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RESUME ……………………………………………………………………………….. 3
ÉPIGRAPHIQUE ……………………………………………………………………….. 4
DÉDICACE ……………………………………………………………………………… 5
IN MEMORIAM ………………………………………………………………………... 6
REMERCIEMENTS…………………………………………………………………….. 7
INTRODUCTION GENERALE……………………………………………………….. 8
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III.1 Introduction ……………………………………………………………………….. 29
III.1.2 L’enquête par ménage…………………………………………………………….. 29
III.1.3 L’observation directe……………………………………………………………… 29
III.1.4 Condition d’arrosage rationnelle …………………………………………………..29
IIl.1.5 Notion de régulation………………………………………………………………. 30
IIl.1.6 La régulation automatique …………………………………………………………30
IIl.1.7. Notion de système …………………………………………………………………30
III.2 Etude du système ………………………………………………………………….. 31
IIII.2.1 Solution multi capteurs ……………………………………………………………31
III.2.2 Capteurs intelligents dans le cadre d'une architecture multi-capteurs ……………..32
III.2.3 Capteurs intelligents………………………………………………………………..32
III.2.4 Relais ……………………………………………………………………………….33
III.5 Calcul des paramètres ………………………………………………………………42
III.5.1 Calcul du débit ………………………………………………………………….… 42
III.5.7 Dimensionnement de la partie arrosage ……………………………………………45
III.9 Caractéristiques techniques ……………………………………………………….. 52
III.10 Calcul de l’amortissement total……………………………………………….…... 52
III.11 Etude technico-économique…………………………………………………..…… 53
III.12 Conclusion …………………………………………………………………………. 54
CONCLUSION GENERALE…………………………………………………………….. 55
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RESUME
Le système d’arrosage automatique est largement utilisé comme un système de précision
dans l’agriculture permettant un arrosage rapide suivant un programme préétabli respectant les
paramètres pour une bonne croissance des plantations. L’objectif de ce projet est de faire l'étude
d'adaptation d'un système d’arrosage semi-automatique dans une ferme agro-alimentaire
(culture maraîchère) cas de la ferme TSHABULA. Pour pallier certains problèmes agricoles
pour une bonne rentabilité et une croissance des aliments.
Ainsi, nous avons proposé un système d’arrosage semi-automatique dans une ferme
agroalimentaire qui se fera sur base du taux d’humidité du sol et selon la culture choisie. Les
capteurs d’humidité recueillent des grandeurs physiques du sol et transmettent les signaux à la
carte arduino qui, à l’aide du programme, permet de commander un relais afin d’actionner la
pompe pour l’arrosage. Et le déclenchement est dû au taux d’humidité atteint suivant la
demande de la plante. Les résultats obtenus montrent la fiabilité du système permettant une
bonne croissance des aliments selon les normes de la culture appropriée.
Mots clés : Système d'irrigation, irrigation par aspersions, installation, évaluation, production
de légumes.
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ÉPIGRAPHIQUE
« L’agriculture : un secteur négligé mais qui pourrait enrichir si l'on s'en occupait proprement »
Thomas GATABAZI
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DÉDICACES
A mon père KAMFWA ILUNGA, que j'aime bien pour l'amour que tu m'as donné, entant que
fils.
A toi ma sœur consolatte MWADI, pour l'endurance et persévérance de ta prière a mon égard
soit une marque de fierté
A vous mes sœurs gloria KALUME, et alliance MIKOMBE, vous à qui je prends l'exemple
d'être modeste dans mes études, soyez fiers de ce travail qui vous honore en mon nom
A vous mes petit frère, MIRADI ILUNGA, PLAMEDIE ILUNGA, STEEVE KIBOKO, pour
l'amour que vous accordez à moi votre grand frère que ceci soit un exemple à suivre
A toi mon ami TSHAKWIZA ZIDANE, pour ton encouragement et conseils, Voici aujourd'hui
l'œuvre de votre amour
A vous tous mes très chers cousins et cousines, recevez de ce travail l'expression de votre
amour à mon égard,
A vous tous qui me portez dans votre cœur et qui supportez, mes erreurs et mes défauts soyez
fiers de moi pour cet amour que vous manifestez.
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IN MEMORIAM
À toi ma très chère mère RUTH MUKUNGWA, j'aurais bien voulu que tes yeux puissent voir
ce travail, mais le seigneur avait décidé différemment pour te prendre plus tôt.je sais que tu m'as
donné toute la fierté d'être Celui que je suis aujourd'hui, fruit de tes conseils et de ta rigueur, de
là où vous êtes, sachez que votre semence à portée des fruits.je ne saurai t'oublier maman.
Que ton âme repose en paix
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REMERCIEMENTS
Etant arrivé au terme de ce travail qui sanctionne la durée de ma formation en tant qu’ingénieur,
avec reconnaissance, je voudrais remercier ceux qui ont contribué de près ou de loin à la
réalisation de ce présent travail.
Je rends hommages à l'Institut supérieur des techniques appliquée, (ISTA /KZI)qui m’a fourni
en plus une formation digne de ce nom que je sanctionne par ce présent travail. Que tout le
personnel scientifique et administratif de notre chère institution trouve ici l’expression de mes
remerciements sincères.
Je rends hommage mérité à mes parents KANFWA ILUNGA et ma très chère regretté RUTH
MUKUNGWA, pour tous leurs conseils et leurs encouragements pour l'éducation et
l'instruction pour m'avoir donné le goût de faire les études d'ingénieurs.
Que tous ceux-là, de Loin ou de prêt, qui ont toujours aimé me voir grand soyez fiers de ce
travail qui vous honore en mon nom.
