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6,4kg
MI = 12,8kg donc a chaque fois qu’un va mobiliser un MI on va
porter presque 13kg 4,8kg
Si on multiplie ça par le nombre de mobilisation fait lors d’une
séance, et le nombre de patient sur la journée = travail 1,6kg
musculaire très intense —> le kiné doit se maintenir en forme
35,2kg
Centre de masse = chacun des points matériels d’un
solide, d’un segment du corps humain possède une masse
m et est soumis à la pesanteur avec une force P=mg, on
peut considérer que la combinaison de toutes ces forces //
peut être résumée par une résultante dont la direction sera
verticale, le sens de haut en bas, l’intensité mxg et dont le
point d’application prendra le nom de centre de gravité
CG ou de centre de masse CM
Le CG est donc un pige immatériel ou se concentre
toute la masse du corps
Ciseaux = MI + bas que le CM donc hauteur de saut < a la hauteur a laquelle on peut élever le CM
En modifiant la technique de saut on est capable de sauter de plus en plus haut car on position le
corps plus haut que le CM
Cas particulier avec des muscles étendus comme les deltoïdes, les fessiers, la LA sera différente en
fonction de ce que son cherche a analyser
Première question veut-on évaluer l’influence du deltoïde dans sa globalité ou chef par chef (ant-
post-moyen) la LA sa trouve sur la fibre moyenne de ce qu’on évalue
Traction <—
Sommation vectorielle =
Composition de forces —> lorsque plusieurs forces agissent sur un même corps, on peut imaginer
une force qui, à elle seule, produirait le même effet que toute les autres réunies:
cette force est appelée résultante, les forces elles mêmes sont appelées
composantes
<— déplacement
de forces, méthode
des polygones
On met les vecteurs les uns a la
suite des autres
Les vecteur peuvent subir
une translation du moment qu’on
ne change pas ses donnés
Ensuite on relis
Décomposition vectorielle = il est rare qu’un muscle ait une action pure, il
sert au mouvement mais aussi à la stabilisation des articulations, il est
alors utiles de la décomposer selon les axes présentant un intérêt, on
choisit par exemple la composante captatrices (ou longitudinale, X)—>
influence sur l’articulation, et sa composante motrice (ou rotatoire, Y)
Si on prend l’action du biceps il tire l’AB sur le bras et un mouvement de
rotation de flexion, de rotation, et il reproche aussi les SA —> composante
coaptatrice
On définit en premier le centre de rotation de l’articulation (épaule= centre
géométrique de la tête humérale)
L’impact sur l’articulation va passer par ce CR
La composante captatrices et sa
composante motrice (tangentielle au
mouvement)
Sin = O/H
Sin 20 = Cr/ 75
Cr = Sin 20 x 75
Cr = 25,7 N
À partir de l’image et des informations suivantes, déterminez la force que le biceps brachial doit
développer sur l’avant bras pour développer un Cr de 50N
Sin = A/H
H= A/Sin
H= 50/ Sin 30 = 100 N
La sommation vectorielle nécessite que les vecteurs (ou leurs composantes) aient la même
orientation avant d’être additionnés
Quelle est la force résultante produite par les 2 forces dans cette
figure ?
On additionne les
résultantes pour
obtenir la résultante
La force résultante est de 291N avec un angle de 84.9° à partir de
l’horizontale
Théorème de AL KASHI =
théorème de pythagoriciens
généralisé
Notion de moment de force —>
Un muscle peut avoir un effet coaptateur ou décoaptateur sur une articulation
Toutes les articulations réalisent des mouvements de rotation, comme la F/E de l’AB sur le bras
c’est un mouvements de rotation autour d’un axe situé au niveau du coude, la F/E de la tête et de la
nuque aussi
Les mouvements d’ABD et d’ADD sont aussi des mouvements de rotation autour d’un axe
Pratiquement l'entièreté des mouvements du corps humain sont des mouvements de rotation.
Pour générer un mouvement de rotation il ne suffit pas d'une force il faut un moment de force
Moment de force (couple) = produits de la force appliquée par la longueur de bras de levier
perpendiculaire à cette force. Elle correspond à l'action motrice produisant les mouvements
angulaires (en rotation)
Mf (Nm)= F. Bdl (e)
Bras de levier efficace = distance la + courte
(perpendiculaire) du centre de rotation à la ligne
d’action de la force
Tout mouvement est le résultat d’un déséquilibre entre le moment de force généré par
la musculature (ici fléchisseur x bras de levier) et les moments de forces résistants (ici
poids de l’haltère ou de l’AB x bras de levier)
* Si le moment de force musculaire est plus important que le moment de force
résistant = contraction concentrique
*Si le moment de force résistant est plus important que le moment
de force musculaire = contraction excentrique
*Si ils sont égaux = contraction isométrique
Exemples humains =
La plupart des muscles s’insèrent a distance de l’articulation, du CR pour
générer des moments de forces mais il n’y a pas que les muscles, même les structures anatomiques
osseuses modifient, augmentent les bras de levier comme les cols, les
apophyses,… qui sont souvent là pour fournir un bras de levier
suffisant aux muscles (ex de la rotule, du col fémoral (coma valga)
—> coxa valga = le col fémoral forme un angle avec l’axe du fémur
qui est trop important, ce qui diminue le bras de levier du moyen
fessier, donc ces sujet vont avoir une faiblesse de leur bras de levier
donc on peut réaliser une ostéotomie de varisation qui consiste à
découper un petit triangle pour refermer l’angle ce qui augmente le
bras de levier et le rend beaucoup plus efficace
2° Mi = Me
F x 20 = Fm x 5
Fm = (500 x 20)/ 5 = 2000N —> on doit générer +
de 2000N pour soulever la charge —> soulagé des
SA, le point d’appui, et les muscles du dos
Mi = Me
Fi x li = Fe1 x le1 + Fe2 x le2
Fi = (Fe1 x le1 + Fe2 x le2)/ li
Fi = (35 x 0,18 + 120 x 0,4)/ ?
