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Sommaire

Chapitre I : SYNTHESE DU BILAN DIAGNOSTIQUE


I Présentation du groupement des communes…………………………………..03
II Milieu physique……………………………………………………………………...05
III Risques majeurs……………………………………………………………………08
IV l’Etat de l’environnement…………………………………………………………11
V Analyse socioéconomique………………………………………………………..18
VI Activités et emplois……………………………….……………………………….24
VII Servitudes et contraintes……………………………………………………..25
VIII Le réseau urbain et rural du territoire du groupement des communes de Chlef,
Sendjas et Oum-Drou…………………………………………………………..36
IX Analyse urbaine des agglomérations…………………………………………..40
X Les activités…………………………………………………………………….……58

Chapitre II : PERSPECTIVES DE DEVELOPEMENT A L’ECHELLE DU


TERRITOIRE DU GROUPMENT DE COMMUNES
I Développement économique ……………………………………………………..63
1 Place du groupement dans le contexte régional (orientation du PATW) ………63
2 Développement du secteur agricole ………………………………………………..65
3 Développement du secteur industriel……………………………………………….67
4 Développement du tourisme ………………………………………………………..67
II Perspectives démographiques…………………………………………………...69
III programmations des besoins sociaux………………………………………….73
IV Le parti d’aménagement retenu………………………………………………….100
1 Le parti d’aménagement retenu à l’échelle du groupement (Urbain- rural)….….100
2 Le parti d’aménagement retenu pour chaque agglomération…………………….100

Chapitre III : LES IMPLICATIONS EN MATIERE D’INFRASTRUCTURES,


RESEAUX ET PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
I Orientation en matière des réseaux…….………………………………………….123
1 Voiries……………………………………….…………………………………..………123
2 Alimentation en eau potable………..……………………………………….…..…....125
3 Assainissement…………………………………………………………….………..…147
II orientations en matière de protection de l’environnement …………………..153
III Orientation en matière de prévention des risques majeurs……………….…155

Chapitre IV : REGLEMENT
I Règlement d’urbanisme du PDAU intercommunal de Chlef-Sendjas-Oumdrou..158
II Règlement d’urbanisme de la commune de Chlef…………………………...…158
III Règlement d’urbanisme de la commune de Sendjas……………………….….189
IV Règlement d’urbanisme de la commune de Oum-Drou……………………..…216

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CHAPITRE I :
SYNTHESE DU
BILAN
DIAGNOSTIQUE

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I- PRESENTATION DU GROUPEMENT DES COMMUNES

1- SITUATION GEOGRAPHIQUE ET ADMINISTRATIVE DU GROUPEMENT

Situé au sud-est du territoire de la wilaya, ce groupement de commun fait partie intégrante


de la vallée du moyen Chellif, il représente le territoire de la daïra de CHLEF qui est
composé par les communes de CHLEF, OUM DROU et SENDJAS, dont CHLEF constitue
en même temps le chef-lieu de wilaya.
LeréseauurbaindelawilayadeCHLEFestdominéparlebinômeCHLEF-
CHETTIAquiconcentreprèsdelamoitiédela populationurbainede lawilaya(215304habitants,
soit43,2%en2008)etpresquelequartdelapopulationtotaledelawilaya (21,5%).
2- SITUATION GEOGRAPHIQUE

Le territoire du groupement de communes en question est limité Au NORD par les


communes de LABIOTH MEDJADJA et OULED FARES( W.CHLEF ), à l’Est par les
communes de OULED ABBES,OUED EL FODDA,HARCHOUN et EL KARIMIA (
W.CHLEF ), au Sud par les communes de LAZHARIA et LARBAA
(W.TISSEMSILT), à l’Ouest par les communes de OULED BEN ABDELKADER,EL
HADJADJ, OUED SLY,CHETTIA et OULED FARES (W.CHLEF).

3- CARACTERISTIQUES GENERALES DU GROUPEMENT


Ce groupement de communes de part sa situation géographique et de part son
armature urbaine et les axes de liaisons qui le traversent, il constitue dans le cadre
régional un point d’articulation et de carrefour entre plusieurs régions :
- Entre l’Est et l’Ouest en étant traversé par les axes de liaison entre ALGER et
ORAN (Autoroute A1, route nationale n°04 et chemin de fer) en passant par
d’importantes villes du nord.
- Entre le Sud et le Nord en étant traversé par les axes reliant TISSEMSILT à
TENES par le moyen de la route nationale n° 19 qui perse les massifs du DAHRA
au nord et les massifs du OUARSENIS en passant par plusieurs villes des haut
plateaux et du nord.
L’atout géographique dont jouit le groupement autour de la ville de CHLEF à mi-
distance des deux grandes métropoles du pays ALGER et ORAN et le bénéfice du
passage de liaisons infra structurelles (Routes Nationales, Chemin de Fer, Gazoduc,
Lignes de Haute Tension lui confère le rôle de future métropole nationale comme le
stipule l’étude du schéma régional du Nord Centre qui regroupe 10 wilayates dont
CHLEF.

Cette nouvelle fonction prévue pour la ville de Chlef s’inscrit dans le rééquilibrage
régional dépassant le cadre de la wilaya. Dans cette optique, Chlef est appelée à
rayonner sur un espace plus large qui intégrera Relizane à l’Ouest, Ain-Defla à l’Est et
Tissemsilt au Sud.
Ces wilayas voisines forment un espace tampon entre les deux grandes aires
métropolitaines d’Alger et d’Oran où la ville de Chlef devra assurer le rôle de Métropole
d’Equilibre.
Cette situation stratégique d’articulation et de liaison sera d’autant plus appuyée dans le
future par la réalisation de l’autoroute reliant TISSEMSILT-TENES et la voie de chemin de
fer reliant CHLEF-TENES.

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4- STRUCTURATION DE L’ESPACE DU GROUPEMENT

Le groupement des trois communes de CHLEF – SENDJAS – OUM DROU –occupe la


zone centrale de la wilaya.
Ce groupement s’inscrit dans le « pays du Cheliff » et ce en rapport avec l’Oued Chlef qui
traverse cette aire d’Est en Ouest.
Mettant en relief des unités physiques bien distincts :

Au Nord, des collines appartenant à l’ensemble montagneux du Dahra auquel


appartiennent en partie les communes de OuledFarès et LabiodhMedjadja

Au Sud, un ensemble montagneux très impact et découpé par des cours d’eau
transversalement dont le plus important est l’Oued Tsighaout qui prend son origine dans
les massifs de l’Ouarsenis.
La commune de Sendjas appartient en partie à cet ensemble naturel.

Au centre, s’égrènent les plaines de Medjadja et de Mouafkia lesquelles appartiennent à la


plaine du Moyen Cheliff
Cette topographie du groupement a plus ou moins façonné l’occupation actuelle des sols
par les établissements humains renforcés par les réalisations des infrastructures de base
Est – Ouest (R.N.4 et chemin de fer) et Nord Sud (la R.N.19) se croisant au niveau de la
ville de Chlef. Le développement économique de la région, basée principalement sur
l’agriculture s’est diversifié sur les trente dernières années par l’injection d’une industrie,
provoquant une évolution urbaine déséquilibrée .

Il n’empêche que ce groupement constitue la zone la plus convoitée à l’échelle de la


wilaya facilitée par la présence du chef-lieu de wilaya assurant les fonctions
administratives, universitaires, industriel, bancaires et commerciales tendant vers la
métropolisation de la ville de Chlef fort par ses atout géographiques en tant que carrefour
à mi distance d’Alger et d’Oran,et qui est appelé à jouer un rôle d’équilibre dans
l’organisation de l’armature urbaine nationale.

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II - MILIEU PHYSIQUE

1- ASPECT TOPOGRAPHIQUE : UNE TOPOGRAPHIE A PREDOMINANCE DE


PLAINE

Le groupement des trois communes de CHLEF – OUM-DROU – SENDJAS s’inscrit


dans le « pays du Cheliff » et ce en rapport avec l’Oued CHLEF qui traverse cette zone
d’Est en Ouest présentant des unités physiques bien distinctes :

- Au Nord, une série de collines appartenant à l’ensemble montagneux du Dahra


prolongées d’Est en Ouest.
- Au Sud, un ensemble montagneux très compact et découpé par des cours d’eau
transversalement, dominé par les massifs du calcaire liasique de l’Ouarsenis.
- Au Centre, s’étalent les plaines de MEDJADJA et de MOUAFKIA qui
appartiennent à la plaine du Moyen Cheliff s’étirant d’Est en Ouest.

Les paramètres les plus déterminants dans ce domaine relèvent du caractère accidenté
des monts de l’Ouarsenis, c’est un caractère lié à l’importance des altitudes, souvent
supérieures à 600m, des pentes (> 25 %) et surtout à l’importance des dénivellations entre
le haut des reliefs et le bas fond des oueds.il est représenté par l’ensembles bien alignés,
l’ensemble de Dj. Tamdrara (1193m) et l’ensemble du Dj.Mosbah (1081m),
L’espace intercommunal du groupement de commune en question est formé de quatre
ensembles topographiques :
-Un ensemble de reliefs de liaison, qui assure le relais entre le domaine montagneux et
le domaine des reliefs de piémonts. Les altitudes dans cet ensemble varient de 400 à
700m en général, mais pouvant varier parfois suivant les caractères morphologiques de
certains ensembles topographiques.
- Un ensemble de reliefs de piémonts qui concerne uniquement les terrains dont
l’altitude varie de 200 à 400m. C’est un domaine qui assure le relais entre les reliefs de
liaison et les bas reliefs des plaines et des vallées développées en contrebas.C’est un
domaine très développé au Sud, dans l’Ouarsenis.
Les pentes sont souvent supérieures à 15 %
- Un domaine de bas reliefs qui concerne principalement, la plaine du Chélif, les plaines
et les vallées affluentes correspondant au bassin néogène et subsident du Chélif. Les
altitudes sont généralement inférieures à 200m et descendent à moins de 60m. Les
pentes sont également insignifiantes, elles sont généralement inférieures à 5 %,

2-ASPECT GEOLOGIQUE ET TECTONIQUE

Parmilesprincipauxaffleurementsduoreas ville oued el fodda ,nouscitonslesalluvions


récente( a²) alluvions ancienne (q1) quiformentl’essentieldelafaçadeNord
,lesargilesgréseuse(m2a)poudingue ,les grèsquartziteux(e1.b) (Eocène,Medjanien), les
poudingues(Eocènemoyen)(e.1),lesargilesetpoudinguesoligocènes(m,)lesmarnesduCarte
nnien(m1.c),les grés etcalcairesduCartennien(m24).

Lacomplexitétectoniquedecetterégionestsansdouteliéeàlacomplexité des
plis,àlaprésencedechevauchementsdeflexuresetsurtoutauxeffetsinduitsparlesnappesdegli
ssement,trèsfréquentsàtraversleDahraetl’Ouarsenis.
Lesnappesdecharriagesonttrèsrépanduesàtraverscesdeuxchaînesetarriventenextensionj
usqu’auxenvironsdeTiaretversleSud.Ellessontdonc
présentesdepartetd’autredugrandbassinduChélifetjusqu’auxlittorauxdela
wilayadeChlefauNord.

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Ajoutonsàcecil’imaged’ensembleduDahraetdel’Ouarsenis,departet d’autre du bassin
chélifien, sous la forme de grands bombements, donnant
l’impressiondevéritableshorsts:l’unauNord,celuiduDahra,l’autreauSud,celui
del’Ouarsenisetdontlaséparationestliéeàlaprésenced’unvéritableGrabenaucentre,corresp
ondantaugrandbassinduChélif.

Figure:Schémad’ensembledesprincipauxdispositifsmorphotectoniquesdelaw
ilayadeChlef

3- RESEAU HYDROGRAPHIQUE
HYDROGRAPHIE:
Le réseau hydrographique est assez actif, l’ensemble des affluents dispersés sur la zone du
piémont sont drainés par des oueds qui traverse longitudinalement et transversal
l’intercommunale parmi les oueds ces oueds.
Oued Chlef : qui traversé le site de Nord Est- Nord Ouest dans sa partie nord
Oued Tsighaout : qui traverse le territoire intercommunale du Sud au Nord et alimente
l’oued Chlef ou il drainé par plusieurs oueds Oued Nessissa Oued Hamech, Oued Bou
Adouane ,Oued Taghbiret Oued El Merdj, Oued Meroui ;Oued GhebiaTefaha El Merassel
Oued Ben Derma, Redjoum.
Oued Sidi Hammou et Oued Si Driss : situés dans partie Sud –ouest, de la commune de
Sendjas

4- CLIMAT

La région reçoit une pluie totale annuelle de 300 à 500 mm et 600 à900m (en fonction de la
période considérée). Ces pluies se répartissent de l’automne jusqu’au printemps. Les mois les plus
arrosés sont: novembre, décembre, janvier et Février.
LecaractèrecontinentaldelaplaineintérieuredeChlefestbienmarquépardes amplitudes
annuellesdetempératuresmaximalesetminimalespluscontrastées entre
l’hiveretl’été,LecaractèrecontinentaldelaplaineintérieureduCheliffestbienmiseenévidenceavecunepla
gedetempératureminimalemoyenne de4°Ccontreuncouloirde bandecôtièreà8°C de
moyenneminimale.
LesventsdominantssurlarégiondeChlefsontdesecteurOuestàSudOuestenhiver,d’OuestàNordEstaupr
intemps,d’OuestàEstenété,d’OuestàSudOuestenAutomne.
Auplanbioclimatique,leclimatdela zone d’étudeestdetypesemi-
arideàcaractèrecontinentalsurlesplainesintérieures.

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5- OCCUPATION DU SOL : PREDOMINANCE DE PLAINE A FORT POTENTIEL
AGRICOLE

La superficie du territoire du groupement formé par les trois communs est de 405 km², elle
est répartie comme suit :
La commune de CHLEF s’étale sur une superficie de 124 km²
Superficie communale totale = 12 583 ha
Superficie du foncier urbanisé = 2 255 ha
Superficie du foncier urbanisé = 10 328 ha

La commune d’OUM DROU s’étale sur une superficie de 60 km²


La commune de SENDJAS s’étale sur une superficie de 221 km²
L a surface agricole utile (SAU) du groupement est de : 17 277 ha et se répartie comme
suit

à travers les trois communes :

Superficie agricole
Nom de Superficie Rapport
utile
commune communale SAU/SuperfComm
S.A.U ( ha )
(ha)
CHLEF 5 447,00 12 583 43,29 %
OUM DROU 2 830,00 6 000 47,17 %
SENDJAS 9 000,00 22 100 40,72 %
Total
17 277,00 40 500 42,66 %
groupement

On remarque que la surface agricole utile représente près de la moitié de la superficie


communale, après avoir retranché les sites urbanisés, les zones montagneuses, les
forets….etc . ce sont donc des communes à vocation agricole par excellence, ce qui
implique la nécessité absolue de protéger ces terres agricoles.

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III- RISQUES MAJEURS
1- ALEA SISMIQUE

D’après le document réglementaire D.T.R.- B.C.-48 concernant les règles parasismiques


algériennes R.P.A (édition 99) modifié et complété après le séisme du 21 Mai 2003,
élaboré par le CGS (Centre National de Recherche Appliquée en Génie Parasismique) le
territoire national est divisé en cinq (05) zones de sismicité croissante, c’est à dire :
 Zone 0 : sismicité négligeable
 Zone I : sismicité faible
 Zone IIa : sismicité moyenne
 Zone IIb : sismicité moyenne
 Zone III : sismicité élevée

Toute la région du Chélif est classée en Zone III = Sismicité élevée, dans le macro
zonage depuis le séisme de Zemmouri 2003.

L’analyse de tous les paramètres qu’on venait d’étudier ainsi que l’établissement des
cartes nous a permis d’aboutir au découpage de la région à étudier en zone selon
l’aptitude du sol à supporter les charges des futures constructions.
A partir de cette analyse, nous avons obtenu un zoning géotechnique, de
l’intercommunale (Chlef,Oumdrou,Sendjas), il sera basé sur les quatre facteurs : la
géomorphologie (les pentes), la géologie, l’hydrogéologie et la vulnérabilité du site, nous
avons ainsi trois classes de terrains:
- Zone de terrains favorables à la construction.
- Zone de terrains moyennement favorables.
- Zone de terrains défavorables à la construction.

- Zone de terrains Favorables à la construction:

Elle englobe les terrains dont la déclivité ne dépasse guère les 8% et toutes les
formations consolidées : – (q //). – (m1c).
Ce sont des terrains généralement plats présentant, une assise résistante et solide pour
les différentes charges de construction. Formé en majorité par des alluvions anciennes
(q1) composées essentiellement de cailloutis, calcaire et limons.

- Zone de terrains Moyennement Favorables à la construction :

La différence qui existe entre cette classe et celle citée ci dessue est seulement due à la
présence des pentes (8 à15%) cette classe Composée par l’alternance entre les calcaires
et bancs marno-calcaires, les marnes et les argiles. – m²a – (cs). (c1.V).
En générale, l’extension de la trame urbaine ne présentera pas beaucoup de difficultés du
fait que l’assise est apte à supporter les charges.
Une étude géotechnique «in situ» doit être recommandée pour les bâtiments lourds,
permettra de prendre en compte tous les paramètres et de proposer des moyens de
protection, de les dimensionné selon la nature du terrain.

- Zone de terrains Défavorables à la construction:

Cette classe comporte les terrains : (c7.8), (c3.1), (t), dont la déclivité est supérieure à
25% où un sol ayant une portance très faible et susceptible de provoquer des glissements
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de terrains dans le cas des fortes pentes.
Ce sont des terrains à contraintes physiques et géotechniques vue leur position sur un
relief très tectonisé. L’abondance des argile et marnes à possibilité de glissement et de
ravinement exclue toute intervention sans étude géotechnique détaillée au préalable.
Le phénomène de glissement peut se produire aussi grâce à une secousse sismique dont
la propagation se fait à l’intérieur des intercalations des sables. Des dommages important
peuvent se produire en terrains meubles fortement en pentes et en déséquilibre instable.
La faiblesse de résistance de ces terrains peut être du aux fissures soumises aux
intensités sismiques. La dégradation de la couverture boisée, accélère ce phénomène. Le
fluage vers l’aval s’accompagne d’un tassement progressif différentiel et aboutit à
l’effondrement lorsque le niveau de déséquilibre est atteint.
Cette classe comprend :
 les terrains situés dans des ravins possédant de pentes très fortes (Supérieur à 30
%).
 Les terrains argilo – marneux dont les pentes sont supérieurs à 15 %.
 La zone inondable : lit et berge de l’Oued.
 Le passage de l’Oued induit une zone non-aédificandie qui sera pris en charge tous
plans d’aménagement.
Sur le plan étendu du terrain, celle-ci présente une superficie appréciable (10% environ).

2- LES INONDATIONS

Il existe plusieurs types d’inondations causés par :


 Le débordement indirect du cour d’eau qui sort de sont lit mineur pour occuper son lit
majeur.
 Le débordement indirect des eaux qui remontent par les nappes alluviales, les réseaux
d’assainissement des eaux pluviales.
 La stagnation d’eau pluviale qui est liée à une capacité insuffisante d’infiltration,
d’évacuation des sols ou réseau d’eau pluviale lors de pluies anormales.
 Le ruissellement en secteur urbain où des orages intenses (plusieurs centimètres de
pluies par heure qui va saturer les capacités d’évacuations du réseau des eaux pluviales.
 Les crues torrentielles qui se rencontrent dans les zones montagneuses, mais aussi
sur des rivières alimentées par des pluies de grandes intensités.

Plusieurs facteurs interviennent :


 L'intensité et la répartition des pluies dans le bassin versant. La fonte de la neige
s'ajoute parfois à ces pluies accentuant le risque.
 La pente du bassin et sa couverture végétale qui accélèrent ou ralentissent les
écoulements.
 L'absorption par le sol et l'infiltration dans le sous-sol qui alimente les nappes
souterraines. Un sol saturé par des pluies récentes n'absorbe plus.
 L'action de l'homme : déboisement, feux de forêts qui rendent le sol plus propice au
ruissellement. L'imperméabilisation, due au développement des villes : l'eau ne s'infiltre
plus et surcharge les systèmes d'évacuation.

Au niveau de l’intercommunale, les zones les plus vulnérables à l’inondation sont :


Oued Chlef : qui traversé le site de Nord Est- Nord Ouest dans sa partie nord
Oued Tsighaout : qui traverse intercommunale du sud au nord et alimente l’oued Chlef
ou il drainé par plusieurs oueds Oued Nessissa Oued Hamech, Oued Bou Adouane,
Oued Taghbiret Oued El Merdj, Oued Meroui ; Oued GhebiaTefaha El Merassel Oued
Ben Derma, Redjoum
Oued Sidi Hammou et Oued Si Driss : située Dans la partie sud ouest dans la commune
de Sendjas

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3- LES EBOULEMENTS

Chute inopinée (de matière rocheuse) qui affecte des assises rocheuses et
principalement :
a. Un paramètre intervenant dans ces éboulements réside dans l’action des végétaux
(racines d’arbres qui se développent dans les anfractuosités et qui entraînent parfois la
chute de blocs ou rupture de pans de talus.
b. Les assises gréso-carbonatés mollassiques Astiènnes. Jusqu’à ces dernières années,
les falaises Astiènnes avaient la réputation de bonne stabilité.
Des accidents après les deux derniers séismes donnèrent une idée des dangers encourus
par les habitants des piémonts de ces corniches.

4- LES GONFLEMENTS
Nous vous signalons qu’un potentiel de gonflement a été identifié dans la formation
argileuse, elles sont susceptibles de se soulever dés que la teneur en eau augmente. Le
fait de couper l’évaporation naturelle par les constructions et par le revêtement bitumineux,
il y a gonflement de la marne et réciproquement la dessiccation par diminution de teneur
en eau entraîne son tassement. Le retrait de la marne peut conduire donc à la fissuration
des voiries. Le phénomène gonflement – retrait peut affecter même les structures en
bétons.

5- LES GLISSEMENTS DE TERRAIN

Les marnes du Plaisancien (collines) dans lesquelles nous rencontrons des reptations,
des fluages des glissements sur des pentes de 8% à 15%, elles ont la propriété de
renfermer les concrétions calcaires, se mélangeant à de l’argile dont la présence est plus
ou moins grande.
Les principaux facteurs qui sont à l’origine de ces mouvements de terrains sont :
 les eaux (météoriques et souterraines) ;
 la pente des talus ;
 la fissuration liée au phénomène de décompression et celle conséquente au
dessèchement climatique ;
 la gravité ;
 la sismicité ;

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IV- L’ETAT DE L’ENVIRONNEMENT
L’état de l’environnement dans le territoire du groupement de commune de Chlef Senjas,
Oum Drou se caractérise par :
L’existence de plusieurs décharges sauvages parsemant tout le territoire, amochent les
paysages et polluent l’environnement dans tous ses composants.
- La problématique des déchets dangereux stockés au niveau des entreprises ou
rejetés dans la nature dont les impacts restent méconnus.
- La majorité des eaux usées et des effluents industriels se déversent directement
dans les milieux récepteurs sans subir de traitements.
- Les écosystèmes sont menacés : (forêts, steppes et zones humides)
- L’Insuffisance de mesures relatives à la prévention des risques majeures :
(inondations ; érosion hydrique et mouvement des sols.)

 Collecte et transport des ordures ménagers

Circuit de collecte (itinéraire)

Un circuit de collecte est l’itinéraire fixé par un plan de collecte et que le véhicule de
collecte doit suivre durant l’opération d’évacuation des ordures ménagères.
Les itinéraires choisis doivent permettre :
- Le travail continu des éboueurs, et ce, par l’évitement des temps morts dus à
des trajets intermédiaires ou à des encombrements de circulation ;
- Un remplissage satisfaisant de la benne en fin de parcours ;
- La réduction du coût total, dans certains cas, de 20% à 30% par une
amélioration des itinéraires en permettant une économie en combustibles et en
temps.
Il est cependant important de trouver un lieu de dépôt pour ces ordures, accessible aux
camions de collecte et pratique pour la population.
La collecte et le transport constituent une grande étape du processus d’évacuation
des ordures ménagères, cette étape nécessite de gros moyens, elle est subdivisée en
deux opérations :
- La collecte des déchets présentés par les habitants devant leurs habitations et
en des points spécifique de collecte ;
- Le transport de ces déchets vers la décharge public.

Ce pendant, certains difficultés sont a signalé dans cette opération de collecte des ordures
au niveau de certaines communes ;

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- Les commerçants exerçant au niveau du marché quotidien jettent leurs déchets
pèle mêle créant ainsi des micro-décharges ;
- Le non respect des horaires de dépôt des ordures ménagères par les habitants,
ce qui influe sur la propreté de la ville.
- L’enlèvement des déchets ne touche pas la totalité des agglomérations et
domaines, ceci a provoqué la prolifération des décharges sauvages dans des
milieux sensibles (terre agricole, devant les routes....), et dont la présence
prolongée de ces décharges peut porter un préjudice certain à la salubrité de
l’environnement et par conséquent à la santé de la population.

- Moyens utilisés pour la pré collecte au niveau des ménages

Les moyens généralement utilisés par les ménages pour l’évacuation de leurs déchets
sont :
- Les bidons en fer non fermés ;
- Les cartons ;
- Les sachets en plastiques ;
- Déverser directement sur le sol.

Le dépôt des déchets par terre ne répond pas aux exigences esthétiques et
sanitaires et oblige ainsi les agents du service de collecte à ramasser les déchets
éparpillés. Cette situation retarde la collecte et peut présenter un danger pour l’agent de
collecte au moment du ramassage (bouts de verre, lames, etc….). Des caissons sont
déposés au niveau des cités, marché et hôpitaux et sont vidés selon la cadence de
remplissage de chaque commune.
Dans les communes d’OUM DROU et SENDJAS, la collecte s’effectue de manière
traditionnelle, généralement en porte à porte, néanmoins, il existe quelques points de
regroupement de déchets sauvages.

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Gestion des déchets spéciaux

Les déchets spéciaux dangereux générés au niveau de la wilaya de Chlef sont


composés de batteries, d’huiles usagées, des filtres à huiles, des transfos à huiles
Askarels et des huiles Askarels, des fûts d’arsenic, de l’acide borique, ……
A l’exception des huiles usagées qui sont récupérées par les services NAFTAL, et
les déchets d’activités de soins générés au niveau de l’ECDE –Chlef qui sont incinérés,
les autres types de déchets spéciaux dangereux sont dans leur totalité stockés au niveau
des unités industrielles en attendant une solution de traitement adéquat.
La classe déchets spéciaux (S) est composé notamment des pneus usagés, des
rejets liquides de production, des poussières, des résines périmées, la boue…….
Pour le traitement des déchets spéciaux, il est préconisé tout d’abord un plan de
gestion de wilaya pour la gestion des déchets spéciaux qui définie les filières de traitement
pour : les déchets industriels, les phytosanitaires stockés, l’amiante, les PCB, les déchets
d’abattage des animaux, les déchets d’activité de soins, etc……

- Gestion des déchets inertes

L’origine de ces déchets vient essentiellement lors des activités d’auto


construction, d’aménagement et de rénovation. La collecte de ces derniers se fait
rarement, d’âpres les responsables de service de collecte de l’APC, ils sont acheminés
vers la décharge sauvage de l’Oued Chlef.

 Remarque
- Au niveau de la commune de Sendjas, il existe deux marchés, l’un
hebdomadaire (CITE EL-NASR) et le deuxième quotidien (au CENTRE VILLE),
des marchés avec des ventes variés (légumes, fruits, vêtement). Ces deux
marchés génèrent différents types de déchets qui sont groupés sous forme de
dépotoir. L’APC essaye d’assurer au maximum la collecte de ces déchets pour
qu’il n’y est pas de formation de point noir.
- Aussi, la commune est dotée d’un abattoir, d’une superficie de 40m 2 localisé à
l’intérieur du marché hebdomadaire. Cet abattoir fonctionne dans des conditions
intolérables car il est dépourvu de chambre froide et d’alimentation d’eau
courante. Ces déchets sont constitué essentiellement d’eau et de sang rejetées
sans traitement préalable, mais aussi par des organes jetés à l’aire libre ou

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laisser dans des point de regroupement. Ils ne sont collectés que le dimanche
lors de la collecte des déchets du marché hebdomadaire.

