Vous êtes sur la page 1sur 11

Révisions de français

Naturalisme : Mouvement littéraire et artistique du XIXe siècle qui visait à reproduire objectivement
la réalité, en introduisant les sciences humaines et l’expérimentation.

Emile Zola : (1840-1902) romancier français, issue d’une famille bourgeoise d’Aix ou il y passe son
enfance. Il entreprend ensuite des études à Paris, et entre à Hachette durant 4 ans avant d’être
promu chef de publicité en 1864, où il publie ses premières chroniques. Il collabore avec divers
journaux en tant que critique d’art et critique littéraire mais sort en 1867 son premier roman :
Thérèse Raquin. Par la suite, il commence sa série romanesque des Rougon-Macquart qui dévoile
l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire. Ce sera une œuvre colossale de 19
volumes dont l’Assommoir, Nana, Au bonheur des Dames, Germinal… il y peint la diversité de vie du
second Empire, (dureté envers les ouvriers, infamie et déshonneur, mais aussi succès). 30 ans après,
scandalisé par l’affaire Dreyfus, prend sa défense en tant qu’écrivain engagé et publie en 1898 dans
le journal l’Aurore J’accuse, lettre adressée au président de la République. Condamné pour
diffamation, il est exilé et finit sa vie en Angleterre avant d’être réhabilité.

La Bête Humaine : La Bête humaine est un roman d'Émile Zola publié en 1890. C'est le 17ème
volume de la série Les Rougon-Macquart, l'œuvre-monde de Zola. Celui-ci y aborde sa conception de
la justice et le monde ferroviaire. Ce roman présente d’abord Roubaud, puis Jacques Lantier, et sa
locomotive Lison. Ce roman fait lien à la série des RM par la famille de jacques Lantier, les Macquart
héréditaire de l’alcoolisme présent dans sa famille. ll est le fils de Gervaise Macquart et d'Auguste
Lantier (personnages de L'Assommoir)0

Personnages :

Bessière : chef de station à Barentin, a vu les Roubaud dans l’express du Havre(chapitre 2 lors du
témoignage)

Mme Bonnehon : sœur du président Grandmorin

Cabuche : carrier à Bécourt, grand gaillard amoureux de Louisette la cadette de Mme Misard,
premier suspect du meurtre, sera égorgé par Jacques Lantier

Camy-Lamotte : secrétaire général du ministère de la justice.

Cauche : commissaire de surveillance administrative à la gare du Havre.

Chaumette : conseiller à la cour de Rouen (lors du procès, il est assesseur aux Assises)

Chaumette fils : substitut à Rouen

Colin : Notaire au Havre

Dabadie : Chef de gare au Havre

Dauvergne : chef adjoint des grandes lignes à la gare St-Lazare. Habite impasse Amsterdam.

Filles de Dauvergne : Sophie (20) et Claire (18) deux blondes adorables

Henri Dauvergne : Conducteur chef à la Compagnie de l’Ouest (30 ans) blessé dans la catastrophe de
la Croix-de-Maufras (il a cru entendre Roubaud et Cabuche parler de l’assassinat de Séverine)
Denizet : juge d’instruction à Rouen.

Ducloux : vieille femme des environs de la CDM emmenée avec Misard après la mort de Flore.

Flore : fille aînée de Mme Misard (tante Phasie).

Président Grandmorin : Membre du conseil d’administration de la Compagnie de l’Ouest. substitut à


Digne au lendemain de 1830, puis à Fontainebleau, puis à Paris, ensuite procureur à Troyes, avocat
général à Rennes, enfin premier président à Rouen, nommé, le jour même de sa retraite,
commandeur de la Légion d’honneur. Il possède un hôtel à Paris, rue du Rocher, et réside souvent
chez sa sœur, madame Bonnehon, au château de Doinville. Parrain et tuteur de Séverine Aubry, il l’a
initiée à ses pratiques séniles et l’a plus tard mariée avec Rouhaud. Viole d’ailleurs Louisette. Quand
Roubaud l’apprend, mis au courant trois ans après, il l’assassine dans l’express du Havre, entre
Malaunay et Barentin, à hauteur de la Croix-de-Maufras, endroit même où Grandmorin avait abusé
de sa jeune pupille.

Berthe Grandmorin : Fille du président. Mariée à un magistrat, M. de Lachesnaye.

Mlle Guichon : Buraliste à la gare du Havre.

