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Ministerul Educaţiei și Cercetării Științifice

Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare


Examenul de bacalaureat naţional 2016
Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal
Proba scrisă la Limba franceză
Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările
Model
• Toate subiectele sunt obligatorii.
• Timpul efectiv de lucru este de 120 de minute.

ÎNŢELEGEREA TEXTULUI CITIT


SUBIECTUL I (40 de puncte)
Lisez attentivement le texte ci-dessous:
Eurovision : Rambo Amadeus, dynamiteur de clichés
Provocateur joyeux, le chanteur de turbo-funk, Rambo Amadeus, représentera le
Monténégro au concours de l’Eurovision. « Euro neuro », le titre qu’il interprète, décline avec
humour et justesse les clichés sur les Balkans et leur rapport à l’UE.
Depuis quelques années déjà, le concours de l’Eurovision s’est transformé en plateforme
de confrontation politico-musicale. [0] Quant au Monténégro, il a trouvé une astuce originale: faire
de sa participation au Concours de l‘Eurovision une manifestation regardée par 160 millions de
téléspectateurs, un tremplin pour promouvoir son économie ! Après une année d’absence due à la
récession, les Monténégrins reviennent avec l’idée de donner un coup de pouce au tourisme,
secteur-clé de leur économie qui a rapporté environ 670 millions d’euros l’année dernière.
Dans le clip, réalisé avec beaucoup d’humour par l’artiste slovène Miha Knific, on voit
défiler les beautés touristiques du Monténégro, mais également les stéréotypes avec lesquels les
touristes viennent dans les Balkans, tels que la bonne nourriture, la vie nocturne ou les filles
attirantes [0]. A la fin du clip, on retrouve même une allusion à la crise de la zone euro. Rambo
joue habilement avec l’ironie à plusieurs niveaux. D’un côté, il se moque des clichés balkaniques,
et de l’autre des stéréotypes européens sur la région. Le concept a été financé par la télévision
nationale, l’Office du tourisme et le syndicat des viticulteurs monténégrins. Il aurait pu être
facilement financé par l’Union européenne, pourquoi pas? http://www.presseurop.eu
a. Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d'examen.
1. Ce texte est un fragment
A. d'une interview.
B. d'un article de presse.
C. d'une étude scientifique.
2. Le thème du document est
A. le chanteur Rambo Amadeus et sa musique.
B. la place de Monténégro dans l’industrie musicale européenne.
C. la participation du Monténégro au plus connu concours européen de musique.

b. Choisissez la variante VRAI ou FAUX et écrivez-la sur la feuille d'examen, en la justifiant avec
une phrase ou une expression du texte.
VRAI FAUX
1. Le concours Eurovision se remarque par son objectivité dans
l’évaluation du talent musical des participants.
Justification: 0000000000000000000000000.
2. Rambo Amadeus, par sa chanson pour le concours de l’Eurovision,
fait de la publicité pour son pays.
Justification: 0000000000000000000000000.
3. Les stéréotypes des Européens sur les pays balkaniques,
présentés dans le clip « Euro, neuro » tournent autour de la bonne
cuisine, du divertissement et de la beauté féminine.
Justification: 0000000000000000000000000.
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SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous:
Grand Corps Malade, le défi du troisième album. Une carrière en construction
Critiques, patrons de label ou chanteurs expérimentés disent qu’une carrière normale
commence au troisième album. Le premier est une découverte entre l’artiste et le public, le
deuxième confirme (ou infirme) leur relation. C’est avec le troisième disque qu’il faut vraiment
prouver que l’on a vraiment du tempérament, une inspiration solide, un univers vraiment riche.
3e temps est le troisième album de Grand Corps Malade et on pourrait se demander s’il est
vraiment installé dans la carrière d’artiste de variétés. Réponse immédiate: « Je n’en ai aucune
idée. Je ne sais pas ce qu’est une carrière normale. Faire ce métier n’est pas un rêve de jeunesse.
J’ai commencé pour m’amuser dans les bars puis j’ai senti que j’aimais vraiment la scène. J’ai
tellement l’impression d’être privilégié de me retrouver aujourd’hui avec quelque chose qui
ressemble à une carrière: c’est une passion dont je vis, et dont je vis bien. Je voyage, je rencontre
beaucoup de gens et la création de cet album a été un moment fabuleux... Du coup, je n’ai pas
l’impression d’être dans une carrière, d’avoir besoin de faire un album et de partir en tournée parce
que c’est mon taf*. »
Pourtant, ces dernières années, Grand Corps Malade a vécu un début de carrière comme il
y en a eu peu d’aussi prospères: deux premiers albums qui totalisent plus d’un million
d’exemplaires vendus (Midi 20 en 2006 et Enfant de la ville en 2008), deux Victoires de la musique
en France, deux Félix au Québec, plus de deux cents cinquante concerts en deux tournées0
Et, outre le succès commercial, il a réussi à faire considérer le slam** comme un art noble
et riche.
Le titre de son nouvel album, 3e temps, sonne presque comme un programme: le troisième
temps consiste à confirmer que Grand Corps Malade n’est pas un engouement, une mode, un
instant de l’histoire culturelle française; l’enjeu n’est pas la pérennité du slam, mais bien la stature
du raconteur d’histoires, de l’auteur, de l’éveilleur de personnages0
Ce n’est pas un hasard s’il insiste: « Je n’écris pas pour l’album. J’écris tout le temps.
Quand je commence à réfléchir à l’album, je regarde dans mes feuilles et je choisis ce que je vais
taper sur mon ordinateur pour le déposer à la Sacem. » Il ne pèse rien, ne dose rien, ne choisit
pas de thématique générale, mêle les textes très personnels et les inspirations plus sociales0 « Il
y a des textes plus sombres ou plus interrogatifs comme Jour de doute, des textes comme
Éducation nationale où je regarde ce qui se passe autour de moi, ou J’attends, avec un mélange
d’introspection et de réalité économique et sociale. Et il y a aussi des moments où je suis plus gai,
où j’ai envie d’écrire L’Heure d’été ou de parler du fils qui arrive dans Définitivement. »
Pourtant, il dit volontiers ne vouloir s’engager qu'« en pointillés », se posant toujours des
questions sur sa légitimité à s’exprimer en tant qu’artiste sur le terrain des responsables politiques.
De manière symétrique, il récuse en revanche tout soupçon de tour d’ivoire artistique : « Je n’ai
pas de problème de légitimité quand je dis que je suis quelqu'un de normal. J’ai une vie normale,
même quand je suis en tournée. Pendant deux ou trois jours, tout le monde est aux petits soins
avec moi; puis je rentre chez moi à Saint-Denis et je vais faire les courses moi-même. Je crois
vraiment que je suis resté quelqu'un de normal. Quand dans un texte je dis 'je', c’est vraiment le
'je' de quelqu'un qui continue à avoir des émotions, des envies, une famille, des potes, des
moments de galère, même si j’ai un métier différent de la moyenne. »
Bertrand Dicale - www.rfimusique.com
*mon taf = mon travail
** le slam = poésie orale chantée, urbaine, déclamée dans un lieu public, sur un rythme scandé ; on considère que le
slam est un mouvement artistique porteur de valeurs telles que l'ouverture d'esprit, le partage, la liberté d'expression et
le dépassement des barrières sociales.

Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d’examen:


1. Que représente, d’habitude, le troisième album dans le parcours professionnel d’un chanteur ?
A. Une étape quelconque.
B. Le moment de validation professionnelle.
C. Une étape obligatoire qui ouvre l’accès aux grandes scènes.
D. L’apogée de la carrière musicale d’un artiste.

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2. Comment semble réagir Grand Corps Malade à la question concernant sa confirmation comme
artiste sur la scène française ?
A. Il se retrouve confortablement en position de star.
B. Il est sûr de son succès.
C. Il est confiant dans ses forces et dans son talent.
D. Il affirme sincèrement ne pas pouvoir mesurer l’étendue de son succès.
3. Selon les dires de Grand Corps Malade, faire carrière comme artiste0
A. c’est un privilège issu de la passion et de l’aisance qu’il ressent sur scène.
B. était son rêve d’enfance.
C. a été son projet de jeunesse.
D. n’a pas constitué un impératif de sa vie, bien au contraire.
4. Pourquoi ne se sent-il pas contraint par les exigences d’une carrière artistique ?
A. Sa carrière semble s’esquisser toute seule, par passion.
B. Parce qu’il voyage beaucoup dans tout le monde.
C. Parce qu’il rencontre beaucoup de gens ayant des goûts musicaux très divers.
D. Il se considère une vedette absolue.
5. Par quels albums réussit-il à se faire connaître et admirer ?
A. Midi 20, 3e temps
B. Midi 20, Enfant de la ville
C. Enfant de la ville, 3e temps
D. 3e temps, Jour de doute
6. Qu’est-ce qui semble confirmer la valeur artistique de Grand Corps Malade ?
A. Le nombre de concerts auxquels il est invité partout dans le monde.
B. Les prix reçus aux concours européens de musique.
C. Sa voix unique et son talent.
D. Le succès de ses premiers albums, visible dans le nombre d’exemplaires vendus.
7. Quel est le thème général abordé dans l’album 3e temps ?
A. La valeur du slam français.
B. Les sujets qui préoccupent surtout les jeunes.
C. La famille et l’univers personnel.
D. On ne peut pas parler de thème unique ou général dans cet album.
8. Où trouve-t-il les sources de son inspiration ?
A. Il appuie son inspiration dans la vie économique et sociale de son pays.
B. Dans sa propre vie et dans tout ce qui se passe autour de lui.
C. Chez les artistes de son âge.
D. Il se reconnaît dans le slam américain.
9. Quelle place occupe le message politique et la problématique sociale dans les chansons de
Grand Corps Malade ?
A. La politique est au cœur de sa création.
B. Il affirme ne pas s’intéresser à la politique.
C. Il a du mal à se reconnaître en tant que porte-parole politique.
D. Il préfère ignorer ces thèmes.

