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Université Paris 13. UFR SMBH. L2. Sciences du Vivant.

UE S3F1. Génétique 2. Partie I.

PARTIE I. LES SYSTÈMES GÉNÉTIQUES BACTÉRIENS ET VIRAUX


EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

PARTIE I. I. L'analyse génétique des bactéries nécessite des approches et des méthodes spécifiques

EXERCICE 1
Qu’est-ce que la scissiparité ?

EXERCICE 2
Comment peut-on cultiver des bactéries en laboratoire ? Expliquer toutes les techniques possibles.
QCM 3
Une souche d’E. coli répliquée sur plusieurs boîtes de milieu minimum supplémenté en un ou plusieurs nutriment(s) parmi les
suivants : T, L, B1, B, F, C.
Les résultats sont indiqués dans le tableau suivant (+ : croissance bactérienne ; - : absence de croissance bactérienne) :

Milieu supplémenté en : T, B1 B1, B B, F, C L, B, F


Croissance : + + - -

Parmi les propositions suivantes concernant cet énoncé, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. La souche est prototrophe pour B1.
B. La souche est prototrophe pour C.
C. La souche est auxotrophe pour T.
D. La souche est prototrophe pour L.
E. La souche peut pousser sur milieu minimum supplémenté en B.

EXERCICE 4
Environ 108 cellules d’E.coli d’une souche mutante triplement auxotrophe (arg-, lys-, ser-) sont étalées sur un milieu complet pour
former un tapis bactérien. Des répliques sont préparées contenant du milieu minimum supplémenté avec les acides aminés arginine,
lysine et sérine.

Quel est le génotype des colonies qui apparaissent sur chacune des boîtes de répliques ? Que s’est-il passé ?

QCM 5
Parmi les propositions suivantes concernant la méthode d'enrichissement retardé, indiquez celle(s) qui est (sont) exacte(s) :
A. La culture bactérienne est d'abord cultivée sur milieu supplémenté
B. La culture bactérienne étalée est diluée
C. Les colonies observées sont toutes situées entre deux couches de gélose
D. Les colonies auxotrophes sont repérées par leur taille
E. Les colonies prototrophes sont détectées les premières.

QCM 6
Parmi les propositions suivantes concernant la lame de Kova, indiquer celle(s) qui est (sont) inexacte(s). La lame de Kova (Kova-
slide ©) :
A. est une lame réutilisable
B. contient 9 cellules de comptage
C. présente des grilles visibles au microscope
D. permet la numération cellulaire
E. est en plastique

EXERCICE 7
Rédigez une fiche méthode pour l'utilisation du microscope.
PARTIE I. II. Un organisme modèle : la bactérie Escherichia coli

QCM 1
Parmi les propositions suivantes concernant Escherichia coli en tant qu'organisme modèle en génétique, indiquez celle(s) qui
est(sont) exacte(s) :
A. Elle a été isolée par Louis Pasteur.
B. Le variant le plus utilisé actuellement est B.
C. Son habitat naturel est la flore intestinale.
D. Son génome contient environ 4,64 milliers de pb*.
E. C'est un unicellulaire avec un nucléoïde.

QCM 2
Parmi les propositions suivantes concernant Escherichia coli, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. Son nom, lors de sa découverte, était Bacterium comune.
B. Elle a été isolée à partir de selles de bébé.
C. Elle est facile à cultiver en milieu liquide.
D. Elle présente beaucoup de mutants.
E. Son génome contient 6000 gènes.

PARTIE I. III. Les transferts horizontaux d'information génétique chez les bactéries

QCM 1
Parmi les propositions suivantes concernant la conjugaison bactérienne chez E. coli, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. Après conjugaison entre F+ et F- d’E. coli, les cellules donneuses F+ deviennent réceptrices F-, et les cellules réceptrices F-
deviennent F+.
B. Chez les souches Hfr, le facteur F est épisomique.
C. Un contact physique direct entre les bactéries est nécessaire.
D. Le transfert de matériel génétique d’une cellule à l’autre est unidirectionnel.
E. Les distances génétiques déterminées lors de la cartographie génétique par conjugaison bactérienne s’expriment en minutes.

QCM 2
Deux souches d’E. coli A-B-C+D+E+F+ et A-B+C+D+E-F-, auxotrophes pour des différents nutriments sont mélangées. Parmi les
propositions suivantes, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. Des clones prototrophes pour tous les marqueurs peuvent être obtenus par ce croisement.
B. Les clones A-B-C+D+E+F+ ne poussent qu’en présence des nutriments A et B dans le milieu de culture.
C. Les clones auxotrophes peuvent être sélectionnés sur milieu minimum.
D. La méthode des répliques nécessite, pour repérer des clones, une orientation précise de boîtes de Pétri.
E. Dans le cas d’un transfert de gènes par le processus de conjugaison, les modifications génotypiques observées résultent
obligatoirement d’une recombinaison entre séquences homologues.

QCM 3
Parmi les propositions suivantes concernant la bactérie E. coli Hfr, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. La bactérie Hfr a une haute capacité de transduction.
B. Elle est capable de transférer une partie de son chromosome bactérien à une autre bactérie.
C. Elle ne peut transférer du matériel génétique qu’à une bactérie de phénotype « donneuse » (F+).
D. Elle contient un facteur F sous forme épisomique.
E. L’insertion du facteur F se fait toujours au même site du chromosome bactérien.

QCM 4
On incube ensemble en milieu liquide une souche Hfr d’E. coli prototrophe pour l’arginine, la thiamine et la phénylalanine [arg +, thi+,
phe+] et une souche F- d’E. coli auxotrophe pour ces mêmes nutriments [arg-, thi-, phe-]. La souche Hfr est sensible à la streptomycine
et la souche F- y est résistante.
Parmi les propositions suivantes, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. L’étalement des bactéries sur milieu complet contenant de la streptomycine permet d’éliminer les bactéries F- non recombinées.
B. Les bactéries recombinantes identifiées par cette expérience sont prototrophes pour au moins un des nutriments considérés.
C. L’ordre des gènes du chromosome bactérien peut être différent entre la souche Hfr et la souche F-.
D. Si, dans cette expérience, le gène arg est transféré en dernier, on sélectionnera tous les recombinants [arg +] sur un milieu
minimum contenant de la streptomycine.
E. Le clone recombiné [arg-, thi-, phe+] pousse sur un milieu contenant comme seul nutriment la phénylalanine.
QCM 5
Deux souches d’E. coli auxotrophes pour certains nutriments sont incubées ensemble dans du milieu liquide. La souche donneuse
est Hfr et sensible à la streptomycine ; la souche receveuse, F-, est résistante à la streptomycine. L’ordre des gènes est : U, V, W, X,
Y, Z. L’analyse des clones résistants à la streptomycine à différents temps montre les résultats suivants :
- temps 0 : U+V-W-X+Y-Z-
- à partir de 11 minutes : U+V-W+X+Y-Z-
- à partir de 30 minutes : U+V-W+X+Y+Z-
- à partir de 55 minutes : U+V-W+X+Y+Z+

Parmi les propositions suivantes, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :


A. La souche donneuse est prototrophe pour X.
B. La souche receveuse est prototrophe pour X.
C. On peut déterminer que la distance entre Y et Z est de 25 minutes.
D. On peut déterminer que la distance entre V et W est de 11 minutes.
E. On peut déterminer que la distance entre W et X est de 19 minutes.