Jacques Lantier : mécanicien de première classe à la compagnie de l’Ouest. L’abominable désir dont
il souffre alors est celui de tuer une femme ; il était âgé de seize ans à peine, quand ce mal lui a pris ;
sous l’éveil de la puberté, les autres rêvent de posséder une femme, lui s’est enragé à l’idée d’en tuer
une. Il a retrouvé à la Croix-de-Maufras, sa marraine remariée à Misard, et avec elle sa cousine Flore,
dont il est aimé depuis l’enfance. Comme Flore se donnait à lui, les seins nus, il a failli la tuer, mais la
peur du sang l’a fait fuir, et c’est toujours ainsi. À Paris, il se réfugie dans sa petite chambre de la rue
Cardinet ; au Havre, il use tout seul son matelas de la rue François-Mazeline, il évite les femmes, au
point d’être plaisanté sur son excès de bonne conduite. Il va se croire guéri soudainement. Il
apercevra le meurtre de GM puis, les Roubaud lui ont fait soupçonner la vérité par l’exagération de
leurs prévenances, il a eu ensuite une certitude brusque dans le cabinet du juge Denizet et enfin
Séverine s’est confessée à lui, se donnant toute dans cet aveu. Le fait qu’elle ai tué la lui montre
différente, elle lui semble sacrée et qu’il pourra aimer. C’est jusqu’au jour où les détails de
l’assassinat sont dévoilés que sa pulsion revient et court a travers Paris un couteau à la main,
cherchant une victime. Il essaye donc de tuer Roubaud avec diverses préparations et stratégies mais
échoue et tue Séverine, le satisfaisant de ces pulsions. Il couche par la suite avec Philomène
sauvignat, sans pulsion, mais sous l’excitation du procès de Roubaud il re tue deux innocents, Mais
son chauffeur, le violent et sournois Pecqueux, a surpris les rendez-vous avec Philomène ; c’est
bientôt, entre les deux hommes, sur la plate-forme de leur machine, un brusque duel qui les jette
dans le vide et les hache tous deux sous les roues.

Laurent : greffier du juge d’instruction de Denizet au palais de Rouen. On le retrouve dans la Débâcle
et la faute de l’abbé Mouret

Lebleu : caissier du chemin de fer de l’Ouest à la gare du Havre.

Mme Lebleu : femme du caissier, on retrouve une rivalité entre elle et Séverine à propos de
logements. Les Lebleu occupant celui qui, de droit, devrait appartenir aux Roubaud, et ceux-ci étant,
par suite d’une complaisance de leur prédécesseur, relégués dans un logement triste comme une
prison ; le caissier et sa femme, cependant, jouissent de la vue de la cour de la gare, plantée d’arbres,
et de l’admirable panorama d’Ingouville. Elle soupçonne une histoire entre Mlle Guichon et le chef
de Gare si bien qu’on lui enlève son logement et qu’elle meurt 4 mois après dans le logement du
fond.
Mme Leboucq : femme de M. Leboucq, conseiller à la cour de Rouen. On attribue l’issue du procès
Roubaud, peu favorable à la famille du président Grandmorin, à l’influence de madame Leboucq sur
quelques jurés.

Lison : Une machine d’express de la Compagnie de l’Ouest, la machine du mécanicien Jacques


Lantier. En dehors du numéro qui la désigne, elle porte selon l’usage le nom d’une gare du réseau ; le
sien est Lison, une station du Cotentin.

Louis : cousin de Cabuche, Carrier comme lui, à Bécourt.

Louisette : La fille cadette de madame Misard (tante Phasie). Une enfant mignonne, blanche et
douce, qui s’est prise d’affection pour le bon géant Cabuche. Placée comme femme de chambre chez
madame Bonnehon, au château de Doinville, elle a subi les honteuses violences du président
Grandmorin, et, affolée, meurtrie, s’est sauvée pour aller mourir chez son ami Cabuche, à qui elle a
conté l’attentat dont elle vient d’être victime.

Mélanie : La bonne du juge d’instruction Denizet. Ce dernier voudrait de l’avancement pour qu’elle
soit mieux nourrie et moins acariâtre.

Misard : Stationnaire de la Compagnie de l’Ouest, à la Croix-de-Maufras, entre Malaunay et Barentin.


Sa femme, une cousine de Jacques Lantier qui l’appelle tante Phasie, garde la barrière du passage à
niveau. Il l’empoisonne petit à petit, et finit par la tuer. Interrogé par la justice après le meurtre de
Séverine, il charge Cabuche sans remords, et sans preuves. Il finit prisonnier de son obsession,
retournant la petite maison et son jardinet dans l’espoir de voler sa femme morte et invaincue. Une
vieille femme du voisinage, la Ducloux, qu’il a prise pour tenir la barrière, exploite sa manie, elle se
fait épouser et, désormais, tous deux cherchent avec la même fièvre, tous deux chercheront
éternellement, sans que l’assassinée consente à livrer son secret.

Moulin : Sous-chef de gare au Havre, collègue de Roubaud.

Mme Moulin : Femme du sous-chef de gare. Petite personne timide et frêle, qu’on ne voit jamais et
qui a un enfant tous les vingt mois.

