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PHYSIQUE 1
Durée : 4 heures
Le système ( S1 ) , de masse m1 est constitué par l’essieu de longueur L et les deux roues avant de
la voiture. On note J1 , son moment d’inertie par rapport à l’axe G 1 y , où G1 est le centre d’inertie
de ( S1 ) .
Les roues avant, assimilées à deux disques de rayon a de centre O1 et O′1 , sont motrices et donc
soumises pendant la phase d’accélération à un couple de forces dont le moment résultant en G1
ur uur
est assimilable à Γ = Γe y avec Γ > 0 .
On considère que la résultante des actions de contact du sol sur ( S1 ) est représentée par :
uur uur uur
F1 = T1 ex + N1 ez s’exerçant sur chaque roue en I1 et I1′ .
On appelle R *1 le référentiel du centre de masse de ( S1 ) .
( S1 ) est animé dans R *1 , d’un mouvement de rotation autour de G 1 y à la vitesse angulaire ω .
Le système ( S2 ) , de masse m2 est constitué par l’essieu et les deux roues arrières de la voiture.
On note J2 , son moment d’inertie par rapport à l’axe G2 y , où G2 est le centre d’inertie de ( S2 ) .
Les roues arrières sont également assimilées à deux disques de rayon a de centre O2 et O2′ .
On considère que la résultante des actions de contact du sol sur ( S2 ) est représentée par :
uur uur uur
F2 = T2 ex + N 2 ez s’exerçant sur les deux roues en I2 et I2′ .
On appelle R 2* , le référentiel du centre de masse de S2 .
( S2 ) est animé dans R 2* , d’un mouvement de rotation autour de G2 y à la vitesse angulaire ω .
Le système (S), de masse M, est constitué du reste de la voiture. On néglige les mouvements de (S)
par rapport à ( S1 ) et ( S2 ) considérés comme faibles et on ne prend pas en compte les
déformations de la suspension.
Le centre d’inertie G de l’ensemble du véhicule se trouve à une hauteur h du sol, une distance l1
de G1 et une distance l2 de G2 suivant l’axe Ox .
Le coefficient de frottement de glissement, noté f0 , entre une roue et le sol est identique pour les
quatre roues.
On considère que les forces de frottement de l’air sur le véhicule sont équivalentes à une force
uuuur ρc v 2 S uur
unique Fair appliquée en G avec : Fair = − x ex lorsque la voiture se déplace d’un
2
mouvement de translation rectiligne suivant l’axe Ox.
où : ρ est la masse volumique de l’air avec ρ = 1,23 kg . m−3 ,
cx est le coefficient de traînée qui dépend du profil de la voiture avec cx = 0,3 ,
v est la vitesse de la voiture,
S est la valeur du maître couple, c’est-à-dire l’aire de la plus grande section transversale de
la voiture avec S = 1,93 m2 .
uuur uur
On note OG ( t ) = x ( t ) ex .
Données numériques :
On donne : l1 = 1,3 m ; l2 = 1,7 m ; h = 0,8 m ; a = 0,3 m ; M = 1370 kg et g = 9,81 ms−2 .
uur
uur ez
ey (S)
uur G
O ex O1
O2 h
a a
(S2) I2 (S1) I1 Sol
uur
ey I’2 l2 l1 I’1
uur
ez uur L
O ex G2 G G1
I2 I1
Figure 1
3
4. a) Ecrire la relation de non glissement des roues liant la vitesse linéaire v ( t ) = x& ( t ) de la
voiture et la vitesse angulaire ω des roues.
b) Donner alors l’équation différentielle du mouvement relative à x ( t ) .
On ne fait aucune supposition sur la nature du mouvement des roues dans les questions
suivantes et on considère pour la suite du problème (y compris la partie II) que la masse de
( S1 ) et celle de ( S2 ) sont très petites devant celle de (S), ce qui revient à poser m1 = m2 = 0
et J1 = J2 = 0 dans les relations des questions I. 1, 2 et 3.
c) Estimer et calculer le temps τ tel que pour t << τ la résistance de l’air peut être
négligée. Déterminer l’expression asymptotique de v(t ) lorsque t << τ . Calculer le
v
temps t1 (en tenant compte de la résistance de l’air) pour lequel v1 = lim .
