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Chapitre IV : REGLEMENT
I Règlement d’urbanisme du PDAU intercommunal de Chlef-Sendjas-Oumdrou..158
II Règlement d’urbanisme de la commune de Chlef…………………………...…158
III Règlement d’urbanisme de la commune de Sendjas……………………….….189
IV Règlement d’urbanisme de la commune de Oum-Drou……………………..…216
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CHAPITRE I :
SYNTHESE DU
BILAN
DIAGNOSTIQUE
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I- PRESENTATION DU GROUPEMENT DES COMMUNES
Cette nouvelle fonction prévue pour la ville de Chlef s’inscrit dans le rééquilibrage
régional dépassant le cadre de la wilaya. Dans cette optique, Chlef est appelée à
rayonner sur un espace plus large qui intégrera Relizane à l’Ouest, Ain-Defla à l’Est et
Tissemsilt au Sud.
Ces wilayas voisines forment un espace tampon entre les deux grandes aires
métropolitaines d’Alger et d’Oran où la ville de Chlef devra assurer le rôle de Métropole
d’Equilibre.
Cette situation stratégique d’articulation et de liaison sera d’autant plus appuyée dans le
future par la réalisation de l’autoroute reliant TISSEMSILT-TENES et la voie de chemin de
fer reliant CHLEF-TENES.
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4- STRUCTURATION DE L’ESPACE DU GROUPEMENT
Au Sud, un ensemble montagneux très impact et découpé par des cours d’eau
transversalement dont le plus important est l’Oued Tsighaout qui prend son origine dans
les massifs de l’Ouarsenis.
La commune de Sendjas appartient en partie à cet ensemble naturel.
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II - MILIEU PHYSIQUE
Les paramètres les plus déterminants dans ce domaine relèvent du caractère accidenté
des monts de l’Ouarsenis, c’est un caractère lié à l’importance des altitudes, souvent
supérieures à 600m, des pentes (> 25 %) et surtout à l’importance des dénivellations entre
le haut des reliefs et le bas fond des oueds.il est représenté par l’ensembles bien alignés,
l’ensemble de Dj. Tamdrara (1193m) et l’ensemble du Dj.Mosbah (1081m),
L’espace intercommunal du groupement de commune en question est formé de quatre
ensembles topographiques :
-Un ensemble de reliefs de liaison, qui assure le relais entre le domaine montagneux et
le domaine des reliefs de piémonts. Les altitudes dans cet ensemble varient de 400 à
700m en général, mais pouvant varier parfois suivant les caractères morphologiques de
certains ensembles topographiques.
- Un ensemble de reliefs de piémonts qui concerne uniquement les terrains dont
l’altitude varie de 200 à 400m. C’est un domaine qui assure le relais entre les reliefs de
liaison et les bas reliefs des plaines et des vallées développées en contrebas.C’est un
domaine très développé au Sud, dans l’Ouarsenis.
Les pentes sont souvent supérieures à 15 %
- Un domaine de bas reliefs qui concerne principalement, la plaine du Chélif, les plaines
et les vallées affluentes correspondant au bassin néogène et subsident du Chélif. Les
altitudes sont généralement inférieures à 200m et descendent à moins de 60m. Les
pentes sont également insignifiantes, elles sont généralement inférieures à 5 %,
Lacomplexitétectoniquedecetterégionestsansdouteliéeàlacomplexité des
plis,àlaprésencedechevauchementsdeflexuresetsurtoutauxeffetsinduitsparlesnappesdegli
ssement,trèsfréquentsàtraversleDahraetl’Ouarsenis.
Lesnappesdecharriagesonttrèsrépanduesàtraverscesdeuxchaînesetarriventenextensionj
usqu’auxenvironsdeTiaretversleSud.Ellessontdonc
présentesdepartetd’autredugrandbassinduChélifetjusqu’auxlittorauxdela
wilayadeChlefauNord.
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Ajoutonsàcecil’imaged’ensembleduDahraetdel’Ouarsenis,departet d’autre du bassin
chélifien, sous la forme de grands bombements, donnant
l’impressiondevéritableshorsts:l’unauNord,celuiduDahra,l’autreauSud,celui
del’Ouarsenisetdontlaséparationestliéeàlaprésenced’unvéritableGrabenaucentre,corresp
ondantaugrandbassinduChélif.
Figure:Schémad’ensembledesprincipauxdispositifsmorphotectoniquesdelaw
ilayadeChlef
3- RESEAU HYDROGRAPHIQUE
HYDROGRAPHIE:
Le réseau hydrographique est assez actif, l’ensemble des affluents dispersés sur la zone du
piémont sont drainés par des oueds qui traverse longitudinalement et transversal
l’intercommunale parmi les oueds ces oueds.
Oued Chlef : qui traversé le site de Nord Est- Nord Ouest dans sa partie nord
Oued Tsighaout : qui traverse le territoire intercommunale du Sud au Nord et alimente
l’oued Chlef ou il drainé par plusieurs oueds Oued Nessissa Oued Hamech, Oued Bou
Adouane ,Oued Taghbiret Oued El Merdj, Oued Meroui ;Oued GhebiaTefaha El Merassel
Oued Ben Derma, Redjoum.
Oued Sidi Hammou et Oued Si Driss : situés dans partie Sud –ouest, de la commune de
Sendjas
4- CLIMAT
La région reçoit une pluie totale annuelle de 300 à 500 mm et 600 à900m (en fonction de la
période considérée). Ces pluies se répartissent de l’automne jusqu’au printemps. Les mois les plus
arrosés sont: novembre, décembre, janvier et Février.
LecaractèrecontinentaldelaplaineintérieuredeChlefestbienmarquépardes amplitudes
annuellesdetempératuresmaximalesetminimalespluscontrastées entre
l’hiveretl’été,LecaractèrecontinentaldelaplaineintérieureduCheliffestbienmiseenévidenceavecunepla
gedetempératureminimalemoyenne de4°Ccontreuncouloirde bandecôtièreà8°C de
moyenneminimale.
LesventsdominantssurlarégiondeChlefsontdesecteurOuestàSudOuestenhiver,d’OuestàNordEstaupr
intemps,d’OuestàEstenété,d’OuestàSudOuestenAutomne.
Auplanbioclimatique,leclimatdela zone d’étudeestdetypesemi-
arideàcaractèrecontinentalsurlesplainesintérieures.
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5- OCCUPATION DU SOL : PREDOMINANCE DE PLAINE A FORT POTENTIEL
AGRICOLE
La superficie du territoire du groupement formé par les trois communs est de 405 km², elle
est répartie comme suit :
La commune de CHLEF s’étale sur une superficie de 124 km²
Superficie communale totale = 12 583 ha
Superficie du foncier urbanisé = 2 255 ha
Superficie du foncier urbanisé = 10 328 ha
Superficie agricole
Nom de Superficie Rapport
utile
commune communale SAU/SuperfComm
S.A.U ( ha )
(ha)
CHLEF 5 447,00 12 583 43,29 %
OUM DROU 2 830,00 6 000 47,17 %
SENDJAS 9 000,00 22 100 40,72 %
Total
17 277,00 40 500 42,66 %
groupement
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III- RISQUES MAJEURS
1- ALEA SISMIQUE
Toute la région du Chélif est classée en Zone III = Sismicité élevée, dans le macro
zonage depuis le séisme de Zemmouri 2003.
L’analyse de tous les paramètres qu’on venait d’étudier ainsi que l’établissement des
cartes nous a permis d’aboutir au découpage de la région à étudier en zone selon
l’aptitude du sol à supporter les charges des futures constructions.
A partir de cette analyse, nous avons obtenu un zoning géotechnique, de
l’intercommunale (Chlef,Oumdrou,Sendjas), il sera basé sur les quatre facteurs : la
géomorphologie (les pentes), la géologie, l’hydrogéologie et la vulnérabilité du site, nous
avons ainsi trois classes de terrains:
- Zone de terrains favorables à la construction.
- Zone de terrains moyennement favorables.
- Zone de terrains défavorables à la construction.
Elle englobe les terrains dont la déclivité ne dépasse guère les 8% et toutes les
formations consolidées : – (q //). – (m1c).
Ce sont des terrains généralement plats présentant, une assise résistante et solide pour
les différentes charges de construction. Formé en majorité par des alluvions anciennes
(q1) composées essentiellement de cailloutis, calcaire et limons.
La différence qui existe entre cette classe et celle citée ci dessue est seulement due à la
présence des pentes (8 à15%) cette classe Composée par l’alternance entre les calcaires
et bancs marno-calcaires, les marnes et les argiles. – m²a – (cs). (c1.V).
En générale, l’extension de la trame urbaine ne présentera pas beaucoup de difficultés du
fait que l’assise est apte à supporter les charges.
Une étude géotechnique «in situ» doit être recommandée pour les bâtiments lourds,
permettra de prendre en compte tous les paramètres et de proposer des moyens de
protection, de les dimensionné selon la nature du terrain.
Cette classe comporte les terrains : (c7.8), (c3.1), (t), dont la déclivité est supérieure à
25% où un sol ayant une portance très faible et susceptible de provoquer des glissements
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de terrains dans le cas des fortes pentes.
Ce sont des terrains à contraintes physiques et géotechniques vue leur position sur un
relief très tectonisé. L’abondance des argile et marnes à possibilité de glissement et de
ravinement exclue toute intervention sans étude géotechnique détaillée au préalable.
Le phénomène de glissement peut se produire aussi grâce à une secousse sismique dont
la propagation se fait à l’intérieur des intercalations des sables. Des dommages important
peuvent se produire en terrains meubles fortement en pentes et en déséquilibre instable.
La faiblesse de résistance de ces terrains peut être du aux fissures soumises aux
intensités sismiques. La dégradation de la couverture boisée, accélère ce phénomène. Le
fluage vers l’aval s’accompagne d’un tassement progressif différentiel et aboutit à
l’effondrement lorsque le niveau de déséquilibre est atteint.
Cette classe comprend :
les terrains situés dans des ravins possédant de pentes très fortes (Supérieur à 30
%).
Les terrains argilo – marneux dont les pentes sont supérieurs à 15 %.
La zone inondable : lit et berge de l’Oued.
Le passage de l’Oued induit une zone non-aédificandie qui sera pris en charge tous
plans d’aménagement.
Sur le plan étendu du terrain, celle-ci présente une superficie appréciable (10% environ).
2- LES INONDATIONS
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3- LES EBOULEMENTS
Chute inopinée (de matière rocheuse) qui affecte des assises rocheuses et
principalement :
a. Un paramètre intervenant dans ces éboulements réside dans l’action des végétaux
(racines d’arbres qui se développent dans les anfractuosités et qui entraînent parfois la
chute de blocs ou rupture de pans de talus.
b. Les assises gréso-carbonatés mollassiques Astiènnes. Jusqu’à ces dernières années,
les falaises Astiènnes avaient la réputation de bonne stabilité.
Des accidents après les deux derniers séismes donnèrent une idée des dangers encourus
par les habitants des piémonts de ces corniches.
4- LES GONFLEMENTS
Nous vous signalons qu’un potentiel de gonflement a été identifié dans la formation
argileuse, elles sont susceptibles de se soulever dés que la teneur en eau augmente. Le
fait de couper l’évaporation naturelle par les constructions et par le revêtement bitumineux,
il y a gonflement de la marne et réciproquement la dessiccation par diminution de teneur
en eau entraîne son tassement. Le retrait de la marne peut conduire donc à la fissuration
des voiries. Le phénomène gonflement – retrait peut affecter même les structures en
bétons.
Les marnes du Plaisancien (collines) dans lesquelles nous rencontrons des reptations,
des fluages des glissements sur des pentes de 8% à 15%, elles ont la propriété de
renfermer les concrétions calcaires, se mélangeant à de l’argile dont la présence est plus
ou moins grande.
Les principaux facteurs qui sont à l’origine de ces mouvements de terrains sont :
les eaux (météoriques et souterraines) ;
la pente des talus ;
la fissuration liée au phénomène de décompression et celle conséquente au
dessèchement climatique ;
la gravité ;
la sismicité ;
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IV- L’ETAT DE L’ENVIRONNEMENT
L’état de l’environnement dans le territoire du groupement de commune de Chlef Senjas,
Oum Drou se caractérise par :
L’existence de plusieurs décharges sauvages parsemant tout le territoire, amochent les
paysages et polluent l’environnement dans tous ses composants.
- La problématique des déchets dangereux stockés au niveau des entreprises ou
rejetés dans la nature dont les impacts restent méconnus.
- La majorité des eaux usées et des effluents industriels se déversent directement
dans les milieux récepteurs sans subir de traitements.
- Les écosystèmes sont menacés : (forêts, steppes et zones humides)
- L’Insuffisance de mesures relatives à la prévention des risques majeures :
(inondations ; érosion hydrique et mouvement des sols.)
Un circuit de collecte est l’itinéraire fixé par un plan de collecte et que le véhicule de
collecte doit suivre durant l’opération d’évacuation des ordures ménagères.
Les itinéraires choisis doivent permettre :
- Le travail continu des éboueurs, et ce, par l’évitement des temps morts dus à
des trajets intermédiaires ou à des encombrements de circulation ;
- Un remplissage satisfaisant de la benne en fin de parcours ;
- La réduction du coût total, dans certains cas, de 20% à 30% par une
amélioration des itinéraires en permettant une économie en combustibles et en
temps.
Il est cependant important de trouver un lieu de dépôt pour ces ordures, accessible aux
camions de collecte et pratique pour la population.
La collecte et le transport constituent une grande étape du processus d’évacuation
des ordures ménagères, cette étape nécessite de gros moyens, elle est subdivisée en
deux opérations :
- La collecte des déchets présentés par les habitants devant leurs habitations et
en des points spécifique de collecte ;
- Le transport de ces déchets vers la décharge public.
Ce pendant, certains difficultés sont a signalé dans cette opération de collecte des ordures
au niveau de certaines communes ;
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- Les commerçants exerçant au niveau du marché quotidien jettent leurs déchets
pèle mêle créant ainsi des micro-décharges ;
- Le non respect des horaires de dépôt des ordures ménagères par les habitants,
ce qui influe sur la propreté de la ville.
- L’enlèvement des déchets ne touche pas la totalité des agglomérations et
domaines, ceci a provoqué la prolifération des décharges sauvages dans des
milieux sensibles (terre agricole, devant les routes....), et dont la présence
prolongée de ces décharges peut porter un préjudice certain à la salubrité de
l’environnement et par conséquent à la santé de la population.
Les moyens généralement utilisés par les ménages pour l’évacuation de leurs déchets
sont :
- Les bidons en fer non fermés ;
- Les cartons ;
- Les sachets en plastiques ;
- Déverser directement sur le sol.
Le dépôt des déchets par terre ne répond pas aux exigences esthétiques et
sanitaires et oblige ainsi les agents du service de collecte à ramasser les déchets
éparpillés. Cette situation retarde la collecte et peut présenter un danger pour l’agent de
collecte au moment du ramassage (bouts de verre, lames, etc….). Des caissons sont
déposés au niveau des cités, marché et hôpitaux et sont vidés selon la cadence de
remplissage de chaque commune.
Dans les communes d’OUM DROU et SENDJAS, la collecte s’effectue de manière
traditionnelle, généralement en porte à porte, néanmoins, il existe quelques points de
regroupement de déchets sauvages.
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Gestion des déchets spéciaux
Remarque
- Au niveau de la commune de Sendjas, il existe deux marchés, l’un
hebdomadaire (CITE EL-NASR) et le deuxième quotidien (au CENTRE VILLE),
des marchés avec des ventes variés (légumes, fruits, vêtement). Ces deux
marchés génèrent différents types de déchets qui sont groupés sous forme de
dépotoir. L’APC essaye d’assurer au maximum la collecte de ces déchets pour
qu’il n’y est pas de formation de point noir.
- Aussi, la commune est dotée d’un abattoir, d’une superficie de 40m 2 localisé à
l’intérieur du marché hebdomadaire. Cet abattoir fonctionne dans des conditions
intolérables car il est dépourvu de chambre froide et d’alimentation d’eau
courante. Ces déchets sont constitué essentiellement d’eau et de sang rejetées
sans traitement préalable, mais aussi par des organes jetés à l’aire libre ou
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laisser dans des point de regroupement. Ils ne sont collectés que le dimanche
lors de la collecte des déchets du marché hebdomadaire.
Les rues et les espaces publics de la commune d’OUM DROU son plus aux moins souillée
par une multitude de déchets dont la nature et l’origine sont diverses tels que : les détritus
rejetées sur le sol, les débris des chantiers de constructions et travaux publics. etc….
La commune d’OUM DROU n’est dotée d’aucune installation de traitement des
déchets (ni unité de compostage ni de recyclage et d’incinération).
La destination finale des déchets issus de l’activité urbaine, ira vers le nouveau
CET de OUM DROU situé au Sud de Mnasria, desservant les communes de El
Karimia,Oued Fodda, Oum Drou et Harchoune. La quantité de déchets qui lui seront
achemine sont de 17.5 tonnes, le reste on le trouve au niveau de la décharge sauvage
située à 2 km à l’EST de Oued Chlef.
La destination finale des déchets de la commune de Sendjas vont vers une
décharge
cette décharge est une vaste surface où sont les déchets déversés. Depuis peu les
déchets sont acheminés vers le CET d’OUED SLY.
Cette décharge porte atteinte à l’esthétique du milieu et attirent les chiens
errants et animaux sauvages. Aussi elle apporte une nuisance olfactive de par la
décomposition des déchets biodégradable. Les odeurs nauséabondes sont plus
répandues en période d’été où la température accélère la fermentation des déchets non
recouverts.
En ce qui concerne la commune de CHLEF, les déchets sont acheminés vers le
CET de OUED SLY au SUD –EST de la commune de CHLEF.
Il existe un autre projet de réalisation et équipement d’un centre pour les déchets inerte à
CHLEF, à proximité de la décharge actuelle d’ECCHITIA, d’une superficie de 23h, avec
un grand casier central. La capacité totale du centre des déchets inertes est de 191746m 3.
Ce centre desservira la commune de CHLEF.