- Destination final des déchets pour les communes

Les points noirs au niveau des communes

Les rues et les espaces publics de la commune d’OUM DROU son plus aux moins souillée
par une multitude de déchets dont la nature et l’origine sont diverses tels que : les détritus
rejetées sur le sol, les débris des chantiers de constructions et travaux publics. etc….
La commune d’OUM DROU n’est dotée d’aucune installation de traitement des
déchets (ni unité de compostage ni de recyclage et d’incinération).
La destination finale des déchets issus de l’activité urbaine, ira vers le nouveau
CET de OUM DROU situé au Sud de Mnasria, desservant les communes de El
Karimia,Oued Fodda, Oum Drou et Harchoune. La quantité de déchets qui lui seront
achemine sont de 17.5 tonnes, le reste on le trouve au niveau de la décharge sauvage
située à 2 km à l’EST de Oued Chlef.
La destination finale des déchets de la commune de Sendjas vont vers une
décharge
cette décharge est une vaste surface où sont les déchets déversés. Depuis peu les
déchets sont acheminés vers le CET d’OUED SLY.
Cette décharge porte atteinte à l’esthétique du milieu et attirent les chiens
errants et animaux sauvages. Aussi elle apporte une nuisance olfactive de par la
décomposition des déchets biodégradable. Les odeurs nauséabondes sont plus
répandues en période d’été où la température accélère la fermentation des déchets non
recouverts.
En ce qui concerne la commune de CHLEF, les déchets sont acheminés vers le
CET de OUED SLY au SUD –EST de la commune de CHLEF.
Il existe un autre projet de réalisation et équipement d’un centre pour les déchets inerte à
CHLEF, à proximité de la décharge actuelle d’ECCHITIA, d’une superficie de 23h, avec
un grand casier central. La capacité totale du centre des déchets inertes est de 191746m 3.
Ce centre desservira la commune de CHLEF.
 Les espaces verts dans la wilaya de Chlef

Pour toute conception d’espace vert, suivant l’article 29 de la loi 07-06, le concepteur
public ou privé est tenu dans une optique d’homogénéité et d’unité, de prendre en
considération les facteurs suivants :

14
- Le caractère du site ;
- Les vues à conserver, à mettre en valeur ou celles à masquer ;
- Les ressources de terrain ;
- Les espèces et variétés végétales de la région concernée ;
- Le patrimoine architectural de la zone ou de la région ;
- Les servitudes et les contraintes liées à la mitoyenneté, au régime des eaux, au
droit de passage, au bornage, aux alignements de voirie, nivellements,
plantations, aux canalisations souterraines et aux installations électriques
souterraines.

Les espaces verts au niveau de la commune de Chlef

La commune de Chlef est dotée de 29 espaces verts répartis à travers l’espace de la


commune dont la majorité est situés au niveau du périmètre urbain.

*Le par citadin d’ARADAR


Lancé par la direction de l’environnement, le parc citadin d’ARADAR s’étend sur
une superficie de 25 hectares avec une grande entrée principale avec clôture, éclairage et
un aménagement de la façade extérieure. Il comprendra un théâtre de verdure en plein
air, un écomusée, un lac artificiel et des aires de distraction. À ceux-là s’ajoute des
services d’accompagnement.

Les espaces verts au niveau de la commune d’OUM DROU


Au niveau de la commune, les espaces verts sont inexistants à l’exception d’un
jardin public au milieu de la ville planté par des arbres d’eucalyptus. Afin de préserver ces
espaces verts, un programme d’arrosage journalier a été établi pendant la période estivale
(du 20 juin au 20 octobre) a partir de 19h.
Aussi, en collaboration avec Alger la blanche, des équipes on été organiser pour
effectuer différents taches : l’arrosage, le nettoyage des espaces verts le long des routes
nationales mais aussi pour l’embellissement des jardins publics.
Les espaces verts au niveau de la commune de SENDJAS
Au niveau de la commune, les espaces verts sont inexistants à l’exception de deux
jardins publics au milieu de la ville.

15
 Les eaux usées
D’après les enquêtes effectuées par l’ABH en collaboration avec les services
de l’hydraulique, le rejet annuel des eaux usées serait de l’ordre de 30 Hm 3, dont 86%
vers les oueds (7 Hm3 vers oued Cheliff), 6% vers la mer et 08 % en fosses septiques.
Notons qu’il n’existe qu’une seule station d’épuration c’est celle de Chlef.

A l’exception de quelques grandes unités industrielles qui disposent de stations


d’épuration, toutes les autres unités évacuent leurs effluents vers la nature pare le biais
des collecteurs des zones d’activités.
Le volume de rejets est estimé à 1 million de m3/an, dont 0,6 Hm3 vers l’oued Cheliff
et 0,33 Hm3 vers l’oued Fodda.
Les eaux usées rejetées par les établissements humains qu’il soit de type
résidentiel, commercial ou industriel devraient, une fois collectées, être acheminées vers
des dispositifs de traitement (lagunages ou stations d’épuration) avant leur rejet dans le
milieu naturel ou leur utilisation par l’agriculture.
Pour les communes de CHLEF et d’OUM DROU, les rejets se déversent au niveau
de l’OUED CHLEF suivant des canalisations appropriées
Pour la commune de SENDJAS, les eaux usées sont déversées dans l’oued
Tsighaout sans aucun traitement au préalable.

Impact de la pollution hydrique sur l'environnement


Les polluants des eaux usées municipales sont des matières dissoutes et en
suspension qui consistent en des substances organiques et inorganiques, des nutriments,
des huiles et des graisses, des substances toxiques et des micro-organismes pathogènes.
Les eaux pluviales des milieux urbains sont susceptibles de contenir les mêmes polluants.
Les déchets humains qui ne sont pas traités comme il convient et que l'on évacue à partir
du lieu d'origine ou encore qui sont collectés et enlevés représentent des risques
d'infection parasitaire (contact direct avec les matières fécales), d'hépatite et de maladies
gastro-intestinales, dont le choléra et la typhoïde (provoquées par la contamination de
l'eau des aliments).
Les eaux usées collectées mais non soumises à un traitement adéquat avant leur
évacuation ou leur réutilisation posent les mêmes dangers pour la santé des populations
vivant à la source des rejets. Si ces émissions sont déversées dans les eaux réceptrices,
les effets seront d'autant plus préjudiciables (l'accumulation des déchets détériore les
habitats aquatiques et marins ; la décomposition des matières organiques provoque la
désoxygénation des eaux, les substances toxiques peuvent nuire aux organismes marins

16
et se transmettre aux organismes supérieurs par bio-accumulation dans la chaîne
alimentaire). Les nutriments contenus dans des effluents qui s'écoulent dans les eaux
confinées, un lac ou une baie par exemple, peuvent causer leur eutrophisation et
encourager la croissance d'algues et de mauvaises herbes qui perturberont ensuite les
pêches et les activités de loisirs.

17
V- ANALYSE SOCIOECONOMIQUE
INTRODUCTION

Toutes les actions d'aménagement qui seront programmées auront pour objectif la
satisfaction des besoins de la population en habitat, en équipements et en infrastructure,
et cela dans un cadre organisé. Les principales sources d'informations qui sont à n otre
disposition pour mener cette analyse sont le recensement (RGPH) de 2008, sur cela
s'ajoutent des données récentes qui nous ont été fournies par les autorités locales,
notamment la direction de la programmation et suivi du budget de la wilaya de CHLEF et
par les trois communes CHLEF, OUM DROU et SENDJAS.

1 - SITUATION DEMOGRAPHIQUE

Les résultats des recensements (1987,1998 et 2008) et l'enquête opérée par les
services de la wilaya et de l'A.P.C nous permettent d'évaluer la situation
démographique du territoire du groupement de communes CHLEF, OUM DROU et
SENDJAS.
 Caractéristiques démographiques

La dispersion de la population à travers le territoire de la commune nous permet


de connaître la répartition de la population à travers l’espace du territoire du
groupement.

Estimée en 1998 à 189699 habitants, la population du groupement a atteint 228985


habitants en 2008 soit une augmentation de 39286 habitants, avec un taux de croissance
démographique de 1,90 %, qui est élevé en comparaison avec la moyenne observée au
niveau national 1,86% et 1,6% au niveau de la wilaya. Et la population du groupement
représente 22,85% de la population de la wilaya de CHLEF.

18
Evolution de la population du groupement par dispersion (1987-1998-2008)

Poids
Taux
RGPH RGPH RGPH Evolution dans la
DISPERSION D'accroissement
1987 1998 2008 98/08 Commune
(98/08)
EN %
A.C.L : Chlef 87681 125234 86,85%
155134 29053 2,10%
A.S :ElOuabed 847 0,00%
A.S :Chegga 3419 5032 4,93%
8797 1481 1,86%
A.S :Cheraiet 1045 2284 0,00%
A.S :Mouafkia 2168 3695 5542 1847 4,14% 3,10%
A.S :Benhattab 1386 - - - - -
A.S :Kefafsa 1095 - - - - -
A.S :Mekhatria-
- - 2577 2577 - 1,44%
Ramlia
A.S
- - 1671 1671 - 0,94%
:ElAziezBrancia
A.S :Chouiet - - 1132 1132 - 0,63%
Zone éparse 8011 9065 3762 -5303 -8,42% 2,11%
Total commune 146157 178616 32459 2,03% 100%
104805
ACL: Sendjas 3513 6632 9243 2611 3,38% 31,82%
AS: Beni
969 1939 1828 -111 -0,59% 6,29%
Ouadrene
AS: Cherairia 1125 1284 1393 109 0,82% 4,80%
AS: Khelailia 872 1137 1243 106 0,90% 4,28%
AS: Si Youcef 732 892 160 2,00% 3,07%
AS: Ouled Henni 14 700 744 44 0,61% 2,56%
AS: Souamet 434 609 799 190 2,75% 2,75%
AS: Kherafa 785 110 - -110 -100,00% 0,00%
AS: Ouled Si
- - 944 944 - 3,25%
Ahmed
AS: El Amamra 25 - 604 604 - 2,08%
Zone éparse 17863 13085 11353 -1732 -1,41% 39,09%
Total commune 25600 26228 29043 2815 1,02% 100%
ACL : Oum el
3643 5645 7194 1549 2,45% 33,73%
drou
AS: Boualili 1185 - - - - -
AS: Guelaftia 927 2062 3188 1126 4,45% 14,95%
AS: Bessakria 1054 1137 1131 -6 -0,05% 5,30%
AS: El Hammam 893 1059 166 1,72% 4,96%
AS: Menasria 549 1042 1013 -29 -0,28% 4,75%
AS:
551 840 951 111 1,25% 4,46%
BouccaChekallil
AS: Maizia 545 763 864 101 1,25% 4,05%

19
AS: Ouled
- - 773 773 - 3,62%
Meghazi
AS: Hamaicia 635 691 749 58 0,81% 3,51%
AS: Rezama - - 616 616 - 2,89%
Zone éparse 4303 4241 3788 -453 -1,12% 17,76%
Total commune 13392 17314 21326 4012 2,11% 100%
Total
groupement

Source RGPH : ONS

20
2- ACTUALISATION DE LA POPULATION ( DEC-2014)

En constatant sur terrain pour les trois communes, qu’il y a eu apport de population
nettement visible à travers le nombre de nouvelles constructions édifiées dans la
période (2008 -2014) on déduit alors que les trois communes sont redevenues
attractives.

Estimation de la population du territoire du groupement par dispersion au 12/2014

POP RGPH Taux POP


DISPERSION
2008 D'accroissement 2014
A.C.L : CHLEF 155134 2,08% 177916
A.S : Chegga 8797 2,08% 10089
A.S : Mouafkia 5542 2,08% 6356
A.S : Mekhatria-
2577 2,08% 2955
Ramlia
A.S : El
1671 2,08% 1917
AziezBrancia
A.S : Chouiet 1132 2,08% 1298
ZONE EPARSE 3762 2,08% 4314
TOTAL
178616 2,08% 204847
COMMUNE
ACL : OUM DROU 7194 2,11% 8269
AS: Guelaftia 3188 2,11% 3664
AS: Bessakria 1131 2,11% 1300
AS: El Hammam 1059 2,11% 1217
AS: Menasria 1013 2,11% 1164
AS:
951 2,11% 1094
BouccaChekallil
AS: Maizia 864 2,11% 993
AS: Ouled
773 2,11% 888
Meghazi
AS: Hamaicia 749 2,11% 861
AS: Rezama 616 2,11% 708
ZONE EPARSE 3788 2,11% 4354
TOTAL
21326 2,11% 24513
COMMUNE
ACL: Sendjas 9243 2,07% 10384
AS: Beni
1828 2,07% 2054
Ouadrene
AS: Cherairia 1393 2,07% 1565
AS: Khelailia 1243 2,07% 1396
AS: Si Youcef 892 2,07% 1002
AS: Ouled Henni 744 2,07% 836
AS: Souamet 799 2,07% 898
AS: Ouled Si
944 2,07% 1061
Ahmed
AS: El Amamra 604 2,07% 679

21
ZONE EPARSE 11353 2,07% 12755
TOTAL
29043 2,07% 32630
COMMUNE

3- EDUCATION

Population scolarisée : année 2014/2015

Population scolarisée dans le cycle primaire

Nbre de Grou
Nom de Elèves
Classes pes Enseig TO Cantin
COMMUNE L'établissem
Occupé Péda nants C e
ent Total Total Filles
es g
CHLEF 76 906 678 741 22871 11025 871 25 10040
OUM EL
16 143 99 103 2721 1242 123 19 2637
DROU
SENDJAS 25 201 136 142 3482 1697 168 17 3308
GROUPEMEN
117 1250 913 986 29074 13964 1162 23 15985
T
Source : Direction de l’éducation
Du tableau nous notons que le taux d’occupation par classe est satisfaisant au niveau du
groupement de commune de CHLEF (23 élèves/classes).

Population scolarisée dans le cycle moyen :


 Le T.O.C constaté est très élevé (T.O.C = 35 élèves/classe) par rapport à la
moyenne fixé par la direction de l’éducation et qui est de 32 élèves/classe, et le
déficit actuel est de 40 classes, pour la commune de Chlef.
 La commune D’OUM DROU dispose de 03 CEM, avec 50 classes, 54 groupes
pédagogiques et 1957 élèves. (L’année scolaire 2014/2015).

Le TOC constaté est très élevé (T.O.C = 41 élèves/classe) par rapport à la moyenne fixé par la
direction de l’éducation et qui est de 32 élèves/classe, et le déficit actuel est de 15 classes.

 La commune de Sendjas dispose de 06 CEM, avec 81 classes, 80 groupes


pédagogiques et 2616 élèves. (L’année scolaire 2014/2015).

Le T.O.C constaté est satisfaisant (T.O.C = 32 élèves/classe) par rapport à la moyenne


fixé par la direction de l’éducation et qui est de 32 élèves/classe.
Population Scolarisée dans le cycle secondaire (lycée) :

 La commune de CHLEF dispose de 13 lycées actuellement avec 276 classes


(capacité total 12800 élèves), 307 groupes pédagogiques et 9661 élèves. (Année
scolaire 2014/2015).
On peut constater qu’au niveau communal la situation est satisfaisante.

22
 La commune D’OUM DROU dispose d’un seul lycée actuellement avec 27 classes
(capacité 1000 élèves), 29 groupes pédagogiques et 971 élèves. (Année scolaire
2014/2015).
On peut constater qu’au niveau communal la situation est satisfaisante.

 La commune de Sendjas dispose de 02 lycée actuellement avec 59


classes(capacité 2300 élèves), 45 groupes pédagogiques et 1322 élèves. (Année
scolaire 2014/2015).
On peut constater qu’au niveau communal la situation est satisfaisante.

23
VI- ACTIVITES ET EMPLOIS

Etudia
Femm Autre Populati Taux
nt Retrait Pension
COMMUNE Actif e au inacti ND on 15 d'activit
/écolie é né
foyer f ans & + é
r
CHLEF 54050 40732 21252 6312 1537 2715 788 127385 42,4
SENDJAS 7345 8150 3436 851 213 473 39 20507 35,8
OUM DROU 6337 5249 2356 701 210 203 83 15139 41,9
TOTAL
GROUPEMEN 67732 54130 27043 7864 1959 3391 910 163030 40,04
T
TOTAL 29273 25065 10750 1960 395
30328 10136 714923 40,9
WILAYA 9 5 2 5 8
Source : RGPH 2008 ONS
Situation de l'emploi

GROUPEMENT CHLEF OUM DROU SENDJAS

POPULATION TOTAL 228985 178616 21326 29043

TAUX DE CHOMAGE 10,20% 10,20% 10,20% 10,20%


POPULATION EN
23356 18219 2175 2962
CHOMAGE
TAUX D'ACTIVITE 40,04% 42,43% 41,86% 35,82%
POPULATION
67732 54050 6337 7345
ACTIVE
POPULATION
44376 35831 4162 4383
OCCUPEE
TAUX
19,38% 20,06% 19,51% 15,09%
D'OCCUPATION

Le taux d’activité au niveau du groupement de communes CHLEF est de 40,04%.


Population en chômage
Le taux de chômage au niveau national enregistré par le RGPH 2008 est de 10,2 %. Ce
taux, nous l’appliquerons au groupement de communes CHLEF. C’est ainsi que nous
allons avoir la population en chômage. Cette dernière atteint 23356 personnes.
Population occupée
Le taux d’occupation au niveau du groupement de communes CHLEF est de 19,38%.
1. Nombre de personnes à charge

C’est l’indice qui nous renseigne sur le nombre de personnes vivant d’un seul emploi, il est
de 5,16 personnes au niveau du groupement.

24
VII- SERVITUDES ET CONTRAINTES

Une servitude est une restriction imposée à l’exercice du droit d’usage du sol pour des
raisons d’intérêt général ou d’utilité publique et de protection des biens et des citoyens.
Les servitudes sont rendues nécessaires essentiellement par des exigences de la
sécurité, d’hygiène, de salubrité et de confort. Mais il y a aussi les servitudes visant la
sauvegarde, le respect et de décor destiné à des usages particuliers.
Dans les communes de CHLEF – OUM DROU - SENDJAS, les servitudes sont illustrées
aussi bien dans les plans intercommunaux que dans ceux des différentes agglomérations
des trois communes.
On distingue deux types de servitudes qui existent au niveau de ce groupement de
communes et qui sont les servitudes naturelles et les servitudes artificielles et qui se
résument comme suit:

1- SERVITUDES NATURELLES

Servitudes des oueds :


Au sein de ce groupement de communes ,on a plusieurs oueds et Chaabets
qui sillonnent le territoire :

 OUED CHLEF: Avec une zone de servitude de 25 m à partir de la rive , il génère


une zone de non aédificandi de superficie 793 350m² soit 79,34 ha.

Commune de OUM DROU: Avec une zone de servitude de 25 m à partir de la


rive , il génère une zone de non aédificandi de superficie 902 800m² soit 90,28 ha.

 OUED TSIGHAOUT: Avec une zone de servitude de 15 m à partir de la rive , il


génère une zone de non aédificandi de superficie 227 700m² soit 22,77 ha.

Commune de SENDJAS: Avec une zone de servitude de 15 m une longueur de 21


993 ml du Sud vers le Nord en passant par l’agglomération chef-lieu de commune à
partir de la rive , il génère une zone de non aédificandi de superficie 659 790m²
soit 65,98 ha.
 OUED BOUKHANNOUS: Avec une zone de servitude de 15 m à partir de la rive
, il génère une zone de non aédificandi de superficie 250 140m² soit
25,00 ha

 OUED CHERCHOUR: qui traverse dans le territoire de la :

Commune de OUM DROU: Avec une zone de servitude de 15 m à partir de la rive


, il génère une zone de non aédificandi de superficie 170 490m² soit 17,05 ha.

 OUED EL MELLAH: Avec une zone de servitude de 15 m à partir de la rive , il


génère une zone de non aédificandi de superficie 128 760m² soit 12,88 ha.

 OUED MERONI Avec une zone de servitude de 15 m à partir de la rive , il


génère une zone de non aédificandi de superficie 82 050m² soit 8,20 ha.

REMARQUE : en plus de cette multitudes d’oueds ,on signale l’existence de plusieurs


chaabets qui sillonnent le territoire des trois communes et dont la bande de servitude à
adopter est d’une largeur de 10 m à partir des deux rives.
Servitudes des forets :

25
Au sein de ce groupement de communes ,on note l’existence de plusieurs massif
de forets à travers les trois communes:

Commune de CHLEF : au niveau de cette commune on a :


- 1 118 ha dépendant du secteur des forets domaniales dont:
 271 ha couvertes par des forets dont les arbres dominants est le PIN d’ALEP)
 90 ha couvertes par des maquis.
 Le reste de la superficie est couvert par des terres labourables, routes et pistes.
 320 ha couvert par les berges d’oued CHLEF dont les arbres dominants sont
l’EUCALIPTUS et le PIN d’ALEP.
On signale dans ce contexte qu’il existe un programme initié d’un PARC CITADIN
d’une superficie de 25 ha au niveau du quartier RADAR.

Commune de SENDJAS: au niveau de cette commune on a :


- 3 354 ha dépendant du secteur des forets domaniales dont:
 817 ha couvertes par des forets dont les arbres dominants est le PIN d’ALEP)
 2 027 ha couvertes par des maquis.
 Le reste de la superficie est couvert par des terres labourables, routes et pistes.

Commune de OUM DROU : au niveau de cette commune on a :


 60 ha couvert par les berges de oued CHLEF dont les arbres dominants sont
l’EUCALIPTUS et le PIN d’ALEP.

2- SERVITUDES ARTIFICIELLES

Servitude de L’Autoroute: L’autoroute A1 Est-Ouest ALGER-ORAN traverse la


partie sud du territoire de la commune CHLEF et la partie nord du territoire de la
commune de SENDJAS tout en se dirigeant dans le sens Est-Ouest en traversant
une distance totale de 15 480 ml dans le territoire des deux communes.
En considérant une zone de servitude de50 m de part et d’autre, comptée à partir
de la limite de la voie externe (soit une largeur totale de 100m), cette autoroute
génère une zone de non aedificandi d’une superficie de 1 548 000 m²,soit 154,8
ha.

Remarque : il est important de signaler qu’il existe un projet approuvé d’une


autoroute reliant TISSESILT au Port de TENES et qui passe à l’Ouest dans le
territoire de OUED SLY et CHETTIA et qui touche le territoire communal de
SENDJAS dans sa partie extrême Ouest à la périphérie nord de l’hameau NEHALA
HCHAOUSSA , et ceci sur une distance de 1 810 ml.

* servitude des routes nationales : Dans les territoires communaux des trois
communes on signale le passage de deux routes nationales qui sont la route
nationale n°04 et la route nationale n°19.

 Route Nationale n° 04 : qui traverse le territoire des communes de :

 Commune de CHLEF : Avec une zone de servitude de 35 m comptée de


part et- d’autre de l’axe ,soit une bande d’une largeur de 70m, elle génère une
zone de non aédificandi de superficie 340 340 m² soit 34,04 ha.

26
 Commune de OUM DROU: Avec une zone de servitude de 35 m comptée
de part et- d’autre de l’axe, soit une bande d’une largeur de 70m, elle génère
une zone de non aédificandi de superficie 404 950 m² soit 40,50 ha.

 Route Nationale n° 19 : qui traverse le territoire des communes de :

 Commune de CHLEF : Avec une zone de servitude de 35 m comptée de


part et- d’autre de l’axe ,soit une bande d’une largeur de 70m, elle génère une
zone de non aédificandi de superficie 287 700 m² soit 28,77 ha.

Commune de SENDJAS: Avec une zone de servitude de 35 m comptée


de part et- d’autre de l’axe ,soit une bande d’une largeur de 70m, elle génère
une zone de non aédificandi de superficie 1 906 100 m² soit 190,61 ha.

* servitude des chemins de wilayas: Dans les territoires communaux des trois
communes on signale le passage de six chemins de wilayas qui sont la CW03 ,
CW151,CW140 ,CW132,CW32.

 Chemin de Wilaya n°151 : qui traverse le territoire des communes :

Commune de CHLEF : Avec une zone de servitude de 25 m comptée de part


et- d’autre de l’axe ,soit une bande d’une largeur de 50m, elle génère une zone de
non aédificandi de superficie 213 600 m² soit 21,36 ha.

Commune de OUM DROU: Avec une zone de servitude de 25 m comptée de


part et- d’autre de l’axe, soit une bande d’une largeur de 50m, elle génère une zone
de non aédificandi de superficie 484 250 m² soit 48,43 ha.

 Chemin de Wilaya n°03 : qui traverse le territoire de la commune de


CHLEF : avec une zone de servitude de 25 m comptée de part et d’autre de l’axe
,soit une bande d’une largeur de 50m, elle génère une zone de non aédificandi de
superficie 258 750 m² soit 25,88 ha.

 Chemin de Wilaya n°132: qui traverse le territoire de la commune de


SENDJAS: avec une zone de servitude de 25 m comptée de part et d’autre de l’axe
,soit une bande d’une largeur de 50m, elle génère une zone de non aédificandi de
superficie 180 250 m² soit 18,03 ha.

 Chemin de Wilaya n°140: qui traverse le territoire de la commune de


SENDJAS: Avec une zone de servitude de 25 m comptée de part et d’autre
de l’axe ,soit une bande d’une largeur de 50m, elle génère une zone de non
aédificandi de superficie 281 500 m² soit 28,15 ha.

 Chemin de Wilaya n°32: qui traverse le territoire de la commune de


SENDJAS: avec une zone de servitude de 25 m comptée de part et d’autre
de l’axe ,soit une bande d’une largeur de 50m, elle génère une zone de non
aédificandi de superficie 438 475 m² soit 43,85 ha.

27
* servitude des lignes de chemins de fer : les communes de CHLEF et OUM
DROU sont traversées par la ligne de chemin de fer ALGER-ORAN qui parcoure les
distances suivantes dans :

Commune de CHLEF : sur une longueur de 10 898ml en traversant d’Est en


Ouest le cœur de la ville de CHLEF en longeant pratiquement la route nationale n°04.
Tout Le long de cette ligne il nécessaire de laisser une zone de protection d’une
largeur de 25 m de part et d’autre de l’axe (soit une largeur totale de 50m) ce qui
génère une zone de non aédificandi de superficie 544 900 m² soit 54,49 ha.

Commune d’OUM DROU : sur une longueur de 6 866ml en traversant d’Est en


Ouest le cœur de la ville d’où DROU en longeant pratiquement la route nationale n°04.
Tout Le long de cette ligne il nécessaire de laisser une zone de protection d’une
largeur de 25 m de part et d’autre de l’axe (soit une largeur totale de 50m) ce qui
génère une zone de non aédificandi de superficie 343 300 m² soit 34,33 ha.

Remarque : il est important de signaler qu’il existe un projet d’une ligne de


chemin de fer qui relie CHLEF à TENES et qui a été présentée sous formes de
trois variantes (source servicedu transport de la wilaya de CHLEF) :
 Variante n°01 : démarre de l’Ouest de la ville de CHLEF puis passe par la
commune de CHETTIA sur une distance de 01 km à l’ouest de la ville, en
traversant 51 km jusqu’à TENES.
 Variante n°02 : démarre de l’Ouest de la ville de CHLEF puis passe à raz par la
périphérie Ouest de la ville CHETTIA, en traversant 50 km jusqu’à TENES.
 Variante n°03 : démarre de l’Ouest de la ville d’OUM DROU puis passe par la
périphérie Nord-Ouest de la ville d’OUM DROU, puis perse vers le Nord à
travers la commune de LABIODH MEDJDJA, en traversant 49 km jusqu’à
TENES.