2
7. Donner l’expression de l’abscisse de la voiture x(t ) sachant que x ( 0 ) = 0 .
2. En déduire l’expression et le sens de T1, T2, N1, N 2 . Quelle doit être la condition pour que
N2 > 0 ?
THERMODYNAMIQUE
Ce problème étudie le système de climatisation d’une voiture. Destiné à maintenir dans l’habitacle
un débit d’air et une température régulée, le système de climatisation (figure 1) se compose : d’un
circuit d’air pulsé dans lequel un débit d’air est crée par la rotation d’un ventilateur, et d’un circuit
frigorifique composé d’un compresseur, d’un condenseur, d’un détendeur et d’un évaporateur,
dans lesquels circule un fluide frigorigène dont la vaporisation dans l’évaporateur absorbe de
l’énergie provenant de l’habitable, permettant ainsi la régulation de température souhaitée.
Le fluide frigorigène utilisé depuis 1995, en remplacement du fréon utilisé jusqu’alors est du
tétrafluoroéthane, connu sous l’appellation R134A, plus respectueux de l’environnement.
5 fluide frigorigène
évaporateur
air de 1
refroidissement
motoventilateur
air
3
1′
2
compresseur habitacle
Figure 1
Données :
Pour le fluide R134A, on donne :
La capacité thermique du liquide c = 1,35 kJ kg −1K −1 .
La capacité thermique massique du gaz à pression constante : c p = 0, 488 kJ kg −1K −1 .
La masse molaire du fluide R134A : M = 102 g.mol−1 .
On suppose que le fluide à l’état liquide est incompressible et qu’il se conduit à l’état vapeur
comme un gaz parfait.
Description du cycle :
On désire maintenir une température TF = 293K ( 20°C ) dans l’habitacle, la température de
l’extérieur étant TC = 308 K ( 35°C ) .
Dans un premier temps, on considère que le fluide décrit, entre les pressions pB et pH , le cycle
suivant :
Un capteur de température mesurant T1′ est relié au détendeur par un dispositif qui module le
débit massique Dm du fluide (en modifiant l’ouverture du détendeur) de telle manière que la
température de sortie T1′ reste égale à une valeur de consigne T0 = 283K .
On suppose que les conduites reliant les différents appareils sont parfaitement calorifugées et que
la pression qui y règne est constante. On néglige toutes les variations de vitesse du fluide et on
raisonne sur 1 kg de fluide.
2. On a de nouveau T1′ = T0 .
a) Déterminer le titre en vapeur x5 à l’issue de la détente.
b) Donner l’expression et calculer ∆h5→1 , ∆h1→1′ et Qévap = Q51′ .
c) Donner l’expression du travail massique reçu entre 1′ et 2 par le fluide WM 1′ 2 et en
déduire l’efficacité ε du cycle.
4. a) Quelles seraient les transformations subies par un fluide diphasé décrivant un cycle de
Carnot évoluant entre les températures TB et TH , au cours duquel le passage dans le
condenseur assurerait une liquéfaction totale du fluide qui se trouvait à l’état de vapeur
saturée à l’entrée du condenseur.
b) On note respectivement états A, B, C, D, les états du fluide à l’entrée du compresseur,
condenseur, détendeur et évaporateur. Représenter le cycle de Carnot dans un
diagramme entropique, en faisant figurer la courbe de saturation.
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c) Le détendeur étant attelé sur le même arbre que le compresseur afin de permettre la
récupération du travail de détente, exprimer grâce à une méthode graphique le
coefficient d’efficacité εc en fonction de TB et TH et donner sa valeur numérique.
Comment choisir la température d’évaporation et la température de condensation du
fluide pour que εc soit le plus grand possible ? Comment se traduisent ces conditions
sur l’allure du cycle dans le diagramme entropique.
2. L’état du fluide à l’entrée du condenseur est caractérisé à présent par le point 5′ . Calculer
x5′ .