Mi = Me
Fi x li = Fmg x lmg
Fi = Fmg x lmg/ li
Fi = (4,6 x 9,81) x 0,31 x sin37 / 0,13 x sin16 = 234,7 N
2) Mi = Me
Fi x li = Fe x le
Fi = Fe x le/li
Fi = (4,5 x 9,81) x 0,2 x sin58° / sin32° x 0,005 = 282,7N
Dans la première position on a réduit le bras de levier de la force, donc l’efficacité est moindre et
pour maintenir l’AB on va avoir développer une force supérieure
Dans la deuxième position le bras de levier est optimal, on développe moins de force
Une contrainte tient compte de 2 aspects —> la force qui est généré par cette contrainte mais
surtout le surface sur laquelle elle s’applique
Il existe différentes formes de contraintes
La contrainte à l’intérieur d’un corps est la F/S
On peut augmenter la contrainte en augmentant la force mais aussi en diminuant la surface
σ = contrainte = F/S —> unité = Mpa (Nm°2, mégaPascal)
Si on a un module de Young important il faudra une grosse contrainte pour amener la même
déformation, on aura affaire à un matériel plus rigide et au contraire si on a un module de Young
plus petit cela veut dire qu’une plus petite contrainte va amener la déformation c’est à dire qu’on
aura affaire à un matériau d’avantage élastique
La direction de la force va aussi avoir une influence en fonction de certains matériaux, une même
force appliquée sur par exemple une main, on pousse le doigt sur la paume de main la contrainte si
on pousse en oblique ou si on pousse verticalement sera t’elle différente ?
Isotropie —> un matériau est isotrope lorsque la réponse à une même sollicitation est identique
quelle que soit la direction de la sollicitation (Dufour, Pillu)
Si pas identique = anisotropie
La traction = inverse, la contrainte est provoqué par des forces opposées qui tendent à allonger le
solide, le diamètre transversal diminue réalisant une striction
Ici on allonge l’éponge et donc son diamètre va diminuer
Dans le corps humain présent dans tous les mécanismes d’étirement
Les matériaux qui répondent aux traction = 2 catégories = passif (les
ligaments) ou actif (les muscles qui vont moduler leur activité en
fonction de la traction comme avec le réflexe myotatique—> le muscle se
contracte en réponse à un allongement rapide)
La torsion = résulte de l’action de 2 forces de sens opposé, dont les
plans sont perpendiculaires à l’axe géométrique du solide, c’est
généralement un solide de type cylindrique, dans le corps humain les os
vont être soumis à la torsion, plus on va s’éloigner de l’axe plus les
contraintes seront importantes —> c’est ce qui explique pourquoi
beaucoup d’os long sont creux = les contraintes de torsion seront bien
moins importantes
Exemple de la fracture spiroïde = fractures qui arrivent en torsion
Exemple de la spondylolisthésis = fracture de l’isthme vertébral, qui par le poids du corps va tendre
à éloigner le corps vertébral de son
apophysaire épineuse
Le fluage = déformation engendrée uniquement par l’action du temps, les tissus biologique comme
le cartilage sont « fluant » à cause de leur comportement visco-élastique
Si ils sont étirés, les tissus perdent de l’eau, leurs molécules se déforment, se
réorganisent et donc c’est le temps qui est un paramètre important pour évaluer la
déformation
Le cartilage va se déformer au fur et a mesure du temps comme celui des genoux
lorsqu’on se tien debout il va se déformer, se laisser aller face au poids du corps, au
final c’est le cas de tous les tissus biologiques
Nous avons aussi des contraintes dites composées = constituées de différentes contraintes simples
==> la flexion
L’étude des pathologies permet de mettre en évidence les situation suivantes ==>
- l’excès de charge qui va engendrer des déformations importantes
- Le décentrage de la charge
- Le surmenage —> augmente la quantité de travail peut amener une pathologie
- La défaillance de poutre composite (manque de convergence fonctionnelle entre 2 structures =
manque de coordination entre les structures musculaires et les structures osseuses)
Test =
Une force qui s’applique sur un solide engendre soit un mouvement, soit une déformation = vrai
La loi de Hooke modélise la réaction d’un solide à tout type de déformation = faux = seulement
déformation élastique de faible amplitude
Un matériau est anisotrope lorsque la réponse à une même sollicitation est identique quelle que soit
la direction de la sollicitation = faux = isotrope, anisotrope = inverse
Les contraintes suivantes sont simples —> compression, traction, cisaillement, flexion, fluage =
faux = flexion = composé et simple manque torsion
La flexion est composé de plusieurs contraintes simples dont le cisaillement = faux = composé de
la compression et la traction
But du système squelettique = protection, structure du corps humain, permet de faciliter les
mouvements du corps, fournit des sites d’insertion au différentes muscles pour permettre au corps
de se mouvoir
L’os est la structure la plus dure du corps après la dentine et l’émail
2. Biomécanique du cartilage
Caractéristiques mécaniques =
1. Nutrition
Il n’a pas de vascularisation propre —> explique pourquoi il a une faible capacité à se cicatriser
Il se nourrit par imbibition à partir du liquide synoviale (liquide produit au niveau articulaire), les
mouvements permettent la répartition du liquide et les alternances compression)décompression
permettent de nourrir le cartilage et d’évacuer les déchets
—> c’est pour cela qu’il faut bouger
2. Épaisseur
Entre 2 et 5mm —> varie ne fonction du site
La plus épais au niveau de la rotule et parfois encore plus épais au niveau du sommet de la tête
fémorale
Max d’épaisseur = zones d’appui max
3. Porosité