Les espaces verts dans la wilaya de Chlef
Pour toute conception d’espace vert, suivant l’article 29 de la loi 07-06, le concepteur
public ou privé est tenu dans une optique d’homogénéité et d’unité, de prendre en
considération les facteurs suivants :
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- Le caractère du site ;
- Les vues à conserver, à mettre en valeur ou celles à masquer ;
- Les ressources de terrain ;
- Les espèces et variétés végétales de la région concernée ;
- Le patrimoine architectural de la zone ou de la région ;
- Les servitudes et les contraintes liées à la mitoyenneté, au régime des eaux, au
droit de passage, au bornage, aux alignements de voirie, nivellements,
plantations, aux canalisations souterraines et aux installations électriques
souterraines.
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Les eaux usées
D’après les enquêtes effectuées par l’ABH en collaboration avec les services
de l’hydraulique, le rejet annuel des eaux usées serait de l’ordre de 30 Hm 3, dont 86%
vers les oueds (7 Hm3 vers oued Cheliff), 6% vers la mer et 08 % en fosses septiques.
Notons qu’il n’existe qu’une seule station d’épuration c’est celle de Chlef.
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et se transmettre aux organismes supérieurs par bio-accumulation dans la chaîne
alimentaire). Les nutriments contenus dans des effluents qui s'écoulent dans les eaux
confinées, un lac ou une baie par exemple, peuvent causer leur eutrophisation et
encourager la croissance d'algues et de mauvaises herbes qui perturberont ensuite les
pêches et les activités de loisirs.
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V- ANALYSE SOCIOECONOMIQUE
INTRODUCTION
Toutes les actions d'aménagement qui seront programmées auront pour objectif la
satisfaction des besoins de la population en habitat, en équipements et en infrastructure,
et cela dans un cadre organisé. Les principales sources d'informations qui sont à n otre
disposition pour mener cette analyse sont le recensement (RGPH) de 2008, sur cela
s'ajoutent des données récentes qui nous ont été fournies par les autorités locales,
notamment la direction de la programmation et suivi du budget de la wilaya de CHLEF et
par les trois communes CHLEF, OUM DROU et SENDJAS.
1 - SITUATION DEMOGRAPHIQUE
Les résultats des recensements (1987,1998 et 2008) et l'enquête opérée par les
services de la wilaya et de l'A.P.C nous permettent d'évaluer la situation
démographique du territoire du groupement de communes CHLEF, OUM DROU et
SENDJAS.
Caractéristiques démographiques
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Evolution de la population du groupement par dispersion (1987-1998-2008)
Poids
Taux
RGPH RGPH RGPH Evolution dans la
DISPERSION D'accroissement
1987 1998 2008 98/08 Commune
(98/08)
EN %
A.C.L : Chlef 87681 125234 86,85%
155134 29053 2,10%
A.S :ElOuabed 847 0,00%
A.S :Chegga 3419 5032 4,93%
8797 1481 1,86%
A.S :Cheraiet 1045 2284 0,00%
A.S :Mouafkia 2168 3695 5542 1847 4,14% 3,10%
A.S :Benhattab 1386 - - - - -
A.S :Kefafsa 1095 - - - - -
A.S :Mekhatria-
- - 2577 2577 - 1,44%
Ramlia
A.S
- - 1671 1671 - 0,94%
:ElAziezBrancia
A.S :Chouiet - - 1132 1132 - 0,63%
Zone éparse 8011 9065 3762 -5303 -8,42% 2,11%
Total commune 146157 178616 32459 2,03% 100%
104805
ACL: Sendjas 3513 6632 9243 2611 3,38% 31,82%
AS: Beni
969 1939 1828 -111 -0,59% 6,29%
Ouadrene
AS: Cherairia 1125 1284 1393 109 0,82% 4,80%
AS: Khelailia 872 1137 1243 106 0,90% 4,28%
AS: Si Youcef 732 892 160 2,00% 3,07%
AS: Ouled Henni 14 700 744 44 0,61% 2,56%
AS: Souamet 434 609 799 190 2,75% 2,75%
AS: Kherafa 785 110 - -110 -100,00% 0,00%
AS: Ouled Si
- - 944 944 - 3,25%
Ahmed
AS: El Amamra 25 - 604 604 - 2,08%
Zone éparse 17863 13085 11353 -1732 -1,41% 39,09%
Total commune 25600 26228 29043 2815 1,02% 100%
ACL : Oum el
3643 5645 7194 1549 2,45% 33,73%
drou
AS: Boualili 1185 - - - - -
AS: Guelaftia 927 2062 3188 1126 4,45% 14,95%
AS: Bessakria 1054 1137 1131 -6 -0,05% 5,30%
AS: El Hammam 893 1059 166 1,72% 4,96%
AS: Menasria 549 1042 1013 -29 -0,28% 4,75%
AS:
551 840 951 111 1,25% 4,46%
BouccaChekallil
AS: Maizia 545 763 864 101 1,25% 4,05%
19
AS: Ouled
- - 773 773 - 3,62%
Meghazi
AS: Hamaicia 635 691 749 58 0,81% 3,51%
AS: Rezama - - 616 616 - 2,89%
Zone éparse 4303 4241 3788 -453 -1,12% 17,76%
Total commune 13392 17314 21326 4012 2,11% 100%
Total
groupement
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2- ACTUALISATION DE LA POPULATION ( DEC-2014)
En constatant sur terrain pour les trois communes, qu’il y a eu apport de population
nettement visible à travers le nombre de nouvelles constructions édifiées dans la
période (2008 -2014) on déduit alors que les trois communes sont redevenues
attractives.
21
ZONE EPARSE 11353 2,07% 12755
TOTAL
29043 2,07% 32630
COMMUNE
3- EDUCATION
Nbre de Grou
Nom de Elèves
Classes pes Enseig TO Cantin
COMMUNE L'établissem
Occupé Péda nants C e
ent Total Total Filles
es g
CHLEF 76 906 678 741 22871 11025 871 25 10040
OUM EL
16 143 99 103 2721 1242 123 19 2637
DROU
SENDJAS 25 201 136 142 3482 1697 168 17 3308
GROUPEMEN
117 1250 913 986 29074 13964 1162 23 15985
T
Source : Direction de l’éducation
Du tableau nous notons que le taux d’occupation par classe est satisfaisant au niveau du
groupement de commune de CHLEF (23 élèves/classes).
Le TOC constaté est très élevé (T.O.C = 41 élèves/classe) par rapport à la moyenne fixé par la
direction de l’éducation et qui est de 32 élèves/classe, et le déficit actuel est de 15 classes.
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La commune D’OUM DROU dispose d’un seul lycée actuellement avec 27 classes
(capacité 1000 élèves), 29 groupes pédagogiques et 971 élèves. (Année scolaire
2014/2015).
On peut constater qu’au niveau communal la situation est satisfaisante.
23
VI- ACTIVITES ET EMPLOIS
Etudia
Femm Autre Populati Taux
nt Retrait Pension
COMMUNE Actif e au inacti ND on 15 d'activit
/écolie é né
foyer f ans & + é
r
CHLEF 54050 40732 21252 6312 1537 2715 788 127385 42,4
SENDJAS 7345 8150 3436 851 213 473 39 20507 35,8
OUM DROU 6337 5249 2356 701 210 203 83 15139 41,9
TOTAL
GROUPEMEN 67732 54130 27043 7864 1959 3391 910 163030 40,04
T
TOTAL 29273 25065 10750 1960 395
30328 10136 714923 40,9
WILAYA 9 5 2 5 8
Source : RGPH 2008 ONS
Situation de l'emploi
C’est l’indice qui nous renseigne sur le nombre de personnes vivant d’un seul emploi, il est
de 5,16 personnes au niveau du groupement.
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VII- SERVITUDES ET CONTRAINTES
Une servitude est une restriction imposée à l’exercice du droit d’usage du sol pour des
raisons d’intérêt général ou d’utilité publique et de protection des biens et des citoyens.
Les servitudes sont rendues nécessaires essentiellement par des exigences de la
sécurité, d’hygiène, de salubrité et de confort. Mais il y a aussi les servitudes visant la
sauvegarde, le respect et de décor destiné à des usages particuliers.
Dans les communes de CHLEF – OUM DROU - SENDJAS, les servitudes sont illustrées
aussi bien dans les plans intercommunaux que dans ceux des différentes agglomérations
des trois communes.
On distingue deux types de servitudes qui existent au niveau de ce groupement de
communes et qui sont les servitudes naturelles et les servitudes artificielles et qui se
résument comme suit:
1- SERVITUDES NATURELLES
25
Au sein de ce groupement de communes ,on note l’existence de plusieurs massif
de forets à travers les trois communes:
2- SERVITUDES ARTIFICIELLES
* servitude des routes nationales : Dans les territoires communaux des trois
communes on signale le passage de deux routes nationales qui sont la route
nationale n°04 et la route nationale n°19.
26
Commune de OUM DROU: Avec une zone de servitude de 35 m comptée
de part et- d’autre de l’axe, soit une bande d’une largeur de 70m, elle génère
une zone de non aédificandi de superficie 404 950 m² soit 40,50 ha.
* servitude des chemins de wilayas: Dans les territoires communaux des trois
communes on signale le passage de six chemins de wilayas qui sont la CW03 ,
CW151,CW140 ,CW132,CW32.
27
* servitude des lignes de chemins de fer : les communes de CHLEF et OUM
DROU sont traversées par la ligne de chemin de fer ALGER-ORAN qui parcoure les
distances suivantes dans :
28
La Commune de SENDJAS : une distance de 26 857 ml en passant dans la
proximité Est des agglomérations secondaires BENI OUADRENE et SI YOUCEF et
aussi dans la proximité Est de l’agglomération chef-lieu de SENDJAS.
En considérant une zone de servitude à respecter de 75 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 4 028 650 m² soit 402,87 ha.
Remarque : cette conduite a été désaffectée et même vidée de son contenu de gaz
mais Les services concernés insistent sur le fait de garder sa servitude et de
continuer à respecter son emprise sur le terrain.
29
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 50m ) ,cette ligne génère donc une zone
de non aedificandi de superficie 86 800 m² soit 8,68 ha.
30
La Commune de SENDJAS : une distance de 6 086 ml qui passe à l’extrême
nord de la commune de SENDJAS en passant au nord des agglomérations
secondaires KHELAILIA et BENI OUADRENE.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 304 300 m² soit 30,43 ha.
Ligne souterraines reliant le poste CHLEF2 avec le poste Hay ESSALEM qui
traverse une distance de 7000 ml dans la ville en prenant le relai à l’entrée ouest de
CHLEF d’une ligne électrique aérienne de 60KV venant du poste CHLEF 2 au nord-
ouest.
En considérant une zone de servitude à respecter de 1,5 m comptée de part et
d’autre à partir de l’axe( soit une largeur totale de 3,00 m ) ,cette ligne souterraine
va générer donc une zone de non aedificandi de superficie de 21 000 m² soit 2,10
ha.
La servitude à adopter pour tous ces postes est une bande d’une largeur de 20 m
tout autour de la clôture.
31
- 15 m de part et d’autre de l’axe à l’extérieur périmètre urbain.
- 3 m de part et d’autre de l’axe à l’intérieur du périmètre urbain.
Remarque : Les servitudes qui ont été adoptées dans le présent document pour
les lignes électriques aériennes de très haute, haute et moyennes tension sont
prévues conformément à l’arrêté du 14 juin 2011 du journal officiel n°54,qui
stipule que :
- les servitudes des lignes électriques de haute et très haute tension aérienne
(tension supérieure à 50 KV) est de :
- 25 m de part et d’autre de l’axe à l’extérieur périmètre urbain.
- 5 m de part et d’autre de l’axe à l’intérieur du périmètre urbain.
* Servitude des cimetières : il existe au sein des trois communes une multitudesde
cimetières qui nécessitent une protection et un entretien continu et cette protection
nécessite de prévoir une bande de servitude d’une largeur de 6,00m tout autour de la
clôture afin de permettre un passage facile pour l’entretien et la protection contre les
différentes agressions probables.
32
* Servitude de l’aéroport de Chlef:
Portée du document :
Texte visant à réglementer et à limiter la hauteur des constructions au voisinage de
l’Aéroport de CHLEF et ce document a été élaboré conformément aux normes et
recommandations de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI).
Il est reconnu par ce règlement, qu’un obstacle est susceptible de mettre en danger la vie
et les biens des usagers de l’aéroport, et des propriétaires ou des occupants des terrains
environnants ; qu’un obstacle peut affecter les minimums d’approche aux instruments
actuels et futurs de l’Aéroport, et qu’un obstacle peut réduire les dimensions des aires
utilisables pour l’atterrissage, le décollage et les évolutions des avions. En conséquence, il
est déclaré que :
- la création ou la mise en place d’un obstacle est susceptible de constituer une
nuisance publique et peut porter préjudice à l’aéroport.
- qu’il est nécessaire dans l’intérêt de la sécurité des vols de prévenir la création ou la
mise en place d’obstacles qui constituent un danger pour la navigation aérienne.
33
Surface de transition : Surface complexe qui s’étend sur le côté de la bande et sur une
partie du côté de la surface d’approche et qui s’incline vers le haut et vers l’extérieur
jusqu’à la surface horizontale intérieure.
Surface intérieure de transition : Surface analogue à la surface de transition mais plus
rapprochée de la piste.
Surface de montée au décollage : Plan incliné où toute surface spécifiée située au-delà
de l’extrémité d’une piste ou d’un prolongement dégagé.
Surface d’approche interrompue : plan incliné situé à une distance spécifiée en aval du
seuil et s’étendant entre les surfaces intérieures de transition.
Zone d’aérodrome
Aux fins de l’application du présent règlement, on a crée et défini certaines zones qui
comprennent la totalité du terrain situé au-dessus des surfaces d’approche, de transition,
horizontale et conique. Ces zones sont indiquées sur la carte de zonage de servitudes
jointe au présent dossier et en fait partie intégrante.
Limitation des hauteurs
Aucune structure ne sera érigée ou modifiée dans les zones établies dans le présent
document jusqu’à une hauteur qui dépasse la limite applicable pour la zone considérée.
Les limites de hauteur applicables pour chacune des zones sont fixées comme suit :
- Surface d’approche (Première section) : Suivre une pente de 2% (jusqu’à une
hauteur de 60m) à partir du point représentant le seuil de piste.
- Surface d’approche (Deuxième section): Suivre une pente de 2.5% (jusqu’à une
hauteur de 150m)
- Surface d’approche (Section Horizontale): Pente nulle (150m)
- Surface horizontale intérieure:
34
Restriction d’utilisation
Nonobstant toute autre disposition du présent document, aucun terrain, ni plan d’eau, ni
décharge publique ,situé à l’intérieur de toute zone établie par le présent document ne
pourra être utilisé de manière à créer des interférences électriques avec les signaux de
navigation ou des communications radio, à rendre difficile ,
Pour les pilotes, la distinction entre les feux d’aérodrome et les feux non aéronautique, à
éblouir les pilotes qui utilisent l’aérodrome, à diminuer la visibilité au voisinage de
l’aérodrome, à créer un risque de collision avec des oiseaux, à mettre en danger, d’une
manière quelconque, las aéronefs qui utilisent l’aérodrome ou à gêner les atterrissages,
décollages et autres évolutions de ces aéronefs.
Utilisation futures
Aucun changement matériel ne sera apporté à l’utilisation des terrains, aucune structure
ne sera érigée ou installé d’une manière quelconque, et aucun arbre ne sera planté dans
les zones crées par le présent document, à moins qu’une autorisation à cet effet n’ait été
demandée et obtenue auprès des autorités de la base aérienne de Boufarik . Chaque
demande d’autorisation indiquera le but recherché, et sera suffisamment explicite pour
permettre de déterminer si le mode d’utilisation est conforme aux dispositions du présent
document.
Marquage et balisage lumineux des obstacles
Si cette mesure est jugée utile pour atteindre l’objectif du présent document, et ce, d’une
manière raisonnable, toute autorisation peut être subordonnée à l’obligation, pour le
propriétaire de la structure en question, d’installer, d’utiliser et d’entretenir les marques et
feux qui se relèveront nécessaires.
Mise en application
L’organisme chargé du suivi des travaux liés au plan Directeur et d’Aménagement et
d’Urbanisme de la commune de CHLEF (Direction de l’Urbanisme de l’Architecture et de
la Construction DUAC de CHLEF + APC DE CHLEF) seront chargé d’administrer et de
veiller à la mise en application des dispositions du présent document en concertation avec
les autorité militaires et civiles de l’aéroport de CHLEF.
35
VIII- LE RESEAU URBAIN ET RURAL DU TERRITOIRE DU
GROUPEMNT DES COMMUNES DECHLEF – SENDJAS – OUM DROU
Le groupement des trois communes en question occupe la zone centrale de la wilaya. Ce
groupement s’inscrit dans le « pays du Cheliff » et ce en rapport avec l’Oued Chlef qui
traverse cette aire d’Est en Ouest, mettant en relief des unités physiques bien distincts :
Au Sud, un ensemble montagneux très impact et découpé par des cours d’eau
transversalement dont le plus important est l’Oued Tsighaout qui prend son origine dans
les massifs de l’Ouarsenis.
La commune de Sendjas appartient en partie à cet ensemble naturel.
Cette topographie du groupement a plus ou moins façonné l’occupation actuelle des sols
par les établissements humains renforcés par les réalisations des infrastructures de base
Est – Ouest (R.N.4 et chemin de fer) et Nord Sud (la R.N.19) se croisant au niveau de la
ville de Chlef. Le développement économique de la région, basée principalement sur
l’agriculture s’est diversifié sur les trente dernières années par l’injection d’une industrie,
provoquant une évolution urbaine déséquilibrée avec :
36
strates
Commune Agglomération Type Population
Intitulés
CHLEF A.C.L 155134 urbaine supérieure
Chegga A.S 8797 semi-urbaine
Mouafkia A.S 5542 semi-rurale
CHLEF Mekhatria-Ramlia A.S 2577 rurale agglomérée
El AziezBrancia A.S 1671 rurale agglomérée
Chouiet A.S 1132 rurale agglomérée
Total Agglomérations 6 174854 -
SENDJAS A.C.L 9243 semi-urbaine
Beni Ouadrene A.S 1828 rurale agglomérée
Cherairia A.S 1393 rurale agglomérée
Khelailia A.S 1243 rurale agglomérée
Ouled Si Ahmed A.S 944 rurale agglomérée
SENDJAS
Si Youcef A.S 892 rurale agglomérée
Souamet A.S 799 rurale agglomérée
Ouled Henni A.S 744 rurale agglomérée
El Amamra A.S 604 rurale agglomérée
Total Agglomérations 9 17690 -
OUM EL DROU A.C.L 7194 semi-urbaine
Guelaftia A.S 3188 semi-rurale
Bessakria A.S 1131 rurale agglomérée
El Hammam A.S 1059 rurale agglomérée
Menasria A.S 1013 rurale agglomérée
OUM EL
BouccaChekallil A.S 951 rurale agglomérée
DROU
Maizia A.S 864 rurale agglomérée
Ouled Meghazi A.S 773 rurale agglomérée
Hamaicia A.S 749 rurale agglomérée
Rezama A.S 616 rurale agglomérée
Total Agglomérations 10 17537 -
TOTAL 25 210082
Source : ONS 2008
37
Il n’en demeure pas moins qu’une partie des logements existants sont précaires et entrave
de ce fait la bonne structuration de l’espace du territoire du groupement de communes.