Ozil : Aiguilleur de l’embranchement de Dieppe, entre le tunnel et la station de Malaunay. Il aimait


Flore qui a paru l’encourager un instant ; s’imaginant qu’elle se livrait, il a, un soir, essayé de la
prendre et a failli être tué par elle d’un coup de bâton. On le déplace à la suite d’une grave
négligence, intentionnellement causée par Flore, qui rêvait de jeter, par un faux aiguillage, l’express
du Havre sur un train de ballast.

Pecqueux : Chauffeur de la Compagnie de l’Ouest. Marié à la mère Victoire, ancienne nourrice de


Séverine Aubry. Son existence est réglée : il a deux femmes, une à chaque extrémité du parcours, son
épouse Victoire à Paris, pour les nuits qu’il y couche, et Philomène Sauvagnat, au Havre, pour les
heures d’attente qu’il passe là-bas. Entre Victoire trop grasse et Philomène trop maigre, il répète par
farce qu’il n’a plus besoin de chercher ailleurs. Super ami avec jacques Lantier mais finissent par se
tuer en se bagarrant.

Tante Phasie/ Mme Misard : Femme de Misard. Mère de Flore et de Louisette. C’est une cousine des
Lantier ; elle a servi de marraine au petit Jacques et l’a pris chez elle, à Plassans, lorsque Gervaise
Macquart et son amant se sont envolés à Paris. La solide gaillarde a été peu à peu rongée par le
maigre et souffreteux Misard. Entre eux, il y a un duel à mort : tante Phasie possède mille francs,
hérités l’an dernier de son père, et elle veut garder cette somme, elle la refuse obstinément à son
mari. Celui-ci finit par la tuer.
Roubaud : Sous-chef de gare au Havre. Mari de Séverine Aubry. Il est né dans le Midi, à Plassans,
d’un père charretier. Sorti du service avec les galons de sergent-major, longtemps facteur mixte à la
gare de Mantes, passé facteur chef à celle de Barentin, il a connu là Séverine, filleule du président
Grandmorin. Il a contraint sa femme à lui dire toute la vérité ; comme malgré tout il l’aime encore, il
va mettre quelque chose de solide entre eux en la rendant complice de l’assassinat qu’il médite. C’est
dans l’express du Havre que le président Grandmorin est égorgé par le mari, pendant que la femme
pèse sur ses jambes pour empêcher toute résistance. L’alibi des Roubaud a été assez habilement
établi ; ils ont su faire croire à un vol, en emportant l’argent et la montre du mort ; le juge Denizet,
après les avoir soupçonnés un instant, s’est égaré sur la piste du malheureux Cabuche et il a même
plaidé leur innocence devant les Lachesnaye, fille et gendre du président, enragés de voir Séverine
hériter de la maison de la Croix-de-Maufras ; pourtant, une complication a failli tout perdre : dans les
papiers du défunt, M. Camy-Lamotte a trouvé la lettre par laquelle les Roubaud avaient attiré
Grandmorin dans l’express ; c’était leur perte, si la politique n’était intervenue et si l’on ne s’était, en
haut lieu, décidé à étouffer l’affaire, pour ne pas mettre au jour des débauches trop
compromettantes. Ils semblent donc sauvés. Mais le crime a introduit en lui une désorganisation
progressive, il s’est assombri de plus en plus, n’étant vraiment gai qu’avec son nouvel ami, le
mécanicien Jacques Lantier, originaire de Plassans comme lui, et qu’un hasard a placé devant le train,
juste au moment où Grandmorin tombait assassiner. Peu à peu, tout lien s’est rompu entre les
époux, la présence de Jacques n’a plus suffi à retenir Roubaud à son foyer. Épaissi, vieilli, devenu plus
sombre, il s’est mis à fréquenter un petit café du cours Napoléon, où il retrouvait Cauche, le
commissaire de surveillance administrative. Des pertes de jeu l’amènent à puiser dans la cachette où
est enfoui le portefeuille de Grandmorin ; la pensée de cet argent le brûlait, dans les premiers temps,
il avait juré de n’y porter jamais la main. C’est avec indifférence qu’il surprend le flagrant délit de sa
femme et de Jacques Lantier. L’assassinat inexpliqué de Séverine, la trouvaille de la montre du
président chez Cabuche, provoquent une nouvelle instruction du juge Denizet ; celui-ci imagine un
système fort logiquement déduit, d’où il résulte que Cabuche a été, dans les deux crimes,
l’instrument de Roubaud et c’est en vain que celui-ci se décide à avouer la vérité pure et simple,
l’unique meurtre, le meurtre passionnel qu’il a accompli en un jour de fureur. Cette version
authentique n’est pas assez ingénieuse pour renverser l’échafaudage du juge d’instruction et les
prétendus complices sont condamnés aux travaux forcés à perpétuité.