À tous mes collègues de l'institut supérieur des techniques appliquée de Kolwezi ; ISTA-
Kolwezi, les professeurs, les chefs de travaux et les assistants, que ce travail soit l'œuvre de
votre apport à ma vie
Que tous les membres de ma famille, mes frères et sœurs trouvent un remerciement sincère
dans ce travail, je sais qu'ils m’ont toujours portée dans leurs cœurs malgré mes faiblesses dans
mon caractère.
Tous les amis avec qui nous avons partagé notre enfance qui m'ont aidé à accroître mes talents
à travers des discussions et des échanges de jeunesse, je vous dis sincèrement merci
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INTRODUCTION GENERALE
De plus en plus, l'on se rend à l'évidence que le développement d'un pays ne se bâtit
plus uniquement sur la quantité des matières premières ou des ressources naturelles dont il
dispose mais plutôt par son aptitude à les valoriser. La conception du système d’arrosage
automatique dans une ferme à culture maraîchère est un système qui permet une rentabilité
agricole poussant de l’avant le secteur agroalimentaire.
Sachant que l’agriculture est devenue le poumon économique mondial, nous devons
palier aux problèmes concernant l’agriculture.
Face à une surpopulation dans la ville de Kolwezi, le rendement agricole est devenu
faible partant des plusieurs contraintes tels que le non-respect de la surveillance de la culture,
non-respect de l’arrosage selon les normes suivant la nécessité de la culture à arroser, mais aussi
une longue durée de la saison sèche dans la ville de Kolwezi, qui fait partie des problème dans
l’évolution des fermes agroalimentaire.(maraîchère)
Nous avons réfléchi pour donner un coup de pousse dans le développement des secteurs
agroalimentaire avec une agriculture connectée se focalisant sur le système d’arrosage semi-
automatique vu que l’eau est considérée comme le premier aliment très importante qui nourrit
les plantes pour une bonne croissance.
Voyant la longue saison sèche dans la ville de Kolwezi, notre projet expérimental qui
consiste à faire l'étude d'adaptation d'un système d’arrosage semi-automatique dans une ferme
à culture maraîchère est doté des capteurs d’humidité qui permettront d’effectuer l’arrosage non
selon le temps d’arrosage, mais suivant l’état du sol en respectant le taux d’humidité suivant la
demande de la plantation.
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si un fort accent est mis, sur ce système, le chiffre d'exploitation en légumes
condimentaires varie peu et reste relativement bas, dans la saison sèche depuis plusieurs années
la problématique des mauvaises croissances des aliments mérite encore d'être approfondie pour
pouvoir augmenter le chiffre d'exploitation des légumes dans la saison sèche qui rentrent dans
la consommation rurale.
Outre l’introduction et la conclusion générale, le présent travail est subdivisé en trois grandes
parties à savoir :
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CHAPITRE I. GENERALITES SUR LES SYSTEMES D’IRRIGATIONS ET
L'AGRICULTURE CONNECTÉE
Dans ce chapitre, nous définissons quelques concepts des bases sur les systèmes d'irrigation et
l’agriculture connectée pour comprendre notre environnement et l’application de notre système
à cet environnement.
Une ferme à culture maraîchère est la culture de végétaux à usage alimentaire, et plus
particulièrement de légumes, de manière professionnelle, c'est-à-dire dans le but d'en faire un
profit ou simplement d'en vivre. (http://www.techniques-ingenieur, le 20/12/2021).
Les buts d'un système automatisé sont de réaliser des tâches complexes ou dangereuses pour
l'homme, effectuer des tâches pénibles ou répétitives ou encore gagner en efficacité et en
précision. (http://Lyc58-renardfollereau.ac-dijon.fr, le 20/12/2021).
L’agriculture connectée est l’ensemble des technologies et des services qui permettent
de faire fonctionner ensemble les outils de la ferme, ou qui sont utilisés par ces même outils,
pour un lien non mécanique. (www.yara.fr>fertisation>blog>agriculture-connectée, le
20/12/2021).
I.1.4 système d'irrigation
L'irrigation est une opération humaine qui consiste à amener de l'eau supplémentaire à
des cultures. Pour favoriser la croissance des cultures agricoles en cas de manque d'eau d'origine
naturelle, dans les régions arides ou pour des cultures réclamant plus d'eau comme une
légumières(wikipédia.techniques-agricole)
I.2 Historique
Le système d’arrosage automatique est largement utilisé comme un système de précision
dans l’agriculture permettant un arrosage rapide suivant un programme préétabli respectant les
paramètres pour une bonne croissance des plantations.
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Les premiers systèmes d’arrosage automatiques ont étés mis au point en 1960. Ils étaient
peu efficaces et très coûteux à l’époque, mais ont connu des améliorations progressives au fil
des développements technologiques. Il existe différents systèmes d’irrigation automatiques
vendus sur le marché avec des fonctionnalités et qualités différentes. Ces derniers sont tous
basés sur l’un des systèmes d’irrigation que nous allons citer ci-dessous. Les différents systèmes
d’irrigation ou arrosage peuvent être classés en trois grandes catégories à savoir l’irrigation
gravitaire, l’irrigation goutte à goutte, et l'irrigation par aspersions. L’irrigation goutte à goutte
et l’irrigation par aspersion sont aussi appelées irrigation sous pression.
I.3 Classification
1. Arrosage par ruissellement (par planches ou par calant) : Consiste à faire couler
une mince couche d’eau sur un sol incliné de 0,2 à 3 %, qui s’infiltrera verticalement
jusqu’à l’humidification de cette tranche de sol.