10. Malgré son succès, Grand Corps Malade se considère:


A. la voix de sa génération.
B. une personne qui n’a rien d’exceptionnel.
C. un professionnel des arts de la scène.
D. un homme qui a réussi sa vie.

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PRODUCEREA DE MESAJE SCRISE

SUBIECTUL I (40 de puncte)


Vous participez à un échange scolaire et vous êtes en France pour deux semaines. Écrivez à votre
meilleur(e) ami(e) qui vous attend en Roumanie pour lui raconter votre expérience (parlez des
activités auxquelles vous participez, de vos nouveaux collègues, de l’école où vous vous trouvez
pour l’échange, de ce que vous trouvez intéressant, etc.). (80 à 100 mots)

N.B. Votre nom est Julien / Julie.

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Que pensez-vous de l’influence de plus en plus croissante des médias dans la vie de l’homme
moderne? Donnez votre opinion dans un développement structuré et argumenté de 160 à 180 mots.

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Examenul de bacalaureat naţional 2016

Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal

Proba orală la Limba franceză

Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările

Model

1. Si on est touriste, pourquoi est-ce qu'il faut venir à Bucarest?

2. Quand vous étiez petit(e), c'était quoi, un samedi typique? Parlez-en.

3. Certains pensent qu’il vaut mieux se soigner par les plantes. Qu’en pensez-vous?
Argumentez votre réponse.

Proba C – Limba franceză


Ministerul Educaţiei Naţionale și Cercetării Științifice
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare
Examenul de bacalaureat naţional 2017
Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal
Proba scrisă la Limba franceză
Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările
Model
• Toate subiectele sunt obligatorii.
• Timpul efectiv de lucru este de 120 de minute.

ÎNŢELEGEREA TEXTULUI CITIT

SUBIECTUL I (40 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous:
La Fête de la Musique a été créée en 1982 par le ministère de la Culture.
Quand Maurice Fleuret devient Directeur de la Musique et de la Danse en octobre 1981, à
la demande de Jack Lang, il applique ses réflexions sur la pratique musicale et son évolution : «la
musique partout et le concert nulle part». Découvrant en 1982, à l’occasion d’une étude sur les
pratiques culturelles des français, que cinq millions de personnes dont un jeune sur deux, jouent
d’un instrument de musique, il se prend à rêver de faire descendre les gens dans la rue.
Et c’est ainsi, en quelques semaines, que Jack Lang, ministre de la culture, décide de
lancer la première Fête de la Musique, le 21 juin 1982, jour du solstice d’été, nuit païenne se
référant à l’ancienne tradition des fêtes de la Saint-Jean.
« Faites de la musique, Fête de la Musique », la formule devenue mot d’ordre n’avait rien
du slogan. Cette mobilisation des musiciens professionnels et amateurs, cette attention nouvelle
portée à tous les genres musicaux, devenaient ainsi, à travers la réussite immédiate d’une
manifestation populaire et largement spontanée, la traduction d’une politique qui entendait
accorder leur place aux pratiques amateur ainsi qu’au rock, au jazz, à la chanson et aux musiques
traditionnelles, aux côtés des musiques dites sérieuses ou savantes.
http://quefaire.paris.fr
a. Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d'examen.
1. En octobre 1981, Jack Lang :
A. demande à Maurice Fleuret une analyse de la pratique musicale et de son évolution.
B. applique ses réflexions sur la pratique musicale et son évolution.
C. devient Directeur de la Musique et de la Danse.
2. La Fête de la Musique:
A. est une reprise moderne des fêtes de la Saint-Jean.
B. représente une cérémonie païenne se référant à l’ancienne tradition française.
C. est une manifestation célébrant tous les genres musicaux.
b. Choisissez la variante VRAI ou FAUX et écrivez-la sur la feuille d'examen, en la justifiant avec
une phrase ou une expression du texte.
VRAI FAUX
1. En étudiant la pratique musicale on a constaté que les gens
chantaient beaucoup mais qu’il n’y avait aucune manifestation
publique où l’on puisse montrer son talent musical.
Justification: JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ.
2. La première édition de la Fête de la Musique a eu lieu en plein
hiver.
Justification: JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ.
3. « La Fête de la Musique » accorde une place privilégiée aux
musiques dites sérieuses ou savantes.
Justification: JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ.
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Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare
SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)
Lisez attentivement le texte ci-dessous:
Si les médias renvoient de façon générale une image négative des jeunes, il ne faut pas
pour autant occulter les démarches favorables sur le sujet. Le journal Libération par exemple
remet fréquemment en cause les stéréotypes véhiculés par ses concurrents. Dans un article du 4
novembre 2010 au titre évocateur (« Le jeune de banlieue n’existe pas »), le témoignage d’un
professeur de lycée rompt avec l’image traditionnelle du jeune de banlieue. Pour lui, qui a travaillé
à Drancy, à Saint-Denis, à Stains et à Aubervilliers, le « jeune de banlieue » n’existe pas, il affirme
ne « jamais avoir rencontré le jeune de banlieue dont on [lui] parle ». Il a « souvent vu des jeunes
qui voulaient s’en sortir ».
Pour briser le mythe du « voyou » des quartiers sensibles, le journal s’appuie sur des
statistiques : « En 2005, après la 21e nuit d’émeute, il y a eu 2 921 interpellations sur tout le
territoire. À titre de comparaison, il y a, dans la seule Seine-Saint-Denis, 65 919 collégiens, 46 062
lycéens, soit plus de 110 000 jeunesJ ». À partir de ces chiffres, le journal conclut que tous les
jeunes ne brûlent pas des voitures en banlieues. L’article poursuit sur les chiffres de l’échec
scolaire en banlieue : si on prend en compte l’origine sociale des élèves, les écarts entre les zones
sensibles et les autres sont très faibles.
Parallèlement aux médias qui ne se contentent pas des préjugés sur les jeunes, il existe
des actions favorables à destination des jeunes. L’ANACEJ (association nationale des conseils
d’enfants et de jeunes) par exemple a créé le prix « Stop aux clichés des jeunes » récompensant
les journalistes ayant réalisé un reportage qui donne la parole aux jeunes et véhicule une vision
réaliste de la jeunesse. Ce prix est décerné par les jeunes eux-mêmes, ces derniers étant les
mieux à même de juger de la représentativité des reportages les concernant.
Dans le milieu des professionnels des médias, la commission « Jeunes et Médias » créée
en 2000 a entrepris une démarche de dialogue sur la représentation des jeunes dans les médias.
Elle a notamment pour objectif de remédier à la tendance des médias à parler systématiquement
des jeunes en termes négatifs et caricaturaux.
Enfin, il existe de nombreuses initiatives visant à soutenir les jeunes et en particulier ceux
issus de milieux défavorisés. C’est le cas par exemple des internats d’excellence tels que celui de
Marly-le-Roi, de certaines associations ou encore de la Fondation TF1, créée en 2007 et
proposant chaque année des contrats de professionnalisation dans le milieu de l’audiovisuel aux
jeunes des quartiers sensibles. Toutefois, ces démarches demeurent minoritaires – et parfois
coûteuses à l’instar des internats d’excellence dont le rapport d’évaluation a été remis en juin 2011
- comparées à la prépondérance des stéréotypes véhiculés par les médias. www.credoc.fr

Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d’examen:


1. Cet article traite le sujet :
A. des médias en général.
B. des démarches médiatiques généralement défavorables aux jeunes.
C. de la façon négative dont les jeunes se rapportent aux médias.
D. de la concurrence dans le domaine des médias.
2. Le journal Libération se dresse contre :
A. les jeunes des banlieues qui ne respectent pas les lois.
B. le témoignage d’un professeur qui conteste l’existence d’un profil spécifique du « jeune de
banlieue ».
C. les clichés employés dans les médias quand il s’agit des jeunes qui vivent dans les
banlieues.

3. Dans son témoignage, le professeur cité par Libération, affirme:


A. que l’image « du jeune de banlieue » reflète un stéréotype qui ne se retrouve pas dans la
réalité.
B. que l’image « du jeune de banlieue » doit être améliorée pour diminuer les écarts entre les
zones sensibles et les autres.
C. que « le jeune de banlieue » n’existe qu’à Drancy, à Saint-Denis, à Stains et à Aubervilliers.