Fin de l’énoncé.
MECANIQUE
ρ Cx S o
oo 2
(m1 + m2 + M) x = 2 T1 + 2 T2 – x (1)
2
O = 2 N1 + 2 N2 – (m1 + m2 + M) g (2)
dσ * t
= m ( G) (Σ F ext ), avec :
dt
* σ * = O + ( σ1 * + GG 1 ∧ m1 v * (G1 )) + ( σ 2 * + GG 2 ∧ m2 v * (G2 ))
* m tGy (Σ F ext ) = 2 [ GI 1 ∧ F1 + GI 2 ∧ F 2 ]. y
l1 T1 – l2 T2
=2 – L/2 ∧ O + – L/2 ∧ O .y
–h N1 –h N2
= 2 [– l1 N1 + l2 N2 – h (T1 + T2 )]
o
Ainsi : (J1 + J2 ) w = 2 [– l1 N1 + l2 N2 – h (T1 + T2 )] (3)
dσ 1 * o
( ). y = m Gt y (Σ F ext ) ⇒ J1 w = – 2 a T1 + Γ (4)
dt 1
o
J1 w = – 2 a T2 (5)
o
4) a) RSG : x =aw de manière triviale
( v (I1 ∈ roue •) = O = v (O 1 ) + w ∧ O1 I1 )
J1 + J 2 oo ρ Cx S o
2
Γ
Soit : ( m1 + m2 + M + )x + x =
a2 2 a
ρ Cx S o
oo 2
M x = 2 T1 + 2 T2 – x
2
2 N1 + 2 N2 = Mg
– l1 N1 + l2 N2 – h (T1 + T2 ) = 0
Γ
Et (4) et (5) donnent : T1 = >0 (force de « résistance au
2a
T2 = 0 glissement » sur les roues motrices)
1 h
Et donc : N1 = (Mg l2 – Γ )
2 (l 1 + l 2 ) a
1 h
N2 = (Mg l2 + Γ )
2 (l 1 + l 2 ) a
1 h
On en déduit : (N 1 – N2 ) = [Mg (l2 – l1) – 2 Γ ]
2 (l 1 + l 2 ) a
b) Validité du RSG :
T1 < f0 N1
T2 < f0 N2
Γ f0 h Mg al 2
soit : < [Mg l2 – Γ ] ⇒ Γ < Γmax = f0
2a 2 (l 1 + l 2 ) a l1 + l 2 + f 0 h
ρ Cx S o Γ
oo 2
Mx + x =
2 a
oo o 2Γ
Pour t → ∞ : x = v → 0, donc : vlim 2 =
a ρ Cx S
dv Γ v 2 d ( v / v lim) Γ
Soit : = (1 – ( ) ) ⇒ = =α
dt aM v lim v 2 a M v lim
1− ( )
v lim
v
Cette équation s’intègre en : Argth ( ) = αt + O (v(O) = O)
v lim
v(t)
vlim •
v lim • •
2
• t
0 t1 τ = 1
α
c) *On peut négliger la résistance de l’air si :
ρ Cx S 2 Γ 1
v << , soit v << vlim , et donc si : t << = τ = 73 s
2M aM α
v lim t 1 τ 1
* pour th ( 1 ) = ⇒ t1 = Arg th ( ) = 40 s
2 τ 2 2 2
v lim
7) Par intégration de v(t) : x(t) = ln (ch(αt)) + O (x(O) = O)
α
1) Les équations (1) à (4) ne sont pas modifiées. Seul intervient désormais Γ2 dans l’équation
(5) :
ρ Cx S o
oo 2
M x = 2 (T1 + T2 ) – x (1)
2
2 (N 1 + N2 ) = Mg (2)
l2 N2 – l1 N1 = h (T1 + T2 ) (3)
Γ1
T1 = (4)
2a
Γ2
T2 = (5)
2a
1 h
N1 = [Mg l2 – (Γ1 + Γ2) ] > 0 (pas de décollement des roues
2 (l 1 + l 2 ) a
avant)
1 h Mg l 1 a
Puis : N2 = [Mg l1 + (Γ1 + Γ2) ] > 0 ssi Γ1 + Γ2 <
2 (l 1 + l 2 ) a h
(Pas de décollement des roues arrière pour un couple de freinage raisonnable, la masse de la
voiture étant importante ; par contre en vélo, un freinage brutal induit bien sûr un décollement
de la roue arrière, surtout si on freine avec le frein avant).