Les logements précaires sont estimés à 1186 habitations au niveau du groupement de
communes et constituent de ce fait un déficit à combler dans les prévisions des besoins
en logements.
Nombre de Logements en
Nombre de
Type d’opération de logements cours de réalisation en
Logements réalisés
mai 2015
60/3000…..LOGEMENTS…L.P.L 60 -
60/1500……LOGEMENTS…L.P.L 60 -
40
40 -
LOGEMENTS…………….L.P.A
60/1720…..LOGEMENTS…L.P.L - 60
40/2000…..LOGEMENTS…L.P.L - 40
38
100/3000…..LOGEMENTS…L.P.L - 100
LOGEMENTS RURAUX 510 -
NOMBRE TOTAL DE
670 200
LOGEMENTS
39
IX- ANALYSE URBAINE DES AGGLOMERATIONS
1- ANALYSE URBAINE DE L’AGGLOMERATION DE CHLEF
Aperçu historique de Chlef
* - L’Epoque Romaine :
L’histoire de la ville remonte au début de l'occupation romaine en Afrique du Nord,
En s'installant dans la vallée du Chéliff au premier siècle de l'ère chrétienne, les
Romains choisirent l'actuel emplacement de la cité pour y bâtir une ville de garnison
: CastellumTingitanum, à partir de l’an 40 après Jésus-Christ.
* - L’Epoque Romaine - Chrétienne :
A travers l’histoire on peut noter que la situation en tant que carrefour stratégique
de la vallée du CHELIFF a d’abord intéressé les romains. qui y ont installé au cours
de leur passage un camp militaire dénommé CastellumTingitanumlequel servait
de point de contrôle des passages Nord-Sud et surtout Est-Ouest le long de l’Oued
CHLEF qui a facilité la création de la longue route reliant Miliana (Zaccar) jusqu’aux
portes de la « Melouia » à l’extrémité de la province d’Oran (actuellement RN4).
La région fut christianisée au temps de la décadence romaine Une grande Basilique
chrétienne (la plus importante de l’Afrique) fut édifiée en 324 de l’ère chrétienne à
Castellum Tingitii par Saint Réparâtes composé de 5 nefs et décorées de
mosaïque.
Après avoir connu un bel essor durant
près de deux siècles, la ville
CastellumTingitanum, décline suite à un
terrible tremblement de terre qui la
détruisit totalement.
* L’Epoque des Conquêtes
Musulmanes :
Au passage des conquérants musulmans
dans la région (au VIIe siècle), le site de
l'ancienne Castellum avait la particularité
de rassembler parmi les ruines de
nombreuses sculptures sur pierres d'où son appellation d'El-Asnam (« les statues »
pouvant être au sens d'idoles). Ce site n'a pas été ré-habité par les Arabes en
raison de leur aversion pour les statues qui évoquent à leurs yeux les idoles
païennes.
* - L’Epoque Turc :
Durant cette période (XV siècle), une moitié de la région du Chéliff dépendait du
Beylik du Titteri (Médéa) et l’autre du Beylik de l’Ouest (Mazouna, Mascara puis
40
Oran).l’été à Chlef était vraiment torride et rebuta la population de ce temps, ainsi
les Turc préfère beaucoup plus Mazouna ou Mostaganem,
Les premières routes naissantes de la ville en formation prirent forme vers l’Est en
continuité du camp militaire (Boulevard des Martyrs).
Cette époque marquera le début de création, de l’actuelle ville de CHLEF dont les
limites au Nord étaient l’Oued CHLEF et au Sud la voie du chemin de fer.
L’urbanisation était conçue par un plan en damier avec la réalisation de boulevards
Est-Ouest favorisant la pénétration d’air frais dans une région caractérisée par des
chaleurs élevées en été.
Au début de son urbanisation, la ville de CHLEF a connu les premières extensions
sur la rive Nord de l’Oued CHLEF, avec la création du village colonial dénommé la Ferme
pour attirer les premiers immigrants devant valoriser la riche plaine du CHELIFF
(actuellement dénommé Hay El HOURIA).
Les Ponts établis entre le site du centre-ville et la rive Nord témoignent des relations
économiques développées avec la région du Nord pour ses produits agricoles.
41
L’amorce de l’urbanisation vers le Nord s’est quelque peu estompée devant la valeur
agricole des terres au profit d’un début d’extension au Sud de la voie ferrée (Hay SALEM
actuellement) avec l’arrivée d’une main d’œuvre de la région de l’Ouarsenis.
Le Séisme de 1954 :
Ainsi, la configuration urbaine d’avant le séisme de 1954 dégageait trois secteurs
urbains :
La partie centrale comprise entre la voie ferrée au Sud et l’Oued Cheliff au Nord avec
une urbanisation cohérente.
Le quartier populaire de Hay El HOURIA également répondant à des normes
urbaines harmonieuses.
42
Hay Chorfa – Sud Ouest: 332 Ha
Hay Olympique – Ouest: 22 Ha
43
Contexte régional
Dans cette optique, la ville de CHLEF est appelées à rayonner sur un espace plus large
intégrant les wilayas de :
RELIZANE à l’Ouest
AIN-DEFLA à l’Est
TISEMSILT au Sud.
Ce nouvel espace formera un espace tampon entre les deux grandes métropoles d’Alger
et d’Oran.
Aussi, le nouveau rôle souhaité pour la ville de CHLEF vise les priorités suivantes :
Restructuration de son nouveau périmètre urbain pour répondre aux besoins fonctionnels
métropolitains (grands équipements , Hôtels, Instituts régionaux, Centre d’affaires, sièges
régionaux, Banques, Télécommunications, culture….. ).
Appui sur les agglomérations du groupement pour l’accueil d’équipements de proximité,
notamment l’habitat ; pour réduire la pression qui s’exerce sur le chef-lieu de wilaya.
Hay SALEM : quartier résidentiel de type traditionnel, ce sous centre connaît une
mutation avec l’injection de l’habitat collectif et semi-collectif notamment dans ses parties
Nord-est et Sud-ouest.
Avec l’implantation de l’université au sein de ce quartier, celui-ci développe actuellement
une dynamique commerciale et de services liés à cet équipement structurant.
L’habitat collectif en formation dans ce quartier a également participé à la transformation
du paysage urbain de Hay Salem qui conserve tout de même une grande partie
d’habitation de type haouch exigeant une rénovation et une restructuration.
Le « Centre-ville » et les trois sous centres immédiats constituent en fait les pôles
dynamiques de l’actuelle agglomération de CHLEF.
Les sites préfabriqués demeurent encore des cités résidentielles. Cette dislocation offre
un fonctionnement totalement démesuré de la ville de CHLEF dans laquelle la recherche
d’une cohérence urbaine est à engager.
Néanmoins on peut citer que la situation du ressort de ces sites occupés par des
baraques préfabriqués a été débloquée par l’adoption par l’état du principe d’aide
financière pour tous les gens qui veulent reconstruire en dur sur leurs terrains occupés
actuellement par une baraque, et pour rendre ces tissus salubres et favorisant un milieu
de vie propre et confortable ,il est nécessaire de prévoir des opérations d’amélioration
urbaines et de restructurations pour organiser la structure de ces tissu
45
Les enclaves qui se sont constituées entre ces ensembles urbains font l’objet d’une
consommation inadéquate sur un périmètre urbain ouvert à toutes les spéculations
foncières qui ont généré des problèmes multiples de gestion de la ville.
Remarque :
Cependant la réalisation des rocades et voies de contournement au sein et dans la
périphérie de la ville de CHLEF a énormément contribué à désengorger le centre-ville et
assurer une fluidité de circulation aussi bien dans le sens nord-sud que dans le sens est-
ouest.
Il est à noter qu’une nouvelle voie de contournement est actuellement en projet au sud de
la ville pour permettre d’une part à la circulation transitaire d’éviter de rentrer dans la ville,
et d’autre part permettre une liaison est – ouest entre les différents quartiers de la ville,
laquelle liaison était absente pendant des dizaines d’années car tous les flux étaient
obligatoirement acheminés vers la route nationale n°04 ,ce qui aggravait la situation de la
circulation au sein de la ville.
Au niveau de Hay BENSOUNA : on distingue aussi bien le collectif, les lotissements que
l’habitat type Haouch reflétant les différents programmes de développement de l’habitat.
Cette même typologie se retrouve au niveau de Hay Salem Quant au centre ville, il se
caractérise essentiellement par des lotissements.
En revanche, au niveau de Hay El Houria, on retrouve des constructions individuelles de
types Haouch avec l’injection de quelques lotissements dégageant des constructions en R
+ 1.
L’université
Crée en 1983, l’université de Chlef s’étale sur une superficie de 107 ha. Elle
comporte trois (03) Facultés avec quatre(05) résidences universitaires.
L’Université est implantée au niveau du quartier de Hay ESSALEM.
46
Aire d’influence de l’université
L’origine des étudiants englobe les wilayas de Aïn Defla, Tissemsilt, Relizane, Laghouat,
Djelfa, Bechar et Tipaza, témoigne du rôle régional que joue l’université de Chlef en
matière de formation.
Ce pôle attractif, constitue un équipement tertiaire structurant de première importance,
vers la métropolisation du chef-lieu de wilaya Chlef.
Aéroport de Mouafkia
Situé à environ 4,5 kms au Nord du chef lieu de wilaya , Chlef, dont il est relié par le
chemin de wilaya 3, l’aéroport, occupe une superficie d’environ 137 Ha jouxtant
l’aérodrome militaire de MOUAFKIA.
Le nouvel aéroport est constitué :
Son exploitation touchera le transport des personnes et des marchandises. Son aire
d’influence touchera les wilayas de Chlef, Ain Defla, Tisssemsilt, Relizane et Mostaganem.
Avantages et inconvénients
Les avantages
Inconvénients
47
Le seul inconvénient est que l’aéroport a été implanté sur des terrains agricoles de
fortes potentialités. Les routes projetées menant à l’aéroport doivent être modifiées dans
la mesure où elles traverseront des terres agricoles de fortes potentialités (ce qui
permettra de préserver et éliminera le risque d’une urbanisation accélérée à l’intérieur de
la zone agricole.
L’agglomération de Chlef dispose d’autres équipements digne d’un ancien chef lieu de
wilaya voir même d’une agglomération qui rayonne sur un espace territorial dépassant les
limites de la wilaya, il s’agit d’équipements administratifs, de santé, de sport, de culture,
éducatifs, touristiques, de loisirs et détente, de culte, de services et commerces et
édilitaires.
Le transport public
48
- Transport Inter-Wilaya.
- Transport Inter-Communal.
- Transport Rural.
- Transport Urbain.
Transport Aérien :Ce type de transport est assuré par quatre compagnies aériennes
comme suit :
- AIR ALGERIE: avec 02 vols/semaine(Dimanche et Jeudi)MARSEILLE(France).
- AIGLE AZUR: avec 01 vols/semaine(Mercredi)MARSEILLE(France).
- AIR MEDITERRANEE: avec 02 vols/semaine(Mardi et Jeudi)PARIS(France).
- TASSILI AIRLINES: avec 01 vols/semaine(Jeudi)GRENOBLE(France).
Transport Ferroviaire : qui est assuré actuellement par la ligne de chemin de fer ALGER-
ORAN
On signale dans ce contexte qu’il existe un projet d’une ligne de chemin de fer qui
relie CHLEF à TENES et qui a été présentée sous formes de trois variantes (source
servicedu transport de la wilaya de CHLEF ) :
Variante n°01 : démarre de l’Ouest de la ville de CHLEF puis passe par la
commune de CHETTIA sur une distance de 01 km à l’ouest de la ville, en
traversant 51 km jusqu’à TENES.
Variante n°02 : démarre de l’Ouest de la ville de CHLEF puis passe à raz par la
périphérie Ouest de la ville CHETTIA, en traversant 50 km jusqu’à TENES.
Variante n°03 : démarre de l’Ouest de la ville d’OUM DROU puis passe par la
périphérie Nord-Ouest de la ville d’OUM DROU ,puis perse vers le Nord à
travers la commune de LABIODH MEDJDJA ,en traversant 49 km jusqu’à
TENES.
Entourée de terres agricoles, les possibilités d’extension sont très limitées, cependant il
existe des possibilités de densification à l’intérieur. et sa proximité avec l’aéroport génère
un besoin de dynamisme à créer par l’injection d’équipements liés à celui-ci (hôtels-
restaurants…).
49
NOMBRE D'HABITANTS : 8 797(source RGPH 2008 )
NOMBRE DE LOGEMENTS : 1 392 logements
dont 1 249 logements sont habités. (source RGPH 2008 ).
et 143 logements sont inhabités. (source RGPH 2008 ).
L’agglomération CHEGGA est scindée en deux (02) ensembles séparé par le chemin de
wilaya N°3 dénommées : CHEGGA Est et ouest. Elle est caractérisée par un habitat
individuel de type Haouch prédominé par un état précaire.
L’agglomération CHERAIT est située à proximité de Chegga, dont elle est distante de 1
km, et desservie par le chemin de wilaya N°3.
L’agglomération CHERAIT constitue un site résidentiel, formé par un habitat individuel de
type Haouch présentant une structure viaire ordonnée et dépendant de Chegga en
matière d’équipements et de services. Les possibilités d’extension sont limitées étant
donné qu’elle est circonscrite par des terrains agricoles
Agglomération Secondaire EL AZAIZ – BRANCIA :
50
et 65 logements sont inhabités. (source RGPH 2008 ).
Cette agglomération secondaire se situe en pleine zone agricole et est traversée par la
limite communale avec OUM DROU qui là divise en deux entités :
51
2- ANALYSE URBAINE DE L’AGGLOMERATION DE OUM DROU
Le deuxième tissu est représenté par la cité dénommée : Site Azzoun caractérisé par
l’habitat individuel en préfabriqué, et on retrouve la même typologie au niveau du site de
BOUALILI il y a lieu de noter, des opérations de rénovation du préfabriqué par des
constructions en dur.
52
Agglomérations secondaires d’Oum Drou:
53
- Agglomération Secondaire : BUCCA CHEKALIL:
54
3- ANALYSE URBAINE DE L’AGGLOMERATION DE SENDJAS
LE PREFABRIQUE
HABITAT PRECAIRE
Il est localisé le long des Oueds (Oued TSIGHAOUT et Oued BEN BÂA). Il présente un
aspect précaire et désordonné, n’obéissant à aucune règle urbanistique.
HABITAT COLLECTIF
Il est localisé essentiellement au Sud-ouest et au Nord-est de l’agglomération. C’est un
type d’habitat récent.
Le tissu urbain de l’agglomération de SENDJAS est de type linéaire (le long de la R.N.19)
et épousant la forme des rives de l’Oued TSIGHAOUT avec une amorce d’extension sur
les flancs Ouest (habitat collectif) et Est (lotissement).
55
Agglomération Secondaire : BENI OUDRENE.
56
Agglomération Secondaire : SOUAMET.
57
X- LES ACTIVITES
1- ACTIVITE AGRICOLE
Superficie agricole
Nom de Superficie Rapport
utile
commune communale SAU/SuperfComm
S.A.U ( ha )
(ha)
CHLEF 5 447,00 12 583 43,29 %
OUM DROU 2 830,00 6 000 47,17 %
SENDJAS 9 000,00 22 100 40,72 %
Total
17 277,00 40 500 42,66 %
groupement
Remarque : L’activité agricole est aussi pratiquée au niveau de CHLEF par l’élevage des
bovins, ovins, caprins et avicole ainsi que l’apiculture.
On signale que pour consolider ce caractère de vocation agricole, une étude a été lancée
pour classer les terres agricoles selon leur potentialités agricoles et leurs rendement, et
cette étude a été réalisée par le B.N.E.D.E.R en 2012.
Cette étude a dressé un zoning dans lequel elle a classé les terres en quatre Zones :
Zone A : terres de plaines situées dans les régions littorales bénéficiant d’une
pluviométrie supérieure ou égale à 600 mm.
Zone D : toutes les terres agricoles bénéficiant d’une pluviométrie inférieure à 350
mm ainsi que celles situées en montagne.
Et la zone D se subdivise elle aussi en deux zones :
58
Zone D2 : toutes les terres agricoles bénéficiant d’une pluviométrie inférieure à 350
mm et dont la pente est supérieure à 12,5 % situés dans les piémont et montagnes.
Remarque :sont considérées comme terres de plaines, les terres dont la pente est
inférieure à 12,5 %.
Nous signalons aussi que la quasi-totalité des terres de notre groupement de
communes sont classés dans la zone D2.
2- ACTIVITE INDUSTRIELLE
Cette activité est présente surtout dans les deux communes CHLEF et OUM DROU et
SENDJAS quant à elle reste dominée par l’activité agricole :
Cette activité est assez dynamique au niveau de CHLEF et se réparti à travers plusieurs
sites dans le territoire de la commune (source monographie de la commune) :
1- Zone d’activité OULED MOHAMED.
o Nombre de lots = 217.
o Superficie = 11 ha 68 a 88 ca
59
o L’entreprise SAPTA localisée dans l’ACL.
o L’entreprise SOMEGEL localisée dans l’ACL.
o L’entreprise SOVIWEL localisée dans l’ACL.
o L’entreprise SOTRAMET localisée dans l’ACL.
o L’entreprise ENIR localisée dans l’ACL.
o L’entreprise DNC localisée dans l’ACL(actuellement usine de confection
d’habillemment.
o L’entreprise NITRO localisée dans l’ACL.
o L’entreprise RENAULT localisée au niveau d’OULED MGHAZI qui pratique le
montage de véhicules lourd de RENAULT.
