanoique
1-Ecrire les équations-bilans des réactions de chacun de ces composés avec l‟eau. En déduire quelles
solutions sont acides et quelles solutions sont basiques.
2-Classer, par ordre de pH, les cinq solutions. Justifier ce classement, sans calcul.
EXERCICE 4
On considère une solution d‟ammoniac de concentration Cb = 10-2 mol.L-1 et de pKa (NH4+/NH3) = 9,2
1-Ecrire l‟équation-bilan de la réaction de l‟ammoniac avec l‟eau.
2-Montrer que le pH de cette solution peut se mettre sous la forme: pH = 7+ (pKa +logC. b). Calculer sa valeur.
On fera les approximations nécessaires.
3-Calculer le coefficient d‟ionisation  de l‟ammoniac
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45
APPLICATION 1

Il faut verser 12 mL d‟une solution d‟hydroxyde de potassium de concentration 5.10 2 mol/L dans 8mL
d‟une solutiond‟acide chlorhydrique pour obtenir l‟équivalence acido-basique.
1- Quelle est la nature de la solution obtenue à l‟équivalence ? (acide, basique ou neutre). Proposer un
nom.
2- Calculer la concentration de la solution d‟acide chlorhydrique ?
3- Calculer le pH initial de chaque solution.
APPLICATION 2
Le pKa du couple NH4+ / NH3 est égal à 9,2. On dispose d‟une solution d‟ammoniac de volume
VB = 20 ml et de concentration CB = 2-10-2 mol.l-1.
1- Quel volume d‟acide chlorhydrique de concentration CA = 5.10-3 mol.L-1 faut-il ajouter à la solution
basique pour obtenir l‟équivalence acido-basique ?
2-
2.1- Quel volume d‟acide devrait-on ajouter à la solution initiale d‟ammoniac pour obtenir un mélange
de pH = 9,2 ?
2.2- Comment appelle-t-on ce mélange ? Et quelles sont ces propriétés.
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46
EXERCICE 1
On mélange 50 mL d‟une solution aqueuse de chlorure d‟hydrogène de pH = 2,5 avec 150 mL d‟une
solution aqueuse d‟acide nitrique de pH = 3,5. Enfin, on complète à 250 mL en ajoutant de l‟eau
distillée.
1-Calculer la concentration initiale de chaque solution. Justifier vos réponses.
2-Ecrire les équations bilan des réactions chimiques qui ont lieu au cours de ce mélange.
3-Calculer les concentrations de toutes les epèces chimiques présentes dans ce mélange.
4-En déduire le pH du mélange obtenu
EXERCICE 2
Toutes les solutions sont à 25° et Na = 23; O = 16 et H = 1 (g.mol-1).

1-Quelle masse d‟hydroxyde de sodium faut-il dissoudre dans l‟eau pour obtenir 500 mL de solution S1 de
concentration molaire C1 = 10-2 mol.L-1 ?
2-A 10 mL de solution S1, on ajoute un volume V2 d‟une solution S2 d‟acide chlorhydrique de
concentration C2 = 5.10-2 mol.L-1, pour obtenir un mélange de pH = 7.
2.1 Déterminer V2.
2.2 Déterminer la concentration de tous les ions présents dans la solution finale. Donner un nom à ce
mélange.
3-A 10 mL de la solution S1, on ajoute un volume V3 = 10 mL d‟une solution de chlorure de sodium de
concentration C3 = 10-2 mol.L-1. Soit S4 la solution obtenue.
3.1 Quelle est le pH de la solution S3 ?
3.2 Déterminer le pH de la solution S4.
EXERCICE 3
Dans un bécher contenant un volume VA = 100 mL d‟acide chlorhydrique, on verse, à l‟aide d‟une burette,
une solution d‟éthanolate de sodium de concentration CB = 0,1 mol.L-1. Le tableau ci-dessous indique pour
différentes valeurs du volume VB en mL de la solution de base versée, les valeurs correspondantes du pH.
VB(mL) 0 1,5 3 5 7 7,5 8 8,5 8,7 9 9,3 9,5 10 10,5 11 13

pH 2,1 2,2 2,3 2,4 2,7 2,8 3 3,4 3,7 7 10 10,4 10,8 11 11,2 11,4
1-
1.1 Faire le schéma du dispositif utilisé pour ce dosage.
1.2 Ecrire l‟équation-bilan de la réaction entre l‟acide chlorhydrique et l‟éthanolate de sodium.
2-Construire le graphique pH = f(VB) sur papier millimétré. Echelle : 1 cm → 1 mL ; 1 cm → 1 unité de
pH.
3-Déterminer graphiquement les coordonnées du point d‟équivalence.
4-Déterminer la concentration CA de la solution d‟acide chlorhydrique utilisée.
5-On donne les deux indicateurs colorés suivants:
Indicateurs colorés Valeur de pH
Hélianthine Rouge 3,1 Orange 4,4 Jaune
Bleu de Bromotnymol jaune 6,0 Vert 7,6 Bleu
1.1 Représenter sur le graphe pH = f(VB) la zone de virage de chacun de ces indicateurs colorés.
1.2 Lequel de ces indicateurs colorés est le plus approprié pour ce dosage ? Comment serait repéré
le volume équivalent?
6-Calculer les concentrations molaires volumiques des espèces chimiques présentes dans le mélange
quand on a versé 8 mL de soude.
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47
EXERCICE4
On dispose d‟une série de solutions aqueuses de même concentration C = 10-2 mol/L.

- Solution A : acide méthanoïque HCOOH;
- Solution B : méthanoate de sodium;
- Solution C : hydroxyde de sodium (ou soude);
- Solution D : solution de chlorure de sodium;
- Solution E : solution d‟acide chlorhydrique.
Les pH mesurés à 25 °C sont dans l‟ordre croissant: 2,0; 2,9; 7,0; 7,9; 12,0.
1 Attribuer sur l‟axe des pH, en justifiant brièvement votre choix, à chacune des solutions A, B, C, D,
E, la valeur du pH qui correspond.
Calculer les concentrations molaires des espèces chimiques présentes dans la solution A et en
déduire le coefficient d‟ionisation α de l‟acide méthanoïque dans cette solution ainsi que le pKA du
couple HCOOH/HCOO-.
3 On mélange 50 cm3 de la solution A et 50 cm3 de la solution B. Le pH du mélange F obtenu est
3,75.
1. Calculer les concentrations molaires des espèces chimiques contenues dans la solution F.
2. Quelles sont les caractéristiques de la solution F ?
4 On mélange 20 cm3 de A et 40 cm3 de B. Calculer le pH de la solution obtenu.
5 On fait tomber progressivement la solution C dans 20 cm3 de la solution A.
1. Ecrire l‟équation-bilan de la réaction qui se produit.
2. Quel volume de la solution C faut-il verser pour obtenir un mélange ayant un pH de 3,75 ?
3. Donner l‟allure, en précisant les points importants, du graphe pH = f(VC), VC étant le volume
de la solution C ajouté.
EXERCICE 5
On dose 2 solutions basiques B1 et B2 (l'une est une solution de base forte, l'autre une solution de base
faible) par la même solution d'acide fort (HCl). Le volume des 2 solutions basiques est égal à 35 mL. La
concentration de la solution de HCl est égale à 1mol/L. On obtient les 2 courbes ci-dessous.
1-Déterminer les concentrations des 2 solutions basiques.

2-Identifier (avec 2 arguments différents) laquelle
correspond à une base forte, laquelle correspond à une base
faible?
3-Quel indicateur coloré aurait été le plus adapté pour ces 2
dosages?
4-Déterminer la constante d'acidité du couple acide-base
faible.
5-Calculer les concentrations de toutes les espèces présentes
dans chacune des solutions pour un volume versé égal à 7
mL. (En ce point, pH du dosage de B2 =10,5 et pH du dosage
de B1 =12).
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48
APPLICATION 1
1- Ecrire la formule générale d‟un alcool.

2- Ecrire la formule générale d‟un alcool à chaîne carbonée saturée.
3- Ecrire, les formules semi développées possibles de l‟alcool à chaîne carbonée saturée de masse
molaire M = 74g.mol-1.
Préciser leurs nom et classe.
……………………………………………………………………………………………………………
APPLICATION 2
Soient les alcools suivants :