* servitude des gazoducs : les communes de CHLEF , OUM DROU et SENDJAS


sont traversées par deux types de conduites de Gazoduc qui sont le(Φ 16 ̋et Φ
08 ̋):
Nouvelle conduite de gazoduc φ 16 ̋ :Qui traverse les communes de CHLEF et
OUM DROU dans leur partie sud en parcourant :

La Commune de CHLEF : une distance de 13 986 ml en passant au sud de la


ville de CHLEF.
En considérant une zone de servitude à respecter de 75 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 2 097 900 m² soit209,79 ha.

La Commune de OUM DROU: une distance de 4 509 ml en passant au sud de


la ville d’OUM DROU.
En considérant une zone de servitude à respecter de 75 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 676 350 m² soit 67,64 ha.

Nouvelle conduite de gazoduc Φ 08 ̋de SENDJAS :Qui démarre de la commune


de CHLEF pour alimenter SENDJAS et les communes de TISSEMSILT situées au
sud de SENDJAS :

28
La Commune de SENDJAS : une distance de 26 857 ml en passant dans la
proximité Est des agglomérations secondaires BENI OUADRENE et SI YOUCEF et
aussi dans la proximité Est de l’agglomération chef-lieu de SENDJAS.
En considérant une zone de servitude à respecter de 75 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 4 028 650 m² soit 402,87 ha.

Nouvelle conduite de gazoduc Φ 08 ̋de CHEGGA :Qui démarre de la commune


d’OUM DROU au sud-est de la ville d’OUM DROU pour aller au nord-ouest afin
d’alimenter CHEGGA de CHLEF avec un piquage à partir de la nouvelle conduiteΦ
16 ̋,en parcourant:

La Commune de CHLEF : une distance de 835 ml au nord de l’agglomération


secondaire CHOUIET ET AU SUD -EST de l’aéroport .
En considérant une zone de servitude à respecter de 75 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 125 250 m² soit 12,53 ha.

La Commune de OUM DROU : une distance de 7 327 ml à l’est de


l’agglomération chef-lieu d’OUM DROU .
En considérant une zone de servitude à respecter de 75 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 1 099 050 m² soit 109,91 ha.

l’ancienne conduite principale de gazoduc φ 08 :̋ Qui traverse d’Est en Ouest les


communes de CHLEF et OUM DROU en parcourant :

La Commune de CHLEF : une distance de 1 429 ml en passant au sud de la


ville de CHLEF.

La Commune de OUM DROU: une distance de 4 174 ml en passant au sud de


la ville d’OUM DROU.

Remarque : cette conduite a été désaffectée et même vidée de son contenu de gaz
mais Les services concernés insistent sur le fait de garder sa servitude et de
continuer à respecter son emprise sur le terrain.

* servitude des lignes électriques : les communes de CHLEF , OUM DROU et


SENDJAS sont traversées par un réseau de différentes lignes électriques qu’on peut citer
comme suit :

Servitude de la ligne électriques de très haute tension 400kva: lescommunes de


CHLEF ET OUM DROU sont traversées la ligne électrique aérienne de très haute
tension électrique de 400 kVa qui relie le poste de transformation électrique d’EL
AFFROUN(wilaya de BLIDA )au poste de transformation de HASSI AMEUR dans la
commune de HASSI BEN OKBA
(wilaya d’ORAN ) ,cette ligne passe dans l’extrême nord des deux communes et à 2
km au Sud de l’A.C.L ,en parcourant dans le territoire de :

La Commune de CHLEF : une distance de 1 736 ml à l’extrême nord de la


commune de CHLEF dans la zone montagneuse.

29
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 50m ) ,cette ligne génère donc une zone
de non aedificandi de superficie 86 800 m² soit 8,68 ha.

La Commune de OUM DROU : une distance de 3 571 ml à l’extrême nord de la


commune d’OUM DROU et à 400m au nord-est de le hameau OULED ADDA.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aedificandi de superficie 178 550 m² soit 17,86 ha.

Servitude des lignes électriques de haute tension existantes: les communes de


CHLEF , OUM DROU et SENDJAS sont traversées par un réseau de lignes
électriques aériennes de haute tension électrique 220kva et 60kva qui passent à
travers le territoire des trois communes et qui traversent dans le territoire de :

La Commune de CHLEF : une distance de 43 834 ml qui passent à l’extrême


nord et à l’extrême sud de la commune de CHLEF.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 50m ) ,ces lignes génèrent donc une
zone de non aedificandi de superficie 2 191 700 m² soit219,17 ha.

La Commune de OUM DROU : une distance de 10 686 ml qui passent à


l’extrême nord et à l’extrême sud et à l’est de la commune d’OUM DROU.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aedificandi de superficie 534 300 m² soit 53,43 ha.

La Commune de SENDJAS : une distance de 39 510 ml qui passent à


l’extrême nord de la commune de SENDJAS en passant au nord et au sud des
agglomérations secondaires KHELAILIA et BENI OUADRENE.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 1 975 500 m² soit 197,55 ha.

Servitude des lignes électriques de haute tension projetée: les communes de


CHLEF , OUM DROU et SENDJAS sont traversées par une lignes électrique
aérienne de haute tension électrique projetée qui passe à travers le territoire des trois
communes et qui traversent dans le territoire de :

La Commune de CHLEF : une distance de 6 912 ml qui passe à l’extrême sud


de la commune de CHLEF.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 50m ) ,ces lignes génèrent donc une
zone de non aedificandi de superficie 345 600 m² soit 34,56 ha.

La Commune de OUM DROU : une distance de 5 002 ml qui passe à l’extrême


sud de la commune d’OUM DROU.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aedificandi de superficie 250 100 m² soit 25,01 ha.

30
La Commune de SENDJAS : une distance de 6 086 ml qui passe à l’extrême
nord de la commune de SENDJAS en passant au nord des agglomérations
secondaires KHELAILIA et BENI OUADRENE.
En considérant une zone de servitude à respecter de 25 m comptée de part et d’autre
à partir de l’axe( soit une largeur totale de 150m ) ,cette conduite génère donc une
zone de non aédificandi de superficie 304 300 m² soit 30,43 ha.

Servitude des lignes électriques Souterraine de haute tension projetées de60KV :


les deux postes transformateurs 60kv-30kv poste Hay ESSALEM et poste CHORFA)
seront renforcés par une amenés de lignes souterraines projetées de haute tension 60
KV :
Deux Lignes Electriques souterraines reliant le poste CHLEF2 avec le poste
CHORFA : qui traversent une distance de 2 500 ml dans la ville en prenant le relai à
l’entrée ouest de CHLEF de deux lignes électriques aérienne de 60KV venant du poste
CHLEF 2 au nord-ouest.
En considérant une zone de servitude à respecter de 1,5 m comptée de part et
d’autre à partir de l’axe(soit une largeur totale de 3,00 m ) ,cette ligne souterraine
va générer une zone de non aedificandi de superficie de 7 500 m² soit 0,75 ha.

Ligne souterraines reliant le poste CHLEF2 avec le poste Hay ESSALEM qui
traverse une distance de 7000 ml dans la ville en prenant le relai à l’entrée ouest de
CHLEF d’une ligne électrique aérienne de 60KV venant du poste CHLEF 2 au nord-
ouest.
En considérant une zone de servitude à respecter de 1,5 m comptée de part et
d’autre à partir de l’axe( soit une largeur totale de 3,00 m ) ,cette ligne souterraine
va générer donc une zone de non aedificandi de superficie de 21 000 m² soit 2,10
ha.

Servitude des postes transformateurs électriques de haute tension :


 La ville de CHLEF est dotée de deux postes transformateurs électriques 60KV-
30KV et d’un autre plus grand qui se situe au nord-ouest de la ville dont :
- Le premier est le poste Hay ESSALEM (60KV-30KV)existant dans le centre ville au
niveau de Hay ESSALEM.
- Le deuxième est le poste CHORFA( 60KV-30KV)qui est en cours de réalisation et
dont le rôle est actuellement assuré par une cabine mobile.
- Le plus grand est le poste CHLEF 2 qui se situe au nord –ouest de la ville de
CHLEF.

 La commune d’OUM DROU est dotée de d’un poste transformateur électriques


60KV-30KV existant situé à 3 500 m au sud-est de la ville et à proximité de la route
nationale n°04 juste à la lite communale avec OUED EL FODDA.
- On signale aussi qu’il existe un choix de terrain d’un autre poste 60KV-30KV au
nord-ouest de la ville d’OUM DROU et plus exactement à proximité de
l’agglomération secondaire CHEKALIL.

La servitude à adopter pour tous ces postes est une bande d’une largeur de 20 m
tout autour de la clôture.

Servitude des lignes électriques de moyenne tension aérienne :les communes de


CHLEF , OUM DROU et SENDJAS sont traversées par un réseau de lignes électrique
aérienne de moyenne tension assez riche qui assure l’alimentation des différentes
localités de ces communes et qui génère une bande de zone de non aédificandi tout
au long de ces lignes et qui est de :

31
- 15 m de part et d’autre de l’axe à l’extérieur périmètre urbain.
- 3 m de part et d’autre de l’axe à l’intérieur du périmètre urbain.

Remarque : Les servitudes qui ont été adoptées dans le présent document pour
les lignes électriques aériennes de très haute, haute et moyennes tension sont
prévues conformément à l’arrêté du 14 juin 2011 du journal officiel n°54,qui
stipule que :
- les servitudes des lignes électriques de haute et très haute tension aérienne
(tension supérieure à 50 KV) est de :
- 25 m de part et d’autre de l’axe à l’extérieur périmètre urbain.
- 5 m de part et d’autre de l’axe à l’intérieur du périmètre urbain.

- les servitudes des lignes électriques de Moyenne tension aérienne (tension


inférieure à 50 KV) est de :
- 15 m de part et d’autre de l’axe à l’extérieur périmètre urbain.
- 3 m de part et d’autre de l’axe à l’intérieur du périmètre urbain.

- les servitudes des lignes électriques Souterraines (toutes catégories) est de :


- 1 ,5 m de part et d’autre de l’axe de la ligne.

- la Servitudes des Installations de Production de l’Électricité est de :


- 20 m tout autour de la clôture.

* Servitude des cimetières : il existe au sein des trois communes une multitudesde
cimetières qui nécessitent une protection et un entretien continu et cette protection
nécessite de prévoir une bande de servitude d’une largeur de 6,00m tout autour de la
clôture afin de permettre un passage facile pour l’entretien et la protection contre les
différentes agressions probables.

* Servitude des canaux de drainage et d’irrigation : il existe au niveau des communes


de CHLEF et de OUM DROU des réseaux de drainage et d’irrigation qu’il faut protéger et
entretenir perpétuellement et pour ce faire on prévoie une bande de servitude de 3m de
largeur tout le long et de part et d’autre de ces canaux et ceci afin de permettre l’accès
des véhicules permettant les opérations d’entretien.

32
* Servitude de l’aéroport de Chlef:

Règlement de zonage destiné à limiter la hauteur des obstacles autour de l’Aéroport

Portée du document :
Texte visant à réglementer et à limiter la hauteur des constructions au voisinage de
l’Aéroport de CHLEF et ce document a été élaboré conformément aux normes et
recommandations de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI).
Il est reconnu par ce règlement, qu’un obstacle est susceptible de mettre en danger la vie
et les biens des usagers de l’aéroport, et des propriétaires ou des occupants des terrains
environnants ; qu’un obstacle peut affecter les minimums d’approche aux instruments
actuels et futurs de l’Aéroport, et qu’un obstacle peut réduire les dimensions des aires
utilisables pour l’atterrissage, le décollage et les évolutions des avions. En conséquence, il
est déclaré que :
- la création ou la mise en place d’un obstacle est susceptible de constituer une
nuisance publique et peut porter préjudice à l’aéroport.
- qu’il est nécessaire dans l’intérêt de la sécurité des vols de prévenir la création ou la
mise en place d’obstacles qui constituent un danger pour la navigation aérienne.

Altitude de l’aéroport : Altitude mesurée en mètre par rapport au niveau de la mer, du


point le plus élevé de l’aire d’atterrissage utilisable de l’ aéroport.
Danger pour la navigation aérienne : Obstacle reconnu comme étant de nature à
compromettre gravement l’utilisation sûre et efficace de l’espace aérien.
Obstacle :Tout ou partie d'un objet fixe (temporaire ou permanent) ou mobile qui est situé
sur une aire destinée à la circulation des avions en surface ou qui fait saillie au-dessus
d'une surface définie destinée à protéger les avions en vol.
Piste avec approche de précision : Piste pour laquelle il existe déjà une procédure
d’approche aux instruments qui utilise un système d’atterrissage aux instruments (ILS), ou
un radar d’approche de précision (PAR).
Surface conique :Surface incliné vers le haut et vers l'extérieur à partir du contour de la
surface horizontale intérieure.
Surface d’approche : Plan incliné ou combinaison de plans précédant le seuil.
Surface horizontale intérieure : Surface située dans un plan horizontale au-dessus d’un
aéroport et de ses abords.
Surface intérieure d’approche : Portion rectangulaire de la partie du plan de surface
d’approche qui précède immédiatement le seuil.

33
Surface de transition : Surface complexe qui s’étend sur le côté de la bande et sur une
partie du côté de la surface d’approche et qui s’incline vers le haut et vers l’extérieur
jusqu’à la surface horizontale intérieure.
Surface intérieure de transition : Surface analogue à la surface de transition mais plus
rapprochée de la piste.
Surface de montée au décollage : Plan incliné où toute surface spécifiée située au-delà
de l’extrémité d’une piste ou d’un prolongement dégagé.
Surface d’approche interrompue : plan incliné situé à une distance spécifiée en aval du
seuil et s’étendant entre les surfaces intérieures de transition.
Zone d’aérodrome
Aux fins de l’application du présent règlement, on a crée et défini certaines zones qui
comprennent la totalité du terrain situé au-dessus des surfaces d’approche, de transition,
horizontale et conique. Ces zones sont indiquées sur la carte de zonage de servitudes
jointe au présent dossier et en fait partie intégrante.
Limitation des hauteurs
Aucune structure ne sera érigée ou modifiée dans les zones établies dans le présent
document jusqu’à une hauteur qui dépasse la limite applicable pour la zone considérée.
Les limites de hauteur applicables pour chacune des zones sont fixées comme suit :
- Surface d’approche (Première section) : Suivre une pente de 2% (jusqu’à une
hauteur de 60m) à partir du point représentant le seuil de piste.
- Surface d’approche (Deuxième section): Suivre une pente de 2.5% (jusqu’à une
hauteur de 150m)
- Surface d’approche (Section Horizontale): Pente nulle (150m)
- Surface horizontale intérieure:

Rayon de 4000 m par rapport au seuil de piste.


Hauteur maximum 45 m sauf à l’intérieur des surfaces citées en 1,2 et 3 de
la présente section.
Surface conique :
Rayon de 5908 m par rapport au seuil de piste , avec une pente de 5% à partir
du centre de la surface (seuil), sauf à l’intérieur des surfaces citées en 1,2,3 et 4 de la
présente section.
Surface de transition :
- Hauteur maximale suivant une pente de 14.3% de l’intérieur vers l’extérieur
de la zone
- Hauteur maximale suivant une pente de 14.3% de l’intérieur vers l’extérieur

34
Restriction d’utilisation
Nonobstant toute autre disposition du présent document, aucun terrain, ni plan d’eau, ni
décharge publique ,situé à l’intérieur de toute zone établie par le présent document ne
pourra être utilisé de manière à créer des interférences électriques avec les signaux de
navigation ou des communications radio, à rendre difficile ,
Pour les pilotes, la distinction entre les feux d’aérodrome et les feux non aéronautique, à
éblouir les pilotes qui utilisent l’aérodrome, à diminuer la visibilité au voisinage de
l’aérodrome, à créer un risque de collision avec des oiseaux, à mettre en danger, d’une
manière quelconque, las aéronefs qui utilisent l’aérodrome ou à gêner les atterrissages,
décollages et autres évolutions de ces aéronefs.
Utilisation futures
Aucun changement matériel ne sera apporté à l’utilisation des terrains, aucune structure
ne sera érigée ou installé d’une manière quelconque, et aucun arbre ne sera planté dans
les zones crées par le présent document, à moins qu’une autorisation à cet effet n’ait été
demandée et obtenue auprès des autorités de la base aérienne de Boufarik . Chaque
demande d’autorisation indiquera le but recherché, et sera suffisamment explicite pour
permettre de déterminer si le mode d’utilisation est conforme aux dispositions du présent
document.
Marquage et balisage lumineux des obstacles
Si cette mesure est jugée utile pour atteindre l’objectif du présent document, et ce, d’une
manière raisonnable, toute autorisation peut être subordonnée à l’obligation, pour le
propriétaire de la structure en question, d’installer, d’utiliser et d’entretenir les marques et
feux qui se relèveront nécessaires.
Mise en application
L’organisme chargé du suivi des travaux liés au plan Directeur et d’Aménagement et
d’Urbanisme de la commune de CHLEF (Direction de l’Urbanisme de l’Architecture et de
la Construction DUAC de CHLEF + APC DE CHLEF) seront chargé d’administrer et de
veiller à la mise en application des dispositions du présent document en concertation avec
les autorité militaires et civiles de l’aéroport de CHLEF.

35
VIII- LE RESEAU URBAIN ET RURAL DU TERRITOIRE DU
GROUPEMNT DES COMMUNES DECHLEF – SENDJAS – OUM DROU
Le groupement des trois communes en question occupe la zone centrale de la wilaya. Ce
groupement s’inscrit dans le « pays du Cheliff » et ce en rapport avec l’Oued Chlef qui
traverse cette aire d’Est en Ouest, mettant en relief des unités physiques bien distincts :

Au Nord, des collines appartenant à l’ensemble montagneux du Dahra auquel


appartiennent en partie les communes de Ouled Farès et LabiodhMedjadja

Au Sud, un ensemble montagneux très impact et découpé par des cours d’eau
transversalement dont le plus important est l’Oued Tsighaout qui prend son origine dans
les massifs de l’Ouarsenis.
La commune de Sendjas appartient en partie à cet ensemble naturel.

Au centre, s’égrènent les plaines de Medjadja et de Mouafkia lesquelles appartiennent à la


plaine du Moyen Cheliff. Cette diversité de paysages naturels que présente le
groupement d’étude montre une dépression.

Cette topographie du groupement a plus ou moins façonné l’occupation actuelle des sols
par les établissements humains renforcés par les réalisations des infrastructures de base
Est – Ouest (R.N.4 et chemin de fer) et Nord Sud (la R.N.19) se croisant au niveau de la
ville de Chlef. Le développement économique de la région, basée principalement sur
l’agriculture s’est diversifié sur les trente dernières années par l’injection d’une industrie,
provoquant une évolution urbaine déséquilibrée avec :

Il n’empêche que ce groupement constitue la zone la plus convoitée à l’échelle de la


wilaya facilitée par la présence du chef-lieu de wilaya assurant les fonctions
administratives, universitaires, industriel, bancaires et commerciales tendant vers la
métropolisation de la ville de Chlef fort par ses atout géographiques en tant que carrefour
à mi distance d’Alger et d’Oran,et qui est appelé à jouer un rôle d’équilibre dans
l’organisation de l’armature urbaine nationale.

36
strates
Commune Agglomération Type Population
Intitulés
CHLEF A.C.L 155134 urbaine supérieure
Chegga A.S 8797 semi-urbaine
Mouafkia A.S 5542 semi-rurale
CHLEF Mekhatria-Ramlia A.S 2577 rurale agglomérée
El AziezBrancia A.S 1671 rurale agglomérée
Chouiet A.S 1132 rurale agglomérée
Total Agglomérations 6 174854 -
SENDJAS A.C.L 9243 semi-urbaine
Beni Ouadrene A.S 1828 rurale agglomérée
Cherairia A.S 1393 rurale agglomérée
Khelailia A.S 1243 rurale agglomérée
Ouled Si Ahmed A.S 944 rurale agglomérée
SENDJAS
Si Youcef A.S 892 rurale agglomérée
Souamet A.S 799 rurale agglomérée
Ouled Henni A.S 744 rurale agglomérée
El Amamra A.S 604 rurale agglomérée
Total Agglomérations 9 17690 -
OUM EL DROU A.C.L 7194 semi-urbaine
Guelaftia A.S 3188 semi-rurale
Bessakria A.S 1131 rurale agglomérée
El Hammam A.S 1059 rurale agglomérée
Menasria A.S 1013 rurale agglomérée
OUM EL
BouccaChekallil A.S 951 rurale agglomérée
DROU
Maizia A.S 864 rurale agglomérée
Ouled Meghazi A.S 773 rurale agglomérée
Hamaicia A.S 749 rurale agglomérée
Rezama A.S 616 rurale agglomérée
Total Agglomérations 10 17537 -
TOTAL 25 210082
Source : ONS 2008

Le réseau urbain et rural du territoire du groupement de commune en question s’articule,


autour des trois agglomérations le chef-lieu, de vingt deux agglomérations secondaires et
de quatre vingt hameaux. Toutes les agglomérations secondaires sont classées dans la
strate du rurale agglomérée, à l’exception de Chegga et Mouafkia dans la commune de
Chlef qui sont classées respectivement dans les strates semi urbaine et semi rurale, Il est
de même pour l’agglomération de Guelaftia dans la commune de Oum Drou qui est
classée dans la strate du semi rurale.

La réalisation des programmes de logements tout type confondu participe en partie


à la structuration de l’espace du territoire du groupement de communes.

37
Il n’en demeure pas moins qu’une partie des logements existants sont précaires et entrave
de ce fait la bonne structuration de l’espace du territoire du groupement de communes.
Les logements précaires sont estimés à 1186 habitations au niveau du groupement de
communes et constituent de ce fait un déficit à combler dans les prévisions des besoins
en logements.

Situation de l'occupation du logements en 2008 pour de le groupement des


communes

Nom de la Commune T.O.L 2008


Commune de CHLEF 6,79
Commune de OU DROU 6,76
Commune de SENDJAS 7,63
Total Groupement 7,06

Programmes de logements réalises 2008-2014,en cour de réalisation et programmés


pour la commune deCHLEF :
Type d’opération de logements Nombre de Logements réalisés
L.S.P ( 2005-2009 ) 672
L.P.A ( 2010 O.P.G.I ) 100
L.P.A ( 2010 A.G.R.F.U.W ) 100
L.P.A ( 2011 ) 100
L.P.A ( 2012) HAY BENSOUNA 100
L.P.A ( 2012) HAY BENSOUNA 100
L.P.A ( 2012) HAY BENSOUNA 100
L.P.A ( 2012) HAY BENSOUNA 100
L.P.A ( 2012) HAY BENSOUNA 80
L.P.A ( 2012) HAY BENSOUNA 60
L.P.A ( 2012) HAY BENSOUNA 60
LOGEMENTS SOCIAUX 2012(100/2000) 100
LOGEMENTS SOCIAUX 2012(100/2400) 100
LOGEMENTS SOCIAUX 2012(400/3000) 400
LOGEMENTS R.H.P 2010
416
NOMBRE TOTAL DE LOGEMENTS 2588

Les logements programmés : la commune de CHLEF va bénéficier dans le court terme


d’un nombre de 2000 logements A.A.D.L

Programmes de logements réalises 2008-2014,en cour de réalisation et programmés


pour la commune d’OUM DROU :

Nombre de Logements en
Nombre de
Type d’opération de logements cours de réalisation en
Logements réalisés
mai 2015
60/3000…..LOGEMENTS…L.P.L 60 -
60/1500……LOGEMENTS…L.P.L 60 -
40
40 -
LOGEMENTS…………….L.P.A
60/1720…..LOGEMENTS…L.P.L - 60
40/2000…..LOGEMENTS…L.P.L - 40

38
100/3000…..LOGEMENTS…L.P.L - 100
LOGEMENTS RURAUX 510 -
NOMBRE TOTAL DE
670 200
LOGEMENTS

Programmes de logements réalises 2008-2014,en cour de réalisation et programmes


pour la commune de SENDJAS :
Nombre de Logements en
Nombre de
Type d’opération de logements cours de réalisation en
Logements réalisés
mai 2015
80 LOGEMENTS SOCIAUX 80 -
40 LOGEMENTS SOCIAUX 40 -
120 LOGEMENTS SOCIAUX 120 -
60 LOGEMENTS SOCIAUX 60 -
120 LOGEMENTS SOCIAUX 120 -
40 LOGEMENTS L.P.L - 40
60 LOGEMENTS SOCIAUX - 60
LOGEMENTS RURAUX 120 -
NOMBRE TOTAL DE
420 100
LOGEMENTS

Les logements programmés : la commune de SENDJAS va bénéficier dans le court


terme d’un nombre de 200 logements A.A.D.L

39
IX- ANALYSE URBAINE DES AGGLOMERATIONS
1- ANALYSE URBAINE DE L’AGGLOMERATION DE CHLEF
Aperçu historique de Chlef

Chlef, du nom de la rivière « Chélif », anciennement El Asnam et Orléans ville à


l'époque de la colonisation française, ou encore CastelumTinginitanum à l'époque
romaine. La ville de El Asnam a connu deux tremblements de terre majeurs, le
premier le 9 septembre 1954, et le second le 10 octobre 1980 qui a détruit la ville à
80 %. Suite à ce dernier tremblement de terre, la ville se renomme Chlef.

* - L’Epoque Romaine :
L’histoire de la ville remonte au début de l'occupation romaine en Afrique du Nord,
En s'installant dans la vallée du Chéliff au premier siècle de l'ère chrétienne, les
Romains choisirent l'actuel emplacement de la cité pour y bâtir une ville de garnison
: CastellumTingitanum, à partir de l’an 40 après Jésus-Christ.
* - L’Epoque Romaine - Chrétienne :
A travers l’histoire on peut noter que la situation en tant que carrefour stratégique
de la vallée du CHELIFF a d’abord intéressé les romains. qui y ont installé au cours
de leur passage un camp militaire dénommé CastellumTingitanumlequel servait
de point de contrôle des passages Nord-Sud et surtout Est-Ouest le long de l’Oued
CHLEF qui a facilité la création de la longue route reliant Miliana (Zaccar) jusqu’aux
portes de la « Melouia » à l’extrémité de la province d’Oran (actuellement RN4).
La région fut christianisée au temps de la décadence romaine Une grande Basilique
chrétienne (la plus importante de l’Afrique) fut édifiée en 324 de l’ère chrétienne à
Castellum Tingitii par Saint Réparâtes composé de 5 nefs et décorées de
mosaïque.
Après avoir connu un bel essor durant
près de deux siècles, la ville
CastellumTingitanum, décline suite à un
terrible tremblement de terre qui la
détruisit totalement.
* L’Epoque des Conquêtes
Musulmanes :
Au passage des conquérants musulmans
dans la région (au VIIe siècle), le site de
l'ancienne Castellum avait la particularité
de rassembler parmi les ruines de
nombreuses sculptures sur pierres d'où son appellation d'El-Asnam (« les statues »
pouvant être au sens d'idoles). Ce site n'a pas été ré-habité par les Arabes en
raison de leur aversion pour les statues qui évoquent à leurs yeux les idoles
païennes.
* - L’Epoque Turc :

Durant cette période (XV siècle), une moitié de la région du Chéliff dépendait du
Beylik du Titteri (Médéa) et l’autre du Beylik de l’Ouest (Mazouna, Mascara puis

40
Oran).l’été à Chlef était vraiment torride et rebuta la population de ce temps, ainsi
les Turc préfère beaucoup plus Mazouna ou Mostaganem,

* - L’Epoque de colonisation française :


Avec l’arrivée des français en 1843, le même site a été retenu pour l’installation d’un
camp militaire (occupé actuellement par le siège de l’APC et la faculté de droit) qui devint
rapidement un centre commercial actif dans une riche région agricole qu’on dénomma
« ORLEANVILLE » le 10 Mars 1843 en l’honneur du DUC d’ORLEANS.

