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EPIGRAPHE
« La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est
quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni
théorie et pratique : rien ne fonctionne… et personne ne sait pourquoi ! »
Albert Einstein.
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DEDICACE
REMERCIEMENTS
Ce travail est non seulement le fruit de nos efforts personnels pendant la période de
préparation de notre projet, mais également de notre cycle de formation que nous avons
passées à l’Ecole Supérieure des Ingénieurs Industriel ESI en sigle.
Nous tenons en premier lieu à exprimer notre gratitude à l’Eternel Dieu tout puissant,
pour toutes les dimensions des soutiens manifestées en notre faveur.
Nos remerciements s’adressent à tous les corps administratif et professoral de l’Ecole
Supérieure des Ingénieurs industriel ESI, en particulier au professeur BANZA WA BANZA
Bonaventure pour avoir fait de nous des bons ingénieurs ; aptes et souples dans notre façon
de réfléchir dans la résolution des problèmes.
Nos remerciements s’adressent également à nos frères dont MUYUMBA Prince,
KISHIBA Ruth, KONDE Merveille, KONDE Kerene. Merci pour tout le soutien et l’amour
que vous me portez depuis mon enfance et j'espère que votre bénédiction m’accompagne
toujours, j’espère que ce travail est le fruit de vos sacrifices et de la réalisation de vos
aspirations, je vous souhaite une santé et une longévité continue.
A la famille KONDE et BONDO, à vous mes oncles, tantes, cousins et neuves pour vos
conseils, amour et assistance.
Nous remercions également nos amis et nos collègues qui nous ont soutenu et
encouragé, il s’agit de : Amani NDASI, Eldad KYANDA, Elvine KABEDI, Chirac NGOY,
Emmanuel MONGA, Laurent MONGA, Gloria ENIWA, Tatiana KABANGA, Esther
NGALULA, Gad LUBINGI, Popaul LISASI, Christian KALIMA, Jonathan KATUMBA,
Christian BONDO. A tous nos amis de l’ESI.
La liste est longue nous ne saurons pas citer tout le monde, pour tous ceux qui nous ont
assisté de près ou de loin nous leurs adressons notre profonde gratitude.
2.2.2 Hauteur......................................................................................................................... 12
2.2.3 Milieu de vie de volailles ............................................................................................. 12
2.2.4 Valeur économique ...................................................................................................... 12
2.2.5 Valeur économique ...................................................................................................... 13
2.2.6 Climatisation ................................................................................................................ 13
2.2.7 Chauffage ..................................................................................................................... 14
2.2.8 Chauffage par induction magnétique ........................................................................ 14
2.3 NORME DE CONSTRUCTION D’UN POULAILLER ................................................. 15
2.3.1 Tailles............................................................................................................................ 16
2.3.2 Types et dimensions..................................................................................................... 16
2.3.3 La toiture du poulailler ............................................................................................... 17
2.3.4 Le pondoir .................................................................................................................... 17
2.4 ETUDE DU POULAILLER D’AIPN ................................................................................ 17
3.1 Description ....................................................................................................................... 17
2.5 LIEU ..................................................................................................................................... 17
2.5.1 Approvisionnement en eau et électricité.................................................................... 18
2.5.2 Eléments d’un poulailler ............................................................................................. 18
2.5.3 Vue panoramique du poulailler ................................................................................. 18
2.6 LANCEMENT DES POUSSINS ........................................................................................ 18
2.7 LA REGULATION ............................................................................................................. 19
CONCLUSION PARTIELLE ............................................................................................................ 20
CHAPITRE III. REALISATION DU SYSTEME DE GESTION AUTOMATIQUE DE LA
TEMPERATURE ................................................................................................................................ 21
3.1 INTRODUCTION ............................................................................................................... 21
3.2 RECHERCHE DE L’INFORMATION ............................................................................ 21
3.3 PLAN .................................................................................................................................... 21
3.4 CAHIER DE CHARGE ...................................................................................................... 21
3.4.1 Schémas principal et fonctionnement ............................................................................ 21
3.5 DESCRIPTION DES ELEMENTS ................................................................................... 22
3.5.1 Carte Arduino .............................................................................................................. 22
3.5.2 Définition ...................................................................................................................... 22
3.5.3 Description ................................................................................................................... 22
3.5.4 Principe de fonctionnement ........................................................................................ 22
3.5.5 Consigne ....................................................................................................................... 23
3.5.6 Arduino et pc ............................................................................................................... 23
3.6 LOGICIEL ........................................................................................................................... 23
P a g e | VI
LISTE DE FIGURES
RESUME
Il est très capital de vivre dans un environnement saint, que c’est soit pour un homme ou
pour un animal, la bonne santé est la priorité de chaque être humain, une bonne température
nous permet à notre organisme de fonctionner normalement sans étouffement. Dans notre cas,
la ferme D’AIPN kisanga a croisé plusieurs difficultés au niveau de son poulailler à cause de
la variation et la diminution excessif de la température, cela n’a pas permis à la dite ferme de
tenir un bon nombre des poulets de chair.