① Ethanol ② Butan-2-ol ③ Méthylpropan-2-ol ④ Pentan-1-ol ⑤ Propan-2-ol
1-Ecrire la formule semi-développée et indiquer la classe à laquelle appartient chacun de ces alcools.
2- On tente de procéder à une oxydation ménagée de chacun de ces alcools. Indiquer pour quelles
molécules cette oxydation ménagée est possible et à quelle famille de molécules organiques appartient
l‟espèce chimique obtenue? Dans le cas des alcools secondaires, distinguer l‟oxydation avec l‟oxydant en
défaut ou en excès.
APPLICATION 3
1-Indiquer les fonctions chimiques qu‟on retrouve sur la molécule ci-dessous
OH O O
CH 3-CH C O C C
OH
O
2-Cette molécule subit une oxydation menagée. Donner la ou les fonctions chimiques obtenues justifier
votre reponse
3-Quels produits obtiendrait-on si l‟oxydation était brutale? Comment pourrait-t-on les identifier ?
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49
EXERCICE 1
Un composé organique A de formule brute C4H9Cl subit une série de réactions décrites ci-dessous :
a. A + H2O CH3-CH2-CH2-OH (composé: B) + H+ + Cl-
b. B s‟oxyde en presence d‟ions permanganate en milieu acide et donne C et D.
c. C donne un test positif à la D.N.P.H.
d. B en présence d‟acide sulfurique concentré donne E.
e. E + H2O B + F
f. F s‟oxyde en presence d‟ions permanganate en milieu acide et donne G.
g. G donne un test positif à la D.N.P.H.
1. Donner les formules semi-développées de tous les composés de A à G.
2. Quel type de réaction subit le composé A?
3. Au cours de cette réaction : E + H2O B + F, indiquer entre B et F le
produit majoritaire.
EXERCICE 2
La combustion de 0,45g d‟un composé organique oxygéné produit1g de dioxyde de carbone et 0,54g d‟eau.
Sa densité de vapeur est 2,07.
1-Determiner la composition centésimale massique de ce composé.
2-En déduire sa formule brute et préciser sa fonction.
3-Ecrire toutes ses formules semi développées possibles et préciser dans chaque cas le nom du corps.
4-Lorsqu‟on oxyde de façon ménagée cette substance en présence du cuivre incandescent, celle-ci se
transforme en aldéhyde.
Quel est le nom du composé de départ.
EXERCICE 3
Un corps pur (A) liquide de formule brute C4H10O, donne par oxydation ménagée un composé (B)
qui réagit sur le nitrate d‟argent ammoniacal et la liqueur de Fehling.
Par déshydratation de (A) (à une température supérieure à 400°C, en présence d‟alumine), on obtient un
seul alcène : le but-1-ène.
1. Ecrire les formules semi-développées de tous les isomères de formule brute C4H10O et les nommer.
2. A quelle famille appartiennent ces isomères ?
3. Quel réactif peut-on utiliser pour effectuer l‟oxydation ménagée de (A)?
4. Ecrire l‟équation-bilan de la réaction de (B) avec le nitrate d‟argent ammoniacal.
5. Déduire de ces renseignements donnés plus haut, la formule semi-developpée et le nom des corps (A) et
(B).
6. Le composé (A) réagit avec un excès d‟oxydant pour donner un composé (C).
Donner le nom et la formule développée de (C).
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50
APPLICATION 1
Nommer les composés suivants :
a- C2H5-NH2 b- (CH3)3C-NH(C2H5) c- NH2-CH(C2H5)2
APPLICATION 2
Donner les formules semi- développées et les classes des amines suivantes .
a-N-éthyl , N-méthylpropanamine b-N-méthyl , 1-méthyl propanamine c-N , N –diméthylpropane 2-
amine d- N-éthylaniline
APPLICATION 3
1-Pourquoi l'ammoniac et les amines ont ils des propriétés nucléophiles ?
2-Montrer que l'on peut préparer les éthylammines à partir de l'ammoniac et du bromure d'éthyle. De
quelle type de réactions s'agit-il ?
3-L'aniline se prépare-telle par une réaction analogue ? Sinon proposer une méthode à partir du benzène
et de réactif minéraux.
4-Quel produit donne le chauffage à reflux du mélange triéthylammine et bromure d'éthyle dans l'éther?
Comment le transformer en une base forte ? Que devient cette base si on la chauffe à sec ?
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51
EXERCICE 1
1-Ecrire les formules semi- développées de toutes les amines de formule brute C3H9N en précisant la
classe de chacune d‟elles.
2-Soit une solution aqueuse de l‟amine tertiaire A de formule brute C3H9N. Ecrire l‟équation bilan de la
réaction de cette amine avec l‟eau.
3- Par action de l‟iodométhane sur cette amine tertiaire A, dans l‟éther on obtient un précipité.
Ecrire l‟équation bilan de la réaction et indiquer la propriété des amines mises en jeu dans cette réaction.
EXERCICE 2
Soit une amine tertiaire ayant des groupements alkyles identiques. On fait réagir sur cette amine de l‟iodo
butane en solution dans l‟éther. Il se forme un précipité blanc qui est un solide ionique.
1-Ecrire l‟équation bilan de la réaction.
2-Quelles propriétés des amines cette réaction met-elle en évidence ?
3-Une solution aqueuse de cette amine de concentration molaire 0.2 mol/ L a été préparée en dissolvant
30,2 g d‟amine pour 1L de solution.
3-1-Quelle est sa masse molaire ?
3-2- Déterminer sa formule brute.
3-3-Donner sa formule développée et son nom.
EXERCICE 3
On considère une monoamine primaire à chaîne carbonée saturée non cyclique.
1-Indiquer la formule brute d‟une telle amine sachant qu‟elle comporte n atomes de carbones. Exprimer
en fonction de n, le pourcentage en masse d‟azote qu‟elle contient.
2-Une masse de 27 g d‟une telle amine contient 5,2% d‟azote. Quelle est sa formule brute ?
3-Ecrire les formules semi-développées des isomères possibles de ces amines primaires et donner leurs
noms.
4-On considère une solution aqueuse de l‟amine primaire de concentration C. Son pH est-il inférieur ou
égal à celui d‟une solution d‟hydroxyde de sodium de même concentration ?
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52
APPICATION 1
On donne les formules de cinq corps: (A): CH3-CH2-CH2-OH; (B) : CH3-CHOH-CH3;

(C): CH3-CH2-COCl; (D): CH3-C(CH3)2-COOCH2-CH3 ; (E) : CH3-CH2-CO-NH2.
1-Indiquer la fonction et le groupe fonctionnel caractéristiques de chacun de ces corps.
2- Donner les noms de chacun des composés ci-dessus.
APPLICATION 2
Ecrire les formules semi développées des composés organiques suivants:

Acide 2,3-diméthylbutanoïque ; chlorure de 2-méthylbutanoyle ; anhydride méthanoïque et propanoïque ;
benzoate de methylpropyle ; N- ethyl, N-méthylbutanamide;
APLICATION 3
Proposer les fonctions chimiques et les groupes fonctionnels qu‟on peut trouver sur la molécule suivante:
CH CH2 CHOH COCl
COOH3
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53
EXERCICE 1
L‟hydratation d‟un alcène D conduit à un produit oxygéné saturé A. On introduit dans un tube 14,8g
du produit A et 0,2 mol d‟acide éthanoïque. Le tube est scellé et chauffé.
1- A quelle famille appartient le composé A?
2- Quelles sont les caractéristiques de la réaction qui se produit entre A et l‟acide éthanoïque ?
3- Après plusieurs jours, l‟acide restant est isolé puis doser par une solution d‟hydroxyde de sodium de
cocnentration C = 2 mol.L-1. Il faut utiliser un volume V = 40mL de cette solution pour atteindre le
point d‟équivalence.
3.1Quel est le pourcentage du composé A estérifié?
3.2 Déterminer la formule brute de A.
3.3Donner le nom et la formule sémi dévéloppée de A, sachant que la limite d‟estérification, pour
un mélange équimolaire acide-alcool est environ 67% si l‟alcool est primaire, 60% si l‟alcool est
sécondaire, 2 à 5% si l‟alcool est tertaire. Justifier votre reponse.
4- Ecrire l‟équation bilan de réaction entre A et l‟acide éthanoïque. Donner le nom du produit obtenu.
On donne : C = 12 ; H = 1 ; O = 16 (g.mol-1)
EXERCICE 2
L‟hydrolyse d‟un ester E a fourni un acide A et un alcool B.
1- DETERMINATION DE L‟ACIDE A
La composition centésimale massique du composé A est la suivante :
Carbone: 48,6%; Hydrogène: 8,1%; Oxygène: 43,2%.
Sachant que sa molaire est M = 74 g.mol-1, déterminer la formule brute, la formule semi développée et le
nom de A.
2-DETERMINATION DE L‟ALCOOL B
L‟analyse élémentaire a permis la détermination de la formule de B: C4H10O.
L‟oxydation ménagée de B par le dichromate de potassium acidifié fournit un composé D. Ce composé
réagit avec une solution de D.N.PH, mais est sans action avec le nitrate d‟argent ammoniacal.
2-1 Donner la fonction chimique de D. En déduire la classe de l‟alcool B.
2-2 Ecrire la formule développée et le nom de B.
2-3 Ecrire la formule semi développée et le nom de l‟ester E.
EXERCICE 3
L‟odeur de banane est due à un composé organique C .L‟analyse élémentaire de ce composé a permis
d‟établir sa formule brute qui est de C8H12O2.Afin de déterminer la formule semi développée de ce
composé, on réalise les expériences suivantes :
1- L‟hydrolyse de C donne un acide carboxylique A et un alcool B.
L‟acide carboxylique a réagi avec le penta chlorure de phosphore (PCl5) pour donner un composé X.
Par action de l‟ammoniac sur X on obtient un composé organique D à chaîne carbonée saturée non
ramifiée. La masse molaire moléculaire du composé D est égale à 59 g/mol
1-1Préciser les fonctions chimiques de C, X, D.
1-2On désigne par n le nombre d‟atomes de carbones contenus dans la molécule du composé D.
1-2-1-Exprimer en fonction de n la formule générale du composé organique D.
1-2-2 Déterminer la formule semi développé de D et donner son nom.
1-3 Donner les formules semi développé et les noms des composés X et A.
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54
2-L‟alcool B est un alcool non ramifié. Il est oxydé par une solution acidifiée de permanganate de
potassium. Il se forme un composé organique E qui donne un précipité jaune avec
la 2,4-dinitrophenylhydrazine et qui réagit avec la liqueur de Fehling.
2-1Préciser la fonction chimique de E
2-2Donner la formule semi développée et le nom de E et B.
EXERCICE 4
L‟acide lactique, appélé acide 2-hydroxypropanoîque, est un acide carboxylique qui a de multiples
propriétés. Il permet, entre autres, d‟augmenter l‟élasticité de la peau, de lisser les rides peu profondes, les
imperfections de surface et de pigmentation.
CH3 O
Sa formule semi-dévéloppée est:
CH C
OH OH
1-Ecrire et nommer les groupes fonctionnels présents dans la moécule de l‟acide lactique
2-On fait réagir l‟acide lactique avec un alcool A de formule brute C4H10O, en présence d‟acide sulfurique.
Il se forme uniquement un ester B et de l‟eau. La molécule de l‟alcool A a une chaine carbonée ramifiée;
elle peut subir également une oxydation ménagée.
2.1 Donner les noms et formules semi-developpées de l‟alcool A et de l‟ester B.
2.2 Ecrire l‟équation bilan de la réaction entre l‟acide lactique et l‟alcool A. Donner le nom de l‟ester B.
3- L‟ester B peut réagir avec l‟hydroxyde de sodium pour donner du lactate de sodium et l‟alcool A.
Ecrire l‟équation bilan de cette réaction. Quel nom peut-on donner à cette réaction.
4-La déshydratation intermédiaire de l‟acide lactique conduit au lactide, molécule précurseur du polymère
polyactique ou PLA, qui est un matériau biodégradable.
Ecrire les équations des réactions de deshydratation de l‟acide lactique dans les cas suivants:
1er cas : le produit obtenu de la déshydration est un anhydride d‟acide.
2eme cas : le produit de la déshydratation est un ester.
EXERCICE 5
On considère le corps gras suivant :
On saponifie une masse mA = 3,02 g de ce corps gras, avec la potasse en excès.