Les premières routes naissantes de la ville en formation prirent forme vers l’Est en
continuité du camp militaire (Boulevard des Martyrs).
Cette époque marquera le début de création, de l’actuelle ville de CHLEF dont les
limites au Nord étaient l’Oued CHLEF et au Sud la voie du chemin de fer.
L’urbanisation était conçue par un plan en damier avec la réalisation de boulevards
Est-Ouest favorisant la pénétration d’air frais dans une région caractérisée par des
chaleurs élevées en été.
Au début de son urbanisation, la ville de CHLEF a connu les premières extensions
sur la rive Nord de l’Oued CHLEF, avec la création du village colonial dénommé la Ferme
pour attirer les premiers immigrants devant valoriser la riche plaine du CHELIFF
(actuellement dénommé Hay El HOURIA).
Les Ponts établis entre le site du centre-ville et la rive Nord témoignent des relations
économiques développées avec la région du Nord pour ses produits agricoles.

41
L’amorce de l’urbanisation vers le Nord s’est quelque peu estompée devant la valeur
agricole des terres au profit d’un début d’extension au Sud de la voie ferrée (Hay SALEM
actuellement) avec l’arrivée d’une main d’œuvre de la région de l’Ouarsenis.

Le Séisme de 1954 :
Ainsi, la configuration urbaine d’avant le séisme de 1954 dégageait trois secteurs
urbains :
La partie centrale comprise entre la voie ferrée au Sud et l’Oued Cheliff au Nord avec
une urbanisation cohérente.
Le quartier populaire de Hay El HOURIA également répondant à des normes
urbaines harmonieuses.

Le quartier de Hay SALEM qui se caractérisait par une structure urbaine


désarticulée.
Cette urbanisation a subi des bouleversements importants après les séismes de 1954 et
de 1980.
En effet, les nécessités d’établissements de plans d’urbanisme « d’urgence » pour
abriter les populations sinistrées ont conduit à des extensions rapides. Ainsi, après 1954,
la création de la cité d’urgence à l’ouest de l’Oued TSIGHAOUT a modifié la configuration
spatiale de la ville dont la taille ne dépassait pas 625 Ha.
Mais le dernier séisme de 1980 qui fut très violent et qui a causé des pertes
humaines (près de 3000 personnes) et détruit un grand nombre de constructions a conduit
à l’élaboration d’un autre plan d’urbanisme « d’urgence » donnant naissance à des cités
préfabriquées, réalisées en un temps record dans le cadre du programme d’urgence pour
la reconstruction de CHLEF.
Ces réalisations ont été effectuées pour la grande partie au Sud de la ville sur une
superficie dépassant largement les 1000 Ha :
Hay Nasr (Ouled Mohamed + radar) – Sud Est : 495 Ha
Hay LallaAouda et Hassania – Sud: 195 Ha
Hay FrèresAbbad – Sud: 32 Ha

42
Hay Chorfa – Sud Ouest: 332 Ha
Hay Olympique – Ouest: 22 Ha

Cette succession de créations de “cités d’urgence “ a profondément marqué


l’urbanisation de CHLEF laquelle s’étale sur un périmètre de l’ordre de 35 Km2 (en
intégrant la zone de Kefafsa à l’Est) offrant un paysage urbain fortement dominé par
l’habitat individuel en préfabriqué.

43
Contexte régional

Bénéficiant de plusieurs atouts stratégiques : Autoroute – routes nationales (R.N.4 et


R.N.19), chemin de fer, gazoduc, lignes électriques de haute tension, la ville de Chlef
s’inscrit dans une nouvelle fonction de métropole d’équilibre. Cette nouvelle fonction se
manifeste déjà par les universités de CHLEF, de l’aéroport, des télécommunications,
d’instituts régionaux et du Marché de gros, équipements dépassant le cadre local.

Dans cette optique, la ville de CHLEF est appelées à rayonner sur un espace plus large
intégrant les wilayas de :

RELIZANE à l’Ouest
AIN-DEFLA à l’Est
TISEMSILT au Sud.

Ce nouvel espace formera un espace tampon entre les deux grandes métropoles d’Alger
et d’Oran.
Aussi, le nouveau rôle souhaité pour la ville de CHLEF vise les priorités suivantes :

Restructuration de son nouveau périmètre urbain pour répondre aux besoins fonctionnels
métropolitains (grands équipements , Hôtels, Instituts régionaux, Centre d’affaires, sièges
régionaux, Banques, Télécommunications, culture….. ).
Appui sur les agglomérations du groupement pour l’accueil d’équipements de proximité,
notamment l’habitat ; pour réduire la pression qui s’exerce sur le chef-lieu de wilaya.

L’agglomération de CHLEF constitue le centre urbain le plus dynamique et le plus


important du groupement qui est en fait un Carrefour stratégique dans la région.

Une forme urbaine éclatée liée à la sismicité de la région

Ainsi, la configuration urbaine d’avant le séisme de 1954 dégageait trois secteurs


urbains :
- La partie centrale comprise entre la voie ferrée au Sud et l’Oued CHLEF au Nord
avec une urbanisation cohérente.
- Le quartier populaire de Hay El HOURIA également répondant à des normes
urbaines harmonieuses.
- Le quartier de Hay Salem qui se caractérisait par une structure urbaine
désarticulée.
Cette urbanisation a subi des bouleversements importants après les séismes de 1954 et
de 1980.
En effet, les nécessités d’établissements de plans d’urbanisme « d’urgence » pour abriter
les populations sinistrées ont conduit à des extensions rapides. Ainsi, après 1954, la
création de la Cité d’urgence à l’ouest de l’Oued TSIGHAOUT a modifié la configuration
spatiale de la ville dont la taille ne dépassait pas 625 Ha.
Mais le dernier séisme de 1980 qui fut très violent et qui a causé des pertes humaines
(près de 3000 personnes) et détruit un grand nombre de constructions a conduit à
l’élaboration d’un autre plan d’urbanisme « d’urgence » donnant naissance à des cités
préfabriquées, réalisées en un temps record dans le cadre du programme d’urgence pour
la reconstruction de CHLEF.
Ces réalisations ont été effectuées pour la grande partie au Sud de la ville sur une
superficie dépassant largement les 1000 Ha :
Hay NASR (OULED MOHAMED + RADAR) – Sud Est : 495 Ha.
Hay LALLA AOUDA et HASSANIA – Sud: 195 Ha.
44
Hay FRERES ABBAD – Sud: 32 Ha.
Hay CHORFA – Sud OUEST: 332 Ha.
Hay OLYMPIQUE – OUEST: 22 Ha.

Cette succession de créations de cités d’urgence a profondément marqué


l’urbanisation de CHLEF laquelle s’étale sur un périmètre de l’ordre de 35 Km2 offrant un
paysage urbain fortement dominé par l’habitat individuel en préfabriqué.

Efforts déployés pour structurer la ville

Le centre-ville a été réhabilité par la mise en place des équipements administratifs


et de services lui conférant une fonction dominante et dynamique.
Les sous centres immédiats constitués par les quartiers de Hay El HOURIA, Hay
BENSOUNA et Hay SALEM ont connu des évolutions différenciés

Hay El HOURIA : demeure un site résidentiel au Nord avec la mise en place de


quelques équipements structurants (lycée, polyclinique, centre commercial, stade
communal).
Actuellement ce sous-centre développe une activité commerciale importante (gros et
demi-gros)

Hay BENSOUNA : à l’origine, il constituait un site de recasement, celui-ci a subi de


grandes transformations par le développement de l’habitat collectif auquel se sont greffés
un grand nombre d’équipements structurants (complexe sportif, 02 lycées CFA, CNAS,
Agence Foncière, Maison de culture).

Hay SALEM : quartier résidentiel de type traditionnel, ce sous centre connaît une
mutation avec l’injection de l’habitat collectif et semi-collectif notamment dans ses parties
Nord-est et Sud-ouest.
Avec l’implantation de l’université au sein de ce quartier, celui-ci développe actuellement
une dynamique commerciale et de services liés à cet équipement structurant.
L’habitat collectif en formation dans ce quartier a également participé à la transformation
du paysage urbain de Hay Salem qui conserve tout de même une grande partie
d’habitation de type haouch exigeant une rénovation et une restructuration.
Le « Centre-ville » et les trois sous centres immédiats constituent en fait les pôles
dynamiques de l’actuelle agglomération de CHLEF.

Les sites préfabriqués demeurent encore des cités résidentielles. Cette dislocation offre
un fonctionnement totalement démesuré de la ville de CHLEF dans laquelle la recherche
d’une cohérence urbaine est à engager.
Néanmoins on peut citer que la situation du ressort de ces sites occupés par des
baraques préfabriqués a été débloquée par l’adoption par l’état du principe d’aide
financière pour tous les gens qui veulent reconstruire en dur sur leurs terrains occupés
actuellement par une baraque, et pour rendre ces tissus salubres et favorisant un milieu
de vie propre et confortable ,il est nécessaire de prévoir des opérations d’amélioration
urbaines et de restructurations pour organiser la structure de ces tissu

L’hétérogénéité de ces ensembles urbains ne résulte pas uniquement des effets


d’urgence mais relève également de contraintes naturelles telles que la traversée de deux
Oueds : le CHLEF et le TSIGHAOUT et la topographie fortement accidentée des zones
d’habitat préfabriqué. Le chemin de fer participe également à ce façonnement de ces sites
urbains.

45
Les enclaves qui se sont constituées entre ces ensembles urbains font l’objet d’une
consommation inadéquate sur un périmètre urbain ouvert à toutes les spéculations
foncières qui ont généré des problèmes multiples de gestion de la ville.

Remarque :
Cependant la réalisation des rocades et voies de contournement au sein et dans la
périphérie de la ville de CHLEF a énormément contribué à désengorger le centre-ville et
assurer une fluidité de circulation aussi bien dans le sens nord-sud que dans le sens est-
ouest.
Il est à noter qu’une nouvelle voie de contournement est actuellement en projet au sud de
la ville pour permettre d’une part à la circulation transitaire d’éviter de rentrer dans la ville,
et d’autre part permettre une liaison est – ouest entre les différents quartiers de la ville,
laquelle liaison était absente pendant des dizaines d’années car tous les flux étaient
obligatoirement acheminés vers la route nationale n°04 ,ce qui aggravait la situation de la
circulation au sein de la ville.

Typologie de l’habitat de chlef

L’habitat à l’intérieur de la ville de CHLEF, se caractérise par une diversité de sa


typologie qui se présente comme suit :

Au niveau de Hay BENSOUNA : on distingue aussi bien le collectif, les lotissements que
l’habitat type Haouch reflétant les différents programmes de développement de l’habitat.
Cette même typologie se retrouve au niveau de Hay Salem Quant au centre ville, il se
caractérise essentiellement par des lotissements.
En revanche, au niveau de Hay El Houria, on retrouve des constructions individuelles de
types Haouch avec l’injection de quelques lotissements dégageant des constructions en R
+ 1.

Au Sud-ouest de la ville de CHLEF, on retrouve un habitat individuel très dispersé


dégageant une configuration semi-urbaine.
Le reste de l’habitat est constitué du préfabriqué sur une superficie de l’ordre de 1100 Ha.

En conclusion, cette diversité de constructions reflète plutôt les programmes


d’urgence et de recasement des populations à travers l’évolution urbaine de cette
agglomération ce qui dénature quelque peu son urbanité.

Les grands équipements de Chlef

L’université

Crée en 1983, l’université de Chlef s’étale sur une superficie de 107 ha. Elle
comporte trois (03) Facultés avec quatre(05) résidences universitaires.
L’Université est implantée au niveau du quartier de Hay ESSALEM.

L’université de CHLEF est constituée des facultés suivantes :


La faculté des sciences et sciences de la technologie qui assure l’enseignement de
sept (07) branches.
La faculté des sciences agronomiques et de biologie qui assure l’enseignement de
trois (03) branches.
La faculté des sciences sociales et humaines qui assure l’enseignement de huit
(08) branches.
La faculté des sciences administratives et juridiques.

46
Aire d’influence de l’université

L’origine des étudiants englobe les wilayas de Aïn Defla, Tissemsilt, Relizane, Laghouat,
Djelfa, Bechar et Tipaza, témoigne du rôle régional que joue l’université de Chlef en
matière de formation.
Ce pôle attractif, constitue un équipement tertiaire structurant de première importance,
vers la métropolisation du chef-lieu de wilaya Chlef.

Aéroport de Mouafkia

Situé à environ 4,5 kms au Nord du chef lieu de wilaya , Chlef, dont il est relié par le
chemin de wilaya 3, l’aéroport, occupe une superficie d’environ 137 Ha jouxtant
l’aérodrome militaire de MOUAFKIA.
Le nouvel aéroport est constitué :

D’une tour de contrôle


D’un aérogare (extensible)
D’une piste d’atterrissage d’une longueur de 3 Kms pouvant accueillir des avions gros
porteurs (Boeing 747, Air Bus 310,…)
D’un parking (extensible)

Son exploitation touchera le transport des personnes et des marchandises. Son aire
d’influence touchera les wilayas de Chlef, Ain Defla, Tisssemsilt, Relizane et Mostaganem.
Avantages et inconvénients

Les avantages

Permet de prendre en charge les déplacements d’affaires, de hadj, Omra et de la


communauté nationale émigrée locale et régionale.

- Atténue la pression sur les aéroports d’Oran et d’Alger

- Permet une intervention rapide et efficace lors de catastrophe naturelles (séisme,


inondations, incendies, invasion de criquet,…)

- Permet le traitement phytosanitaire dans le domaine de l’agriculture

- Permet l’acheminement rapide des produits agricoles et pharmaceutiques


périssables

- Permet un impact économique certain notamment en matière d’activité et d’emploi.

L’AEROPORT DE MOUAFKIA : Un atout vers la Métropolisation de l’Agglomération


de Chlef

L’implantation de l’aéroport au niveau de MOUAFKIA grâce à ses multiples avantages


militera pour sa fonction régionale et lui assurera le rôle de métropole d’équilibre entre
Oran et Alger.

Inconvénients

47
Le seul inconvénient est que l’aéroport a été implanté sur des terrains agricoles de
fortes potentialités. Les routes projetées menant à l’aéroport doivent être modifiées dans
la mesure où elles traverseront des terres agricoles de fortes potentialités (ce qui
permettra de préserver et éliminera le risque d’une urbanisation accélérée à l’intérieur de
la zone agricole.

Marché de gros des fruits et légumes

Le marché de gros des fruits et légumes a un rayonnement régional, il est situé à la


sortie Est de l’agglomération de CHLEF, à proximité de la R.N4. Il occupe une superficie
de 21.838 m2, le nombre de mandataires s’élève à 246 personnes.
Son aire d’influence touche pratiquement une bonne partie du territoire régional son et
assure l’approvisionnement en fruits et légumes, et permet une dynamique commerciale
des produits agricoles de la région ayant déjà une vocation agricole par excellence.
Cependant, sa situation au sein de la ville qui grandi génère des problèmes d’accessibilité
et de circulation qui s’aggravent de plus en plus.

Equipements de protection sociale

En matière de prise en charge des catégories particulières, le secteur de la


protection sociale compte (07) infrastructures spécialisées d’une capacité théorique
globale de 640 handicapés à savoir :

Types d'infrastructures Nombre Accueil Capacité


réel théorique
Ecole des jeunes sourds-muets 10 011 021
Ecole des jeunes aveugles 10 37 021
Centres médicaux pédagogiques aux 10 010 021
handicaps mentaux
Total 03 529 640

L’agglomération de Chlef dispose d’autres équipements digne d’un ancien chef lieu de
wilaya voir même d’une agglomération qui rayonne sur un espace territorial dépassant les
limites de la wilaya, il s’agit d’équipements administratifs, de santé, de sport, de culture,
éducatifs, touristiques, de loisirs et détente, de culte, de services et commerces et
édilitaires.

Le transport public

Le réseau de transport public à CHLEF se divise en trois types :


- Le Transport Routier.
- Le Transport Aérien.
- Le Transport Ferroviaire.
Transport Routier : qui est formé par un parc roulant assez riche et qui se subdivise à
son tour en quatre types de transport :

48
- Transport Inter-Wilaya.
- Transport Inter-Communal.
- Transport Rural.
- Transport Urbain.

Transport Aérien :Ce type de transport est assuré par quatre compagnies aériennes
comme suit :
- AIR ALGERIE: avec 02 vols/semaine(Dimanche et Jeudi)MARSEILLE(France).
- AIGLE AZUR: avec 01 vols/semaine(Mercredi)MARSEILLE(France).
- AIR MEDITERRANEE: avec 02 vols/semaine(Mardi et Jeudi)PARIS(France).
- TASSILI AIRLINES: avec 01 vols/semaine(Jeudi)GRENOBLE(France).

Transport Ferroviaire : qui est assuré actuellement par la ligne de chemin de fer ALGER-
ORAN
On signale dans ce contexte qu’il existe un projet d’une ligne de chemin de fer qui
relie CHLEF à TENES et qui a été présentée sous formes de trois variantes (source
servicedu transport de la wilaya de CHLEF ) :
 Variante n°01 : démarre de l’Ouest de la ville de CHLEF puis passe par la
commune de CHETTIA sur une distance de 01 km à l’ouest de la ville, en
traversant 51 km jusqu’à TENES.
 Variante n°02 : démarre de l’Ouest de la ville de CHLEF puis passe à raz par la
périphérie Ouest de la ville CHETTIA, en traversant 50 km jusqu’à TENES.
 Variante n°03 : démarre de l’Ouest de la ville d’OUM DROU puis passe par la
périphérie Nord-Ouest de la ville d’OUM DROU ,puis perse vers le Nord à
travers la commune de LABIODH MEDJDJA ,en traversant 49 km jusqu’à
TENES.

Les agglomérations secondaires de Chlef :

Agglomération secondaire de MOUAFKIA-TEGAGRA

L’agglomération secondaire de MOUAFKIA-TEGAGRA est située au Nord du chef-lieu de


wilaya et distante de ce dernier de 4,5 kms. Elle est desservie par un chemin communal,
présentant un bon état.
L’agglomération secondaire de MOUAFKIA est caractérisée par un habitat individuel de
type Haouch prédominée par état moyen.
Le RGPH 2008 a rassemblé l’agglomération MOUAFKIA avec le hameau TEGAGRA pour
former actuellement l’agglomération secondaire MOUAFKIA-TEGAGRA.

NOMBRE D'HABITANTS : 5 542(source RGPH 2008 )


NOMBRE DE LOGEMENTS : 803 logements
dont 751 logements sont habités. (source RGPH 2008 ).
et 52 logements sont inhabités. (source RGPH 2008 ).

Entourée de terres agricoles, les possibilités d’extension sont très limitées, cependant il
existe des possibilités de densification à l’intérieur. et sa proximité avec l’aéroport génère
un besoin de dynamisme à créer par l’injection d’équipements liés à celui-ci (hôtels-
restaurants…).

Agglomération Secondaire de CHEGGA-CHERAIT

Avant 2008 , Cette agglomération était scindée en deux agglomérations secondaires et


lors du RGPH 2008 elles ont été rassemblées en une seule agglomération.

49
NOMBRE D'HABITANTS : 8 797(source RGPH 2008 )
NOMBRE DE LOGEMENTS : 1 392 logements
dont 1 249 logements sont habités. (source RGPH 2008 ).
et 143 logements sont inhabités. (source RGPH 2008 ).

L’agglomération de CHEGGA est située au Nord Est de l’agglomération de Chlef, et


distante de cette dernière d’environ 4 kms.
Elle est desservie par les chemins de wilaya N°3 et N°151, présentant un bon état.

L’agglomération CHEGGA est scindée en deux (02) ensembles séparé par le chemin de
wilaya N°3 dénommées : CHEGGA Est et ouest. Elle est caractérisée par un habitat
individuel de type Haouch prédominé par un état précaire.

L’agglomération CHERAIT est située à proximité de Chegga, dont elle est distante de 1
km, et desservie par le chemin de wilaya N°3.
L’agglomération CHERAIT constitue un site résidentiel, formé par un habitat individuel de
type Haouch présentant une structure viaire ordonnée et dépendant de Chegga en
matière d’équipements et de services. Les possibilités d’extension sont limitées étant
donné qu’elle est circonscrite par des terrains agricoles
Agglomération Secondaire EL AZAIZ – BRANCIA :

Située à l’extrême de la commune ,cette agglomération secondaire a été nouvellement


créée durant le RGPH 2008 par le rassemblement de ces deux hameaux.

Cette agglomération secondaire se trouve frappée par deux contraintes et servitudes


importantes :
- Le passage de la faille sismique dans sa proximité nord.
- Le passage du couloir aérien de l’aéroport de CHLEF.

NOMBRE D'HABITANTS : 1 671(source RGPH 2008 )


NOMBRE DE LOGEMENTS : 230 logements
dont 220 logements sont habités. (source RGPH 2008 ).
et 10 logements sont inhabités. (source RGPH 2008 ).

Agglomération Secondaire MEKHATRIA - RAMLIA:

Située au nord-ouest de la ville de CHLEF ,cette agglomération secondaire a été


nouvellement créée durant le RGPH 2008 par le rassemblement de ces deux hameaux.

Cette agglomération secondaire se situe en pleine zone agricole et se caractérise le


passage du canal d’irrigation dans sa proximité nord:

NOMBRE D'HABITANTS : 2 577(source RGPH 2008 )


NOMBRE DE LOGEMENTS : 397 logements
Dont 332sont habités. (source RGPH 2008 ).

50
et 65 logements sont inhabités. (source RGPH 2008 ).

Agglomération Secondaire CHOUIET:

Située au nord-est de la ville de CHLEF et à proximité de la limite communale avec OUM


DROU. Cette agglomération secondaire a été nouvellement créée durant le RGPH 2008.

Cette agglomération secondaire se situe en pleine zone agricole et est traversée par la
limite communale avec OUM DROU qui là divise en deux entités :

- L’entité de CHLEF est une agglomération secondaire.


- L’entité d’OUM DROU est un hameau.

NOMBRE D'HABITANTS : 1 132(source RGPH 2008 )


NOMBRE DE LOGEMENTS : 156 logements
Dont140sont habités. (source RGPH 2008 )
et 16 logements sont inhabités. (source RGPH 2008 ).

51
2- ANALYSE URBAINE DE L’AGGLOMERATION DE OUM DROU

Nombre d'habitants : 7171(source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 1448 logements
dont 339 sont habités. (source RGPH 2008 ).

Présentation de l’Agglomération Chef-lieu d’OUM DROU.

L’agglomération d’OUM-DROU, située à 5 Kms à l’Est du chef-lieu de wilaya, elle


s’est développée de part et d’autre de la R.N.4,et Sa configuration actuelle est composée
de trois (03) entités urbaines, séparées par la R.N.4, le chemin de fer et l’Oued Cheliff

Évolution Urbaine de la ville d’OUM DROU:

L’agglomération de OUM-DROU se caractérisée au départ par un tissu colonial


présentant un plan en damier structuré dans lequel sont concentrés la majorité des
équipements, ce dernier est limité au Nord par l’Oued Cheliff au Sud par la R.N.4 et la voie
ferrée qui constituaient des contraintes à son développement après le séisme de 1980.
Cette agglomération a bénéficié d’un programme de logement en préfabriqué réalisé au
Sud de la voie ferrée, amorçant de nouvelles extensions au Sud, et au Nord de l’Oued
Cheliff par l’intégration de l’agglomération secondaire de BOUALILI en 1998.

TYPOLOGIE URBAINE EXISTANTES DANS L’ACL D’OUM DROU :

L’agglomération de OUM-DROU présente ainsi deux (02) tissus urbains, le premier


représenté par l’ancien centre colonial caractérisé par une trame orthogonale dégageant
un habitat de type individuel en majorité avec l’introduction de l’habitat collectif.

Le deuxième tissu est représenté par la cité dénommée : Site Azzoun caractérisé par
l’habitat individuel en préfabriqué, et on retrouve la même typologie au niveau du site de
BOUALILI il y a lieu de noter, des opérations de rénovation du préfabriqué par des
constructions en dur.

Les équipements existants dans l’agglomération d’Oum Drou:

Equipements préscolaires - scolaires et de formation :


Equipements administratifs :
Equipements sanitaires :
Equipements culturels :
Equipements cultuels :
Equipements sportifs :
Equipements de services :
Equipements de commerces et activités :

52
Agglomérations secondaires d’Oum Drou:

- Agglomération Secondaire : GUELAFTIA:

Nombre d'habitants : 3093(source RGPH 2008)


Nombre de logements :546 logements dont 484 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Nombre de constructions précaires : 24 ( source DUC et APC )
Différents réseaux existants : Eau, Electricité, et Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements administratifs :
Equipements sanitaires :
Equipements cultuels :
Equipements sportifs :

- Agglomération Secondaire : BESSAKRA:

Nombre d'habitants : 1 128 ( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 205 logements dont 183 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Différents réseaux existants : Eau, Electricité, Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements administratifs :
Equipements sanitaires :
Equipements cultuels :

Agglomération Secondaire : EL HAMMAM:

Nombre d'habitants : 1053( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 190 logements dont 152 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Déférents réseaux existant : Eau, Electricité, Gaz, Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements sanitaires :
Equipements cultuels :

Agglomération Secondaire : MENASRIA

Nombre d'habitants : 994(source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 165 logements dont 138 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Différents réseaux existant : Eau, Electricité, Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements sanitaires :
Equipements cultuels :

53
- Agglomération Secondaire : BUCCA CHEKALIL:

Nombre d'habitants : 922(source RGPH 2008)


Nombre de logements : 143 logements dont 127 sont habités. (Source RGPH 2008)
Différents réseaux existant : Eau, Electricité, Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements sanitaires :
Equipements cultuels :

- Agglomération Secondaire : MAIZIA


Nombre d'habitants : 863(source RGPH 2008)
Nombre de logements : 146 logements dont 122 sont habités. (Source RGPH 2008)
Différents réseaux existant : Eau, Electricité, Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels

- Agglomération Secondaire : OULED MGHAZI ROUADHI

Nombre d'habitants : 746( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 116 logements dont 93 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Différents réseaux existant : Eau, Electricité, Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation
Equipements cultuels :

- Agglomération Secondaire : HAMAISSIA:

Nombre d'habitants : 747(source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 117 logements dont 105 sont habités. (Source RGPH 2008)
Différents réseaux existant : Eau, Electricité, et Assainissement.
Différents équipements :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements sanitaires :
Equipements cultuels :

- Agglomération Secondaire : REZAMA

Nombre d'habitants : 625( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 110 logements dont 99 sont habités. (Source RGPH 2008)
Différents réseaux existant : Eau, Electricité, et Assainissement.
Différents équipements
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels

54
3- ANALYSE URBAINE DE L’AGGLOMERATION DE SENDJAS

Nombre d'habitants : 9243( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 1452 logements dont 1273 sont habités. ( source RGPH 2008 )

Présentation de l’Agglomération Chef-lieu.

L’agglomération de SENDJAS est située au Sud du chef-lieu de wilaya de CHLEF.


Elle est distante d’environ 7 Kms.
L’agglomération de SENDJAS s’étale de part et d’autre de la route nationale N°19, en
présentant une composition urbaine linéaire.

Typologies urbaines existantes dans l’Agglomération Chef-lieu.

HABITAT MODERNE (VILLA)


Situé dans le prolongement Sud du site préfabriqué, ce cadre bâti doit être
encouragé dans la mesure où il permet la réhabilitation du tissu urbain et témoigne d’une
volonté de stabilisation de la population.

LE PREFABRIQUE

Son implantation est la conséquence du séisme de 1980 qui a endommagé


l’agglomération de SENDJAS. Il existe deux (02) sites situés le long de la R.N.19, l’un au
Nord et l’autre au centre de l’agglomération. Le préfabriqué présente un aspect précaire et
dégradé cependant on note actuellement des opérations d’aménagement et de
reconversion en dur.

HABITAT TRADITIONNEL : (HAOUCH)


C’est le type d’habitat prépondérant. Il est constitué essentiellement de lotissement
(planifié).

HABITAT PRECAIRE
Il est localisé le long des Oueds (Oued TSIGHAOUT et Oued BEN BÂA). Il présente un
aspect précaire et désordonné, n’obéissant à aucune règle urbanistique.