C’est un milieu poreux et perméable pour permettre sa nutrition
4. Structure
Plusieurs couches
Cellules de plus en plus horizontales
lorsqu'on se rapproche de la surface
pour absorber au mieux les chocs, et
plus on va en profondeur plus les
cellules se verticalisent pour assurer
la rigidité
Micro-ondulation = surface pas
parfaitement plane = composé de
vaguelettes qui permettent de retenir
le liquide synovial et donc une
meilleure nutrition
5. Moducle de Young
Le cartilage est bien adapté à la compression grâce à l’organisation de ces fibres, mais il est
relativement fragile, plus élastique que la matière osseuse, il peut se fissurer suite à des
traumatismes ou se détériorer suite à des contraintes excessives comme dans certaines sport comme
le tennis ou le volley ou il y a des réception qui induisent une fragilité du cartilage
1000x < os
6. Le fluage
Pour une charge constante la déformation du cartilage varie a cours du temps =fluage
Plus la contrainte va durer plus la déformation sera importante
3. Biomécanique des ligaments
Zone de laxité ligamentaire qui va permettre des petits couvents avant que les ligaments se mettent
sous tension
Le fluage =
Lorsqu’on patient sur un ligament une force constante durant un temps pouvant aller de quelques
minutes à plusieurs heures on peut observer une évolution symptomatique de l’allongement du
ligament
Pour détendre un ligament rétracté il peut être important de maintenir un allongement durant une
certaine durée pour essayer de bénéficier de cette propriété de fluage
La relaxation =
Lorsqu’on maintient constant l’allongement d’un ligament
durant plusieurs minutes on peut observer une évolution de
l’effort qui permet de maintenir cette déformation
Le fait d’augmenter la contrainte va engendrer une
déformation de plus en plus importante mais pour maintenir
cette déformation dans le temps l’effort nécessaire va être
de moins en moins important —> conséquence pratique
immédiates lorsqu’on essaye de relâcher différentes
structures
Test —>
Le fluage est la déformation liée au temps d’application d’une contrainte = vrai
lorsqu'on maintient constant l'allongement d'un ligament durant plusieurs minutes on peut observer
une évolution asymptotique de l'effort permettant de maintenir cette déformation. cela s'appelle
l’hysteresis = faux
Si on applique une tension à un ligament et qu’ensuite on le relâche, la courbe de relâchement ne se
super positionnera pas avec celle de mise en tension. La différence entre les 2 courbes représente la
dissipation d’énergie durant la mise en tension. cela s'appelle l’hysteresis = vrai
C'est en tout début d'amplitude articulaire qu'une contrainte va engendrer la plus grande déformation
= vrai
Les muscles n’agissent jamais seuls, ils travaillent toujours en synergie (= à plusieurs)
Synergie conjointe = plusieurs muscles agissent simultanément = synergie entre le quadriceps, les IJ
et les fessiers pendant un squat —> un mouvement global ou différents muscles interviennent pour
participer à ce mouvement
Synergie stabilisatrice = un groupe musculaire peut stabiliser un segment ou une articulation
Exemple = fléchisseur commun des doigts qui fléchit les doigts et le poignet, or quand on prend un
bic sur la table le poignet ne se fléchit pas forcément —> ls muscles antagonistes (les extenseurs du
poignet) vont agir de manière à stabiliser le poignet pendant que les doigts se fléchissent
Structure du muscle =
Exemple d’application —> Quand le muscle se contracte = exemple d’une course rapide, si
quelqu’un a de la technique il va courir sur l’avant pied càd son talon ne va pas arriver au sol,
—> repos
Cela permet de réaliser un graphique qui reprend la tension musculaire générée en fonction de la
longueur du muscle dans une contraction isométrique
Phase concentrique =
+on va soulever des charges importantes - on réalise
le mouvement rapidement, la vitesse de
raccourcissement du muscle sera plus petite. Si par
contre les charges diminuent, la tension généré
diminue on réalise les mouvement + rapidement
Hystérésis —>
= On a une contrainte et une déformation, on amène le muscle
en allongement et on constate que lorsqu’on supprime la tension
qui a permit d’allonger le muscle que le muscle revient a sa
dimension initiale et on observe comment
Les deux courbes ne se superposent pas —> différents d’un
élastique
Ici le muscle à une propriété viscoélastique —< différence de
comportement entre la phase d’installation de l’étirement et la
phase de relâchement
Il y a au final une déformation résiduelle = le muscle est dans une position + allongée puis avec le
temps revient à sa position initiale
Si on enchaine les différents étirements on va pouvoir au fur et à mesure allonger la longueur de
repos du muscle mais cela s’élimine si on laisse du temps après le muscle revient à sa longueur
initiale
Mais en enchaînant les séance d’étirement plusieurs fois par semaine on améliore la souplesse du
muscle
6. Biomécanique de la peau
Caractéristiques anatomiques =
La peau = interface entre le milieu
intérieur et extérieur
S moyenne = 1.63m°2 (femme) et
1.85m°2 (homme)
P = 3 - 3.5 kg
Épaisseur = 1 (paupière) à 3mm
(plante des pieds) —> varie en
fonction du site
Composition =
Eau
Lipides
Sels minéraux
Protéines
Élastine
Collagène
Rôle =
Protection mécanique, thermique, chimique
Sensibilité (tactile, chaleur, pression, douleur)
Importants chez les patients qui ont des cicatrices jeune il faut éviter de mobiliser l’AB sur le bras si
la cicatrice est au niveau du coude mais on peu si elle est dans la zone hachurées
Structure =
Lignes de tension induites par la croissance et par la fonction f(x)