1-Représenter le schéma légendé du dispositif expérimental utilisé.
2-Donner les deux caractéristiques de la réaction chimique étudiée.
3-Ecrire l'équation bilan de la réaction chimique, en utilisant les formules semi-développées.
4-Quel nom usuel donne-t-on au produit B de la réaction ayant des propriétés nettoyantes?
5- Quel est le nom de ce produit B dans la nomenclature officielle?
6-Calculer la masse de B obtenue.
7-Nommer l'opération permettant sa séparation du mélange réactionnel.
Masse molaire (g/mol) : MA=302 ; MB= 126.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
55
EXERCICE 1
Donner le nom des amino acides suivants
C2H5
a) H NH2 b) CH3 CH CH2 CH NH2
COOH
CH3 COOH
EXERCICE 2
Un peptide résulte de l‟association de 9 unités d‟acides  aminés et on obtient la structure suivante :

Arg –Pro – Pro-Gly- Phe – Ser - Pro- Phe –Arg .
1-Caluler sa masse molaire

2- Quels groupes fonctionnels contient-elle ?
EXERCICE 3
1-Ecrire la formule de l‟ion mixte dipolaire présent dans une solution aqueuse d‟alanine
2-Ecrire les deux couples acide base correspondant à cet ion mixte.
3-Attribuer à chaque couple précédent le pKi correspondant: pK1 = 2,3 et pK2 = 9,9.
4-Préciser l‟espèce chimique relative à l‟alanine qui est prédominante pour pH = 2; pH = 6 et pH = 11.
EXERCICE 4
On fait une réaction de condensation entre l‟alanine et un autre acide α aminé A de formule
R CH COOH
NH2
1-Montrer que cette réaction de condensation conduit à deux isomères P1 et P2 dont on écrira les formules
semi développées.
2-Sachant que la masse molaire du dipeptide obtenu est 188g.mol-1 et que R est un radical ramifié,
déterminer la formule semi développée de A. Donner son nom en nomenclature officielle.
On donne les masses molaires en g.mol-1: M(C) = 12 ; M(H) = 1 ; M(N) = 14 ; M(O) = 16.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
56
T.P TRACE DE VECTEURS VITESSE ET ACCELERATION

1- OBJECTIFS
Savoir tracer les vecteurs vitesse et accélération d‟un point mobile à partir de sa
trajectoire et en déduire la nature du mouvement du mobile.
2- PRINCIPE

2-1 Tracé d’un vecteur vitesse VAi en un point Ai
 VA i Ai+1
Les caractéristiques du vecteur vitesse VAi sont :
- Origine : Ai Ai
- Direction : la tangente à la trajectoire
VA i à la courbe au point Ai
- Sens :celui du mouvement
A i 1 A i 1 Ai-1
- Valeur : en m.s-1 VA i 
Puis tracer le vecteur vitesse à l‟échelle donnée. 2.
2-2 Tracé d’un vecteur accélération a Ai en un point Ai

Ai+1
VAi1
Les caractéristiques du vecteur accélération sont : VA i
- Origine : Ai Ai
- Direction : la direction du vecteur
VAi  VAi 1  V Ai 1 VAi1 a Ai
a Ai - Sens :celui de VA i
Ai-1
VAi
- Valeur : en m.s-2 a Ai  mes
2.
Puis tracer le vecteur vitesse à l‟échelle donnée.
3- TRAVAIL A FAIRE
On prendra pour tous les documents à tracer τ = 50 ms.
3-1 Exploitation du document N° 1
a- Numéroter les positions du mobile de A0 à Ai selon le sens du mouvement.
b- Tracer les vecteurs vitesse VA 2 ; VA 6 et VA 9 à l‟échelle 1 cm ↔ 0, 1 m.s-1.
c- Comparer les vecteurs vitesse et en déduire la nature du mouvement du mobile.
b- Tracer les vecteurs vitesse VA 2 ; VA 4 ; VA 6 ; VA8 et VA10 à l‟échelle 1 cm ↔ 0, 1 m.s-1.
c- Tracer les vecteurs accélération a A3 ; a A7 ; a A9 à l‟échelle 1 cm ↔ 0, 2 m.s-2.

d- Comparer les vecteurs accélération et en déduire la nature du mouvement du mobile.
b- Tracer les vecteurs vitesse VA1 ; VA 3 ; VA 9 et VA11 à l‟échelle 2 cm ↔ 0, 1 m.s-1.
c- Tracer les vecteurs VA 2  VA 3  VA1 ; VA10  VA11  VA 9 , prolonger leur direction. Que constate-t-on ?
d- En déduire le tracé des vecteurs accélération a A2 et a A10 à l‟échelle 2 cm ↔ 0, 1 m.s-2.

V2
e- Mesurer le rayon R de la trajectoire et comparer la valeur de cette accélération dite normale à , V étant la vitesse
R
linéaire du mobile.
f- Quelle est la nature du mouvement du mobile ?
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Document N° 1 57
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
58
Document N° 2
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
59
Document N° 3
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
60
T.P. : VERIFICATIONS EXPERIMENTALES DU THEOREME DU CENTRE D’INERTIE
1- OBJECTIF
Déterminer expérimentalement la valeur de l‟accélération à partir de données cinématiques et la comparer
avec la valeur théorique.
2- DISPOSITIF : ETUDE D’UN OBJET EN MOUVEMENT SUR PLAN INCLINE

Le système de masse mB est en descente sur un plan incliné
d‟un angle α avec l‟horizontal.
On donne mB = 153 g; L1= 36cm; L2 = 4cm ; L = 3,5m
3- TRAVAIL A FAIRE
3-1 Etude dynamique

Faire l‟étude dynamique sur le système mB et trouver la
valeur théorique de l‟accélération ath. On admettra que
T = 0,544N
3-2 Etude cinématique
La trajectoire du centre d‟inertie G de mB donne la figure ci-dessous. L‟enregistrement est fait pour
τ = 60ms
3-2.1- Déterminer la valeur des vitesses Vi pour chaque instant ti. Consigner vos valeurs dans ce tableau.
Position G0 G1 G2 G3 G4 G5
t = ti(m s) 0 60 120 180 240 300
x (mm)
vi (m.s-1)
3-2-2- Tracer la caractéristique V = f(t) à l‟échelle 1cm pour 0,03 s et 1 cm pour 0,1 m.s-1. En déduire la
valeur de l‟accélération expérimentale aexp.
3-2-3- Comparer ath et aexp. Conclure.
3-2-4- Etablir l‟équation horaire de G sachant qu‟à t = 0 s, v0 = 0
4-En appliquant le théorème du centre d‟inertie au système mA, déterminer mA.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
61
T.P. CHUTE PARABOLIQUE
1- OBJECTIF
- Déterminer expérimentalement la nature du mouvement d‟une bille lancée avec un vecteur

vitesse initial V0 horizontal dans le champ de pesanteur uniforme g régnant à l‟EAJP.
- Vérifier la nature de la trajectoire de cette bille.
2- DISPOSITIF EXPERIMENTAL
électroaimant
A bille
V0 x X
O O

P
horloge z M
3- MANIPULATION
La bille placée en A dans une gouttière est retenue par un électroaimant. Lâchée, la bille passe en O avec
une vitesse initiale V0 horizontale, puis tombe en chute libre au-delà de O. La bille arrive en M dans une
gouttière de réception où une horloge enregistre le temps de chute.
TABLEAU DES MESURES
z (cm) 5 10 15 25 35 45 55
x (cm) 14,50 19,7 24,2 30,5 36,0 40,5 44,5
t (s) 0,104 0,145 0,178 0,228 0,270 0,300 0,338
4- TRAVAIL A FAIRE
4-1 Faire l‟étude dynamique du mouvement de la bille et donner les composantes des vecteurs
 
accélération a ; vitesse V ; et position OM en fonction du temps t.
4-2 Tracer sur papier millimétré les courbes x = f(t) et z = g(t) et y = h(x).
Echelle : 10 cm ↔ 2 cm et 0,1 s ↔ 2 cm.
4-3 Déduire de l‟exploitation des courbes les équations horaires du mouvement de la bille x = f(t) et
z = g(t) et calculer V0.
4-4 Pour deux points A et de la trajectoire, construire, sur le graphe y = h(x), les vecteurs VA et VB
( VA a pour composantes VAx et VAy ; VAy coefficient directeur de y = g(t) aux temps considérés).
Echelle : 1 m.s-1 ↔ 1 cm.
4-5 Construire V  VB  VA
V V
4-6 Calculer  et compare à g.
t tB  tA
4-7 Conclure.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
62
TUBE A DEFLEXION ELECTROSTATIQUE
1- L’OSCILLOSCOPE ELECTRONIQUE
1-1 Schéma de fonctionnement
C A
plaques de déviation
1-2 Principe
Le canon à électrons lance les électrons du filament. Après chauffage et accélération vers le centre le l‟écran O. Au
point d‟impact des électrons, l‟écran devient fluorescent, ce point est appelé SPOT. Lorsqu‟on applique une tension
entre la borne d‟entrée Voie (A ou B) et la masse, le faisceau d‟électrons est dévié verticalement.
2- ETUDE DU MOUVEMENT DES ELECTRONS

2-1 Dans le canon à électrons.
Dans un canon à électrons, des électrons sont émis par la cathode pratiquement sans vitesse initiale.
1- Quel doit être le signe de la tension UAC, pour que les électrons puissent sortir du canon à électrons ?
2- Exprimer littéralement, en fonction de e (charge élémentaire), UAC, et m (masse de l‟électron), la vitesse de
sortie VA à la sortie du canon. Y
3- On suppose pour simplifier que le champ électrostatique C A

E entre A et C est constant. Ecrire dans le système d‟axe Z O X
Oxyz, les équations horaires du mouvement entre A et C.

2-2 Mouvement des électrons entre les plaques (Cas où V0 est orthogonal au champ E )
UAC
Un électron émis par un canon pénètre au point O, avec une vitesse horizontale V0 entre les deux plaques
conductrices P1 et P2 planes et horizontales d‟un tube à déflexion. Ces plaques distantes de d ont la longueur L. Un
écran € vertical perpendiculaire à l‟axe Ox, est situé à une distance D de O. Une tension positive
U = VP1 – VP2 est appliquée entre les plaques P1 et P2.
Y E
1- Ecrire les équations horaires du mouvement d‟un électron
P1
dans le système d‟axe Oxyz.
2- Montrer que la trajectoire est plane et écrire son équation d
Z O V0 O‟ X
cartésienne dans le même système d‟axes. d 2
3- Quelle valeur minimale doit-on donner à V0 pour que
l‟électron puisse sortir de la zone comprise entre les P2
plaques ? L
4- La condition précédente étant réalisée, préciser la nature
D
du mouvement de l‟électron à l‟extérieur des plaques
5- Montrer que l‟ordonné Y du point I de l‟électron sur l‟écran peut s‟écrire sous la forme Y = k.U.
6- Exprimer k en fonction des données intrinsèques de l‟appareil.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
63
T.P. ETUDE EXPERIMENTALE DU PENDULE ELASTIQUE VERTICAL
1- OBJECTIF
 Déterminer expérimentalement la constante de raideur d‟un ressort.
 Observer les mouvements d‟oscillation non amorties
 Mesurer à l‟aide d‟un chronomètre la période d‟oscillations.
2- TRAVAIL A FAIRE
Soit un ressort de masse négligeable et de constante de raideur k, auquel on accroche verticalement un
solide de masse m = …………………. On donne g = 10 m.s-2.
2-1 Mettre le dispositif en place et déterminer l‟allongement du ressort à l‟équilibre.
2-2 En déduire la valeur de la constante de raideur k du ressort.
2-3 A partir de la position d‟équilibre précédente, on tire verticalement sur le solide vers le bas d‟une
amplitude initiale A0 (en cm) et on lâche sans vitesse initiale. Décrire le mouvement du solide.
2-4 Pour différentes amplitudes A0, mesurer à l‟aide d‟un chronomètre le temps mis pour effectuer 10
oscillations.
a- Remplir le tableau suivant
A0 (cm ) 2 4 6 8
T(s) (10 oscillations)
b- En déduire la valeur expérimentale de la période d‟oscillation T0 Exp. La période d‟oscillation
dépend-elle de l‟amplitude initiale A0 ?
m
c- Comparer cette période expérimentale à la période théorique T0 = 2 et conclure.
k
d- En déduire la vitesse angulaire d‟oscillation ω.
2-5 Pour une oscillation d‟amplitude initiale XA0 = - 4 cm, représenter l‟équation horaire x(t) à
l‟échelle
1 cm ↔ 1 cm (A0) et 1 cm ↔ 0,1 s.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
64
T.P. ETUDE EXPERIMENTALE DU CHAMP MAGNETIQUE A L’INTERIEUR