HABITAT COLLECTIF
Il est localisé essentiellement au Sud-ouest et au Nord-est de l’agglomération. C’est un
type d’habitat récent.
Le tissu urbain de l’agglomération de SENDJAS est de type linéaire (le long de la R.N.19)
et épousant la forme des rives de l’Oued TSIGHAOUT avec une amorce d’extension sur
les flancs Ouest (habitat collectif) et Est (lotissement).

Les équipements existants


Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements administratifs
Equipements sanitaires
Equipements culturels
Equipements cultuels
Equipements sportifs
Equipements de services
Equipements de commerces et activités

Agglomérations secondaires de Sendjas:

55
Agglomération Secondaire : BENI OUDRENE.

Nombre d'habitants : 1 828 ( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 287 logements dont 253 sont habités. (Source RGPH 2008)
Equipements existants :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements administratifs :
Equipements sanitaires :
Equipements cultuels :
Equipements de commerces et activités :

-Agglomération Secondaire : CHERAIRIA.

Nombre d'habitants : 1 393 ( source RGPH 2008 )


Nombre de logements :237 logements dont 189 sont habités. (Source RGPH 2008)
Equipements existants
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels :

Agglomération Secondaire : KHELAILIA.

Nombre d'habitants : 1243( source RGPH 2008 )


Nombre de logements :195 logements dont 172 sont habités. (Source RGPH 2008)
Equipements existants
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels :

Agglomération Secondaire : SI YOUCEF .

Nombre d'habitants : 892( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 116 logements dont 110 sont habités. (Source RGPH 2008)
Equipements existants :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements sanitaires:
Equipements cultuels :
Equipements sportifs :

Agglomération Secondaire : OULED HENNI .

Nombre d'habitants : 744( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 117 logements dont 109 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Equipements existants :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels :

56
Agglomération Secondaire : SOUAMET.

Nombre d'habitants : 799( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 143 logements dont 99 sont habités. (Source RGPH 2008)
Equipements existants :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels :
Equipements administratifs :

Agglomération Secondaire : OULED SI AHMED .

Nombre d'habitants : 944( source RGPH 2008 )


Nombre de logements : 133 logements dont 116 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Equipements existants
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels :

Agglomération Secondaire : EL AMAMRA.

Nombre d'habitants : 604 ( source RGPH 2008 )


Nombre de logements :94 logements dont 70 sont habités. ( source RGPH 2008 )
Equipements existants :
Equipements préscolaires - scolaires et de formation :
Equipements cultuels :

57
X- LES ACTIVITES

1- ACTIVITE AGRICOLE

- C’est l’activité principale et dominante dans ces trois communes vu la fertilité


de leurs terres ,et ceci est renforcé par l’existence d’un périmètre irrigué desservi
par un réseau d’irrigation qui sillonne dans le territoire des communes de CHEF et
OUM DROU.

- SURFACE AGRICOLE UTILE (source D.S.A campagne agricole 2013-2014):


- Surface Agricole Utile du Groupement est de : 17 277 ha
Qui se réparti comme suit à travers les trois communes :

Superficie agricole
Nom de Superficie Rapport
utile
commune communale SAU/SuperfComm
S.A.U ( ha )
(ha)
CHLEF 5 447,00 12 583 43,29 %
OUM DROU 2 830,00 6 000 47,17 %
SENDJAS 9 000,00 22 100 40,72 %
Total
17 277,00 40 500 42,66 %
groupement

On remarque alors que la surface agricole utile représente près de la moitié de la


superficie communale ,après avoir retranché les sites urbanisés ,les zones montagneuses
,les forets….etc ,donc ce sont des communes à vocation agricole par excellence ,ce qui
implique la nécessité absolue de protéger ces terres agricoles.

Remarque : L’activité agricole est aussi pratiquée au niveau de CHLEF par l’élevage des
bovins, ovins, caprins et avicole ainsi que l’apiculture.

On signale que pour consolider ce caractère de vocation agricole, une étude a été lancée
pour classer les terres agricoles selon leur potentialités agricoles et leurs rendement, et
cette étude a été réalisée par le B.N.E.D.E.R en 2012.
Cette étude a dressé un zoning dans lequel elle a classé les terres en quatre Zones :
 Zone A : terres de plaines situées dans les régions littorales bénéficiant d’une
pluviométrie supérieure ou égale à 600 mm.

 Zone B : terres de plaines bénéficiant d’une pluviométrie comprise entre 450mm et


600mm.

 Zone C : terres de plaines bénéficiant d’une pluviométrie comprise entre 350mm et


450mm.

 Zone D : toutes les terres agricoles bénéficiant d’une pluviométrie inférieure à 350
mm ainsi que celles situées en montagne.
Et la zone D se subdivise elle aussi en deux zones :

 Zone D1 : toutes les terres agricoles de plaines bénéficiant d’une pluviométrie


inférieure à 350 mm et dont la pente est inférieure à 12,5 %.

58
 Zone D2 : toutes les terres agricoles bénéficiant d’une pluviométrie inférieure à 350
mm et dont la pente est supérieure à 12,5 % situés dans les piémont et montagnes.
Remarque :sont considérées comme terres de plaines, les terres dont la pente est
inférieure à 12,5 %.
Nous signalons aussi que la quasi-totalité des terres de notre groupement de
communes sont classés dans la zone D2.

2- ACTIVITE INDUSTRIELLE

Cette activité est présente surtout dans les deux communes CHLEF et OUM DROU et
SENDJAS quant à elle reste dominée par l’activité agricole :

Activité industrielle au niveau de la commune de Chlef.

Cette activité est assez dynamique au niveau de CHLEF et se réparti à travers plusieurs
sites dans le territoire de la commune (source monographie de la commune) :
1- Zone d’activité OULED MOHAMED.
o Nombre de lots = 217.
o Superficie = 11 ha 68 a 88 ca

2- Zone d’activité route de SENDJAS.


o Nombre de lots = 132.
o Superficie = 06 ha 00 a 00 ca

3- Zone d’activité CHORFA.


o Nombre de lots = 34.
o Superficie = 03 ha 39 a 00 ca

4- Zone d’activité zone 06 CHORFA.


o Nombre de lots = 19.
o Superficie = 03 ha 39 a 00 ca

5- Zone d’activité LES VERGERS.


o Nombre de lots = 85.
o Superficie = 03 ha 62 a 10 ca

6- Zone d’activité route de CHORFA.


o Nombre de lots = 34.
o Superficie = 00 ha 94 a 52 ca

7- Zone d’activité LES VERGERS (Derrière la salle).


o Nombre de lots = 33.
o Superficie = 00 ha 58 a 00 ca

Activité industrielle au niveau de la commune d’Oum Drou.

La vocation principale de la commune d’OUM DROU est principalement agricole,


cependant il existe des activités agricoles qui peuvent se résumer comme suit :
o L’entreprise SOPREC localisée dans l’ACL.
o L’entreprise SEROA localisée dans l’ACL.
o L’entreprise STR OUEST localisée dans l’ACL.

59
o L’entreprise SAPTA localisée dans l’ACL.
o L’entreprise SOMEGEL localisée dans l’ACL.
o L’entreprise SOVIWEL localisée dans l’ACL.
o L’entreprise SOTRAMET localisée dans l’ACL.
o L’entreprise ENIR localisée dans l’ACL.
o L’entreprise DNC localisée dans l’ACL(actuellement usine de confection
d’habillemment.
o L’entreprise NITRO localisée dans l’ACL.
o L’entreprise RENAULT localisée au niveau d’OULED MGHAZI qui pratique le
montage de véhicules lourd de RENAULT.

3- ACTIVITE TOURISTIQUE

Commune de CHLEF :
L’activité touristique est soutenue au niveau de CHLEF par l’infrastructure hôtelière
suivante(source :monographie de la wilaya de CHLEF) :

Capacitéd'accueil
Nom de d’hôtel Commune Catégories Nombre de Nombre
Chambres De Lits
EL WANCHARIS CHLEF Non classé 58 103
EL MEDINA CHLEF 02 étoiles 28 56
OLYMPIQUE CHLEF 01 étoile 41 98
EL KÉBIR CHLEF 01 étoile 25 65
Total 152 322

Commune de OUM DROU :

La commune d’OUM DROU possède des potentialités touristiques qui ne demandent qu’à
être exploitées pour les mettre en valeur afin de pouvoir attirer un nombre assez
estimable de touristes.
Ces potentialités se résument comme suit :
1- Les sites archéologiques et historiques qui reviennent à l’époque romaines et qui se
répartissent dans les localités suivantes :
o Agglomération secondaire BESSAKRA.
o Agglomération secondaire OULED MGHAZI.
o Agglomération secondaire MAIZIA.
o Cité BOUALILI.
2- le tombeau du marabout SIDI AHMED BEN ABDELLAH au niveau duquel se tient
annuellement une cérémonie ayant un caractère culturel, social et économique ,qui
est connue sous le nom de TAAM ,et durant laquelle s’organise une compétition de
course au chevaux ainsi qu’un festival de poésie à côté d’un grand SOUK des
produits d’artisanat et autres.

Commune de SENDJAS :

La commune de SENDJAS possède elle aussi des potentialités touristiques qui résident
dans des sites touristiques possédant un patrimoine de faune et flore assez spécifique qui
une fois aménagés dans le cadre d’un développement durable ,ils pourront attirer un
nombre assez estimable de touristes et de visiteurs, et ceci augmentera les rentes de
l’APC.

60
Ces potentialités se résument comme suit :
1- zone forestière de BOUASSAL( OULED MBAREK ).
2- zone montagneuse de AOUN-NSSOUR (TAMEDRATA ).
3- le tombeau du marabout SIDI SALAH qui est la destination de plusieurs visiteurs.

61
CHAPITRE II :
PERSPECTIVES DE
DEVELOPPEMENT
ET
AMENAGEMENT

62
I- DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
1- PLACE DU GROUPEMENT DANS LE CONTEXTE REGIONAL (ORIENTATION DU
PATW)

Dans sa phase n°03 le PAWT de CHLEF preconjse dans l’amenagement les principes
suivants :

A - Créer deux axes porteurs d’urbanisation soutenus par des pôles d’équilibre ou
villes intermédiaires
Le renvoi des surplus démographiques des communes de la plaine dont la
protection des terres agricoles est un objectif majeur, vers les zones de piémonts dont le
développement est souhaitable dans le cadre de l’équilibre territorial de la wilaya implique
l’aménagement de deux axes porteurs soutenus par des pôles d’équilibre
Sur le piémont Sud du Dahra
 Un axe porteur d’urbanisation est envisageable sur le couloir Ain Merane, Harenfa,
Tadjina, Bouzeghaia, Benairia et Zeboudja, Cet axe pourrait suivre en gros le CW
101.
 Les agglomérations de Ain Merane , Bouzeghaia et Zeboudja seront privilégiées en
tant que pôle d’équilibre en ville intermédiaires
Sur le piémont Nord de l’Ouarsenis
En plus des districts économiques et résidentiels prévus à Boukadir Sud et Oued Sly
Sud et du district commercial et résidentiel de Sendjas, un axe porteur
d’urbanisation peut etre envisagé dans le couloir Ouled ben AEK-Sendjas-El
Karimia.

B - Créer des districts économiques et résidentiels à Boukadirs, et Oued Sly


La programmation de deux importantes zones industrielles à Boukadir et Oued Sly milite
en faveur de la création des pôles urbains sur les reliefs piémontais du Sud des
communes concernées à proximité des sites des zones industrielles en question. Ces
pôles urbains permettront de limiter l’urbanisation au niveau des chefs lieux situés en
plaine et de réduire les migrations alternantes du travail.

C - faire de Sendjas un district commercial et résidentiel


Il est proposé de faire de Sendjas un pôle urbain d’importance en raison de ses
potentialités foncières et de proximité immédiate de Chlef. Une partie du surplus
démographique futur de Chlef trouverait accueil à Sendjas.
L’activité commerciale déjà importante au niveau de cette ville sera étoffée : marché de
gros, centres commerciaux, gare routière, etc..

63
64
2- DEVELOPPEMENT DU SECTEUR AGRICOLE

La préservation de la ressource biologique dans le cadre d’une agriculture durable et


responsable.
 L’augmentation de la production
 La création d'emplois
 La promotion des investissements
 L’encouragement des exportations
Larentabilisationdesinfrastructuresexistantes, à traversleurentretien,
leurrenforcementetleuradaptationauxbesoins.
Dans et du souci des autorités nationalesd’organiserlepaysageagricolepar lacréation depôle
de production compétitive, il yanécessité demettre en œuvre unestratégiequi puissevaloriser les
potentialités du milieuet
demettreenœuvrelesinstrumentsdeproductionetdegestionsusceptiblesdeparveniràunemeill
euremaîtrisedu processusdeproduction.Cesinstruments,
porterontsurladurabilité,lesnormestechniques, lesrentabilités,les productivités, etc…
Les principaux axes de développement agricole pour relever les défis cités doivent
s’articuler autour de :
La consolidation des vocations naturelles des régions ;
 La stricte protection voirel’accroissement de la surface agricole utile ;
 L’intensification et la valorisation de la production agricole ;
 L’augmentation des productions par l’amélioration des rendements ;
 La sécurisation et le développement de la petite hydraulique.
 Le développement des grands périmètres d’irrigation.
 L’encadrement technique et financier des activités agricoles.

Enraisonde
sonpotentieldedéveloppementd’unepartetduprocessusengagédelevéedescontraintesàson
épanouissementd’autrepart,etenraisondesrésultatsattendus(créationdenouveauxemploisgr
âce
àl’intensificationagricole).Etauxeffetsd’entrainementàl’amontetàl’aval)lesecteurdel’agricult
ure prédispose le territoire du groupement de communes à s’ériger en pôleagricole
d’excellence.

65
Affectation des terres et orientations de développement agricole

Affectation (type de mise en Critères Orientation d’action par type


valeur possible) d’affectation
Vallées, plaines et bats Système de culture à orienter
Agriculture intensive en piémonts à pente <12% vers :
irrigué (relief plat à ondulé) - Arboriculture en irrigué
Terre actuellement irriguée -Maraîchage, cultures
ou susceptible de l’être à industrielles, fourragères en
partir de la mobilisation de irrigué.
l’eau -- Plasticulture.

Pente <12% (relief plat à Intensification de la céréaliculture


Agriculture intensive en sec ondulé) par :
Sols très aptes et de très -Résorption de la jachère qui sera
bonnes potentialités remplacée par des cultures
Pluviométrie 400mm/an et fourragères (si cheptel important),
plus (plaine du moyen Chelif) ou autres

Agriculture semi intensive Pente <12,5 %. Système deculture à orienter


en sec de plaine et de bas -Sols moyennement aptes vers la céréaliculture et fourrages
piémonts -Pluviométrie 350 à 450 mm et cultures industrielleset légumes
secs.
- Erosion ou risque d’érosion
limité -Amélioration des techniques
culturales.

Agriculture extensive de Pente régulière 12.5à 25%. Plantation arboriculture rustique


piémont et montagne -Pluviométrie 400 à 500 mm en ligne ou en bandesalternées à
associée à l’arboriculture en -Terres sensibles à la céréaliculture semi intensive en
sec moyennement sec dans l’inter bande.
sensibles à l’érosion. - Labour en courbes de niveau et
éventuellement mise en place de
-Céréaliculture.
cordons anti érosif en pierres
sèches.

66
3- DEVELOPPEMENT DU SECTEUR INDUSTRIEL

 La nécessité dereconversion et d’adaptation des industries nationales aux


technologies et créneaux compétitifs
 Lerenforcementdespotentielsindustrielslocauxàtraverslavalorisationdesressourceslo
calesetle développement de la PME-PMI
 La protection de l’environnement, la gestion des déchets industriels et l’économie
de l’eau et de l’énergie, conformémentaudécretexécutifn°05-
443du14/11/2005quidéfinitlecontenudesschémasdirecteurssectorielsetfixant
lesmodalitésdecoordination,

 L’objectifstratégiqueviséparl’identificationdeszonesintégréesdedéveloppementindus
trielest
l’émergenced’unecapacitéindustriellequis’inscritdanslecadred’unaménagementdute
rritoire en question assurantundéveloppementéquilibré.
 Ils’agitainsid’identifierdeszonesquipermettentderépondre,surunhorizontemporeldelo
ngterme,
auxobjectifsdecréationdehautevaleurajoutéeetd’améliorationdelacompétitivitédusyst
èmeproductifavec les effets d’entraînement propres à l’industrie et la diversification
de l’économie qui l’accompagne.
 La
promotiondelatransversalitéetdelacohérencedansl’actionparl’articulationdelachaînet
ouristiqueetlamise en place d’un partenariat public – privé ;
 Ladéfinitionetlamiseenœuvred’unplandefinancementopérationnelpoursoutenirlesacti
vitéstouristiquesetles promoteurs – développeurs et attirer les investisseurs
nationaux et internationaux.
 Garantir une offre multiple et diversifiée répondant aux attentes des différents
segments de clientèles.
 Lasélectionetlahiérarchisationdessitesstructurantssurlesquelsserontconcentrésenpr
ioritélesfluxtouristiquesau regard de leurs atouts.

4- DEVELOPPEMENT DU TOURISME

Si aujourd’hui, le chemin du développement touristique peut paraître difficile et long à


parcourir, il n’en demeure pas moins que la politique de mise en œuvre du SDAT national
et des SDAT de wilaya constituent une opportunité sans précédent qu’il convient de saisir
et de ne pas rater.

Dans cette optique, la détermination des grands enjeux est une étape nécessaire
pour garantir un développement cohérent et pertinent pour le territoire.
Au regard du diagnostic établi sur la wilaya de Chlef, les enjeux prioritaires du
Schéma de Développement Touristique sont au nombre de trois :
 Faire du tourisme un véritable levier de développement économique

Le tourisme peut devenir un secteur économique à part entière, capable de :


 créer de l’emploi, direct ou induit ;
 soutenir l’emploi généré ;
 créer de la richesse en termes de chiffre d’affaires et de dépenses locales ;
 maintenir des populations en place sur certaines zones très rurales.
L’enjeu pour la wilaya est de miser sur le tourisme pour en faire un vecteur de
développement local pour les années à venir.

67
 Développer l’attractivité, l’image et la notoriété du territoire du groupement de
communes

Il est impératif, pour assoir un véritable projet de développement touristique, de


mettre les moyens dans le développement de l’attractivité, de l’image et de la notoriété
duterritoire en question pour la population locale, les touristes, les investisseurs, les
acteurs locaux, …
 Faire du tourisme un projet partagé par tous

Le tourisme est « l’affaire de tous ». L’ensemble des acteurs est concerné, qu’il
s’agisse des administrations, des élus locaux, des professionnels du tourisme ou de la
société civile. Tous doivent participer activement à l’acte d’accueil en gardant à l’esprit
les apports positifs du tourisme :
• l’emploi local et l’apport économique de manière plus générale ;
• l’amélioration du cadre de vie et de l’environnement ;
• l’apport en termes de loisirs – animation - services ;
• la contribution psychologique liée à la valorisation de l’image et à la fierté
d’appartenance à un territoire convoité.
L’objectif étant de faire comprendre le fait touristique et l’opportunité qu’il représente
tant socialement qu’économiquement pour que la valorisation du territoire soit légitimée
et portée collectivement par le plus grands nombre «d’ambassadeurs» locaux.
C’est l’un des principaux facteurs de réussite du développement touristique.

Le devenir touristique possible pour le territoire :

La position stratégique du territoire en question entre Alger et Oran, la desserte par


l’autoroute Est-Ouest et par le train, la présence d’un aéroport international et la proximité
relative de ceux d’Alger et d’Oran, ainsi que l’émergence d’une classe moyenne
algérienne intéressée par la découverte de son pays, permettent au territoire de prétendre
devenir d’ici 2030 une destination touristique de niveau national.

La condition pour devenir d’ici 2030, une destination touristique de niveau


national est de répondre à certaines conditions sans lesquelles elle ne dépasserait pas
l’échelon régional. Car, pour atteindre cette ambition, le territoire devra s’affirmer dans le
panel des destinations touristiques de niveau national,

68
II PERSPECTIVES DEMOGRAPHIQUES
Introduction

Après le bilan de l’état de fait du groupement de communes, l’objet de ce chapitre consiste


à étudier et à établir les perspectives de population en fonction desquelles nous pourrons
quantifier et évaluer les besoins.
Il s’agit donc d’établir les perspectives globales de la population puis dégager les sous
populations telle la population scolarisable.
Nos prévisions de population seront établies sur plusieurs horizons à savoir 2019,2024
court et moyen terme et 2034 le long terme.
Sur quel rythme va-t-on se baser pour évaluer la population aux horizons (court, moyen et
long terme) ?
Quel flux migratoire arrêter pour le chef-lieu et hors chef-lieu ?
Le facteur socio-économique joue un rôle important dans la stabilité de la population qui
conduit à un flux migratoire variable, ce dernier est le résultat du développement de la
commune dans tous les domaines (économique : par le développement de l’agriculture, de
l’industrie….etc, où nous remarquons une offre importante d’emploi, social : par
l’amélioration de l’habitat, électrification, assainissement, alimentation en eau potable,
construction des écoles,….etc).

1-PREVISION DE POPULATION A COURT, MOYEN ET LONG TERME

Les tendances d’évolution de la population à l’horizon 2034, et les taux d’accroissement


ont été calculées sur la base des observations des taux d’accroissement entre 1998/2008.
Ce qui nous ramène à faire une évolution tendancielle résumée dans le tableau ci-
dessous, où le taux d’accroissement passe de 1,76% entre 2008/2014 à 2,08% entre
2024/2034, c’est à dire on se limite à l’accroissement naturel.
- COURT TERME 2015-2019 : L’objectif du court terme est de rendre la ville et la
commune en général apte à répondre aux besoins qualitatifs et quantitatifs des
citoyens. pour cet horizon nous préconisons un taux d’accroissement élevé pour le
groupement cela vu son attractivité qui est expliquée par sa position géographique.

- MOYEN TERME 2020-2024 : Pour cet horion, nous préconisons une continuation
dans la hausse du taux d’accroissement naturel qui comme on l’a vu, est dû à un
certain nombre de critères d’évolution connu, dont le développement et le progrès
social sont des éléments déterminants.

- LONG TERME 2025-2034 : les projections pour cet horion n’ont pas de valeur que
pour indiquer un ordre de grandeur de la ville et de la commune.

69
PERSPECTIVES DE POPULATION DU GROUPEMENT DE COMMUNES
A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS
POP RGPH Court Moyen Long Terme
COMMUNE POP 2014
2008 Terme 2019 Terme 2024 2034
CHLEF 178616 204847 227055 250319 300975
OUM EL DROU 21326 24513 27170 29954 36016
SENDJAS 29043 32630 36168 39873 47942
GROUPEMENT 228985 261989 290394 320147 384933
TAUX
1,90% 1,93% 1,97% 1,91% 1,84%
D'ACCROISSEMENT

EVOLUTION DE LA POPULATION DU GROUPEMENT


A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS

350000 CHLEF
300000 OUM EL DROU
SENDJAS
250000
200000
150000
100000
50000
0
RGPH 1987 RGPH 1998 RGPH 2008 POP 2014 Court Terme Moyen Long Terme
2019 Terme 2024 2034

70
PERSPECTIVES DE POPULATION DE LA COMMUNE DE CHLEF
A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS
Court Moyen Long
POP RGPH
DISPERSION POP 2014 Terme Terme Terme
2008
2019 2024 2034
A.C.L : CHLEF 155134 177916 197205 217410 261407
A.S : Chegga 8797 10089 11183 12329 14824
A.S : Mouafkia 5542 6356 7046 7767 9339
A.S : Mekhatria-Ramlia 2577 2955 3276 3611 4342
A.S : El AziezBrancia 1671 1917 2125 2342 2816
A.S : Chouiet 1132 1298 1439 1586 1907
ZONE EPARSE 3762 4314 4782 5272 6339
TOTAL COMMUNE 178616 204847 227055 250319 300975
Taux d’accroissement 2,03 2,08 2,08 1,97 1,86

 La population de CHLEF atteindra 227055 habitants à court terme (2019),


250319habitants à moyen terme (2024) et 300975 habitants à long terme (2034).

PERSPECTIVES DE POPULATION DE LA COMMUNE D’OUM DROU


A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS
Long
POP RGPH Court Moyen
DISPERSION POP 2014 Terme
2008 Terme 2019 Terme 2024
2034
ACL : OUM EL
7194 8269 9165 10104 12149
DROU
AS: Guelaftia 3188 3664 4062 4478 5384
AS: Bessakria 1131 1300 1441 1589 1910
AS: El Hammam 1059 1217 1349 1487 1788
AS: Menasria 1013 1164 1291 1423 1711
AS: BouccaChekallil 951 1094 1212 1336 1607
AS: Maizia 864 993 1101 1214 1459
AS: Ouled Meghazi 773 888 984 1085 1305
AS: Hamaicia 749 861 954 1052 1265
AS: Rezama 616 708 785 865 1040
ZONE EPARSE 3788 4354 4827 5321 6398
TOTAL COMMUNE 21326 24513 27170 29954 36016
Taux
2,11% 2,11% 2,08% 1,97% 1,86%
d’accroissement

 La population D’OUM DROU atteindra 27170 habitants à court terme (2019), 29954
habitants à moyen terme (2024) et 36016 habitants à long terme (2034).

71
PERSPECTIVES DE POPULATION DE LA COMMUNE DE SENDJAS
A TRAVERS LES DIFFERENTS HORIZONS
POP RGPH Court Terme Moyen Long Terme
DISPERSION POP 2014
2008 2019 Terme 2024 2034
ACL : Sendjas 9243 9790 11510 12690 15258
AS : Beni
1828 1936 2277 2510 3018
Ouadrene
AS : Cherairia 1393 1476 1735 1913 2300
AS : Khelailia 1243 1317 1548 1706 2052
AS : Si Youcef 892 945 1111 1225 1472
AS : Ouled Henni 744 788 926 1021 1228
AS : Souamet 799 846 995 1097 1319
AS : Ouled Si
944 1000 1176 1296 1558
Ahmed
AS : El Amamra 604 640 752 829 997
ZONE EPARSE 11353 12025 14138 15586 18741
TOTAL
29043 30764 36168 39873 47942
COMMUNE
Taux
1,02 2,08 1,97 1,86
d’accroissement

 La population de SENDJAS atteindra 36168 habitants à court terme (2019), 39873


habitants à moyen terme (2024) et 47942 habitants à long terme (2034).

72
III PROGRAMMATIONS DES BESOINS SOCIAUX
1- POPULATION SCOLARISABLE A COURT, MOYEN ET LONG TERME

Population scolarisée en cycle primaire

 Groupement de Communesde CHLEF


C’est la population susceptible de fréquenter les écoles primaires. Par rapport à la
population totale la population scolarisée dans le cycle primaire (5 – 11) représente un
taux de 13 % par rapport à la population totale (2008). (Source pyramide des âges RGPH
2008).

Population scolarisable à court, moyen et long terme


Court Terme Moyen Terme Long Terme
Populatio Populatio Populatio
COMMUNE Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisa n totale Scolarisa n totale Scolarisa
ble ble ble
CHLEF 227055 29517 250319 32541 300975 39127

OUM DROU 27051 3517 29691 3860 34970 4546

SENDJAS 32622 4241 35178 4573 42297 5499

GROUPEMENT 286728 37275 315188 40974 378242 49171

Les besoins en classes pour les trois horizons


Population
Population
à T.O.C Besoins Existants A réaliser
scolarisable
scolariser
Court terme
37751 35864 30 1195 1250 -
2019
Moyen terme
41619 39538 30 1318 1250 68
2024
Long terme
50041 47539 30 1585 1318 267
2034

 Pour le cycle primaire, nous remarquons qu’il y a un déficit de 335 classes à réaliser
pour le groupement de communesde CHLEF au cours des différents termes.