La peau va s’organiser en fonction des mouvements que l’on a l’habitude de
faire
Les lignes de tension peuvent être modifiées mais souvent comme ici —>
En fonction de la partie du corps elle sont différentes
Cuisse = verticales
Abdomen = horizontal
MS = vertical
Tronc = transversales
Propriétés biomécaniques =
Elastique et extensible
Résistance à la traction
Fluante —> elle se déforme au cours du temps
cicatrisation
LA HANCHE —>
C’est une articulation avec 3° de liberté
Axe XOX’ = axe transversal situé dans le plan frontal pour permettre des
mouvements de F/E dans le plan sagittal
Axe YOY’= axe sagittal qui permet des mouvements d’ADD/ABD
Axe OZ = axe colinéaire avec l’axe du MI, permet les mouvements de RI/RE du MI
La grande stabilité de cette articulation est en grande partie due aux structures passive
comme le design des SA en présence
la forme de l’acetabulum ==> demie sphère délimité par un sourcil cotyloïdien, on parle
de croissant articulaire pour la partie de la cavité qui présente du cartilage (rouge), la
congruence articulaire est légèrement augmentée par le bourrelet cotyloïdien, il
augmente la profondeur de a cavité pour amener encore plus de congruence articulaire
Partie articulée = cartilage hyalin
Croissant ouvert qui regarde vers l’avant, le bas et le dehors
a= incisure de l’acetabulum = surface sans cartilage mais avec le ligt transverse (b)
Dans le fond de la cavité cotyloïde on voit du tissus adipeux qui joue un rôle d’amortisseur de la
tête fémorale
c= Ensuite le ligt rond/ ligt de la tête
fémorale qui est extrêmement puissant et
qui ne joue pas de rôle mécanique dans la
stabilité de la hanche, il joue un rôle de
protection de l’artère de la tête fémorale
Coxa vara est une situation moins idéale pour soutenir le poids du
corps
Coxa valga diminue le BDL de certains muscles comme le moyen
et le petit fessiers et donc l’impact de ces actions musculaire va
diminuer aussi —> cad que les muscles vont devoir développer
plus de force pour avoir le même moment de force
Soit le muscle ne développera pas suffisamment de puissance pour
jouer son rôle ou soit il va falloir modifier les BDL comme avec
une opération chirurgical ou on récupère un angle plus fermé pour
auge, ter les BDL
La matière osseuse se modifie constamment pour s’adapter aux nouvelles contraintes, donc si on a
une coxa valga on voit que les travées osseuses sont organisées dans le sens des contraintes et elles
traduisent une densité osseuse plus importante pour faire face à la charge du corps humain
En fonction du type d’angulation qu’on va avoir des motifs des travées qui vont tenter de s’aligner
pour renforcer le muscle dans le sens des charges du poids du corps
Conflits fémoro acétabulaire =
Au niveau des SA de la hanche on peut retrouver
des petites déformation qui sont très courante et
pas toujours symptomatiques —> certain ne
ressente rien et d’autres ressentent des douleur qui
sont dues à des petites déformations des SA
Il y a deux types de déformations dans le conflits
fémoro acétabulaire
- le col fémoral est un peu trop prononcé = effet cam
- Le recouvrement de la cavité cotyloïde est un peu trop important = effet pincer
Ce sont des douleurs que l’on va retrouver chez des sportifs qui font une discipline sportive avec de
grandes amplitudes comme les sports de combat et la gym
Il est formé par une // qui passe par les condyles fémoraux et l’axe du col fémoral
Si cet angle est plus ouvert = coxa antétorta = pieds vers l’intérieur
Si il est plus fermé = coxa retrotorta = pieds vers l’extérieur
Pour pouvoir passer mon bassin devant, à chaque appui je vais faire une rotation externe de hanche
du côté du pied qui avance
Si une personne présentant une coxa antétorta gardait les pieds dans l’axe (le col fémoral va
reculer), au moment de la rotation externe automatique au moment de la marche le col fémoral va
venir butter contre la cavité et donc la seule manière de ne pas se faire mal est de pivoter le pieds
vers l’intérieur de manière a pouvoir continuer à faire cette rotation externe —> on rencontre ça
chez les enfants car leurs angle d’antéversion est plus important
Si variation de ces angles —> surfaces de contact qui diminuent et contraintes qui augmentes
—> usure du cartilage —> coxarthrose
= Découverture antérieure
==> permet une bonne réponse aux différentes tractions que l’on retrouve lors des différentes
mouvements
ABD —> détente de la partie sup de la capsule et une tension des fibres inf
ADD —> tension des fibres sup et détente des fibres inf
RI —> détente des fibres ant et tension des fibres post
RE —> tension des fibres ant et détente des fibres post
F —> détente des fibres ant, fibres post en tension
E —> détente des fibres post et tension des fibres ant
En principe l’articulation de la hanche est une articulation très stable, il y a très peu de luxation
mais par contre en cas de prothèses de hanche (surtout les ancienne) il y a un risque plus important
de luxation et donc on sait que certains gestes et positions nécessitent beaucoup de précaution
puisque elles facilitent la sortie de la tête fémorale de sa cavité
Video information —> La PTH est composées de 2 pièces principales, pour la mise en place de la
première la tête fémorale est sectionnée, le cotyle est préparé avec une fraise motorisée pour
permettre l’intégration de l’implant cotyloïdien. Ensuite le fémur est préparé a l’aide de limes
permettant d’accueillir la pige fémorale de bonne dimension, la tête fémorale est censure appliquée
sur la tige constituant la 2ème pièce. La prothèse est réduite et permet à la hanche de retrouver un
mobilité complète et indolore.
