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ÉPIGRAPHIE
2cor 1,7
2
DEDICACE
A mon Dieu tout puissant, reçoit notre action de grâce. Toi qui nous conduis
sur plusieurs chemins même incompréhensibles aux fins de nous faire découvrir et
façonner chaque jour notre destinée. Tu as mis devant nous des personnes qui nous
ont aidé par des expériences heureuses comme malheureusement à te découvrir et à
nous découvrir. Bénit soi ton nom.
REMERCIEMENTS
CHAPITRE II
Figure II. 1 Injection directe.....................................................................................20
Figure II. 2 Injection indirecte.................................................................................21
Figure II. 3 Bougie de préchauffage........................................................................22
Figure II. 4 Course descendante...............................................................................23
Figure II. 5 Course ascendante.................................................................................24
Figure II. 6 Bloc cylindre.........................................................................................27
Figure II. 7 Culasse..................................................................................................27
Figure II. 8 Piston.....................................................................................................29
Figure II. 9 La bielle.................................................................................................30
Figure II. 10 Vilebrequin..........................................................................................31
Figure II. 11 Schéma des systèmes de suralimentation............................................34
CHAPITRE III
Figure III. 1 : Générateur électrique.........................................................................36
Figure III. 3 Les rotors de l'alternateur....................................................................38
Figure III. 6 Rotor à pôle lisse.................................................................................38
Figure III. 7 15 Rotor à pôles saillant......................................................................39
Figure III. 10 Rotor à aimant permanent..................................................................39
Figure III. 11 Stator..................................................................................................40
Figure III. 14 Le pont redresseur..............................................................................41
Figure III. 15 Régulateur de tension........................................................................42
Figure III. 17 Le deux paliers de l’alternateur.........................................................43
8
INTRODUCTION
L'énergie électrique est l'une des énergies les plus utilisées pour l'homme et
demeure les bases du développement d'une nation.
A ce titre elle doit être fournis aux récepteurs du bateau d'une manière
permanente et sans perturbation que possible lors que le moteur principal est en
marche.
Le bateau est l'un de moyen des transports le plus important de la marine et
comporte les éléments tels que :
Le radar;
La machine de pain;
Les plaques de caisson ;
De four à micro-onde ;
De feu de roule ;
Les lampes ;
L'unité de climatisation ;
Le propulseur d'étrave
Les pompes de cale électrique etc.
1. Problématique
Le problème des performances d'un moteur diesel est lié après plusieurs
paramètre constructif, après révision capitale, les performances peuvent varier en
décroissance d'où le problème de l'évaluer après révision et voir la possibilité
d'incorporer un alternateur.
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3. Méthodologie du travail
Pour atteindre notre objectif, nous avons fait recours aux méthodes des bilans
énergétiques tout en tenant compte de coefficient de simultanéité et de demande.
4. Limitation du sujet
La limitation de ce travail se trouve sur les bilans des puissances et au choix
de l'alternateur.
5. Difficultés rencontrées
Pour la réalisation de ce travail on a eu à rencontrer de difficulté financière ;
l'insuffisance de documents maritime approprié dans la bibliothèque de l'I.S.T.A.
6. Subdivision du travail
Outre l'introduction et la conclusion ce travail est subdivisé en quatre
chapitre :
I.1.1 Définition
La propulsion désigne l'ensemble des systèmes qui permettent aux bateaux de
se déplacer. Elle est effectuée par un propulseur entraîné par un moteur.
b) L'accouplement
Celui-ci est positionné juste à la sortie de l'inverseur. Il permet de transmettre
le mouvement de l'inverseur à l'arbre d'hélice proprement dit. L'accouplement est
rigide et solide transmet les vibrations de la ligne au bateau, légèrement et souple,
afin d'amortir les vibrations comme sur des motorisations moins importantes. Un
moteur mal aligné saute sur ses pieds moteurs. L'accouplement monté sur le plateau
constitue le premier point fixe de la ligne d'arbre.