Et partant de cette idée nous nous sommes fixés cet objectif de faire des recherches sur
des méthodes pouvant nous faciliter l’élaboration d’un système de gestion automatique de la
température, qui nous permettra de maintenir constant la température dans le poulailler.
P a g e | IX
INTRODUCTION GENERALE
1.1 INTRODUCTION
Le concept (système d’élevage) vise à rendre compte des interactions entre dimensions
biotechniques d’élevage. Le concept d’élevage s’est imposé comme un moyen de rendre
compte des résistances à l’adoption de techniques d’identification fourragère et animale, de
comprendre et d’analyser les performances animales en milieu paysan.
Le concept de « système d’élevage » a été développé pour décrire et modéliser
l’interaction entre les aspects humains et biotechnologiques de l’élevage. Rappelant les
origines et les fondements des approches intégrées de l’élevage et des applications centrées
sur le lien entre prise de décision, pratique et performance du troupeau, nous montrons
comment ce concept évolue pour répondre aux évolutions de l’élevage. (Ex : emplois gérés) et
sociale (plus de respect de l’environnement). Les enjeux de développement durable
nécessitent de réactualiser les approches des systèmes d’élevage pour étudier l’adaptabilité
des systèmes socio-écologiques à l’échelle territoriale.
Depuis les années 1980, le concept de « système d’élevage » a connu de nombreuses
évolutions. Ils visent, d’une part, à mieux comprendre et formaliser les sources, la logique et
la concrétisation de la reproduction comme activité humaine, et d’autre part, la connaissance
du fonctionnement dynamique réel des animaux et des troupeaux. Les situations souvent
éloignées d’une réponse individualisée optimale sont supprimées.
1.2.1. Élevage et agriculture
Selon (la rousse) l’élevage c’est « l’action d’élever les animaux domestiques », tout
autant activité humaine que technique d’exploitation d’un ensemble d’animaux. Ce concept a
été élaboré dans les années 80 par des Z00-techniciens (LANDAIS 1987, GIBON et AL
1988) pour rendre compte de cette dualité et développer sur cette base un cadre théorique et
méthodologique permettant d’aborder les formations de l’activité d’élevage dans une
perspective de compréhension, de conseil ou de prospective (BERANGER et VISSAC 1994 ).
L’intégration de l’agriculture et de l’élevage permet une intensification simultanée et
synergique de la production végétale et animale, conformément aux objectifs d’augmentation
de la production, des revenus des ménages d’agricultures et d’une utilisation plus efficace des
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ressources. Comme déjà mentionné, ces effets synergiques concernent les flux de matières, le
cycle des éléments nutritifs, la fonction biophysique du sol, l’évaluation des performances et
la gestion des facteurs de production (équipements et intrants). Chez les plus pauvres, cette
forme de durcissement relatif a le grand avantage d’une véritable autonomie (elle peut prendre
peu d’apport de l’extérieure).