2. Arrosage par submersion (ou inondation) : Le principe consiste à donner au sol une
couche d’eau plus au moins épaisse, qu’on laisse séjourner le temps nécessaire pour
qu’elle pénètre par infiltration à la profondeur utile.
3. Arrosage par infiltration (à la raie) : C’est une méthode qui consiste à faire distribuer
l’eau par des rigoles ou raies avec un débit relativement grand (5 à 10 l/s)
comparativement aux autres procédés.
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4. Arrosage par cuvette (ou bassin) : Il est le plus connu des modes l’irrigation
gravitaire, l’eau est apportée sous forme d’une nappe dans un bassin (qui peut être
cloisonné) aménagé sur un sol nivelé (pente de 0,1 à 1 %). C’est une technique
traditionnelle de montagne qui a été adaptée aux zones irriguées.
Dans l’irrigation goutte à goutte, l’eau est livrée à la plante à faible dose
entraînant ainsi l’humidification d’une fraction du sol.
L’arrosage par aspersion est une manière d’irriguer qui consiste à asperger d’eau
la surface plantée sous forme de pluie artificielle. L'arrosage se fait par surfaces rectangulaires
ou par cercles, selon le type d’appareils utilisés par l’arrosant. Une installation d’irrigation sous
pression est généralement composée d’un équipement fournissant la pression nécessaire à son
fonctionnement, d’appareils de mesure et de contrôle de débit, et d’une conduite principale
amenant l’eau jusqu’aux conduites secondaires et tertiaires. D’autres éléments peuvent être
utilisés, notamment un filtre et un dispositif d’adjonction d’éléments fertilisants. Avec ce
système d’arrosage, la distribution de l’eau se fait par des asperseurs. Il existe plusieurs types
d’asperseurs de débit et de portée différentes selon les besoins.
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Asperseurs avec Une rampe oscillante : Sur cet arroseur mobile, les jets sont disposés
en ligne sur une rampe qui oscille de droite à gauche à 180°.
7 .Arrosage Localisé
Dans ce procédé original, l'eau est administrée aux plantes quotidiennement, à faible
dose, par le moyen de goutteurs qui délivrent, au goutte à goutte, dans la zone d'extension
racinaire l'eau nécessaire qui migre par capillarité.
8 Arrosage de surface
L'arrosage de surface est une méthode d'irrigation très courante et simple à mettre en
place. Dans une installation d'arrosage de surface, contrairement à l'arrosage enterré, les tuyaux
PVC sont posés au sol, reliés au robinet et éventuellement entre eux par des raccords d'arrosage.
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9 Comparaison entre les différents systèmes d’irrigation
Le tableau ci-dessous montre les différents rendements (rapport entre la quantité d’eau
nécessaire à la culture et la quantité d’eau à fournir) en fonction du mode d’irrigation utilisé. Il
permet de conclure que la micro irrigation permet de réduire la consommation d’eau entre 20
et 40 % par rapport aux méthodes traditionnelles.
Chacun de ces types de végétation a des besoins en eau différents, et doit être
traité comme une unité séparée. Des différences d’ensoleillement (zone ombragée ou plein
soleil) influencent aussi les besoins d’arrosage. Le gazon et certaines autres plantes ont
généralement besoin d’un apport d’eau plus important pour rester en bonne santé. Diviser un
espace vert en différents zones évite d’imposer les besoins d’eau à toute la végétation et de
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donner ainsi trop d’eau aux massifs et aux arbres, et réduit d’autant la consommation d’eau
totale.
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Certains éléments de cette architecture commune peuvent évoluer en fonction des besoins de
chaque projet. En effet, les variables physiques peuvent être une température, le CO2,
l’humidité, une distance, etc. Les capteurs sont directement connectés à une carte électronique
programmable (Arduino) qui acquiert des données et les envoie à une base de données en réseau
câblé ou sans fil (LoRaWAN). La base de données et les processus d’exploration de données
peuvent être installés localement ou dans le Cloud. Le « cloud computing » consiste à exploiter
la puissance de calcul et/ou l’espace de stockage de serveur informatique distant via un réseau
(par exemple Internet).
Les rampes latérales sont reliées à la conduite secondaire ou aux collecteurs. Ils sont
fabriqués en PELD (polyéthylène de faible densité).
Une question est de trouver de l'eau mais une autre est de s'assurer de son transport
jusqu'à la parcelle à irriguer. Les moyens de transport diffèrent selon le type d'irrigation mais
ont un seul but : celui de faire parvenir l'eau prélevée de sa source aux cultures et de façon
efficace. Il s'agit en premier lieu des réseaux primaires d'amenée qui sont soit en canaux fermés
soit à ciel ouvert munis de vannes. Le diamètre du canal dépend du débit recherché et de la
longueur du circuit (CALCET el al., 2016). Ensuite les réseaux de distributions secondaires,
tertiaires et quaternaires en fonction du type d'aménagement.
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I.5.1Définitions des concepts de base
I.5.2 Programmateur
I.5.4 La pluviométrie
La pluviométrie est la mesure de la quantité d’eau de pluie tombée sur une surface d’un
mètre carré. Elle se mesure en millimètres, parfois en litres par mètre carré. Un litre d’eau tombé
sur un mètre carré équivaut à un millimètre de hauteur d’eau sur cette même surface. Le
pluviomètre est l’instrument météorologique qui permet de mesurer avec précision la quantité
d’eau (pluie) tombée sur une surface d’un mètre carré en un intervalle de temps donné. Bien
qu’il existe des pluviomètres pour usagers amateurs et professionnels, ils sont tous à mesure
directe. Il est indispensable d’en avoir un dans son jardin pour évaluer la quantité d’eau apportée
au sol.