D’UN SOLENOÏDE LONG
1- OBJECTIFS
 Définir expérimentalement un solénoïde long
 Déterminer expérimentalement les facteurs dont dépend la valeur du champ magnétique B à
l‟intérieur d‟un solénoïde.
2- SCHEMA DU MONTAGE
On a la longueur totale du solénoïde L = 412 mm et le rayon r = 25 mm comportant deux enroulements

superposés de N = 200 spires chacun. On définit n = nombre de spires par mètre de solénoïde.
N
Si on choisit un seul enroulement, n = = 485 spires/m
L
2N
Si on choisit les deux enroulements n = = 970 spires/m
L
 La tension d‟alimentation murale qui doit être constante, est réglée sur 9 V
 Faire la lecture en mV et en déduire par conversion la valeur du champ B en Tesla.
3- NOTION DE SOLENOÏDE LONG
3-1 Définition
Une bobine de longueur L et de rayon r est appelée solénoïde long si sa longueur L est grande devant son
rayon et la valeur du champ magnétique à l‟intérieur y est constante.
3-2 Vérification expérimentale de la notion de solénoïde

3.2.1- Principe
Pour un courant d‟intensité I donné traversant la bobine et pour n
donné, on fait varier sa longueur  jusqu‟à L et on note les lecture
variations de la valeur du champ magnétique B au centre de cette
bobine.
I
3.2.2- Mesures pour I = 5 A et n = 485 spires/m
 (mm) 21 42 82 124 206 288 412
N 10 20 40 60 100 140 200

x=
r
Lecture (mV) 26 43 59 64 68 70 70
-4
B(10 T)
1- Remplir le tableau et tracer la courbe B = f(I) à l‟échelle : 1cm↔ 2.10-4T et 1cm↔ 2cm de 
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
65
2- Interpréter la courbe obtenue et dire pour quelles valeurs de x le champ magnétique devient
uniforme et en déduire la relation entre la longueur  et le rayon r pour définir un solénoïde long.
4- UNIFORMITE DU CHAMP MAGNETIQUE A L’INTERIEUR D’UN SOLENOÏDE LONG
4.1- Principe O M
Pour un courant d‟intensité I donné, pour n donné et prenant la longueur L
du solénoïde, on note les variations de B en un point M de l‟axe en fonction
de la distance d au centre O du solénoïde. d
I = 5 A et n = 485 spires/m
d(mm) 0 20 60 80 100 120 140 160 180 200
Lecture (mV) 70 70 70 70 70 70 68 66 60 43
-4
B(10 T)
4.2-Tracer la courbe B = f(d) à l‟échelle 1cm ↔ 2.10-4T et 1cm de d ↔ 1cm.
4.3-Dans quelle zone d‟un solénoïde long le champ magnétique est-il uniforme ?
5- FACTEURS DONT DEPEND LA VALEUR DU CHAMP MAGNETIQUE UNIFORME B
5-1 Variation de B en fonction de l’intensité du courant I

Pour un solénoïde long de longueur L = 412 mm comportant n = 485 spires/m, mesurons la valeur du
champ magnétique B au centre du solénoïde pour différentes valeurs de l‟intensité I qui traverse cette
dernière.
d(mm) 0 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5 5

Lecture (mV) 0 22 29 36 43 50 57 63 70
B(10-4T)
5.1.1-Remplir le tableau et tracer B = f(I) à l‟échelle 2cm ↔ 0,5A et 1cm ↔ 2.10-4T
5.1.2-Quelle est la nature de la courbe, en déduire la valeur de la pente puis conclure.
5-2 Variation de B en fonction du nombre de spires par mètre n

Pour une bobine de longueur L = 412 mm, et pour une intensité I = 5 A, mesurons la valeur du champ B au
centre du solénoïde pour deux enroulements différents.
N N = 200 spires n = …………… N = 400 spires n = ………………

Lecture (mV) 70 140
B(10-4T)
Remplir le tableau et en déduire l‟influence du nombre de spires par mètre n sur la valeur du champ
magnétique B à l‟intérieur d‟un solénoïde long.
6- CONCLUSION GENERALE
En déduire ce qu‟est un solénoïde long et les facteurs dont dépend la valeur du champ magnétique B et que
la valeur de B au centre d‟un solénoïde est proportionnelle à l‟intensité I et au nombre de spires par mètre
n.
Pour I = 5 A, n = 485 spires/m on a B = 35.10-4 T, déterminer ce coefficient de proportionnalité et montrer
qu‟elle vaut environ μ0 = 4.π.10-7. Donner l‟expression finale de B en fonction de μ0, n et I.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
66
Faisceau d‟e- Faisceau d‟e- Faisceau d‟e-

dévié dévié
S N
- - -
N S
Tube de + + +
Crookes
mA mA mA
S N
I Face Sud I Face Nord
I I
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
67
T.P. ETUDE EXPERIMENTALE DE LA FORCE MAGNETIQUE
1- MISE EN EVIDENCE EXPERIMENTALE
V0 V0
canon à S canon à N
électrons électrons
N S
2- ETUDE EXPERIMENTALE DU MOUVEMENT DES ELELECTRONS DANS UN CHAMP
MAGNETIQUE UNIFORME
2-1 Dispositif
H1 H2
I
V0 V0
V0
H1 et H2 sont les bobines de Helmholtz qui parcourues par un courant I dans le même sens créent entre elles

dans l‟ampoule, un champ uniforme B . Les électrons sortent du canon à électrons avec le vecteur vitesse
V0
2-2 Observations

Situations possibles entre V0 et B Observations de la nature du mouvement

Cas où V0 est colinéaire à B
 
Cas où 0  ( V0 , B ) = α <
2
  V0
B B
V0
 ……………………………………
Cas où V0  B
1-Influence de la valeur de V0 sur le
rayon de courbure R
2-Influence le la valeur de B 0 sur le
rayon de courbure
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
68
EXPERIENCE DE MISE EN EVIDENCE DU PHENOMENE D’AUTOINDUCTION
EXPERIENCE 1 Observations
 A la fermeture de K
I1 L Bobine
1
R
I2 L  A l‟ouverture de K
I 2 K
Conclusion
EXPERIENCE 2
Flécher les tensions UG aux bornes du générateur Identifier les allures de UR(t) et UG
et UR aux bornes du conducteur ohmique.
Y u(t) (V)
A
Voie YA
U0 Voie YB
GTBF
YB t(s)
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
69
uc uc uc
t t
O O t O
Résistance nulle Résistance faible Résistance importante
Régime périodique Régime pseudo-périodique Régime apériodique
TO = 2  LC T1 voisin de TO
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
70
T.P. CHARGE ET DECHARGE D’UN CONDENSATEUR DANS UNE

INDUCTANCE ET UN CONDUCTEUR OHMIQUE
1- MONTAGE
 Balayage :
 Sensibilité :
- Voie A :
- Voie B :
2- OBSERVATIONS
 Interrupteur position 1
Régime apériodique
Régimes pseudo-périodiques amortissement critique
Calcule de la période :
 Interrupteur position 2
Calcul de la période des oscillations :
Calcul de la pseudo-période:
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
71
TP MONTAGE DERIVATEUR
1-Montage pratique
R
C
E– 
S
ε  ∆∞
Ue GTBF E+ US
M
Valeurs expérimentales :
R = …………………..
C = …………………..
N.B : Pour palier à des défauts de l‟AO, on utilise une résistance de protection RP = ………….
2-Visualisation
- Compléter le schéma ci-dessous en plaçant les voies Y1 et Y2, permettant de lire respectivement les
tensions d‟entrée Ue et de sortie US.
- Compléter le schéma ci-dessous par ce que vous observer à l‟oscillographe.
Réglage de l‟oscillographe :
- Base des temps :
- Sensibilité Verticale sur voie 1:
- Sensibilité verticale sur voie 2 :
3-Vérification des résultats théoriques
Vérifions que ce montage est bien un montage dérivateur, c‟est-à-dire que :

…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
Pour [0……T/2] lire US = ……………….. puis ………………… et -RC =
Conclure :
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
72
TP MONTAGE INTEGRATEUR
1-Montage pratique RP
C
E– S
R ε 
∆∞

Ue GTBF E+ US
M
Valeurs expérimentales :
R = …………………..
C = …………………..
N.B : Pour palier à des défauts de l‟AO, on utilise une résistance de protection RP = …………
2-Visualisation
- Compléter le schéma ci-dessous en plaçant les voies Y1 et Y2, permettant de lire respectivement les
tensions d‟entrée Ue et de sortie US.
- Compléter le schéma ci-dessous par ce que vous observer à l‟oscillographe.
Réglage de l‟oscillographe :
- Base des temps :
- Sensibilité Verticale sur voie 1:
- Sensibilité verticale sur voie 2 :
3-Vérification des résultats théoriques
Vérifions que ce montage est bien un montage dérivateur, c‟est-à-dire que :

…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
Pour [0……T/2] lire US = ……………….. puis ………………… et -RC =
Conclure :
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
73
OSCILLATION ELECTRIQUES FORCEES
1. MONTAGE EXPERIMENTAL
2. MESURE DES TENSIONS EFFICACES
V V G
2.1 Lire les tensions efficaces aux bornes de chaque
r,L dipôle et dire quelle relation y a-t-il entre elles.
R C
*Bobine (r,L) : UB = ……………
G * Condensateur (C) : UC = ……………
* Conducteur ohmique (R) : UR = ……………
V * Générateur (G) : UG = ……………
2.2 Conclusion
3. VISUALISATION
3.1 Placer la voie 1 permettant de visualiser la tension aux bornes du générateur u(t) et la voie 2 celle
aux bornes du conducteur ohmique uR(t) et en déduire l‟allure de i(t).
OSCILLOGRAPHE
Base de temps : ……………………… Voie 1 : ………………………… Voie 2 :…..……………………
3.2 OBSERVATION DES TROIS CAS D‟OSCILLATION FORCEES