73
 Commune de CHLEF

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE PRIMAIRE


Court Terme Moyen Terme Long Terme
Populatio Populatio Populatio
DISPERSION Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisa n totale Scolarisa n totale Scolarisa
ble ble ble
A.C.L : CHLEF 197205 25637 217410 28263 261407 33983
A.S : Chegga 11183 1454 12329 1603 14824 1927
A.S : Mouafkia 7046 916 7767 1010 9339 1214
A.S : Mekhatria-
3276 426 3611 469 4342 564
Ramlia
A.S : El
2125 276 2342 305 2816 366
AziezBrancia
A.S : Chouiet 1439 187 1586 206 1907 248
ZONE EPARSE 4782 622 5272 685 6339 824
TOTAL COMMUNE 227055 29517 250319 32541 300975 39127

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE PRIMAIRE


Population Population
scolarisabl à T.O.C Besoins Existants A réaliser
e scolariser
Court terme
29517 28041 30 935 906 29
2019
Moyen terme
32541 30914 30 1030 935 95
2024
Long terme
39127 37170 30 1239 1030 209
2034

 Pour le cycle primaire il y a un besoin de classes de 333 classes à réaliser à


travers les différents termes.

74
 Commune d’OUM DROU
La population à scolariser dans le cycle primaire (5 – 10) représente un taux de 10,67 %
par rapport à la population totale (2008) (source pyramide des âges RGPH 2008).

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE PRIMAIRE


Court Terme Moyen Terme Long Terme
DISPERSION Population Population Population
Populatio Populatio Populatio
Scolarisabl Scolarisabl Scolarisabl
n totale n totale n totale
e e e
ACL : OUM
9165 978 10104 1078 12149 1296
DROU
AS: Guelaftia 4062 433 4478 478 5384 574
AS: Bessakria 1441 154 1589 169 1910 204
AS: El
1349 144 1487 159 1788 191
Hammam
AS: Menasria 1291 138 1423 152 1711 183
AS:
BouccaChekalli 1212 129 1336 143 1607 171
l
AS: Maizia 1101 117 1214 129 1459 156
AS: Ouled
984 105 1085 116 1305 139
Meghazi
AS: Hamaicia 954 102 1052 112 1265 135
AS: Rezama 785 84 865 92 1040 111
ZONE
4827 515 5321 568 6398 683
EPARSE
TOTAL
27170 2899 29954 3196 36016 3843
COMMUNE

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE PRIMAIRE


Population
Population
à T.O.C Besoins Existants A réaliser
scolarisable
scolariser
Court terme
2899 2754 30 92 143 -
2019
Moyen terme
3196 3036 30 101 143 -
2024
Long terme
3843 3651 30 122 143 -
2034

 Pour le cycle primaire il n’y a pas un besoin de classes à réaliser à travers les
différents termes.

75
 Commune de SENDJAS

La population à scolariser dans le cycle primaire (5 – 10) représente un taux de 10,96 %


par rapport à la population totale (2008) (source pyramide des âges RGPH 2008).

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE PRIMAIRE


Court Terme Moyen Terme Long Terme
Population Population Population
DISPERSION Population Population Population
Scolarisab Scolarisab Scolarisab
totale totale totale
le le le
ACL : Sendjas 11510 1262 12690 1391 15258 1673
AS : Beni
2277 250 2510 275 3018 331
Ouadrene
AS : Cherairia 1735 190 1913 210 2300 252
AS : Khelailia 1548 170 1706 187 2052 225
AS : Si Youcef 1111 122 1225 134 1472 161
AS : Ouled Henni 926 102 1021 112 1228 135
AS : Souamet 995 109 1097 120 1319 145
AS : Ouled Si
1176 129 1296 142 1558 171
Ahmed
AS : El Amamra 752 82 829 91 997 109
ZONE EPARSE 14138 1550 15586 1709 18741 2055
TOTAL
36168 3965 39873 4371 47942 5256
COMMUNE

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE PRIMAIRE


Populatio
Populatio
n
nà T.O.C Besoins Existants A réaliser
scolarisa
scolariser
ble
Court terme
3965 3767 30 126 201 -
2019
Moyen terme
4371 4153 30 138 201 -
2024
Long terme
5256 4993 30 166 201 -
2034

 Pour le cycle primaire il n’y a pas un besoin de classes à réaliser à travers les
différents termes.

76
Population scolarisée au cycle moyen

 Groupement de Communes de CHLEF

Elle est estimée de 8,50 % de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité
de 95% pour les trois horizons.

Population scolarisable à court, moyen et long terme


Court Terme Moyen Terme Long Terme
Populatio Populatio Populatio
COMMUNE Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisa n totale Scolarisa n totale Scolarisa
ble ble ble
CHLEF 227055 19300 250319 21277 300975 25583
OUM DROU 27170 2309 29954 2546 36016 3061
SENDJAS 36168 3074 39873 3389 47942 4075
groupement 290394 24683 320147 27212 384933 32719

Les besoins en classes pour les trois horizons


Population
Population
à T.O.C Besoins Existants A réaliser
scolarisable
scolariser
Court terme
24683 23449 32 733 586 147
2019
Moyen terme
27212 25852 32 808 733 75
2024
Long terme
32719 31083 30 1036 808 228
2034

 Pour le cycle moyen, nous remarquons qu’il y a un nombre de 450 classes à réaliser
pour le groupement de communesde CHLEF au cours des différents termes.

77
 Commune de CHLEF

Elle est estimée à 8,5 % de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité
de 95% pour les trois horizons.
POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE MOYEN
Court Terme Moyen Terme Long Terme
Populatio Populatio Populatio
DISPERSION
Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisa n totale Scolarisa n totale Scolarisa
ble ble ble
A.C.L : CHLEF 197205 16762 217410 18480 261407 22220
A.S : Chegga 11183 951 12329 1048 14824 1260
A.S : Mouafkia 7046 599 7767 660 9339 794
A.S : Mekhatria-
3276 278 3611 307 4342 369
Ramlia
A.S : El
2125 181 2342 199 2816 239
AziezBrancia
A.S : Chouiet 1439 122 1586 135 1907 162
Zone Eparse 4782 406 5272 448 6339 539
TOTAL COMMUNE 227055 19300 250319 21277 300975 25583

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE MOYEN


Population Population
T.O.C Besoins Existants A réaliser
scolarisable à scolariser
Court
19300 18335 32 573 455 118
terme 2019
Moyen
21277 20213 32 632 573 59
terme 2024
Long terme
25583 24304 30 810 632 178
2034

 Pour le cycle moyen, il y aura un besoin de 355 classes à réaliser à travers les
différents termes.

78
 Commune d’OUM DROU :Elle est estimée à 7,47 % de la population totale
avec un taux de scolarisation souhaité de 95% pour les trois horizons.

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE MOYEN

Court Terme Moyen Terme Long Terme


Population Population Population
DISPERSION Populatio Populatio Populatio
Scolarisabl Scolarisabl Scolarisabl
n totale n totale n totale
e e e
ACL : OUM
9165 685 10104 755 12149 908
DROU
AS: Guelaftia 4062 303 4478 335 5384 402
AS: Bessakria 1441 108 1589 119 1910 143
AS: El
1349 101 1487 111 1788 134
Hammam
AS: Menasria 1291 96 1423 106 1711 128
AS:
BouccaChekalli 1212 91 1336 100 1607 120
l
AS: Maizia 1101 82 1214 91 1459 109
AS: Ouled
984 74 1085 81 1305 97
Meghazi
AS: Hamaicia 954 71 1052 79 1265 94
AS: Rezama 785 59 865 65 1040 78
ZONE
4827 361 5321 398 6398 478
EPARSE
TOTAL
27170 2030 29954 2238 36016 2691
COMMUNE

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE MOYEN


Population Population
scolarisabl à T.O.C Besoins Existants A réaliser
e scolariser
Court terme
2030 1928 32 60 50 10
2019
Moyen terme
2238 2126 32 66 60 06
2024
Long terme
2691 2556 32 80 66 14
2034

 Pour le cycle moyen, il y aura un besoin de 30 classes à réaliser à travers les


différents termes.

79
 Commune de SENDJAS: Elle est estimée à 8,60 % de la population totale
avec un taux de scolarisation souhaité de 95% pour les trois horizons.

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE MOYEN

Court Terme Moyen Terme Long Terme

DISPERSION Populatio Populatio Populatio


Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisab n totale Scolarisab n totale Scolarisab
le le le
ACL : Sendjas 11510 990 12690 1091 15258 1312
AS : Beni
2277 196 2510 216 3018 260
Ouadrene
AS : Cherairia 1735 149 1913 165 2300 198
AS : Khelailia 1548 133 1706 147 2052 176
AS : Si Youcef 1111 96 1225 105 1472 127
AS : Ouled Henni 926 80 1021 88 1228 106
AS : Souamet 995 86 1097 94 1319 113
AS : Ouled Si
1176 101 1296 111 1558 134
Ahmed
AS : El Amamra 752 65 829 71 997 86
ZONE EPARSE 14138 1216 15586 1341 18741 1612
TOTAL
36168 3111 39873 3430 47942 4124
COMMUNE

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE MOYEN


Population Population
T.O.C Besoins Existants A réaliser
scolarisable à scolariser
Court
3111 2955 32 92 81 11
terme 2019
Moyen
3430 3258 32 102 92 10
terme 2024
Long terme
4124 3917 32 122 102 20
2034

 Pour le cycle moyen, il y aura un besoin de 41 classes à réaliser à travers les


différents termes.

80
Population scolarisée au lycée (enseignement secondaire)

 Groupement de Communesde CHLEF


Elle est estimée de 9,26 % de la population totale avec un taux de scolarisation
souhaité de 50 % pour les trois horizons.

Population scolarisable à court, moyen et long terme


Court Terme Moyen Terme Long Terme
Populatio Populatio Populatio
COMMUNE
Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisa n totale Scolarisa n totale Scolarisa
ble ble ble
CHLEF 227055 21014 250319 23167 300975 27856
OUM DROU 27170 2515 29954 2772 36016 3333
SENDJAS 36168 3347 39873 3690 47942 4437
GROUPEMENT 290394 26876 320147 29630 384933 35626

Les besoins en classes pour les trois horizons


Population
Population
à T.O.C Besoins Existants A réaliser
scolarisable
scolariser
Court terme
26876 13438 35 384 362 22
2019
Moyen terme
29630 14815 35 423 384 39
2024
Long terme
35626 17813 35 509 423 86
2034

 Pour le cycle secondaire, nous remarquons qu’il y a un déficit de 147 classes à réaliser
pour le groupement de communesde CHLEF au cours des différents termes..

81
 Commune de CHLEF:La population scolarisable 15-18 ans est estimée à 9,03
% de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité de 50% pour le
cycle secondaire on obtient alors une population à scolariser dans ce cycle qui
représente 4,52% de la population totale.

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE SECONDAIRE


Court Terme Moyen Terme Long Terme
DISPERSIO Population Population Population
Populatio Populatio Populatio
N Scolarisabl Scolarisabl Scolarisabl
n totale n totale n totale
e e e
A.C.L :
197205 17815 217410 19640 261407 23615
CHLEF
A.S : Chegga 11183 1010 12329 1114 14824 1339
A.S :
7046 636 7767 702 9339 844
Mouafkia
A.S :
Mekhatria- 3276 296 3611 326 4342 392
Ramlia
A.S : El
2125 192 2342 212 2816 254
AziezBrancia
A.S : Chouiet 1439 130 1586 143 1907 172
Zone Eparse 4782 432 5272 476 6339 573
TOTAL
227055 20511 250319 22613 300975 27189
COMMUNE

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE SECONDAIRE


Population Population à A
T.O.C Besoins Existants
scolarisable scolariser réaliser
Court terme 2019 20511 10256 35 293 276 17
Moyen terme
22613 11307 35 323 293 30
2024
Long terme 2034 27189 13595 35 388 323 65

 Pour le cycle secondaire, nous remarquons qu’il y a un nombre de 112 classes à


réaliser pour la commune de CHLEF à travers les différents termes.

82
 Commune d’OUM DROU:La population scolarisable 15-18 ans est estimée à 9
% de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité de 50% pour le
cycle secondaire on obtient alors une population à scolariser dans ce cycle qui
représente 4,5% de la population totale.

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE SECONDAIRE


Court Terme Moyen Terme Long Terme
DISPERSION Populatio Population Populatio Population Populatio Population
Scolarisabl Scolarisabl Scolarisabl
n totale n totale n totale
e e e
ACL : OUM
9165 825 10104 909 12149 1093
DROU
AS: Guelaftia 4062 365 4478 403 5384 484
AS: Bessakria 1441 130 1589 143 1910 172
AS: El
1349 121 1487 134 1788 161
Hammam
AS: Menasria 1291 116 1423 128 1711 154
AS:
BouccaChekalli 1212 109 1336 120 1607 145
l
AS: Maizia 1101 99 1214 109 1459 131
AS: Ouled
984 89 1085 98 1305 117
Meghazi
AS: Hamaicia 954 86 1052 95 1265 114
AS: Rezama 785 71 865 78 1040 94
ZONE
4827 434 5321 479 6398 576
EPARSE
TOTAL
27170 2445 29954 2695 36016 3241
COMMUNE

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE SECONDAIRE


Population Population à A
T.O.C Besoins Existants
scolarisable scolariser réaliser
Court terme
2445 1222 32 38 27 11
2019
Moyen terme
2695 1348 32 42 38 04
2024
Long terme
3241 1620 32 51 42 09
2034
 Pour le cycle secondaire, nous remarquons qu’il y a un nombre de 24 classes à
réaliser pour la commune D’OUM DROUà travers les différents termes.

83
 Commune de SENDJAS:La population scolarisable 15-18 ans est estimée à
10,82 % de la population totale avec un taux de scolarisation souhaité de 50%
pour le cycle secondaire on obtient alors une population à scolariser dans ce
cycle qui représente 5,41% de la population totale.

POPULATION SCOLARISABLE EN CYCLE SECONDAIRE


Court Terme Moyen Terme Long Terme
Populatio Populatio Populatio
DISPERSION
Populatio n Populatio n Populatio n
n totale Scolarisa n totale Scolarisa n totale Scolarisa
ble ble ble
ACL : Sendjas 11510 1245 12690 1373 15258 1650
AS : Beni Ouadrene 2277 246 2510 271 3018 326
AS : Cherairia 1735 188 1913 207 2300 249
AS : Khelailia 1548 167 1706 185 2052 222
AS : Si Youcef 1111 120 1225 132 1472 159
AS : Ouled Henni 926 100 1021 110 1228 133
AS : Souamet 995 108 1097 119 1319 143
AS : Ouled Si
1176 127 1296 140 1558 169
Ahmed
AS : El Amamra 752 81 829 90 997 108
Zone Eparse 14138 1529 15586 1686 18741 2027
TOTAL COMMUNE 36168 3912 39873 4313 47942 5186

BESOINS EN CLASSES POUR LE CYCLE SECONDAIRE


Population Population à A
T.O.C Besoins Existants
scolarisable scolariser réaliser
Court terme
3912 1956 32 61 59 02
2019
Moyen terme
4313 2157 32 67 61 06
2024
Long terme 2034 5186 2593 32 81 67 14

 Pour le cycle secondaire, nous remarquons qu’il y a un nombre de 22 classes à


réaliser pour la commune de Sendjas à travers les différents termes.

84
2-EMPLOI ET ACTIVITE

Introduction
Les projections de l’emploi sont faites sur la base des avantages et des potentialités
économiques qu’offre la commune.
« Pour la commune, il s’agit surtout d’actions volontaristes en vue d’apporter des solutions
au sous-développement et le désenclavement de cette zone ».

Perspectives de la population en âge de travailler


Les perspectives de la population en âge de travailler sont des paramètres
déterminant quand on veut aborder le volet activité. Cette population en âge de travailler
concerne la tranche de population 15 – 59 ans. Nous remarquons que à la base, la
tranche concernée est très jeune et une partie est la moins en moins touchée par l’activité.
Nous voulons surtout parler de la tranche 16 – 19 ans dont une très grande proportion
poursuit ses études. De même dans la tranche 20 - 24 ans nous remarquons, qu’avec
l’évolution socio-économique et les progrès de l’enseignement, cette tranche manifeste de
plus en plus, un intérêt pour les études. En effet les études supérieures intéressent un
pourcentage important de cette frange de population. Cependant quelle que soit les
déperditions, la population en âge de travailler est intéressante à être analysée telle
qu’elle se présente pour nous permettre de connaître la force de travail potentielle.
Cependant au vu des us et coutumes prévalant, il est plus judicieux de prévoir dans les
perspectives de la population active une participation certes à la hausse mais d’une
manière lente et parcimonieuse.
Cette population en âge de travailler a été établie en même temps par dispersion pour
pouvoir obtenir les potentialités en force de travail pour chaque localité de communes
intéressant notre aire d’étude.
La force de travail ainsi obtenue, grâce aux perspectives des structures par âge,
augmente d’une manière assez régulière, laquelle augmentation est intimement liée à
l’accroissement général de la population.

85
PERSPECTIVES DE LA POPULATION EN AGE DE TRAVAILLER
PAR SEXE ET DISPERSION
CHEF LIEU HORS CHEF LIEU TOTAL
commune terme
M F T M F T M F T
63
Court terme 6483 12784 1935 14719
00 9537 9814 72544 74653
2015-2019 8 5 1 6
7
Moyen 69
7148 14094 1051 1082 2133 16227
CHLEF terme 2020- 46 79976 82301
2 4 4 0 4 8
2024 2
83
Long terme 8594 16946 1264 1301 2565 19511
51 96161 98957
2025-2034 7 6 2 0 2 7
9
Court terme 29 1165
2945 5933 5871 5785 8859 8729 17588
2015-2019 88 5
Moyen
OUM 32 1284
terme 2020- 3246 6541 6472 6377 9767 9623 19390
DROU 95 9
2024
Long terme 39 1545
3903 7864 7782 7668 11743 11571 23314
2025-2034 61 0
Court terme 35 1592
3898 7434 7577 8349 11114 12247 23360
2015-2019 37 6
Moyen
38 1755
SENDJAS terme 2020- 4297 8196 8353 9205 12252 13502 25754
99 8
2024
Long terme 46 1004 1106 2111
5166 9855 14732 16234 30965
2025-2034 88 3 7 1
69
Court terme 7168 14121 2298 2394 4693 18814
53 92516 95629
2015-2019 0 2 5 8 3 5
2
Moyen 76
GROUPE 7902 15568 2533 2640 5174 10199 10542 20742
terme 2020- 65
MENT 5 1 9 2 1 5 6 2
2024 6
92
Long terme 9501 18718 3046 3174 6221 12263 12676 24939
16
2025-2034 6 5 7 5 2 6 1 7
9

86
Perspectives des différents taux d’activité

La population active comprend la population occupée et les chômeurs (STR). Cependant


l’élément clef de cette activité reste la population en âge de travailler car c’est à partir de
cette donnée que commence la première subdivision entre population active et inactive.

a) Taux d’activité

Le taux d’activité a été établi par rapport à la population totale, et qui se maintient
pratiquement à 43,43 % jusqu’au court terme, pour ensuite augmenter dans le moyen et
long terme, pour atteindre 44,43 % en 2024 et 45,5 % en 2034, ce qui nous donne une
population active en valeur absolue : 43543 habitants en 2019, 48564 habitants en 2024
et 60453 habitants en 2034.
- Pour la commune de CHLEF: le taux d’activité est de 42,4 % à court terme, 42,5%
à moyen terme et 42,5%à long terme.
- Pour la commune d’OUM DROU : le taux d’activité est de 41,9 % à court terme,
42% au moyen et 42,5% à long terme.
- Pour la commune de SENDJAS : le taux d’activité est de 35,8 % à court terme,
38% à moyen terme et 42,5 à long terme.
-
(Taux d’activité national actuellement est de 42,5%)

b) Taux d’occupation
Les perspectives du taux d’occupation sont établies en parti de la liaison (taux
d’activité- taux de chômage). Nous opterons jusqu’au court terme pratiquement au
maintien du taux d’occupation, bien qu’en réalité le nombre en valeur absolue augmente et
pour le moyen et long terme, nous préconisons un accroissement de la population
occupée, du moment que (le taux d’occupation net) s’élève à :
- Commune de CHLEF: 24,8 % en 2024 et 25,07 % pour le long terme.
- Commune d’OUM DROU : 24,47 % en 2024 et 25,04 % pour le long terme.
- Commune de SENDJAS: 22,09 % en 2024 et 24,98 % pour le long terme
(Le taux d’occupation national actuellement est de 36,4%)
c) Taux de chômage
Le développement économique de toute commune, résulte de la diminution du taux de
chômage et l’augmentation de la population occupée.
Les taux a été prévu à la baisse, pour le court terme, à savoir 10,2 %, pour le moyen
terme 2024, il est ramené à 10 % et enfin pour le long terme, il atteindrait 9 %.
Pour atteindre ce taux de chômage de 9% il faut créer 34547 postes au niveau du
groupement dont 25662 postes au niveau de la commune de CHLEF, 2897 postes
au niveau de la commune D’OUM DROU, et 5988 postes au niveau de la commune
de Sendjas.
(Le taux de chômage national actuellement est de 9,8%)

87
PERSPECTIVES DES TAUX D’ACTIVITES A TRAVERS LES DIFFERENTS

Pop.
COMMUN

Taux
En Age Pop. Chô Taux Taux Taux
Pop. Pop. De Emploi
TERME De Occu meur D'acti D'occu D'emplo
E

Totale Active Chôma A Cree


Travaill pée s vité pation i
ge
er
Court terme 5604 42,40 24,68
227055 147196 62411 6366 38,08% 10,20% 6245
2015-2019 5 % %
CHLEF

Moyen
6207 42,50 24,80
terme 250319 162278 68968 6897 38,25% 10% 6026
1 % %
2020-2024
Long terme 7546 42,50 25,07
300975 195117 82925 7463 38,68% 9% 13390
2025-2034 2 % %
Court terme 41,90 24,36
27170 17588 7369 6618 752 37,63% 10,20% 498
OUM DROU

2015-2019 % %
Moyen
42,00 24,47
terme 29954 19390 8144 7330 814 37,80% 10,00% 712
% %
2020-2024
Long terme 42,50 25,04
36016 23314 9909 9017 892 38,68% 9,00% 1687
2025-2034 % %
Court terme 35,80 20,76
36168 23360 8363 7510 853 32,15% 10,20% 1522
2015-2019 % %
SENDJAS

Moyen
38,00 22,09
terme 39873 25754 9786 8808 979 34,20% 10,00% 1298
% %
2020-2024
Long terme 1197 42,50 24,98
47942 30965 13160 1184 38,68% 9,00% 3168
2025-2034 6 % %
Court terme 6763 40,03 23,29
GROUPEMENT

290393 188145 75321 7683 35,95% 10,20% 8265


2015-2019 8 % %
Moyen
7622 40,83 23,81
terme 320147 207422 84697 8470 36,75% 10,00% 8036
8 % %
2020-2024
Long terme 10599 9645 42,50 25,06
384933 249397 9539 38,68% 9,00% 18246
2025-2034 4 4 % %
HORIZONS

- La population active est composée des actifs occupés et des chômeurs.


- Taux d'activité : Rapport de la population active à la population en âge de
travailler.
- Taux d'Occupation : Rapport de la population occupée à la population totale.
- Taux d'Emploi : Rapport de la population active Occupée à la population en
âge de travailler.
- Taux de chômage : Rapport de la population en chômage à la population
active.

88
3- ESTIMATION DES BESOINS EN LOGEMENTS AUX DIFFERENTS HORIZONS

Estimations des besoinssuivant les directives du PATW:

PROGRAMMATION :

Le programme est un point de départ et une phase préparatoire à partir de


laquelle le schéma d’aménagement pourra exister, c’est la concrétisation des
besoins en logements, équipements, services et activités, en effet il définit la nature
et les objectifs des lieux construits en adéquation avec les besoins de la population
des trois communes.
Le programme de logement est l’une des hypothèses sur laquelle se fonde le
P.D.A.U.
Tout en prenant en considération l’objectif des autorités à améliorer le milieu et la
qualité de la vie en améliorant l’occupation du logement, alors on adoptera deux
critères pour calculer le besoins en logement à travers les différents termes :
 Un T.O.L (taux d’occupation par logement de 5 habitants par
logement à atteindre progressivement).

 Une densité moyenne à forte

89
BESOINS EN LOGEMENTS ET EN SURFACES POUR LES TROIS
COMMUNES A TRAVERS LES TROIS TERMES :
BESOINS EN LOGEMENTS ET EN SURFACE DE LA COMMUNE DE CHLEF

tableau des besoins en logements de la commune de CHLEF AU COURT TERME


2019
Bes Sup

TOL Prévu
Popul Logts Hab Logts Den
Logts oin erf
DISPERSIO Prévu Nece it Logts À sité
Exist En Nec
N e ss Pré Progr Réali Brut
2014 Logt ess
2019 2019 cai ser e
s Ha
1972 3140 3585 108 553 59,0
ACL CHLEF 5,5 2000 3538 80
05 2 6 4 8 0
CHEGG 1118 11,0
1392 5,5 2034 - 642 - 642 40
A 3 0
MOUAF
7046 803 5,5 1281 - 478 - 478 40 8,00
KIA
MEKHAT
RIA- 3276 397 5,5 596 - 199 - 199 40 3,50
A
RAMLIA
S
EL
AZAIZ-
2125 230 5,5 387 - 157 - 157 40 2,60
BRANCI
A
CHOUIE
1439 156 5,5 262 - 106 - 106 40 1,80
T
ZONE
4782 554 5,5 870 - 316 - 316 40 5,00
EPARSE
TOTAL 2270 3493 4128 108 743 91,0
- 2000 5436 -
COMMUNE 55 4 6 4 6 0

le besoin en surface pour la commune de CHLEFauCourt terme 2019est de 90,90


Ha
Tableau des besoins en logements de la commune de CHLEF AU MOYEN TERME
2024
Popul Logts Logts Logts Superf
Prévu

Densité
TOL

DISPERSION Prévue Exist Necess À Necess


Brute
2024 2019 2024 Réaliser Ha
21741 3585
ACL CHLEF 5,00 43482 7626 80 127,10
0 6
CHEGGA 12329 2034 5,00 2466 432 50 7,20
MOUAFKI
7767 1281 5,00 1554 273 40 4,55
A
MEKHAT
A
RIA- 3611 596 5,00 723 127 40 2,12
S
RAMLIA
EL AZAIZ-
2342 387 5,00 469 82 40 1,37
BRANCIA
CHOUIET 1586 262 5,00 318 56 40 0,94
ZONE
5272 870 5,00 1055 185 40 3,08
EPARSE
TOTAL 25031 4128
- 50067 8781 - 146,36
COMMUNE 9 6
90
le besoin en surface pour la commune de CHLEF au MOYENTERME 2024est de
146,36 Ha.
tableau des besoins en logements de la commune de CHLEF AU LONG TERME
2034
Popul Logts Logts Logts Superf

Prévu
Densité

TOL
DISPERSION Prévue Exist Necess À Necess
Brute
2034 2024 2034 Réaliser Ha
26140 4348
ACL CHLEF 5,00 52282 8800 80 146,67
7 2
CHEGGA 14824 2466 5,00 2965 499 50 8,32
MOUAFKIA 9339 1554 5,00 1868 314 40 5,23
MEKHATRI
A 4342 723 5,00 869 146 40 2,44
A-RAMLIA
S
EL AZAIZ-
2816 469 5,00 564 95 40 1,58
BRANCIA
CHOUIET 1907 318 5,00 382 64 40 1,07
ZONE
6339 1055 5,00 1268 213 40 3,55
EPARSE
TOTAL 30097 5006
- 60198 10131 - 168,86
COMMUNE 5 7

le besoin en surface pour la commune de CHLEF au LONGTERME2034est de


168,86 Ha

tableau récapitulatif des besoins en surface pour le court, moyen et long terme-
2019,2024,2034.
Besoin Besoin Besoin
DISPERSION Besoin 2019
2024 2034 Total
ACL CHLEF 59,00 127,10 146,67
CHEGGA 11,00 7,20 8,32
MOUAFKIA 8,00 4,55 5,23
MEKHATRIA-
3,50 2,12 2,44
AS RAMLIA
406,22 Ha
EL AZAIZ-
2,60 1,37 1,58
BRANCIA
CHOUIET 1,80 0,94 1,07
ZONE EPARSE 5,00 3,08 3,55
TOTAL COMMUNE 91,00 146,36 168,86
Pour satisfaire les besoins de la commune de CHLEF en terrain jusqu’au long
terme on aura besoin d’une superficie totale de 406,22 Ha.
Majoré de 30 % pour les équipements soit 121,87 ha.