1.2.2. Agriculture
Du latin « agricultura » composé à partir de ager qui veut dire « champ » et de cultura
« culture » c’est un processus par lequel les êtres humains aménagent leur écosystème, et
contrôlent le cycle biologique d’espèces domestiques, dans le but de produire des aliments et
d’autres ressources utiles à leurs sociétés.
Elle désigne l’ensemble de savoir-faire et activités ayant pour objet la culture des sols,
et plus généralement l’ensemble des travaux sur le milieu naturel (pas seulement terrestre)
permettant de cultiver et préserver des êtres vivants (végétaux, animaux, voir champignon ou
microbes) utile à l’être humain.
Son histoire a été largement façonné par le progrès technologique, l’économie et
l’environnement. Les premières traces de culture de plantes comestibles et de domestication
animale remontent à au moins 10.000 ans (c’est-à-dire avant J-C) au néolithique. Cette
période, appelé la révolution néolithique, est la première révolution agricole. Les premières
traces de ceux-ci viennent du Moyen-Orient.
La première preuve a été trouvée près de la ville d’El lija (aujourd’hui Jéricho,
Palestine). L’Afrique subsaharienne a depuis connu une transition similaire. L’avènement de
l’agriculture a présenté un changement social important car les hommes sont passée d’un
mode de vie nomade basé sur la chasse et la cueillette à un mode de vie plus sédentaire.
1.2.3. Température
Elle est définie comme une grandeur empirique caractéristique d’un système qui permet
une description quantitative des phénomènes liés à la sensation de chaud ou de froid. C’est
une grandeur physique de chaleur chaude ou froide mesurée en degrés par rapport à une
échelle connue ( Celcius °C, Fahrenteit °F, Kelvin K ). Elle indique la chaleur d’un corps ou
d’un milieu, telle que la température d’un thermomètre et étudiée en thermométrie.
Dans la vie courante elle est reliées aux sensations de froid et de chaud, provenant du
transfert thermique entre le corps humain et son environnement.
La notion de température est avant tout une notion subjective. par le sens du
toucher,nous savons qu’un objet particulier est plus ou moins chaud, c’est-à-dire que sa
température est plus ou moins élevée. Nous savons tous que pour chauffer un objet, nous
devons lui applliquer de la chaleur. Les termes température et chaleur ne sont pas synonymes,
et il existe certaines expressions courantes telles que « il fait chaud » ou « quelle chaleur ».
En thermodynamique, la température est définie à partir de l’énergie totale d’un système
et du nombre d’états que celui-ci peut posséder pour une certaine valeur de cette énergie.
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C’est une variable d’état puissante liée à l’entropie. Leurs valeurs, ainsi que la pression,
déterminent l’état de la matière pure. La mesure de la température corporelle est très
importante en médecine. En fait, de nombreuses maladies sont associées à des fluctuations de
la température corporelle. Dans certains cas, l’évolution de la maladie peut être suivie en
mesurant la température du corps. La température au sens usuel nous apparait comme une
grandeur qui peut augmenter ou diminuer l’état d’un corps en termes d’échange de chaleur
possible entre ce corps c’est corps est un corps extérieur.
Lorsqu’un objet froid est mis en présence d’un objet chaud, le premier objet se
réchauffe et le deuxième se refroidit. Il y a transfert de chaleur du deuxième corps au premier,
cette transmission- lorsque deux corps sont seuls – ne s’arrête que lorsqu’ils atteignent le
même état calorique. A ce moment, on dit qu’ils sont à la même température.
En bref c’est la quantité physique qui caractérise la quantité de chaleur contenue dans le
corps. Lorsque deux parties d’un système thermodynamique sont en contact thermique, la
chaleur circule d’une partie à l’autre. On dit que la chaleur circule naturellement d’un endroit
chaud vers un endroit froid. Ce flux continue jusqu’à ce que l’équilibre soit atteint.