Un arbre d'hélice est une pièce mécanique, reliant un moteur à une hélice. On
l'appelle également arbre porte-hélice ou ligne d'arbre. Il est généralement réalisé
en acier inoxydable, sont diamètre varie en fonction de la taille de L'hélice portée.
d. Le palier
Le palier est l’organe mécanique assurant le guidage de la ligne d’arbre en
rotation. Cet arbre transmet la puissance du moteur jusqu’à l’hélice de propulsion,
en partie immerge. À la sortie de l'accouplement, l'arbre d'hélice est maintenu par
des points fixes. Celui-ci sert à positionner ; guider ; maintenir et supporter la ligne
d’arbre, tout en facilitant sa rotation.
Figure I. 3 Palier
e. Le tube d'étambot
Du même côté du tube sera monté le palier d'arbre intérieur avec le joint. Ce
système comprend un tube passe coque en inox ou bronze.
f. La presse étoupe
Une presse-étoupe est une pièce métallique cylindrique garnie, anciennement
d'étoupe, en matière synthétique ou en caoutchouc, destinée à assurer l'étanchéité
du passage de l'arbre d'hélice et l'arbre de commande de safran (gouvernail).
g. La bague hydrolube
Une bague hydrolube (fig 1.6) est une bague dotée de rainures. Ces rainures
permettent l’apparition d’une fine couche de liquide entre l’arbre et la bague. Cette
couche de liquide assure la lubrification.
Des pistons minus des segments pour assurer l'étanchéité d'air comprimer
dans le cylindre ;
Des bielles, celles-ci transmettent au vilebrequin un mouvement circulaire ;
D'une tête de soupapes, une d'admission d’air et l'autre pour évacuer de l'air
dans le cylindre ;
D'un réservoir, pour le stockage d'air comprimé ;
D'un manomètre pour la vérification de la quantité de la pression d'air stocké
dans le réservoir.
Pour cela chaque piston est minus d'une entré et d'une sortie à clapet (soupape)
anti-retour. Le clapet d'admission ne peut laisser passer le gaz que vers la chambre
du piston. À l'inverse, le clapet d'échappement ne peut laisser passer le gaz que vers
le circuit extérieur de plus Le clapet d'échappement offre une certaine résistance, de
façon à ne s'ouvrir que lorsque la pression à l'intérieur de la chambre du cylindre
atteint une valeur suffisante.
L'air comprimé au bord des navires est utilisé à différentes fins. L'air haute
pression de 30 bars est principalement utilisé pour le démarrage du moteur
principal.
A part le démarrage du moteur principal le bateau a toujours besoin d'air. Cet
air à haute pression est réduit à des pressions de travail plus basses grâces aux
soupapes de réduction de pression.
L'air à de pression réduites de 7 à 8 bars est utilisé comme air de service.
22
Il est actionné via un interrupteur ON/OFF. Lorsque celui-ci est sur ON, la
pompe de cale se met en marche ; et lorsqu’il passe en position OFF elle s’arrête.
Celui-ci est immergée dans l'eau. Dans ce type de dispositif, le moteur est doté
d’un interrupteur à trois positions dont le ON/OFF/automatique. En plus du
déclenchement manuel ON/OFF, la pompe de cale est couplée à un flotteur qui lui
permet de fonctionner en mode automatique.
Direction à crémaillère;
Direction hydraulique;
Direction électrique (et électrohydraulique).
Cette centrale comprend les moteurs diesels, les générateurs électriques avec
des dispositifs de contrôle, le but de celui-ci est divisé en signalisation et à la
protection des équipements électrique.
Pour de base, d'urgence et spécial. Les centrales électriques principales
fournissent de l'électricité à tous les consommateurs du navire.
Le démarrage ne fournit de l'électricité qu'à un certain nombre de
consommateurs. Entre autre des équipements d'extinction d'incendie, entraînement
électrique pour pompes, direction, station radio, panneau de signalisation, feu
distinctifs d'alarme, circuits d'automatisation électrique du navire, dispositifs
d'éclairage de secours, etc.