3- ACTIVITE TOURISTIQUE
Commune de CHLEF :
L’activité touristique est soutenue au niveau de CHLEF par l’infrastructure hôtelière
suivante(source :monographie de la wilaya de CHLEF) :
Capacitéd'accueil
Nom de d’hôtel Commune Catégories Nombre de Nombre
Chambres De Lits
EL WANCHARIS CHLEF Non classé 58 103
EL MEDINA CHLEF 02 étoiles 28 56
OLYMPIQUE CHLEF 01 étoile 41 98
EL KÉBIR CHLEF 01 étoile 25 65
Total 152 322
La commune d’OUM DROU possède des potentialités touristiques qui ne demandent qu’à
être exploitées pour les mettre en valeur afin de pouvoir attirer un nombre assez
estimable de touristes.
Ces potentialités se résument comme suit :
1- Les sites archéologiques et historiques qui reviennent à l’époque romaines et qui se
répartissent dans les localités suivantes :
o Agglomération secondaire BESSAKRA.
o Agglomération secondaire OULED MGHAZI.
o Agglomération secondaire MAIZIA.
o Cité BOUALILI.
2- le tombeau du marabout SIDI AHMED BEN ABDELLAH au niveau duquel se tient
annuellement une cérémonie ayant un caractère culturel, social et économique ,qui
est connue sous le nom de TAAM ,et durant laquelle s’organise une compétition de
course au chevaux ainsi qu’un festival de poésie à côté d’un grand SOUK des
produits d’artisanat et autres.
Commune de SENDJAS :
La commune de SENDJAS possède elle aussi des potentialités touristiques qui résident
dans des sites touristiques possédant un patrimoine de faune et flore assez spécifique qui
une fois aménagés dans le cadre d’un développement durable ,ils pourront attirer un
nombre assez estimable de touristes et de visiteurs, et ceci augmentera les rentes de
l’APC.
60
Ces potentialités se résument comme suit :
1- zone forestière de BOUASSAL( OULED MBAREK ).
2- zone montagneuse de AOUN-NSSOUR (TAMEDRATA ).
3- le tombeau du marabout SIDI SALAH qui est la destination de plusieurs visiteurs.
61
CHAPITRE II :
PERSPECTIVES DE
DEVELOPPEMENT
ET
AMENAGEMENT
62
I- DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
1- PLACE DU GROUPEMENT DANS LE CONTEXTE REGIONAL (ORIENTATION DU
PATW)
Dans sa phase n°03 le PAWT de CHLEF preconjse dans l’amenagement les principes
suivants :
A - Créer deux axes porteurs d’urbanisation soutenus par des pôles d’équilibre ou
villes intermédiaires
Le renvoi des surplus démographiques des communes de la plaine dont la
protection des terres agricoles est un objectif majeur, vers les zones de piémonts dont le
développement est souhaitable dans le cadre de l’équilibre territorial de la wilaya implique
l’aménagement de deux axes porteurs soutenus par des pôles d’équilibre
Sur le piémont Sud du Dahra
Un axe porteur d’urbanisation est envisageable sur le couloir Ain Merane, Harenfa,
Tadjina, Bouzeghaia, Benairia et Zeboudja, Cet axe pourrait suivre en gros le CW
101.
Les agglomérations de Ain Merane , Bouzeghaia et Zeboudja seront privilégiées en
tant que pôle d’équilibre en ville intermédiaires
Sur le piémont Nord de l’Ouarsenis
En plus des districts économiques et résidentiels prévus à Boukadir Sud et Oued Sly
Sud et du district commercial et résidentiel de Sendjas, un axe porteur
d’urbanisation peut etre envisagé dans le couloir Ouled ben AEK-Sendjas-El
Karimia.
63
64
2- DEVELOPPEMENT DU SECTEUR AGRICOLE
Enraisonde
sonpotentieldedéveloppementd’unepartetduprocessusengagédelevéedescontraintesàson
épanouissementd’autrepart,etenraisondesrésultatsattendus(créationdenouveauxemploisgr
âce
àl’intensificationagricole).Etauxeffetsd’entrainementàl’amontetàl’aval)lesecteurdel’agricult
ure prédispose le territoire du groupement de communes à s’ériger en pôleagricole
d’excellence.
65
Affectation des terres et orientations de développement agricole
66
3- DEVELOPPEMENT DU SECTEUR INDUSTRIEL
L’objectifstratégiqueviséparl’identificationdeszonesintégréesdedéveloppementindus
trielest
l’émergenced’unecapacitéindustriellequis’inscritdanslecadred’unaménagementdute
rritoire en question assurantundéveloppementéquilibré.
Ils’agitainsid’identifierdeszonesquipermettentderépondre,surunhorizontemporeldelo
ngterme,
auxobjectifsdecréationdehautevaleurajoutéeetd’améliorationdelacompétitivitédusyst
èmeproductifavec les effets d’entraînement propres à l’industrie et la diversification
de l’économie qui l’accompagne.
La
promotiondelatransversalitéetdelacohérencedansl’actionparl’articulationdelachaînet
ouristiqueetlamise en place d’un partenariat public – privé ;
Ladéfinitionetlamiseenœuvred’unplandefinancementopérationnelpoursoutenirlesacti
vitéstouristiquesetles promoteurs – développeurs et attirer les investisseurs
nationaux et internationaux.
Garantir une offre multiple et diversifiée répondant aux attentes des différents
segments de clientèles.
Lasélectionetlahiérarchisationdessitesstructurantssurlesquelsserontconcentrésenpr
ioritélesfluxtouristiquesau regard de leurs atouts.
4- DEVELOPPEMENT DU TOURISME
Dans cette optique, la détermination des grands enjeux est une étape nécessaire
pour garantir un développement cohérent et pertinent pour le territoire.
Au regard du diagnostic établi sur la wilaya de Chlef, les enjeux prioritaires du
Schéma de Développement Touristique sont au nombre de trois :
Faire du tourisme un véritable levier de développement économique
67
Développer l’attractivité, l’image et la notoriété du territoire du groupement de
communes
Le tourisme est « l’affaire de tous ». L’ensemble des acteurs est concerné, qu’il
s’agisse des administrations, des élus locaux, des professionnels du tourisme ou de la
société civile. Tous doivent participer activement à l’acte d’accueil en gardant à l’esprit
les apports positifs du tourisme :
• l’emploi local et l’apport économique de manière plus générale ;
• l’amélioration du cadre de vie et de l’environnement ;
• l’apport en termes de loisirs – animation - services ;
• la contribution psychologique liée à la valorisation de l’image et à la fierté
d’appartenance à un territoire convoité.
L’objectif étant de faire comprendre le fait touristique et l’opportunité qu’il représente
tant socialement qu’économiquement pour que la valorisation du territoire soit légitimée
et portée collectivement par le plus grands nombre «d’ambassadeurs» locaux.
C’est l’un des principaux facteurs de réussite du développement touristique.
68
II PERSPECTIVES DEMOGRAPHIQUES
Introduction
- MOYEN TERME 2020-2024 : Pour cet horion, nous préconisons une continuation
dans la hausse du taux d’accroissement naturel qui comme on l’a vu, est dû à un
certain nombre de critères d’évolution connu, dont le développement et le progrès
social sont des éléments déterminants.
- LONG TERME 2025-2034 : les projections pour cet horion n’ont pas de valeur que
pour indiquer un ordre de grandeur de la ville et de la commune.
69
PERSPECTIVES DE POPULATION DU GROUPEMENT DE COMMUNES
A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS
POP RGPH Court Moyen Long Terme
COMMUNE POP 2014
2008 Terme 2019 Terme 2024 2034
CHLEF 178616 204847 227055 250319 300975
OUM EL DROU 21326 24513 27170 29954 36016
SENDJAS 29043 32630 36168 39873 47942
GROUPEMENT 228985 261989 290394 320147 384933
TAUX
1,90% 1,93% 1,97% 1,91% 1,84%
D'ACCROISSEMENT
350000 CHLEF
300000 OUM EL DROU
SENDJAS
250000
200000
150000
100000
50000
0
RGPH 1987 RGPH 1998 RGPH 2008 POP 2014 Court Terme Moyen Long Terme
2019 Terme 2024 2034
70
PERSPECTIVES DE POPULATION DE LA COMMUNE DE CHLEF
A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS
Court Moyen Long
POP RGPH
DISPERSION POP 2014 Terme Terme Terme
2008
2019 2024 2034
A.C.L : CHLEF 155134 177916 197205 217410 261407
A.S : Chegga 8797 10089 11183 12329 14824
A.S : Mouafkia 5542 6356 7046 7767 9339
A.S : Mekhatria-Ramlia 2577 2955 3276 3611 4342
A.S : El AziezBrancia 1671 1917 2125 2342 2816
A.S : Chouiet 1132 1298 1439 1586 1907
ZONE EPARSE 3762 4314 4782 5272 6339
TOTAL COMMUNE 178616 204847 227055 250319 300975
Taux d’accroissement 2,03 2,08 2,08 1,97 1,86
La population D’OUM DROU atteindra 27170 habitants à court terme (2019), 29954
habitants à moyen terme (2024) et 36016 habitants à long terme (2034).
71
PERSPECTIVES DE POPULATION DE LA COMMUNE DE SENDJAS
A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS
POP RGPH Court Terme Moyen Long Terme
DISPERSION POP 2014
2008 2019 Terme 2024 2034
ACL : Sendjas 9243 9790 11510 12690 15258
AS : Beni
1828 1936 2277 2510 3018
Ouadrene
AS : Cherairia 1393 1476 1735 1913 2300
AS : Khelailia 1243 1317 1548 1706 2052
AS : Si Youcef 892 945 1111 1225 1472
AS : Ouled Henni 744 788 926 1021 1228
AS : Souamet 799 846 995 1097 1319
AS : Ouled Si
944 1000 1176 1296 1558
Ahmed
AS : El Amamra 604 640 752 829 997
ZONE EPARSE 11353 12025 14138 15586 18741
TOTAL
29043 30764 36168 39873 47942
COMMUNE
Taux
1,02 2,08 1,97 1,86
d’accroissement
72
III PROGRAMMATIONS DES BESOINS SOCIAUX
1- POPULATION SCOLARISABLE A COURT, MOYEN ET LONG TERME
Pour le cycle primaire, nous remarquons qu’il y a un déficit de 335 classes à réaliser
pour le groupement de communesde CHLEF au cours des différents termes.
73
Commune de CHLEF
74
Commune d’OUM DROU
La population à scolariser dans le cycle primaire (5 – 10) représente un taux de 10,67 %
par rapport à la population totale (2008) (source pyramide des âges RGPH 2008).
Pour le cycle primaire il n’y a pas un besoin de classes à réaliser à travers les
différents termes.
75
Commune de SENDJAS
Pour le cycle primaire il n’y a pas un besoin de classes à réaliser à travers les
différents termes.
76
Population scolarisée au cycle moyen
Elle est estimée de 8,50 % de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité
de 95% pour les trois horizons.
Pour le cycle moyen, nous remarquons qu’il y a un nombre de 450 classes à réaliser
pour le groupement de communesde CHLEF au cours des différents termes.
77
Commune de CHLEF
Elle est estimée à 8,5 % de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité
de 95% pour les trois horizons.
POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE MOYEN
Court Terme Moyen Terme Long Terme
Populatio Populatio Populatio
DISPERSION
Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisa n totale Scolarisa n totale Scolarisa
ble ble ble
A.C.L : CHLEF 197205 16762 217410 18480 261407 22220
A.S : Chegga 11183 951 12329 1048 14824 1260
A.S : Mouafkia 7046 599 7767 660 9339 794
A.S : Mekhatria-
3276 278 3611 307 4342 369
Ramlia
A.S : El
2125 181 2342 199 2816 239
AziezBrancia
A.S : Chouiet 1439 122 1586 135 1907 162
Zone Eparse 4782 406 5272 448 6339 539
TOTAL COMMUNE 227055 19300 250319 21277 300975 25583
Pour le cycle moyen, il y aura un besoin de 355 classes à réaliser à travers les
différents termes.
78
Commune d’OUM DROU :Elle est estimée à 7,47 % de la population totale
avec un taux de scolarisation souhaité de 95% pour les trois horizons.
79
Commune de SENDJAS: Elle est estimée à 8,60 % de la population totale
avec un taux de scolarisation souhaité de 95% pour les trois horizons.
80
Population scolarisée au lycée (enseignement secondaire)
Pour le cycle secondaire, nous remarquons qu’il y a un déficit de 147 classes à réaliser
pour le groupement de communesde CHLEF au cours des différents termes..
81
Commune de CHLEF:La population scolarisable 15-18 ans est estimée à 9,03
% de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité de 50% pour le
cycle secondaire on obtient alors une population à scolariser dans ce cycle qui
représente 4,52% de la population totale.
82
Commune d’OUM DROU:La population scolarisable 15-18 ans est estimée à 9
% de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité de 50% pour le
cycle secondaire on obtient alors une population à scolariser dans ce cycle qui
représente 4,5% de la population totale.
83
Commune de SENDJAS:La population scolarisable 15-18 ans est estimée à
10,82 % de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité de 50%
pour le cycle secondaire on obtient alors une population à scolariser dans ce
cycle qui représente 5,41% de la population totale.
84
2-EMPLOI ET ACTIVITE
Introduction
Les projections de l’emploi sont faites sur la base des avantages et des potentialités
économiques qu’offre la commune.
« Pour la commune, il s’agit surtout d’actions volontaristes en vue d’apporter des solutions
au sous-développement et le désenclavement de cette zone ».
85
PERSPECTIVES DE LA POPULATION EN AGE DE TRAVAILLER
PAR SEXE ET DISPERSION
CHEF LIEU HORS CHEF LIEU TOTAL
commune terme
M F T M F T M F T
63
Court terme 6483 12784 1935 14719
00 9537 9814 72544 74653
2015-2019 8 5 1 6
7
Moyen 69
7148 14094 1051 1082 2133 16227
CHLEF terme 2020- 46 79976 82301
2 4 4 0 4 8
2024 2
83
Long terme 8594 16946 1264 1301 2565 19511
51 96161 98957
2025-2034 7 6 2 0 2 7
9
Court terme 29 1165
2945 5933 5871 5785 8859 8729 17588
2015-2019 88 5
Moyen
OUM 32 1284
terme 2020- 3246 6541 6472 6377 9767 9623 19390
DROU 95 9
2024
Long terme 39 1545
3903 7864 7782 7668 11743 11571 23314
2025-2034 61 0
Court terme 35 1592
3898 7434 7577 8349 11114 12247 23360
2015-2019 37 6
Moyen
38 1755
SENDJAS terme 2020- 4297 8196 8353 9205 12252 13502 25754
99 8
2024
Long terme 46 1004 1106 2111
5166 9855 14732 16234 30965
2025-2034 88 3 7 1
69
Court terme 7168 14121 2298 2394 4693 18814
53 92516 95629
2015-2019 0 2 5 8 3 5
2
Moyen 76
GROUPE 7902 15568 2533 2640 5174 10199 10542 20742
terme 2020- 65
MENT 5 1 9 2 1 5 6 2
2024 6
92
Long terme 9501 18718 3046 3174 6221 12263 12676 24939
16
2025-2034 6 5 7 5 2 6 1 7
9
86
Perspectives des différents taux d’activité
a) Taux d’activité
Le taux d’activité a été établi par rapport à la population totale, et qui se maintient
pratiquement à 43,43 % jusqu’au court terme, pour ensuite augmenter dans le moyen et
long terme, pour atteindre 44,43 % en 2024 et 45,5 % en 2034, ce qui nous donne une
population active en valeur absolue : 43543 habitants en 2019, 48564 habitants en 2024
et 60453 habitants en 2034.
- Pour la commune de CHLEF: le taux d’activité est de 42,4 % à court terme, 42,5%
à moyen terme et 42,5%à long terme.
- Pour la commune d’OUM DROU : le taux d’activité est de 41,9 % à court terme,
42% au moyen et 42,5% à long terme.
- Pour la commune de SENDJAS : le taux d’activité est de 35,8 % à court terme,
38% à moyen terme et 42,5 à long terme.
-
(Taux d’activité national actuellement est de 42,5%)
b) Taux d’occupation
Les perspectives du taux d’occupation sont établies en parti de la liaison (taux
d’activité- taux de chômage). Nous opterons jusqu’au court terme pratiquement au
maintien du taux d’occupation, bien qu’en réalité le nombre en valeur absolue augmente et
pour le moyen et long terme, nous préconisons un accroissement de la population
occupée, du moment que (le taux d’occupation net) s’élève à :
- Commune de CHLEF: 24,8 % en 2024 et 25,07 % pour le long terme.
- Commune d’OUM DROU : 24,47 % en 2024 et 25,04 % pour le long terme.
- Commune de SENDJAS: 22,09 % en 2024 et 24,98 % pour le long terme
(Le taux d’occupation national actuellement est de 36,4%)
c) Taux de chômage
Le développement économique de toute commune, résulte de la diminution du taux de
chômage et l’augmentation de la population occupée.
Les taux a été prévu à la baisse, pour le court terme, à savoir 10,2 %, pour le moyen
terme 2024, il est ramené à 10 % et enfin pour le long terme, il atteindrait 9 %.
Pour atteindre ce taux de chômage de 9% il faut créer 34547 postes au niveau du
groupement dont 25662 postes au niveau de la commune de CHLEF, 2897 postes
au niveau de la commune D’OUM DROU, et 5988 postes au niveau de la commune
de Sendjas.
(Le taux de chômage national actuellement est de 9,8%)
87
PERSPECTIVES DES TAUX D’ACTIVITES A TRAVERS LES DIFFERENTS
Pop.