I.5.6 Débitmètre
Un Débitmètre c'est un Appareil permettant de mesurer les volumes d’eau utilisés par unité
de temps (m3/h).
I.5.7 Le réducteur de débit
C’est un Appareil permettant de ne délivrer qu’un volume d’eau défini, quel que soit
le débit d’origine.
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I.5.9 l'électrovanne :
C'est une vanne équipée d'une minuterie ou d'un compteur d'eau, qui délivre sur un
secteur la quantité d'eau réglée. Elle nécessite un réarmement manuel après chaque cycle
d'arrosage. Seule, elle ne permet pas d'obtenir un arrosage séquentiel.
I.6.1 l'arroseur
I.6.3 Conclusion
Dans ce chapitre, il a été question de parler des systèmes d'irrigations et l’agriculture connectée.
Cette technologie permet une mise en œuvre d’un système automatisé par l’ensemble des
éléments informatiques, électroniques, mécanique, interagissant entre eux pour répondre
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spécifiquement aux besoins d’un environnement bien déterminé. En effet, après avoir cadré le
concept des systèmes d'irrigation et l’agriculture connectée. Ainsi nous allons présenter dans le
deuxième chapitre, le milieu d’étude
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CHAPITRE II. PRESENTATION DU CADRE D’ETUDE ET CHOIX DU TYPES
À ADOPTÉE
II.1 Introduction
Dans ce deuxième chapitre il serait question nous allons présenter notre cadre d’étude,
nous sommes à Kolwezi la capitale de la province du Lualaba ou nous avions porté le choix
de notre champ ou nous aurons proposé un avant-projet du système d’n avec un système
d'arrosage semi automatisé. Le site est le village TSHABULA dont nous ferons aussi un bref
aperçu sur ce qui a de la réalité de cet endroit.
II.2 Présentation du site TSHABULA
II.2.1Localisation
Situé à une dizaine des kilomètres du centre-ville de kolwezi, le village Tshabula était
l’un des fournisseurs du centre urbain en légumes. La majorité de ses fils et filles vivaient
essentiellement de l’agriculture.
II.2.3Situation Géographique
Les coordonnées géographiques de la ferme TSHABULA sont les suivantes :
Cordons géographiques
Longitude : 24 à 30 ° et 26 à 30 ° Est
Latitude : 5 à 6 ° 25 'Sud
L'altitude est de 675m
La météo
Climat Tropical sec, avec une température qui varie de 22 ° à 27 °.
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II.3.3 Type de sol
En termes de sol, le territoire de Mutshatsha est caractérisé par des sols sableux, sablo-argileux,
argilo-limoneux, mais aussi par un substrat calcaire.
Les saisons agricoles : L'alternance saisonnière sur le territoire de Mutshatsha, se déroule entre
deux saisons : la saison des pluies qui s'étend d'octobre à mi-avril avec des pluies très
abondantes du mois de décembre au mois de mars, et la saison sèche qui va de mi-avril à
octobre. Ces saisons ont trois saisons de croissance classées comme suit :
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Couleur bleue : représente la période humide dans la province du lualaba qui
marque une grande productivité et croissances des cultures.
Couleur verte : représente la période à moitié humide, provoque la diminution
de la croissance des cultures.
Couleur jaune: représente la période de la sècheresse où le rendement agricole
est faible suite à la faible croissance des cultures.
La ferme tshabula utilise le système des arrosoirs manuels pour faire l’arrosage dans
toute l’étendue de la ferme. Les arrosoirs possèdent des trous qui permettent de faire l’arrosage
comme illustrer dans la figure
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Ayant un milieu d’étude, nous sommes passés par une étude du milieu à la ferme TSHABULA
communément appelé ferme de prêtres catholiques. C’est une ferme qui possède plusieurs
cultures maraichères. Quant à notre recherche, nous nous sommes basés sur le système
d’arrosage de ces cultures qui constitue un des problèmes majeurs vu que les aliments ses
nourrissent aussi de l’eau pour la croissance.
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II.4 Contraintes liés à l'irrigation
L'eau d’irrigation doit être considérée selon sa nature, sa quantité et sa qualité. Pour sa
nature, la ressource peut être souterraine exploitée à partir de puits ou de forage ou bien une
source d'eau superficielle à partir des lâchées, d'un écoulement ou un captage de source.
Cependant, il est nécessaire de s'assurer de la disponibilité de l'eau au moment voulu pour
irriguer, car la connaissance de la quantité d'eau disponible en période de pointe permet de
déterminer la superficie à irriguer, et en qualité (bonne, médiocre ou mauvaise) pout savoir le
niveau de traitement et la filtration nécessaire à son utilisation. La disponibilité de l'eau dans le
temps, en débit et en conditionne la conception d'un système d'irrigation (WEDHAH, 2015).
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II.5.1 Détermination des besoins en eau des cultures
La détermination des besoins en eau d'une culture nécessite la connaissance de divers
paramètres concernant aussi bien la plante elle-même que les données climatiques ou
pédologiques de la région. Ainsi, nous pouvons citer.
les données climatiques (ETO) donneront les indications nécessaires concernant les
besoins en eau de la culture,
les paramètres pédologiques permettront d Pestimer la réserve en eau utile du sol ;
les données culturales préciseront la réserve en eau facilement utilisable par la
plante.
ET culture = Kc x ETO
ET culture: Evapotranspiration culture (mm / jour)
ET0: Évapotranspiration (mm / jour)
Kc: coefficient cultural (Source: FAO Irrigation et Drainage n 0 56)
Les besoins en eau d'une culture (CWR) sont calculés en divisant
l'Evapotranspiration de la culture (ET culture) par l'efficience d'irrigation (Ei).
