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Première partie – Étude de la chaine cinématique
Question 1 - A partir du modèle cinématique défini sur la figure 1, déterminer l’expression de
ω 2/1 ω
k avec k = = mot1 en fonction des nombres de dents Zi des différentes roues
ω 5/1 ω rouem
i. En déduire le nombre de dents Z5 sachant que k = 53.
ω 2/1 ω Z Z Z
k= = mot1 = 5 4 − 3 3 − 2
ω5/1 ω rouem Z 4 −5 Z 3−4 Z 2
A.N. :
k Z 4 − 5 Z 3− 4 Z 2 53 × 32 × 21 × 20
Sachant que k = 53 alors Z 5 = = ≈ 126,99
Z 4 − 3 Z 3− 2 71× 79
Question 2 - On suppose un roulement sans glissement des roues de l’avion par rapport à la
piste. L’avion se déplace en ligne droite, sa vitesse par rapport à la piste est notée V(t),
déterminer en fonction de V(t) l’expression de la vitesse de rotation des rotors des
moteurs M1 et M2 par rapport au train principal. Ces vitesses seront notées
respectivement ωmot1 et ωmot2.
ω mot1 Z Z Z
De plus = − 5 4 − 3 3− 2 = − k
ω rouem Z 4 − 5 Z 3− 4 Z 2
01/29
V(t)
Donc comme l’avion se déplace en ligne droite on trouve : ωmot1 = ωmot2 = k
R
Question 3 - Lors du taxiage, le CdCF donne une vitesse maxi de l’avion par rapport à la
piste de 20 kts = 20 nœuds (1 nœud = 1,852 km.h-1), calculer la vitesse de rotation
maxi des moteurs en tr.min-1.
Le mouvement de l’avion par rapport à la piste est un mouvement plan, on définit le point
(appelé Centre Instantané de Rotation de l’avion/piste) tel que : donc :
De plus et
Alors
Et
Alors
L2
De plus tanθ =
Rvm
ω mot1
Et =−k
ω rouem1
02/29
k V(t) L3
Donc on trouve : ωmot1 = 1 + tanθ
R L2
k V(t) L3
Avec la même démarche on trouve : ωmot2 = 1 − tanθ
R L2
Question 5 - Le CdCF impose (Rvm)mini = L3 c’est-à-dire que l’avion doit pouvoir tourner
autour du point A2 ou du point A1, en déduire les expressions de ωmot1 et ωmot2.
2 k V(t)
ωmot1 = et ωmot2 = 0
R
On isole l’avion.
r r
{T(piste → roues motorisées)} = 2 R p→RM = T1 ya + N1 za
0 A
R p→RNM = N1 zr a
{T(piste → roue non motorisée)} = 2
0 A
• L’action de la piste sur le train avant :
R p →TA = N 2 zr a
{T(piste → train avant )} =
0 B
R RR = − C RR M yr a
{T(résistance au roulement → avion)} =
0 B
• L’action de la pesanteur sur l’avion :
R pesanteur →avion = − M g zr 0
{T(piste → train avant )} =
0 G
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Application du Principe Fondamental de la Dynamique à l’avion en A :
Le mouvement de l’avion par rapport à la piste est une translation rectiligne et l’inertie de
r
M γ y a
tous les solides en rotation est négligée, alors {D (avion / Rg )} = .
0 G
2 T1 − CRR M − M g sin α = M γ
Donc on obtient les équations scalaires suivantes :
4 N1 + N 2 − M g cosα = 0
r
Théorème du moment dynamique en A en projection sur x a :
T1 =
M
(γ + g sin α + CRR )
2
b) De l’effort normal N2 en fonction de M, g, α, L1, L2, h et γ.
N2 =
M
(g L1 cosα − γ h − g h sinα )
L2
c) De l’effort normal N1 en fonction de M, g, α, L1, L2, h et γ.
4 N1 = −
M
(g L1 cosα − γ h − g h sinα ) + M g cosα
L2
M L1
1 − g cosα + (γ + g sinα )
h
N1 =
4 L 2 L2
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T1
Loi de Coulomb, il y aura adhérence si on vérifie : < f0
N1
2 L 2 (γ + g sin α + C RR )
Soit <f
(L 2 − L1 ) g cosα + h(γ + g sinα ) 0
2 L 2 (γ + g sin α + C RR )
≈ 0,108
(L 2 − L1 ) g cosα + h(γ + g sinα )
T1
Pour le cas 1 (f0 = 0,5) et le cas 2 (f0 = 0,3) on vérifie bien < f 0 donc l’adhérence est
N1
garantie.