QCM 6
On effectue un croisement entre les souches suivantes d’E. coli :
- une souche F- résistante à la streptomycine Sr, portant les caractères suivants : Gal-, T-, Azr, Lac-, Tlr, Mal-, Xyl-, L-
- une souche Hfr sensible à la streptomycine SS, portant les caractères suivants : Gal+, T+, AzS, Lac+, TlS, Mal+, Xyl+, L+
Après 60 minutes de contact, les caractères des recombinants résistants à la streptomycine, T+L+, sont étudiés par la méthode des
répliques. Les pourcentages des caractères observés chez ces recombinants sont les suivants : 72% TlS, 0% Mal+, 27% Gal+, 91%
AzS, 0% Xyl+, 48% Lac+.

Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui corresponde(ent) à un ordre possible des gènes :
A. Mal-Xyl-Tl-Lac-Gal-Az.
B. Az-Tl-Lac-Gal-Xyl-Mal.
C. Lac-Mal-Tl-Gal-Az-Xyl.
D. Xyl-Mal-Gal-Tl-Lac-Az.
E. Az-Tl-Lac-Gal-Mal-Xyl.

EXERCICE 7
Deux souches bactériennes triples auxotrophes sont mises en conjugaison dans un milieu liquide dilué puis étalé sur un milieu
complet gélosé (boîte mère).

Des boîtes de répliques contenant des milieux supplémentés variés sont faites à partir de cette boîte mère. Déterminez le génotype
de chaque clone en fonction de sa position et du milieu dans lequel il pousse.

EXERCICE 8
Décrivez par un texte concis les trois modes de recombinaison chez les bactéries.

EXERCICE 9
Pourquoi les recombinants obtenus dans un croisement Hfr X F– ne sont-ils presque jamais F+ ?
EXERCICE 10
Une souche Hfr est utilisée pour faire la carte de trois gènes dans une expérience de croisement interrompu. Le croisement est le
suivant : Hfr / a+b+c+ rifS X F– / a–b–c– rifR.
La liste des allèles ne préjuge pas de leur ordre ; rifR est une résistance à la rifampicine.

Le gène a est requis pour la biosynthèse du nutriment A, le gène b pour le nutriment B et le gène c pour le nutriment C.
Le croisement commence au temps 0 et, à des temps variés, le mélange de croisement est étalé sur trois milieux différents. Chaque
boîte contient du milieu minimum (MM) ainsi que de la rifampicine et des suppléments spécifiques indiqués dans le tableau.

Les résultats pour chaque temps sont donnés en nombre de colonies poussant sur chaque boîte.

Temps de prélèvement
Suppléments ajoutés au MM 5 min 10 min 15 min 20 min
Nutriments A et B 0 0 4 21
Nutriments B et C 0 5 23 40
Nutriments A et C 4 25 60 82

a. Quel est le rôle de la rifampicine dans l’expérience ?


b. A partir de ces résultats, déterminez les positions relatives des gènes a, b, c et du facteur F sur le chromosome.
c. La localisation du gène rif peut-elle être déterminée par cette expérience ? Sinon proposez une expérience permettant de localiser
rif par rapport au facteur F et au gène b.

EXERCICE 11 (composé de 7 questions)

Ex11. Question 1
La technique de conjugaison interrompue a été utilisée dans un croisement impliquant les gènes his, leu, mal et xyl, afin d’établir la
carte "temporelle" de ces gènes. Les cellules réceptrices sont auxotrophes pour les quatre gènes. Après 25 minutes, le croisement
est interrompu et les résultats suivants sont obtenus dans les cellules réceptrices :
90 % [xyl+] ; 80 % [mal+] ; 20 % [his+] ; aucune [leu+].
Quelles sont les positions relatives de ces gènes entre eux et par rapport à l’origine (O) du facteur F ?

Ex11. Question 2
Trois souches de bactéries, chacune portant une mutation différente a–, b– et c– sont utilisées comme sources d’ADN donneur dans
une expérience de transformation. Les cellules réceptrices sont sauvages pour ces gènes, mais expriment le mutant d–.
a. D’après les données suivantes et en supposant que le gène d précède les gènes a, b et c, construisez une carte génétique des
quatre gènes. Vous pouvez vous aider de l’ébauche de carte qui se trouve en dessous du tableau (à recopier sur votre copie).

ADN de la bactérie ADN de la bactérie ADN des bactéries transformées Fréquence des types de
donneuse réceptrice obtenues transformations
a–d+ a+d– a+d+ 0,21
b–d+ b+d– b+d+ 0,18
c–d+ c+d– c+d+ 0,63

b. Pourquoi n’y a-t-il pas d’origine (O) sur cette carte chromosomique ?
c. Si l’ADN donneur est sauvage et la cellule réceptrice est a –b– ou a–c– ou b–c–, dans lequel de ces croisement les transformants
sauvages seront-ils les plus fréquents ?

Ex11. Question 3
Dans quatre souches Hfr de bactéries, qui dérivent toutes d’une même culture F + s’étant développée pendant plusieurs mois, un
groupe de gènes hypothétiques est étudié. On montre qu’ils sont transférés dans l’ordre suivant :

Souche Hfr Ordre de transfert


1 E R I U M B
2 U M B A C T
3 C T E R I U
4 R E T C A B

a. En supposant que B est le premier gène du chromosome, donnez l’ordre des gènes.
b. Une souche présente apparemment une contradiction. Laquelle ? Expliquez pourquoi cette contradiction est seulement apparente
et non réelle.

Ex11. Question 4
Dans l’analyse de la structure fine du locus rII du phage T4, un chercheur a effectué des tests de complémentation pour tester chaque
couple de mutants (une fois l’existence de deux cistrons établie). La complémentation est réalisée en infectant simultanément E.coli
K12 avec deux souches de phages, chacune contenant une mutation indépendante la rendant incapable de lyser K12.
a. A partir des données suivantes, déterminez quelles mutations sont dans quel cistron, en supposant que la mutation 1 (M-1) est
dans le cistron A et la mutation 2 (M-2) dans le cistron B.
b. Y a-t-il des cas où la mutation ne peut être assignée à un cistron ?
Couples testés Résultats *
1, 2 +
1, 3 –
1, 4 –
1, 5 +
2, 3 –
2, 4 +
2, 5 –

* + ou – indiquent, respectivement, la complémentation ou le manque de complémentation.