Si le générateur impose une tension sinusoïdale instantanée u(t), de fréquence N, quelle est la réponse
donnée par l‟intensité i(t) que donne le circuit RLC série de fréquence constante N0 dans les trois cas
suivants :
Courbes Schemas de Fresnel

Observations
uR(t)
u(t)
u(t)
uR(t)
u(t)
uR(t)
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
74
ETUDE EXPERIMENTALE DE LA RESONNANCE D’INTENSITE
I. OBJECTIFS
- Déterminer expérimentalement la résonnance d‟intensité pour un circuit RLC série

- Déterminer graphiquement la bande passante ∆N et le facteur de qualité Q.
II. PRINCIPE
Un dipôle est constitué d‟une bobine (r, L), de résistance r négligeable, d‟un condensateur de capacité
C = 0 µF alimenté par un générateur délivrant une tension sinusoïdale de fréquence N variable. Un
ampèremètre mesure l‟intensité efficace I pour chaque valeur de N. La tension efficace U aux bornes du
générateur est maintenue constante égale à U = 1 V.
Pour un circuit de résistance R donné l‟allure de I = f(N) est la suivante :
L‟intensité I0 à la résonnance I(A)
I0 est la valeur la plus grande de l‟intensité I dans le circuit. Et
la fréquence correspondante N0 est la fréquence de I0
résonnance.
Détermination expérimentale de ∆N et Q I0/2
Pour I =I0/ qu‟il faut calculer, il lui correspond deux
fréquences N1 et N2 avec N2 > N1 ; ∆N = N2 – N1 et
Q = N0 / ∆N. N(Hz
)
N1 N0 N2
III. MONTAGE
Pour chaque valeur de la résistance R du circuit, faire A R
varier la fréquence N et noter la valeur de l‟intensité I
correspondante en maintenant la tension U constante. V G r, L
C
IV. TABLEAU DE MESURE
N(Hz) 200 300 400 500 520 540 560 580 590 600 620 640 660 680 700 750 800 1000
I(mA) 0,8 1,5 2,65 6 7,6 8,75 15,5 20,5 21 20,7 18,2 13,1 10,6 8,2 6,65 4,6 3,5 2,1
R1=380
R2= 0,7 1,4 2,45 4,6 5,25 6 6,7 7,2 7,2 7,2 6,9 6,5 6 5,5 5 3,75 3,2 1,95
1000
R3= 0,65 1,35 2,2 3,45 3,7 3,9 4,1 4,15 4,15 4,14 4 3,9 3,8 3,6 3,15 3,15 2,75 1,85
1900
V. TRAVAIL A FAIRE
1- Tracer sur le même papier millimétré, les représentations I = f(N) pour R1,R2 et R3 à l‟échelle:
1 cm ↔ 100 Hz et 1 cm ↔ 2 mA.
2- Indiquer et noter la fréquence N0 de résonance et l‟intensité I0 correspondant pour R1, R2 et R3.
3- En déduire la valeur de l‟inductance L.
4- Déterminer graphiquement pour chaque courbe :
4-1 La bande passante ∆N,
4-2 Les facteurs de qualités Q.
4-3 Comparer les trois résonnances et dire le rôle de la résistance.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
75
OXYDATION DES ALCOOLS EN SOLUTION AQUEUSE
BUT DU T.P.
Réaliser l‟oxydation ménagée des alcools en solution aqueuse et identifier les produits d‟oxydation.
I- OXYDATION D’UN ALCOOL AVEC L’OXYDANT EN DEFAUT
1- Matériel et produits
 Labo gaz
 Béchers
 Tubes à essais
 Pipette
 Pince en bois
 Solution de 2,4-dnitrophénylhydrazine (DNPH)
 Réactif de Schiff
 Solution oxydante acidifiée (dichromate ou permanganate de potassium)
 Alcool primaire (butan-1-ol par exemple)
2- Protocole expérimentale
- Verser dans un tube à essai 5 mL de l‟alcool.
- Verser dans le contenu du tube à essais 2 à 3 gouttes de la solution oxydante acidifiée.
- Chauffer le mélange obtenu
- Laisser reposer le mélange du tube à essais puis prélever un échantillon de la phase supérieure
- Partager cet échantillon en deux partie ; tester l‟une à la DNPH et l‟autre au réactif de Tollens ou à la
liqueur de Fehling.
3- Observations
3. Interprétation
II- OXYDATION D’UN ALCOOL AVEC L’OXYDANT EN EXCES
 Labo gaz
 Béchers
 Tubes à essais
 Pipette
 Pince en bois
 Réactif de Schiff
 Solution oxydante acidifiée (permanganate de potassium par exemple)
 Alcool primaire (butan-1-ol par exemple)
- Verser dans un tube à essai 2 mL de l‟alcool.
- Laisser couler goutte à goutte dans le contenu du tube à essais la solution oxydante acidifiée jusqu‟à la
première goutte qui provoque la persistance de la coloration rose
- Prélever deux échantillons du mélange obtenu et tester à la DNPH et au réactif de Schiff.
1- Observations
2- Interprétation
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
76
TEST D’IDENTIFICATION DES ALDEHYDES ET DES CETONES
BUT DU T.P.
Savoir identifier les aldéhydes et les cétones (produits d‟oxydation de certains alcools)
I- TEST D’IDENTIFICATION DES ALDEHYDES ET CETONES A LA DNPH
 Béchers
 Tubes à essais
 Pipette
 Solution de ……………………………………………….. (aldéhyde)
 Solution de ……………………………………………….. (cétone)
- Prendre deux tubes à essais numérotés 1 et 2.
- verser dans chaque tube à essais 2 à 3 mL de DNPH.
- Verser 2 à 3 gouttes d‟aldéhyde dans le tube 2, 2 à 3 gouttes de cétone dans le tube 2.
3- Observations
* Dans le tube 1 :
……………………………………………………………………………………………….
* Dans le tube 2 :
………………………………………………………………………………………………
1- Interprétation
La DNPH donne avec les aldéhydes et les cétones un solide cristallisé de couleur ………………………. la
2,4-dinitrophénylhydrazone.
II- TEST D’IDENTIFICATION DES ALDEHYDES ET CETONES A LA LIQUEUER DE FEHLING
 Béchers
 Tubes à essais
 Pipette
- Prendre deux tubes à essais numérotés 1‟ et 2‟.
- Verser 1 mL de l‟aldéhyde dans le tube 1‟ et 1 mL de la cétone dans le tube 2‟.
- Ajouter ensuite dans le contenu de chaque tube à essai 1 mL de liqueur de Fehling et chauffer.
3- Observations
* Dans le tube 1‟ :
………………………………………………………………………………………………
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
77
* Dans le tube 2‟ :
………………………………………………………………………………………………
4- Interprétation
L‟aldéhyde a réduit la liqueur de Fehling.
L‟équation bilan est :
…………………………………………………………………………………………...
II- TEST D’IDENTIFICATION DES ALDEHYDES ET CETONES AU REACTIF DE TOLLENS
 Béchers
 Tubes à essais
 Pipette
- Prendre deux tubes à essais numérotés 1‟‟ et 2‟‟.
- Verser 1 mL de l‟aldéhyde dans le tube 1‟‟ et 1 mL de la cétone dans le tube 2‟‟.
- Ajouter ensuite dans le contenu de chaque tube à essai 1 mL de réactif de Tollens et chauffer.
3- Observations
* Dans le tube 1‟‟ : ……………………………………………………………………………………………
* Dans le tube 2‟‟ : ……………………………………………………………………………………………
4- Interprétation
L‟aldéhyde a réduit l‟ion diamine argent I Ag(NH)2+. L‟argent est passé de l‟état d‟oxydation +I dans
Ag(NH)2+, à l‟état d‟oxydation zéro dans le métal argent Ag. (Il y a eu une réaction d‟oxydoréduction en
milieu basique)
L‟équation-bilan est : ………………………………………………………………………………………….
IV- TEST D’IDENTIFICATION DES ALDEHYDES ET CETONES AU REACTIF DE SCHIFF

 Béchers
 Tubes à essais
 Pipette
- Prendre deux tubes à essais numérotés 1‟‟‟ et 2‟‟‟.
- Verser 1 mL de l‟aldéhyde dans le tube 1‟‟‟ et 1 mL de la cétone dans le tube 2‟‟‟.
- Ajouter ensuite dans le contenu de chaque tube à essai 1 mL de réactif de Tollens et chauffer.
3- Observations
* Dans le tube 1‟‟‟ : …………………………………………………………………………………………
* Dans le tube 2‟‟‟ : …………………………………………………………………………………………
4- Interprétation
Le rosissement du réactif de Schiff est caractéristique d‟un aldéhyde.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
78
T.P. ETUDE D’UNE ESTERIFICATION
BUT DE LA MANIPULATION
On se propose de déterminer à partir des résultats expérimentaux issus de l‟action de l‟acide éthanoïque sur
l‟éthanol, les caractéristiques de l‟estrification directe.
PRINCPE DE LA MANIPULATION
A une date t = 0 et à une température donnée contrôlée par un bain thermostatique, on réalise dans
différentes ampoules identiques un mélange contenant une mole d‟acide éthanoïque et une mole d‟éthanol.
A un instant donné, on sort une ampoule du bain thermostatique, que l‟on refroidit immédiatement. On
ajoute alors au mélange réactionnel, quelques gouttes de phénophtaléine. On dose alors l‟acide éthanoïque
restant par une solution aqueuse d‟hydroxyde de sodium de concentration connue Cb.
Soit Vb le volume de soude nécessaire pour atteindre l‟équivalence. Sachant que cette réaction est totale et
s‟effectue mole à mole, on détermine la quantité d‟acide restant na par la relation na = CaVa. Soit n0 la
quantité d‟acide au départ, on détermine ensuite la quantité d‟ester formé ne par la formule ne = n0 – na.
RESULTATS OBTENUS
Conditions 1 : Pour un mélange réactionnel sans acide sulfurique et placé à une température de θ = 80° C.
t (h) 0 8 14 20 32 58 6 70
ne (mol) 0 0,02 0,04 0,06 0,10 0,18 0,20 0,24
Conditions 2 : Pour un mélange réactionnel sans acide sulfurique et placé à une température de θ = 100° C.
t (h) 0 2 6 10 14 20 32 40 58 80 100 150