En effet le moteur diesel est plus lourd car les matériaux ne sont pas le même
Il chauffe moins vite que moteur à essence. Le taux de compression de moteur
diesel marin est plus important.
29
Tableau II. 1 : Comparatif d'un moteur Diesel marin et d'un moteur à essence
Temps du Fonctions Organes en Fonctions Organes en
cycle assurées dans le fonctionnement assurées dans le fonctionnement
moteur diesel moteur à essence
marin
Aspiration d’un
mélange air Soupapes
1. Admission Aspiration d’air Soupapes essence prépapé d’admission,
d’admission et dosé par un Injecteur du
carburateur ou un carburant
système
d’injection
Très forte (20 à Compression du
35 bar) mélange 8 à 12
compression de bar d’où
l’air d’où échauffement à
2.Compression échauffement 300°C environ
intense à 600°C Rapport
environ volumetrique de
Rapport 1/6 à 1/15
volumetrique de
1/16 à 1/28
Injection (1 ou 2)
sous forte Allumage du Système
En fin de pression (120 à Pompe haute mélange d’allumage
course de 2000bar) du pression eteincelle (arc) Bougie
compression carburant qui Injecteurs électrique à la d’allumage
s’emflamme bougie=
spontanément au explossion
contact de l’air
surchauffé=comb
30
ustion
3 combustion Combustion et Combustion et
Ou explosion détente détente
4.Echappemen Evacuation des Soupapes Evacuation des Soupapes
t gaz brules dechappement, gaz brulés d’échappement
Past injection Catalyseur Catalyseur
possible
Moteurs lents ;
Moteurs semi-rapides;
Moteurs rapides.
A. Moteurs lents
Des moteurs diesels lents équipent environs 75% de construction de navires
courant à de vitesses ne dépassant pas 250 tr/min.
Ce moteur présente plusieurs centaines de tonnes avec une hauteur de plus de
dix mètres.
B. Moteurs semi-rapides
Des moteurs diesels semi-rapides leurs vitesses varient entre 300 et 1800
tr/min. Ces moteurs tout comme les moteurs diesels rapide. Sont souvent utilisés
dans les navires spécialisés.
31
C. Moteurs rapides
Des moteurs diesels rapides leurs vitesses sont de 1000 tr/min et plus. On le
trouve beaucoup plus dans la catégorie des moteurs auxiliaires.
Les supports de paliers et les semelles sont soigneusement usinés pour assurer
un alignement précis du Vilebrequin et des bâtis.
II.3 Moteurs à injection directe
Injection directe (figure II.1) est une technologie utilisée dans les moteurs à
combustion interne. Elle consiste à diffuser le carburant directement dans la
chambre plutôt qu'en amont dans la tubulure d'admission pour des moteurs à
allumage commandé ou dans une chambre pour les moteurs diesel.
Les injecteurs sont placés après la soupape d'admission. Ils débouchent dans
une préchambre directement reliée à la chambre de combustion.
La compression de l'air au-dessous du piston se fait, puis le gazole est vaporisé
dans cette chambre.
Ainsi, cela produit une précombustion au contact de l'air chauffant à 400°C
enfin la combustion complète se fait dans la chambre de combustion.
Les bougies de préchauffage (fig II.3.) sont alors utilisées dans le cas d'une
injection indirecte. Dans ce moteur il existe une petite chambre de turbulence en
spirale dans lequel l'injecteur de carburant est propulsé jusqu'à atteindre la chambre
de combustion.
.
33
Dans ce type de moteur diesel on parle de deux courses du piston dont une
course descendante et ascendante.
Le diesel léger est un gazole de référence internationale utilisé par tous les
navires équipés de motorisations diesel, C'est un gazole bleu avec un taux
maximum de 0.1% de soufre, dont les caractéristiques de tenues au froid sont
saisonnalisées.
Masse volumique
Elle est variable suivant l'origine du pétrole brut et le mode de traitement subi
(en moyenne de 0.850 à 15°C) et elle diminue de 0.0007 pour chaque degré
d'élévation de température.