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4. Selon les statistiques invoquées par le journal :
A. plus de 110 000 jeunes ont pris part aux émeutes du 21e juin.
B. le mythe du « voyou » des quartiers sensibles est soutenu par tous les jeunes qui vivent
dans les banlieues.
C. tous les jeunes des collèges et des lycées de la zone Seine-Saint-Denis brûlent des
voitures .
D. un nombre assez réduit de jeunes ont brûlé des voitures pendant l’émeute de 2005.
5. Dans les banlieues, l’échec scolaire:
A. se situe à un niveau très élevé par rapport aux autres zones envisagées par les
statistiques .
B. n’a aucune liaison avec l’origine sociale des jeunes.
C. enregistré par les statistiques n’est pas significativement supérieur par rapport aux autres
zones analysées.
D. est à l’origine des écarts entre les zones sensibles et les autres plus développées.
6. L’ANACEJ:
A. décourage les journalistes qui expriment une mauvaise opinion concernant les jeunes.
B. promeut une représentation réaliste des jeunes dans les médias.
C. a créé le prix « Stop aux clichés des jeunes » pour récompenser les jeunes journalistes.
D. est une association nationale qui soutient les droits des enfants et des jeunes affectés par
les médias.
7. Le prix « Stop aux clichés » :
A. est décerné par les jeunes pour les reportages les plus objectifs concernant la jeunesse
française.
B. est disputé par les jeunes journalistes qui font partie de L’ANACEJ.
C. est accordé par les jeunes aux journalistes ayant démontré leur professionnalisme dans la
présentation des conflits de 2005.
8. La commission « Jeunes et Médias » se propose:
A. de résoudre les conflits entre les jeunes et les médias.
B. de déclencher un dialogue entre les représentants des jeunes et ceux des médias.
C. de combattre l’obsession des médias à présenter les jeunes d’une façon négative.
D. de remédier à la tendance systématique des médias à construire une image négative sur
les jeunes et leurs actions.
9. De nombreuses initiatives visant à soutenir les jeunes:
A. font appel aux associations pour obtenir des contrats de professionnalisation dans le milieu
de l’audiovisuel.
B. s’adressent en particulier aux jeunes issus des zones sensibles.
C. ont enregistré des succès notables dans les médias.

10. Les diverses démarches axées sur les intérêts des jeunes:
A. soulignent les succès des internats d’excellence dont le rapport d’évaluation a été remis en
juin 2011.
B. ont été moins nombreuses face à la prépondérance des stéréotypes véhiculés par les
médias.
C. ont été moins coûteuses que les internats d’excellence.
D. restent minoritaires dans le domaine des médias.

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PRODUCEREA DE MESAJE SCRISE

SUBIECTUL I (40 de puncte)


Vous organisez une soirée festive dans votre nouvel appartement et vous envoyez un courriel à
vos amis pour les y inviter et pour leur offrir toutes les informations nécessaires.
(80 à 100 mots)
N.B. Votre nom est Daniel / Danielle.

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


En France, le phénomène des bandes de jeunes qui se retrouvent ensemble pour leurs loisirs a
pris une extension considérable, à la campagne comme à la ville. Comment les choses se
passent-elles chez nous ? Donnez votre opinion dans un développement structuré et argumenté de
160 à 180 mots.

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Examenul de bacalaureat naţional 2017

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studiată pe parcursul învăţământului liceal

Proba orală la Limba franceză

Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările

Model

1. Si on est touriste, pourquoi est-ce qu'il faut venir à Bucarest?

2. Quand vous étiez petit(e), c'était quoi, un samedi typique? Parlez-en.

3. Certains pensent qu’il vaut mieux se soigner par les plantes. Qu’en pensez-vous?
Argumentez votre réponse.

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Examenul de bacalaureat naţional 2018


Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal
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Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările
Model
• Toate subiectele sunt obligatorii.
• Timpul efectiv de lucru este de 120 de minute.
ÎNŢELEGEREA TEXTULUI CITIT
SUBIECTUL I (40 de puncte)
Lisez attentivement le texte ci-dessous:
Carnaval, le temps des fêtes
Chaque année, un peu partout dans le monde, en février, c’est la période des carnavals.
Les plus connus sont ceux de Nice, Dunkerque, Rio, Venise ou encore Québec. Pendant ces
grandes fêtes les gens se déguisent, chantent, dansent et surtout s’amusent.
C’est une tradition qui existe depuis très longtemps. Pendant le carnaval, tout est permis !
Les règles de la vie normale sont mises entre parenthèses et chacun fait ce qu’il lui plaît. Avant, on
inversait tout ; c’était un monde où les enfants se déguisaient en adultes, les riches en pauvres, les
maîtres en esclaves. Toutes les classes sociales se mélangeaient et faisaient la fête.
Aujourd’hui encore, le carnaval est l’occasion de jouer à être un autre, pendant une nuit.
Les déguisements sont plus variés : des clowns, des animaux, des super-héros comme Spiderman
ou Batman. À Dunkerque, les hommes se déguisent en femme et les femmes en homme. À
Venise ou à Rio, on se cache derrière un masque pour ne pas être reconnu.
Le mardi gras est le jour le plus important de la période du carnaval. C’est un jour de fête,
le dernier avant de commencer le carême1. Ce jour-là les familles cuisinent des gaufres, des
beignets ou encore des crêpes! Le carnaval permet à tout le monde de faire la fête et de faire le
plein de bonne humeur. d’après http://www.1jour1actu.com
1
Le carême est une période de 40 jours pendant laquelle les chrétiens ne font pas la fête.

a. Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d'examen.


1. Le carnaval est:
A. un anniversaire.
B. un repas.
C. une tradition.
2. Le carnaval a lieu:
A. en Europe.
B. en France.
C. un peu partout dans le monde.
b. Choisissez la variante VRAI ou FAUX et écrivez-la sur la feuille d'examen, en la justifiant avec
une phrase ou une expression du texte.
VRAI FAUX
1. Les carnavals existent depuis longtemps.
Justification: DDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD.
2. Aujourd’hui, aux carnavals, les déguisements sont plus variés.
Justification: DDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD.
3. Le mardi gras est un jour comme les autres de la période du
carnaval.
Justification: DDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD.

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Lisez attentivement le texte ci-dessous:
Le bac est-il donné à tout le monde?
En plus de 200 ans d’existence, le baccalauréat a changé. D’un examen concernant 1%
de la population à sa création, ce diplôme est devenu un passage obligé qui a beaucoup évolué
dans son histoire.
Créé en 1808 par Napoléon, ce diplôme réservé à une élite est devenu une référence,
obligatoire pour quiconque souhaite poursuivre des études supérieures. Alors qu’à sa création, à
peine 1% d’une classe d’âge décrochait le bac, ce chiffre s'est élevé à 77,3% l’an dernier.
Le nombre de bacheliers est en constante augmentation depuis 1945. Dans les années
60, avec la première massification, le nombre de candidats est passé de 80.710, en 1960, à
200.722, en 1970, soit une augmentation de près de 150%. En 1969, sont introduites les épreuves
du bac technologique. Aux 200.000 candidats du bac général s’ajoutent plus de 25.000 nouveaux
élèves en lycée technologique en 1969. Dix ans plus tard, ils seront plus de 100.000.
Le taux de réussite est lui aussi en augmentation. L’année 1960 récompensait 73,5% des
candidats. Un pourcentage relativement élevé pour l’époque. Avec l’année 1968 (81,3%), connue
pour être «l'année où tout le monde a eu son bac», c’est le seul taux à dépasser les 68% avant
1987.
Le taux de réussite connaît un premier bond après la création des bacs technologiques en
1969 et restera stable jusqu’en 1987, première année pour les bacs professionnels. Il augmentera
ensuite de manière constante jusqu’à atteindre le taux record de l’année dernière avec 90,3% des
candidats diplômés. Les bacs pro et techno prennent une part de plus en plus importante dans le
nombre total des bacheliers. En 2014, un bachelier sur deux était issu de filière générale, un sur
cinq de filières technos et 30% des filières pros.
Avec la normalisation du diplôme, il est important de se différencier. Mais alors que de
plus en plus d’établissements postbac sélectionnent sur les mentions1, celles-ci deviennent de plus
en plus fréquentes. En 2014, plus d’un bachelier sur deux obtenait au moins la mention assez
bien. La multiplication des options, ou l’instauration des TPE (travaux personnels encadrés) en
2002, permettent de faire gonfler les moyennes, car seules les bonnes notes comptent.
Statiquement il était plus difficile d’obtenir une mention bien en 1967 qu’une mention très bien
aujourd’hui.
Mais que se passe-t-il du côté de la parité ? Qui réussit le mieux son examen de
baccalauréat, les garçons où les filles? Depuis Julie-Victoire Daubié, première femme à avoir le
bac en 1861, la tendance tend à le confirmer. Sur les vingt dernières années, toutes filières
confondues, la part de filles par tranche d’âge réussissant le bac est plus importante que celle des
garçons. Si les deux sexes sont de plus en plus diplômés, l’écart reste sensiblement le même
entre filles et garçons. En 1995, 72,5% des garçons de la tranche d’âge sont devenus bacheliers
pour 76,6% des filles, soit 4,1 points de différence. Un écart presque identique à celui de 2014, où
les chiffres étaient de 85,6% pour les garçons et de 90,3% pour les filles.
Vincent Bordenave et Margaux Lormier - leJDD.fr
1
Il existe trois mentions possibles à l'examen : «Très Bien», «Bien», «Assez Bien».

Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d’examen:


1. L’examen de baccalauréat est la création DDDD. et concernait seulement DDDD
A. de Napoléon, au XIXe siècle ; 1% d’une classe d’âge.
B. de Napoléon, au XIXe siècle ; 77,3 % d’une classe d’âge.
C. de Napoléon, au XXe siècle ; 1% d’une classe d’âge.
D. de Napoléon, au XXe siècle ; 77,3 % d’une classe d’âge.

Proba C – Limba franceză Model


2
Ministerul Educaţiei Naţionale
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

2. Le nombre de jeunes qui réussissent leur examen de baccalauréat:


A. est stable depuis 1945.
B. est en constante baisse depuis plusieurs décennies.
C. est en constante baisse depuis 1945.
D. est en constante augmentation depuis plusieurs décennies.

3. Entre DDDDDDDDD le nombre de candidats au baccalauréat a augmenté de 150%.


A. 1950 et 1960.
B. 1960 et 1970.
C. 1970 et 1980.
D. 1980 et 1990.
4. L’année 1968 est connue :
A. pour être «l'année où tous les candidats ont échoué au bac» (81,3%).
B. pour être «l'année où tout le monde a obtenu son bac» (100%).
C. pour être «l'année où tout le monde a eu son bac» (81,3%).
D. pour être «l'année où tous les jeunes ont souhaité avoir le bac» (81,3%).
5. En 1969, on a créé:
A. le bac pro.
B. le bac technologique.
C. le bac général.
D. le bac scientifique.
6. Après le bac, les universités:
A. sélectionnent les étudiants en fonction de leur mention (très bien, bien ou assez bien).
B. apprécient les étudiants par des mentions (très bien, bien ou assez bien).
C. évaluent les candidats par des mentions (très bien, bien ou assez bien).
D. choisissent les meilleures mentions (très bien, bien ou assez bien).
7. Statiquement, une mention «bien» en 1967:
A. était impossible à obtenir.
B. s’obtenait moins difficilement qu’une mention «assez bien»
C. s’obtenait plus difficilement qu’une mention «très bien» aujourd’hui.
D. était plus difficile à obtenir qu’une mention «très bien» en 1945.
8. Julie-Victoire Daubié est:
A. celle qui a eu la meilleure mention au baccalauréat.
B. celle qui a gagné le premier baccalauréat en 1861.
C. celle qui a obtenu la meilleure note au baccalauréat en 1861.
D. la première femme de l’histoire du baccalauréat à l’avoir eu en 1861.
9. La part de filles par tranche d’âge qui réussissent le bac:
A. est moins importante que celle des garçons.
B. est plus importante que celle des garçons.
C. est aussi importante que celle des garçons.
D. est nulle.
10. «Les filles et les garçons sont de plus en plus diplômés» signifie :
A. le niveau des diplômes des jeunes s'élève au fil des générations.
B. leur niveau d'études est de plus en plus bas.
C. les jeunes sont de moins en moins qualifiés et préparés pour l’emploi.
D. les jeunes sont surqualifiés pour leur travail.

Proba C – Limba franceză Model


3
Ministerul Educaţiei Naţionale
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

PRODUCEREA DE MESAJE SCRISE

SUBIECTUL I (40 de puncte)


Votre ami Pierre vous invite à un concert qui aura lieu à la salle municipale mercredi soir ; il y va
avec sa sœur.
Vous lui répondez, vous le remerciez, vous acceptez son invitation et vous lui proposez une
activité après le concert.
(80 à 100 mots)
N.B. Votre nom est Claude/Claudine.

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Internet a énormément changé et bouleversé notre vie quotidienne, notre économie, nos pratiques
culturelles et notre manière d’apprendre. Le « e-learning » est en plein essor. Pensez-vous qu’il
soit possible de tout ou presque tout apprendre à distance ?
Quels sont, selon vous, les avantages et les inconvénients de l’apprentissage à distance par
rapport à l’apprentissage en classe ?
Donnez votre opinion dans un développement structuré et argumenté de 160 à 180 mots.

Proba C – Limba franceză Model


4
Ministerul Educaţiei Naţionale
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

Examenul de bacalaureat naţional 2018

Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal

Proba orală la Limba franceză

Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările

Model

1. Si on est touriste, pourquoi est-ce qu'il faut venir à Bucarest?

2. Quand vous étiez petit(e), c'était quoi, un samedi typique? Parlez-en.

3. Certains pensent qu’il vaut mieux se soigner par les plantes. Qu’en pensez-vous?
Argumentez votre réponse.

Proba C – Limba franceză


Ministerul Educaţiei Naţionale
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

Examenul de bacalaureat naţional 2019


Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal
Proba scrisă la Limba franceză
Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările
Model
• Toate subiectele sunt obligatorii.
• Timpul efectiv de lucru este de 120 de minute.

ÎNŢELEGEREA TEXTULUI CITIT


SUBIECTUL I (40 de puncte)
Lisez attentivement le texte ci-dessous:

« On prépare des générations de sourds »


Écouter de la musique fort et souvent, comme le font une majorité de jeunes, peut entraîner
des dommages irréversibles, rappelle le Docteur Alain Londero dans une interview :
Les décibels ne parlent pas obligatoirement aux gens. Le bruit d'une brasserie, entre les gens qui
parlent, des verres, se situe aux alentours de 80 décibels. Une pièce calme, c'est 35-40. Être
exposé à plus de 80 décibels pendant plus de huit heures par jour, cinq jours par semaine,
pendant la durée d'une vie professionnelle, c'est déjà toxique pour le système. Quand vous êtes à
plus de 100 décibels, quelques minutes d'exposition peuvent avoir un effet traumatisant.
Écouter de la musique peut-il rendre sourd(e) ?
C'est certain. Les jeunes s'exposent plusieurs heures par jour à des niveaux souvent
déraisonnables, avec des traumatismes aigus, le problème n'est plus réservé aux personnes
âgées. On prépare des générations de sourds, parce que la durée de vie augmente. Si on
commence à abîmer son système auditif à 18 ans, quand on aura 80-85-90 ans, on aura - en plus
- le vieillissement naturel! Pour le coup, on va tous vieillir très sourds! Ce qui pose un problème de
santé publique et de coût social parce qu'il faut envisager des appareillages auditifs qui coûtent
beaucoup d'argent aux patients et à la société. Sans compter qu'une fois qu'on n'entend plus, on a
une socialisation qui est bien moins bonne. CULTUREBOX 05/01/2015

a. Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d'examen.


1. Le texte ci-dessus est extrait d’ :
A. une chronique musicale.
B. un fait divers.
C. une interview.

2. L’objectif du texte est :e


A. de polémiquer sur un problème de santé.
B. d’attirer l’attention sur un problème de santé.
C. susciter une réaction de la part des autorités.

b. Choisissez la variante VRAI ou FAUX et écrivez-la sur la feuille d'examen, en la justifiant avec
une phrase ou une expression du texte.
VRAI FAUX
1. Les effets d’une musique trop forte sont réversibles quand on est jeune.
Justification:JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ
2. Plus l’espérance de vie accroît, plus la surdité risque de s’installer.
Justification: JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ.
3. Devenir sourd est un problème sans retombées économiques sur la société.
Justification: JJ

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1
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Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous:

L'apparition d'Internet

Lorsque j’ai commencé en 1966, non seulement Internet n’existait pas mais la plupart des
outils n’existaient pas dans ce domaine-là. Dans les milieux populaires notamment, il n’y avait pas
encore de télévision omniprésente, j’ai vu moi-même ma première émission en 1963. Dans le
grand public, on peut dire que personne ne s’attendait à l’arrivée d’Internet. Mes étudiants de
maîtrise à la Sorbonne, les premières fois que je leur en ai parlé, ne savaient pas non plus à quoi
s’en tenir. Parmi les spécialistes, en revanche, on savait que quelque chose de ce genre allait
arriver, qui serait à la fois une ressource inépuisable, une immédiateté et une personnalisation –
l’individualisation de l’usage étant la grande nouveauté amenée par l’Internet.
« On savait bien que les centres de ressources étaient profondément inégalitaires »
Les professionnels qui s’intéressaient au FLE1 s’y attendaient davantage dans la mesure
où l’usage des médias en général, de la télévision en particulier, en classe, était limité du fait de
leur massification. De cela, les professeurs n’avaient pas besoin. Les plus exigeants d’entre eux
savaient bien que les centres de ressources étaient profondément inégalitaires : les élèves qui
arrivaient avec un capital culturel développé en bénéficiaient énormément, tandis que ceux qui en
étaient privés au départ beaucoup moins. Les écarts se creusent de ce fait. En définitive, c’est la
question du type d’école que l’on veut développer qui se pose : une école qui fabrique des élites
ou qui s’efforce de faire en sorte que le peloton reste groupé.
Ces professeurs étaient donc dans l’attente de quelque chose tout en restant très marqués
par l’état antérieur des outils disponibles. Pendant longtemps, ils ont eu en effet tendance à sous-
utiliser Internet dont ils ne mesuraient pas tout à fait les potentiels. Il faudrait rappeler au passage
qu’Internet offre des possibilités extrêmement variées. L’expression « usage d’Internet » n’a
d’ailleurs strictement aucun sens, il y a des usages d’Internet qui sont fonction de l’usager.
« Je n’ai pas vu de cours de français qui ait été élaboré, imaginé, construit en fonction
d’Internet »
C’est ainsi que dans les revues professionnelles ou lors des stages de formation,
notamment, on se contentait le plus souvent d’utiliser ce matériel nouveau pour reproduire des
enseignements anciens. Sur le fond, il n’y avait pas de changement. Internet, en cela, ne différait
pas des médias qui l’avaient précédé. On a toujours eu tendance en effet à dissocier l’instrument
du contenu. À vouloir faire passer un contenu existant, le nouvel instrument ne fonctionnait qu’à
20% de ses possibilitésJ
Je n’ai pas vu de cours de français qui ait été élaboré, imaginé, construit en fonction
d’Internet. Les outils d’enseignement n’ont pas véritablement évolué dans leur structure même. Il
faudrait pour ce faire tenir compte davantage des caractéristiques d’Internet. Cette remarque est
importante dans la mesure où les apprenants sont de plus en plus des enfants d’Internet. Pour
eux, cette manière de voir le monde, d’apprendre, d’emmagasiner, de restructurer son capital
culturel est naturelle. Tandis que les professeurs ont quand même besoin un peu de se forcer.
L’augmentation de cette distance entre enseignants et apprenants est un phénomène
majeur. Une bonne partie des réticences des apprenants au cours tient en effet à ce qu’ils
n’appartiennent pas au même monde culturel que les enseignants. Les écarts s’accroissent de
manière mécanique – il y a une marge temporelle, qu’on le veuille ou non, entre enseignants et
apprenants, ces derniers restant apprenants beaucoup moins longtemps que les enseignants
restent enseignants – et du même coup les insatisfactions augmentent.
Louis Porcher, entretien réalisé à Sèvres, le 6 octobre 2008
1
FLE - Français Langue Etrangère