1.2.4. Chaleur
Celle-ci se définie d’une courte façon, la chaleur c’est la qualité de ce qui est chaud ;
température élevée ; sensation que donne un corps chaud ;
Dans le langage courant, le terme chaleur est employé pour qualifier la sensation que
donne un corps chaud, les physiciens qualifient la chaleur d’énergie thermique. Dans le
système international, elle se mesure donc en Joules (J), la chaleur correspond plus
précisément à un transfert d’énergie.
C’est en fait de l’énergie thermique qui se déplace d’un endroit à un autre, elle circule
des objets plus chauds vers les objets plus froids, du faite qu’elle est une forme d’énergie, elle
se mesure en joules (J ) ou en calories ( Cal ).
C’est une forme d’énergie, à savoir l’énergie de mouvement des petites particules (les
molécules, les atomes) qui composent un corps. Plus les petites particules se déplacent
rapidement, plus le corps est chaud.
1.3 CAPTEUR ET MESURE
Ils sont définis de deux types dont : le capteur passif et le capteur actif.
Les capteurs peuvent etre utilisées dans environnements difficiles et dans des zones
inaccessibles aux humains.
Un capteur actif agit comme un générateur. Un principe basé sur des effets physiques
qui garantit la transformation de la grandeur mesurée en une forme spécifique d’énergie
électrique. Un capteur est passif si les variables électriques disponibles sont principalement
des impédances capacitives ou résistives.
Certains parlent de capteur actif lorsque le phénomène physique utilisé pour déterminer
la grandeur mesurée la convertit directement en grandeur électrique. Illustrée sur la figue ci-
contre
Dans la plupart des cas, le signal du capteur est un signal électrique. C’est-à-dire qu’il
peut s’agir d’une tension ou d’un courant. Il existe trois différents de signaux de sorti :
➢ Signal binaire : un signal numérique binaire consiste en une série de nombres
tirés d’(une collection de valeurs possibles. Des soi-disant bits sont utilisés pour représenter
ces valeurs
➢ Signal analogique : c’est un signal continu dont la valeur est fonction du temps
et change continuellement dans le temps. Exemple : les signaux numériques, car ils peuvent
être visualisés à l’aide d’histogrammes.
➢ Signal numérique : c’est un signal dont les informations sont représentées par
un nombre fini de valeurs discrètes bien définies, dont l’une peut être supposée dans le temps.
Afin de choisir le bon capteur qui convient votre procédé ou votre ligne de production :
❖ Evaluez le paramètre de distance, c’est-à-dire la plage de mesure, entre le
capteur et l’objet à détecter,
❖ Tenir compte de la sensibilité, de la précision, de la vitesse et de la tolérance,
❖ Tenir compte de l’environnement d’utilisation du capteur, qui affecte
considérablement les données de détection,
❖ Il faut aussi noter que les capteurs sont aussi des sources d’intrusion dans le
système.
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Un automatisme est un système qui par les moyens des dispositifs mécaniques,
pneumatiques, hydrauliques ou électriques, est capable de remplacer l’être humain pour
certaines tâches. Simple ou complexes, les systèmes automatisés font partie de
l’environnement de l’être humain
1.4.2 Description
Le système automatisé est constitué de deux parties distinctes ; la partie commande qui
traite des informations, et la partie opérative, composée des capteurs et d’actionneurs.
C’est un système réalisant des opérations et pour lequel l’homme n’intervient que dans
la programmation du système et dans son réglage.
1.4.3 Technique de régulation
A ce stade, nous présentons différentes techniques et leurs schémas de contrôle
fonctionnels. Il se compose des deux parties citées ci haut, la commande et l’opérative, si l’on
continue avec ces techniques, on est limité à deux techniques, mais il semble facile de choisir
entre ces deux techniques pour faire fonctionner notre système automatisé.
1.4.4.1 Régulation automatique
Cette régulation est conçue à partir du pont de WHEASTONE, le signal délivré est
proportionnel à l’écart entre la mesure et la consigne, c’est une régulation non communicante.
Un courant est appliqué en entrée du pont de wheastone, quatre résistances sont raccordées en
série parallèle, celle-ci peuvent être toutes variables ou certaines variables et certain fixe.