Pouvoir calorifique
Viscosité
Les plus part des organes sont construits avec de jeux d'usinage extrêmement
réduits. Aussi leur carburant doit être suffisamment fluide pour être injecté
correctement. Enfin, le carburant ne doit pas contenir d'eau ni de dépôts de solides
susceptibles de troubler le bon fonctionnement des organes d'injection.
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Point de trouble :
Point d'écoulement
Température d'éclair
Bloc cylindre
La culasse
La culasse (figure II.7), est une pièce assurant la fermeture de haute des
cylindres et regroupant certaines fonction d'un moteur à pistons alternatifs.
Les conduits d'admission, sont des éléments de la ligne d'air d'un moteur
multi-cylindre. Celui-ci est aussi appeler répartiteur, il a pour fonction de fournir à
chaque cylindre la quantité d'air nécessaire à une combustion complète du moteur ;
39
Le carter d'huile
Le carter de distribution
Le piston
Le piston (Fig II.8) est une pièce rigide de section généralement circulaire
coulissant dans un cylindre de forme complémentaire, il facilite donc la
compression de gaz frais.
Le déplacement du piston entraine une variation de volume de la chambre, il
permet donc de convertir une pression par un travail. Celui-ci est en fonte ou en
alliage léger.
Celui-ci a une tête qui reçoit la poussée et la chaleur des gaz de combustion ;
la partie supérieure fût qui au moyen des segments, assure l’étanchéité aux gaz et à
l’huile de graissage et dissipes-en même une partie de la chaleur reçue ; les
bossages recevant l’axe.
40
La bielle
La bielle (Fig. II.9) est une pièce dotée de deux articulations dont une à
chaque extrémité, pour transmettre une force, un mouvement ou une position ;
Le vilebrequin
Construction
Le vilebrequin se compose :
Des tourillons formant l’axe de rotation et portée par les paliers du demi-
carter supérieur. Leur nombre dépend de la longueur du vilebrequin et du nombre
de cylindre
Des manetons sur lesquels sont fixées les bielles, la disposition des manetons
l’un par rapport aux l’autres dépend du nombre de cylindres et de l’ordre
d’allumage adapté.
.
42
L'eau de mer est à la disposition du navire lorsqu'il est à flot, le circuit est
donc ouvert, elle est aspirée dans des coffres placés dans les parties basses de la
coque. Elle récupère la chaleur de l'eau douce dans des réfrigérants tubulaires
La chemise, la culasse, les cylindres sont refroidis par l'eau douce, tandis que
le piston est refroidi par l'huile. Donc, la chaleur produite pendant la combustion est
absorbée de la chemise au travers de l'eau douce de refroidissement, pendant que la
chaleur produite par la friction du palier est en partie absorbée par l'huile de
lubrification qui revient au carter.
L'huile du carter est refroidie dans un réfrigérant d'huile par l'eau douce. Les
pressions sont gérées de manière qu'au pire, en cas de fuites, ce soit l'huile (plus
haute pression) qui aille vers l'eau douce (pression intermédiaire), et que cette
dernière aille vers l'eau de mer (plus basse pression).
Le circuit d'eau douce comporte des plaques de zinc (anodes sacrificielles) qui
le protègent en partie de la corrosion galvanique.
Pour un premier remplissage, l'eau brute doit être impérativement soit de l'eau
complètement déstalinisée soit de l'eau condensée provenant du bouilleur (appareil
qui produit l'eau douce à partir de l'eau de mer) ou de l'unité des chaudières avec
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des additifs. L'eau condensée étant extrêmement corrosive elle doit être
conditionnée par des inhibiteurs de corrosion.
plus souvent triphasée pour entraîner une charge mécanique à une vitesse de
rotation constante.
En fonctionnement générateur, elle est entraînée par un dispositif mécanique
pour produire de l’énergie électrique alternative dont la fréquence est
proportionnelle à la vitesse de rotation. La machine synchrone a dans un premier
temps essentiellement trouvé des applications dans la génération d’énergie
électrique alternative, sous le nom d’Alternateur. Par ailleurs, la structure de ces
machines reste très semblable.