Ex11. Question 5
Une autre mutation M-6, donne les résultats suivants :
Couples testés Résultats *
1, 6 +
2, 6 –
3, 6 –
4, 6 +
5, 6 –

Tirez toutes les conclusions possibles sur M-6.

Ex11. Question 6
Un test de recombinaison est ensuite réalisé entre M-2, M-5 et M-6 afin de faire la carte du cistron B. L’analyse de recombinaisons
utilisant les souches B et K12 d’E.coli montre qu’il y a une recombinaison entre M-2 et M-5, entre M-5 et M-6 mais pas entre M-2 et
M-6. Pourquoi ?

Ex11. Question 7
Dans les études de recombinaison au locus rII du phage T4, quelle est la signification de la valeur déterminée en calculant le nombre
de phages se développant sur K12 par rapport au nombre de phages se développant sur B, à la suite d’une co-infection d’ E.coli ?
Quel nombre a toujours la valeur la plus élevée ?

QCM 12
On dispose de deux souches de Bacillus subtilis : une souche S qui pousse sur milieu minimum et une souche M qui nécessite
l’addition d’histidine et de leucine au milieu minimum pour croître.
A partir d’une culture de la souche M, des bactéries compétentes pour la transformation sont préparées et réparties dans deux tubes.
De l’ADN extrait de la souche S est ajouté dans l’un d’eux (+ADN). Après une heure d’incubation à 37°C, on effectue une série de
dilutions à partir de chacun des tubes. Une fraction aliquote de 0,1 mL de chaque dilution est étalée sur des boîtes de Pétri contenant
différents milieux. Pour chaque dilution et pour chaque milieu on réalise deux étalements. Après 24h d’incubation à 37°C, le nombre
de colonies par boîte est le suivant :
Milieu minimum Milieu minimum + histidine Milieu complet
Dilution
+ ADN – ADN + ADN – ADN + ADN – ADN

0 62 et 67 0 et 0 Tapis 13 et 15 Tapis Tapis


10 6 et 7 0 et 0 Tapis 2 et 1 Tapis Tapis
102 0 et 0 0 et 0 Tapis 0 et 0 Tapis Tapis
103 0 0 127 et 132 0 Tapis Tapis
104 0 0 11 et 14 0 Tapis Tapis
105 0 0 0 0 254 et 262 258 et 261

A. Les deux tubes initiaux ne contiennent pas le même nombre de bactéries compétentes.
B. La fréquence des révertants [his+] est 5,6.10–7.
C. La fréquence des doubles révertants [his+ leu+] est nulle.
D. La fréquence des bactéries transformées [leu+] est d’environ 5.10–3.
E. Aucune des réponses précédentes n'est exacte.

EXERCICE 13
On réalise un croisement entre une souche F– résistante à la streptomycine (strR) et de génotype gal– thr– TenR mal– xyl– leu– avec une
souche prototrophe Hfr présentant les caractéristiques opposées. Après 60 minutes de contact, les échantillons sont transférés sur
des boîtes avec milieu minimum + streptomycine. Le milieu initial comportait comme proportions 2 x 10 7 Hfr pour 4 x 108 F–. Les
pourcentages des gènes Hfr transférés sont 72 % TenS, 0 % mal+, 27 % gal+, 91 % ariS, 0 % xyl+, 48% lac+.
a. Combien de cellules F– existent dans le milieu initial pour chaque cellule Hfr ?
b. Quel est l'agent de contre-sélection qui prévient les comptages d'Hfr dans la détection des recombinants ?
c. Quel est l'ordre des gènes transmis par la souche Hfr ?
EXERCICE 14
On dispose de 4 souches Hfr comme indiqué en annexe et d’une souche F–, porteuse d’une mutation responsable du phénotype
[gal–] et résistante à la rifampicine (un antibiotique). Pour localiser cette mutation, on réalise en parallèle quatre croisements entre la
souche F– et chaque Hfr, durant 45 min et on étale sur un milieu adéquat.
a- Quel est ce milieu ?
b- On observe des colonies uniquement dans les boîtes d’étalement des croisements avec les Hfr1 et Hfr2 : désignez, très
précisément, sur la carte en annexe, la position de la mutation responsable du phénotype [gal–].
La carte jointe indique l’origine et le sens de transfert du chromosome dans chacune des Hfr.

NB : On rappelle que le passage du chromosome entier exige 90 minutes.

PARTIE I. IV. La régulation génétique chez les bactéries

QCM 1
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquer celle(s) qui est(sont) exactes :
A. La beta-galactosidase est l’enzyme issue de l’expression du gène y.
B. Le gène z est en amont du gène y.
C. L’ARN polymérase se fixe au niveau du promoteur.
D. Le gène régulateur i est en aval du promoteur.
E. Lorsque le mutant est z-, la beta-galactosidase qu’il produit est inactive.

QCM 2
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquer celle(s) qui est(sont) exactes :
A. Un mutant y- ne synthétise pas de perméase en présence de lactose.
B. Un mutant a- est un mutant d’une protéine de structure.
C. Un mutant CRM+ est un mutant des séquences régulatrices.
D. La synthèse de la beta-galactosidase est constitutive chez un mutant oC.
E. La mutation iS concerne le répresseur, elle empêche le lactose de s’y fixer.

QCM 3
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquer celle(s) qui est(sont) exactes :
A. Lorsque le promoteur p est muté, le répresseur ne peut plus se fixer sur l’opérateur.
B. La synthèse de la beta-galactosidase est constitutive chez un mutant i-.
C. La mutation oO confère une très faible affinité à l’opérateur pour le répresseur.
D. Le promoteur et l’opérateur agissent en cis.
E. Les gènes i dans une structure diploïde agissent en trans.

QCM 4
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquer celle(s) qui est(sont) exactes :
A. La beta-galactosidase a pour fonction de scinder le lactose en glucose + galactose.
B. Les gènes, z, y et a sont liés.
C. Chez les bactéries, l’environnement participe au contrôle génétique de la synthèse des protéines.
D. Un cistron ne porte qu’une seule information génétique transcrite en ARN.
E. Le promoteur est situé en amont de l’opérateur.

QCM 5
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquer celle(s) qui est(sont) exactes :
A. L’opéron lactose est polycistronique.
B. L’expression des enzymes du catabolisme du lactose est induite par la liaison du lactose sur l’opérateur.
C. Dans un mutant présentant une diploïdie de l’opéron lactose, le promoteur et l’opérateur tous les deux agissent en cis.
D. Un opéron est constitué d’un ensemble linéaire d’une ou de plusieurs unités de transcription co-régulée(s), et de leurs éléments de
régulation.
E. La synthèse des enzymes est dite constitutive si elle est permanente et indépendante de la présence de l’inducteur.
QCM 6
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquer celle(s) qui est(sont) exactes :
A. La perméase est l’enzyme issue de l’expression du gène y.
B. Les gènes z, y et a ne sont pas adjacents.
C. Les gènes de structure fonctionnent de façon indépendante.
D. Un cistron contient l’information génétique qui permet la synthèse d’une seule protéine.
E. Le galactose est l’inducteur dans le système opéron lactose.