CWR = ETcultureŒi
CWR: Besoins en eau des cultures (mm / jour)
ET culture: Evapotranspiration (mm / jour)
Ei: Efficience d'irrigation (mm / jour)
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Dp = 2/3 (He- Hf) *H *K
He : étant la capacité de rétention du sol
Hf : étant l'humidité au point de flétrissement
H: profondeur du sol explorée par les racines
K : coefficient de réduction de la surface à irriguer.
La dose nette, quantité d'eau effectivement consommée par les plantes) n'est qu'une
fraction de la dose pratique. Elle dépendra du coefficient d'uniformité (Cu) et de l'efficience
d'irrigation (Ei) qui est égale à 90 0/0. La dose nette d'arrosage est donnée par la formule
suivante :
𝐷𝑜 = 𝐷𝑝 × 𝐶𝑢 × Ei
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II.6.1 Détermination du nombre des asperseurs
Le nombre d'asperseurs est déterminé en utilisant la formule suivante
Pour nous le choix que nous avons préféré et que cela puisse passer à la réalisation et le
système par aspersion. Vue ses multiples avantages et autres. Tout en tenant compte du cout
d’investissement
A) Avantage de l’aspersion :
Elle s’adapte à n’importe quel type de terrain (accidenté, pente nulle…etc) ;
Elle peut être employée quelque soit la nature du sol si ce dernier sera très
perméable ;
Elle permet une oxygénation de l’eau ;
Elle présente une économie de l’eau, qui peut atteindre 50% ;
Elle met à la disposition des exploitations des conditions d’arrosage très souples,
en région aride, l’aspersion permet une protection antigel et fertilisante.
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B) Inconvénients de l’aspersion :
II.6.5.2 Caractéristiques :
Les cultures jugées convenables pour le système d'irrigation par aspersions sont:
II.7.Conclusion
Dans ce chapitre il a été question de présenter notre site de recherche et faire le choix
du type à adopter pour réaliser notre système d’arrosage semi-automatique. Ayant pris acte de
notre site de recherche et les données par rapport à l’état du sol, mais aussi au système
d’arrosage existant, ça nous a permis de faire l’analyse et la mobilité pour que le système soit
mis en place. Le chapitre suivant est consacré à la méthodologie pour arriver à réalisation du
prototype avec une étude détaillée des matériels à utiliser suivant un cahier de charge pour
l’obtention du résultat.
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CHAPITRE III. ETUDE ET REALISATION DU SYSTEME D’IRRIGATION
SEMI-AUTOMATIQUE
III.1 Introduction
Dans ce chapitre nous allons pouvoir déterminer certains paramètres afin de
réaliser notre système d’irrigation à commande semi-automatique. Nous passerons aux
dimensionnements de certains équipements et au calcul des certains paramètres. Enfin de passer
à l’étude technico-économique.et aussi du cout d’investissement
Elle s’est portée spécifiquement sur les ménages qui se trouvent dans la ferme d’étude.
Elle a permis de déterminer la dimension du champ à arroser, d’apprécier et de quantifier le
volume d’eau consommé par jour sur une superficie d’un hectare qui exploite le forage. Elle a
permis également de connaitre les autres sources d’eau alternatives et le niveau économique
par ménage.
La brève analyse des propriétés hydrologique des sols permet de préciser les facteurs
dont l’étude s’impose dans tout projet d’irrigation rationnelle donnant aux plantes toute l’eau
dont elles ont besoin, mais sans excès, c’est-à-dire sans pertes par infiltration profonde ou par
ruissellement superficiel. L’irrigation étant intermittente, c’est-à-dire donnée à intervalles
variables avec les saisons, on se rend compte que ces facteurs seront les suivants :
La quantité d’eau à fournir aux plantes, représentée par le débit continu à donner par
hectare que nous désignerons sous le nom de débit caractéristique d’irrigation ou débit fictif
continu, ou encore improprement le coefficient d’irrigation.
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Le module d’irrigation ou débit utilisé pratiquement sur une surface réduite appelée
unité parcellaire d’arrosage. On détermine la surface de ces unités et, par suite, leur nombre par
hectare.
En général, ces signaux (d'entrée et de sortie) ne sont pas de même nature. Les grandeurs
d'entrée sont les grandeurs qui agissent sur le système. Il en existe deux types :
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Les signaux de sortie d'un système sont aussi appelés réponse du système. Pour observer
les grandeurs de sortie, on utilise des capteurs. C'est l'information de ces capteurs qui va
permettre d'élaborer la commande.
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Figure I-12. Configuration du système multi-capteurs (Source de l’image: Azzam, 2005)
Un ou plusieurs transducteurs ;
Des conditionneurs spécifiques ;
D’une mémoire ;
D’une alimentation ;
D'organe intelligent interne permettant un traitement local et l'élaboration d'un
signal numérique ;
D'une interface de communication (Azzam, 2005).
Ces fonctionnalités permettent de déterminer les caractéristiques d'un système multi capteurs.
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Figure I-13. Architecture générique de capteur intelligent (Source de l’image : Azzam, 2005)
III.2.4 Relais
Description du module :
Ce module est un actionneur. Le connecteur est une entrée (INPUT) qui doit être
connectée à une des sorties (OUTPUT) de notre carte Arduino (Issam, 2019).
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Le relais est un dispositif qui nous permet de commandé d’autre circuit en grande
puissance suivant l’alimentation qu’il reçut en provenance de la carte arduino.