Les implants utilisées sont généralement sans ciment avec un couple alumine qui offre une durée
optimale à la prothèse
Ceci est mis en place par voie antérieure mini-invasive laissant intact tous les muscles de la hanche
permettant une récupération rapide et une bonne stabilité; une incision de la peau dans le plis de
l’aine peut être aussi faite à des fins esthétiques
La pose d’une PTH est donc une opération très lourde mais cependant les techniques de pose ont
fortement évoluées ce qui permet que l’opération soit de moins en moins contraignante avec les
patients de plus en plus vite debout, il n’est pas rare qu’un patient marche dans les 48h qui suivent
voie antérieure mini-invasive = l’incision ce fait par l’avant du côté antérieur et permet de limiter
les incision musculaires
Avant plutôt par voie post donc cela veut dire que l’on devait sectionner une partie des pelvi-
trochantériens et donc ça généré un risque beaucoup + important de luxation
C’est une articulation stable mais moins mobile que par exemple l’articulation de l’épaule mais elle
interagit bcp avec le rachis lombaire qui va venir compenser un petit manque d’amplitude au niveau
de cette articulation
Si je veux aller trop loin en flexion il va y avoir une compensation, càd une flexion de la colonne
lombaire qui va entraîner le bassin en rétroversion et donc une flexion majorée de l’articulation
Si le but et de quantifier, mesurer uniquement une flexion de hanche il faut faire très attention au fait
que les mouvements ne se passe que dans la hanche et non pas des mouvements de compensation au
niveau du rachis lombaire. De manière plus fonctionnelle il faut comprendre que ces articulations
vont souvent interagir, le rachis lombaire va souvent interagir avec la hanche dans tous les
mouvements de grande amplitude
La limitation en flexion genou tendu en extension sera surtout l’étirement musculaire qui va limiter
le mouvement
Amplitude max =
—> 30° en natif
—> 40 à 50° en passif
RE :
—> 60° en actif
—> 70° en passif
RE :
—> 60° en actif
—> 70° en passif
RI =
Rappel : antéversion fémorale : angle formé par
- l’axe du col fémoral
- La ligne bicondylienne postérieure (épiphyse distale)
Cet angle est plus important durant l’enfance qu’a l’âge adulte
Plus le col est en avant par rapport à la diaphyse, plus on a d’amplitude de RI et de limitation en RE
puisqu’il va y avoir une butée du col fémoral contre la cavité cotyloïde
Cela explique pourquoi lors de la
marche on retrouve bcp d’enfants
qui marchent en RI —> car ils ont
bcp d’amplitude disponible vers la
RI mais bcp moins vers la RE.
Quand je marche je prend appui sur
une jambe, le fait de propulser le
bassin vers l’avant va obliger ma
hanche à faire une RE et donc si elle
est limité l’enfant va se positionner
dans une position de la RI pour ne
pas aller en fin d’amplitude de RE et
pour s’accorder plus d’amplitude de
mouvement
l’efficacité d’un muscle dépend de la longueur de ce muscle —> un muscle en position allongé va
avoir une efficacité qui sera améliorée
L’efficacité des muscles dépend elle-même de la position de départ de l’articualtion
La flexion met en tension les muscles extenseurs de la hanche, pour une flexion de 120° le grand
fessier est passivement allongé d’un longueur FF’ qui pour certaines fibres atteint 100%.
Au même titre les ischios sont allongés d’une longueur JJ’ voisine de 50% de leur longueur en
rectitude à condition que le genou reste en extension
—> position dans les starting blocks
—> cette position permet d’améliorer l’efficacité de leur poussée
Autour d’un axe sagittal qui passe par le CR = centre géométrique de la tête fémorale
On voit un BDL pour le moyen fessier qui est très grand contrairement à celui du piriforme donc le
moyen fessier est un muscle majeur dans l’ABD de hanche
Le piriforme génère plutôt de la coaptation articulaire
l’angle cervico-diaphysaire du col fémorale va jouer un rôle important pour l’efficacité des muscles
abducteurs
Si l’angle est bcp ouvert alors on va réduire le BDL notamment du moyen fessier qui jouera un rôle
bcp moins important dans l’ABD
—> ici que mouvement en CCO —> extrémité discale mobile
En CCF le moyen fessier empêche le bassin de basculer en appui unipodal comme lors de la marche
Video académie de Lyon sur les muscles pelvi-trochantériens avec tous les mouvements des
muscles
Video académie de Lyon sur les muscles RE et leur actions
Il faut —>
Petit fessier =
Au delà de la position des fibres par rapport au CR, l’éloignement par rapport au CR (qui va
traduire le BDL) va indiquer l’intervention de ce muscle dans les actions
Dans le plan frontal le petit fessier à un très grand BDL du coté de l’ABD donc il va avoir un rôle
très important dans l’ABD
Dans le plan sagittal les fibres ant sont devant et les fibres post sont derrière le CR avec des BDL
très petits donc il ne joue pas un rôle important dans la F/E
Dans le plan horizontal il joue un rôle quand même important dans le RI car son BDL est quand
même grand
—> ce qui traduit de l’efficacité d’un muscle dans une action est le BDL
On a pour habitude d’étudier les action en CCO (extrémité distale mobile), comme l’ABD de
hanche