3) a) Le RSG nécessite :
Γ
T1 = 1 < f0 N1 – Γ1 (l1 + l2 – f0 h) + Γ2 f0 h < Mg al2 f0
2a
, ce qui implique
Γ
T2 = 2 < f0 N2 – Γ1 f0 h – Γ2 (l1 + l2 + f0 h) < Mg al1 f0
2a
l2 + f0 h
D’où : T1 < Γ1M = Mg a f0
l1 + l 2
l1
T2 < Γ2M = Mg a f0
l1 + l 2 + f 0 h
Γ1M f h l +f h
b) On en déduit : = (1 + 0 )( 2 0 )
Γ2 M l1 + l 2 l1
l2 + f 0 h
Comme l1 < l2 : > 1, et : Γ1M > Γ2M
l1
Les roues qui se bloquent en premier sont celles de plus faible ΓM : ce sont les roues arrière.
4) a) V (kmh– 1 ) 130 50 10
Fair (N) 460 69 2,7
Γ1 + Γ2
FF = 2 (T1 + T2 ) = M
a
D’après la question 3)a) :
Γ1 + Γ2 f0 0,7 0,4 0,1
≤ f0 Mg ⇒ FF = f0 Mg
a FF (N) 9400 5400 1300
THERMODYNAMIQUE
P1 , ρ1 , T1 C1 dt
S1 « Machine » C2 dt P2 , ρ2 , T2
δm1
m S2
δm2
Σ* (t)
Σ* (t + dt)
DU * DE C * δW δQ
+ = + , avec :
Dt Dt dt dt
• U*(t) = U + δ m1 u1 DU *
⇒ = Dm (u2 – u1 )
U*(t + dt) = U + δm2 u2 Dt
DE C *
• De même : = Dm ( e C 2 – e C 1 )
Dt
δQ
• = Dm q (q chaleur massique « reçue »)
dt
δW δm
* = g (z1 – z2 ) + Dm wM + (P1 S1 C1 – P2 S2 C2 )
dt dt
Puissance des Puissance des forces Puissance des forces
forces de de pression sur les de p ression exercées
pesanteur parties mobiles par le fluide en amont
de la machine et le fluide en aval
δW P P
Soit : = Dm ( e P1 – e P2 ) + Dm wM + ( 1 ρ1 S1 C1 – 2 ρ2 S2 C2 )
dt ρ1 ρ2
P1 P
Dm ( – 2)
ρ1 ρ2
P2 P
Ainsi : Dm [u2 – u1 + e m 2 – e m 2 + – 1 ] = Dm (wM + q) (em = eC + eP )
ρ2 ρ1
P
Comme h = u + (enthalpie massique), on en déduit : ∆h + ∆em = wM + q
ρ
2) a) T
T + dT• •
δQrév = TdS
T• •
• • S
S S + dS
Rem. : les sens de parcours sont les mêmes en diagrammes de Clapeyron et entropique.