QCM 7
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquer celle(s) qui est(sont) exactes :
A. La transacétylase est l’enzyme issue de l’expression du gène a.
B. Les gènes de structure sont sous le contrôle des mêmes éléments régulateurs adjacents.
C. L'opéron lactose est monocistronique.
D. En absence de lactose dans le milieu, le répresseur est fixé sur l’opérateur.
E. En présence de lactose dans le milieu, le lactose est fixé sur le promoteur.

QCM 8
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. Un opéron est constitué d’un ensemble linéaire d’une ou de plusieurs unités de transcription co-régulée(s), et de leurs éléments de
régulation.
B. L’opéron lactose est monocistronique.
C. L’expression des enzymes du catabolisme du lactose est induite par la liaison du lactose sur l’opérateur.
D. La synthèse des enzymes est dite constitutive si elle est permanente et indépendante de la présence de l’inducteur.
E. Dans un mutant présentant une diploïdie de l’opéron lactose, le promoteur et l’opérateur agissent en cis et en trans.

QCM 9
Parmi les propositions suivantes concernant le génotype is p+ oc z+ y- de l’opéron lactose, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. Le gène i code pour l’inducteur.
B. La mutation is résulte en une perte de fonction du produit du gène i.
C. La mutation oc résulte en une perte de la capacité de l’opérateur à fixer le répresseur.
D. En présence de lactose, il n’y a pas de synthèse de la beta-galactosidase dans ce mutant.
E. Il y a synthèse inductible d’une perméase inactive dans ce mutant.

QCM 10
Parmi les propositions suivantes concernant l’opéron lactose sauvage, indiquez celle(s) qui est (sont) exacte(s) :
A. l’expression des enzymes permettant le métabolisme du lactose est inductible.
B. l’expression de ces enzymes est activée en l’absence de lactose.
C. le lactose se fixe sur une séquence d’ADN appelée "opérateur".
D. dans un système diploïde, les mutations du répresseur agissent en cis et en trans.
E. il existe un système de régulation positive de l’opéron lactose par l’AMPc en l’absence de glucose.

QCM 11
Le diploïde suivant a été construit pour étudier l’opéron lactose de E. coli : i- p+ o+ z+ y+ / i+ p+ o+ z- y-
(z = beta galactosidase ; y = perméase)
Parmi les propositions suivantes concernant ce diploïde, indiquer celle qui est exacte :
A. Il est constitutif pour la beta-galactosidase et inductible pour la perméase.
B. Il est inductible pour la beta-galactosidase et la perméase.
C. Il est constitutif pour la perméase et inductible pour la beta-galactosidase.
D. Il est constitutif pour la beta-galactosidase et la perméase.
E. Aucune des réponses n’est exacte.

QCM 12
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production constitutive de beta-
galactosidase active :
A. i- p+ o+ z-
B. is p+ o+ z+
C. i- p+ o+ z- / i- p+ o+ z+
D. i- p+ oo z+ / i+ p+ o+ z-
E. i+ p+ oc z+ / is p+ o+ z+

QCM 13
Le mutant suivant a été construit pour étudier l’opéron lactose de E. coli : i- p+ o+ z+ y+ (z = beta galactosidase ; y = perméase).
Parmi les propositions suivantes, indiquer celle qui est exacte :
A. En présence d’inducteur, ce mutant synthétise de la beta-galactosidase.
B. En présence d’inducteur, ce mutant synthétise de la perméase.
C. En absence d’inducteur, ce mutant synthétise de la beta-galactosidase.
D. En absence d’inducteur, ce mutant synthétise de la perméase.
E. C’est un mutant constitutif.
QCM 14
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production constitutive de beta-
galactosidase active :
A. i- p+ o+ z- / i- p+ o+ z-
B. i- p+ oo z+ / i+ p+ o+ z-
C. i- p+ o+ z-
D. is p+ o+ z-
E. i+ p+ oc z+ / is p+ o+ z+

QCM 15
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production constitutive de
perméase fonctionnelle :
A. is p+ o+ z+ y+
B. i+ p+ oc z+ y-
C. is p+ oc z+ y+
D. i+ p+ oo z+ y+ / i+ p+ oc z+ y+
E. i- p+ o+ z+ y+ / i+ p- oc z+ y-

QCM 16
Des expériences sont effectuées pour analyser la région de l’opéron lactose d’E. coli. Plusieurs mutants diploïdes sont étudiés. La
présence de β-galactosidase (z) active et de la perméase (y) active est mesurée après culture en présence ou en l’absence de
lactose. On considère les diploïdes suivants :
1. i- p+ o+ z+ y+ / i+ p+ o+ z- y+
2. i+ p+ o+ z+ y- / is p+ oc z- y+
3. i+ p- o+ z+ y+ / i+ p+ oc z+ y-
4. i- p- oc z+ y+ / i+ p+ o+ z- y-
5. i+ p- oc z+ y+ / i- p+ o+ z- y+

Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) :


A. Le mutant 1 synthétise les formes actives des enzymes z et y uniquement en présence d’inducteur.
B. Le mutant 2 ne synthétise que la forme active de l’enzyme z en présence d’inducteur.
C. Le mutant 3 synthétise les formes actives des enzymes z et y de façon constitutive.
D. Le mutant 4 ne synthétise aucune forme active des enzymes z et y.
E. Le mutant 5 synthétise la forme active de l’enzyme y uniquement en présence d’inducteur.

QCM 17
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production constitutive de beta-
galactosidase active :
A. i- p+ o+ z+ y-
B. i+ p- oc z+ y-
C. is p+ oc z- y+
D. i+ p+ oc z+ y+ / i+ p+ oo z+ y+
E. i- p+ o+ z+ y+ / i- p- o+ z+ y+

QCM 18
On étudie la production d’enzymes par l’opéron lactose, en présence de glucose et/ou de lactose. Le système étudié est le suivant :
cya+, cap-, i+ p+ o+ z+ y- (cya représente le gène codant l’adénylate cyclase, enzyme nécessaire à la production de l’AMPc ; cap
représente le gène codant la protéine d’activation catabolique).
Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. La β-galactosidase est produite en présence de glucose seul.
B. La β-galactosidase est produite en présence de lactose seul.
C. La β-galactosidase est plus fortement produite en présence de lactose seul qu’en présence de glucose et de lactose.
D. La β-galactosidase n’est produite ni en présence de glucose, ni en présence de lactose.
E. Le glucose ne peut être utilisé comme substrat énergétique.

