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Pourquoi les personnes

n’alertent pas
lorsqu’elles sont au
bord du burnout ?
Quand on interroge des
personnes qui ont connu un
burnout et qu’on leur
demande pourquoi elles
n’en ont pas parlé avant…
… on recueille toujours les
mêmes propos.
Ces personnes…
• pensaient qu’un peu de repos ou quelques jours
de congés seraient suffisants pour aller mieux,

• n’étaient pas en capacité d’avoir le recul ou la


lucidité nécessaire pour apprécier leur degré
d’épuisement - parfois faute d’un entourage
suffisamment attentif,

• ne voulaient pas admettre leurs vulnérabilités de


peur que cela ait des conséquences sur leur
évolution de carrière ou leur présence dans
l’entreprise,

• ne voulaient pas impacter leurs collègues voire


leur hiérarchie qui auraient inévitablement
récupéré une partie de leur travail…
Mais ce qu’elles ne
savaient pas c’est que le

déni
est une caractéristique
propre du burnout.
Parce que le déni est l’un
des mécanismes de défense
que la personne met en
place pour se protéger…

mais qui contribue à


accélérer la rupture.
Et alors, on fait quoi ?
Pour les dirigeants
et les DRH

Accepter qu’on parle


des vulnérabilités
dans l’entreprise et
lever les tabous.
Pour la personne à risque, être à
l’écoute des collègues quand
ils questionnent :

• notre fatigue,
• nos comportements,
• nos changements d’habitudes,
• nos difficultés professionnelles,
•…
Pour l’entourage de la personne,
tenir compte du déni derrière
lequel elle se protège et :

• Identifier si l’organisation du travail


est susceptible de mettre la
personne en difficulté au regard des
facteurs déterminants
organisationnels du burnout,
• Identifier si les représentations et
l’idéal au travail de la personne sont
des facteurs déterminants…
Enfin, observer les éventuels signes
précurseurs inhabituels :

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