Pour la commune de CHLEF on a un besoin total de 528,00 ha.

91
BESOINS EN LOGEMENTS ET EN SURFACE DE LA COMMUNE DE OUM
DROU :
Tableau des besoins en logements de la commune d’OUM DROU AU COURT
TERME 2019.

Logt
Bes Logts Supe

TOL Prévu
Popul s Logts Hab Logts
oin en Densi rf
Prévu Exis Nece it À
DISPERSION En cours té Nece
e t ss Pré Réali
Logt de Brute ss
2019 201 2019 cai ser
s Réalis Ha
4
ACL OUM 160
9165 5,5 1667 18 78 200 00 50 0,00
DROU 7
GUELAFTI
4062 550 5,5 739 24 213 - 213 50 4,26
A
BESSAKR
1441 206 5,5 262 - 56 - 56 50 1,12
A
EL
1349 192 5,5 246 - 54 - 54 50 1,08
HAMMAM
MENASRI
1291 165 5,5 235 - 70 - 70 50 1,40
A
A BUCCA
1212 131 5,5 221 - 90 - 90 50 1,80
S CHEKALIL
MAIZIA 1101 147 5,5 201 - 54 - 54 50 1,08
OULED
MGHAZI 984 115 5,5 179 - 64 - 64 50 1,28
ROUADHI
HAMAISSI
954 117 5,5 174 - 57 - 57 50 1,14
A
5,
REZAMA 785 108 143 - 35 - 35 50 0,70
5
ZONE
4827 639 5,5 878 - 239 - 239 50 4,78
EPARSE
TOTAL 2717 397 101
- 4940 42 200 932 - 18,64
COMMUNE 0 7 0

le besoin en surface pour la commune de OUM DROU au COURT TERME2019est


de 18,64 Ha

92
Tableau des besoins en logements de la commune d’OUM DROU AU MOYEN
TERME 2024.
Logts Logts
Popul Logts Densit Superf

Prévu
Neces À

TOL
DISPERSION Prévue Exist é Necess
s Réalis
2024 2019 Brute Ha
2024 er
ACL OUM DROU 10104 1667 5,0 2021 354 50 7,08
GUELAFTIA 4478 550 5,0 896 346 50 6,92
BESSAKRA 1589 206 5,0 318 112 50 2,24
EL HAMMAM 1487 192 5,0 298 106 50 2,12
MENASRIA 1423 165 5,0 285 120 50 2,40
BUCCA CHEKALIL 1336 131 5,0 268 137 50 2,74
AS MAIZIA 1214 147 5,0 243 96 50 1,92
OULED MGHAZI
1085 115 5,0 217 102 50 2,04
ROUADHI
HAMAISSIA 1052 117 5,0 211 94 50 1,88
REZAMA 865 108 5 ,0 173 65 50 1,30
ZONE EPARSE 5321 878 5,0 1065 187 50 3,74
TOTAL COMMUNE 29954 4940 - 5995 1719 - 34,38

le besoin en surface pour la commune de OUM DROUauMOYEN TERME2024est de


34,38 Ha

Tableau des besoins en logements de la commune d’OUM DROU AU LONG


TERME 2034.
Logts
Popul Logts Logts Densi Superf
Prévu

À
TOL

DISPERSION Prévue Exist Necess té Necess


Réalis
2034 2019 2024 Brute Ha
er
ACL OUM DROU 12149 2021 5,0 2430 409 50 8,18
GUELAFTIA 5384 550 5,0 1077 527 50 10,54
BESSAKRA 1910 206 5,0 382 176 50 3,52
EL HAMMAM 1788 192 5,0 358 166 50 3,32
MENASRIA 1711 165 5,0 343 178 50 3,56
BUCCA
1607 131 5,0 322 191 50 3,82
A CHEKALIL
S MAIZIA 1459 147 5,0 292 145 50 2,90
OULED
MGHAZI 1305 115 5,0 261 146 50 2,92
ROUADHI
HAMAISSIA 1265 117 5,0 253 136 50 2,72
REZAMA 1040 108 5 ,0 208 100 50 2,00
ZONE EPARSE 6398 1065 5,0 1280 215 50 4,30
TOTAL
36016 5995 - 7206 2389 - 47,78
COMMUNE
le besoin en surface pour la commune de OUM DROU au LONG TERME2034 est
de 47,78 Ha

93
Tableau récapitulatif des besoins en surface pour le court, moyen et long terme-
2019,2024,2034.
Besoin Besoin Besoin Besoin
DISPERSION
2019 2024 2034 Total
ACL OUM DROU 0,00 7,08 8,18
GUELAFTIA 4,26 6,92 10,54
BESSAKRA 1,12 2,24 3,52
EL HAMMAM 1,08 2,12 3,32
MENASRIA 1,40 2,40 3,56
AS BUCCA CHEKALIL 1,80 2,74 3,82
100,80 Ha
MAIZIA 1,08 1,92 2,90
OULED MGHAZIROUADHI 1,28 2,04 2,92
HAMAISSIA 1,14 1,88 2,72
REZAMA 0,70 1,30 2,00
ZONE EPARSE 4,78 3,74 4,30
TOTAL COMMUNE 18,64 34,38 47,78

Pour satisfaire les besoins de la commune d’OUM DROU en terrain jusqu’au


long terme on aura besoin d’une superficie totale de 100,80 Ha.
Majoré de 30 % pour les équipements soit 30,24 ha.

Pour la commune de OUMDROUon a un besoin total de 131,00 ha.

BESOINS EN LOGEMENTS ET EN SURFACE DE LA COMMUNE DE SENDJAS :


Tableau des besoins en logements de la commune de SENDJASAU COURT
TERME 2019
Logts
TOL Prévu

Popul Logts Logts Besoin en Logts


Habit Densité Superf
DISPERSION Prévue Exist Necess En cours À
Précai Brute Necess(Ha)
2019 2014 2019 Logts et Réaliser
Progr
ACL SENDJAS 11510 1872 5,5 2093 60 281 300 00 50 0,00
BENI
2277 287 5,5 414 - 127 - 127 50 2,54
OUADRENE
CHERAIRIA 1735 237 5,5 316 - 79 - 79 50 1,58
KHELAILIA 1548 195 5,5 282 - 87 - 87 50 1,74
SI YOUCEF 1111 116 5,5 202 - 86 - 86 50 1,72
OULED
AS 926 117 5,5 169 - 52 - 52 50 1,04
HENNI
SOUAMET 995 143 5,5 181 - 38 - 38 50 0,76
OULED SI
1176 133 5,5 214 - 81 - 81 50 1,62
AHMED
EL
752 94 5,5 137 - 43 - 43 50 0,86
AMAMRA
ZONE EPARSE 14138 1931 5,5 2571 - 640 - 640 50 12,80
TOTAL
36168 5125 - 6399 60 1533 300 1233 - 24,66
COMMUNE

94
le besoin en surface pour la commune de SENDJAS au COURT TERME2019est
de 24,66 Ha
Tableau des besoins en logements de la commune de SENDJASAU MOYEN
TERME 2024
Logts
Popul Logts Densi Superf
Logts TOL À
DISPERSION Prévue202 Necess té Neces
Exist2019 Prévu Réalis
4 2024 Brute s(Ha)
er
ACL SENDJAS 12690 2093 5 2538 445 50 8,90
BENI
2510 414 5 502 88 50 1,76
OUADRENE
CHERAIRIA 1913 316 5 383 67 50 1,34
KHELAILIA 1706 282 5 343 61 50 1,22
A SI YOUCEF 1225 202 5 245 43 50 0,86
S OULED HENNI 1021 169 5 205 36 50 0,72
SOUAMET 1097 181 5 220 39 50 0,78
OULED SI
1296 214 5 259 45 50 0,90
AHMED
EL AMAMRA 829 137 5 166 29 50 0,58
ZONE EPARSE 15586 2571 5 3117 546 50 10,92
TOTAL COMMUNE 39873 6399 - 7978 1399 - 27,98
le besoin en surface pour la commune de SENDJAS au MOYEN TERME 2024est
de 27,98 Ha

tableau des besoins en logements de la commune de SENDJASAU LONG TERME


2034
Logts
Popul Logts Densi Superf
Logts TOL À
DISPERSION Prévue203 Necess té Neces
Exist2024 Prévu Réalis
4 2034 Brute s(Ha)
er
ACL SENDJAS 15258 2538 5 3052 514 50 10,28
BENI
3018 502 5 604 102 50 2,04
OUADRENE
CHERAIRIA 2300 383 5 460 77 50 1,54
KHELAILIA 2052 343 5 411 68 50 1,36
A SI YOUCEF 1472 245 5 295 50 50 1,00
S OULED HENNI 1228 205 5 246 41 50 0,82
SOUAMET 1319 220 5 264 44 50 0,88
OULED SI
1558 259 5 312 53 50 1,06
AHMED
EL AMAMRA 997 166 5 200 34 50 0,68
ZONE EPARSE 18741 3117 5 3749 632 50 12,64
TOTAL COMMUNE 47942 7978 - - 32,30
le besoin en surface pour la commune de SENDJAS au LONG TERME 2034est
32,30 Ha

95
Tableau récapitulatif des besoins en surface pour le court, moyen et long terme-
2019,2024,2034.
Besoin
DISPERSION Besoin 2019 Besoin 2024 Besoin 2034
Total
ACL SENDJAS 0,00 8,90 10,28
BENI
2,54 1,76 2,04
OUADRENE
CHERAIRIA 1,58 1,34 1,54
KHELAILIA 174 1,22 1,36
SI YOUCEF 1,72 0,86 1,00
AS OULED
1,04 0,72 0,82
HENNI 84,94 Ha
SOUAMET 0,76 0,78 0,88
OULED SI
1,62 0,90 1,06
AHMED
EL AMAMRA 0,86 0,58 0,68
ZONE EPARSE 12,80 10,92 12,64
TOTAL
24,66 27,98 32,30
COMMUNE

Pour satisfaire les besoins de la commune de SENDJAS en terrain jusqu’au


long terme on aura besoin d’une superficie totale de 85,00 Ha.
Majoré de 30 % pour les équipements soit 26,00ha.

Pour la commune de SENDJASon a un besoin total de 111,00 ha.

Tableau Récapitulatif des Besoins en Surface pour les Trois Communes du


Groupement : –CHLEF - OUM DROU – SENDJAS-
Besoin Besoin
En Besoin En En Besoin Total
Majoration
Surface Surface Surface Besoin En Surface
NOM DE de 30% pour
Au Court Au Moyen Au Long total pour Par
COMMUNE les
Terme Terme Terme logements Commune
équipements
2019( Ha 2024( ha ) 2034( ha (Ha)
) )
CHLEF 91,00 146,36 168,86 406,22 121,87 528,00
OUM DROU 18,64 34,38 47,78 100,80 30,24 131,00
SENDJAS 24,66 27,98 32,30 85,00 25,5 111,00
BESOIN TOTAL
EN SURFACE 770,00 Ha
PAR TERME

- Donc pour satisfaire les besoins en surface terrain urbanisables pour


les trois communes du groupement jusqu’au long terme on aura
besoin d’une superficie totale de 770,00 Ha.

96
ESTIMATIONS DES BESOINS SELON LES RATIONS

DEFFICIT ACTUEL EN LOGEMENTS ET EQUIPEMENT


POP LOGTS TOL LOGT HABIT PROG LOGTS DENSI SUPERFI
2014 EXIST PREV S PRECA RM A TE CIE
ANT U NECE IRE DE REALI BRUTE (HA)
SS LOGTS SER
2014

CHLEF 204 8 34 934 5.5 37 24 1 084 2 000 1 395 80 23.3


47 5

OUM 24 51 3 977 5.5 4 457 42 200 322 50 7


DROU 3

SENDJ 32 63 5 125 5.5 5 933 60 300 568 50 12


AS 0

TOTAL 261 44 036 5.5 47 63 1 186 2 500 2 285 42.3Ha


990 5

BESOINS EN LOGEMENTS ET EQUIPEMENT A COURT, MOYEN ET LONG


TERME :
POPULATION DE GROUPEMENT :
POP 2014 Court Terme Moyen Terme Long Terme
CHLEF 204 847 227 055 250 319 300 975
OUM DROU 24 513 27 170 29 954 36 016
SENDJAS 32 630 36 168 39 873 47 942
GROUPEMENT 261 989 290 394 320 147 384 933
Surplus de la
population aux 28 405 29 753 64 786
différentes
échéances

97
ESTIMATION DE BESOINS PAR RATIO

BESOINS BESOINS EN BESOINS EN BESOINS EN


PAR RATIO SURFACE à C.T SURFACE à M.T SURFACE à L.T
Pour 28 405Hbts 29 753Hbts 64 786Hbts

EQUIPEMENT 17.968 510 381.04 534 601.904 1 164 074.848


m2/Hbt
HABITAT 27.040 768 071.20 804 521.12 1 751 813.44
m2/Hbt
VOIRIE 04.296 122 027.88 127 818.888 278 320.656
m2/Hbt
INFRASTRUCTURE 03.500 99 417.5 104 135.5 226 751
m2/Hbt
ESPACES VERTS 10.000 284 050 297 530 647 860
m2/Hbt
TOTAL 1 783 947.62 1 868 607.412 4 068 819.944
TOTAL en Hectare 178.4 Ha 187 Ha 407 Ha

BESOINS TOTAL EN SURFACE : 814.7HA

98
IV- LE PARTI D’AMENAGEMENT RETENU
1- LE PARTI D’AMENAGEMENT RETENU A L’ECHELLE DU GROUPEMENT
(URBAIN- RURAL)

PRINCIPE D’AMENAGEMENT ADOPTE

Pour aboutir à des variantes d’aménagement cohérentes etrationnelles tout en


respectant les directives du PATW, et tout en prenant en compte le niveau de
disponibilités foncières dans ce groupement de communes, on a alors opté pour les
principes d’aménagements suivants :

- Satisfaire une partie des besoins en logements et équipements localement


au niveau de chaque commune selon leurs disponibilités foncières.

- Le reste du besoin intercommunal en surface devra être satisfait par la


commune de SENDJAS au niveau du cote est par rapport à
l’agglomération chef-lieu de commune, sachant que toute la partie nord de
la commune est destinée a être irriguée pour rentabiliser ses terres
agricoles rehausser leurs rendement.

- Ce nouveau pôle urbain à prévoir a l’est de la ville de SENDJAS devra


avoir une nouvelle infrastructure voirie qui le relie avec CHLEF et
TISSEMSSILT à travers la liaison avec la route nationale n°19 dont le
dédoublement est prévu par le PAWT tout en désengorgeant le centre-ville
de SENDJAS à l’aide de voies périphériques.

2-LE PARTI D’AMENAGEMENT RETENU POUR CHAQUE AGGLOMERATION

 Agglomération de Chlef
Ambition de la ville de Chlef : Assurer un rôle de métropole régional

Les équipements à vocation régionale dont a bénéficié la ville de Chlef tel


que : l’Université, le Marché de gros, le Central téléphonique, l’Aéroport, les Instituts
de Formation, Sièges régionaux de Société, banques amorcent sa vocation de
métropole régionale que sa position stratégique entre deux (02) grandes métropoles
Oran et Alger renforce pour cette nouvelle fonction à laquelle elle se prépare.

Dans cette perspective, la ville doit impérativement préserver le foncier


urbain encore disponible à l’intérieur du périmètre urbain (pépinière de Hay Radar,
proximité de l’Université) pour pouvoir organiser un espace de centralité.
Dans le cadre de la densification du tissu urbain un occupé par un
terrain vide d’une superficie de 1.08 Ha est réservé pour des logements
collectifs et des équipements.

A fortiori, l’intégration d’un foncier immédiat au Sud en continuité avec le pôle


urbain d’El-Hassainia et le POS UC proposé dans l’étude précédente (PDAU 2006),
pour animer la façade de la ville de Chlef sur l’autoroute est-ouest, en la longeant par
des showrooms et des grands équipements : aquaparc, hypermarché, marché de
gros, …..etc.

99
En plus du foncier programmé dans la 1ére étude à l’est de l’ACL (
kefafsa)donnera lieu à un portefeuille foncier important pour l’organisation et la
structuration du tissu urbain très lâche actuellement.
Dans ce contexte, la recherche d’un schéma de cohérence entre les
différentes unités urbaines passe par :
 La dynamisation de l’axe Est-Ouest reliant les quartiers de Chorfa – El-
Hassania – LallaAouda – En Nasr – Ouled Mohamed – Kefafsa.
 Le renforcement de l’axe de la R.N.4 bis, en formation : Hay El-Hamadia –
Bensouna – Centre-ville
 – Kefafsa.

Et la projection d’une voie périphérique au sud de la ville de Chlef avec


ces deux (02) axes principaux faciliteront la création d’axes animés et
perpendiculaires devant les relier d’une part et structurer l’espace urbain de la ville
avec la formation de pôles complémentaires pour un fonctionnement urbain plus
cohérent de la ville. (Voir la carte d’aménagement).

3-VARIANTE D’AMENAGEMENT RETENUE POUR L’ACL DE CHLEF

PRINCIPE GENERAL D’AMENAGEMENT de l’ACL CHLEF


Pour subvenir aux besoins incessants des citoyens en logement ,équipements
,activités ,commerces et services, on devra trouver de nouvelles assiettes foncières
qui devront accueillir ces programmes, et ce résultat devra être orienté par un
schéma d’aménagement qui s’appuie sur un choix d’un parti d’aménagement.

Plusieurs paramètres et critères sont à considérer dans notre raisonnement pour


nous permettre d’arriver à faire ce choix d’un parti d’aménagement logique et
solidement argumenté.

 Les terrains situésl’Est de l’ACLet au sud-est du chemin de fer, constitueront


une continuité urbaine de l’agglomération de CHLEFà court moyen et long
terme.
 Les terrains situés au Sud sont susceptibles de constituer une assiette
foncière à urbaniser à court terme.

Après une analyse de la nature juridique des terrains proposés, on a


constaté que 85% de ces terrains sont à propriété privé, Des terrains sont aussi
disponibles au sud de l’agglomération.

4-AMENAGEMENT DES AGGLOMERATIONS SECONDAIRES DE CHLEF


Une solidarité inter agglomérations secondaires est nécessaire en matière de foncier
urbain pour préserver les terrains agricoles au niveau des agglomérations qui
nécessitent une densification par l’occupation des terrains interstitiels.
Seules deux agglomérations feront l’objet d’une extension : Mouafkia, Chouiet .
Il s’agit d’une urbanisation des terrains situés à Mouafkia à moyen terme et
de ceux situés à Chouiet à court terme.

5-LES ANCIENS POS ET SECTEURS

Dans la 1ère étude du P.D.A.U. de Chlef, l’agglomération de Chlef a été


subdivisée en huit POS (secteurs urbanisés) dont quatre POS représentent les
secteurs urbanisés à dominance habitat en préfabriqué. Ces secteurs urbanisés ont

100
bénéficié de programme et de plan d’aménagement à même de participer à l’urbanité
de la ville.

Cependant, les programmes POS n’ont pas été menés totalement à terme
durant cette dernière décennie et compte tenu des nouveaux besoins exprimés, les
programmes POS initiés exigent une révision afin de répondre aux nouveaux
objectifs de réhabilitation des sites préfabriqués (U.A.5., U.A.6., U.A.7., U.A.8.) et
leur articulation avec les réserves foncières (U.B. et U.C.).

Aussi l’intégration des secteurs (UC 4) considérés comme non urbanisables dans la
1ère étude, mais situés à l’intérieur du nouveau périmètre urbain s’avère
indispensable et incontournable pour la prise en charge des programmes de grands
équipements, organisés dans une dynamique urbaine mieux structurée.

Cette dynamique urbaine organisée autour des axes proposés, s’appuiera également
sur la localisation de grands équipements tels que la gare routière, le marché de gros
et la future zone d’activité à implanter comme suit :

 La gare routière sera localisée à la sortie oust de l’ACL (projet en cours de


réalisation), afin de faciliter les dessertes dans toutes les directions.
 La future zone d’activité : sera implantée au Sud de l’agglomération de Chlef à
proximité des axes routiers -UC 1- (autoroute Est – Ouest, R.N.19, et
périphérique Est).
 Le marché de gros est à implanter vers la zone de Kefafsa et aura l’avantage
d’être desservi par : - L’axe menant vers Guelaftia
- La R.N.4
- Le Périphérique Est.
- En plus des pénétrantes menant vers la ville de Chlef :

 Le parc communal : occupant actuellement une superficie d’environ 7 Has,,


mérite d’être délocalisé vers la future zone d’activité (Sud de la ville de Chlef)
la récupération de son foncier sera affecté à des équipements publics ou à
l’habitat.
 Toutefois, la dynamique urbaine engagée ne peut occulter la prise en charge
des espaces verts au même titre que les autres équipements. Pour cela nous
préconisons les opérations suivantes :
 La protection et la valorisation des forêts qui ceinturent la ville au Sud et qu’il y
a lieu de développer pour la création d’une « ceinture verte » délimitant le
périmètre urbain.
 La réhabilitation du parc de loisirs et du centre équestre (au niveau de Hay
Chorfa)
 La création d’un jardin botanique au lieu et place de l’actuel jardin public au
centre-ville
 Le développement de plantations d’arbres ornementaux (ficus) le long des
axes urbains afin d’améliorer le paysage urbain de la ville.

101
6-SECTEURS D’URBANISATION

SECTEUR URBANISE, SECTEUR A URBANISER, SECTEUR D’URBANISATION


FUTURE :
Ces secteurs peuvent être résumés dans les tableaux récapitulatifs suivant :

TABLEAU RECAPITULATIF DES SECTEURS D’URBANISATION DE LA


COMMUNE DE CHLEF
Secteur non
Secteur à Urbanisation Future
Urbanisable
Secteur
Dispersion
Urbanisé Long
Court et Moyen
Terme
Terme 2015-2024
2034

SU1 : 400 Ha
SAU1 : 133,30 Ha

SU2 : 190 Ha

SU3 : 302,50 Ha
SU4 : 114,50 Ha SAU2 : 72,00 Ha
SU5 : 386 Ha
SU6 : 186 Ha
SU7 : 226 Ha
SU8 : 390 Ha
SU9 : 276,2 Ha SAU3 : 278,30 Ha SUF1 :
Agglomération Chef-Lieu SU10 : 75,7 Ha 230,60Ha -Forêts
SU11 : 245 Ha Récréatives :
SU12 : 93,80 Ha SAU4 : 73,40 Ha SNU1 :427 Ha

SU13 : 202,80 Ha -Zone Agricole


SNU2
SAU5 : 106,40 Ha
- périmètre de
sécurité de
SU14 : 23,60 Ha l'aéroport.
SAU6 : 140,20 Ha SNU3
SU15 : 93,40 Ha

SU16 : 90 ,00 Ha
ERRAMLIA –
EL ---- ----
MKHETERIA SU17/ZA : 08,00
Ha
CHEGGA -
SU18 : 90,50 Ha ---- ----
Agglom CHERAIT
Secondaires EL AZAIZ-
SU19 : 69,50 Ha ---- ----
BRANCIA

MOUAFKIA- SU20 : 45 Ha ----


SAU7 : 90,00 Ha
TEGAGRA SU21 : 49,20 Ha

CHOUIET SU21 : 26,00 Ha SAU7 : 12,60 Ha ----


SUF : 230,60 /
Total Communal SU : 3583,70 Ha SAU : 906,20 Ha
Ha

102
 SECTEURS URBANISE (SU) :
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune :
- SU1, SU2, SU3, SU4, SU5, SU6, SU7, SU8, SU9, SU10, SU11, SU12, SU13,
SU14 et SU15 sont des secteurs urbanisés composé d’habitat et d’équipements.

Dans les Agglomérations Secondaires :


- SU16, SU17/ZA, SU18, SU19, SU20, SU21 et SU22 sont des secteurs urbanisés
composés d’habitat et d’équipements.

 SECTEURS A URBANISER (SAU) :


Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune :
- SAU1, SAU2, SAU3, SAU4 , SAU5 et SAU6 sont des secteurs à urbaniser
dans le court et moyen terme composé d’habitat et d’équipement projetés dans ces
termes au niveau de l’ACL.

Dans les Agglomérations Secondaires :


- SAU7 et SAU8 sont des secteurs à urbaniser dans le court et moyen terme
composé d’habitat et d’équipement projetés dans ces termes au niveau de l’AS
MOUAFKIA-TEGAGRA et l’AS CHOUIET.

 SECTEURS D’URBANISATION FUTURE (SUF) :

Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune :


SUF1 est un secteur d’urbanisation future, long terme 2034, composé d’habitat et
d’équipements projeté dans ce terme au niveau de l’ACL.

 SECTEURS NON URBANISABLES (SNU) :


Ce secteur se subdivise en deux types de secteurs zones :
SNU1 : composé des forêts récréatives qui devront être protégées.
SNU2 : composé de toute la zone agricole y compris les terres irriguées, les vergers
et les terres nues en sec qui devront toutes être protégées.
SNU3 : composé d’un périmètre de sécurité de l'aéroport.

103
7-PROGRAMMATION DES POS

PERIMETRES D’INTERVENTION DES PLANS D’OCCUPATION DES SOLS :


- On a dégagé au niveau du territoire communal un nombre de cinquante-
deux (52) périmètres d’intervention des plans d’occupations des sols classés
par ordre de priorité, dont quarante (40)POS d’entre eux se localisent
dans l’agglomération chef-lieu , et douze (12)autres POS se localisent dans
les agglomérations secondaires.