En CCF (extrémité proximale mobile), donc pour le petit fessier l’insertion ne se fait plus du fémur
à l’os iliaque mais de l’os iliaque au fémur
—> donc tous les muscles ont une action en CCO et une action en CCF
Donc dans le plan sagittal la stabilité est obtenue essentiellement grâce à la stabilité passive: en
position debout, la hanche est suspendu passivement à la tension passive de ses éléments
antérieurs : la position est ainsi maintenu sans effort grâce à la tension des éléments capsulo
ligamentaire
—> effet sangle du plaquage tendineux (droit ant, psoas)
—> calage ligamentaire antérieur : permet une station debout sans effort grâce à l’association de
celui-ci et du calme ligamentaire postérieur du genou (chap genou)
La stabilité active : la tension du muscle psoas-iliaque plaqué sur la face antérieure de l’articulation,
est permanente et équilibre la tendance à la rétroversion iliaque engendré par la ligne gravitaire
passant derrière l’axe de F/E
L’équilibre pelvien antéro-postérieur dépend des BDL de différents muscles intervenant en fonction
de leur BDL et de leur vocation plus statique ou dynamique
Neutre = pas de tension musculaire
Rétroversion = tension des muscles antéverseur qui contrôlent la descente en rétroversion
(En contraction de type excentrique)
Antéversion = tension des muscles rétroverseurs
Les IJ limite la flexion lorsque le tronc se fléchit vers l'avant, leur raideur, en rapport avec leur
organisation pennée et leur forte proportion de tissu conjonctif se traduit par une faible extensibilité,
ce qui permet de s'y suspendre économiquement lors des maintiens inclinés, c’est encore l’effet
sangle
Quelle que soit la position pour ces deux groupes musculaires bi-articulaires, la situation reste
favorable (couse moyenne) biomécaniquement
Plusieurs études ont relaté cette act des IJ (fléchisseurs bi-articulaires du genou) lors de l’extension
du MI, cette contraction « excentrique » est plus connue sous le nom de paradoxe de lombard
Dans le CR de la coxo les BDL des IJ va être plus grand que celui du DA , donc les IJ l’emportent
sur l’extension de hanche
Et dans le CA du genou c’est l’inverse donc le DA l’emporte sur l’extension de genou
Application thérapeutique = si je fixe le pied et demande à mon patient d’enfoncer le pied dans le
coussin on sait que si on est en CCF, il va y avoir une action simultanée du quadri et des IJ
Forces agissant sur l’articulation coxofémorale =
Équilibre du bassin en appui bipodal —>
- l’équilibre transversal est assuré par une action bilatérale des ADD et
des ABD
- Si les ABD prédominent d’un côté et des ADD de l’autre, le bassin
se déplace latéralement du côté où les ADD prédominent
R= 4 x le poids du
corps
4 car on doit
maintenir le bassin en
équilibre
C’est comme un
levier inter-appui
l’articulation de la
hanche subit bcp de
contrainte comme celle
du PDC
Lors de l’appui bipodal contrainte de 80 à 100% sur chaque
articulation —> normalement il devrait y avoir 50 et 50 car
en plus du PDC il va y avoir des contraintes liées à la
contraction musculaire
Si ADD ↗, α ↘ et donc CC ↗
Si ABD ↗, α ↗ et donc CC ↘
Le CC ne varie pas seulement dans son intensité mais aussi dans sa
direction
Rappels anatomiques =
Fémur
- trochlée fémorale
- Condyles fémoraux
- Échancrure intercondylienne
Tibia
- plateaux tibiaux
- Épines tibiales
- Tubérosités tibiale antérieur
Rotule (patella)
- SA
- Versant int/ext
- Apex
- Base
Péroné (fibula)
Les mouvements =
Dans le plan sagittal = F/E
= mouvements principaux
F/E passive + importante que active (même principe
que pour la hanche)
La grande majorité des muscles de cette zone sont
biauriculaire (il traversent la hanche et le genou) —> la
position d’une articulation est conditionnée par la
positon de l’autre articulation
Comme par exemple une flexion de hanche raccourcit
les quadriceps et allonge les IJ et donc il va y avoir un
conséquence sur le genou
2 situation —>
Hanche en position neutre = RE=45-50°, RI=30-35°
Hanche en position fléchie = RE= 40°et RI= 30°
Les deux condyles sont convexes dans les deux sens (traverse et AP)
et se prolongent en avant par la trochlée
Les plateaux tibiaux sont creusés de deux cavités glénoïdes (ou
glènes), concaves et incurvées, répondant aux condyles fémoraux
C’est une
articulation bi-
condylienne
Condyle interne = pas une convexité harmonieuse = ronde puis plate
concavité concordante avec le CI
Rôle des ménisques = amener de la congruence
CI et CE différents
Pente tibiale =
Pente tibiale osseuse (Rx)= 5 à
10° vers l’arrière et bas %
horizontal
Pente tibiale méniscale (fonctionnelle) = 4°
—> ménisques = améliorent la congruence articulaire
Le glissement —>
CR=CC
Ce point est fixe et immobile durant tout
le mouvement
(Ex: rotation d’une roue « sur place » « patinage »)
Le roulement-glissement —>
Pendant le roulement CR = PC
Pendant le glissement CR = CC
—> pendant le roulement-glissement CR = entre le
PC et le CC
- Si CR est au milieu —> R=G
- Si CR est proche de PC —> R > G
- Si CR proche de CC —> R < G
Au début plus de roulement puis à la fin
plus de glissement
Vascularisation = partie périphérique seulement (pas de cicatrisation possible, donc on doit opérer
une lésion car elle ne va pas se réparer seule)