Proba C – Limba franceză Model


2
Ministerul Educaţiei Naţionale
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d’examen:


1. Selon Porcher, Internet est:
A. un appui à l’apprentissage.
B. une source de divertissement.
C. une ressource inépuisable.
D. un outil indispensable.

2. À l’école, la massification des ressources :


A. sert à tous les élèves.
B. accentue les inégalités.
C. accentue l’esprit d’équipe.
D. sert beaucoup aux élèves défavorisés.

3. Les professeurs hésitent à utiliser Internet à toute sa capacité :


A. parce qu’ils en ignorent les potentiels.
B. parce qu’ils ne savent pas comment le faire.
C. parce qu’ils craignent de ne pas creuser des écarts entre les élèves.
D. parce qu’ils préfèrent d’autres ressources.

4. Internet est utilisé :


A. de la même façon par tout le monde.
B. par les plus avertis dans la technologie.
C. par les plus jeunes professeurs.
D. différemment, par chaque individu.

5. Les professeurs utilisent Internet :


A. pour transmettre d’autres contenus.
B. pour rendre l’enseignement plus accessible.
C. pour changer les vieux contenus.
D. pour transmettre différemment les enseignements anciens.

6. Internet :
A. renouvelle l’apprentissage au même titre que l’avait fait la télévision.
B. renouvelle l’apprentissage plus que ne l’avait fait la télévision.
C. renouvelle l’apprentissage au même titre que l’avaient fait d’autres médias.
D. renouvelle l’apprentissage plus que ne l’avait fait la radio.

7. Les bénéfices d’Internet :


A. sont parfaitement exploités.
B. ne sont pas assez exploités.
C. sont intégralement exploités.
D. sont inexistants.

8. Pour les élèves, la manière de voir le monde imposée par Internet est :
A. naturelle.
B. chaotique.
C. injuste.
D. dépassée.

9. Internet :
A. améliore les rapports entre les apprenants et les enseignants.
B. réduit l’écart entre les apprenants et les enseignants.
C. accentue l’écart entre les apprenants et les enseignants.
D. ne modifie pas les rapports entre les apprenants et les enseignants.

Proba C – Limba franceză Model


3
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Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

10. Les apprenants restent apprenants « beaucoup moins longtemps que les enseignants restent
enseignants »:
A. les enseignants travaillent plus d’heures par jour que les apprenants.
B. on n’est pas enseignant pour une très longue période.
C. on reste apprenant pendant une période indéterminée.
D. on est apprenant pour une période déterminée.

PRODUCEREA DE MESAJE SCRISE

SUBIECTUL I (40 de puncte)


Vous invitez votre ami(e) à votre fête d’anniversaire. Vous lui envoyez un courriel pour lui donner
les informations nécessaires (date, heure, lieu, d’autres invités) et pour lui expliquer comment
il/elle doit s’y prendre pour y arriver. (80 à 100 mots)

N.B. Votre nom est Olivier / Olivia.

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Un monde sans violence, serait-il à envisager? Qu’en pensez-vous ? Donnez votre opinion dans un
développement structuré et argumenté de 160 à 180 mots.

Proba C – Limba franceză Model


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Ministerul Educaţiei Naţionale
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

Examenul de bacalaureat naţional 2019

Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal

Proba orală la Limba franceză

Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările

Model

1. Si on est touriste, pourquoi est-ce qu'il faut venir à Bucarest?

2. Quand vous étiez petit(e), c'était quoi, un samedi typique? Parlez-en.

3. Certains pensent qu’il vaut mieux se soigner par les plantes. Qu’en pensez-vous?
Argumentez votre réponse.

Proba C – Limba franceză


Ministerul Educaţiei Naţionale
Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

Examenul de bacalaureat naţional 2020


Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal
Proba scrisă la Limba franceză
Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările
Model
• Toate subiectele sunt obligatorii.
• Timpul efectiv de lucru este de 120 de minute.

ÎNŢELEGEREA TEXTULUI CITIT

SUBIECTUL I (40 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous :

Accompagner les adolescents dans l’âge adulte : c’est le but de Phosphore,


le magazine qui donne rendez-vous deux fois par mois.
Dans chaque numéro :
• 13 raisons de se réjouir : le plein d’actualités sur des sujets variés (culture, science,
technologie, politique, sport, etc.) pour s’informer en toute positivité.
• 3 grands sujets : des formats longs pour aller au fond des choses. Il peut s’agir de
reportages ou d’enquêtes sur l’orientation, l’actualité ou des sujets de société ; de
documentaires historiques ou scientifiques ; ou d’interviews de personnalités.
• Vibrer : le témoignage d’un jeune sur un événement, une amitié, une relation amoureuse
ou familiale l’ayant marqué, sur son parcours personnel ou professionnel, sur un obstacle,
complexe, défi qu’il ou elle a dû surmonter … pour émouvoir ou inspirer.
• Vous avez des questions ? Nous avons les réponses : 10 pages où Phosphore répond
aux questions que les ados se posent vraiment sur l’actualité, la technologie, l’orientation,
l’intimité, le rapport aux autres, etc.
• Il y a un métier pour ça : un focus sur les métiers porteurs, nouveaux ou à venir. Le plus ?
Ils sont liés aux articles du numéro.
Le plus : l’appli Give me five by Phosphore : 5 actualités à lire en 5 minutes une fois par
semaine sur son téléphone mobile.
Un abonnement au magazine Phosphore donne les clés aux ados de 14 à 18 ans pour
s’épanouir, comprendre le monde et faire les bons choix pour leur avenir – parce que demain se
prépare aujourd’hui !
https://www.phosphore.com/magazine

a. Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d'examen.

1. Le texte ci-dessus est :


A. une description détaillée ;
B. une publicité ;
C. une brève.

2. PHOSPHORE est un magazine :


A. bihebdomadaire ;
B. mensuel ;
C. bimensuel.

Proba C – Limba franceză Model


1
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Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

b. Choisissez la variante VRAI ou FAUX et écrivez-la sur la feuille d'examen, en la justifiant avec
une phrase ou une expression du texte.

VRAI FAUX
1. Les réponses aux questions des lecteurs précèdent la rubrique Témoignages.
Justification:…………………………………………………………………………………
2. L’application offre des actualités plus souvent que le magazine en format papier.
Justification: ………………………………………………………………….
3. Le magazine s’adresse aux ados jusqu’à seize ans.
Justification: ……

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous:

À partir de quel âge acheter un ordinateur à son enfant ?

La Croix : À partir de quel âge offrir un ordinateur personnel à son enfant ?