QCM 19
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production constitutive de beta-
galactosidase et/ou de perméase fonctionnelle(s) :
A. is p+ o+ z+ y+
B. i+ p+ oc z+ y-
C. is p+ oc z+ y+
D. i+ p+ oo z+ y+ / i+ p+ oc z+ y+
E. i- p+ o+ z+ y+ / i+ p- oc z+ y-

QCM 20
Parmi les propositions suivantes concernant la régulation transcriptionnelle des gènes de l’opéron-lactose chez E. coli, indiquer
celle(s) qui est(sont) exacte(s), (z = beta galactosidase ; y = perméase) :
A. L’inducteur est synthétisé par l’opéron lactose.
B. Une mutation p- du promoteur empêche la fixation de l’ARN polymérase.
C. Une souche d’E. coli de génotype i+ p+ oc z+ y- peut synthétiser de la perméase active en absence de lactose dans le milieu.
D. En présence de glucose et de lactose dans le milieu, une souche d’E. coli sauvage synthétise de la beta-galactosidase.
E. Une souche d’E. coli de génotype cya- , cap+ , i+ p+ oc z+ y- peut synthétiser de la perméase active en absence de lactose dans le
milieu.
QCM 21
Parmi les propositions suivantes concernant la régulation transcriptionnelle des gènes de l’opéron-lactose à l’état diploïde chez E.coli,
indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s), (z = beta galactosidase ; y = perméase) :
A. Le répresseur peut avoir une action en cis et en trans.
B. Le promoteur peut avoir une action en cis et en trans.
C. Une souche d’E. coli de génotype i+ p+ oc z+ y- / i- p+ o+ z+ y+ peut synthétiser la perméase active en absence de lactose dans le
milieu.
D. Une souche d’E. coli de génotype i+ p+ oo z+ y- / i- p+ o+ z+ y+ peut synthétiser la beta-galactosidase active en absence de lactose dans
le milieu.
E. Une souche d’E. coli de génotype i+ p- oc z+ y- / i- p+ o+ z+ y+ peut synthétiser de la perméase active en présence de lactose dans le
milieu.

QCM 22
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production constitutive de perméase
fonctionnelle :
A. i+ p+ oo z+ y+ / i+ p+ oc z+ y+
B. i- p+ o+ z+ y+ / i+ p- oc z+ y-
C. is p+ o+ z+ y+
D. i+ p+ oc z+ y-
E. is p+ oc z+ y+

QCM 23
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production constitutive de
perméase fonctionnelle :
A. i+ p+ oo z+ y+ / i+ p+ oc z+ y+
B. i- p+ o+ z+ y+ / i+ p- oc z+ y-
C. is p+ o+ z+ y+
D. i+ p+ oc z+ y-
E. is p+ oc z+ y+

QCM 24
Le diploïde suivant a été construit pour étudier l’opéron lactose de E. coli : i+ p+ o+ z- y- / i- p+ o+ z+ y+. Parmi les propositions suivantes
concernant ce diploïde, indiquer celle(s) qui est (sont) exacte(s) :
A. Il est constitutif pour la β-galactosidase et inductible pour la perméase.
B. Il est constitutif pour la perméase et inductible pour la β -galactosidase.
C. Il est constitutif pour la β-galactosidase et la perméase.
D. Il est inductible pour la β-galactosidase et la perméase.
E. Aucune des réponses précédentes n’est exacte.

EXERCICE 25
Qu'est ce que la répression catabolique ? Comment permet-elle à une cellule bactérienne d'utiliser le glucose de préférence à
d'autres sucres ? Votre texte pourra être accompagné d’un schéma.

EXERCICE 26
Un gène régulateur code le répresseur d'un opéron inductible. Un généticien isole plusieurs mutations rendant l'expression de cet
opéron constitutive. Où ces mutations constitutives se sont-elles produites ? Expliquez pourquoi elles rendent l'opéron constitutif.

EXERCICE 27
L'opéron fox, qui comprend les séquences A, B, C et D (qui peuvent être des gènes de structure ou des séquences régulatrices),
code les enzymes 1 et 2. Des mutations dans les séquences A, B, C et D ont les effets suivants, où un signe (+) signifie que l'enzyme
est synthétisée et un signe (–) indique que l'enzyme n'est pas synthétisée.

a. L'opéron fox est-il inductible ou répressible ?


b. Indiquez la fonctions des séquences A, B, C et D dans l'opéron.
QCM 28
Une souche de bactéries [lac+] est cultivée dans un milieu contenant du glycérol comme seule source de carbone. On mesure la
quantité d'ARN messager des gènes lac et les activités β-galactosidase et perméase au cours du temps après addition, puis
élimination, du lactose dans le milieu de culture. Les données sont regroupées sur la figure suivante :

A. L'addition de lactose provoque l'activation de pré-enzymes préalablement accumulées dans la cellule


B. La synthèse d'ARN messagers des gènes lac est induite par l'addition du lactose dans le milieu de culture
C. La transcription des ARNm des gènes lac s'arrête quand on remet les bactéries dans un milieu sans lactose, mais la traduction se
poursuit
D. La β-galactosidase est une enzyme stable et active pendant au moins 15 minutes
E. Les ARN messagers bactériens ont une longue durée de vie au sein de la cellule

EXERCICE 29
Une mutation rend une cellule bactérienne capable d'utiliser simultanément de nombreux sucres (glucose, lactose, sorbitol, xylose).
Les opérons des gènes spécifiant les enzymes cataboliques (pour l'utilisation du lactose, du sorbitol et du xylose) sont de type
sauvage (non muté).
Proposez une explication à ce phénomène.

QCM 30
Une (plusieurs) des propositions suivantes concernant l'opéron lactose est (sont) fausse(s), laquelle (lesquelles) ?
A. Une mutation de l'opérateur aura uniquement des conséquences en cis
B. La mutation iS engendre un répresseur "super-réprimé" qui se fixe sur le lactose
C. Une mutation du répresseur aura des conséquences en cis
D. Une mutation o0 confère à l'opérateur une très forte affinité pour le répresseur
E. Un mutant i– est un mutant "super-réprimé"

QCM 31
Parmi les mutants suivants de l’opéron lactose d’E. coli, indiquer celui(ceux) qui permet(tent) une production inductible de beta-
galactosidase inactive :
A. i– p+ o+ z– y–
B. i+ p– oC z+ y–
C. iS p+ oC z– y+
D. i+ p+ oC z+ y+ / i+ p+ o0 z– y–
E. i– p+ o+ z– y+ / i+ p– o+ z– y+

EXERCICE 32
Dans un opéron théorique, les gènes A, B, C et D représentent le gène répresseur, la séquence promotrice, le gène opérateur et le
gène structural (enzyme), mais pas nécessairement dans cet ordre. Cet opéron est impliqué dans le métabolisme d’une molécule
théorique (tm).
a. A partir des données du tableau suivant, indiquez si l’opéron est inductible ou répressible par la molécule théorique. Justifiez.
b. Ensuite attribuez A, B, C et D aux quatre parties de l’opéron. Expliquez votre démarche.
L'explication de la démarche et du raisonnement compte plus que les réponses en elles-mêmes.
Les notations utilisées dans le tableau sont les suivantes : EA (= enzyme active), EI (= enzyme inactive) et PE (= pas d’enzyme).