—> Les ménisques subissent plus une déformation qu’un mouvement
Lésions méniscales =
2 types de traumatismes —>
1er, lésion méniscale instable= type languette avec un
fragment de ménisque mobile venant s’interposer dans
l’articulation entre le fémur et le tibia —> provoque
douleur, gène et lésions cartilagineuses par frottement
Ce bastion de cloche méniscale doit être réséqué a l’aide de
petite pinces et régularisé de façon fine avec un petit
couteau aspirateur
2eme = lésion périphérique, en circonférence la ou le
ménisque peut cicatriser car il est bien vascularisé, une
réparation est réalisée avec des instruments de suture
miniature, il y a plusieurs points de sutures qui permettent
une cicatrisation rapide de la lésion
Le ménisque est préservé dans sa totalité —> cette
chirurgie se fait sous arthroscopie grâce à de petite
incisions et une caméra ce qui minimise les cicatrice et
permet une récupération plus rapide
Se // en RE
Et sont moins en tension
en RI
Extension —>
LCA = fibres ant
détendue
= fibres post tendue
LCP = fibres ant
détendue
= fibres post tendue
Flexion —>
LCA = fibres ant
tendue
= fibres post détendues
LCP = fibres ant
tendue
= fibres post détendue
Résumé LCA/LCP =
- rôle évident de pivot central, générateur de glissement
- Limitation des mouvements de tiroirs antéro-postérieurs
- Rôle de coaptation des pièces fémorale et tibiale
- Limitation de la RI
- Tension existante quelque soit le degré de F/E avec répartition différente suivant les faisceaux
En cas de rupture des LC —> ligamentoplastie du genou = DIDT (tendons issues du droit interne et
du demi-tendineux)
Le LCA permet la stabilité du genou d’avant en arrière et aussi en rotation, sa rupture provoque une
instabilité et un jeu anormal du genou en F et en E
La reconstruction du LCA se fait à l’aide d’instruments arthroscopiques, l’ancien ligt est préparé et
nettoyé puis une broche est placé à l’aide d’un compas au niveau de l’insertion naturelle du ligt du
le fémur, cette broche permet de guider la mèche et de réaliser un tunnel fémoral, on fait la même
chose au niveau du tibia avec un tunnel vent s’insérer à l’insertion naturelle sur la tibia, les tendons
prélevé juste avant vont être passés dans ces tunnel pour recréer le LCA, ces tendons sont fixés à
l’aide de vis d’interférences qui vont coincer les tendons dans l’os au niveau du tibia et du fémur
Le max d’ancien LCA est gardé pour une colonisation cellulaire sur le nouveau ligt
La stabilité du genou est donc rétablit
Cette chirurgie se fait sous arthroscopie grâce à de petite incisions et des
caméras, elle minimise les cicatrices et permet une récupération plus rapide
Articulation fémoral-patellaire
C’est l’articulation de la rotule par rapport a fémur
Forme de la trochlée fémorale = la + grande taille de la joue latérale répartit
mieux les contraintes à ce niveau
Joue latérale > joue médiale
L’os coulisse parfaitement dans la trochlée donc dès qu’il va y avoir un défaut cela va causer des
répercussions immédiates sur la mobilité de cette articulation et donc des douleurs
Quand le genou part en flexion le fémur se postériorise et donc le contact entre la patella et le fémur
va être modifié, notamment l’amplitude (la surface des articulations qui sont face à face entre la
rotule et la trochlée)
La rotule s’insère sur la TTA par le biais du tendon rotulien et donc on va décrire un mouvement
circulaire qui ressemble à un mouvement de translation car le CR est situé suffisamment loin le
mouvement est limité en termes d’amplitude et donc on à l’impression que la rotule recule juste
dans un mouvement de translation
Pendant la flexion les 1ers degrés de flexion il y a une RI automatique car il y a une différence de
forme des condyles fémoraux, le CE est plus plat donc il génère + de roulement et donc cela
engendre une rotation interne du tibia ce qui amène la rotule vers l’intérieur et c’est l’inverse
pendant l’extension
Évolution de l’angle alpha au cours de la flexion —>
Le liquide synovial
joue un rôle dans la mobilité de la rotule, il offre un
système d’amortisseur hydraulique de la patella, la
présence d’un épanchement de synovie (hydarthrose)
qui le genou est enflammé, antériorise la rotule (signe
du glaçon = genou tendu pour que la rotule soit bien
libre, le ciné place une main en dessous de la rotule et
une main au dessus et rapproche les deux mains en
compressant pour amener tout le LS en dessous de la
rotule et puis avec un doigts on appui sur la rotule pour
voir si on à cette sensation de mollesse d’enfoncer un glaçon dans l’eau c’est qu’il y a bien un
épanchement de synovie au niveau du genou )
Cette nouvelle pression croit dès que la flexion excède 20° et est maximale à 90°
(a) dès que le genou est en positon fléchi la rotule à tendance à être plaquée contre le fémur et cela
de plus en plus si on augmente la flexion (b)
(c) dans une situation de récurvatum = hyperextension du genou on a la situation inverse =
éloignement de la patella
(d) l’axe entre le tendon rotulien et le tendon du quadriceps n’est pas un alignement parfait, il forme
un angle dirigé vers l’extérieur qui va avoir tendance a faire faire une translation vers l’extérieur à