T1
Pour le cas 3 (f0 = 0,1) l’adhérence n’est pas garantie car > f0 .
N1
R p→RM = T1 yr a + N1 zr a
{T(piste → roue motorisée)} =
0 A
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R 4→RM
• L’action de 4 sur la roue motorisée : {T(4 → roue motorisée)} = r
C rouem x a C
{T(1 → roue motorisée)} = R 1→RM
avec M (C,1 → RM ) • x a = 0
r
M(C,1 → RM )C
(CA ∧ (T yr1 a
r
) r r
+ N1 z a ) • x a + C rouem = δ (C, roue motorisée/R 0 ) • x a
r
Crouem = −R T1 or T1 =
M
(γ + g sin α + CRR )
2
Donc C rouem = −
RM
(γ + g sin α + CRR )
2
Les inerties et les masses des solides en rotation sont négligées, les solides en rotation sont
équilibrés et les liaisons sont supposées parfaites donc : Cmot ωmot = Crouem ωrouem.
ω mot
On a aussi : =−k.
ω rouem
C mot =
RM
(γ + g sin α + C RR )
2k
Remarque :
Pour retrouver cette relation, on peut aussi appliquer le théorème de l’énergie cinétique
(énergie-puissance) à l’ensemble avion dans son mouvement par rapport à la piste.
d E C (avion/R p )
= P( avion → avion/R p ) + Pint
dt
d E C (avion/R p )
Avec = M V(t) γ car les inerties des solides en rotation sont négligées.
dt
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V(t) V(t)
Or ω mot = k donc le TEC donne : M V(t) γ = − M g sin α V(t) − C RR V(t) + 2 C mot k
R R
On obtient : C mot =
RM
(γ + g sin α + CRR )
2k
et R = 0,55 m
Donc la puissance maxi du moteur est : PMax = (Cmot )Maxi (ωmot )Maxi ≈ 96,45 kW
Soit :
A.N. : , ,
Question 12 - Pour le profil de vitesse proposé sur la figure 5, tracer l’évolution du point de
fonctionnement d’un moteur.
Compléter le document en précisant bien les valeurs puissance, couple et vitesse
aux points caractéristiques et commentez.
07/29
134 -
28,7 495
10 -
Il est assuré lorsque les deux conditions suivantes sont satisfaites (Cf. ):
Le couple se situe dans la zone du plan couple-vitesse délimitée par la frontière .
Les deux conditions sont réunies. En conséquence, l’équilibre thermique de la machine est
assuré.
Question 14 - Au regard des résultats obtenus et des contraintes imposées par le cahier des
charges, une motorisation « standard » peut-elle convenir ou faut-il développer un
produit spécifique ?
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Les valeurs encadrées rendent éligible la motorisation pour le paramètre considéré. Une
motorisation « sur étagère » existe, le problème porte sur les aspects dimensionnels qui sont
incompatibles avec les contraintes imposées par l’expression du besoin. Ainsi, les machines
qui ont pour référence B26M et B26L ont une longueur respective de 577 et 684 . La
motorisation est un des éléments de la chaine de transmission à laquelle il faut ajouter un
étage de réduction, un embrayage et un élément qui assure la liaison mécanique avec la
roue de l’avion. L’ensemble est placé entre les deux roues du train d’atterrissage principal
qui ont un rayon de . Le volume disponible ne permet pas d’intégrer un produit
standard. En conséquence, un développement spécifique s’impose.
Equations de liaisons : et
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Montrer que les fonctions de transfert et ont les expressions canoniques
suivantes :
avec :
et
et
Par identification :
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Montrer qu’elle peut s’écrire sous la forme suivante :
Soit :
AN :
Le système est fortement sur amorti, en conséquence nous avons deux racines réelles
stables , et un mode dominant.
AN : et
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Cf. pour la représentation du lieu de transfert dans le plan de Bode.
avec
En conséquence soit :
avec et
On rappelle que .
Pour ,
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Soit :
Question 25 - Déterminer l’inertie équivalente Jeq de l’ensemble {2, 3, 4} ramenée sur l’axe
de rotation du solide 4 dans son mouvement par rapport à l’avion. Cette inertie
équivalente sera exprimée en fonction de et .