Génotype Présence de tm Absence de tm


A+ B + C + D + EA PE
A– B + C + D + EA EA
A+ B – C + D + PE PE
A+ B + C – D + EI PE
A+ B + C + D – EA EA
A– B + C + D + / A + B + C + D + EA EA
A+ B – C + D + / A + B + C + D + EA PE
A+ B + C – D + / A + B + C + D + EA + EI PE
A+ B + C + D – / A + B + C + D + EA PE
PARTIE I. V. Les virus sont des systèmes génétiques accessibles à l'analyse génétique

QCM 1
Neuf mutants (1 à 9) du phage T4 présentant des délétions dans la région rII ont été étudiés par co-infection deux à deux de la
souche B de E. coli. Une carte génétique des délétions a été établie ; elle est présentée ci-dessous :

Dans un deuxième temps, 3 mutants ponctuels (A, B et C) ont été analysés.


Pour chacun d’entre eux, une co-infection a été réalisée avec les neufs mutants précédents de la souche B de E. coli, puis une
dilution a été étalée sur la souche K de E. coli.
La position du mutant C est indiquée sur la carte des délétions. Les résultats obtenus sont représentés sur le tableau suivant, (+ =
présence de recombinants, 0 = absence de recombinants) :

1 2 3 4 5 6 7 8 9
A 0 0 + + + + + + +
B + + + 0 + + + + 0
C + + 0 + 0 + 0 + +

Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) :


A. L’anomalie du mutant A est située dans la région délétée du mutant 1.
B. L’anomalie du mutant B est située dans la région délétée du mutant 3.
C. La co-infection des mutants 4 et 7 peut donner des recombinants sauvages.
D. La co-infection des mutants 2 et 7 peut donner des recombinants sauvages.
E. La position donnée pour le mutant C est juste.

QCM 2
Plusieurs mutants ponctuels du bactériophage T4 ont été analysés deux à deux par étude de complémentation. Les résultats obtenus
sont les suivants :
- cistron A : 1, 2, 5, 8
- cistron B : 3, 4, 6
- cistron C : 4, 7, 8
Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. Lorsque les mutants 1 et 8 sont co-infectés dans une bactérie, on obtient une descendance.
B. Lorsque les mutants 5 et 8 sont co-infectés dans une bactérie, on obtient une descendance.
C. Les mutations testées sont obligatoirement récessives.
D. Le mutant 4 est un double mutant.
E. Le mutant 3 appartient au même groupe de complémentation que le mutant 6.

QCM 3
Cinq mutants ponctuels du phage T4, numérotés de 1 à 5, sont étudiés deux à deux par un test de complémentation. Les résultats de
ce test sont indiqués dans le tableau ci-dessous :

1 2 3 4 5
1 - + + - -
2 - - - +
3 - - +
4 - -
5 -

Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) :


A. Les cinq mutants se répartissent en deux groupes de complémentation : groupe I (1, 4, 5) et groupe II (2, 3).
B. Le mutant 4 affecte deux cistrons.
C. Le mutant 5 n’est complémenté par aucun autre mutant.
D. Les mutants 2, 3 et 4 appartiennent à un même groupe de complémentation.
E. Les mutations testées sont obligatoirement récessives.
QCM 4
Soit quatre mutants délétionnels (1 à 4) et un mutant ponctuel (5) de la région rII du phage T4, répartis sur trois cistrons A, B et C. La
carte génétique suivante a été établie :

Ces mutants sont étudiés deux à deux par co-infection de la souche B d’E. coli. Le lysat obtenu est dilué puis étalé sur la souche K12
d’E. coli. La présence ou l’absence de plages de lyse sur la souche K12 est analysée.
Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) :
A. Selon le schéma, les mutants 1 et 2 font partie d’un même groupe de complémentation.
B. La co-infection par les mutants 4 et 5 génère des plages de lyse sur la souche K12.
C. La co-infection par les mutants 2 et 4 génère des recombinants de type sauvage.
D. Aucune plage de lyse n’est observée en co-infectant les mutants 1 et 3 sur la souche K12.
E. La co-infection par les mutants 2 et 5 génère des plages de lyse sur la souche K12.

QCM 5
On étudie quatre mutants délétionnels (1, 2, 3 et 4) ainsi que trois mutants ponctuels (a, b et c) de la région rII du bactériophage T4.
Les mutants sont étudiés deux à deux par co-infection de la souche B d’E. coli. Le lysat obtenu est dilué puis étalé sur la souche K12
d’E. coli. Les mutants délétionnels co-infectés deux à deux ne produisent aucune plage de lyse.
Pour les mutants ponctuels, on obtient les résultats indiqués dans le tableau suivant (+ : présence de plages de lyse, - : absence de
plages de lyse) :

1 2 3 4
a - + - +
b - + + -
c - + + +

Parmi les cartes suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) compatible(s) avec ces résultats :
(les traits pleins représentent l’étendue des délétions, les traits pointillés les mutants ponctuels)

A.

B.

C.

D.
E.

QCM 6
Huit mutants ponctuels du phage T4 sont analysés deux à deux par étude de la complémentation fonctionnelle. Les résultats sont
indiqués dans le tableau suivant (+ : complémentation ; - : absence de complémentation) :

1 2 3 4 5 6 7 8
1 - - + + - + + -
2 - + + - + + -
3 - - + + - +
4 - + + - +
5 - + + -
6 - + +
7 - +
8 -

Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) :

A. Pour réaliser un test de complémentation, il faut analyser des structures diploïdes et étudier des mutations s’exprimant selon un
mode récessif.

B. Les 8 mutants sont répartis dans les deux groupes de complémentation fonctionnelle suivants :
- 1, 2, 5, 6, 8
- 3, 4, 6, 7

C. Les 8 mutants sont répartis dans les trois groupes de complémentation fonctionnelle suivants :
- 1, 2, 5, 8
- 3, 4, 7
-6

D. Les 8 mutants sont répartis dans les quatre groupes de complémentation fonctionnelle suivants :
- 1, 2, 5, 8
- 3, 4
-6
-7

E. Les 8 mutants sont répartis dans les quatre groupes de complémentation fonctionnelle suivants :
- 1, 2, 5
- 3, 4
-6
- 7, 8

EXERCICE 7
Comparez un cycle lysogénique et un cycle lytique.