A l’extérieur du rotor, on trouve des enroulements qui doit être alimentés par
une source de tension continue dans le cas de machines de moyenne et grande
puissance ou des aimants permanant dans le cas de machines de faible puissance
pour créer le champ inducteur.
Le noyau du rotor est constitué d'un noyau cylindrique en fer. Le rotor est
constitué d'un ensemble de bobines reliées à un collecteur rotatif. Le collecteur
rotatif permet de maintenir fixe la direction transversale de magnétisation du rotor
lorsque celui-ci tourne.
49
Dans le cas de machines à rotor bobiné à pôles lisses (figure III.2) le rotor est
un cylindre plein dans lequel des encoches sont usinées (entrefer constant). Il
possède les plus souvent deux ou quatre pôles pour s’adapter aux grandes vitesses.
Les enroulements sont logés dans des encoches pratiquées sur le rotor.
L'alimentation en courant. Il est généralement utilisé dans les centrales thermiques
car la turbine à vapeur tourne à des grandes vitesses.
L’électroaimant est remplacé par des aimants (Figure III.5), et ceci présente
l’avantage d’éliminer le système balais bague, les pertes rotorique ainsi que le
circuit d’excitation.
C'est la partie dite stator. Le stator est la partie stationnaire d'un alternateur ;
soumis à un champ tournant, il est le siège de courants de Foucault et du
phénomène d’hystérésis : par suite il est constitué d’un empilage de tôles d’acier au
silicium, perpendiculaires à l’axe de la machine, ayant la forme de couronnes
isolées les une des autres pour limiter les courants de Foucault. L’ensemble des
couronnes avec leur isolation est fortement serré
Dans sa partie intérieure, le circuit magnétique comporte des encoches
uniformément réparties dans lesquelles vient se loger l’enroulement triphasé du
stator.
Le bobinage d’un stator triphasé comprend trois bobines décalées l’une par
rapport à l’autre de 120°. Les deux extrémités de l’enroulement aboutissent
chacune à une borne de la plaque à bornes de la machine. Elles constituent l’entrée
et la sortie de l’enroulement. Elles ne sont pas connectées ensemble : l’enroulement
est ouvert et c’est à l’utilisateur de réaliser le couplage.
Le pont redresseur
Le pont redresseur (figure 3.7), est fixé sur le palier arrière de l'alternateur,
Celui-ci permet de convertir le courant alternatif (côté alternateur) en courant
continu (côté batterie). Il peut être simple ou double (redresseur dodécaphasé) et est
donc constitué de 6 ou 12 diodes.
L’utilisation d’un double pont engendre une réduction des pertes Joule suite
à la diminution de la résistance des diodes et notamment à la réduction du courant
par 2.
Le régulateur
Les paliers
54
Généralités
1° Eloignement
mécanique des pièces ou des leurs supports en rapport avec les contraintes
auxquelles elles sont normalement exposées.
2° Obstacles
La protection doit être assurée compte tenu des contraintes auxquelles sont
soumis les obstacles par leur nature.
Tous les obstacles, coffrets d'appareillage, armoires de tableaux, cache-bornes de
moteurs, portes en tôle ou en grillage dans les postes H.T (haute tension) doivent
être maintenus en place et en bon état.
Degrés de protection procurés par les enveloppes (NF C20010)
Les degrés minima de protection du matériel sont :
IP 2X en B.T et IP 3X en H.T
Ils assurent la protection contre les contacts directs.
3° Isolation
III.9 Fusible
Installations sspéciales
Installations de propulsion électrique
Comporte les systèmes de propulsion et les accouplements électromagnétiques
destinés à la propulsion.
59
Pour bien mener le bilan des puissances dans notre étude d’adaptation d’un
alternateur de production de l’énergie électrique sur une ligne de propulsion marine
après la révision capitale du moteur diesel marin, nous présentons toutes les
charges ou consommateurs d’énergie électrique dans un bateau, ces charges sont
indiquées dans le tableau 4.2 et 4.3 à titre d’orientation.