Mme Roubaud/ Séverine Aubry : Fille cadette d’un jardinier au service des Grandmorin. Sa mère est
morte en couches, et Séverine entrait dans sa treizième année lorsqu’elle a perdu son père. Le
président Grandmorin, dont elle était la filleule, est devenu son tuteur, il l’a gardée près de sa fille
Berthe. Les deux compagnes sont allées au même pensionnat de Rouen, elles passaient leurs
vacances au château de Doinville ; c’est là que, docile et ignorante, la petite Aubry s’est pliée aux
désirs honteux du vieux président ; plus tard, simplement désireuse d’arranger les choses, elle s’est
laissé marier avec Roubaud, un employé de l’Ouest. Par un mensonge raté, Roubaud apprend tout
sur sa relation avec le président. Fou de rage, il l’entraîne dans le meurtre de celui-ci. Les sens de
Séverine ne s’éveillent que plus tard, dans les bras de Jacques Lantier…. Qui finira par la tuer.

Sauvagnat : Chef de dépôt à la gare du Havre. Occupe près du dépôt des machines une petite maison
que sa sœur tient fort salement.

Philomène Sauvagnat : sœur du chef de dépôt. Deuxième femme de Pecqueux.

La mère Simon : femme de ménage des Roubaud

Vandorpe : chef de gare à Paris.


La mère Victoire : Femme du chauffeur Pecqueux. A été autrefois la nourrice de Séverine Aubry, qui
venait de coûter la vie à sa mère. Plus tard, mariée avec Pecqueux, vivant mal à Paris, d’un peu de
couture, exploitée par son mari qui mangeait tout, elle a rencontré sa fille de lait, et, par elle, est
devenue la protégée du président Grandmorin . rès économe, vivant chichement elle-même,
Victoire, qui accepte le second ménage du Havre et qui traite son mari maternellement, répète
volontiers qu’elle ne veut pas le laisser en affront là-bas ; même, à chaque départ, elle veille sur son
linge, car il lui serait très sensible que l’autre femme l’accuse de ne pas tenir leur homme
proprement.

https://lectureslaucadet.over-blog.com/article-la-bete-humaine-de-emile-zola-resume-detaille-par-
chapitre-51021099.html 3 chapitres à résumer/jour.

Résumé :

Chapitre 1 : Roubaud, sous-chef de gare au Havre, en déplacement à Paris est dans une chambre que
lui prête la mère Victoire, près de la gare du quartier de l'Europe. Il attend sa jeune femme Séverine
qui doit le rejoindre après avoir profité des magasins de la capitale. Celle-ci finit par arriver et les
deux se mettent à table joyeusement pendant que Séverine raconte ses emplettes au bon marché
puis Roubaud explique que l'affaire qui l'a conduit à Paris est réglée (une dispute avec le sous-préfet
à propos d'une place dans un train). Il admet que c'est grâce à l'intervention de sa femme que tout
s'est arrangé. A la fin du repas, roubaud demande à sa femme pq elle a refusé d’aller séjourner chez
le président GM pendant une semaine mais celle-ci reste évasive et fuyante. Roubaud tente ensuite
de lui faire l’amour mais celle-ci refuse. Jouant avec sa bague serpent, sa femme lui dit que c’est un
cadeau de Grandmorin. Or celle-ci lui avait dit qu’elle provenait de sa mère. Celle-ci refusant
d’avouer son mensonge, il la bat jusqu’à ce qu’elle avoue que GM a de nb fois abusé d’elles dans sa
jeunesse. Fou de rage, il prédit son meurtre en projetant un guet-apens dans une lettre que séverine
envoie au président : " Partez ce soir par l'express de six heures trente et ne vous montrez qu'à
Rouen". Puis les deux partent prendre le train en direction du havre.

Chapitre 2 : le deuxième chapitre s’ouvre sur Jacques Lantier, un conducteur de train rendant visite à
sa tante Phasie. Celle-ci mariée à un garde-barrière et mère de deux filles vie avec celui-ci et sa fille
de 18 ans Flore. Rapidement, elle lui confie des inquiétudes sur sa santé, soupçonnant son marie de
l’empoisonner pour lui voler sa fortune cachée mais Jacques reste sceptique. Après le repas, celui-ci
part se balader dans la campagne. Alors qu’il entre dans la maison abandonnée de la CDM, il croise
Flore dans le jardin récupérant des cordes. Une discussion s’installe entre eux. En effet ils partagent
une certaine complicité depuis quelques années. Flore depuis toujours repousse tous ses
admirateurs mais se laisse faire par Jacques. Elle le repousse premièrement, mais insistant, elle finit
par lui succomber. Tandis que celle-ci est sein nues l’attendant, il est pris par une pulsion qui lui est
déjà venu auparavant et souhaite trancher la gorge de flore avec la paire de ciseaux près d’eux mais il
se retint. Cette pulsion lui revint à chaque fois qu’il essaye d’avoir une relation sexuelle avec une
femme. Pour éviter un drame, il prend fuite et erre dans la forêt. Alors qu’un train parvint près de lui,
il aperçoit un homme tenant un homme et l’égorgeant d’un couteau. Il ne distingue pas les visages
mais décide de retourner chez sa marraine. Plus tard, misard arrive déclarant qu’un corps est tombé
du train. Les deux hommes retournent sur le lieu puis misard part chercher de l’aide. Flore ayant
entendu leur conversation va rejoindre jacques et reconnaît le président mais ne le prend pas en
pitié connaissant son comportement.
Chapitre 3 : le lendemain matin, Roubaud reprend son travail au havre, agité car il sait que la
nouvelle se répandra vite. Il croise Mme Lebleu, sa voisine de palier puis écoute les consignes de
moulin distraitement. Une voiture (celle où a été commis le crime) doit rester à quai, en réserve.
Après cela, il ère dans la guerre, où certaines personnes lui demande si son affaire avec le préfet s’est
bien terminée, dont il répond oui. Après cela, il croise Pecqueux (voir desc), conducteur de train
ivrogne et coureur de jupon, marié à deux femmes dont l’une, Philomène est amie avec Mme Lebleu
et les deux s’animent à critiquer les Roubaud par rapport à une histoire de logement.