3) a) Pour un GP :
* dhGP = CP dT ⇒ hGP (T) = CP T + cste (si CP = cste)
γ R
Soit : hGP (T) = r T + cste (r = )
γ −1 M
T P = PO
TO •M
O
s
sO
4) a) Pour un mélange biphasé L/V :
Ml • •
M(x)
Tt • s
O
T x l v (T)
s(M) – s(O) = s(M) = C 'l ln ( )+
Tt T
γ −1
P γ
P 1−γ Tγ = P 1−γ Tγ ⇒ T2 = T '1 H (équation de Laplace)
1' 1' 2 2
PB
CP
A.N. : γ = = 1,2 T2 = 357 K
CP − r
* Points 1 1' 2 3 4 5
Ti TB TO T2 TH TH TB
Pi PB PB PH PH PH PB
1) a)
x x + dx
dr
D m l v (TB )
Ainsi : r (x) = (x – x5 ) (r (x5 ) = 0)
K (TF − TB )
D m l v (TB )
Pour x = x1 = 1 : r (x1 ) = r1 = (1 – x5 )
K (TF − TB )
TF − TB K
Par intégration : ln ( )= (r – r1 )
TF − T CP D m
D mC P T − TB
Soit : r (T) = r1 + ln ( F )
K TF − T
D mC P T − TB
Et au point 1 ' : r1 ' = r1 + ln ( F )
K TF − T1'
K
c) Comme d = r1 ' – r1 : T(r) = TF – (TF – TB ) exp (– d)
D mC P
d
Donc T1 ' est une fonction croissante de ; pour que T1 ' reprenne sa valeur de consigne, il
Dm
faut donc diminuer Dm.
2) a) h4 = C TH
h5 = C TB + x5 lv (TB )
C ( TH − TB )
Or h4 = h5 (détente de Joule-Kelvin isenthalpe), donc : x5 =
l v (TB )
A.N. : x5 = 0,31
b) * ∆h51 = (1 – x5 ) lv (TB) = 135 kJ kg–1
* ∆h11' = CP (T1' – TB) = 2,5 kJ kg–1
* ∆h51' = qévap = ∆h51 + ∆h11' = 137,5 kJ kg–1
q évap
D’où : ε= = 3,8 (ε > 1 …)
w M 1 '2
l v ( TB )
3) * ∆s51 = (1 – x5 ) = 485 J kg–1 K–1
TB
T1'
* ∆s11' = CP ln ( ) = 8,7 J kg–1 K–1
TB
* ∆s1'2 = 0
TH
* ∆s23 = CP ln ( ) = – 48,2 J kg–1 K–1
T2
l v ( TH )
* ∆s34 = – = – 464 J kg–1 K–1
TH
TB l (T )
* ∆s45 = s5 – s4 = C ln ( ) + x5 v B = 18,1 J kg–1 K–1
TH TB
On vérifie bien que ∆scycle = 0.
D A
Tt • s
O
Rem. : ce cycle est impossible à réaliser en pratique, en particulier parce qu’il est impossible
d’arrêter l’évaporation au point A.
qC T
⇒ 1+ ≤1– C
qF TF
1 TC
⇒ ε≤ = = ε Carnot
TC TC − TF
−1
TF
Pour optimiser le cycle de Carnot, il faut diminuer TH – TB et augmenter TB. L’idéal est donc
de se placer au voisinage du sommet de la courbe de saturation (au voisinage du point critique
C).
γ T P
b) On a : sGP = r ln ( ) – r ln ( ) + sO
γ −1 TO PO
k
T k −1
P avec : P = PO ( )
TO
γ k T
D’où : s(T) = ( – ) r ln ( ) + sO
γ − 1 k −1 TO
α > O (k < γ)
s − sO
Et : T(s) = TO exp ( )
α
L’évolution polytropique est donc une branche d’exponentielle :
T
2s• •2 1 → 2 s isentropique
1 → 2 polytropique
1•
s
dT δq
c) * ds1'2 ' = α = 1'2 ' ⇒ q1'2' = α (T2 ' – T1')
T T
γ
* Puis ∆h1'2 ' = CP (T2 ' – T1') = r (T2 ' – T1') = q1'2 ' + w M 1 '2 '
γ −1
k
⇒ w M 1 '2 ' = r (T2 ' – T1')
k −1
P = PH
T C
• • 2'
3 P = PB
4• •
4'• •
1'
• •
5' 1
Tt s
O
T2 ' P
Rem. : ∆s1'2 ' = CP ln ( ) – r ln ( H ) faible, et on assimile donc souvent la polytropique 1'2'
T1' PB
(branche d’exponentielle) à une portion de droite.
q évap
b) ε' = ≈4
w M 1' 2 '