COMMUN
Taux
En Age Pop. Chô Taux Taux Taux
Pop. Pop. De Emploi
TERME De Occu meur D'acti D'occu D'emplo
E
Moyen
6207 42,50 24,80
terme 250319 162278 68968 6897 38,25% 10% 6026
1 % %
2020-2024
Long terme 7546 42,50 25,07
300975 195117 82925 7463 38,68% 9% 13390
2025-2034 2 % %
Court terme 41,90 24,36
27170 17588 7369 6618 752 37,63% 10,20% 498
OUM DROU
2015-2019 % %
Moyen
42,00 24,47
terme 29954 19390 8144 7330 814 37,80% 10,00% 712
% %
2020-2024
Long terme 42,50 25,04
36016 23314 9909 9017 892 38,68% 9,00% 1687
2025-2034 % %
Court terme 35,80 20,76
36168 23360 8363 7510 853 32,15% 10,20% 1522
2015-2019 % %
SENDJAS
Moyen
38,00 22,09
terme 39873 25754 9786 8808 979 34,20% 10,00% 1298
% %
2020-2024
Long terme 1197 42,50 24,98
47942 30965 13160 1184 38,68% 9,00% 3168
2025-2034 6 % %
Court terme 6763 40,03 23,29
GROUPEMENT
88
3- ESTIMATION DES BESOINS EN LOGEMENTS AUX DIFFERENTS HORIZONS
PROGRAMMATION :
89
BESOINS EN LOGEMENTS ET EN SURFACES POUR LES TROIS
COMMUNES A TRAVERS LES TROIS TERMES :
BESOINS EN LOGEMENTS ET EN SURFACE DE LA COMMUNE DE CHLEF
TOL Prévu
Popul Logts Hab Logts Den
Logts oin erf
DISPERSIO Prévu Nece it Logts À sité
Exist En Nec
N e ss Pré Progr Réali Brut
2014 Logt ess
2019 2019 cai ser e
s Ha
1972 3140 3585 108 553 59,0
ACL CHLEF 5,5 2000 3538 80
05 2 6 4 8 0
CHEGG 1118 11,0
1392 5,5 2034 - 642 - 642 40
A 3 0
MOUAF
7046 803 5,5 1281 - 478 - 478 40 8,00
KIA
MEKHAT
RIA- 3276 397 5,5 596 - 199 - 199 40 3,50
A
RAMLIA
S
EL
AZAIZ-
2125 230 5,5 387 - 157 - 157 40 2,60
BRANCI
A
CHOUIE
1439 156 5,5 262 - 106 - 106 40 1,80
T
ZONE
4782 554 5,5 870 - 316 - 316 40 5,00
EPARSE
TOTAL 2270 3493 4128 108 743 91,0
- 2000 5436 -
COMMUNE 55 4 6 4 6 0
Densité
TOL
Prévu
Densité
TOL
DISPERSION Prévue Exist Necess À Necess
Brute
2034 2024 2034 Réaliser Ha
26140 4348
ACL CHLEF 5,00 52282 8800 80 146,67
7 2
CHEGGA 14824 2466 5,00 2965 499 50 8,32
MOUAFKIA 9339 1554 5,00 1868 314 40 5,23
MEKHATRI
A 4342 723 5,00 869 146 40 2,44
A-RAMLIA
S
EL AZAIZ-
2816 469 5,00 564 95 40 1,58
BRANCIA
CHOUIET 1907 318 5,00 382 64 40 1,07
ZONE
6339 1055 5,00 1268 213 40 3,55
EPARSE
TOTAL 30097 5006
- 60198 10131 - 168,86
COMMUNE 5 7
tableau récapitulatif des besoins en surface pour le court, moyen et long terme-
2019,2024,2034.
Besoin Besoin Besoin
DISPERSION Besoin 2019
2024 2034 Total
ACL CHLEF 59,00 127,10 146,67
CHEGGA 11,00 7,20 8,32
MOUAFKIA 8,00 4,55 5,23
MEKHATRIA-
3,50 2,12 2,44
AS RAMLIA
406,22 Ha
EL AZAIZ-
2,60 1,37 1,58
BRANCIA
CHOUIET 1,80 0,94 1,07
ZONE EPARSE 5,00 3,08 3,55
TOTAL COMMUNE 91,00 146,36 168,86
Pour satisfaire les besoins de la commune de CHLEF en terrain jusqu’au long
terme on aura besoin d’une superficie totale de 406,22 Ha.
Majoré de 30 % pour les équipements soit 121,87 ha.
91
BESOINS EN LOGEMENTS ET EN SURFACE DE LA COMMUNE DE OUM
DROU :
Tableau des besoins en logements de la commune d’OUM DROU AU COURT
TERME 2019.
Logt
Bes Logts Supe
TOL Prévu
Popul s Logts Hab Logts
oin en Densi rf
Prévu Exis Nece it À
DISPERSION En cours té Nece
e t ss Pré Réali
Logt de Brute ss
2019 201 2019 cai ser
s Réalis Ha
4
ACL OUM 160
9165 5,5 1667 18 78 200 00 50 0,00
DROU 7
GUELAFTI
4062 550 5,5 739 24 213 - 213 50 4,26
A
BESSAKR
1441 206 5,5 262 - 56 - 56 50 1,12
A
EL
1349 192 5,5 246 - 54 - 54 50 1,08
HAMMAM
MENASRI
1291 165 5,5 235 - 70 - 70 50 1,40
A
A BUCCA
1212 131 5,5 221 - 90 - 90 50 1,80
S CHEKALIL
MAIZIA 1101 147 5,5 201 - 54 - 54 50 1,08
OULED
MGHAZI 984 115 5,5 179 - 64 - 64 50 1,28
ROUADHI
HAMAISSI
954 117 5,5 174 - 57 - 57 50 1,14
A
5,
REZAMA 785 108 143 - 35 - 35 50 0,70
5
ZONE
4827 639 5,5 878 - 239 - 239 50 4,78
EPARSE
TOTAL 2717 397 101
- 4940 42 200 932 - 18,64
COMMUNE 0 7 0
92
Tableau des besoins en logements de la commune d’OUM DROU AU MOYEN
TERME 2024.
Logts Logts
Popul Logts Densit Superf
Prévu
Neces À
TOL
DISPERSION Prévue Exist é Necess
s Réalis
2024 2019 Brute Ha
2024 er
ACL OUM DROU 10104 1667 5,0 2021 354 50 7,08
GUELAFTIA 4478 550 5,0 896 346 50 6,92
BESSAKRA 1589 206 5,0 318 112 50 2,24
EL HAMMAM 1487 192 5,0 298 106 50 2,12
MENASRIA 1423 165 5,0 285 120 50 2,40
BUCCA CHEKALIL 1336 131 5,0 268 137 50 2,74
AS MAIZIA 1214 147 5,0 243 96 50 1,92
OULED MGHAZI
1085 115 5,0 217 102 50 2,04
ROUADHI
HAMAISSIA 1052 117 5,0 211 94 50 1,88
REZAMA 865 108 5 ,0 173 65 50 1,30
ZONE EPARSE 5321 878 5,0 1065 187 50 3,74
TOTAL COMMUNE 29954 4940 - 5995 1719 - 34,38
À
TOL
93
Tableau récapitulatif des besoins en surface pour le court, moyen et long terme-
2019,2024,2034.
Besoin Besoin Besoin Besoin
DISPERSION
2019 2024 2034 Total
ACL OUM DROU 0,00 7,08 8,18
GUELAFTIA 4,26 6,92 10,54
BESSAKRA 1,12 2,24 3,52
EL HAMMAM 1,08 2,12 3,32
MENASRIA 1,40 2,40 3,56
AS BUCCA CHEKALIL 1,80 2,74 3,82
100,80 Ha
MAIZIA 1,08 1,92 2,90
OULED MGHAZIROUADHI 1,28 2,04 2,92
HAMAISSIA 1,14 1,88 2,72
REZAMA 0,70 1,30 2,00
ZONE EPARSE 4,78 3,74 4,30
TOTAL COMMUNE 18,64 34,38 47,78
94
le besoin en surface pour la commune de SENDJAS au COURT TERME2019est
de 24,66 Ha
Tableau des besoins en logements de la commune de SENDJASAU MOYEN
TERME 2024
Logts
Popul Logts Densi Superf
Logts TOL À
DISPERSION Prévue202 Necess té Neces
Exist2019 Prévu Réalis
4 2024 Brute s(Ha)
er
ACL SENDJAS 12690 2093 5 2538 445 50 8,90
BENI
2510 414 5 502 88 50 1,76
OUADRENE
CHERAIRIA 1913 316 5 383 67 50 1,34
KHELAILIA 1706 282 5 343 61 50 1,22
A SI YOUCEF 1225 202 5 245 43 50 0,86
S OULED HENNI 1021 169 5 205 36 50 0,72
SOUAMET 1097 181 5 220 39 50 0,78
OULED SI
1296 214 5 259 45 50 0,90
AHMED
EL AMAMRA 829 137 5 166 29 50 0,58
ZONE EPARSE 15586 2571 5 3117 546 50 10,92
TOTAL COMMUNE 39873 6399 - 7978 1399 - 27,98
le besoin en surface pour la commune de SENDJAS au MOYEN TERME 2024est
de 27,98 Ha
95
Tableau récapitulatif des besoins en surface pour le court, moyen et long terme-
2019,2024,2034.
Besoin
DISPERSION Besoin 2019 Besoin 2024 Besoin 2034
Total
ACL SENDJAS 0,00 8,90 10,28
BENI
2,54 1,76 2,04
OUADRENE
CHERAIRIA 1,58 1,34 1,54
KHELAILIA 174 1,22 1,36
SI YOUCEF 1,72 0,86 1,00
AS OULED
1,04 0,72 0,82
HENNI 84,94 Ha
SOUAMET 0,76 0,78 0,88
OULED SI
1,62 0,90 1,06
AHMED
EL AMAMRA 0,86 0,58 0,68
ZONE EPARSE 12,80 10,92 12,64
TOTAL
24,66 27,98 32,30
COMMUNE
96
ESTIMATIONS DES BESOINS SELON LES RATIONS
97
ESTIMATION DE BESOINS PAR RATIO
98
IV- LE PARTI D’AMENAGEMENT RETENU
1- LE PARTI D’AMENAGEMENT RETENU A L’ECHELLE DU GROUPEMENT
(URBAIN- RURAL)
Agglomération de Chlef
Ambition de la ville de Chlef : Assurer un rôle de métropole régional
99
En plus du foncier programmé dans la 1ére étude à l’est de l’ACL (
kefafsa)donnera lieu à un portefeuille foncier important pour l’organisation et la
structuration du tissu urbain très lâche actuellement.
Dans ce contexte, la recherche d’un schéma de cohérence entre les
différentes unités urbaines passe par :
La dynamisation de l’axe Est-Ouest reliant les quartiers de Chorfa – El-
Hassania – LallaAouda – En Nasr – Ouled Mohamed – Kefafsa.
Le renforcement de l’axe de la R.N.4 bis, en formation : Hay El-Hamadia –
Bensouna – Centre-ville
– Kefafsa.
100
bénéficié de programme et de plan d’aménagement à même de participer à l’urbanité
de la ville.
Cependant, les programmes POS n’ont pas été menés totalement à terme
durant cette dernière décennie et compte tenu des nouveaux besoins exprimés, les
programmes POS initiés exigent une révision afin de répondre aux nouveaux
objectifs de réhabilitation des sites préfabriqués (U.A.5., U.A.6., U.A.7., U.A.8.) et
leur articulation avec les réserves foncières (U.B. et U.C.).
Aussi l’intégration des secteurs (UC 4) considérés comme non urbanisables dans la
1ère étude, mais situés à l’intérieur du nouveau périmètre urbain s’avère
indispensable et incontournable pour la prise en charge des programmes de grands
équipements, organisés dans une dynamique urbaine mieux structurée.
Cette dynamique urbaine organisée autour des axes proposés, s’appuiera également
sur la localisation de grands équipements tels que la gare routière, le marché de gros
et la future zone d’activité à implanter comme suit :
101
6-SECTEURS D’URBANISATION
SU1 : 400 Ha
SAU1 : 133,30 Ha
SU2 : 190 Ha
SU3 : 302,50 Ha
SU4 : 114,50 Ha SAU2 : 72,00 Ha
SU5 : 386 Ha
SU6 : 186 Ha
SU7 : 226 Ha
SU8 : 390 Ha
SU9 : 276,2 Ha SAU3 : 278,30 Ha SUF1 :
Agglomération Chef-Lieu SU10 : 75,7 Ha 230,60Ha -Forêts
SU11 : 245 Ha Récréatives :
SU12 : 93,80 Ha SAU4 : 73,40 Ha SNU1 :427 Ha
SU16 : 90 ,00 Ha
ERRAMLIA –
EL ---- ----
MKHETERIA SU17/ZA : 08,00
Ha
CHEGGA -
SU18 : 90,50 Ha ---- ----
Agglom CHERAIT
Secondaires EL AZAIZ-
SU19 : 69,50 Ha ---- ----
BRANCIA
102
SECTEURS URBANISE (SU) :
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune :
- SU1, SU2, SU3, SU4, SU5, SU6, SU7, SU8, SU9, SU10, SU11, SU12, SU13,
SU14 et SU15 sont des secteurs urbanisés composé d’habitat et d’équipements.
103
7-PROGRAMMATION DES POS
Secteur
DISPERSION N° de POS SURFACE LOCALISATION
D’Urbanisation
POS
266,70 Ha
S.U1/AEX ;UA1
SU1
POS S.U1/B
123,10 Ha
EX ;UA1/B
POS S.U2/A
56 ,20 Ha SU2
EX :UA2/A
POS S.U2/B
133,60 Ha
EX :UA2/B
POS S.U3/A
108,4 Ha SU3
EX : UA3/A
POS S.U3/B
86.2 Ha SU3/SNU2
EX : UA3/B
POS S.U3/C
78,20 SU3
EX : UA3/C
POS SU7/C
24,90 Ha SU7
EX : UB5
POS SU8/A
140,60Ha SU8
EX : UA8/A
104
POS SU8/B
110,00Ha
EX : UA8/B
POS SU8/C
36,50Ha
EX : UA8/C
POS SU8/D
102,50Ha
EX : UA8/D
POS SU9/A
112,50Ha
EX : SAU5
SU9
POS SU9/B
83,20Ha
EX : UB1/SAU1
POS SU10
75,70Ha SU10
EX : SAU4
POS SU11
245,00Ha SU11
EX : SU11
POS SU12
79,80Ha SU12
EX : SU12
POS SU13/A
111,70Ha SU13/SNU2
EX : UB2/SAU2
POS SU13/B
117,50Ha SU13
EX : UB3/SAU3
POS SNU2/
SU14 99,00Ha SU14/SNU2
EX : SAU7
POS SU15
93,40Ha SU15
POS SAU1
147,30Ha SAU1/ SU12
POS SAU2
72,00Ha SAU2
POS SAU3/A
123,40Ha SAU3
EX : SUF/UC1
POS SAU3/B 154,90Ha SAU3
POS SAU4 73,40Ha SAU4
POS SAU5
145,00Ha SAU5
POS SAU6/A 94,70Ha
SAU6
POS SAU6/B 65,10Ha
POS SUF1/A 88,10Ha
SUF1
POS SUF1/B 154,90Ha
POS SU16/A 83,07 Ha A.S :ERRAMLIA
SU16
POS SU16/B 39,73 Ha –EL
MKHETERIA
POS SU17/ZA 08,00 Ha SU17/ZA
A.S : CHEGGA
Agglomération POS SU18 95,50 Ha SU18
– CHERAIT
A.S : EL AZAIZ
Secondaires POS SU19/A 84,03Ha SU19
– BRANCIA
A.S : EL AZAIZ
POS SU19/B 71,11 Ha SU19
– BRANCIA
POS SU20/A 79,48 Ha A.S :
SU20
POS SU20/B 47,55 Ha MOUAFKIA -
105
POS SAU7 90,00 Ha SAU7 TEGAGRA
POS SU21 49,20 Ha SU21
POS SU22 49,80 Ha SU22
A.S : CHOUIET
POS SAU8 12,60Ha SAU8
AGGLOMERATION DE SENDJAS
Besoin en surface Court et moyen terme 2015-2024:
- Intégrer dans le périmètre urbain à court terme un terrain de 18,00 ha à l’Est
de l’A.C.L pour l’habitat et les équipements.
- Intégrer dans le périmètre urbain à moyen terme un terrain de 20,00ha à l’Est
de l’A.C.L pour l’habitat et les équipements.
- Intégrer dans le périmètre urbain à moyen terme un terrain de 4,25ha à l’Est
de l’AS BENI OUEDRENE pour l’habitat et les équipements.
- Densifier le tissu urbain de la ville conformément aux directives du POS
approuvé.
Remarque : Ces deux terrains à intégrer avec un total de 42,25ha,
subviennentaux besoins de la commune de SENDJAS à court et moyen termes.
- Long terme 2034:
- Intégrer dans le périmètre urbain à long terme un terrain de 39,70 ha à l’Est de
l’A.C.L pour l’habitat et équipements.
- Remarque : Intégrer dans le périmètre urbain un terrain de 43.70ha à l’ouest
de l’As BENI OUEDRENE, subvient aux besoins de la commune de Chlef à
long terme.
108
Agglomération Secondaire : CHERAIRIA
- Mosquée
- Salle de soin
- Commerce et service de proximité
- Terrain de sport en plein air
- Club des jeunes
- Aire de jeux
- Equipement éventuel
109
2- SECTEURS D’URBANISATION
Secteur urbanise, secteur à urbaniser, secteur d’urbanisation future, ces secteurs
peuvent être résumés dans les tableaux récapitulatifs suivant :
110
SECTEURS URBANISE ( SU ):
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune:
- SU1, SU2, SU3 et SU4sont des secteurs urbanisés composé d’habitat et
d’équipements.
111
Programmation des POS
Secteur
DISPERSION N° de POS SURFACE LOCALISATION
D’Urbanisation
POS
13,50 Ha
S.U1/AEX ;UA1
POS S.U1/B
14,20 Ha
EX ;UA2
POS SU1
10,50 Ha
S.U1/CEX :UA4
POS S.U1/D
16 ,80 Ha
EX :UA5
POS S.U1/E
49,30 Ha
EX :UA6
Agglomération POS S.U2
20 Ha SU2
EX :SUA
ACL
Chef-Lieu POS SU3/A
17,80Ha
de EX :UA3 SU3
Commune POS S.U3/B
19 ,20 Ha
EX :SUF
SAU1
POS SAU1 10 ,50 Ha
112
POS SU10 06,50 Ha SU10 A.S : AMAMRA
A.S : OULED
POS SU11 10 Ha SU11
HENNI
A.S :
POS SU12 39Ha SU12
CHERAIRIA
POS SU13 12,60 Ha SU13 A.S : SI
YOUCEF
POS SU14 08,30Ha SU14
Zone Eparse POS SAU2/Z.A 5 Ha SAU2/Z.A Zone Activité
113
AGGLOMERATION DE OUM-DROU
AMENAGEMENT AU NIVEAU DE L’A.C.L
LE LOGEMENT :
- 932 logements(en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS :
- Commerce
spécialisé………………………………………………………………..….3 500 m²
- Abattoir halles + aire de stockage………………….…………………...6 000 m²
- Gareroutiere..........................................................................................2 000m²
LE LOGEMENT
- 505 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS
- C.E.M 21 classes………………………………………………………….12 600m²
- Salle de soin…………………………………………………………………800 m²
- Terrain de sport…………………………………………………………….3 200 m²
- Maison de jeunes………………………………………………………….550m²
- Mosquée…………………………………………………………………7 000 m²
LE LOGEMENT
- 575 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS
- Jardin d’enfants……………………………………………………….1 700m²
114
- Salle polyvalente…………………………………………………………600 m²
- Hôtel……………………………………………………………………….450m²
- Aire de jeux
Dans le terrain du secteur à urbaniser de 10 ha à L’EST de l’As GUELAFTIA
LE LOGEMENT
- 500 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS EVENTUELS.