Dans notre montage vu que c’est un prototype à petite échelle où autrement dit un près
développement, avec son énergie ça nous a permis d’alimenté un petit moteur en courant
continu.
Figure III-12. Module relais 5V 1 canal (Source de l’image : BASTI et CHIBOUB, 2019)
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IP: 68
Submersible max: 300m
Rendement: 90%
Le calcul de la hauteur manométrique va nous permettre de déterminer le couple f (Hmt, Q)
qui est constitué par (51,609m et 32,822m3/h) pour nous permettre de faire le choix d’une
pompe qui va nous donner les performances souhaitées.
III.2.2.2 Caractéristiques d’une pompe centrifuge :
Ces pompes peuvent s’adapter à de petits forages, ce qui permet de capter les nappes
phréatiques profondes qui ont souvent un niveau d’eau dynamique. Une pompe centrifuge est
caractérisée par les paramètres principaux qui sont :
La hauteur manométrique (Hm) : On appelle hauteur manométrique H d’une
pompe, l’énergie fournie par la pompe à l’unité de poids du liquide qui la traverse. Si
HA (hauteur d’aspiration) est la charge totale du liquide à
L’aspiration et HR (hauteur de refoulement) la charge totale du fluide à l’orifice du refoulement,
la Hauteur manométrique de la pompe est :
Hm = HA – HR
Avec :
Ha : hauteur d’aspiration ;
Hr : hauteur de refoulement ;
Hm : hauteur manométrique.
Phyd = ρ. g. Qv. Hm
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Avec:
Phyd : la puissance hydraulique
Phyd: la puissance hydraulique;
ρ : la masse volumique ;
g: accélération de la pesanteur;
Qv: débit volumique;
Hm: hauteur manométrique.
η=
Avec :
Η : le rendement ;
Pu : la puissance hydraulique ;
Pa : la puissance mécanique.
2.6 Courbe caractéristique d’une pompe centrifuge
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III.3.4 Conduite de refoulement
Le choix du type de conduite convenable est lié à des facteurs d’ordre technique et
économique, comme à titre d’exemple : les conduites en plastique sont reconnues pour leur
légèreté, leur souplesse, leur résistance aux fluides agressifs et à la corrosion, leur flexibilité
(PEHD), leur raccordement sans soudure (PVC) et par leur petit diamètre, mais le plus
important c’est leur coût, contrairement aux conduites métalliques et celles à base de ciment
dont les diamètres sont plus grands. Dans notre étude, on utilisera alors le PVC pour la conduite
d’adduction et de distribution pour le branchement de la borne fontaine. Bresse : 𝑫𝒕𝒉 = 𝟏, 𝟓√𝑸
Avec :
Interne Externe
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III.3.5 La capacité du réservoir
Rappelons que la technique de pompage choisi pour notre cas est le pompage dit a comme
énergie le groupe électrogène. Le stockage de l’eau est effectué dans un réservoir. La capacité
de ce dernier est calculée pour répondre au besoin d’eau en fonction de la consommation en
carburant. Celui-ci varie pendant 12h.
Réservoir (R)
Pour un réservoir circulaire il reste à noter que la section se calcul comme suit :
π × 𝐷2
𝑆=
4
D : diamètre de la structure en mm
S : la section en cm²
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III.3.7 Le porte-rampe :
Est la canalisation qui relie le point d’alimentation en eau de la parcelle, aux différentes
rampes disposées sur celle-ci. Ils sont constitués d’éléments de tuyaux rigides à raccord rapides,
afin de faciliter leur manipulation.
Ce capteur d'humidité peut lire la quantité d'humidité présentée dans le sol qui l'entoure.
Il s'agit d'un capteur de faible technologie, mais idéal pour la surveillance d'un jardin. Ce
détecteur utilise les deux électrodes pour passer le courant à travers le sol, puis il lie la résistance
pour obtenir le niveau d'humidité. La conduction est proportionnelle à la quantité d’eau présente
dans le sol.
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préalablement remuée et lire la valeur pH sur l'écran digital. Veuillez prendre en compte que le
principe de la mesure a besoin qu'il y ait toujours un reste d'humidité dans le sol. Le pH-mètre
est toujours livré calibré d'usine. Un recalibrage continu du pH-mètre de poche s'effectue avec
les standards de calibrage (solutions tampons) jointes. Les données de calibrage restent
mémorisées quand un changement de batterie est effectué.
Le rôle de ce château est d'assurer le stockage de l'eau qui servira à l'irrigation. Il permet
également la mise en pression de tout le système. Ainsi plus le château est en hauteur, plus la
pression est importante.
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III.4.5 variations du débit du château
La variation du débit du château observée s'explique par la diminution du niveau d'eau
dans le château respectivement par la diminution de la hauteur de chute d'eau. Cette variation
peut entrainer la baisse de la quantité horaire d'eau enregistrée
III.4.6 le connecting
Le schéma bloc donne une explication simplifié du déroulement du projet partant du réseau
principal, jusqu’à l’arrosage, mais aussi la réception des informations sur l’Etat du sol pour la
surveillance.
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Lorsque l’électrovanne est fermée, l’eau s’écoule dans l’entrée et maintient par pression
le clapet qui coupe le passage de l’eau. Ce clapet est situé dans le corps de l’électrovanne qui
est généralement en PVC ou en fibre de verre. Le système est équipé d’un capteur d’humidité
et d’un pluviomètre électronique. Le capteur détecte l’état du sol notamment le taux de
sécheresse. Son but est d’ajuster en conséquence l’apport en eau pour arroser efficacement le
champ. Quant au pluviomètre, il permet d’interrompre immédiatement l’arrosage quand il se
met à pleuvoir. Notons que les périodes d’arrosage sont gérées par un programmateur mural
situé aux électrovannes.