Si les quatre résistances ont la même valeur ohmique, rien ne passe s’il y a des équilibre
car une ou plusieurs résistances varies une tension est généré, celle-ci est utilisé pour
commander divers actionneurs. Cee signal permet d’actionner après amplification des
contacts secs (contact on /off) ou de libérer à l’aide d’un convertisseur, un courant de 0 à 10v.
Voir la figure ci-dessous..
L’observation idéale dans cette chaine fermée porte sur la quantité à contrôler. Dans ce
cas, la phase réflexe détermine la différence entre la quantité observée dans le poulailler et la
quantité administrée. Par conséquent, selon cette différence et les règles établies, nous
dérivons des actions qui peuvent garantir que cette quantité observée ne diminue pas.
Il régit les limites particulières des conditions que nous essayons de nous imposer, et la
quantité variable d'idées qui prélèvent dans l’espace, c’est-à-dire de maintenir constante la
quantité contrôlée.
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre nous avons énumérez des points essentiels parlant du système de
gestion automatique de la température dans le poulailler et nous avons montrées en grande
partie la notion de régulation qui nous sera plus important dans la suite de notre travail. Afin
de réaliser notre grand système automatisé tous ces éléments démontrées dans ce chapitre
nous serons d’une grande utilité pour une réalisation précise de notre système.
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2.1 INTRODUCTION
2.2.1 Rôle
L’avantage de construire un poulailler est qu’il protège les volailles des intempéries
extérieures telles que la pluie et vent. Pour protéger des prédateurs tels que les voleurs, les
chiens et les chats etc..
2.2.2 Hauteur
La hauteur d’un poulailler est très importante pour épargner les volailles contre le
débordement du climat de temps à autre ; si le poulailler ne dépasse pas 5m carré, vous êtes
dispensé de déclaration en mairie, si le poulailler mesure entre 5m carrée et 20m carrée de
surface au sol, il vous faudra remplir un formulaire de déclaration préalable de travaux ; il
dépasse 20m carrée au sol il faudra effectuer une demande de permis de construire.
2.2.3 Milieu de vie de volailles
Les bâtiments d’élevage créent un environnement bien disposer et favorable pour les
volailles ; besoins de l’organisme déterminée par la température, la vitesse du veut et
l’humidité.
2.2.4 Valeur économique
L’élevage contribue aux moyens d’existence d’environ 70% de populations rurales
pauvres dans le monde. L’augmentions de la demande de protéines animales dans les pays
faibles et moyens revenus offre aux pauvres ruraux une opportunité d’améliorer leurs moyens
de subsistances.
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Les normes internationales exigent un investissement à long terme dans les bâtiments.
Cela signifie qu’il doit être construit pour résister à toutes sortes de tempêtes et de pluies
torrentielles pendent au moins 10ans. Il faut très bien construire pour éviter la première
fausse économique. ( François dayon, Brigitte arbalot 1997 )
2.2.5 Valeur économique
L’élevage contribue aux moyens d’existence d’environ 70% de populations rurales
pauvres dans le monde. L’augmentions de la demande de protéines animales dans les pays
faibles et moyens revenus offre aux pauvres ruraux une opportunité d’améliorer leurs moyens
de subsistances.
Les normes internationales exigent un investissement à long terme dans les bâtiments.
Cela signifie qu’il doit être construit pour résister à toutes sortes de tempêtes et de pluies
torrentielles pendent au moins 10ans. Il faut très bien construire pour éviter la première
fausse économique. ( François dayon, Brigitte arbalot 1997 )
2.2.6 Climatisation
Il est commun de penser que toutes les volailles sont plus au moins résistantes aux
fortes chaleurs. C’est vrai mais certains possèdent des caractéristiques particulières qui
facilitent leur survie en milieu chaud et sec.