QCM 8
On souhaite déterminer le pourcentage de recombinaison entre deux mutations (une mutation ponctuelle et une délétion) de la région
rII du bactériophage T4, en co-infectant la souche B de E. coli par les deux types de mutants. Une dilution du lysat de 1/10 9 est étalée
sur E. coli B, et une dilution de 1/107 est aussi étalée sur E. coli K12(λ). On trouve 20 plages de lyse sur E. coli B et 2 plages de lyse
sur E. coli K12(λ).
Parmi les propositions suivantes, indiquez celle(s) qui est (sont) exacte(s) :
A. Le bactériophage T4 est un phage tempéré.
B. Les mutants de la région rII sont facilement identifiables car ils donnent des plages de lyse lorsqu’ils infectent la souche B d’E. coli.
C. Le pourcentage de recombinaison entre les deux mutations, déduit de l’expérience, est 0,01 %.
D. Le pourcentage de recombinaison entre les deux mutations, déduit de l’expérience, est 0,2 %.
E. Cette expérience permet de conclure que la mutation ponctuelle du premier mutant est localisée au niveau du segment d’ADN qui
est délété chez le second mutant.

EXERCICE 9
Une généticienne isole deux mutations chez un bactériophage. Une des mutations donne des plages de lyse claires (c) et l'autre des
plages minuscules (m). Des expériences précédentes ont déterminé que les gènes responsables de ces mutations sont distants de 8
U.C.
La généticienne mélange des phages de génotypes c + m + et c – m – et infecte une culture de bactéries avec le mélange. Elle récolte le
lysat obtenu et étale des échantillons sur un tapis d'une bactérie indicatrice.
Sur un total de 1000 plages obtenues, à quel nombre de plages de lyse des types suivants (c + m +, c – m –, c + m –, c + m –) doit-elle
s'attendre ?
On rappelle qu'une unité de carte génétique (U.C.) est définie par la distance entre les gènes pour laquelle 1 produit sur 100 de la
recombinaison ou de la méiose est un recombinant.
EXERCICE 10
Une culture d'E. coli est infectée simultanément avec deux souche de phage λ. Une souche est mutante pour la spécificité d'hôte,
sensible à la température, et produit des plages claires (génotype h st c), et l'autre souche porte les allèles de type sauvage
correspondants (génotype h+ st+ c+).
Les phages produits par l'infection sont collectés à partir de cellules lysées et sont étalées sur des bactéries indicatrices. Les
génotypes des phages issus de l'infection mixte, déduits de la morphologie des plages sont les suivants :

a. Rappelez quel(s) type(s) de cycle de vie peut présenter le phage λ.


b. D'après vos connaissances, expliquez ce qu'est la spécificité d'hôte
c. Déterminez l'ordre des trois gènes sur le chromosome phagique.
d. Déterminez les distances cartographiques entre les trois gènes.

EXERCICE 11
Expliquez la différence entre une complémentation et une recombinaison entre deux phages.
Université Paris 13. UFR SMBH. L2. Sciences du Vivant.
UE S3F1. Génétique 2. Partie I.

PARTIE I. LES SYSTÈMES GÉNÉTIQUES BACTÉRIENS ET VIRAUX


EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES – CORRIGÉ

PARTIE I. I. L'analyse génétique des bactéries nécessite des approches et des méthodes spécifiques

EXERCICE 1
- mode de division spécifique bactérien : 2 cellules identiques produites à partir d’une cellule mère.
- modalités chronologiques : accroissement du volume cellulaire, apparition d’un septum transversal au médian, séparation des deux
cellules filles.
- éléments préalables : augmentation des constituants cellulaires, duplication du chromosome bactérien (ni condensation, ni
centromère et fuseau)
+ qualité de la formulation de la réponse

EXERCICE 2
Voir cours + organiser les infos en faisant 1 plan

QCM 3. B et D

EXERCICE 4
La colonie de la boîte 1 contient une mutation pour ser+, la colonie de la boîte 3 contient une mutation arg+.

QCM 5. B, C et E

QCM 6. B

EXERCICE 7.
Voir séance de travaux pratiques.

PARTIE I. II. Un organisme modèle : la bactérie Escherichia coli

QCM 1. C et E (D, faux car millions)

QCM 2. B, C et D (A, faux car Bacterium coli comune ; E, faux car 4300)

PARTIE I. III. Les transferts horizontaux d'information génétique chez les bactéries

QCM 1. C, D et E

QCM 2. B, D et E

QCM 3. B

QCM 4. B et D

QCM 5. A, B et C

QCM 6. B et E

EXERCICE 7

Clone Génotype des clones


met thr pan pro bio his
1 + + + + + +
2 + - - + + +
3 - + - + + +
4 + + + + + -
5 + + + - + +
6 + - + + + +

EXERCICE 8
Conjugaison – Transduction – Transformation (à détailler)
EXERCICE 9
En raison de la position du facteur F puisqu’il serait le dernier transféré

EXERCICE 10
a- La rifampicine élimine la souche donneuse qui est rifS.
b- b-----a-----------------c-----F
NB : la question portait uniquement sur les positions relatives donc du moment que vous donnez le bon ordre, vous avez la bonne
réponse. Simplement ici, lorsque l'on regarde le nombre de colonies qui apparaissent, on voit que le nombre est un peu moins fort
pour le gène C que pour les autres gènes 5 min après le début de leurs transferts respectifs (21 colonies contre 23 et 25), cela peut
traduire une distance légèrement plus importante entre les gènes puisque le transfert se fait statistiquement avec un peu moins de
succès. Les minutes sont des unités arbitraires de cartographie, elles ne sont donc pas toutes rigoureusement identiques !
c- Pour localiser le gène rif, on pourrait utiliser une souche donneuse rifR mais sensible à un autre antibiotique (ampicilline par
exemple). L’expérience de conjugaison interrompue est réalisée sur un milieu sur un milieu contenant de l’ampicilline. Les
recombinants devront être étalés de nouveau sur un milieu supplémenté en rifampicine pour savoir lesquels y sont sensibles.

EXERCICE 11 (examen session 2010)

Question 1. O - xyl - mal - his – leu

Question 2.
a)

b) Parce qu’il s’agit d’une transformation et non d’une conjugaison.


c) Cellules réceptrices a–b–.

Question 3.
a) BACTERIUM
b) Souche 4. Facteur F intégré en sens inverse dans la souche Hfr.

Question 4.
a) Cistron A : M-1 et M-4 / Cistron B : M-2 et M-5
b) M-3

Question 5.
M-6 est dans le cistron B.

Question 6
Explication correcte et suffisamment argumentée.

Question 7
Explication correcte et suffisamment argumentée.