Dans le terrain du secteur à urbaniser de 15,50 ha à L’Ouest de l’As MAIZIA
LE LOGEMENT
- 650 logements (en adoptant une densité brute de 40 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS EVENTUELS.
115
- Salle de soin
- Commerce et service de proximité
- Equipement éventuel
- Annexe APC, PTT
- Aire de jeux
116
3- SECTEURS D’URBANISATION
SU2 /Z.A: 23 Ha
SU11/Z.A :21,40
Agglom ---- ----
ha
Secondai HEMAISSIA
res SU12 :54,20 ha ...... .......
SU13 :30 ha ...... .......
MENASSERIA SU14 :18,20 ha ---- ----
EL
SU15 : 21,50 ha ---- ----
HAMMAM
OULED
SU16:22,50 ha ---- ----
MGHAZI
CHEKALIL SU17 :28,20 ha ---- ----
117
SECTEURS URBANISE (U)
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune
- SU1, SU2, su3, su4, su5 et su6 sont des secteurs urbanisés
composé d’habitat et d’équipement.
118
3- PERIMETRES D’INTERVENTION DES PLANS D’OCCUPATION DES SOLS
- On a dégagé au niveau du territoire communal un nombre de seize (16)
périmètres d’intervention des plans d’occupations des sols classés par ordre
de priorité, dont dix (10)POS d’entre eux se localisent dans l’agglomération
chef-lieu , et les six (6)autres POS se localisent dans les agglomérations
secondaires.
- Nous signalons que pour les études de POS déjà lancés et approuvés dans
le cadre de l’ancien PDAU (POS de la ville de OUM DROU = POS UA1, POS
UA2, et POS UA4) on a gardé le même périmètre afin d’assurer une
continuité avec les études de nouveaux POS qui sont dégagés dans cette
étude.
Secteur
DISPERSION N° de POS SURFACE LOCALISATION
D’Urbanisation
POS
S.U1/A 51,91 Ha
EX : UA1 SU1
POS
47 ,40 Ha
S.U1/B
POS S.U2
20,50 Ha SU2
EX :UA2
POS S.U3
32 Ha SU3
EX :UA3
Agglomération
POS S.U4 14 Ha Su4
EX ; SAU1 ACL
Chef-Lieu
POS
de
S.U5/A 12Ha
Commune
EX ;UA4 SU5
POS
15 ,70
S.U5/B
POS
28,90 Ha SAU1
S.A.U1
POS
28 Ha SU6/SAU2
SU6/S.A.U2
POS
13 SUF1
S.U.F1
POS S.U7
50,20 Ha SU7 A.S : GUELAFTIA
EX :U.A5
POS S.U.F2 25 ,50 Ha SUF2
A.S : GUELAFTIA
POS S.U8 28 ,30 Ha SU12 A.S : MAIZIA
119
CHAPITRE III :
LES IMPLICATIONS
EN MATIERE D’
INFRASTRUCTURES,
RESEAUX ET
PROTECTION DE
L’ENVIRONNEMENT
120
I ORIENTATION EN MATIERE DES RESEAUX
1- VOIRIE
Rocade
Pour faciliter la circulation des véhicules et leur déplacement on a procédé a la
création des rocades qui ceinturent le tissu urbain, dont certains sont réalisés les
autres en cours de réalisations.
Route nationales
- ROUTE NATIONALE N° 04 : qui traverse le Nord du territoire du groupement
de communes de l’Est à l’Ouest sur un linéairede 18 000 ml, dans le territoire
des communes de CHLEF et d’OUM DROU
CHEMINS DE WILAYAS
121
- CHEMIN DE WILAYA N°132: qui débutera de la RN 19 vers KARIMIA au
Sud de la commune de SINDJAS, sur un linéaire de 3 500 ml
- Chemin de Wilaya n°140:qui débutera de la RN 19 vers KARIMIA au Nord de
la commune de SINDJAS, sur un linéaire de 5 500 ml
- Chemin de Wilaya n°32:qui débutera de la RN 19 vers OULED BENI
ABDELKADER au centre de la commune de SINDJAS, sur un linéaire de 13
000 ml.
- AGGLOMERATIONS SECONDAIRE
Les Agglomérations secondaire sont sillonnées par des voies principales en bon état
le reste sont en moyen et mauvais état ou pistes
Débit m1 :Qmoy-h= C × N
C : Consommation journalière par habitant
122
C=250 l/hab/jour pour ACL CHLEF
C=150 l/hab/jour pour ACL SENDJAS ,ACL OUM DROU et les AS
C=80 l/hab/jour pour la zone éparse
N : Nombre d’habitants
La commune de CHLEF
ACL CHLEF
ACL CHLEF s’alimente en eau potable par le biais de 11 forages de débit totale de
60 l/s et par la station de dessalement qui couvre une grande partie des besoins
704.48 l/s
ACL CHLEF possède 25 réservoirs et 4 châteaux d’eau d’une capacité totale
de 36800 m3.
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 35000 33025,6 1974,34 60,00 764,48 704,48
123
6
37148,5
COURT TERME 35000 2148,57 60,00 859,92 799,92
7
MOYEN 41466,4
35000 6466,40 60,00 959,87 899,87
TERME 0
50869,6 15869,6
LONG TERME 35000 60,00 1177,54 1117,54
0 0
Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par les
réservoirs 2x10000 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable
à partir de la SDEM de TENES
AS . CHEGGA - CHERAIT
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 180 1072,59 892,59 14,00 24,83 10,83
COURT TERME 180 1079,07 899,07 14,00 24,98 10,98
MOYEN
180 14,00
TERME 1084,39 904,39 25,10 11,10
LONG TERME 180 1095,02 915,02 14,00 25,35 11,35
Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir
1500 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à partir de la
SDEM de TENES
AS . M O U A F K I A - T E G A G R A
124
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 6356 953,40 47,67 1001,07 1,35 1351,44 675,72 15,64
COURT TERME 6400 960,00 48,00 1008,00 1,35 1360,80 680,40 15,75
MOYEN
TERME 6450 967,50 48,38 1015,88 1,35 1371,43 685,72 15,87
LONG TERME 6550 982,50 49,13 1031,63 1,35 1392,69 696,35 16,12
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 380 675,72 295,72 10,00 15,64 5,64
COURT TERME 380 680,40 300,40 10,00 15,75 5,75
MOYEN
380 10,00
TERME 685,72 305,72 15,87 5,87
LONG TERME 380 696,35 316,35 10,00 16,12 6,12
AS . ERRAMLIA - EL MKHETERIA
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 314,15 314,15 7,27 7,27
COURT TERME 318,94 318,94 7,38 7,38
MOYEN
TERME 324,25 324,25 7,51 7,51
LONG TERME 334,88 334,88 7,75 7,75
AS . EL AZAIZ – BRANCIA
125
L’AS. EL AZAIZ – BRANCIA s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de
débit totale de 8 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 300 m3.
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 180 203,80 23,80 8,00 4,72 3,28
COURT TERME 180 207,31 27,31 8,00 4,80 3,20
MOYEN
180 8,00 3,08
TERME 212,63 32,63 4,92
LONG TERME 180 223,26 43,26 8,00 5,17 2,83
AS . C H O U I E T
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 137,99 7,99 3,19 3,19
COURT TERME 130 143,52 13,52 3,32 3,32
MOYEN
130
TERME 148,84 18,84 3,45 3,45
LONG TERME 130 159,47 29,47 3,69 3,69
126
Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir
1500 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à partir de la
SDEM de TENES
ZONE EPARSE
ZONE EPARSE s’alimente en eau potable par le biais de 3 forages de débit totale de
28 l/s
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 232,96 232,96 28,00 5,39 22,61
COURT TERME 234,90 234,90 28,00 5,44 22,56
MOYEN
28,00 22,50
TERME 237,60 237,60 5,50
LONG TERME 243,00 243,00 28,00 5,63 22,38
La commune de SENDJAS
ACL SENDJAS
Variante 1
127
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80 1379,20 24,09 24,09
COURT TERME 2420 1615,42 804,58 37,39 37,39
MOYEN
2420 410,69
TERME 2009,31 46,51 46,51
LONG TERME 2420 2867,25 447,25 66,37 66,37
Variante 2
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80 1379,20 24,09 24,09
COURT TERME 2420 1615,42 804,58 37,39 37,39
MOYEN
2420 410,69
TERME 2009,31 46,51 46,51
LONG TERME 2420 5915,12 3495,12 136,92 136,92
AS. KHELAILIA
L’AS KHELAILIA s’alimente en eau potable par le biais de la station de dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 100 m3.
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 140,01 40,01 3,24 3,24
COURT TERME 100 143,52 43,52 3,32 3,32
MOYEN
100
TERME 148,84 48,84 3,45 3,45
LONG TERME 100 159,47 59,47 3,69 3,69
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 40.01 m 3 qui attiendra 59.47
m3 à long terme.
L’A.S. OULED SI AHMED s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit
totale de 6 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 250 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1000 150,00 7,50 157,50 1,35 212,63 106,31 2,46
COURT TERME 1050 157,50 7,88 165,38 1,35 223,26 111,63 2,58
MOYEN
TERME 1100 165,00 8,25 173,25 1,35 233,89 116,94 2,71
LONG TERME 1200 180,00 9,00 189,00 1,35 255,15 127,58 2,95
A.S. SOUAMET
L’A.S SOUAMET s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale de
10 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 250 m3.
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 89,94 40,06 10,00 2,08 7,92
COURT TERME 130 95,68 34,32 10,00 2,21 7,79
MOYEN
130 29,00 10,00 7,66
TERME 101,00 2,34
LONG TERME 130 111,63 18,37 10,00 2,58 7,42
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
130
ETAT ACTUEL 230 68,04 161,96 7,92 1,58 6,34
COURT TERME 230 74,42 155,58 7,79 1,72 6,06
MOYEN
230 150,27 7,66 5,82
TERME 79,73 1,85
LONG TERME 230 90,37 139,63 7,42 2,09 5,32
A.S. SI YOUSEF
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 100,47 29,53 2,33 2,33
COURT TERME 130 106,31 23,69 2,46 2,46
MOYEN
130 18,37
TERME 111,63 2,58 2,58
LONG TERME 130 122,26 7,74 2,83 2,83
A.S. CHERAIRIA
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 156,92 56,92 3,63 3,63
131
COURT TERME 100 159,47 59,47 3,69 3,69
MOYEN
100
TERME 164,78 64,78 3,81 3,81
LONG TERME 100 175,42 75,42 4,06 4,06
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 56.92 m qui attiendra 75.42
3
m3 à long terme.
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 80 83,77 3,77 1,94 1,94
COURT TERME 80 90,37 10,37 2,09 2,09
MOYEN
80
TERME 95,68 15,68 2,21 2,21
LONG TERME 80 106,31 26,31 2,46 2,46
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 3.77 m qui attiendra 26.31
3
m3 à long terme.
ZONE EPARSE
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 480 649,35 169,35 15,03 15,03
COURT TERME 480 653,40 173,40 15,13 15,13
MOYEN
480
TERME 656,10 176,10 15,19 15,19
132
LONG TERME 480 661,50 181,50 15,31 15,31
RESERVOIR PROJETEE
ACL SANDJAS
Variante 1
ACL : Sendjas
TERME resrvoir resrvoir
besoin
existant propose
(m3)
(m3) (m3)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80
COURT
2420 1615,42
TERME
600
MOYEN
2420 2009,31
TERME
LONG TERME 2420 2867,25
Variante 2
ACL : Sendjas
TERME resrvoir resrvoir
besoin
existant propose
(m3)
(m3) (m3)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80
COURT
2420 1615,42
TERME
3650
MOYEN
2420 2009,31
TERME
LONG TERME 2420 5915,12
133
AS SANDJAS
ZONE EPARSE
TERME resrvoir resrvoir
besoin
existant propose
(m3)
(m3) (m3)
ETAT ACTUEL 480 649,35
COURT
480 653,40
TERME
300
MOYEN
480 656,10
TERME
LONG TERME 480 661,50
134
La commune de OUM DROU
OUM DROU s’alimente en eau potable par le biais de 2 forages de débit totale de 16
l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède 2 réservoirs d’une capacité totale de 1100 m 3.
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 980 879,10 100,90 16,00 20,35 4,35
COURT TERME 980 1161,78 181,78 16,00 26,89 10,89
MOYEN
980 16,00
TERME 1457,65 477,65 33,74 17,74
LONG TERME 980 2102,12 1122,12 16,00 48,66 32,66
135
AS GUELAFTIA
L’AS GUELAFTIA s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale
de 6 l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 100 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 3664 549,60 27,48 577,08 1,35 779,06 389,53 9,02
COURT TERME 3700 555,00 27,75 582,75 1,35 786,71 393,36 9,11
MOYEN
TERME 3750 562,50 28,13 590,63 1,35 797,34 398,67 9,23
LONG TERME 3850 577,50 28,88 606,38 1,35 818,61 409,30 9,47
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 389,53 289,53 6,00 9,02 3,02
COURT TERME 100 393,36 293,36 6,00 9,11 3,11
MOYEN
100 6,00
TERME 398,67 298,67 9,23 3,23
LONG TERME 100 409,30 309,30 6,00 9,47 3,47
AS BESSAKRIA
AS BESSAKRIA s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale de
6 l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède 2 réservoirs de capacité totale de 350 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1300 195,00 9,75 204,75 1,35 276,41 138,21 3,20
COURT TERME 1350 202,50 10,13 212,63 1,35 287,04 143,52 3,32
MOYEN
TERME 1400 210,00 10,50 220,50 1,35 297,68 148,84 3,45
LONG TERME 1500 225,00 11,25 236,25 1,35 318,94 159,47 3,69
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 230 138,21 91,79 6,00 3,20 2,80
COURT TERME 230 143,52 86,48 6,00 3,32 2,68
MOYEN
230 81,16 6,00 2,55
TERME 148,84 3,45
LONG TERME 230 159,47 70,53 6,00 3,69 2,31
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 129,38 29,38 2,99 2,99
COURT TERME 100 132,89 32,89 3,08 3,08
MOYEN
100
TERME 138,21 38,21 3,20 3,20
LONG TERME 100 148,84 48,84 3,45 3,45
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 29.38 m 3 qui attiendra 48.84
m3 à long terme.
AS MENASRIA
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 123,75 6,25 2,86 2,86
COURT TERME 130 127,58 2,43 2,95 2,95
MOYEN
130
TERME 132,89 2,89 3,08 3,08
LONG TERME 130 143,52 13,52 3,32 3,32
On remarque que l’agglomération soufrera d’un déficit de 2.89 m AU moyen terme
3
L’A.S BOUCCA CHEKALLIL s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de
débit totale de 10 l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité total de 500 m3.
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 380 116,31 263,69 10,00 2,69 7,31
COURT TERME 380 122,26 257,74 10,00 2,83 7,17
MOYEN
380 252,43 10,00 7,05
TERME 127,58 2,95
LONG TERME 380 138,21 241,79 10,00 3,20 6,80
A.S MAIZIA
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 380 105,57 274,43 2,44 2,44
COURT TERME 380 111,63 268,37 2,58 2,58
MOYEN
380 263,06
TERME 116,94 2,71 2,71
LONG TERME 380 127,58 252,43 2,95 2,95
138
AS OULED MEGHAZI
L’A.S OULED MEGHAZI s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit
totale de 19 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 200 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 888 133,20 6,66 139,86 1,35 188,81 94,41 2,19
COURT TERME 950 142,50 7,13 149,63 1,35 201,99 101,00 2,34
MOYEN
TERME 1000 150,00 7,50 157,50 1,35 212,63 106,31 2,46
LONG TERME 1100 165,00 8,25 173,25 1,35 233,89 116,94 2,71
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 80 94,41 14,41 19,00 2,19 16,81
COURT TERME 80 101,00 21,00 19,00 2,34 16,66
MOYEN
80 19,00 16,54
TERME 106,31 26,31 2,46
LONG TERME 80 116,94 36,94 19,00 2,71 16,29
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 14.41 m3 qui attiendra 36.94
m3 à long terme.
AS HAMAICIA
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 91,54 91,54 2,12 2,12
COURT TERME 95,68 95,68 2,21 2,21
MOYEN
TERME 101,00 101,00 2,34 2,34
LONG TERME 111,63 111,63 2,58 2,58
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 91.54 m 3 qui attiendra 111.63
m3 à long terme.
139
AS REZAMA
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 75,27 24,73 1,74 1,74
COURT TERME 100 79,73 20,27 1,85 1,85
MOYEN
100 14,95
TERME 85,05 1,97 1,97
LONG TERME 100 95,68 4,32 2,21 2,21
ZONE EPARSE
ZONE EPARSE s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale de
7 l/s.
L’agglomération possède 05 réservoirs d’une capacité de 920 m3.
Nbre Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 4354 348,32 1,35 470,23 235,12 5,44
COURT TERME 4400 352,00 1,35 475,20 237,60 5,50
MOYEN
356,00
TERME 4450 1,35 480,60 240,30 5,56
LONG TERME 4550 364,00 1,35 491,40 245,70 5,69
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 440 235,12 204,88 7,00 5,44 1,56
COURT TERME 440 237,60 202,40 7,00 5,50 1,50
MOYEN
440 199,70 7,00 1,44
TERME 240,30 5,56
LONG TERME 440 245,70 194,30 7,00 5,69 1,31
140
RESERVOIR PROJETEE
ACL et AS OUM EL DROU
141
3- ASSAINISSEMENT
La commune de CHLEF
ACL CHLEF
ACL CHLEF est dotée de réseaux d’assainissement de type
unitaire qui couvre toute l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers la station
d’épuration située à proximité d’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état sauf pour tissu urbain colonial et certains
Cartiers comme RADAR, CHORFA HASSANIA, LALA OUDA et OULED MOHAMED qui sont
vétustes.