Pour rester en bonne santé, une poule ne doit pas dépasser entre 40,6°c et 41,7°c or dès
que la température extérieure dépasse le 25°c, la température corporelle de la poule augmente
elle aussi, Surtout si l’air est humide. A ces moments-là elle subit un coup de chaleur, elle
ouvre alors son bec et ses ailes pour trouver un endroit frais pour toucher et ventiler son corps.
Toute augmentation de la température ambiante se traduit par une baisse de
consommation alimentaire (-1,4/poule), au-delà de 27°c la relation n’est plus linéaire et la
chaleur ambiante entraine une baisse de consommation (DESBORDES, 2006) en période de
croissance chez la poulette (3 semaines à 18semaines) du 15ème au 21 jour, la température
optimal est de 22°c dans la salle et de 26°c à l’endroit des sources de chaleurs.
Au-delà du 21ème jour, la température idéale dans le local d’élevage se situe entre 18°-
20°c (ANDRE, 1996).
La ventilation permet la respiration normale des volailles, elle apporte dz l’oxygène et
élimine le gaz carbonique. Pour une bonne croissance optimale, les volailles ont besoin d’un
climat intérieure sain, en plus s’une bonne alimentation et d’eau.
La température l’humidité relave et la vitesse de l’air sont trois facteurs importants qui
influent sur le confort de volailles. La ventilation assure l’évacuation de poussière libérée
lorsque la litière est trop sèche, cette poussière irrite les voies respiratoires et permet la
propagation d’agent pathogène. Exemple d’un ventilateur sur la figure ci-contre
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Figure 8:Ventilateur
2.2.7 Chauffage
Pendant la période froide nous affrontons des diverses réalités causées par le froid et
ainsi le froid devient une arme de destruction massive contre les volailles en cette période, et
pour remédier à ce défi nous avons réfléchis de mettre en place une source chaude permettant
de rendre le climat agréable selon la consigne donnée. De ce fait une source de chaleur par
induction magnétique sera pour nous une solution aux problèmes de climats pendent la
période froide.
2.2.8 Chauffage par induction magnétique
Un courant continu circulant dans un conducteur rectiligne crée autour de ce conducteur
un champ magnétique. Que l’expérience classique du spectre magnétique peut mettre en
évidence et dont les lignes de force sont des circonférences concentriques.
Le chauffage par induction magnétique est une technique de chauffage reposant sur
l’induction électromagnétique, son avantage est de chauffer des matériaux sans contact avec
la source d’énergie. Voir la figure si dessous
2.3.1 Tailles
Choisir la bonne taille du poulailler est un est un critère indispensable au bien être des
poules. On considère que le poulailler (sans compter l’enclos) doit offrir une surface
d’environ 1m carré à chaque individu, petit poulailler ou grand poulailler, tout dépendra du
nombre de poules qui vont y dormir et y pondre.
2.3.2 Types et dimensions
Les types des poulaillers sont dimensionnés en classe par rapport aux nombres des
volailles pouvant être élevé ;
❖ Poulailler Pour 2 Poules ; 120 X 70 X 90cm
❖ Poulailler Pour 4 Poules ; 140 X 70 X 1001cm
❖ Poulailler pour 6 poules ; 150 x 120 x 110cm
❖ Poulailler pour 8 poules ; 160 x 130 x 120cm
❖ Poulailler pour 10 poules ; 180 x 150 x 120cm.
Dans l’absolu, il est préférable de prendre un poulailler trop grand que trop petit, surtout
si vous envisagez de faire croitre votre population des poules dans les années à venir.
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2.5 LIEU
Installer un poulailler est stratégique car le lieu d’implantation devra répondre aux
contraintes et volontés de chacun. Il faut veiller à ce que les animaux ne portent pas atteinte à
la tranquillité ou à la santé de voisins.
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Le poulailler doit être posé dos aux vents dominants pour éviter que le vent s’engouffre
dans le dortoir et les pondoirs.
2.5.1 Approvisionnement en eau et électricité
L’approvisionnement en eau doit être techniquement sanitaire. Pour la ferme D’AIPN,
l’approvisionnement en eau est un gros problème auquel la ferme est confrontée. La solution
pour l’alimentation en eau pour la ferme serait de creuser un puits, pour fournir l’eau à
perpétuité sans aucun défaut.