la patella, c’est pour cela que la rue externe de la trochlée fémorale est plus importante que la joue
interne, c’est pour éviter que la rotule subissent une subluxation vers l’extérieur car la joue vas donc
retenir la rotule —> mais ça constitue une contrainte supplémentaire
L’aumentation du BDL est plus marqué fers 20-30° de flexion, et cette augmentation du BDL va
ensuite diminuer aux alentours de 90°et a ce moment la différence d’avec ou sans patella devient
négligeable
La contrainte va augmenter au fur et à mesure de la flexion, mais cette contrainte va être appliquée
sur les surface de contact fémoro-patellaire de + en + importantes
Dans ce graphique on a quantifié la contrainte
fémoro-patellaire en fonction du degré de
flexion dans différents mouvements `
Le squat = mvmt en CCF, la contrainte est très
faible en début de mouvement et va augmenter
sans s’arrêter au fur et à mesure des degrés de
flexions
Extension de genou en CCO, de 90° à 0° la
contrainte augmente
Extension sur une machine isocinétqiue
PTG = video —> La pose d’une prothèse totale de genou est proposée en cas d’usure diffuse du
cartilage du genou lorsque les traitements médicaux et les infiltrations ne parviennent plus à
soulager les douleurs, l’ouverture de l’aileron rotulien médial et du tendon du quadriceps permet
d’accéder à l’articulation en déclinant la rotule, le cartilage usée est alors largement exposé et la
préparation osseuse peut débuter, celle ci commence par la préparation fémorale qui permet de
retirer l’ensemble du cartilage et d’adapter la forme du fémur afin qu’il puisse recevoir la prothèse,
le chirurgien effectue successivement les coupes fémorales distales, antérieures puis postérieures
L’annulation est l’orientation en rotation de ces coupes est personnalisé pour chaque patient et
déterminé par les examens d’imagerie effectués avant l’opération. Un gabarit de coupe tibiale est
ensuite positionné et la coupe tibial supérieure emportant le cartilage supérieur est effectuée, ensuite
on met les implants définitif en débutant par le positionnement de l’implant tibial sur lequel vient se
fixer un insert, une fois l’implant fémoral mit en place le glissement de l’implant fémoral sur
l’insert permet les mouvements du genou. Le cartilage usé de la rotule doit également être remplacé
pour éviter la survenue de douleurs résiduelles par contact rotulien avec l’implant fémoral, un
implant rotulien est fixé sur la SA permettant un glissement indolore de la rotule le long de
l’implant fémoral lors des mouvements du genou
flexion plantaire
Gorge non sagittale, concave transversalement:
Le bord antérieur est plus large que le bord postérieur. Or en flexion
plantaire, le bord postérieur se retrouve dans la mortaise tibio-
fibulaire. Le bord post étant plus étroit, cela génère une certaine
instabilité
PINCE BI-MALLEOLAIRE
Modèle « a » :Pince bi-malléolaire
Modèle « b » : Mortaise
Flexion plantaire et
dorsale principalement
ds tibio tarsienne avec
un peu de pro supi et
abd/add.
Ds la ST, c’est l’inverse.
Mouvements de flexion plantaire/dorsale – Amplitudes
articulaires
Flexion dorsale : 20-30°
Flexion plantaire : 30-40
Cinématique en chaine
ouverte
En flexion plantaire du talus
: composantes d’ADD et de
SUPINATION
Limite: surtout mvt dans plan frontal (ABD TT, éversion SA).
limitation de flexion plantaire?
Faisceau profond:
Monoarticulaire, tibio-astragalien:
1.Faisceau ant. ou ligt tibio-astragalien ant. (1)
Limite: flexion plantaire et rot.int. tibia, ABD TT
2.Faisceau post. ou ligt tibio-astragalien post. (2)
Limite: flexion dorsale et rot.ext. tibia, ABD TT
Test d’inversion
Cliché radiographique en
varus forcé
La rupture du LLE se traduit
par une bascule du talus
(Entorses externes de la tibio-
tarsienne)
Anatomie osseuse
L'arthrodèse a pour but de fusionner deux ou plusieurs vertèbres afin de supprimer toute mobilité
entre elles.
Ligaments plantaires
Ligament calcanéo-cuboïdien plantaire: partie
post calca→ cuboïde (proximal) + fibres vers
cuboïde distal (tunnel du LPL=long peronnier/
fibulaire lat )
Limite la bascule inférieure du calcanéum lors de la
mise en charge du pied en flexion plantaire
Actions musculaires
Bras de levier
Plus un muscle est situé loin de son axe, plus son bras de levier
est important et donc plus il jouera un rôle important. Exemple:
le tibial postérieur intervient beaucoup plus dans l'inversion que
dans la flexion plantaire. Le tibial postérieur joue un rôle dans
l'inversion plus important que le tibial antérieur
Le triceps sural
En arrière de l’axe —> Fléchisseur plantaire
BDL +++
Polyarticulaire via les gastrocnémiens
Tributaire de la position du genou
Efficacité max ...
Etirement…
PIED
Biomécanique
L'arche du pied n’est pas
seulement antéro postérieur. la
partie avant du pied est aussi
arquée frontalement pour
former ce qu'on appelle l'arche
antérieure
Modèle de Hicks
Basé sur la relation entre les orteils et l’aponévrose plantaire
La mise en flexion dorsale des orteils permet une mise en tension de l’aponévrose plantaire,
augmentant la voûte plantaire longitudinale.
Ex: phase de décollement du talon lors de la marche
Chaussures à talons hauts → Mise en flexion dorsale des orteils → favorisent l’apparition des pieds
creux