QCM 12 (examen session 2011). D


A. Faux. On peut estimer la population bactérienne dans chacun des tubes à partir des étalements de 0.1 mL des dilutions 10 5 sur
milieu complet. Les effectifs observés dans les deux cas ne diffèrent pas significativement, les deux tubes contiennent donc le même
nombre de bactéries, soit : [(254+262+258+261)/4] x 105 x 10 = 2,59.108 bactéries/mL.
B. Faux. On n'a aucune indication de la fréquence des révertants [his +]. Il aurait fallu faire un étalement sur milieu minimum additionné
de leucine pour l'estimer. Pour rappel, un révertant est un individu qui a subit une mutation qui rétablit une séquence sauvage à partir
d'une séquence mutée.
Par contre, les colonies apparues sur le milieu minimum additionné d'histidine après étalement de cellules compétentes n'ayant pas
été en contact avec l'ADN, permettent d'estimer la fréquence des révertants [leu +]. Il y a, 28 colonies sur les 2 boîtes en partant d'une
supension bactérienne non diluée, et 3 colonies sur les boîtes en utilisant la dilution 10. il y a donc [(28+30)/4] x 10 = 145 révertants
[leu+] par mL de suspension. C'est la fréquence des révertants [leu+] qui est égale à 145/(2,59.108) = 5,6,10–7.
C. Faux. On n'observe aucune colonie sur les boîtes de milieu minimum préparées à partir du tube de cellules compétentes n'ayant
pas été en contact avec l'ADN (aucune dilution), mais on ne peut affirmer pour autant que la fréquence des doubles révertants est
nulle. On peut simplement dire qu'elle est inférieure à celle qui aurait été calculée si, sur les 2 boîtes, 1 colonie avait été observée. Il y
a donc moins de 5 révertants par millilitre de suspension contenant 2,59 x 10 8 cellules : la fréquence des doubles révertants est
inférieure à 1,9.10–8.
D. Vrai. Les bactéries transformées [leu +] sont des bactéries ayant été en contact avec l'ADN et poussant sur le milieu minimum
additionné d'histidine. Quatre boîtes présentant des colonies isolées permettent de calculer leur nombre :
[(127+132+110+140)/4] x 10 x 103 = 1,3.105 [leu+].
E. Faux

EXERCICE 13 (examen session 2014)


a. 20
b. La streptomycine car Hfr est strS
c. Origine - (thr+ leu+) - ariS - TenS - lac+ - gal+ - (mal+ xyl+) --- strS (beaucoup plus loin)

EXERCICE 14
a. Mil min (par rapport au gal) + rif
b. 10h environ
PARTIE I. IV. La régulation génétique chez les bactéries

POINT METHODOLOGIQUE
Pour traiter les exercices concernant l'opéron-lactose lors de vos révisions, il est important :
- d'avoir à sa disposition une fiche récapitulant les différents types de mutants et la hiérarchie des éléments régulateurs ;
→ bien connaître cette fiche suffit pour traiter les exercices qui portent sur un génotype haploïde
- de connaître les actions en cis et en trans ;
- et de créer ses propres modalités de représentation pour parvenir à combiner (souvent dans un schéma) les conséquences de
différentes mutations intervenant en même temps dans un même individu mutant (parfois diploïde)
→ ces deux derniers aspects sont indispensables pour traiter les exercices concernant les génotypes diploïdes

Par exemple sur un génotype de mutant (cf ci-dessous), une synthèse :


- inductible peut être symbolisée par une flèche en pointillés partant du promoteur (fig 1)
- constitutive peut être symbolisée par une flèche en trait continu partant du promoteur(fig 2)
- impossible peut être symbolisée par les lettres barrées d'un trait (fig 3)

Les actions (en cis et en trans) du répresseur peuvent être modélisées par des flèches arrondies (fig ci-dessous) avec ou sans croix
à l'extrémité selon que la fixation est possible ou pas.

QCM 1. B, C et E

QCM 2. B, D et E

QCM 3. B, D et E

QCM 4. A, B, C, D et E

QCM 5. A, C et E
La réponse D est fausse car un opéron est un ensemble linéaire de gènes adjacents et non d'unités de transcription ; l’unité de
transcription d’un gène correspond à la séquence présente dans le transcrit d’ARN.

QCM 6. A et D

QCM 7. A, B et D

QCM 8. D

QCM 9. C

QCM 10. A, D et E

QCM 11. B
On observe une synthèse inductible sur chaque brin, cf schéma ci-dessous.
QCM 12. C et E

QCM 13. A, B, C, D et E

QCM 14. E

QCM 15. C et D

QCM 16. A, D et E

QCM 17. A, D et E

QCM 18. B

QCM 19. B, C et D

QCM 20. B et D

QCM 21. A et E

QCM 22 (examen session 2015). A et E

QCM 23 (examen session 2015). A et E

QCM 24 (examen session 2015). D

EXERCICE 25 (examen session 2015). Cf cours

EXERCICE 26 (examen session 2015)

EXERCICE 27 (examen session 2015)


a) opéron inductible
b) D : gène régulateur, B : promoteur, A : gène structure enzyme 1, C : gène structure enzyme 2

QCM 28 (examen session 2014). B et D

EXERCICE 29 (examen session 2014)


La mutation peut être située dans le gène de l'adénylate cylase (CYA) ou dans le gène codant l'activateur catabolique (CAP).

QCM 30 (examen session 2014). B et E

QCM 31 (examen session 2014). E

EXERCICE 32 (examen session 2014)


a) Opéron inductible + justification
b) A = opérateur (o) ; B = promoteur (p) ; C = gène structural (z) ; D = répresseur (i) + explications

PARTIE I. V. Les virus sont des systèmes génétiques accessibles à l'analyse génétique

QCM 1. A, D et E

QCM 2. C, D et E

QCM 3. B, D et E

QCM 4. A, C, D et E

QCM 5. B et C

QCM 6. A et C
EXERCICE 7. Comparaison cycle lytique / cycle lysogénique
▪ Qualité rédactionnelle : orthographe, organisation, concision (emploi des termes scientifiques)
▪ Points communs :
→ pénétration ADN phage dans β
→ multiplication du phage dans tous les cas même si tardive dans cycle lysogénique
▪ Différences :
→ ADN circularisé (ou réplication synchrone) dans cycle lysogène. / transcrit dans cycle lytique
→ type de gènes transcrits dès l’arrivée dans β : structure si cycle lytique et répresseurs si cycle lysogène

QCM 8. B et D

EXERCICE 9 (examen session 2015)


8 UC = 8 % de recombinaison
Soit n = nombre de phages sauvages issus de recombinaison
2n / 1000 = 8 % = 0,08 soit 2n = 80 soit n = 40
Donc Nb c + m + = Nb c – m – = 40 et Nb c + m – = Nb c + m – = (1000 – 80) / 2 = 460

EXERCICE 10 (examen session 2015)


a) cycle lytique ou cycle lysogénique
b) Restriction de la possibilité d'infection à un certain nombre d'espèces voire de souches

EXERCICE 11 (examen session 2014)


La recombinaison implique un échange génétique entre les deux mutants considérés. La complémentation se fait par addition de
molécules produites par chacun des deux mutants au niveau du cytoplasme sans échange génétique.

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