L’inertie équivalente de l’ensemble {2, 3, 4} ramenée sur l’axe de rotation du solide 4 :
2 2 2 2
ω ω Z Z Z
J eq = J 4 + J 3 3 / 1 + J 2 2 /1 = J 4 + J 3 4−3 + J 2 4−3 3−2
ω 4 /1 ω 4 /1 Z 3− 4 Z 3− 4 Z 2
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Théorème de l'énergie cinétique (énergie puissance) appliqué à l’ensemble Σ = {2, 3, 4}
d E C (Σ/R a )
dans son mouvement par rapport au repère galiléen Ra : = P( Σ → Σ/R a ) + Pint
{
dt 0
1 d E C (Σ/R a )
On sait que : E C (Σ/R a ) = J eq ω 4/1 = J eq ω 4/1 ω& 4/1
2
donc
2 dt
Pour les puissances galiléennes des actions mécaniques extérieures exercées sur {2, 3, 4}.
ω& 4/1 Z
De plus = 5
ω& roue Z 4-5
Z5
J eq ω& roue
Z 4-5 J eq Z5 ω& roue
Alors F= =
R 4-5 cos(20°) Z 4-5 R 4-5 cos(20°)
2 2
Z Z Z
Or J eq = J 4 + J 3 4−3 + J 2 4−3 3−2
Z 3−4 Z 3−4 Z 2
2 2
Z Z Z
J 4 + J 3 4−3 + J 2 4−3 3− 2 Z 5 ω& roue
On obtient : F =
Z 3− 4 Z 3− 4 Z 2
Z 4-5 R 4-5 cos(20°)
Question 27 - Sachant que le module de l’engrenage pignon 4-5 et roue dentée 5 est de 4
mm. Calculer la valeur de et conclure.
A.N. : J2=0,0152 kg.m2 ; J3=0,013 kg.m2 ; J4=0,0561kg.m2 : Z2=20 ; Z3-2=79 ; Z3-4=21 ; Z4-3 =
71 ; : Z4-5 = 32 et Z5=127.
π
1750 ×
ω& roue = 30 = 1832,6 rad.s−2
0,1
m Z4-5 4 × 32
R 4-5 = = = 64 mm
2 2
7 1 × 79
2 2
71
J eq = 0,0561 + 0,013 × + 0.0152 × = 2,92 kg.m
2
21 21 × 20
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Lors du « taxiage out », le couple maxi du moteur est d’environ 200 N.m, on obtient un effort
dans l’engrenage 5/4-5 d’environ F1 = 45000 N.
A partir du résultat de cette question, on constate que l’effort dans l’engrenage 5/4-5 est très
important, environ 8 fois F1.
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Question 29 - Recopier sur votre copie le schéma cinématique ci-dessous (figure 13) et le
compléter en proposant un modèle cinématique de l’embrayage à crabot en position
débrayée ainsi que la chaîne cinématique relative au déplacement du crabot-M.
Crabots axiaux
Pignon 4-5
Pignon 4-3
5 (roue extérieure
motorisée)
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Cinquième partie - Études des infrastructures aéroportuaires.
Question 30 - Sachant que la masse totale de l’avion est de et en utilisant les
données de la figure 14, déterminer les efforts transmis à la piste par le train avant et
les trains principaux d’un Airbus A320. Vous donnerez vos résultats en .
Poids Airbus A320 → 79000 x 9,81 = 774990 N → 775 kN
Question 31 - Calculer la répartition des charges en pourcentage entre le train avant et les
trains principaux.
Charge sur les trains principaux : 348,4 x 2 = 696,8 kN
Sol support
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Question 33 - En considérant que l’ensemble des charges s’appliquent sur l’axe de symétrie
de la galerie technique.
Calculer la pression verticale appliquée sur le sol par le radier. L’étude sera conduite
pour une longueur de galerie égale à . Le sol support est supposé élastique et le
radier infiniment rigide.
Poids propre d’un mètre de galerie :
2
2,400 x 2,950 = 7,08 m
2
Surface vide : 2,000 x 2,450 = 4,90 m
2
Ensemble : 4,88 m
2
Reste : 2 ,20 m
3
X 1 mètre 2,200 m
Poids propre d’un mètre de couche de forme : 0,400 x 2,400 x 1,000 x 19 = 18,3 kN
Poids propre d’un mètre de couche de remblai : 0,500 x 2,400 x 1,000 x 18 = 21,6 kN
Question 34 - La contrainte ultime conduisant à la rupture du sol sous une fondation peut
être évaluée à partir des résultats d'essais en laboratoire. Un essai de cisaillement à
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long terme (conditions drainées) à la boîte de Casagrande a été effectué sur le sol
support. Calculer la contrainte ultime du sol.