À l’état actuel la STEP assaini les eaux usées, mais elle sera saturée plus tard
AS. M O U A F K I A - T E G A G R A
142
AS. ERRAMLIA - EL MKHETERIA
ERRAMLIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers d’oued CHLEF. Les collecteurs sont on
bonne état
Mais pour EL MKHETERIA il existe une étude approuvé non réalisé
AS. C H O U I E T
RECOMMANDATION
143
Commune de SENDJAS
L’assainissement de La commune de SENDJAS est représenté par des rejets Vers les
oueds, dont certains à travers des bassins de décantations
ACL SENDJAS
BENI OUEDRENE est assainie par un réseau d’assainissement de type unitaire compose de
plusieurs collecteurs de différant diamètres qui couvre toute agglomération, les eaux sont
acheminées vers un seul point de rejeté passer par un déversoir d’orage avant de drainées dans
un bassin de décantation qui rejetée dans oued TSIGHAOUT.
AS. KHELAILIA
A.S. SOUAMET
L’assainissement de l’A.S. SOUAMET est représenté par des rejets Vers l’oued à travers
des bassins de décantations
A.S. AMAMRA
A.S. SI YOUSEF
Agglomération secondaire de SI YOUSEF est doté d’un réseau d’assainissement de type unitaire
compose par deux collecteur principal est des collecteurs secondaires est tertiaires, de différent
diamètres Ø300 et Ø400 en PVC et Ø500, Ø600 en CAO, les eaux sont acheminées vers deux
point de rejet passant par deux déversoir d’orage avant de drainées dans deux bassin de
décantation, les deux rejetée dans oued TSIGHAOUT.
Le réseau est récemment réalisé.
144
A.S. CHERAIRIA
Agglomération secondaire de OULED HENNI est assainie par un réseau d’assainissement de type
unitaire compose par deux collecteurs principaux est des collecteurs secondaire est tertiaires de
diamètres varient entre Ø300 et Ø1000, les eaux sont acheminées vers deux point de rejet le
première dans oued TILEFT est ledeuxième dans un Chabat.
RECOMMANDATION
145
Commune d’OUM EL DROU
L’assainissement de La commune d’OUM EL DROU est représenté par des rejets Vers les oueds,
dont certains à travers des bassins de décantations
L’ACL OUM EL DROU est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS GUELAFTIA
AS GUELAFTIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS BESSAKRIA
AS BESSAKRIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre une partie de
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS El HAMMAM
L’AS : El HAMMAM est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS MENASRIA
A.S MENASRIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS BOUCCA CHEKALLIL
A.S BOUCCA CHEKALLIL est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre
toute l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS MAIZIA
A.S MAIZIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
146
AS OULED MEGHAZI
A.S OULED MEGHAZI est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font a travers des bassins de décantations
AS HAMAICIA
A.S HAMAICIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS REZAMA
A.S REZAMA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
RECOMMANDATION
147
II Orientations en matière de protection de l’environnement
Garantir un cadre de vie sain par une gestion des déchets, des eaux usées, et des espaces
verts ;
Prévenir toute forme de pollution ou de nuisance causée à l'environnement en garantissant
la sauvegarde de ses composantes ;
Prévenir les aléas des risques majeurs ;
Restaurer les milieux naturels endommagés ;
Promouvoir l'utilisation écologiquement rationnelle des ressources naturelles disponibles,
Intégrer l'usage d’énergie propre et renouvelable : (solaire et éolienne) ;
Renforcer l'information, la sensibilisation et la participation du public et des différents
intervenants aux mesures de protection de l'environnement ;
Une gestion de déchets écologique qui exigera un système de tri, de récupération et de
compostage adéquat ;
Un système de récupération des eaux pluviales et un système d’épuration lagunaire ;
L’aménagement d’espaces verts, de fresques, de fontaines et de toilettes publiques.
Le tri sélectif et la valorisation des déchets :
Trois grandes méthodes d’élimination des déchets ménagers solides sont connues, à
savoir :
1- L’élimination des déchets par incinération, est la méthode la plus couteuse, qui nécessite
de grands incinérateurs destinés à cet effet, dont le principe est de faire éliminer les
déchets ménagers et assimilés par brulage,
2- L’élimination des déchets par les différents types de compostage.
3- L’élimination des déchets par enfouissement.
Pour des raisons économiques mais surtout écologiques, la mise en décharge n’est pas
convenable pour la totalité des déchets solides urbains.
En effets, l’enfouissement de l’ensemble des volumes de déchets générés par les activités
urbaines entraînerait la diminution de la durée de vie des centres d’enfouissement technique
(CET), et par conséquent la nécessité de création d’autres CET d’une part, la récupération de
certains déchets non biodégradables est très bénéfique sur le plan écologique, d’autre part.
Actuellement il est difficile d’estimer la quantité réelle de revalorisation des déchets pour la
simple raison qu’aucun tri n’est effectué au niveau des ménages, les déchets sont mélangés dans
la poubelle, les composants des déchets son souillés. Les seuls composants qui font l’objet d’une
revalorisation sont le plastique et les métaux. Les autorités concernées peuvent orienter les
promoteurs privés vers la création de micro entreprises de récupération, susceptibles de créer de
l’emploi, de diminuer les quantités de déchets et donc prolonger la durée de vie du centre
d’enfouissement technique.
Sur le plan économique, le marché de la récupération intéresse de plus en plus de
personnes :
- Ruées des jeunes et moins jeunes sur les décharges publiques ;
- Les services offerts par certains particuliers qui sillonnent les différents quartiers avec
leurs véhicules dans le but de récupérer d’éventuels objets inutilisables par les
ménages ;
- La création de micro-entreprise de récupération qui permet, outre la création de
nombreux poste d’emploi au sein des jeunes, la réduction du volume total des déchets
destinés à la mise en décharge demeure, donc, une nécessité.
Le terme « récupération » englobe les opérations de collecte, transport, stockage, tri et
traitement de certains produits ou matériaux de déchets à des fins de réemploi, de recyclage et de
réutilisation, soit leur valorisation.
148
En somme, la gestion écologique des déchets doit s’appuyer sur une hiérarchie d’action ou
d’objectifs :
1- Réduire le plus possible la masse de déchet ;
2- Promouvoir le traitement et l’élimination des déchets ;
3- Encourager le recyclage écologiquement rationnel des déchets ;
4- Etendre les services en matière de déchets.
L’intensification de la récupération des déchets produit d’une part, une diminution de la quantité
de déchets à élimine et dynamiser d’autre part, les activités de recyclage existantes déjà dans les
secteurs formels. La récupération de déchets relève donc de l’intérêt public.
A la lumière des constats que l’on peut faire aujourd’hui sur la collecte sélective ou
« récupération » de certains déchets (papiers, cartons et particulièrement le plastique) par les
éboueurs eux-mêmes lors du ramassage des ordures ménagères d’une part, et de la récupération
qui en est faite au niveau des décharges elles-mêmes d’autres part, l’existence d’un marché de
valorisation de certains produits est indéniable.
L’aménagement d’un autre CET intercommunale qui prendra en charge les déchets de
la commune de SENDJAS mais aussi d’autres communes mitoyenne comme la
commune d’EL HADJAJA.
La mise en place d’un CET doit prendre en considération non seulement les aspects
environnementaux et technique mais aussi les aspects communautaires.
Le choix de l’implantation peut s’avérer très important vu les conséquences qu’il peut avoir
sur le milieu et sur l’environnement. En conséquent, le site ne doit, impérativement pas, être
placés sur des parcs naturels ou des zones naturels protégées, des zones militaires ou encor
proche des lieux d’habitations (la limite est de 200 mètres), loin aussi des aéroports avec une
distance minimum de 5 km. La zone ne doit pas contenir des mines souterraines ou des
marécages.
D’autre part, le site destiner àl’aménagement du CET doit convenir du point de vu
géologique (nature du terrain), géotechnique (tremblement de terre et glissement de terrain) et
hydrogéologique (inondation). Il doit aussi prendre en considération les effets des émissions
(odeurs, bruits, poussières…).
A la suite du choix du site et de l’aménagement du CET, ce dernier doit être munis d’un
poste de contrôle, d’un parking, d’installation sanitaires, d’éclairage, d’une clôture avec un portail
d’entrée, et de routes bien distingue pour l’accessibilité.
149
III Orientation en matière de prévention des risques majeurs
1- Risque d’inondations
Aménagement des oueds par gabionnage Calibrage, Dragage et Curage des oueds
Dans les zones les plus inondables oueds Tisghaout au Sendjas
2- Gonflement d’argile
Les quelques précautions devant être prises pour mieux cerner le problème sont :
- Il y a lieu d’adopter un système de fondation des plus rigides aptes à répondre à d’éventuels
soulèvements du sous-sol par gonflement en disposant un remblai compact avec des matériaux
non gonflant au-dessus des semelles ou une couche de gros béton.
- Prévoir des drains aptes a empêché l’arrivée d’eau dans le sol de fondation pour permettre
l’évacuation immédiate de toute accumulation d’eau superficielle.
- Il est à signaler que la présence de la nappe nécessite pour la réalisation des travaux d’un
rabattement (par pompage) de celle-ci, de plus nous conseillons donc de réaliser ces travaux de
fondation en période sèche.
- Plantation des arbres ayant un grand pouvoir absorbant, pour mieux retenir les sols (pour
l’équilibre des sols).
- Drainage des eaux, cette eau aura une influence négative sur les projets de construction si elle
n’est pas drainée. Il est recommandé d’éviter les infiltrations par un drainage périphérique adéquat
et un drainage au sein même du terrain.
- Choix des matériaux de chaussée, la couche d’assise de nature marneuse et sensible à l’eau
devra être protégée contre les venues d’eaux pluviales éventuelles par un remblai sélectionné et
drainé.
- Prévoir des soutènements au niveau des pentes, les côtés équipés de drains afin d’éviter que les
constructions ne soient pas déplacées.
- Procéder à des fondations enchaînées par des longrines rigides afin d’uniformiser les
mouvements du sol.
- Prévoir des soutènements au niveau des pentes coté Oued équipés de drains afin d’éviter que
les constructions glissent ou soient déplacées.
- Plantation des arbres ayant un grand pouvoir absorbant, pour mieux retenir les sols.
Elles affectent les assises Astiennes surplombant des terrains marneux Plais anciennes et sont
caractérisées par des ruptures de falaises et des fluages des marnes.
4- Risque sismique
150
5- Risque de feux de foret
Les forêts du groupement exigent un programme d'aménagement soutenu (reboisement, entretien
pour leur réhabilitation dans le paysage naturel. Celles qui avoisinent les zones urbaines doivent
constituer des équipements à fonctions récréatives pour les citadins.
Parmi les mesures prises ou à prendre pour réduire l’aléa feu de forêt ou la vulnérabilité des
enjeux, on peut citer :
Les mesures collectives : La prévention consiste en une politique globale d'aménagement et
d'entretien de l'espace rural et forestier :
- Repérer les chemins d'évacuation, et lesabris ;
- Interdiction saisonnière de l’usage du feu dans les zones à risque ;
- Renforcement du matériel de lutte contre l’incendie (points d'eau, camion-citerne…) et mise en
place d’accès pompier ;
- Entretien les tranchets par feux (T.P.F) et débroussaillage régulier ;
- Ouvertures de nouvelles pistes d’accès ;
- Information aux habitants des mesures de prévention ;
- Rondes de surveillance.
Les mesures individuelles : Le débroussaillement et le maintien à l’état débroussaillé sont
obligatoires dans les forêts, plantations autour des habitations, chantiers, ateliers, voies privées et
publiques ;
151
CHAPITRE IV :
REGLEMENT
D’URBANISME
152
V. REGLEMENT D’URBANISME DU PDAU INTERCOMMUNAL DE CHLEF-
SENDJAS-OUMDROU
Le présent règlement d’urbanisme fixe les règles applicables pour chaque zone comprise dans les
secteurs tels que définis par la loi 90.29 du 1er Décembre 1990 relative à l’aménagement et à
l’urbanisme, modifiée et complétée par la loi 05-04 du 14 Aout 2004, il détermine :
► L’affectation dominante des sols.
► Les périmètres d’intervention des plans d’occupation des sols avec les termes de références y
afférents en faisant apparaître les zones d’interventions sur les tissus urbains existants et ceux
des zones à protéger.
► La densité générale à maintenir à modifier ou à créer.
► La localisation et la nature des grands équipements, des infrastructures, des servitudes et des
activités.
En outre il définit les conditions particulières de construire à l’intérieur de certaines parties du
territoire comme les terrains à caractère naturel ou culturel ainsi que les terres agricoles à
potentialités élevées ou bonnes.
Le support cartographique qui lui est annexé se compose des plans état de fait, aménagement,
secteurs, POS et des plans de servitudes : voirie, assainissement, alimentation en eau potable.
153
Les servitudes à maintenir, à modifier ou à créer.
Les périmètres d’intervention des plans d’occupation des sols avec les termes de références y
afférents en faisant apparaître les zones d’intervention sur les tissus urbains existants et ceux des
zones à protéger.
La localisation et la nature des grands équipements, des infrastructures, des services et des
activités.
Il définit en outre les conditions de constructions particulières applicables à certaines parties du
territoire.
154
Secteur S.U20 : Agglomération Secondaire MOUAFKIA-TEGAGRA (zone occupée par
l’habitat et équipements).
Secteur S.U21 : Agglomération Secondaire MOUAFKIA-TEGAGRA (zone occupée par
l’habitat et équipements).
Secteur S.U22 : Agglomération Secondaire CHOUIET (zone occupée par l’habitat et
équipements).
155
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS URBANISES
A – CARACTERE DES SECTEURS : S.U 1 ; S.U2 ; S.U 3 ; S.U 4 ; S.U 5 ; S.U 6 ; S.U 7 ; S.U 8 ;
S.U 9 ; S.U 10 ; S.U 11 ; S.U 12 ; S.U 13 ; S.U 14 ; et S.U15.
Ce secteur concerne respectivement l’agglomération chef-lieu :
Cette agglomération est entourée de terres agricoles, et dont les constructions sont généralement
en Rez de Chaussé, parfois du R+1 ou du R+2.
Pour ce secteur, il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.
B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS :
ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS :
Sont interdits
Les établissements industriels de troisièmes degrés ;
Industries nuisibles à l’hygiène et au respect de l’environnement ;
Les constructions ou installations qui par leur nature, leur importance ou leur aspect seraient
incompatibles avec la sécurité, la salubrité, la commodité ou le caractère du voisinage ;
Les constructions présentant un caractère précaire.
156
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Toute nouvelle construction doit être raccordée aux réseaux publics d’alimentation d’eau
potable, d’assainissement, d’électricité et de gaz conformément à la réglementation en vigueur et
aux dispositions techniques prévues pour les projets correspondants.
Réseau d’Assainissement
Toute nouvelle construction ou aménagement nouveau doit obligatoirement évacuer ses eaux
usées par canalisations souterraines au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Réseau d’Alimentation en Eau Potable
Toute nouvelle construction doit être accordée au réseau collectif de distribution d’eau potable. Le
branchement sur le réseau se fera obligatoirement aux points de branchements prévus à cet effet.
Réseau d’Electricité, Gaz et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique et du gaz
ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent
être réalisés en souterrain.
Les maîtres d’ouvrages devront se conformer aux prescriptions techniques des organismes
compétents.
157
L’emprise au sol maximale est fixée à :
CES max = 100 % si la surface S ≤ 100 M²
CES max = 70 % si 100 m² < surface S ≤ 200 m²
CES max = 60% si 200 m² < surface S< 350 m²
Pour les parcelles de terrain dont la surface S est supérieure à 350 m², l’emprise maximale du
bâti ne doit pas dépasser 200 m².
Pour l’habitat collectif
. L’emprise maximale est selon la densité des logements
Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est fixée est selon la densité des logements.
Murs et Façades
Les différents murs d’un bâtiment y compris les annexes qu’ils soient aveugles ou non, visibles ou
non de la voie publique, doivent être construits en matériaux de même nature ou ayant entre eux
une suffisante parenté d’aspect et de couleur.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Toitures
Sont interdites toutes couvertures en amiante ciment et tôle ondulée.
Clôtures
Lorsqu’une clôture s’impose pour des raisons de fonctionnement plusieurs cas se présentent.
1 – La clôture transparente
Elle sera constituée d’un soubassement plein de 50 à 80 cm au maximum surmonté d’un
élément ajouré de façon que la hauteur de l’ensemble n’excède pas 1,80 mètre.
2 – La clôture opaque
Elle sera constituée d’un mur opaque dont le revêtement extérieur sera un matériau
esthétique.
Il est recommandé les matériaux de texture suivants :
Pierre de parement
Enduit de ciment peint en couleur, intégré aux clôtures des constructions environnantes.
La hauteur du mur opaque sera fixée en fonction des clôtures environnantes afin de permettre
la perception de la continuité de façade.
La hauteur sera au maximum de 2,20 mètres.
158
Les aménagements des façades commerciales
Aucun élément de la devanture ne peut présenter une saillie supérieure à 16 cm.
Façades commerciales – Enseigne et publicité murale
Les enseignes lumineuses et publicitaires : Les sigles commerciaux peuvent être autorisés si leur
aspect, leur luminosité et leur réalisation ne présente pas de gène ou de risques pour la circulation
des piétons ou des automobilistes et qu’elles ne dénaturent pas le paysage environnant.
Traitement des façades
- Les traitements de façades doivent être individualisés par bâtiment ou groupe homogène de
bâtiments (îlot, rue, zone réglementaire).
- La forme et la taille des ouvertures restent à l’appréciation du ou des maîtres d’œuvres.
- Toutefois l’administration pourra tirer argument d’une meilleure intégration architecturale pour
demander une révision de formes ou de dimensions d’ouvertures.
- Les séchoirs à linge sont obligatoirement dérobés à la vue directe par des dispositifs appropriés
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Les projets de constructions nouvelles devront prévoir dans l’emprise foncière qu’ils occupent un
nombre de places de stationnement de véhicules conformes aux ratios suivants :
- Habitat Collectif : 1 Place pour 2 logements
- Construction à usage de bureaux : 1 Place pour 30 m² de plancher hors œuvre en sous-sol.
- Etablissement commercial : 1 Place pour 15 m² de surface de vente.
- Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysager urbain.
- Le traitement entre aires de circulation et places de stationnement devra être différencié.
159
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR : S.U16 ; S.U17/ZA ; S.U18 ;
S.U19 ; S.U20 ; S.U21 et S.U22
160
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements aux lignes électriques ainsi
qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être
réalisés de préférence en souterrain.
161
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
Pour l’habitat individuel.
L’emprise au sol maximale est fixée à :
100 % : si la surface S ≤ 100 M²
70 % : si 100 m² < surface S ≤ 200 m²
60 % : si 200 m² < surface S < 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S> 350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100 m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
163
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS A URBANISER
164
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL
165
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
166
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.
167
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR D’URBANISATION FUTURE
168
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.
169
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
CES max = 100 %, si la surface S ≤ 100 m²
CES max = 70 %, si 100 m² < surface S ≤ 200 m²
CES max = 60 %, si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S> 350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².
Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements
Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.
170
ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES
Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aires de jeux
et de détente.
Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.
Mobilier urbain
Bancs : Veiller à intégrer les bancs et sièges au revêtement de sol et à l’ensemble des autres
aménagements paysagers. Les formes et matériaux doivent être étudiés.
Fontaines et bassins : Pour des raisons de sécurité, prévoir des bassins peu profonds (max 0,40
mètres), limités par des bordures arrondies.
Le revêtement au sol devra être rugueux (antidérapant) à proximité de ces installations.
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.
171
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS NON URBANISABLES
172
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL
173
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR SNU2
174
ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN
Néant
L’emprise des constructions à usage d’habitation ne doit pas excéder les deux cents cinquantième
(1/250) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure à cinq (5) hectares. Elle est
majorée de vingt (20) mètre carrés par fraction d’hectare supérieure pour les propriétés dont la
superficie est comprise entre cinq (5) et dix (10) hectares et au-delà, de dix(10) mètres carrés par
fraction d’hectare supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité et présentant contraintes topographiques, l’emprise
ne doit pas excéder le dixième (1/10) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure
à mille (1000) mètres carrés. Au-delà, elle est majorée de vingt (20) mètres carrés par fraction de
mille (1000) mètres carrés supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité autres que celles présentant de fortes contraintes
topographiques, l’emprise des constructions ne doit pas excéder le centième (1/100) de la
superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de limites et de majoration.
175
Néant.
176
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR SNU3
Article 01
Le périmètre définit de l’aéroport de la ville de Chlef situant dans la commune de Chlef, par une
superficie totale de : 136,2 ha.
Article 02
La zone de sécurité et de protection de l’aéroport de Chlef est définie comme suit :
1- Les zones situant le long de l’axe de piste 26/08 :
1-1 A l’Est de l’aéroport
- Jusqu’à 2 km de piste de décollage et d’une largeur de 400 m de part et d’autre de l’axe de
piste, toute construction est interdite.
- Entre 2 km et 3 km de piste de décollage 26 et d’une largeur de 500 m de part et d’autre de
l’axe de piste toutes les constructions ne devant pas dépasser la hauteur de 8 m maximum.
- Entre 3 km et 4 km dépiste de décollage 26 et d’une largeur de 700 m de part et d’autre de
l’axe de piste (lieudit Bolet el Hammam, Ouled Rouadhi) les constructions tolérer de hauteur
maximum 20 m.
177
Article 03
Toute la construction ou implantation d’arbres à hauteur considérable sera soumise à l’avance à la
consultation à l’intérêt technique de l’entreprise national de l’aéronautique et cela tout le long du
périmètre de l’aéroport de Chlef définis dans l’article 02 cités en haut.
Article 04
Les personnes concernées par la zone de sécurité et de protection sont obligées de se conformer
aux dispositions de la présente résolution et chaque infraction subieà son propriétaire de prendre
une action judiciaire contre lui.
Article 05
Cette décision se publie dans deux journaux quotidiens (langue arabe et française) et afficher au
niveau de siège de la commune et toute les endroits alloués à cet effet.
Article 06
Attribué à chacun des éléments suivant : le secrétaire général de la wilaya,le directeur de
l’organisation et les affaire général, le directeur de transport, le directeur des travaux public, le
directeur de la construction et d’urbanisme, le directeur des domaines de l’état.Le directeur des
services agricole, le directeur du cadastre, le chef de daïra de Chlef, le chef de daïra de Ouled
Fares, le président du conseil populaire municipal de la commune de Chlef , le président du
conseil municipal de la commune de Chettia, le commandant du groupe de la gendarmerie
nationale , le président de la sureté wilaya et chacun selon ca spécialité, la mise en œuvre de la
présente résolution qui sera publier dans le code des contrats administratifs.
178
REGLEMENT DE LA ZONE DE DEPOT
A- Caractéristiques de la zone :
La zone de dépôt en question est située au Nord de l’agglomération de CHLEF, en dehors des
secteurs de l’urbanisation de l’agglomération.
Elle s’étend d’Est en Ouest sur une superficie de 88 ha.
Il s’agit d’une zone uni fonctionnelle à vocation d’entreposage.
Elle est limitée :
Au Nord par un cimetière et une forêt,
Au Sud par des terrains agricoles,
A l’Ouest par une forêt et des terrains agricoles,
A l’Est par des terrains agricoles.
L’installation dans cette zone est subordonnée à l’autorisation des services compétents.
B- Nature de l’occupation et de l’utilisation de sol à autoriser :
Des constructions à usage d'habitation destinées au personnel dont la présence permanente est
nécessaire au bon fonctionnement et à la surveillance des édifices.
Les bâtiments de service et les annexes lies au bon fonctionnement des établissements de la
zone de dépôt.
179
Les constructions doivent respecter les reculs prescrits selon l’autorisation des services
compétents.
Dans le souci d'harmonie, les constructions édifiées en limite séparative, devront si possible
s’accorder aux constructions voisines si celle-ci sont déjà implantées en limite.
Article 8/:IMPLANTA TION DES CONSTRUCTION LES UNES PAR RAPPORT AUX AUTRES:
L'implantation des constructions sera soumise aux conditions édictées par les services
compétents.
180
2- REGLEMENT D’URBANISME DE LA COMMUNE DE SENDJAS
DISPOSITIONS GENERALES
181
Secteur S.U10 : Agglomération Secondaire AMAMRA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U11: Agglomération Secondaire OULED HENNI (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U12: Agglomération Secondaire CHERAIRIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U12: Agglomération Secondaire SI YOUCEF (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteurs S.U13et S.U14: Agglomération Secondaire SI YOUCEF (zone occupée par l’habitat
et équipements).
182
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS URBANISES
183
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Toute nouvelle construction doit être raccordée aux réseaux publics d’alimentation d’eau
potable, d’assainissement, d’électricité et de gaz conformément à la réglementation en vigueur et
aux dispositions techniques prévues pour les projets correspondants.
Réseau d’Assainissement
Toute nouvelle construction ou aménagement nouveau doit obligatoirement évacuer ses eaux
usées par canalisations souterraines au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Réseau d’Alimentation en Eau Potable
Toute nouvelle construction doit être accordée au réseau collectif de distribution d’eau potable. Le
branchement sur le réseau se fera obligatoirement aux points de branchements prévus à cet effet.
Réseau d’Electricité, Gaz et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseauélectrique et du gaz
ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent
être réalisés en souterrain.
Les maîtres d’ouvrages devront se conformer aux prescriptions techniques des organismes
compétents.
184
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
Le coefficient d’emprise au sol (C.E.S) est le rapport entre la surface au sol hors œuvres et la
surface de la parcelle.
185
La hauteur du mur opaque sera fixée en fonction des clôtures environnantes afin de permettre
la perception de la continuité de façade.
La hauteur sera au maximum de 2,20 mètres.
Les aménagements des façades commerciales
Aucun élément de la devanture ne peut présenter une saillie supérieure à 16 cm.
Façades commerciales – Enseigne et publicité murale
Les enseignes lumineuses et publicitaires : Les sigles commerciaux peuvent être autorisés si leur
aspect, leur luminosité et leur réalisation ne présente pas de gêne ou de risques pour la circulation
des piétons ou des automobilistes et qu’elles ne dénaturent pas le paysage environnant.
Traitement des façades
- Les traitements de façades doivent être individualisés par bâtiment ou groupe homogène de
bâtiments (îlot, rue, zone réglementaire).
- La forme et la taille des ouvertures restent à l’appréciation du ou des maîtres d’œuvres.
- Toutefois l’administration pourra tirer argument d’une meilleure intégration architecturale pour
demander une révision de formes ou de dimensions d’ouvertures.
- Les séchoirs à linge sont obligatoirement dérobés à la vue directe par des dispositifs appropriés
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Les projets de constructions nouvelles devront prévoir dans l’emprise foncière qu’ils occupent un
nombre de places de stationnement de véhicules conformes aux ratios suivants :
- Habitat Collectif : 1 Place pour 2 logements
- Construction à usage de bureaux : 1 Place pour 30 m² de plancher hors œuvre en sous-sol.
- Etablissement commercial : 1 Place pour 15 m² de surface de vente.
- Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysager urbain.
- Le traitement entre aires de circulation et places de stationnement devra être différencié.
186
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR : S.U5 ; S.U6 ; S.U7 ; S.U8 ; S.U9 ;
S.U10 ; S.U11 et S.U14
A – CARACTERE DU SECTEUR : S.U4 ; S.U5; S.U6 ; S.U7 ; S.U8 ; S.U9 ; S.U10; S.U11et
S.U14
Ce secteur concerne respectivement les agglomérations secondaires suivantes :
AMAMRA, SOUAMET, BENI OUEDRENE, KHELAILIA, OULED SI AHMED, OULED HENNI,
CHERAIRIA et SI YOUCEF
Ces agglomérations sont tous entourées de terres agricoles, et dont les constructions sont
généralement en Rez deChaussé, parfois du R+1 ou du R+2.
Pour ce secteur il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.
187
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements aux lignes électriques ainsi
qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être
réalisés de préférence en souterrain.
188
L’emprise au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale.
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100 m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
189
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS A URBANISER
190
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.
191
Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.
192
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.
193
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR S.A.U2/Z.A
Surface Foncière :5 ha
194
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL
195
ARTICLE9 / EMPRISE AU SOL (C.E.S)
Se référer aux clauses du cahier des charges.
196
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR A URBANISATION FUTURE
197
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.
198
Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
Pour les équipements
L’emprise au sol maximale estselon la densité des logements.
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
199
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.
200
DISPOSITIONS APPLICABLES AUXSECTEURS NON URBANISABLES
201
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL
ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE
Néant
Néant.
202
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR SNU2
203
ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN
Néant
L’emprise des constructions à usage d’habitation ne doit pas excéder les deux cents cinquantième
(1/250) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure à cinq (5) hectares. Elle est
majorée de vingt (20) mètre carrés par fraction d’hectare supérieure pour les propriétés dont la
superficie est comprise entre cinq (5) et dix (10) hectares et au-delà, de dix(10) mètres carrés par
fraction d’hectare supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité et présentant contraintes topographiques, l’emprise
ne doit pas excéder le dixième (1/10) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure
à mille (1000) mètres carrés. Au-delà, elle est majorée de vingt (20) mètres carrés par fraction de
mille (1000) mètres carrés supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité autres que celles présentant de fortes contraintes
topographiques, l’emprise des constructions ne doit pas excéder le centième (1/100) de la
superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de limites et de majoration.
204
ARTICLE 13/ PLANTATION DES ESPACES LIBRES
Néant.
205
3- REGLEMENT D’URBANISME DE LA COMMUNE DE OUM-DROU
DISPOSITIONS GENERALES
206
Secteur S.U12: Agglomération Secondaire HEMAISSIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U13: Agglomération Secondaire HEMAISSIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U14: Agglomération Secondaire MENASSERIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U15: Agglomération Secondaire EL HAMMAM (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U16: Agglomération Secondaire OULED GHAZI (zone occupée par l’habitat et
équipements).
Secteur S.U17: Agglomération Secondaire CHEKALIL EL HAMMAM (zone occupée par
l’habitat et équipements).
3.2 – Secteurs à urbaniser Incluent les terrains destinés à être urbaniser à court et moyen
terme, à un horizon de trois (03) ans dans l’ordre de priorité prévue par le Plan Directeur
d’Aménagement et d’Urbanisme.
Secteur S.A.U1 : Terrain destiné à l’urbanisation au niveau de l’A C L.
Secteur S.A.U2: Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à moyen terme.
3.3 – Secteurs non urbanisables Sont ceux dans lesquels les droits de construire peuvent être
soit proscrites, soit édictés mais réglementés dans des proportions limitées, compatibles avec
l’économie générales des territoires de ces secteurs.
Secteur S.N.U2 : Zone des exploitations agricoles qui constituent une richesse économique
non renouvelable (terres agricoles).
207
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS URBANISES
208
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Toute nouvelle construction doit être raccordée aux réseaux publics d’alimentation d’eau
potable, d’assainissement, d’électricité et de gaz conformément à la réglementation en vigueur et
aux dispositions techniques prévues pour les projets correspondants.
Réseau d’Assainissement
Toute nouvelle construction ou aménagement nouveau doit obligatoirement évacuer ses eaux
usées par canalisations souterraines au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Réseau d’Alimentation en Eau Potable
Toute nouvelle construction doit être accordée au réseau collectif de distribution d’eau potable. Le
branchement sur le réseau se fera obligatoirement aux points de branchements prévus à cet effet.
Réseau d’Electricité, Gaz et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseauélectrique et du gaz
ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent
être réalisés en souterrain.
Les maîtres d’ouvrages devront se conformer aux prescriptions techniques des organismes
compétents.
209
ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX
AUTRES
Des constructions peuvent être contiguës ou séparées.
L’espace entre deux constructions contiguës devra être étanche et traité en joint sur toute la
hauteur.
210
Murs et Façades
Les différents murs d’un bâtiment y compris les annexes qu’ils soient aveugles ou non, visibles ou
non de la voie publique, doivent être construits en matériaux de même nature ou ayant entre eux
une suffisante parenté d’aspect et de couleur.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Toitures
Sont interdites toutes couvertures en amiante ciment et tôle ondulée.
Clôtures
Lorsqu’une clôture s’impose pour des raisons de fonctionnement plusieurs cas se présentent.
1 – La clôture transparente
Elle sera constituée d’un soubassement plein de 50 à 80 cm au maximum surmonté d’un
élément ajouré de façon que la hauteur de l’ensemble n’excède pas 1,80 mètre.
2 – La clôture opaque
Elle sera constituée d’un mur opaque dont le revêtement extérieur sera un matériau
esthétique.
Il est recommandé les matériaux de texture suivants :
Pierre de parement
Enduit de ciment peint en couleur, intégré aux clôtures des constructions environnantes.
La hauteur du mur opaque sera fixée en fonction des clôtures environnantes afin de permettre
la perception de la continuité de façade.
La hauteur sera au maximum de 2,20 mètres.
Les aménagements des façades commerciales
Aucun élément de la devanture ne peut présenter une saillie supérieure à 16 cm.
Façades commerciales – Enseigne et publicité murale
Les enseignes lumineuses et publicitaires : Les sigles commerciaux peuvent être autorisés si leur
aspect, leur luminosité et leur réalisation ne présente pas de gène ou de risques pour la circulation
des piétons ou des automobilistes et qu’elles ne dénaturent pas le paysage environnant.
Traitement des façades
- Les traitements de façades doivent être individualisés par bâtiment ou groupe homogène de
bâtiments (îlot, rue, zone réglementaire).
- La forme et la taille des ouvertures restent à l’appréciation du ou des maîtres d’œuvres.
- Toutefois l’administration pourra tirer argument d’une meilleure intégration architecturale pour
demander une révision de formes ou de dimensions d’ouvertures.
- Les séchoirs à linge sont obligatoirement dérobés à la vue directe par des dispositifs appropriés.
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Les projets de constructions nouvelles devront prévoir dans l’emprise foncière qu’ils occupent un
nombre de places de stationnement de véhicules conformes aux ratios suivants :
- Habitat Collectif : 1 Place pour 2 logements
- Construction à usage de bureaux : 1 Place pour 30 m² de plancher hors œuvre en sous-sol.
- Etablissement commercial : 1 Place pour 15 m² de surface de vente.
- Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysager urbain.
- Le traitement entre aires de circulation et places de stationnement devra être différencié.
211
D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL
212
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR S.U2 et S.U11
Surface Foncière :S.U2=23 ha et S.U11=21,40 ha
213
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL
214
ARTICLE9 / EMPRISE AU SOL (C.E.S)
Se référer aux clauses du cahier des charges.
215
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR : S.U7 ; S.U8 ; S.U9 ; S.U10 ;
S.U11 ; S.U12 ; S.U13 ; S.U14 ;S.U15 ; S.U16 et S.U17
A – CARACTERE DU SECTEUR : S.U7 ; S.U8; S.U9 ; S.U10 ; S.U11 ; S.U12 ; S.U12 ;S.U13 ;
S.U14 ;S.U15 ;S.U16 et S.U17.
Ce secteur concerne respectivement les agglomérations secondaires suivantes :
GUELAFTIA- REZAMA- BESSAKRA- HEMAISSIA- MAIZIA- MENASSERIA- OULED GHAZI-
CHEKALIL- EL HAMMAM
Ces agglomérations sont tous entourées de terres agricoles, et dont les constructions sont
généralement en Rez de Chaussé ,parfois du R+1 ou du R+2.
Pour ce secteur il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.
216
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements aux lignes électriques ainsi
qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être
réalisés de préférence en souterrain.
217
Pour les équipements.
La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme
11 / ASPECT EXTERIEUR
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100 m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
218
ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS
Les conditions de dépassements et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.
219
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS A URBANISER
220
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.
221
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
Toutes les constructions doivent être construites en conformité avec les règles
parasismiques.
222
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit
être assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.
223
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR A URBANISATION FUTURE
224
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.
225
Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
Pour les équipements
La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme
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ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.
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DISPOSITIONS APPLICABLES AUXSECTEURS NON URBANISABLES
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public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées de préférence en
souterrain.
229
ARTICLE 10 / HAUTEURS DES CONSTRUCTIONS
La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme
ARTICLE 11/ ASPECT EXTERIEUR
Néant.
ARTICLE 12/ STATIONNEMENT
Néant.
ARTICLE 13/ PLANTATION DES ESPACES LIBRES
Néant.
D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL
ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL
Néant.
ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS
Néant.
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