Quant à l’électricité, par rapport à la situation géographique de la dite ferme, l’éclairage
permet aux poussins de se voir, donc compte tenu de l’alimentation en énergie électrique,
alors ils ont également besoin de cette lumière la nuit dans leurs repos ;
2.5.2 Eléments d’un poulailler
❖ Le perchoir : c’est un endroit où viennent se percher les oiseaux domestiques,
les volailles.
❖ La mangeoire : auge placée dans les poulaillers où est placée la nourriture
destinée aux volailles,
❖ Le pondoir : il fait partir des essentiels de l’aménagement intérieur d’un
poulailler, il est l’endroit où les poulets trouveront un nid douillet où pondre au calme est à
l’abri.
2.7 LA REGULATION
II.6.1 Informations règlementaires générales
Le terme de régulation renvoie dans son sens concret à une discipline technique, qui se
rattache sur le plan scientifique à l’automatique. La régulation est un cas spécifique de
rétroaction où le système tend à réduire ses écarts à la commande.
Il y a 4 grandeurs qui jouent un rôle essentiel dans la régulation ;
❖ La grandeur réglée ; c’est la grandeur que l’on souhaite réguler. Dans un
système de régulation (en boucle fermée) c’est la grandeur mesurée par le capteur-
transmetteur.
❖ La consigne ; c’est la valeur de consigne que la variable de contrôle doit avoir.
❖ La grandeur réglant ; c’est la grandeur qui a été choisi pour commander la
grandeur réglée.
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CONCLUSION PARTIELLE
Afin de représenter les lieux où nous avons procédé dans ce chapitre par les expressions
usuelles des normes internationales existant dans le cadre de la construction de poulaillers. Et
dès le début, cette présentation nous à donner un aperçu. A cette époque, après de nombreuses
recherches et collectes de données, nous avons présenté les règles des paramètres causaux des
manipulations.
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3.1 INTRODUCTION
3.3 PLAN
Considérant lesdifférentes fonctionnalités offertes par le poulailler et pour offrir un
avenir meilleur, nous avons pensé qu’il serait préférable de présenter d’abord l’adaptateur
pour le poulailler et de placer le pré actionneurs et les actionneurs dans son sein.
❖ Nous avons décidé de placer deux rails au centre du poulailler pour sécuriser le
capteur de température et le protéger des parasites
❖ Pour l’aération du poulailler nous avons placé des ventilateurs pour aérer lorsque
la température dépasse la consigne qui a été donnée
❖ Et en suite nous avons mis en place une plateforme dans le fond du poulailler
pour placer notre carte Arduino.
Figure 14:Microcontroleur
3.5.5 Consigne
C’est un paramètre constant dans un système de contrôle industriel et représente le point
de fonctionnement du procédé. Le contrôle se fait autour de ce point de consigne, dans notre
travail le point de consigne est compris entre (24 et27) donc 24° est la température inférieur
limite et 27° est la température supérieure limite.
3.5.6 Arduino et pc
Il est primordiale de connecter notre carte Arduino sur un PC pour permettre un procédé
correcte et avoir une programmation exact par rapport à la consigne de notre régulation, le PC
permet plus d’avoir des précisions sur la transmission de programmes à partir d’un logiciel.
:Voir la figure si dessous
Figure 15:Arduino et PC
3.6 LOGICIEL
3.6.1 Arduino IDE
Le logiciel permet de programmer la carte Arduino Il offre une multitude de
fonctionnalités. Au jour d’aujourd’hui, l'électronique est de plus en plus remplacée par de
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Extrait du code
#include "max6675.h"
int thermoDO = 4 ;
int themoCS = 5 ;
int thermoCLK = 6 ;
MAX6675
themocouple (thermoCLK,
thermoCS, thermoDO) ;
void setup () {
Serial.begin(9600) ;
Serial.println("MAX6675
test") ;
// wait for MAX chip to
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Stabilize
Delay(500) ;
Pour une bonne croissance optimale, les volailles ont besoin d’un climat intérieure sain,
en plus s’une bonne alimentation et d’eau.