ne (mol) 0 0,1 0,20 0,30 0,34 0,40 0,50 0,54 0,60 0,65 0,66 0,66
Conditions 2 : Pour un mélange réactionnel avec acide sulfurique et placé à une température de θ = 80° C.
t (h) 0 4 6 10 14 20 22 26 32 40
ne (mol) 0 0,34 0,42 0,5 0,56 0,60 0,62 0,64 0,66 0,66
EXPLOITATION DES RESULTATS
1. Tracer sur le même papier millimétré les courbes représentant les fonctions ne = f(t) à l‟échelle de
votre choix.
2. Quelle remarque peut-on faire sur la durée de l‟estérification ?
3. Montrer par le tracé de la courbe que le nombre de moles d‟ester formé est limité. Que peut-on en
tirer pour les réactifs ?
4. Que peut-on dire de l‟influence de la température et de l‟acide sulfurique sur la réaction
d‟estérification ?
5. En déduire les caractéristiques de l‟estérification directe d‟un acide carboxylique sur un alcool.
Ecrire l‟équation-bilan de la réaction de l‟acide éthanoïque sur l‟éthanol.
6. Sachant que l‟hydrolyse est la réaction inverse de l‟estérification, en déduire les caractéristiques de
l‟hydrolyse.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
79
T.P. ETUDE EXPERIMENTALE DU MELANGE D’ACIDE EHANOÏQUE ET D’ETHANOATE
DE SODIUM EN SOLUTION AQUEUSE
1- BUT DE LA MANIPULATION
Etant donné un mélange de solution aqueuse, d‟acide éthanoïque (CH3COOH) et sa base conjuguée, l‟ion
éthanoate (CH3COO-), étudier comment varie le pH quand on fait varier les proportions du mélange et en
déduire la constante d‟acidité KA et le pKA du couple CH3COOH/CH3COO-
2- MODE OPERATOIRE CA C
-1 -1
SA : solution d‟acide éthanoïque de concentration CA = 10 mol.L pHmètre B
SB : solution d‟éthanoate de sodium concentration CB = 10-1 mol.L-1
Pour différentes valeurs du volume VA de SA et du volume VB de SB, mélange
on mesure le pH du mélange à l‟équilibre. CH3COOH et
3- TABLEAU DES MESURES ET TRAVAIL A FAIRE CH3COO-
VA (cm3) 50 50 50 50 50 40 30 20 10
3
VB (cm ) 10 20 20 40 50 50 50 50 50
pH 4,0 4,3 4,5 4,6 4,7 4,8 4,9 5,1 5,4
r=
CH COO 
3

CH 3 COOH 
Log (r)
1-1 Pour le mélange dont le pH = …….., calculer la concentration des espèces chimiques présentes.
1-2 Calculer la valeur de KA =

 
H 3 O  CH 3 COO  
et pKA = – log KA
CH 3 COOH
1-3 Montrer que

CH COO  = CH COO 
3

3

0

VB
et remplir le tableau.
CH 3 COOH  CH 3 COOH 0 VA
1-4 Etude expérimentale de la courbe pH = f(Log

CH COO  )
3

CH 3 COOH 
a- Tracer cette courbe représentative à l‟échelle 1 carreau → 0,1 unité de pH et 1 carreau → 0,1 du
rapport Log (r)
b- Donner l‟équation de la courbe pH = f(Log (r))
c- Que représente l‟ordonnée à l‟origine de cette équation
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
80
T.P. ETUDE DE LA REACTION ENTRE UN ACIDE FORT ET UNE BASE FORTE
1- ETUDE EXPERIMENTALE DE LA REACTION ENTRE LA SOLUTION AQUEUSE D’ACIDE

CHLORHYDRIQUE ET CELLE D’HYDROXYDE DE SODIUM
1-1- Expérience
pHmètre
SA S
SB
solution aqueuse solution aqueuse mélange
d‟acide chlorhydrique d‟hydroxyde de sodium VT =
CA = 10-2 mol.L-1 CA = 1mol.L-1 pH = 2,3
VA = 100cm3 VA = 1cm3
pH =
1-2- Exploitation des résultats
1-2.1Calculer la quantité de matière H3O+ au départ dans la solution SA : n0(H3O+)
1-2.2Calculer la quantité de matière de OH- au départ dans la solution SB : n0(OH-)
1-2.3Calculer la concentration molaire des espèces chimiques présentes dans le mélange S.
1-2.4Calculer la quantité de matière de H3O+ restant dans le mélange : n(H3O+).
1-2.5Calculer la quantité de matière de OH- restant dans le mélange : n(OH-).
1-2.6Comparer n0(H3O+) de SA à n(H3O+) de S puis n0(OH-) de SB à n(OH-) de S. Quelle conclusion peut-

on tirer quant aux caractéristiques de cette réaction acido-basique ?
1-3- Equation-bilan de cette réaction
2-- GENERALISATION DE LA REACTION ENTRE UN ACIDE FORT ET UNE BASE FORTE
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
81
3-EVOLUTION DU pH AU COURS DE LA REACTION ENTRE L’ACIDE CHLORYDRIQUE ET

L’HYDROXYDE DE SODIUM
3-1 Etude expérimentale
Solution aqueuse d‟acide chlorydrique

CA = 10-2 mol.L-1 VA = 20mL
3-2 Tableau de mésure Echelles: 1cm 2mL 1cm 1 unité de pH
VB(mL) 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 18,5
pH 2 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 2,7 2,9 3,3 3,45
VB(mL) 19 19,5 20 20,5 21 21,5 22 24 26 28 30

pH 3,6 4,2 7 9,3 10 10,3 10,5 10,9 11 11,1 11,2
3-3 Courbe de variation de pH = f(VB)
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
82
T.P. ETUDE DE LA REACTION ENTRE UN ACIDE FAIBLE ET UNE BASE FORTE
1- ETUDE EXPERIMENTALE DE LA REACTION ENTRE LA SOLUTION AQUEUSE D’ACIDE

ETHANOÏQUE ET CELLE D’HYDROXYDE DE SODIUM
1-1- Expérience
pHmètre
SA SB S
mélange
solution aqueuse solution aqueuse VT =
d‟acide éthanoïque d‟hydroxyde de sodium pH = 4,3
CA = 10-2 mol.L-1 CB = 0,5 mol.L-1
VA =100cm3 VB = 0,5 cm3
pH = 3,4
1-2- Exploitation des résultats
1-2.1 Calculer la quantité de matière CH3COOH au départ dans la solution SA : n0(CH3COOH)
1-2.2 Calculer la quantité de matière de OH- au départ dans la solution SB : n0(OH-)
1-2.3 Calculer la concentration molaire des espèces chimiques présentes dans le mélange S.
1-2.4 Calculer la quantité de matière de CH3COOH restant dans le mélange: n(CH3COOH)
1-2.5 Calculer la quantité de matière de OH- restant dans le mélange: n(OH-).
1-2.6Comparer n0(CH3COOH de SA à n(CH3COOH) de S puis n0(OH-) de SB à n(OH-) de S. Quelle

conclusion peut-on tirer quant aux caractéristiques de cette réaction acido-basique ?
1-3- Equation-bilan de cette réaction
2- GENERALISATION DE LA REACTION ENTRE UN ACUDE FAIBLE ET UNE BASE FORTE
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
83
3-EVOLUTION DU pH AU COURS DE LA REACTION ENTRE L’ACIDE ETHANOIQUE ET

L’HYDROXYDE DE SODIUM
3-1 Etude expérimentale
Solution aqueuse d‟acide éthanoique

CA = 10-2 mol.L-1 VA = 20mL
3-2 Tableau de mésure Echelles: 1cm 2mL 1cm 1 unité de pH
VB(mL) 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 18,5
pH 3,4 3,8 4,2 4,4 4,6 4,8 5 5,15 5,4 5,75 5,9
VB(mL) 19 19,5 20 20,5 21 21,5 22 24 26 28 30

pH 6,1 6,4 8,6 10,4 10,7 10,9 11 11,3 11,5 11,6 11,7
3-3 Courbe de variation de pH = f(VB)
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
84
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
85
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
86
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
87
QUELQUES SUJETS D’EXAMEN
EPREUVE DE LA SESSION 2011 SERIE C et E
EXERCICE 1
Le parcours ci-dessous représente un jeu pour enfants. Ce jeu consiste à faire tomber une bille dans le
réceptacle C à partir de plusieurs positions (voir schéma).
Le parcours est constitué d‟une piste d‟élan AB raccordée en B à une partie circulaire HO centre I et de
rayon r. La bille de petites dimensions est assimilée à un point matériel.
On négligera les forces de frottements et l‟action de l‟air.
A
C j
D i
A
α
h r
I
M M‟
1- La bille est lâchée sans vitesse initiale du point A situé à une hauteur h = 10m par rapport à B.
1-1. Enoncer le théorème de l‟énergie cinétique.
1-2. Faire l‟inventaire des forces exercées sur la bille entre les points A et O. Les représenter
qualitativement sur un schéma aux points M et M‟. On fera apparaitre sur le schéma, la tangente à la
piste en ces points.
1-3. Déterminer en appliquant le théorème de l‟énergie cinétique :
1-3-1. la vitesse vB de la bille au point B;
1-3-2. la vitesse vO de la bille au point O.
On donne : r = 3m α = 60° et g = 10ms-2.
2- La bille quitte ensuite la piste en O avec la vitesse vO ≈ 10,5 ms-1.
2-1. Représenter qualitativement le vecteur vB sur le schéma.
2-2. Etablir les équations horaires de la trajectoire de la bille dans le repère orthonormé (O, i, j).
2-3. En déduire l‟équation cartésienne de la trajectoire de la bille.
3- Le réceptacle est situé au point C symétrique de O par rapport à la verticale passant par I.
3-1 La bille est lâchée de la hauteur h = 10 m. Montrer que la bille ne tombera pas dans le réceptacle C.
3-2 Quand la bille est lâchée d‟une hauteur h1, elle tombe dans le réceptacle C.
Déterminer :
3-2-1 La vitesse initiale vO’ qu‟il faut donner à la bille au point O pour qu‟elle tombe dans le spectacle C.
3-2-2 La hauteur h1.
3-2-3 La vitesse vC de la bille au point C.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
88
EXERCICE 2
1-Une bobine de resistance R, de longueur l, de rayon r, comporte N spires. Elle est parcourue par un
courant.
1-1 Montrer que l‟expression de l‟inductance L de la bobine est L =
1-2 Calculer L. On donne : l = 11 cm ; r = 6 cm ; N = 900 spires et 0 = 4 10-7 SI.