Le débit (Q) est la quantité d’eau que la pompe peut fournir durant un intervalle
de temps donné. En pompage, le débit est habituellement donné en litres par heure (l/h) ou
gallons par heure (gph). En pompage solaire, le débit (ou le besoin en eau) est souvent exprimé
en m3 par jour.
a) Espace cultural
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c) Demande en eau totale
Le débit total (Qt)
(Qt) = (choux+céleri+laitue+amarande+épinards)
= (1670+8340+6000+6666) x 2
= 45352 litres par jour pour notre espace vert
453.52𝑥20
𝑄=
100
𝑄 =2267,6m3
= 45374.676 m3 /jour
e) Estimation du débit
Le volume total ou la capacité d’eau pour une journée est de 45374,676m3/jour. Afin
d’avoir la quantité désirée, considérons un temps de pompage de 8 heures chaque jour, matin
et soir.
Alors nous pouvons déterminer la quantité d’eau à injecter dans le réseau à partir de la
formule suivante :
Volume ou capacité
.
45374,676
Qp =
8
Qp = 5671,83m3/h.
Sachant que 1 heure = 3600 secondes, alors le débit de pompage en m3/s sera :
5671.83
Qp =
3600
Qp = 1.575 m3/s.
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IIl.5.2 Calculs des perméabilités et rétention du sol
La capacité de rétention d'eau correspond à la quantité d'eau qu'un échantillon peut absorber
par unité de poids. Un ingrédient à forte rétention d'eau peut être utilisé pour améliorer la texture
d'un produit. Il peut également être utilisé pour améliorer la jutosité des produits carnés.
Calcul de la rétention d'eau
Il reste à noter que le facteur qui influence le coefficient de perméabilité, est la structure
du sol, son type, son degré, et les caractéristiques d'agrégation comme la relation qui existe
entre les dimensions (en longueur et en largeur) des agrégats et la direction et l'importance du
chevauchement
ρ ×V ×D
𝑅𝑒 =
μ
Le rapport cyclique est défini comme le Temps Ton, pendant lequel l’interrupteur est fermé
divisé par la période de fonctionnement du montage T, soit :
Toff = T - Ton
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III.5.5 Dimensionnement des équipements
Dimensionnement complet de l’installation : Les différentes étapes pour le dimensionnement
d’un système de pompage sont :
Le diamètre des tuyauteries peut être estimé en utilisant des tableaux ou des graphes qui
expriment les pertes par frottement en fonction du débit pour chaque diamètre de la tuyauterie,
le diamètre le plus économique sera celui qui réduit au minimum la somme des coûts de la
tuyauterie et de l’énergie perdue par frottement. Il est possible d’obtenir analytiquement les
diamètres des tuyauteries de pompage qui approxime à ceux qui minimisent les coûts des
installations par la formule suivante :
𝑫 = 𝑲 × √𝑸
𝟒
𝒗 =
𝛑 × 𝑲𝟐
π × 𝐷2
𝑄= ×𝑉
D
Le type de sol est facteur important à considérer lors de la conception et de la gestion d’un
système d’irrigation. Un sable faiblement pourvu en matière organique retiendra à peine 5% de
son poids en eau. Par contre, un sol limoneux pourra en retenir près de 30%. Cette quantité
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d’eau retenue influence directement sur les fréquences d’irrigation. Par exemple, une argile aura
assez l’eau en réserve en débit de saison pour approvisionner une culture pendant un mois, alors
qu’un sable grossier n’aura de réserve que pour quelque jour
Notre choix portera sur la conduite en fonte grâce à ses multiples avantages que
présente celle-ci.
Equation de continuité :
Q=Vx S
V=
Avec :
Donc, V = 02 = 0,566m/s
Un moteur électrique entraine une pompe immergée pour pomper de l’eau liquide avec
un débit de 50 l/s. Les caractéristiques du moteur sont :
𝑊𝑝𝑜𝑚𝑝𝑒 = 𝑉𝑙𝑖𝑞 × ( 𝑃𝑎 − 𝑃𝑟 )
3 3
103 𝑁
𝑊𝑝𝑜𝑚𝑝𝑒 = 50 𝑚 × 10 ( 300 − 100 ) × = 50.200 𝐽/𝑠
𝑚2
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Le moteur de 20 kW fournira à 90% une puissance de 13,5 kW. D’où le rendement mécanique
vaut :
𝟏𝟎
𝜼𝒎é𝒄 = = 𝟎, 𝟕𝟒𝟐 = 𝟕𝟒%
𝟏𝟑, 𝟓
Après avoir établi les valeurs de débit et de la hauteur manométrique totale de l'installation, la
puissance absorbée de la pompe, peut être calculée par :
𝑃ℎ Q × 𝐻𝑐 × 𝜌 × 𝑔
𝑃é𝑙𝑒 = =
𝜂𝑝𝑜𝑚𝑝𝑒 3500 × 𝜂𝑝𝑜𝑚𝑝𝑒
𝑄 : Le débit en [𝑚3⁄ℎ].
𝜌 : La densité du liquide (pour l’eau 𝛾 = 1000 𝑘𝑔 𝑚3 ⁄sec).