Figure 19:Ventilateur
Hitachi HD44780 driver. There are many of them out there, and you
can usually tell them by the 16-pin interface.
This sketch prints "Hello World!" to the LCD and makes the
cursor block blink.
The circuit:
* LCD RS pin to digital pin 12
* LCD Enable pin to digital pin 11
* LCD D4 pin to digital pin 5
* LCD D5 pin to digital pin 4
* LCD D6 pin to digital pin 3
* LCD D7 pin to digital pin 2
* LCD R/W pin to ground
* 10K resistor:
* ends to +5V and ground
* wiper to LCD VO pin (pin 3)
http://www.arduino.cc/en/Tutorial/LiquidCrystalBlink
*/
void setup() {
// set up the LCD's number of columns and rows:
lcd.begin(16, 2);
// Print a message to the LCD.
lcd.print("hello, world!");
}
void loop() {
// Turn off the blinking cursor:
lcd.noBlink();
delay(3000);
// Turn on the blinking cursor:
lcd.blink(); delay(3000);}
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CODE FINAL
lcd.print("AUTOMATIQUE.");
delay(5000);
lcd.clear();
Serial.begin(9600); //Initialize serial port - 9600 bps
Serial.println("MAX6675 test");
// Attendre que le circuit MAX se stabilise.
delay(500);
}
void loop() {
// Test de lecture basique, afficher simplement la température courante
Serial.print("Internal Temp = ");
Serial.println(thermocouple.readInternal());
if (analogRead(thermoCLK)>=27 {
digitalWrite(Relais_2, LOW);
digitalWrite(Relais_1, HIGH);
lcd.setCursor(3,0);
lcd.print("EXCES DE CHAUFFAGE");
lcd.setCursor(2,1);
lcd.print("VENTILATEUR EN MARCHE.");
lcd.println("C = ");
}
if else( analogRead(thermoCLK)<27 {
digitalWrite(Relais_2, HIGH);
digitalWrite(Relais_1, LOW);
lcd.setCursor(3,0);
lcd.print("TEMPERATURE NORMALE");
lcd.setCursor(2,1);
P a g e | 34
lcd.print("CHAUFFAGE EN MARCHE.");
lcd.println("C = ");
}
// Lecture en degrés Celcius
double c = thermocouple.readCelsius();
if (isnan(c)) {
Serial.println("Quelque chose ne fonctionne pas avec le thermocouple!");
} else {
Serial.print("C = ");
Serial.println(c);
}
// Attendre une seconde
delay(1000);
}
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre nous avons présenté tous les éléments qui nous ont permis de réaliser
notre procédé, et tout a été conduit par une carte Arduino pour réguler la consigne. Serte on a
eu à utiliser aussi un thermocouple, quelques relais et un écran LCD pour l’affichage des
résultats. Ainsi ce chapitre montre tous les détails sur la gestion automatique de la
température.
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CONCLUSION GENERALE
Nous avons prélevé quelque méthode nécessaire, dont l’application des capteurs et
actionneurs qui nous a permis d’aboutir à notre réalisation, en suite une étude générale a été
faite pour déterminer la gamme de température que la volaille peut supporter et croitre sans
beaucoup des mécanismes physiques. Une étude du milieu a été faite aussi pour nous procurer
une précision sur l’endroit où doivent vivre les volailles selon les normes internationales, et
nous avons utilisés un thermocouple pour le prélèvement de la température dans le poulailler,
c’est un capteur de température permettant de transformer une grandeur physique en un signal
électrique et quelques actionneurs nous ont faciliter la réalisation du système.
En fin ce travail n’est pas juste un bénéfice pour la ferme D’AIPN KISANGA, mais
aussi d’une grande importance au monde avicole et à toute personne cherchant à mener ces
recherches sur la gestion automatique de la température.