Plus tard dans la matinée, un employé du télégraphe se présente et annonce la mort du président
GM. M.Dabadie le chef de gare et M. Cauche, chargé de la sécurité en sont informés. RB joue
l’innocent tandis que SV se trouve très affectée. Ils vérifient la voiture où ils découvrent une grande
tache de sang. Tout à coup, le chef de gare se souvient avoir vu Roubaud monter dans le train la
veille. Il avoue n’avoir rien vu et l’hypothèse que quelqu’un soit monté dans le train à Rouen survint
dans ce crime mystérieux. SV confirme les dires de son mari puis Jacques Lantier s’approche et avoue
avoir vu le crime mais n’a aperçu que des silhouettes.

Chapitre 4 : M. Denizet, juge d’instruction sent la lourde responsabilité tomber sur lui, mais il est
ambitieux et cherche à se faire un nom. Il doit faire pression sur le ministère dans ce meurtre et
commence à explorer de nombreuses pistes sans rien trouver. Ainsi les Roubaud et Lantier sont
convoqués pour un interrogatoire. Le couple se voit angoissé ayant entendu la rumeur d’une future
arrestation se répandre. Les Lachesnaye sont aussi attendu, et sont très mécontents de la répartition
de l’héritage car la moitié de l’argent va à d’autres et notamment à SV, dont ils vont appuyer sur sa
culpabilité au juge, qui se montre dérangé par cette piste. Madame Bonnehon, sœur de la victime
entre également dans le bureau. Elle croit en l’innocence des Roubaud et avoue l’intérêt de GM pour
les jeunes filles. Il est d’ailleurs fait allusion à l’accident entre GM et la jeune Louisette. Celui-ci est
accusé de viol et ainsi d’avoir déclenché une fièvre qui tuera la jeune fille. Cette fille était très liée à
un homme nommé Cabuche. Mme. Bonnehon avoue qu’il l’a peut-être taquinée, mais rien de plus.
Puis le juge interroger les RB et Lantier sur l’apparence de la victime. Jacques Lantier comprend vite
que le couple est coupable mais ne dit rien, envouté par le regard que lui lance Séverine, qui ne
répond qu’évasivement. Le juge décide de s’orienter vers la piste de Cabuche, l’homme dans la forêt.
Celui-ci est ramené par les gendarmes mais ses réponses déstabilisent le juge car il avoue qu’il aurait
aimé commettre ce meurtre. Mais son ancienne condamnation pour meurtre et sa vie de marginal
jouent en sa défaveur. Il est le coupable idéal. Lantier ne peut affirmer au juge s'il l'a reconnu.
L'interrogatoire s'arrête.

Chapitre 5 : le chapitre 5 commence sur SV prenant le train de Jacques Lantier pour se rendre à Paris.
Elle doit rendre visite à M. Camy-Lamotte le secrétaire général au ministère. Celle-ci veut assurer sa
protection tandis que le secrétaire se rend compte de la culpabilité des Roubaud ; il en a même une
preuve : le papier sur lequel Séverine a écrit le message de rendez-vous à Grandmorin a été retrouvé.
Lorsque la jeune femme écrit quelques lignes dans le cabinet du fonctionnaire, il reconnaît son
écriture. Le secrétaire consulte ensuite le juge d’affaire, et il décide de protéger les Roubaud,
influencé par l'aspect scandaleux que l'affaire aurait si elle était révélée au grand jour. Il offre une
promotion au juge pour que l'homme de loi aille dans son sens. Dans la journée, Jacques et SV se
retrouvent et marchent dans Paris. Ils tissent une amitié entre eux. Jacques déclare son amour pour
elle mais SV est surprise et apeurée et le laisse rapidement disant devoir retourner voir le
fonctionnaire du ministère pour savoir s’il lui accordera sa protection. Lorsqu’il la reçoit, il lui
annonce que l’affaire est « arrangée ». Par cette nouvelle, SV part s’offrir un bon repas dans un
restaurant pour fêter cette bonne nvl. Pendant ce temps, jacques est retourné au dépôt et est fier de
sa machine, qu’il a nommé « la Lison ». Pecqueux, le conducteur de locomotive toujours éméché
vient le voir mais cela ne surprend pas Jacques, Il est souvent dans son état mais ils ont l'habitude de
travailler ensemble et leur "ménage à trois" (composé des deux hommes et de la Lison) fonctionne
bien. En fin de journée, Séverine rentre au Havre dans la Lison conduite par Jacques et Pecqueux.