𝜂𝑝 : Le rendement de la pompe (90%, alors 𝜂𝑝 = 0.9)
L’énergie nécessaire pour soulever une certaine quantité d’eau sur une certaine hauteur
pendant une journée est calculée à partir des données de débit et de HMT requises et est
exprimée en watt heure. Ce calcul est fonction d’une constante hydraulique (CH) et est
inversement proportionnel au rendement de la pompe utilisé :
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Avec :
Perte charge : La perte de charge est la perte de pression qui se manifeste au fur à mesure
de l’avancement du fluide. Elle est définie comme étant la résistance à l’écoulement et
l’avancement du fluide à cause de la rugosité des surfaces de la canalisation.
Ylin =
V : Vitesse d’écoulement du fluide,
K : Coefficient de perte de charge (K = 0,0015 conduite neuve)
L : Longueur de la conduite.
Dans nos calculs de dimensionnement, nous nous limiterons au niveau du réservoir
d’alimentation.
Pour notre cas, nous avons :
L = 50 m,
V = 0,566 m/s,
D = 0,143 m,
K =0,0015
Les pertes de charge linéaires (Ylin) seront :
Ylin = 0,0015, 0, 566)2 = 0,168 m
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Les obstacles et leurs valeurs respectives de coefficient K.
Hm = Hg + Ytot
Sachant que Hg = Ha + Hr
Avec :
Hg : Hauteur géométrique ;
Ha : Hauteur d’aspiration ;
Hr : Hauteur de refoulement.
Pour ce qui concerne notre cas, c’est un forage; de ce fait on aura une pompe
immergée par conséquent la hauteur d’aspiration sera nulle (Ha = 0 m). En outre notre
réservoir (tank) sera placé à une hauteur de refoulement de 25mètres (Hr = 25m)
Hg = 0 + 25 = 25m
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III.6.5.Taux de rentabilité de l'investissement
La durée de retour sur investissement (DRI) se détermine par l’expression :
Cahier des charges : est un document relatif à la réalisation d’un projet, il sert de liens
contractuel pour encadrer le projet
En se basant sur le fonctionnement du système, nous avons divisé notre procédé en trois parties
pour simplifier l’analyse fonctionnelle.
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Niveau 2 : Lors de l’analyse des spécifications technologiques, l’automaticien utilisera
l’analyse faite avec le GRAFCET de niveau 1 pour choisir les actionneurs et les capteurs
nécessaires pour générer les actions et obtenir les informations nécessaires pour remplir les
fonctions. Dans ces niveaux-là, il est assumé que l’automatisme ne manquera jamais de
matière première, ne subira jamais d’arrêt d’urgence, ne sera jamais défaillant. Donc les
divers modes de marches et d’arrêts ne sont pas pris en compte.
Condition initiale : Les pompes sont à l’arrêt et les vannes sont fermées.
Etape 1 : Lors du démarrage du cycle, le château d’eau est vide c'est-à-dire que le
niveau est très bas (NTB). Grâce à commutateur, nous allons choisir l’utilisation du
réservoir 1250 m3 ou le 2×400 m3 et dans notre cas on le positionnera sur le réservoir
1250m3.
Etape 2 : Le flotteur indique que le niveau dans le niveau est très bas (NTB),
l’automaticien, va démarrer manuellement le groupe électrogène pour alimenter notre
système, la pompe actionné la vanne 1 (V1) et (V2) est fermée.
Etape 3 : Le flotteur indique que l’eau est au niveau bas (NB), la vanne de refoulement
toujours fermé. Donc le système d’arrosage est à l’arrêt.
Etape 4 : quand l’eau atteint le niveau très haut (NTH) tout doit impérativement
s’arrêter car le réservoir est plein. Le cycle redémarrera lorsque l’eau descend au niveau
très bas. Là la vanne de refoulement s’ouvre et l’arrosage commence.
Etape 4 : Après une temporisation de X temps, si le niveau de l’eau redescend au niveau
très bas (NTB) ou même avant cette temporisation le système pompe redémarrera et sa
vanne d’aspiration s’ouvrira de nouveau, mais si le l’eau atteint le niveau haut (NH)
avant même cette temporisation, le système pompe s’arrête et sa vanne d’aspiration se
ferme alors que la pompe.
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Début du remplissage
Fin de remplissage
Et les experts nous montrent la durée de vie de chaque système que nous pouvons rencontrés :
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Equipements Générateur Motopompe Onduleur Forage Réservoir Accessoires
photovoltaïque
Durée de vie
(an) 20 7 7 20 20 20
III.12 Conclusion
Nous venons de faire une étude de réalisation du système d’arrosage semi-automatique pour le
site de la ferme TSHABULA dans son projet de la culture maraichère. Ou il a été question de
faire le choix du système en question, des équipements ainsi calculer certains paramètres puis
passer au dimensionnement des certains organes pour atterrir en faisant l’étude technico-
économique.
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CONCLUSION GENERALE
Objectifs de l’étude de ce projet espère contribuer à l’atteinte de la sécurité
alimentaire. Ainsi, l’objectif global du projet est de contribuer de manière efficace à
l’amélioration des conditions de vie des populations de TSHABULA à travers l’étude technique
des aménagements pour la valorisation de la ressource en eau souterraine. Il s’agit aussi de créer
des opportunités d’emplois. Afin d’accroître les productions agricoles, les objectifs de l’étude
sont les suivants :
Il a fallu dans un premier temps identifier les problèmes rencontrés avec les méthodes
d’irrigation traditionnelles et proposer une solution avant de nous familiariser avec les différents
systèmes d’irrigation qui existent. Nous avons ensuite étudié et analysé cette solution en détail
à l’aide du système semi-automatique et des fonctionnalités attendues ce qui nous a permis de
faire la conception en utilisant un système par aspersion. Après avoir défini l’architecture de
notre système, il ne nous restait alors plus qu’à l’implémenter avec les outils adéquats avant de
le présenter.
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