Lecture sur la droite de Coulomb :
C’ = 0,02 MPa
Calcul de qu :
Sγ = 1 ; Sc = 1 ; Sq = 1
qo = ∑i hi.γi
qu = 1,69 MPa
Pour prendre en compte les tassements, si il n’y a pas d’étude spécifique, on estime qd en
prenant qu / 2.
0,11 < 0,84 MPa → conclusion : les conditions de résistance et de tassement sont
vérifiées.
Question 36 - Justifier par le calcul les valeurs des pressions retenues sur les piedroits.
Donnée complémentaire : Les efforts de poussée étant repris par le radier et la dalle, le
déplacement de l’ouvrage n’existe pas (paroi rigide). Le calcul de la poussée se fera avec le
coefficient (coefficient des terres au repos). La formule de Jaky donne une valeur de
en fonction de l’angle de frottement φ’.
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Contrainte verticale en haut des piedroits :
L3 L3
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Question 39 - En utilisant le principe de superposition et des conditions cinématiques,
proposer le principe de résolution de cette structure hyperstatique pour cela :
Vous effectuerez les schémas des différentes structures associées.
Vous tracerez les diagrammes du moment fléchissant sur vos différentes structures.
Vous écrirez le système d’équations à résoudre. Par contre la résolution numérique
du système n’est pas demandée.
La structure est hyperstatique d’ordre 3.
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- On trace les diagrammes de moment fléchissant de ; ; ; .
Entre AC :
Valeurs :
Entre CM :
Valeurs :
214 kN.m
2,70 2,70
+
+ 1
C M 2,70 C M 0 +
2,70 0 1
- -85 kN.m -85 kN.m D C M D - D C M D
-1
-85 kN.m -85 kN.m
-
+ +
+ X1 + X2 + X3
- +
1 1
A 0 B 0 0 A B 0 A B A B
-1 1
1 1
294 kN 294 kN 1/2,200 1/2,200 1/2,200 1/2,200
M0 M1 M2 M3
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- On applique le théorème de Muller-Breslau. En négligeant N et V devant Mf, on peut
écrire :
Question 40 - Tracer les diagrammes de variations des efforts internes [effort normal ,
effort tranchant et moment fléchissant ] dans les piedroits et la dalle. Pour
cela vous utiliserez les résultats du calcul informatique fournis dans le DT7.
Vous compéterez les documents réponses DR3 à DR5 en indiquant sur vos
diagrammes les valeurs particulières.
EFFORT NORMAL en kN
400
200
-294 kN
-294 kN
C M D
0
-70,6 kN -70,6 kN
- 200
- 400
-
A B
-294 kN
-294 kN
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EFFORT TRANCHANT en kN
400
294 kN
250 kN
200
70,6 kN
+
0 C M D
-70,6 kN
+
- 200 -250 kN
-294 kN
- 400
A B
-16,6 kN
16,6 kN
100
+
C
0 M
D
-99,3 kN.m
-99,3 kN.m
- 200
+
A B
30,7 kN.m
30,7 kN.m
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Question 41 - Déterminer la section d’armature en travée pour la dalle supérieure. Les efforts
de compression dans la dalle étant faibles, on se placera dans le cas de la flexion
simple. Vérifier la valeur réelle de d, la section minimale et maximale des armatures.
Le document DT6 présente un organigramme de calcul respectant l'Eurocode 2. Le
document DT8 donne les caractéristiques des aciers de construction.
Armatures en travée :
Vérification de d :
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Vérification armatures min
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Question 43 - Proposer une solution permettant d’assurer l’étanchéité de la galerie.
Vous proposerez deux croquis de votre solution : le premier à la liaison piedroits /
dalle supérieure et le second au droit d’un joint entre deux cadres préfabriqués.
L’étanchéité peut être réalisée à l’aide d’une géomenbrane en bitume élastomère armée par
un voile de verre. Cette géomenbrane est fixée par soudage et clouage en tête de voile. Elle
est protégée par 2 géotextiles (protection inférieure et supérieure). La protection supérieure
peut être renforcée par une feuille de polypropylène embossée + écran thermocollé en non
tissé polypropylène.
Géotextile (protection
Étanchéité soudée et fixée supérieure)
mécaniquement
Géomembrane
d’étanchéité
Enduit d’Imprégnation à
Froid (EIF) Géotextile (protection
inférieure)
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Document Réponse DR1
Evolution du point de fonctionnement dans le plan couple-vitesse
2 Quadrant 1
Quadrant 2
1 2
Quadrant 4
Quadrant 3
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Document Réponse DR2
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