Chapitre 6 : 1 mois est passé, et la paix s’est ré installés au sein du couple des RB. Alors que RB part
travailler, SV paresse dans l’appartement. L'argent volé lors du crime de Grandmorin est caché sous
une latte du parquet. Roubaud s'est interdit d'y toucher car pour lui, c'est de l'argent sale. Jacques
Lantier est souvent convié à leur table, presque forcé par RB. Mais un jour celui-ci fait une crise de
jalousie à Séverine car Henri Dauvergne, le conducteur chef s’est épris d’elle, tandis qu’elle reste
innocente. Cela la rapproche de Jacques et les deux se permettent des baisers sans aller plus loin
physiquement, car SV y est totalement opposée tandis que leur complicité s’accroit grandement. Ils
se voient même la nuit, pendant que RB travaille. Mais un jour ou SV se donne à Jacques une nuit
d’orage dans l’entrepôt. RB ne se doute de rien, et les deux amants se cachent de moins en moins, se
voyant même dans l’appartement du couple. En effet, Roubaud a été pris par une addiction au jeu,
qui lui prend tout son temps et qui le fait déverser des grandes sommes d’argent, obligeant SV à
contrôler les dépenses. Des disputes viennent bouleverser le couple, à propos de la maison dont ils
ont hérité qu’ils n’arrivent pas à vendre, et SV attend impatiemment le vendredi, jour où elle se
retrouve avec Jacques à Paris. Une nuit, alors qu’il est rentré plus tard que d’habitude, SV le surprend
à prendre l’argent du crime caché sous la latte et en est surprise, mais RB lui demande de le laisser
tranquille, en insinuant qu’il a bien compris ce qu’elle faisait lorsqu’elle partait à Paris.

Chapitre 7 : ce vendredi-là, la neige a recouvert la Normandie. L’express Le Havre-Paris quitte la gare,


conduit par Jacques et Pecqueux. SV se trouve parmi les voyageurs. Au début, la Lison est juste
ralentie et parvient à avancer grâce à l'acharnement de Jacques qui reste très préoccupé par ces
mauvaises conditions météorologiques. Mais la neige est de plus en plus abondante sur la voie et
devient un véritable obstacle qui oblige la machine à s'arrêter. Elle repart peu après mais est de
nouveau bloquée et s'arrête définitivement. On s’active pour aller chercher du secours mais Jacques
renchéri qu’ils n’arriveront pas avant 4 ou 5 heures. Ils vont arriver près du talus Misard et Flore qui
sont venus après avoir entendu le signal de détresse de la locomotive. Flore reconnaît SV car elle a
l’habitude de la voir dans le train de Jacques tous les vendredis. SV est alors invitée chez les Misard
pour se réchauffer, pendant que les hommes essayent de dégager les voies. Jacques arrive plus tard
chez tante Phasie, plus malade que jamais, qui lui avoue avoir compris que l’empoisonnement venait
du sel mais n’en reste pas moins très malade. Elle déclare que jamais personne ne trouvera son
argent. Plus tard, jacques et SV se croyant seuls s’embrassent mais Flore les voit et se met dans une
colère noire. Quelques heures plus tard, vers 6 heures le train peut repartir et fonce vers Rouen.

Chapitre 8 : le train n’arrive qu’à 22h à Paris et SV se hâte d’envoyer une dépêche à RB pour lui faire
savoir qu’elle ne sera au Havre que le lendemain soir par l’express. Les deux amants sont heureux de
passer leur première nuit à Paris ensemble. Ils s’installent dans un appartement que la femme de
Pecqueux leur prête. Ainsi, ils font l’amour puis SV raconte les détails du meurtre à Jacques. Son
amant est fasciné et lui demande ses ressentis sur le moment. Lorsque SV s’endort, la pulsion de tuer
revient chez Jacques qui fuit pour ne pas blesser Séverine. Il cherche quelques victimes mais finit par
rentrer à l’appartement où SV lui dit combien elle l’aime.
Chapitre 9 : Roubaud perd de plus en plus d’argent et épuise la somme du crime, et furieuse, SV s’en
aperçoit et lui fait une scène. Maintenant, Jacques et SV se voient assez librement. Cependant,
jacques est de plus en plus distant ces temps-ci. SV ne comprend pas et s’en inquiète. Un jour,
jacques lui annonce qu'un de ses anciens camarades d'école lui a fait une proposition : ce dernier
doit partir pour New-York et il a besoin d'un associé mécanicien qui devra apporter une trentaine de
mille francs. Jacques a refusé mais l'idée de cet exil fait rêver Séverine qui trouve une solution au
problème de l'argent : il faut se débarrasser de Roubaud et ce projet deviendra réalisable (elle
vendra la maison de la Croix-de-Maufras et ils utiliseront l'argent pour partir). Les deux amants
organisent son assassinat par Jacques mais au moment de passer à l'acte, il est paralysé et Roubaud
poursuit tranquillement sa ronde de nuit dans la gare.