Pascale Marmara : Tout dépend de la maturité de l’enfant. Avant le collège, cela ne me semble
pas indispensable. Il peut utiliser l’ordinateur familial. Et à partir de la 6e, c’est au cas par cas.
Si le jeune a démontré une capacité d’autorégulation devant les écrans, qu’il n’est pas dans un
comportement de fuite de la réalité et qu’il entretient un bon niveau de dialogue avec ses parents,
un ordinateur personnel peut être un très bon outil pour sa scolarité et sa culture générale.
En revanche, s’il a des difficultés d’intégration sociale ou scolaire et une mauvaise estime de soi, il
ne faut pas le laisser gérer seul les multiples risques d’addiction à l’ordinateur.
Comment l’aider à s’autoréguler ?
P. M. : La première chose à faire est de donner l’exemple. Si les parents sont toujours le nez sur
leur smartphone, ils ne peuvent pas attendre de leur enfant qu’il fasse différemment. L’autre
attitude constructive est de s’intéresser à ses activités en lui demandant de vous raconter ce qu’il a
fait ou les difficultés qu’il a rencontrées et comment il les a résolues. Ce « débriefing » lui permet
de prendre conscience de ce qu’il a expérimenté et de structurer sa pensée en en faisant la
restitution. Un enfant qui raisonne ne se laisse plus happer par la fluidité de l’activité numérique et
revient à un rythme plus proche de la vie réelle.
Enfin, je conseille aux parents de ne pas fixer de temps d’écran de manière rigide, mais de
délimiter les tâches. Plutôt que de dire à l’enfant tu peux utiliser l’ordinateur vingt minutes, mieux
vaut lui proposer d’arrêter après telle activité ou lorsqu’il aura trouvé telle solution. C’est moins
frustrant et plus satisfaisant pour lui d’être allé au bout d’une étape. Il acquiert en outre des
comportements utiles pour ses études et le monde du travail.
Quel est l’intérêt d’avoir un ordinateur personnel ?
P. M. : Un ordinateur personnel va permettre au jeune de stocker ses recherches scolaires dans sa
bibliothèque, ses musiques, ses vidéos, éventuellement pour faire des montages. C’est un outil qui
lui apporte une certaine autonomie. À l’inverse, l’ordinateur familial va décourager certaines
activités spontanées parce qu’il n’aura pas accès à l’appareil. Il est toutefois possible de trouver
des règles de partage satisfaisantes, en créant, par exemple, des sessions personnalisées.
Un ordinateur personnel peut être plus intéressant pour les garçons que pour les filles, parce qu’ils
lisent en moyenne moins qu’elles. C’est un moyen pour eux de contrebalancer cette relative
pauvreté littéraire en acquérant d’autres types de connaissances, sur Internet.
Faut-il interdire un code sur l’ordinateur ?
P. M. : Je ne suis pas certaine que ce soit une bonne idée avec un adolescent. Introduire une
notion de contrôle, pour une activité qui développe les apprentissages et l’autonomie, est un peu
décourageant. En revanche, montrer sa confiance, tout en posant des conditions, est souvent plus
bénéfique.
Si le dialogue est bon entre le jeune et ses parents, c’est le jeune lui-même qui va ouvrir son
ordinateur. Et s’il ne le fait pas spontanément, on peut lui forcer un peu la main de manière

Proba C – Limba franceză Model


2
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respectueuse, en lui disant « j’aimerais savoir où tu en es, ce que tu as stocké, retenu. Cela peut
intéresser, ton frère ou ta sœur. » S’il ne coopère pas, il faut des règles. Mais transformons le mot
« contrôle » par attention extérieure. C’est souvent beaucoup plus constructif.
Recueilli par Paula Pinto Gomes, PHOSPHORE, le 04/09/2018

Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d’examen :

1. Un ordinateur personnel est très bon pour les élèves qui :


A. n’ont pas de problèmes d’intégration sociale ;
B. sont aidés à avoir une capacité de régulation devant les écrans ;
C. ne sont pas dans un comportement de fuite de la réalité virtuelle ;
D. évitent la communication verbale.

2. L’addiction au numérique se transmet :


A. à cause de l’école ;
B. à cause de la télé ;
C. dans le groupe d’amis ;
D. des parents aux enfants.

3. Pour lutter contre l’addiction au numérique, il faut:


A. minuter les activités développées devant l’écran ;
B. proposer à l’enfant une utilisation active et efficace du numérique ;
C. dire à l’enfant d’éteindre l’ordinateur après un certain temps ;
D. programmer l’ordinateur à s’éteindre automatiquement.

4. Le rythme de l’activité numérique :


A. est plus rapide que celui de la vie réelle ;
B. est moins rapide que celui de la vie réelle ;
C. est aussi rapide que celui de la vie réelle ;
D. est aussi lent que celui de la vie réelle.

5. L’activité numérique est dangereuse pour :


A. tous les enfants ;
B. les enfants qui n’ont pas d’expérience ;
C. les enfants raisonnables ;
D. les enfants déraisonnables.

6. Le recours à l’ordinateur familial :


A. coupe l’envie d’accéder à Internet ;
B. décourage l’enfant à utiliser Internet ;
C. n’offre pas d’autonomie dans l’usage du numérique ;
D. offre de l’autonomie dans l’usage du numérique.

7. Les garçons sont plus intéressés que les filles à avoir un ordi car :
A. ils peuvent lire des livres en format numérique ;
B. ils ne lisent pas de livres en format papier ;
C. c’est une manière d’augmenter la pauvreté littéraire ;
D. c’est une manière de pallier la pauvreté littéraire.

8. Le contrôle parental nuit :


A. à la curiosité de l’enfant ;
B. à l’autonomie de l’enfant ;
C. à l’intégration de l’enfant ;
D. à l’intelligence de l’enfant.
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3
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Centrul Naţional de Evaluare şi Examinare

9. La confiance en son enfant doit être :


A. conditionnelle, pour être bénéfique ;
B. inconditionnelle, car l’enfant ressemble aux parents ;
C. conditionnelle, car l’enfant ne ressemble pas aux parents ;
D. inconditionnelle, pour être bénéfique.

10. Les parents doivent imposer leurs règles :


A. pour suppléer au dialogue ;
B. pour avoir une forme de dialogue ;
C. avant d’avoir une forme de dialogue ;
D. en cas d’échec de toute autre forme de dialogue.

PRODUCEREA DE MESAJE SCRISE

SUBIECTUL I (40 de puncte)

Vous invitez votre correspondant français à un tour de monde à vélo. Vous lui présentez l’intérêt
de ce voyage. (80-100 mots)
N.B. Votre nom est Yves /Yvette.

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)

Vous écrivez une lettre au maire de votre ville française pour lui demander d’intervenir contre
l’excès de publicité qui enlaidit l’aspect de la ville et qui est devenu un facteur de stress.
(160-180 mots)
N.B. Vous signez par un pseudonyme.

Proba C – Limba franceză Model


4
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Centrul Național de Politici și Evaluare în Educație

Examenul naţional de bacalaureat 2023

Proba C
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studiată pe parcursul învăţământului liceal

Proba orală la Limba franceză

Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările

Model

1. Quelle est votre période préférée de l’année ? Mais celle que vous n’aimez pas du tout ?

2. Vous avez assisté à un spectacle [musique / théâtre / autre]. Décrivez les décors / la scène
et dites ce que vous avez surtout apprécié.

3. Cours en ligne ou cours en présentiel ? Quel serait votre choix ? Argumentez-le !

Proba C – Limba franceză


Ministerul Educaţiei
Centrul Naţional de Politici și Evaluare în Educație

Examenul naţional de bacalaureat 2022


Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal
Proba scrisă la Limba franceză
Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările
Model
• Toate subiectele sunt obligatorii.
• Timpul efectiv de lucru este de 120 de minute.

ÎNŢELEGEREA TEXTULUI CITIT

SUBIECTUL I (40 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous :

Accompagner les adolescents dans l’âge adulte : c’est le but de Phosphore,


le magazine qui donne rendez-vous deux fois par mois.
Dans chaque numéro :
• 13 raisons de se réjouir : le plein d’actualités sur des sujets variés (culture, science,
technologie, politique, sport, etc.) pour s’informer en toute positivité.
• 3 grands sujets : des formats longs pour aller au fond des choses. Il peut s’agir de
reportages ou d’enquêtes sur l’orientation, l’actualité ou des sujets de société ; de
documentaires historiques ou scientifiques ; ou d’interviews de personnalités.
• Vibrer : le témoignage d’un jeune sur un événement, une amitié, une relation amoureuse
ou familiale l’ayant marqué, sur son parcours personnel ou professionnel, sur un obstacle,
complexe, défi qu’il ou elle a dû surmonter … pour émouvoir ou inspirer.
• Vous avez des questions ? Nous avons les réponses : 10 pages où Phosphore répond
aux questions que les ados se posent vraiment sur l’actualité, la technologie, l’orientation,
l’intimité, le rapport aux autres, etc.
• Il y a un métier pour ça : un focus sur les métiers porteurs, nouveaux ou à venir. Le plus ?
Ils sont liés aux articles du numéro.
Le plus : l’appli Give me five by Phosphore : 5 actualités à lire en 5 minutes une fois par
semaine sur son téléphone mobile.
Un abonnement au magazine Phosphore donne les clés aux ados de 14 à 18 ans pour
s’épanouir, comprendre le monde et faire les bons choix pour leur avenir – parce que demain se
prépare aujourd’hui !
https://www.phosphore.com/magazine

a. Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d'examen.

1. Le texte ci-dessus est :


A. une description détaillée ;
B. une publicité ;
C. une brève.

2. PHOSPHORE est un magazine :


A. bihebdomadaire ;
B. mensuel ;
C. bimensuel.

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b. Choisissez la variante VRAI ou FAUX et écrivez-la sur la feuille d'examen, en la justifiant avec
une phrase ou une expression du texte.

VRAI FAUX
1. Les réponses aux questions des lecteurs précèdent la rubrique Témoignages.
Justification:…………………………………………………………………………………
2. L’application offre des actualités plus souvent que le magazine en format papier.
Justification: ………………………………………………………………….
3. Le magazine s’adresse aux ados jusqu’à seize ans.
Justification: ……

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous :

À partir de quel âge acheter un ordinateur à son enfant ?

La Croix : À partir de quel âge offrir un ordinateur personnel à son enfant ?