Nous présentons quelques formules utilisées dans notre bilan. Dans ce cas
nous répartissons les charges à évaluer en deux groupes à savoir :
Pi = ƩPn (IV.1)
Pi = 2+1,6+3,25+1,2+3+1,2+0,45+1+2,2 = 15,9
Pi = 15,9 KW
Pd = Kd.Pi (IV.2)
On sait que :
Kd = Ku.Kc (IV.3)
61
On aura donc :
Kd = 1 x 1 = 1
Pd = Kd x Pi (IV.4)
= 1 x 15,9 = 15,9 KW
Pd = Pi.Kd/ƞ (IV.5)
Si on tire le coefficient on aura donc : Kd = ?
On sait que :
Kd = Ku.Kc (IV.3)
Ku : est un coefficient d’utilisation qui est 0,5 pour les charges inductives
Kc : est un coefficient de charge qui est 0,8 pour les charges inductives.
62
Pp = ƩPd.Ks.Kp (IV.7)
= (15,9 + 9,789).0,7.1,05
= 25,689.0,735 = 18,881
Pp = 18,881 KW
Qp = ƩQd.Ks.kp (IV.8)
= 11,747.0,7.1,05 = 8,634
Qp = 8,634 KVAR
63
S = √ Pp2+Qp 2 (IV.9)
S = √ 431,037 =20,761
S = 20,761 KVA
Pp 18,881
Smax = Cosφ = 0,999 =18,899 KVA (IV.12)
18,881 18,881
I= = =¿107,2 A
220.0,8 176
I = 107 A
65
66
de
de
de
Puissance réactive
de
Puissance réactive
apparente (S) en
Courant maximal
de demandée (Qd)
demandée (Pd) en
pointe (Pp)en kW
d’utilisation (Ku)
simultanéité (Ks)
démarrage (Kd)
installée (Pi) en
Nomenclature
nominale(Pi)
(I max) en A
(Qp) en kW
Coefficient
Coefficient
Coefficient
Puissance
Puissance
Puissance
Puissance
Puissance
Cosf / tgf
récepteur
Nombre
N° 1 2 3 4 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
1 Radar 1 2 3 - 1 1 2 2 0,7 1,512 1,512 2,363 0,008
2 Bouloir 5 0,65 3,25 - 1 1 1,6 1,6 0,7 1,209 1,209 1879 0,006
3 Machine à 1 1,2 1,2 - 1 1 3,26 3,26 0,7 2,464 2,464 3,832 0,014
pain
4 Plaque de 1 3 3 - 1 1 1,2 1,2 0,7 0,907 0,907 1,41 0,005
cuisson
5 Four à micro- 1 1,2 1,2 - 1 1 3 3 0,7 2,268 2,268 3,527 0,012
onde
6 Télévision 3 0,15 0,45 - 1 1 1,2 1,2 0,7 0,907 0,907 1,41 0,005
7 Feu de roule 1 1 1 - 1 1 0,45 0,45 0,7 0,340 0,340 0,526 0,001
8 Eclairage 40 0,55 2,2 - 1 1 1 0,7 0,735 0,735 1,142 0,004
9 Radio 3 0,6 1,8 1 1 2,2 2,2 0,7 1,663 1,663 2,351 0,003
Total 56 9,855 15,9 - 1 1 15,91 15,9 0,7 12,005 12,00 18,44 0,053
67
1 5
Tableau IV. 3 bilan des charges inductives
Données Valeurs calculées
Puissance
Nomenclature
Cosf / tgf
N° 1 2 3 4 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
1 Réfrigérateur 2 0,2 0,4 - 0,4 0,5 0,8 1,16 0,928 0,7 0,852 0,682 1,199 0,004
2 Propulsion d’étrave 1 2,5 0,4 - 0,4 0,5 0,8 1 0,8 0,7 0,735 0,588 1,034 0,004
3 Déssalisateur 1 3 3 - 0,4 0,5 0,8 1,2 0,96 0,7 0,882 0,705 1,24 0,005