Par la suite, les RB déménagent dans l’appartement qui leur était destiné initialement lors de la prise
de fonction de Roubaud. Les relations entre les deux amants sont maintenant plus gênées, le
meurtre raté planant au-dessus d'eux.

Chapitre 10 : dans le chapitre 10, tante Phasie est morte et Misard cherche désespérément son
argent. Pendant ce temps, Flore cherche à tuer les deux amants, remplie de jalousie. Elle a l'idée de
dégrader les voies pour provoquer le déraillement de l'express dans lequel ils se trouvent tous les
vendredis. Mais au moment de passer à l’acte, elle rencontre Cabuche qui l’arrête mais à la dernière
minute, elle place les chevaux et leur carriole qui étaient avec Cabuche. Pour ce faire, elle fait
s'éloigner le jeune homme en le poussant à se rendre au chevet de sa mère. Le train arrive et percute
violemment le carriage. De nombreux blessés et morts sont trouvés, mais SV est vivante. Flore se
rend compte de son geste et cherche Jacques à travers les décombres, qu’elle trouve inconscient
mais en vie. On le transporte dans la maison de Séverine. Une enquête débute pour déterminer les
causes de l'accident. Accablée par le poids de sa responsabilité et par l'échec de son projet, Flore met
fin à ses jours en se jetant sous un train.

Chapitre 11 : SV prend soin de Jacques qui reprend ses forces de jour en jour. Seulement, la femme
se sent angoissée, sentant une menace planer. Ce danger, c'est l'envie envahissante de Jacques de la
tuer. Et une nuit, ne pouvant plus contrôler ses pulsions, il passe à l'acte : il égorge sa maîtresse.
Cabuche, se trouvant dans le jardin (celui-ci rodait toujours près de la maison, fasciné par SV) voit
quelqu’un s’enfuir et pris de curiosité, il rentre dans la maison. Il entre dans la maison. Il découvre le
cadavre de Séverine qui baigne dans son sang et le prend dans ses bras. A ce moment, Roubaud, qui
est arrivé par le train par suite d’un piège tendu par les deux amants qui voulaient définitivement se
débarrasser de lui, entre dans la pièce, accompagné de Misard.

Chapitre 12 :

Jacques conduit désormais une nouvelle machine. Cabuche, lui, est arrêté et accusé : d’avoir tué le
président, étant donné qu’on a retrouvé la montre de celui-ci chez Cabuche qu’il avait en fait dérobé
dans les affaires de SV. Roubaud aussi est arrêté, il est soupçonné d’avoir utilisé Cabuche pour
parvenir à ses fins. Roubaud raconte la vérité : il a tué Grandmorin mais il n'est pour rien dans le
meurtre de Séverine. Personne ne veut le croire. Monsieur Carry-Lamotte détruit la lettre de
Séverine envoyée au président, ultime preuve de la culpabilité du couple. Le verdict arrive : Cabuche
et Roubaud sont tous deux condamnés au travail à perpétuité. Philomène, la maîtresse du
conducteur Pecqueux, tourne autour de Jacques. Ce dernier est repris par son besoin du tuer : passer
à l'acte ne l'a pas guéri.
De son côté, Misard n'a toujours pas trouvé l'argent caché par Phasie. Il s'est marié, convoitant les
biens de sa nouvelle femme. Jacques et Pecqueux, ce dernier étant complètement ivre, prennent les
commandes d'un train transportant des soldats vers le Rhin (la guerre entre la France et la Prusse
vient d'être déclarée). Pecqueux n'en fait qu'à sa tête et les deux hommes en viennent aux mains et,
dans leur bagarre, ils s'entraînent par-dessus bord : "On les retrouva sans tête, sans pieds, deux
troncs sanglants qui se serraient encore, comme pour s'étouffer". Le train s'enfonce dans la nuit à
vive allure, sans conducteur...

-Dans La Bête humaine, Zola aussi croise trois voies différentes pour les faire arriver vers un
même dénouement : la modernité technique qui va au futur, l'hérédité criminelle qui plonge ses
racines dans le passé, la dénonciation de l'appareil judiciaire.