Pascale Marmara : Tout dépend de la maturité de l’enfant. Avant le collège, cela ne me semble
pas indispensable. Il peut utiliser l’ordinateur familial. Et à partir de la 6e, c’est au cas par cas.
Si le jeune a démontré une capacité d’autorégulation devant les écrans, qu’il n’est pas dans un
comportement de fuite de la réalité et qu’il entretient un bon niveau de dialogue avec ses parents,
un ordinateur personnel peut être un très bon outil pour sa scolarité et sa culture générale.
En revanche, s’il a des difficultés d’intégration sociale ou scolaire et une mauvaise estime de soi, il
ne faut pas le laisser gérer seul les multiples risques d’addiction à l’ordinateur.
Comment l’aider à s’autoréguler ?
P. M. : La première chose à faire est de donner l’exemple. Si les parents sont toujours le nez sur
leur smartphone, ils ne peuvent pas attendre de leur enfant qu’il fasse différemment. L’autre
attitude constructive est de s’intéresser à ses activités en lui demandant de vous raconter ce qu’il a
fait ou les difficultés qu’il a rencontrées et comment il les a résolues. Ce « débriefing » lui permet
de prendre conscience de ce qu’il a expérimenté et de structurer sa pensée en en faisant la
restitution. Un enfant qui raisonne ne se laisse plus happer par la fluidité de l’activité numérique et
revient à un rythme plus proche de la vie réelle.
Enfin, je conseille aux parents de ne pas fixer de temps d’écran de manière rigide, mais de
délimiter les tâches. Plutôt que de dire à l’enfant tu peux utiliser l’ordinateur vingt minutes, mieux
vaut lui proposer d’arrêter après telle activité ou lorsqu’il aura trouvé telle solution. C’est moins
frustrant et plus satisfaisant pour lui d’être allé au bout d’une étape. Il acquiert en outre des
comportements utiles pour ses études et le monde du travail.
Quel est l’intérêt d’avoir un ordinateur personnel ?
P. M. : Un ordinateur personnel va permettre au jeune de stocker ses recherches scolaires dans sa
bibliothèque, ses musiques, ses vidéos, éventuellement pour faire des montages. C’est un outil qui
lui apporte une certaine autonomie. À l’inverse, l’ordinateur familial va décourager certaines
activités spontanées parce qu’il n’aura pas accès à l’appareil. Il est toutefois possible de trouver
des règles de partage satisfaisantes, en créant, par exemple, des sessions personnalisées.
Un ordinateur personnel peut être plus intéressant pour les garçons que pour les filles, parce qu’ils
lisent en moyenne moins qu’elles. C’est un moyen pour eux de contrebalancer cette relative
pauvreté littéraire en acquérant d’autres types de connaissances, sur Internet.
Faut-il interdire un code sur l’ordinateur ?
P. M. : Je ne suis pas certaine que ce soit une bonne idée avec un adolescent. Introduire une
notion de contrôle, pour une activité qui développe les apprentissages et l’autonomie, est un peu
décourageant. En revanche, montrer sa confiance, tout en posant des conditions, est souvent plus
bénéfique.

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Si le dialogue est bon entre le jeune et ses parents, c’est le jeune lui-même qui va ouvrir son
ordinateur. Et s’il ne le fait pas spontanément, on peut lui forcer un peu la main de manière
respectueuse, en lui disant « j’aimerais savoir où tu en es, ce que tu as stocké, retenu. Cela peut
intéresser, ton frère ou ta sœur. » S’il ne coopère pas, il faut des règles. Mais transformons le mot
« contrôle » par attention extérieure. C’est souvent beaucoup plus constructif.
Recueilli par Paula Pinto Gomes, PHOSPHORE, le 04/09/2018

Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d’examen :

1. Un ordinateur personnel est très bon pour les élèves qui :


A. n’ont pas de problèmes d’intégration sociale ;
B. sont aidés à avoir une capacité de régulation devant les écrans ;
C. ne sont pas dans un comportement de fuite de la réalité virtuelle ;
D. évitent la communication verbale.

2. L’addiction au numérique se transmet :


A. à cause de l’école ;
B. à cause de la télé ;
C. dans le groupe d’amis ;
D. des parents aux enfants.

3. Pour lutter contre l’addiction au numérique, il faut:


A. minuter les activités développées devant l’écran ;
B. proposer à l’enfant une utilisation active et efficace du numérique ;
C. dire à l’enfant d’éteindre l’ordinateur après un certain temps ;
D. programmer l’ordinateur à s’éteindre automatiquement.

4. Le rythme de l’activité numérique :


A. est plus rapide que celui de la vie réelle ;
B. est moins rapide que celui de la vie réelle ;
C. est aussi rapide que celui de la vie réelle ;
D. est aussi lent que celui de la vie réelle.

5. L’activité numérique est dangereuse pour :


A. tous les enfants ;
B. les enfants qui n’ont pas d’expérience ;
C. les enfants raisonnables ;
D. les enfants déraisonnables.

6. Le recours à l’ordinateur familial :


A. coupe l’envie d’accéder à Internet ;
B. décourage l’enfant à utiliser Internet ;
C. n’offre pas d’autonomie dans l’usage du numérique ;
D. offre de l’autonomie dans l’usage du numérique.

7. Les garçons sont plus intéressés que les filles à avoir un ordi car :
A. ils peuvent lire des livres en format numérique ;
B. ils ne lisent pas de livres en format papier ;
C. c’est une manière d’augmenter la pauvreté littéraire ;
D. c’est une manière de pallier la pauvreté littéraire.

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8. Le contrôle parental nuit :


A. à la curiosité de l’enfant ;
B. à l’autonomie de l’enfant ;
C. à l’intégration de l’enfant ;
D. à l’intelligence de l’enfant.

9. La confiance en son enfant doit être :


A. conditionnelle, pour être bénéfique ;
B. inconditionnelle, car l’enfant ressemble aux parents ;
C. conditionnelle, car l’enfant ne ressemble pas aux parents ;
D. inconditionnelle, pour être bénéfique.

10. Les parents doivent imposer leurs règles :


A. pour suppléer au dialogue ;
B. pour avoir une forme de dialogue ;
C. avant d’avoir une forme de dialogue ;
D. en cas d’échec de toute autre forme de dialogue.

PRODUCEREA DE MESAJE SCRISE

SUBIECTUL I (40 de puncte)

Vous invitez votre correspondant français à un tour de monde à vélo. Vous lui présentez l’intérêt
de ce voyage. (80-100 mots)
N.B. Votre nom est Yves /Yvette.

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)

Vous écrivez une lettre au maire de votre ville française pour lui demander d’intervenir contre
l’excès de publicité qui enlaidit l’aspect de la ville et qui est devenu un facteur de stress.
(160-180 mots)
N.B. Vous signez par un pseudonyme.

Proba C – Limba franceză Model


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Examenul naţional de bacalaureat 2022

Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal

Proba orală la Limba franceză

Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările

Model

Bilet

1. Si on est touriste, pourquoi est-ce qu'il faut venir à Bucarest ?

2. Quand vous étiez petit(e), c'était quoi, un samedi typique ? Parlez-en.

3. Certains pensent qu’il vaut mieux se soigner par les plantes. Qu’en pensez-vous?
Argumentez votre réponse.

Proba C – Limba franceză


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Centrul Naţional de Politici și Evaluare în Educație
Examenul naţional de bacalaureat 2023
Proba C
de evaluare a competenţelor lingvistice într-o limbă de circulaţie internaţională
studiată pe parcursul învăţământului liceal
Proba scrisă la Limba franceză
Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările
Model
• Toate subiectele sunt obligatorii.
• Timpul efectiv de lucru este de 120 de minute.
ÎNŢELEGEREA TEXTULUI CITIT
SUBIECTUL I (40 de puncte)
Lisez attentivement le texte ci-dessous :
Mon année aux Beaux-Arts : Angélique a suivi une année de classe préparatoire aux Beaux-Arts
de Paris, juste après le bac. Sur les conseils de son prof d’arts plastiques, elle a découvert la « Via
Ferrata », cette prépa qui veut diversifier les profils des élèves. Elle a saisi sa chance, elle a bien
fait : « c’était la meilleure année de ma vie » dit-elle.
Ma rentrée : « J’ai postulé au dernier moment, avant de passer le bac. J’ai recopié la lettre de
motivation que j’avais déjà écrite pour l’école d’architecture, j’ai mis tous mes travaux du cours de
dessin, des trucs plus ou moins intéressants. Mais je sentais que c’était pour moi. J’adore
dessiner. J’avais déjà mis un pied aux Beaux-Arts, le temps d’un workshop. Et c’est devenu mon
rêve. Rien que l’enceinte, c’est magnifique. Devenir étudiante dans un bâtiment où ont étudié tant
de grands artistes, c’est impressionnant. Quand j’ai vu mon nom sur la liste, je l’ai imprimée et j’ai
surligné mon nom en fluo ». « C’est un gros rythme. Il m’est arrivé de travailler jusqu’à 4h du
matin, pour me lever à 6h. »
On dessine. On danse. « De la danse aux Beaux-Arts ? C’est étonnant et d’ailleurs, c’est
nouveau. Luc, le responsable de la prépa, nous a expliqué que le but de cet atelier c’était qu’on
réalise qu’une vidéo de déplacement peut être une œuvre autant qu’un dessin sur une feuille de
papier. Moi, j’ai dix ans de danse derrière moi, alors ça allait. J’ai adoré cet atelier. Il y avait des
exercices difficiles, comme de bouger son partenaire mou comme un pantin. C’est compliqué.
Mais pour un peintre, travailler les mouvements, la grâce, ça aide beaucoup. » (d’après Phosphore)

a. Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d'examen.