2-Cette bobine est branchée aux bornes d‟un générateur de courant continu. Elle est parcourue par un
courant d‟intensité I = 2 A.
2-1 Donner l‟expression du flux propre ΦP à travers la bobine.
2-2 Calculer ΦP.
2-3 On ouvre brusquement le circuit qui alimente la bobine. On observe une étincelle au niveau de
l‟interrupteur. Le courant I s‟annule au bout de Δt = 10-2 s.
2-3-1 Donner le nom du phénomène qui est à lorigine de cette étincelle.
2-3-2 Donner l‟expression de la f.é.m e d‟auto-induction créée par la bobine.
2-3-3 Calculer e.
3-Cette bobine est montée en série dans un circuit comportant un condensateur de capacité C, un
interrupteur, un ampèremètre et un générateur basse fréquence délivrant une tension sinusoidale
d‟expression u(t) = Um sin(ωt + ). Où  est la différence de phase entre la tension et l‟intendité du courant
dans le circuit. On donne C = 5,3F.
3-1 Faire le schéma du montage.
3-2 On impose une rension efficace U = 9,3V aux bornes du GBF et on fait varier la pulsation ω du courant
dans le ciecuit. Les resultats des mesures sont consignés dans le tableau ci-dessous:
ω(rad.s-1) 1000 1100 1200 1250 1300 1350 1375 1400 1450 1500 1600
I(mA) 110 160 280 400 660 930 830 660 410 310 200
3-2-1 Tracer la courbe I =f(ω) sur un papier millimétré

Echelle : cm pour 50mA et 1cm pour 50 rad/s
3-2-3 Déterminer :
a-la pulsation propre ω0 du circuit et le courant I0 de la résonance ;
b- l‟inductance L et la résistance interne R de la bobine ;
c- L‟expression de la tension u(t) aux bornes du générateur et celle du courant i(t) dans le circuit à la
résonance ;
d- la alrgeur de la bande passante Δω par la méthode graphique et en déduire le facteur de qualité Q du
circuit.
EXERCICE 3
Dans cet exercice, toutes les expériences sont réalisées à 25°C.
Un professeur dispose de trois (03) solutions acides de même concentration C1 = C2 = C3.
A1 : solution d‟acide chlorhydrique
A2 : solution d‟acide méthanoïque
A3 : solution d‟acide éthanoïque
1. Determination de la concneteration molaire volumique Ca.

A un volume V1 = 50mL de la solution A1 d‟acide chlorhydrique, le professeur ajoute un
volumeVb = 50mL d‟une solution B d‟hydroxyde de sodium de concentration
Cb = 5.10-3 mol.L-1. La mesure du pH du mélange obtenu donne : pH = 2,6.
1-1 Ecrire l‟équation-bilan de la réaction chimique.
1-2 Déterminer l‟expression de la quantité de matière d‟ions hydronium (H3O+) présents dans le
mélange en fonction de Ca, V1, Cb et Vb.
1-3 En déduire l‟expression de la concnetration Ca en fonvtion de Cb, Vb, V1 et de pH.
1-4 Vérifier par le calcul que Ca = 10-2 mol.L-1.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
89
2. Dosage de la solution d‟acide éthanoïque

Le professeur vers progressivement la solution de soude dans un volume V3 = 20mL de la solution
A3 d‟acide éthanoïque. Le tableau ci-dessous indique le pH du mélange en fonction du volume de
soude versée.
Volume Vb de soude versée (mL) 20 40
pH 4,9 8,2
2-1 Ecrire l‟équation-bilan de la réaction entre l‟acide éthanoïque et la soude.

2-2 A quelle étape du dosage se trouve le professeur lorsque Vb = 40mL? Avant l‟équivalence, à
l‟équivalence ou après l‟équivalence? Justifier votre réponse.
2-3 Pour Vb = 40mL, faire l‟inventaire des espèces chimiques présentes dans le mélange.
2-4 Déterminer la cocnetration de chaque espèce chimique présente dans ledit mélange.
2-5 En déduire le pKa du couple acide/ base étudié.
2-6 citer les propriétés du mélange obtenu pour Vb = 20mL. Justifier votre réponse.
2-7 Parmi les indicateurs colorés ci-dessou, lequel convient le mieux au dosage de l‟acide
éthanoïque par la doude? Justofier votre réponse.
3. Comparaison de la force des acides méthanoïque et éthanoïque.

La constante d‟acidité du couple acide/base présent:
-dans la solution A2 d‟acide méthanoïque vaur Ka2 = 1,6.10-4;
-dans la solution A3 d‟acide érhanoïque vaut Ka3 = 1,6.10-5;
3-1 Entre l‟acide méthanoïque et l‟acide éthanoïque, lequel est le plus fort ? Justifier.
3-2 En déduire une comparaison des pH des solutions A2 et A3.
EXERCICE 4
1- On considère un hydrocarbure gazeux A de densité 1,45. La molécule de A ne comporte pas de
cycle. Elle contient 14,3% en masse d‟hydrogène.
1-1 Déterminer la formule brute de A.
1-2 Donner sa formule semi-dévéloppée et son nom.
1-3 La réaction d‟hydratation du composé A produit deux (02) composés B1 et B2
(B2 est majoritaire).
Donner la formule sem-dévéloppée et le nom des composés B1 et B2.
2- Le composéB1 donne deux( 02) composés C et D en présence de dichromate de potassium en
milieu acide. Le composé C donne un test positif avc le réactif de Schiff. Une solution aqueuse du
composé D estcolorée en jaune par quelques gouttes de bleu de brmothymol ( BBT).
2-1 Donner la fonction chimique des composés C et D.
2-2 Donner les formules semi-dévéloppées et le nom des composés C et D.
3-Le composé D réagit avec le propan-2-ol pour donner un composé E.
3-1 Donner le nom de cette réaction et ses caractéristiques.
3-2 Ecrire la formule semi-dévélopée et nom de E.
3-3 Ecrire l‟équation-bilan de cette réaction.
3 Le composé D réagit sur le chlorure de thioyle (SOCl2) pour donner un composé F.
4-1 Donner la fonction chimique, la formule semi-dévéloppée et le nom du composé F.
4-2 Donner lenom de la réaction qui produit le composé E et ses caractéristiques.
4-3 Ecrire l‟équation-bilan de cette réaction.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
90
EPREUVE DE LA SESSION 2011 SERIE D
EXERCICE 1
Un circuit électrique comportz en série in générateur basse fréquence (GBF), un résistor de résistance R, un
condenséteur de capacité C et une bobine d‟inductance L et de résistance interne r. On donne L = 0.1 H.
1. On de propose de mesurer les tensions efficaces U et UR respectivement aux bornes du dipôle (RLC)
et aux bornes du résistor ainsi que l‟intensité I du courant dans le circuit.
Faire le schéma du montage avec les différents branchements.
2. Le montage étant fait, on règle le GBF sur la fréquence N = 159 Hz. Les mesures effectuées
donnent les résultats suivants: U = 4.5 V; UR = 3.5 V et I = 0.1 A.
2.1 Déterminer :
2.1.1 la résistance R su résistor.
2.1.2 L‟impédance Z du circuit.
2.2 Sans changer le montage, on se propose de visualiser à l‟aide d‟un oscilloscope bicourbe, la
tension u(t) aux bornes du circuit RLC sur la voie Y1 et le courant i(t) dans le circuit sur la voie
Y2.
2.2.1 Refaire le schéma du montage en indiquant le branchement de l‟oscilloscope.
2.2.2 L‟oscillogramme obtenu montre que u(t) et i(t) sont en phase.
a. Donner le nom du phénomène observé.
b. Déterminer la résistance r de la bobine et la capacité C du condensateur.
3- La tension U est toujours fixée à 4.5 V et on impose cette fois la fréquence N1 = 100 Hz au circuit.
Pour la suite de l‟exercice, on prendra R = 35  et r = 10 .
3.1 Déterminer :
3.1.1 l‟impédance Z1 du circuit. On donne 2LN1 = 63 et 1/2CN1 = 159 .
3.1.2 L‟intensité I1 du courant dans le circuit.
3.2 Faire la construction de Frenel en utilisant les impédances. Echelle : 1 cm  10 .
3.3 Déterminer :
3.3.1 la phase u/i de la tension u(t) par rapport à l‟intensité i(t).
3.3.2 Le circuit est-il inductif ou capacitif ? Justifier la réponse.
EXERCICE 2
Pour pallier le manque de matériel, le garçon de laboratoire de ton lycée décide de fabriquer sur une table
un dispositif d‟étude de la chute parabolique. Pour ce faire, il utilise un ressort à spires non jointives, de
raideur k = 25 N/m et de masse négligeable et une bille de masse m = 5 g.
Pour tout l‟exercice, on prendra le niveau de table comme niveau de référence des énergies potentielles de
pesanteur.
PHASE 1 : Etude des oscillations.
Le garçon de laboratoire accroche la bille B à l‟extrémité libre du ressort. Il l‟écarte de sa position
d‟équilibre de a = 2 cm et l‟abandonne sans vitesse initiale. Le système (ressort-bille) se met à osciller.
a X
O
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
91
1.
1.1 Faire l‟inventaire des forces extérieures appliquées à la bille et les repréesenter sur un schéma.
1.2 Etablir l‟équation différentielle du mouvement du centre d‟inertie de la bille B.
2. Etablir l‟équation horaire du mouvement de la bille B. On prendra l‟instant du lâcher comme
origine des dates.
3. Calculer l‟énergie macanique du système (Terre – bille B – ressort)
PHASE II : Etude de la chute parabolique.

Bille B
D
i
O x
j
sol
I
sol
y
L‟expérience consiste à lancer la bille B posée sur la table à l‟aide du ressort précédent et à déterminer son
point d‟impact I sur le sol. Le garçon de laboratoire met la bille B en contact avec l‟extrémité libre du
ressort. Le ressort est comprimé de 2 cm et l‟ensemble (bille B – ressort) est abandonné sans vitesse
initiale. La bille B quitte le ressort au point O et arrive au point D. On négligera tous les frottements.
1. Etablir l‟espression de la vitesse VD de la bille au point D en utilisant la conservation de l‟énergie
mécanique du système (Terre – bille – ressort).
2. Calculer la valeur de cette vitesse VD.
3. La bille B quitte le point D avec la vitesse VD horizontale de valeur VD = 1.4 m/s. On étudie son
mouvement ultérieur.
3.1 Faire le bilan des forces extérieures appliquées à la bille B et les représenter sur un schéma.
3.2 Etablir les équations horaires du mouvement de la bille B dans le repère ( D, i, j )
3.3 Déduire l‟équation cartésienne de la trajectoire et donner sa nature.
3.4
3.4.1 Déterminer le temps t1 mis par la bille B pour atteindre le sol au point I.
3.4.2 Déterminer les coordonnées du point d‟impact I de la bille B sur le sol.
On donne DE = 1 m ; g = 10 m/s2.
EXERCICE 3
Afin d‟identifier un acide carboxylique A, on le dose par une solution aqueuse B d‟hydroxyde de sodium
NaOH (soude) de concentration molaire volumique CB = 0.1 mol/L. On prépare 1L de solution de A en
introduisant une masse mA = 4.6 g dans une fiole jaugée. On prélève dans un bécher un volume
VA = 30 mL de la solution A que l‟on dose par la solution de soude B.
Les variations du pH en fonction du volume VB de soude versée sont données dans le tableau ci-dessous.
Vb(mL) 0 5 10 15 20 24 28 30 32 34 36 40
pH 2.4 3.4 3.6 3.7 3.9 4.3 5 5.5 10.9 11.4 11.5 11.6
1. Tracer la courbe pH = f(VB).