- Le crime n'est pas l'apanage du seul Jacques. Il n'est là que pour refléter le crime de tous les
autres : Misard qui empoisonne sa femme, Flore qui fait dérailler les trains au nom de
l'amour, Séverine la veuve noire, Roubaud, le tueur jaloux ou encore Grandmorin, le violeur
magistrat.

Figures de styles :

Il existe des figures de répétition :

♥ L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mots en début de phrase

♥ Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (exemple : monter en haut)

♥ La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante

♥ Le parallélisme : reprend une structure syntaxique (exemple : partir pour tout laisser, quitter
pour tout abandonner)

♥ La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois

Il y a aussi des figures d'analogie :

♥ L'allégorie : on représente des valeurs abstraites avec des images concrètes

♥ La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal...

♥ La comparaison : Il y a un comparé (celui que l'on compare à quelque chose), un comparant


('quelque chose') et un outil grammatical de comparaison (comme, tel que...)

♥ La métaphore : c'est une comparaison plus directe car il n'y a aucun outil grammatical.

La figure d'exagération :
♥ L'hyperbole : Elle exagère l'expression d'une idée pour la mettre en relief. Utilisée dans l'ironie,
la caricature, par exemple.

Les figures d'atténuation :

♥ La litote : On suggère quelque chose mais on ne le dit pas clairement (exemple : Je ne suis pas
mécontent de ton travail)

♥ La prétérition : On fait semblant de ne pas vouloir dire quelque chose, mais on le dit quand
même (exemple : Je ne vise personne...)

♥ L'euphémisme : Il permet de rendre une réalité moins brutale (il nous a quittés = sous-entendu, il
est mort)

♥ L'antiphrase : On exprime le contraire de ce que l'on pense, c'est une figure IRONIQUE (exemple :
Que tu es drôle !)

Enfin, il y a les figures de construction :

♥ L'antithèse : elle met en parallèle des mots qui désignent des réalités opposées (exemple :
certains aiment le jour comme d'autres préfèrent la nuit)

♥ L'oxymore : Deux mots opposés l'un à côté de l'autre.

♥ L'asyndète : il n'y a aucun mot de liaison entre des groupes syntaxiques qui se suivent.

♥ Polysyndète : c'est le contraire de l'asyndète, c'est-à-dire qu'il y a une exagération des mots de
liaison.

Autres :

Métonymie : ex boire un verre = boire le contenu, la table 12 s’impatiente, je viens de lire un zola,

Périphrase : désigne une chose par une expression (c’est l’heure d’aller s’aérer dans la cour= c’est
la récréation, ville lumière=Paris …)

Antiphrase : Utilisation d'un mot, d'une locution dans un sens contraire au sens véritable par ironie
ou euphémisme (ex. c'est du joli ! ; charmante soirée !).

Antithèse : Opposition de deux pensées, de deux expressions que l'on rapproche dans le discours
pour en faire mieux ressortir le contraste. (Une obscurité tombait sur la clarté des étoiles…)

Chiasme : Dans un chiasme, contrairement au parallélisme de construction les éléments de


groupes parallèles sont inversés. Autrement dit, dans cette figure de style, des termes (identiques,
qui s'opposent ou qui peuvent être mis en relation) sont disposés en sens inverse dans deux
segments de phrase. ( il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger) il se présente en
formme ABBA ou ABB’A’.

Tragédie classique : influencée par les mythes grecs, apogée au XVIIe. Elle est toujours en vers, et
les personnages sont toujours nobles. Le personnage lutte contre son destin, il fait face à la fatalité
et est confronté à des choix contradictoires qui entrainent des conséquences funestes (= fatal - le
personnage meurt). La tragédie classique est régie par 3 règles strictes : la vraisemblance, la
bienséance et la règle des 3 unités (temps, lieu, action). Le but de la tragédie classique est la
catharsis. En voyant sur scène, les actions des personnages, le spectateur est sensé se libérer de
ses mauvaises passions.

Le XVIIe siècle :fait partie de l’époque moderne, deux courants majeurs -> le classicisme ( francais,
se caractérise surtout sous le règne de Louis XIV, Tendance artistique qui se caractérise par le sens
des proportions, le goût des compositions équilibrées et stables, la recherche de l'harmonie des
formes, une volonté de pudeur dans l'expression, également par une maîtrise de l'expression et un
idéal harmonique d'ordre, de naturel et de symétrie.) et le baroque (caractérisé par l’instabilité, le
foisonnement, le mouvement, le changement à l’inverse du classicisme. Ses thèmes de prédilection
sont le grandiose, l’illusion et le rêve, la métamorphose... Les auteurs baroques privilégient
l'émotion et le sensible face à l'intellect ou le rationnel du classicisme. Ex d’auteur -> Corneille)

Vous aimerez peut-être aussi