4 Unité de climatisation 1 7 7 - 0,4 0,5 0,8 2,8 2,24 0,7 2,058 1,646 2,898 0,011
5 Congélateur 3 0, 3 0,9 - 0,4 0,5 0,8 0,12 0,096 0,7 0,008 0,7 0,774 0,00004
6 W.C. électrique 3 0,001 0,003 - 0,4 0,5 0,8 0,001 0,0008 0,7 0,007 0,0005 0,0007 0,000003
7 La pompe à eau 2 1 2 - 0,4 0,5 0,8 0,8 0,64 0,7 0,588 0,47 0,826 0,003
électrique
Total 13 14,001 15,808 - 0,4 0,5 0,8 7,081 5,664 0,7 5,123 4,161 7,971 0,027
68
16.103 16000
¿ = 157 = 101,91
157
M2 = 101,91 Nm
D’où 𝟂2 = πn2/30 = 157 rad
2800
¿ =1 ,86
1500
⦋ σ H ⦌=σ HO /⦋ S H ⦌ ¿ K HL , (IV.17)
d’où σ HO = 2HB+70
Pour des raisons de fiabilité, l’or du calcul des engrenages droits la valeur ⦋σ
H⦌1 et ⦋σ H ⦌2 on accepte ⦋σ H ⦌ ⦋σ H ⦌2 = 518 N/mm2
σ FO = 1,8HB
⦋SF ⦌ = 1,75
K=1
K =1
1,8 HB 1 1, 8.280
⦋σ F ⦌1 = ⦋ S ⦌ KFC . KFL = 1,75 .1.1=288 N /mm 2
F
1,8.250
⦋ σ H ⦌2 = 1,75 .1.1=¿257 N/mm2
4° Coefficients estimés
70
5° Calcul de l’entraxe
ᴪa = 49,5(i+1) √ 3 MK
⦋ σ ⦌2 .i 2 .ᴪ a
(IV.19)
√10190
= (141,28) 3 370287,12
= (141,28)√3 0,275
a ω= 91,87 mm
6° Largeur de la couronne dentée de la roue
b 2 = ᴪa.a𝟂
(IV.20)
= 0,4.91,87 = 36,74 mm
Pour la largeur du pignon d’engrenage on aura :
b1= 1,12.b2 = 1,12.36,74 = 41,14 mm
7° Module de dent :
6,8. M .(i+ 1) 6,8.101,91. 103 (1,86+1) 1981945,68
m≥ i . a .b = 1,86.91,87 .41,14 .267 =¿ 1876991,08 =¿ (IV.21)
m≥1,05 mm
On prend la valeur standard m=2
Z1 = ƩZ/(i+1) = (IV.23)
= 91,87 / (1,86+1) =
Z1 = 32,12 dents
Z2 = ƩZ – Z (IV.23)
= 91,87 – 32,12
Z2 = 59,75 dents
V = 9,41 m/s
Pour réduire la charge dynamique on accepte le 8eme degré de précision est
utilisé pour la transmission de mécanique générale).
√
3
σ H = 310 M 2 . K HB . K HV (i+1 ) (IV.29)
aω . i b2
√
3
310 101,91.10 .1.1,2(1,86+1)
=
91,87.1,86 36,74
= (1,81) √
349755,12
36,74
= (1,81)√ 9519,73
= 176,6 N/mm2
73
CONCLUSION
Dans cette étude d’adaptation d’un alternateur sur une ligne d’arbre d’hélice.
Outre l’étude sommaire sur le système propulsif d’un bateau et la présentation du
moteur diesel marin, un bilan de puissance a été établit.
Pour évaluer les charges énergétiques demandés et apparentes qui a permis de
faire le choix d’un alternateur sur base du facteur de puissance.
Tout ceci pour permettre de faire l’économie dans l’exploitation d’un bateau.
A la place d’utiliser un groupe électrogène.
74
BIBLIOGRAPHIE
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