1. Le texte ci-dessus est :
A. une page de roman.
B. une publicité pour une école d’art.
C. un extrait d’un article.
2. Le document raconte :
A. une expérience d’apprentissage.
B. la carrière d’une artiste connue.
C. la biographie d’une jeune étudiante.
b. Choisissez la variante VRAI ou FAUX et écrivez-la sur la feuille d'examen, en la justifiant avec
une phrase ou une expression du texte.
VRAI FAUX
1. L’année d’études préparatoires n’a pas répondu aux attentes d’Angélique, cela
n’a pas été une belle expérience pour elle.
Justification:………………………………………………………………………………
2. Voir son nom sur la liste des candidats acceptés a été un moment de grand
enthousiasme.
Justification: …………………………………………………………………………………
3. Angélique a trouvé difficile l’atelier de danse parce qu’elle n’avait aucune
expérience.
Justification: …………………………………………………………………………………

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SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)


Lisez attentivement le texte ci-dessous :
« J’ai vécu l’amour à distance ». L’histoire de Jérémy, 18 ans
L’équipe Phosphore a interviewé Jérémy à distance, par téléphone, pour la rubrique « Entre
nous ». Voilà son témoignage :
« J’ai rencontré Juliette un été dans un village vacances du Nord-Pas-de-Calais. Elle était
en famille, moi aussi et on a fait connaissance. On a passé le reste de la semaine à rigoler, à
discuter puis chacun est reparti chez soi : elle en région parisienne, moi à Avignon. Comme j’avais
15 ans et elle bientôt 18, je ne pensais pas qu’elle pouvait s’intéresser à moi. Mais on a quand
même échangé les numéros, en mode « amis ». On s’est mis à se parler tous les jours Skype,
WhatsApp, Snap… Chaque moment de la journée était prétexte à délirer, à partager nos passions,
bref, à se raconter un truc !
Deux mois plus tard, j’ai fini par lui avouer par SMS les sentiments que j’avais. Elle aussi
commençait à éprouver quelque chose pour moi et on a tout fait pour se voir très vite, elle en
négociant pour que ses parents lui payent un billet d’avion, moi avec les miens pour qu’elle vienne
chez nous. Ils nous avaient tellement vus scotchés l’un à l’autre tout l’été par écrans interposés
qu’ils ont accepté. Juliette n’avait pas encore repris les cours et elle est descendue pendant toute
une semaine. J’avais supplié mon père, qui m’avait accompagné pour aller la chercher, de rester
dans la voiture. C’est à l’aéroport qu’on a échangé notre premier bisou. Ensuite, les allers-retours,
le petit message du premier levé le matin et les deux appels du soir sont devenus une routine : on
est resté trois ans ensemble.
On se retrouvait à toutes les vacances et certains longs week-ends. On avait des cartes de
réduction et on s’y prenait à l’avance pour payer le moins cher possible. Mes parents m’aidaient
financièrement et heureusement parce que ça faisait un budget… Un été, on s’est arrangés pour
que Juliette effectue son stage à Avignon. Un autre pour que nos familles se retrouvent au même
endroit à la montagne […]
C’est vrai que c’était parfois un dilemme pour les vacances de choisir entre elle et mes
parents, j’essayais d’équilibrer. Quand on se voyait, c’était tous les jours et sous le même toit alors
quand on se quittait, il y avait une grande frustration, beaucoup de tristesse. Juliette pleurait
presque à chaque fois. Elle dormait avec une peluche quand je n’étais pas là et il m’est arrivé de
dormir avec un débardeur qu’elle m’avait laissé la première fois qu’elle est venue à la maison…
Ben oui, moi aussi j’avais des coups de blues, de manque. Notamment pendant les révisions du
bac, je stressais et j’aurais aimé l’avoir à mes côtés. Mais, est-ce que j’aurais réussi à me
concentrer ? Hum, pas sûr ! Dans une relation à distance, tout est plus intense : quand tu te vois,
tu sais que ça ne va durer alors tu profites à fond.
Et quand tu es loin, un rien peut créer des tensions : une parole maladroite, un mot écrit
mal choisi, le ton de la voix… Il faut faire gaffe à tout et en même temps ne pas se vexer si l’autre
répond parfois froidement. C’est peut-être juste qu’il a passé une sale journée ! C’est compliqué de
savoir sans se voir si l’autre est triste, ce qui le tourmente, de se réconcilier […]
À distance, il faut aimer le téléphone et ne pas être trop jaloux. Bien sûr, tu n’as aucune
certitude sur ce que l’autre est en train de faire mais il faut accepter de lui laisser cette liberté. Au
début, je n’aimais pas trop que Juliette fasse des soirées sans moi, mais j’ai appris à lui faire
confiance. Et j’étais content qu’elle fasse pareil quand je sortais avec mes potes […] Chacun se
construit, grandit. Avant l’été, on a fini par se séparer pour diverses raisons mais rien à voir avec la
distance qu’on gérait bien ! On est restés en bons termes et il nous arrive encore de nous envoyer
des messages […] » www.phosphore.com

Choisissez la bonne réponse et écrivez-la sur la feuille d’examen :


1. Le document représente :
A. le récit d’une expérience de vie.
B. une étude sur les relations interpersonnelles.
C. un extrait d’un roman historique.
D. un sondage sur les intérêts des jeunes.

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2. Le témoignage du jeune Jérémy porte sur :


A. l’amitié à l’âge de l’adolescence.
B. les relations à distance.
C. les passions des jeunes.
D. les conflits ados – famille.
3. Les deux jeunes habitent :
A. la même région.
B. loin l’un de l’autre.
C. dans des pays différents.
D. au Nord Pas de Calais.
4. Suite aux négociations des deux côtés – ados et parents, ces derniers ont facilité la rencontre
de Jérémy et Juliette car :
A. leur amitié n’influençait pas leurs performances scolaires.
B. les ados vivaient mal la distance et l’éloignement.
C. ils ont été impressionnés par l’attachement des jeunes.
D. ils ont voulu éviter une grosse crise familiale.
5. Pour se voir, les deux jeunes ont bénéficié :
A. des réductions pour les billets de train.
B. du soutien de leurs familles.
C. des opportunités de voyage.
D. des séjours en colonie de vacances.
6. Comment vivaient-ils les moments de séparation ?
A. Ils semblaient très à l’aise car ils allaient se revoir dans peu de temps.
B. Ils essayaient de ne pas trop y penser pour éviter la tristesse.
C. Ils sortaient souvent avec leurs amis, chacun de son côté.
D. Ils ressentaient pas mal de frustration et de manque.
7. Pendant les périodes passées loin l’un de l’autre, il arrivait à Jérémy de/d’ :
A. ne plus aller en cours, ne plus travailler.
B. refuser de réviser pour le bac.
C. traverser des moments de tristesse.
D. avoir du mal à se préparer pour les examens.

8. Selon les dires de Jérémy, quand on est loin de la personne qu’on aime :
A. il est facile de blesser les sentiments de l’autre.
B. il est rare de bien s’entendre.
C. il ne faut pas renoncer à ses propres objectifs.
D. il vaut mieux compter sur soi.
9. Dans l’affirmation « Il faut faire gaffe à tout… », faire gaffe à signifie :
A. prendre en considération.
B. faire attention à.
C. avoir l’intention de.
D. faire le tout possible.
10. Malgré la force de leurs sentiments, ils se sont séparés au bout de trois ans :
A. parce qu’ils n’ont plus réussi à gérer la distance.
B. à cause de la jalousie de Jérémy.
C. pour certaines raisons sans rapport avec la distance.
D. par manque de confiance l’un dans l’autre.

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SUBIECTUL I (40 de puncte)

Vous écrivez un message à votre ami(e) canadien(ne) dans lequel vous lui présentez vos projets
de vacances et vous l’invitez à les passer ensemble. Vous lui parlez de tout ce que vous comptez
faire. (80-100 mots)
N.B. Votre nom est François / Françoise. Votre ami(e) s’appelle Gabriel/ Gabrielle.

SUBIECTUL al II-lea (60 de puncte)

Afin d’aider les jeunes à mieux s’orienter et à choisir un parcours de carrière adapté à leurs
besoins et à leurs projets, votre établissement lance un sondage pour répondre à la question
« Que faire après le bac, trouver un emploi ou poursuivre ses études ? » Vous participez au
sondage et, dans un message adressé au directeur de votre lycée, vous faites part de votre
opinion et vous proposez des activités/ des projets qu’on peut organiser pour aider les jeunes à
mieux choisir leur parcours. (160-180 mots)
N.B. Vous signez par un pseudonyme.

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Examenul de bacalaureat naţional 2020

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studiată pe parcursul învăţământului liceal

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Toate filierele, profilurile şi specializările/ calificările

Model

1. Si on est touriste, pourquoi est-ce qu'il faut venir à Bucarest?

2. Quand vous étiez petit(e), c'était quoi, un samedi typique? Parlez-en.

3. Certains pensent qu’il vaut mieux se soigner par les plantes. Qu’en pensez-vous?
Argumentez votre réponse.

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