Echelles : 1 cm  5 mL en abscisse ; 1 cm  1 unité de pH en ordonnée.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
92
2. Déterminer graphiquement le point d‟équivalence E et donner ses coordonées.
3.
3.1 Déterminer la valeur de la concentration CA de la solution A d‟aide.
3.2
3.21 la formule générale brute de l‟acide carboxylique A en fonction du nombre n d‟atomes de
carbone est CnH2nO2. Déterminer la masse molaire er la formule brute de l‟acide
carboxylique A.
3.22 Donner la formule semi-développée et le nom de l‟acide A.
3.3 Déterminer graphiquement le pKa du couple acide carboxylique/ion carboxylate considéré.
4. On considère la mélange pour lequel VB = 15 mL et pH = 3,7.
4.1 Faire l‟inventaire des espèces chimiques présentes dans le mélange et calculer leurs
concentrations.
4.2 En déduire la pKa du couple acide carboxylique/ion carboxylate.
4.3 Donner :
4.3.1 la nature du mélange;
4.3.2 les propriétés du mélange.
Données: C : 12 g/mol; H : 1g/mol; O: 16 g/mol
EXERCICE 4
Le propanoate d‟éthyle et l‟éthanoate de propyle sont deux (02) isomères d‟un ester G de formule brute
C5H10O2. En séance de travaux pratiques, le professeur de sciences physiques se propose de préparer avec
ses élèves, l‟un de ces deux isomères.
1. Le professeur met à leur disposition trois (03) flacons , ,  contenant respectivement :
-  alcool A, le propan-2-ol
-  alcool B, le propan-1-ol
-  une solution aqueuse de dichromate de potassium acidifiée.
1.1 Ecrire les formules semi-développées des alcools A et B.
1.2 Les élèves font réagir en excès du dichromate de potassium sur les composés A et B. Ils
obtiennent les composés C et C‟.
 Le composé C réagit positivement au test de la DNPH.
 Le composé C‟.
1.2.1 Donner la famille des composés C et C‟.
2. En plus des composés C et C‟ précédents, le professeur leur donne deux (02) autres flacons
contenant l‟un de l‟éthanol (E) et l‟autre du chlorure de propanoyle (F). Une bonne combinaison des
composés C, C‟, E et F permet de préparer l‟ester G.
2.1 Ecrire les formules semi-développées des composés E et F.
2.2 Donner les noms des coposés que les élèves peuvent utiliser pour préparer l‟ester G.
2.3 Ecrire les équations bilans des réactions qui donnent l(ester G, à partir des composés de la
question 2.2.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
93
Principaux Classification
groupes périodique Numéro atomique Principaux groupes
Période
I II des éléments III IV V VI VII
masse
VIII
1 1,0 1 1,0 atomique 2
H H 4,0
1 hydrogène hydrogène He
couche K
hélium
3 7,0 4 9,0 5 10,8 6 12,0 7 14,0 8 16,0 9 19,0 10
Li Be B C N O F 20,2
2 lithium béryllium bore carbone azote oxygène fluor Ne
couche L
néon
11 23,0 12 24,0 13 27,0 14 28,0 15 31,0 16 32,0 17 35,5 18
3 Na Mg Al Si P S Cl 39,9
Eléments de transition
couche M sodium magnésium
III IV V VI VII VIII VIII VIII I II aluminium silicium phosphore soufre chlore Ar
argon
19 39,0 20 40,0 21 45,0 22 48,0 23 50,9 24 52,0 25 54,9 26 56,0 27 58,9 28 58,7 29 63,5 30 65,4 31 69,7 32 72,6 33 74,9 34 79,0 35 79,9 36
K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br 83,8
4 potassium calcium scandium titane vanadium chrome manganèse fer colbat nickel cuivre zinc gallium germanium arsenic sélénium brome Kr
couche N
krypton
37 85,5 38 87,6 39 88,9 40 91,2 41 92,9 42 95,9 43 99 44 101,1 45 102,9 46 106,4 47 107,9 48 112,4 49 114,8 50 118,7 51 121,8 52 127,6 53 126,9 54
Rb Sr Y Zr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I 131,3
5 rubidium strontium yttrium zirconium niobium molybdène technétium ruthénium rhodium palladium argent cadmium indium étain antimoine tellure iode Xe
couche O
xénon
55 132,9 56 137,3 72 178,5 73 180,9 74 183,9 75 186,2 76 190,2 77 192,2 78 195,1 79 197,0 80 200,6 81 204,4 82 207,2 83 209,0 84 209 85 210 86
Cs Ba Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At 222
6 césium baryum hafnium tantale tungstène rhénium osmium iridium platine or mercure thalium plomb bismuth polonium astate Rn
couche P
radon
87 223 88 226,1 104 260 105 260
7 Fr Ra Ku Ha
couche Q francium radium Kurtcha hahnium
tovium
57 138,9 58 140,1 59 140,9 60 144,2 61 145 62 150,4 63 152,0 64 157,3 65 158,9 66 162,5 67 164,9 68 167,3 69 168,9 70 173,0 71 175,0
Lanthanides La Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Dy Ho Er Tm Yb Lu
lanthane cérium praséodyme néodyme prométhium samarium europium gadolinium terbium dysprosium holmium erbium thulium ytterbium lutétium
89 227 90 232,0 91 231 92 238,0 93 237 94 242 95 243 96 247 97 249 98 249 99 254 100 255 101 256 102 253 103 257
Actinides Ac Th Pa U Np Pu Am Cm Bk Cf Es Fm Md No Lw
actinium thorium proctacti – uranium neptunium plutonium américium curium berkélium califor – einstei – fermium mendélé – nobélium lawrencium
nium nium nium vium
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Fasc Tle C-D

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1

Ce cahier d’activités, conçu et réalisé par le conseil d’enseignement de SCIENCES

qui devrait permettre :

 à l’enseignant d’avancer plus rapidement et de façon plus harmonieuse dans son

cours et dans la correction des exercices avec les élèves,

 à l’élève qui l’utilise correctement et régulièrement de mieux comprendre les

leçons de SCIENCES PHYSIQUES en Tle C et D tout en se familiarisant avec l’esprit

devoir ; l’objectif final étant de le préparer à réussir l’épreuve de S.P au BAC.

Le conseil d’enseignement remercie l’administration de l’E.A.J.P / E.N.S pour le soutien

LUN MAR MER JEU VEN

1- Solutions aqueuses - Notion de pH……………………………………………………….37

II- CHIMIE ORGANIQUE

1. Donner les positions respectives du point M aux instants 0 s, 1 s, 3 s et 4 s.

A partir des schémas, ci-dessous :

3. Déterminer dans chaque cas la position du centre d‟inertie du solide à t = 10 s et en déduire la

2- Calculer l‟accélération normale an et l‟accélération tangentielle at. En déduire l‟accélération a du point M.

On donne : 1cm ↔ 5 cm ; 1 cm ↔ 10 m.s-1 ; 1cm ↔ 103 m.s-2.

Un véhicule se déplace sur un trajet rectiligne. Sa vitesse est

Calculer la valeur du champ de gravitation terrestre :

1-Enoncer la troisième loi de Képler.

On donne : m = 100g ; g = 10m.s-2;  = 25°; f = 0,2N AB = l = 2m ; r = IM =ID = 20cm BC = l’ = 1m.

Une pétite sphère S de masse m = 5g portant une charge électrique q = +4.0-7C,

Echelles : 1cm 0,08s

1-Préciser à t = 0, la vitesse initiale et la position initiale du pendule. Justifier votre réponse.

4-2Déduire l‟expression de l‟énergie mécanique en fonction de k et xm.

EXERCICE 5 (TC uniquement)

Superposition de champs magnétiques

Chaque aimant crée au point O un champ magnétique d'intensité 4,0 mT.

EXERCICE 2: SPECTROGRAPHE DE MASSE

Le schéma répresente un spectographe de masse, vu de dessus. (I) (C1) (C2)

EXERCICE 3:FILTRE DE VITESSE

Un cyclotron est constitué de deux boîtes

EXERCICE 1 : TIGE DE LAPLACE

1-1 Que se passe-t-il lorsque :

2-1 Expliquer pourquoi on observe un mouvement de rotation. Préciser son sens.

EXERCICE 2 : RAILS DE LAPLACE

Deux rails conducteurs rectilignes sont disposés horizontalement, parallèles S

EXERCICE 3 : BALANCE DE COTTON

1- Indiquer sur le schéma le sens de B crée par l‟aimant.

Dans chacun des cas ci-dessous, lors du déplacement de l‟aimant ou de la bobine :

On veut visualiser à l‟aide d‟un oscilloscope bicourbe la

base de temps : 5 ms / div

La voie A d‟un oscilloscope est branchée aux bornes du condensateur.

1.1Quel phénomène représente-t-elle ?

1-Attribuer à chaque courbe la valeur de la résistance totale du dipôle. Justifier.

- Etablir l'équation différentielle vérifiée par la charge q au cours du temps.

1. Ce montage est-il un montage intégrateur ou dérivateur? Justifier votre réponse succinctement en

0.5 1,5 2.5 3.5 t(ms)

fig 1 fig 2 fig 3

u1 (voie A) : 10V/div ; u2 (voie B) : 5V/div ; balayage : 2ms/div.

On mesure l‟intensité efficace du courant traversant chaque dipôle .On obtient :

Données (valables pour tout l‟exercice) :

Nom du noyau ou Radon Radium Hélium Neutron Proton Electron

Le pH d‟une solution très dilué de potasse KOH est égal à 9,2.

Une solution aqueuse d‟hydroxyde de sodium a un pH égal à 11,6 à 25 °C.

1. A partir du tableau des résultats, compléter le tableau suivant

2. Tracer la courbe pH = f(– log Ci)

On réalise l‟electrolyse de deux solutions aqueuses d‟acides A et B de même concentration C.

Le pH d‟une solution d‟acide éthanoïque de concentration Ca =0.1mol/L est égal à 2,9.

Une solution d‟éthanoate de sodium de concentration 0,1mol/L a un pH de 8,9.

Les pH de 2 solutions d‟acide éthanoïque A et B de concentration CA = 5,10-2 mol/L et CB = 5,10-3 mol/L

On considère les espèces chimiques suivantes :

Une solution de chlorure d‟ammonium (NH4Cl) de concentration molaire