Secteur
DISPERSION N° de POS SURFACE LOCALISATION
D’Urbanisation
POS
266,70 Ha
S.U1/AEX ;UA1
SU1
POS S.U1/B
123,10 Ha
EX ;UA1/B

POS S.U2/A
56 ,20 Ha SU2
EX :UA2/A
POS S.U2/B
133,60 Ha
EX :UA2/B
POS S.U3/A
108,4 Ha SU3
EX : UA3/A
POS S.U3/B
86.2 Ha SU3/SNU2
EX : UA3/B
POS S.U3/C
78,20 SU3
EX : UA3/C

POS SU4 SU4


114,40Ha
Agglomération EX : UA4
ACL
Chef-Lieu POS SU5/A
de 280,50 Ha
EX : UA5/A SU5
Commune POS SU5/B
102,90 Ha
EX : UA5/B
POS SU6/A
95,80 Ha
EX : UA6/A
POS SU6/B
20,40 Ha
EX : UA6/B
SU6
POS SU6/C
54,20 Ha
EX : UA6/C
POS SU6/D
20,37 Ha
EX : UA6/D
POS SU7/A
36,60 Ha SU7
EX : UB4/SAU4
POS SU7/B
164,50 Ha SU7/SAU3
EX : UA7/B

POS SU7/C
24,90 Ha SU7
EX : UB5
POS SU8/A
140,60Ha SU8
EX : UA8/A

104
POS SU8/B
110,00Ha
EX : UA8/B
POS SU8/C
36,50Ha
EX : UA8/C
POS SU8/D
102,50Ha
EX : UA8/D
POS SU9/A
112,50Ha
EX : SAU5
SU9
POS SU9/B
83,20Ha
EX : UB1/SAU1
POS SU10
75,70Ha SU10
EX : SAU4
POS SU11
245,00Ha SU11
EX : SU11
POS SU12
79,80Ha SU12
EX : SU12
POS SU13/A
111,70Ha SU13/SNU2
EX : UB2/SAU2
POS SU13/B
117,50Ha SU13
EX : UB3/SAU3
POS SNU2/
SU14 99,00Ha SU14/SNU2
EX : SAU7
POS SU15
93,40Ha SU15
POS SAU1
147,30Ha SAU1/ SU12
POS SAU2
72,00Ha SAU2
POS SAU3/A
123,40Ha SAU3
EX : SUF/UC1
POS SAU3/B 154,90Ha SAU3
POS SAU4 73,40Ha SAU4
POS SAU5
145,00Ha SAU5
POS SAU6/A 94,70Ha
SAU6
POS SAU6/B 65,10Ha
POS SUF1/A 88,10Ha
SUF1
POS SUF1/B 154,90Ha
POS SU16/A 83,07 Ha A.S :ERRAMLIA
SU16
POS SU16/B 39,73 Ha –EL
MKHETERIA
POS SU17/ZA 08,00 Ha SU17/ZA
A.S : CHEGGA
Agglomération POS SU18 95,50 Ha SU18
– CHERAIT
A.S : EL AZAIZ
Secondaires POS SU19/A 84,03Ha SU19
– BRANCIA
A.S : EL AZAIZ
POS SU19/B 71,11 Ha SU19
– BRANCIA
POS SU20/A 79,48 Ha A.S :
SU20
POS SU20/B 47,55 Ha MOUAFKIA -

105
POS SAU7 90,00 Ha SAU7 TEGAGRA
POS SU21 49,20 Ha SU21
POS SU22 49,80 Ha SU22
A.S : CHOUIET
POS SAU8 12,60Ha SAU8

 AGGLOMERATION DE SENDJAS
Besoin en surface Court et moyen terme 2015-2024:
- Intégrer dans le périmètre urbain à court terme un terrain de 18,00 ha à l’Est
de l’A.C.L pour l’habitat et les équipements.
- Intégrer dans le périmètre urbain à moyen terme un terrain de 20,00ha à l’Est
de l’A.C.L pour l’habitat et les équipements.
- Intégrer dans le périmètre urbain à moyen terme un terrain de 4,25ha à l’Est
de l’AS BENI OUEDRENE pour l’habitat et les équipements.
- Densifier le tissu urbain de la ville conformément aux directives du POS
approuvé.
Remarque : Ces deux terrains à intégrer avec un total de 42,25ha,
subviennentaux besoins de la commune de SENDJAS à court et moyen termes.
- Long terme 2034:
- Intégrer dans le périmètre urbain à long terme un terrain de 39,70 ha à l’Est de
l’A.C.L pour l’habitat et équipements.
- Remarque : Intégrer dans le périmètre urbain un terrain de 43.70ha à l’ouest
de l’As BENI OUEDRENE, subvient aux besoins de la commune de Chlef à
long terme.

Programme de logements et équipements prévu pour les trois termes pour


l’agglomération chef-lieu

Court et moyen Terme 2015-2024

Dans le terrain du secteur à urbaniser de 18 ,00 ha à l’Est de l’A.C.L :


LE LOGEMENT :
- 708 logements(en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare).
LES EQUIPEMENTS :
- CEM (12 classes)…………………………………………………………..6000 m²
- Salle Polyvalente……..………………………………………………..…….750 m²
- Terrain de sport en plein air……………………………………………….3 200m²
- Abattoir halles + aire de stockage……………..………………………...6 000 m²
- Commerce de 1 ere nécessité (10*60)
- Equipement Eventuels.

Dans le terrain du secteur à urbaniser de 20,00 ha à Est de l’A.C.L :


LE LOGEMENT :
-741 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS :
- CEM (12 classes)…………………………………………………………..6000 m²
- Lycée (14 classes)……………………………………………..………….22 000m²
- Crèche et jardin d’enfants………………………………………..………..2000 m²
106
- Terrain de sport en plein air……………………………..…………..…….3 200m²
- Salle Omnisport……..……………………….……………….…………….3 500m²
- Piscine
25m…………………….………………………………………………………900m²
- Bibliothèque…………………………………………………………….……2000m²
- Mosquée………………………....……………………………………..…7 000 m²
- Station de services…………………………….…………………………5 000 m²
- Place publique…………………………………..………………….……1 500 m²
- Commerce de 1 ere nécessité (10*60)
- Equipement Eventuels.
REMARQUE : Au milieu de ce terrain passent deux lignes MT dont la servitude est
de 03 m de part et d’autre, et Chaabat dont la servitude est de 10m de part et
d’autre, que nous devons respecter dans l’aménagement qui seront proposés pour
occuper ce terrain.

Long Terme 2034

Dans le terrain du secteur à urbanisation future de 388,80 ha à L’Est del’ACL :


LE LOGEMENT

- 7 348 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)


LES EQUIPEMENTS

- 22 Ecoles (12 classes)…………………………………………………22*4000 m²


- 07 CEM ………………………………………………………………..7*6000 m²
- 02 lycées………………………………………………………………..2*15000 m²
- C.F.P.A
300……………………………………………………………………….8000 m²
- 02 Crèche et jardin d’enfants …………………………………………..2*2000 m²
- 07 Salles de soins………………………………………………………..7*800 m²
- Polyclinique………………………………………………………………..1 500 m²
- Maternité urbaine 60 lits…………………………………………………3000 m²
- Hopital 120 lits………………………………………………………………..1000 m²
- Commerce de 1 ere nécessité (10*60)………………………………
- Commerces complémentaires………………………………………….2 250 m²
- Commerces specialises………..………………………………………….3 500 m²
- Centre commercial …………………………………………………………2 000 m²
- Boutique artisanats ……………………………………………………….3000 m²
- Hyper-marché …………………………………………………………….70000 m²
- Abattoir halles + aire de stockage………………………………...6 000 m²
- 29 Terrains de sport en plein air…………………………………..29*3200 m²
- 07 Salles de sport plyvalente (15*20)……………………………7*1000 m²
- Salle omnisports I………………………………………………………….3 500 m²
- 06 Maison de jeunes 250……………………………………………..6*575 m²
- 02 Centres de culturel…………………………………………………..2*1400 m²
- 02 P.T.T ………………………………………………………………….2*700 m²
- Piscine Olympique………………………………………………………..10 000 m²
- Hôtel 250 lits……………………………………………………………….85000 m²
- Siege APC …………………………………………………………………2 000 m²
- Protection civile ………………………………………………………………700 m²
- Sureté urbaine ……………………………………………………………..1000 m²
- Diverse antenne adm,gest,desinfras,bureau de main d’ouevres……….1200 m²
- 04 Mosquée ………………………………………………………………..4*7000

107
- Cimetière…………………………………………………………………..70000 m²
- Stade 6/8 couloir…………………………………………………………30000 m²
- Aires de jeux ………………………………………………………………6 400 m²
- Places Publique………………………………………………………....40000 m²
- Jardin public ……………………………………………………………..250000 m²
- Parc urbain ……………………………………………………………….20000 m²
- Cinéma, Théâtre ………………………………………………………. 2500 m²
- Salle d’exposition, Musée………………………………………….20000 m²
- Parkings à étages……………………………………………………..10000 m²
- 02 Stations de services ……………………………………………..2*5000
- Grands équipements………………………………………………1 027 000 m²

1- AMENAGEMENT AU NIVEAU DES AGGLOMERATIONS SECONDAIRES


 Agglomération Secondaire : AMAMRA
Programme :
- Mosquée.
- Terrain de sport en plein air.
- Aire de jeux.
- Equipement éventuel.
-
 Agglomération Secondaire : SOUAMET
- Mosquée.
- Terrain de sport en plein air.
- Aire de jeux.
- Equipement éventuel.
 Agglomération Secondaire : BENI OUEDRENE
- Antenne PTT
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux
- Equipement éventuel

 Agglomération Secondaire : KHELAILIA


- Salle de soins
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux
- Equipement éventuel

 Agglomération Secondaire : OULED SI AHMED


- Salle de soins
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux
- Equipement éventuel

 Agglomération Secondaire : OULED HENNI


- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux
- Equipement éventuel

108
 Agglomération Secondaire : CHERAIRIA
- Mosquée
- Salle de soin
- Commerce et service de proximité
- Terrain de sport en plein air
- Club des jeunes
- Aire de jeux
- Equipement éventuel

 Agglomération Secondaire : SI YOUCEF


- Annexe APC
- Antenne P.T.T
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux
- Equipement éventuel

109
2- SECTEURS D’URBANISATION
Secteur urbanise, secteur à urbaniser, secteur d’urbanisation future, ces secteurs
peuvent être résumés dans les tableaux récapitulatifs suivant :

TABLEAU RECAPITULATIF DES SECTEURS D’URBANISATION DE LA


COMMUNE SENDJAS
Secteur à Urbanisation Secteur non
Future Urbanisable
Secteur Court et Moyen
Dispersion Long
Urbanisé Terme 2015-
Terme
2024
2034
+ POS
SU1 : 100,70 SUF1 :
Ha 14,50 ha
SU2 : 18,50 SAU1 :38 ,30
Agglomération Chef- Ha ha SUF2 : 5,4
Lieu SU3 : 36,60 ha
Ha
S.A.U2 Z.A : SUF3 :
SU4 :14,20 Ha
5,00 ha 19,80 ha
BENI SU5 :102,50
SUF4 :
OUEDREN ha SAU3 :4 ,25 ha
43,80 ha
E - Zone
SU6 :11,60 ha Forestière
SNU1
KHELAILIA SU7 :32,30 ha ---- ----
OULED SI -Zone Agricole
SU8:36,60 ha ---- ---- SNU2
AHMED
SOUAMAT SU9 :13,60 ha ---- ----
Agglom
Secondai AMAMRA SU10 :06,50ha ---- ----
res
OULED
SU11:6,60 ha ---- ----
HENNI

CHERAIRIA SU12 :39 ha ---- ----

SU13 :13 ,10


SI YOUCEF ha ---- ----
SU14 :8,50 ha

SU : 440,30 SUF : 83,5


Total Communal SAU : 47 ,6 ha /
ha ha

110
 SECTEURS URBANISE ( SU ):
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune:
- SU1, SU2, SU3 et SU4sont des secteurs urbanisés composé d’habitat et
d’équipements.

Dans les Agglomérations Secondaires :


-SU5, SU6, SU7, SU8, SU9, SU10, SU11 et SU14 sont des secteurs urbanisés
composés d’habitat et d’équipements.
 SECTEURS A URBANISER (SAU ):
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune:
- SAU1et SAU3 sont des secteurs à urbaniser dans le court et moyen terme
composé d’habitat et d’équipement projetés
- SAU2/Z.A est un secteur à urbaniser dans le court et moyen terme composé
d’une zone d’activité projetée dans ces termes au niveau de la zone éparse.
 SECTEURS D’URBANISATION FUTURE ( SUF ):

Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune:


SUF1, SUF2et SUF3sont des secteurs d’urbanisation future, long terme 2034,
composé d’habitat et d’équipements projeté dans ce terme au niveau de l’ACL.
 SECTEURS NON URBANISABLES ( SNU ):
Ce secteur se subdivise en deux types de secteurs zones :
SNU 1 : composé de toute la zone forestière qui se trouve au Sud de la commune.
SNU2: composé de toute la zone agricole y compris les terres irriguées, les vergers
et les terres nues en sec qui devront toutes être protégées.

111
Programmation des POS

-PERIMETRES D’INTERVENTION DES PLANS D’OCCUPATION DES SOLS :


- On a dégagé au niveau du territoire communal un nombre de Vingt-quatre
(24) périmètres d’intervention des plans d’occupations des sols classés par
ordre de priorité, dont douze(12)POS d’entre eux se localisent dans
l’agglomération chef-lieu , et onze (11)autres POS se localisent dans les
agglomérations secondaires , et un seul POS (Z.A)situé dans la zone éparse.
- Nous signalons que pour les études de POS déjà lancés et approuvés dans
le cadre de l’ancien PDAU (POS de la ville SENDJAS = POS SUA, POS
SUF, etPOS UA) on a gardé le même périmètre afin d’assurer une continuité
avec les études de nouveaux POS qui sont dégagés dans cette étude.

Secteur
DISPERSION N° de POS SURFACE LOCALISATION
D’Urbanisation
POS
13,50 Ha
S.U1/AEX ;UA1
POS S.U1/B
14,20 Ha
EX ;UA2
POS SU1
10,50 Ha
S.U1/CEX :UA4
POS S.U1/D
16 ,80 Ha
EX :UA5
POS S.U1/E
49,30 Ha
EX :UA6
Agglomération POS S.U2
20 Ha SU2
EX :SUA
ACL
Chef-Lieu POS SU3/A
17,80Ha
de EX :UA3 SU3
Commune POS S.U3/B
19 ,20 Ha
EX :SUF
SAU1
POS SAU1 10 ,50 Ha

POS SUF1 14,50 Ha SUF1

POS SUF2 5,40 Ha SUF2

POS SUF3 19,80Ha SUF2


POS
107 Ha SU5
SU5+SAU3
A.S : BENI
POS SU6 102,50 Ha SU5 OUEDRENE
Agglomération POS SUF4 43,80 Ha SUF4
A.S :
Secondaires POS SU7 32,30 Ha SU7
KHELAILIA
A.S : OULED
POS SU8 36,50Ha SU8
SI AHMED
A.S :
POS SU9 13,60 Ha SU9
SOUAMET

112
POS SU10 06,50 Ha SU10 A.S : AMAMRA
A.S : OULED
POS SU11 10 Ha SU11
HENNI
A.S :
POS SU12 39Ha SU12
CHERAIRIA
POS SU13 12,60 Ha SU13 A.S : SI
YOUCEF
POS SU14 08,30Ha SU14
Zone Eparse POS SAU2/Z.A 5 Ha SAU2/Z.A Zone Activité

113
 AGGLOMERATION DE OUM-DROU
AMENAGEMENT AU NIVEAU DE L’A.C.L

- Intégrer dans le périmètre urbain à court terme un terrain de 18,64 ha Nord


de l’A.C.L pour l’habitat et les équipements.
- Intégrer dans le périmètre urbain à moyen terme un terrain de11, 50 ha au
Sud-Ouest de l’A.C.L pour l’habitat et les équipements.
- Intégrer dans le périmètre urbain à moyen terme un terrain de30, 60 ha au
Nord de l’A.C.L pour l’habitat et les équipements.
- Intégrer dans le périmètre urbain à long terme le terrain situé entre les
deux agglomérations secondaires (GUELAFETIA et MAIZIA) d’une
superficie de 25,50 ha pour l’habitat et les équipements.
- Densifier le tissu urbain de la ville conformément aux directives du POS
approuvé.
Ces cinq terrains à intégrer avec un total de 86,30 ha, subviennent aux besoins
de la commune d’OUM DROU à court, moyen et long terme.

Programme de logements et équipements prévu pour les trois termes pour


l’agglomération chef-lieu

-Court et moyen Terme 2015-2024

Dans le terrain du secteur à urbaniser de 18,64ha au Nord de l’A.C.L

LE LOGEMENT :
- 932 logements(en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS :
- Commerce
spécialisé………………………………………………………………..….3 500 m²
- Abattoir halles + aire de stockage………………….…………………...6 000 m²
- Gareroutiere..........................................................................................2 000m²

Dans le terrain du secteur à urbaniser de 10,10 ha au Nord de l’A.C.L :

LE LOGEMENT
- 505 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS
- C.E.M 21 classes………………………………………………………….12 600m²
- Salle de soin…………………………………………………………………800 m²
- Terrain de sport…………………………………………………………….3 200 m²
- Maison de jeunes………………………………………………………….550m²
- Mosquée…………………………………………………………………7 000 m²

Dans le terrain du secteur à urbaniser de 11,50 ha à L’EST de l’A.C.L

LE LOGEMENT
- 575 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS
- Jardin d’enfants……………………………………………………….1 700m²
114
- Salle polyvalente…………………………………………………………600 m²
- Hôtel……………………………………………………………………….450m²
- Aire de jeux
Dans le terrain du secteur à urbaniser de 10 ha à L’EST de l’As GUELAFTIA
LE LOGEMENT
- 500 logements (en adoptant une densité brute de 50 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS EVENTUELS.
Dans le terrain du secteur à urbaniser de 15,50 ha à L’Ouest de l’As MAIZIA
LE LOGEMENT
- 650 logements (en adoptant une densité brute de 40 logement/hectare)
LES EQUIPEMENTS EVENTUELS.

REMARQUE Au milieu de ce terrain passent deux lignes MT dont la servitude est de


15 m de part et d’autre, que nous devons respecter dans les aménagements qui
seront proposés pour occuper ce terrain.

2- AMENAGEMENT AU NIVEAU DES AGGLOMERATIONS SECONDAIRES


 Agglomération Secondaire : GUELAFTIA
Programme :
- Commerce de première nécessité
- Mosquée
- Ecole primaire
- Terrain de sport en plein air
- Salle de soin
- Aire de jeux

 Agglomération Secondaire : REZAMA


- Commerce et service de proximité
- Annexe APC, PTT
- Equipement éventuel
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux

 Agglomération Secondaire : BESSAKRA


- Commerce et service de proximité
- Annexe APC, PTT
- Equipement éventuel
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux

 Agglomération Secondaire : HEMAISSIA


- Commerce et service de proximité
- Equipement éventuel
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux

 Agglomération Secondaire : MAIZIA

115
- Salle de soin
- Commerce et service de proximité
- Equipement éventuel
- Annexe APC, PTT
- Aire de jeux

 Agglomération Secondaire : MENASSERIA


- Salle de soin
- Commerce et service de proximité
- Equipement éventuel
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux

 Agglomération Secondaire : OULED MGHAZI


- Salle de soin
- Commerce et service de proximité
- Equipement éventuel
- Annexe APC, PTT
- Aire de jeux et terrain de foot

 Agglomération Secondaire : CHEKALIL


- Salle de soin
- Commerce et service de proximité
- Equipement éventuel
- Terrain de sport en plein air
- Aire de jeux

 Agglomération Secondaire : EL HAMMAM


- Commerce et service de proximité
- Equipement éventuel
- Aire de jeux

116
3- SECTEURS D’URBANISATION

Secteur urbanise, secteur à urbaniser, secteur d’urbanisation future


Ces secteurs peuvent être résumés dans les tableaux récapitulatifs suivant :
TABLEAU RECAPITULATIF DES SECTEURS D’URBANISATION DE LA
COMMUNE OUM-DROU
Secteur non
Secteur à Urbanisation Future
Urbanisable
Secteur Court et
Dispersion Long
Urbanisé Moyen Terme
Terme
2015-2024
2036
+ POS
SAU1 : 28,90
SU1 : 114,50 Ha
ha

SU2 /Z.A: 23 Ha

Agglomération Chef-Lieu SU3 : 32,80Ha SUF1 :27,00ha


SAU2: 18,80
SU4 : 14 Ha
ha
SU5: 35,50 H
SU6: 09,20 H
GUELAFTIA SU7 :50,20 ha ........ Zone
SAU3 :25,50 Agricole
ha SNU2
MAIZIA SU8 :28.30 ha ......

REZAMA SU9 :18 ha ---- ----

BESSAKRA SU10 :42 ha ---- ----

SU11/Z.A :21,40
Agglom ---- ----
ha
Secondai HEMAISSIA
res SU12 :54,20 ha ...... .......
SU13 :30 ha ...... .......
MENASSERIA SU14 :18,20 ha ---- ----
EL
SU15 : 21,50 ha ---- ----
HAMMAM
OULED
SU16:22,50 ha ---- ----
MGHAZI
CHEKALIL SU17 :28,20 ha ---- ----

Total Communal SU : 525,4ha SAU :73,2 ha SUF : 27h

117
 SECTEURS URBANISE (U)
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune
- SU1, SU2, su3, su4, su5 et su6 sont des secteurs urbanisés
composé d’habitat et d’équipement.

Dans les Agglomérations Secondaires


SU7, SU8, SU9, SU10, SU11, SU12 ….et SU16sont des secteurs urbanisés
composés d’habitat et d’équipements.
 SECTEURS A URBANISER (SAU)
Dans l’Agglomération Chef-Lieu de Commune
- SAU1 est un secteur à urbaniser composé d’habitat et d’équipement projetés et
existants au niveau de l’ACL.
- SAU2 sont des secteurs à urbaniser dans le court et moyen terme composé
d’habitat et d’équipement projetés dans ces termes au niveau de l’ACL.

 SECTEURS NON URBANISABLES (NU)


Ce secteur se subdivise en quatre types de secteurs zones :
SNU2: composé de toute la zone agricole y compris les terres irriguées, les
vergers et les terres nues en sec qui devront toutes être protégées.

118
3- PERIMETRES D’INTERVENTION DES PLANS D’OCCUPATION DES SOLS
- On a dégagé au niveau du territoire communal un nombre de seize (16)
périmètres d’intervention des plans d’occupations des sols classés par ordre
de priorité, dont dix (10)POS d’entre eux se localisent dans l’agglomération
chef-lieu , et les six (6)autres POS se localisent dans les agglomérations
secondaires.

- Nous signalons que pour les études de POS déjà lancés et approuvés dans
le cadre de l’ancien PDAU (POS de la ville de OUM DROU = POS UA1, POS
UA2, et POS UA4) on a gardé le même périmètre afin d’assurer une
continuité avec les études de nouveaux POS qui sont dégagés dans cette
étude.
Secteur
DISPERSION N° de POS SURFACE LOCALISATION
D’Urbanisation
POS
S.U1/A 51,91 Ha
EX : UA1 SU1
POS
47 ,40 Ha
S.U1/B
POS S.U2
20,50 Ha SU2
EX :UA2
POS S.U3
32 Ha SU3
EX :UA3
Agglomération
POS S.U4 14 Ha Su4
EX ; SAU1 ACL
Chef-Lieu
POS
de
S.U5/A 12Ha
Commune
EX ;UA4 SU5
POS
15 ,70
S.U5/B
POS
28,90 Ha SAU1
S.A.U1
POS
28 Ha SU6/SAU2
SU6/S.A.U2
POS
13 SUF1
S.U.F1
POS S.U7
50,20 Ha SU7 A.S : GUELAFTIA
EX :U.A5
POS S.U.F2 25 ,50 Ha SUF2
A.S : GUELAFTIA
POS S.U8 28 ,30 Ha SU12 A.S : MAIZIA

POS S.U9 12 Ha SU9 A.S : REZAMA


Agglomération POS S.U10 45 Ha SU10 A.S : BESSAKRA

Secondaires POS S.U11 21,40 Ha SU11 A.S : HEMAISSIA


POS S.U12 54,20 Ha SU12
POS S.U13 19 Ha SU13 A.S : MENASSERIA
POS S.U14 26,50 Ha SU14 A.S : EL HAMMAM
POS S.U15 26 Ha SU15 A.S : OULED MGHAZI
POS S.U16 28 Ha SU16 A.S : CHEKALIL

119
CHAPITRE III :
LES IMPLICATIONS
EN MATIERE D’
INFRASTRUCTURES,
RESEAUX ET
PROTECTION DE
L’ENVIRONNEMENT

120
I ORIENTATION EN MATIERE DES RESEAUX
1- VOIRIE

Le groupement de communes Chlef - Oum-Drou - Sendjas est dotée d’un réseau


de voirie composé de :
 l’Autoroute est-ouest
Le groupement de communes Chlef - Oum-Drou - Sendjas est parcouru de l’EST à
l’OUEST par l’autoroute EST-OUEST qui le divise en deux parties sur un linéaire de
15 480 ml
Remarque il est important de signaler qu’il existe un projet approuvé d’une autoroute
reliant TISSESILT au Port de TENES et qui passe à l’Ouest dans le territoire de
OUED SLY et CHETTIA et qui touche le territoire communal de SENDJAS dans sa
partie extrême Ouest à la périphérie nord de l’hameau NEHALA HCHAOUSSA , et
ceci sur une distance de 1 810 ml.

 Rocade
Pour faciliter la circulation des véhicules et leur déplacement on a procédé a la
création des rocades qui ceinturent le tissu urbain, dont certains sont réalisés les
autres en cours de réalisations.

 Voie périphérique de contournement sud


Il est à noter qu’une nouvelle voie de contournement est actuellement en projet au
sud de la ville pour permettre d’une part à la circulation transitaire d’éviter de rentrer
dans la ville, et d’autre part permettre une liaison est – ouest entre les différents
quartiers de la ville, laquelle liaison était absente pendant des dizaines d’années car
tous les flux étaient obligatoirement acheminés vers la route nationale n°04 ,ce qui
aggravait la situation de la circulation au sein de la ville.

 Route nationales
- ROUTE NATIONALE N° 04 : qui traverse le Nord du territoire du groupement
de communes de l’Est à l’Ouest sur un linéairede 18 000 ml, dans le territoire
des communes de CHLEF et d’OUM DROU

- ROUTE NATIONALE N°19 : qui traverse le territoire du groupement de


communes du Nord au Sud sur un linéaire de 41 500 ml, dans le territoire des
communes de CHLEF et de SENDJAS

 CHEMINS DE WILAYAS

- CHEMIN DE WILAYA CW 151 : qui débutera du centre de l’agglomération


chef lieu de CHLEF vers le Nord de la commune d’OUM DROU, sur
un linéaire de 14 000 ml

- CHEMIN DE WILAYA CW 03 : qui débutera du centre de l’agglomération chef


lieu de CHLEF vers le Nord de la commune d’OUM DROU, sur
un linéaire de 14 000 ml

121
- CHEMIN DE WILAYA N°132: qui débutera de la RN 19 vers KARIMIA au
Sud de la commune de SINDJAS, sur un linéaire de 3 500 ml
- Chemin de Wilaya n°140:qui débutera de la RN 19 vers KARIMIA au Nord de
la commune de SINDJAS, sur un linéaire de 5 500 ml
- Chemin de Wilaya n°32:qui débutera de la RN 19 vers OULED BENI
ABDELKADER au centre de la commune de SINDJAS, sur un linéaire de 13
000 ml.

RESEAU VOIRIE PROJETE


- Elargissement et dédoublement de RN°19 entre CHLEF et SENDJAS
- Aménagement des pistes existantes reliant les espaces ruraux aux
agglomérations
- Création des voies périphériques et des voies d’évitement pour chaque
agglomération chef lieu
Commune de CHLEF
- ACL CHLEF
Agglomérations ACL CHLEF est sillonnée par un réseau de voirie dense en
bonne état sauf certains voies tertiaires sont en état de pistes.
- AGGLOMERATIONS SECONDAIRES
Les Agglomérations secondaire sont sillonnées par des voies principales en
bon état le reste sont en moyen et mauvais état ou pistes
Commune de SENDJAS
- ACL SENDJAS
Agglomérations ACL SENDJAS est sillonnée par un réseau de voirie en bon
état sauf certains voies tertiaires sont en état de pistes
- AGGLOMERATIONS SECONDAIRE
Les Agglomérations secondaire sont sillonnées par des voies principales en
bon état le reste sont en moyen et mauvais état ou pistes
Commune d’OUM DROU
- ACL OUM DROU
Agglomérations ACL OUM DROU est sillonnée par un réseau de voirie en bon
état sauf certains voies tertiaires sont en état de pistes

- AGGLOMERATIONS SECONDAIRE
Les Agglomérations secondaire sont sillonnées par des voies principales en bon état
le reste sont en moyen et mauvais état ou pistes

Aménagement des voies tertiaires en état de piste existantes pour chaque


agglomération

2-ALIMENTATION EN EAU POTABLE

Calcul des débit

Débit m1 :Qmoy-h= C × N
C : Consommation journalière par habitant

122
C=250 l/hab/jour pour ACL CHLEF
C=150 l/hab/jour pour ACL SENDJAS ,ACL OUM DROU et les AS
C=80 l/hab/jour pour la zone éparse
N : Nombre d’habitants

Débit m2 :Qmoy-eq= Qmoy-h×5%

Débit moyen =Qmoy-h+ Qmoy-eq

Débit journalier maximum :Q j max = Q m (1+(k1+ K2))


K1 : Coefficient saisonnier = 20 %
K2 : Coefficient de perte (c'est-à-dire la fuite dans le réseau = 15%

Capacité du réservoir : QR = Qmax/2

Débit du forage :QF = Qmax x 1000


86400

La commune de CHLEF

La commune de CHLEF s’alimente en eau potable par le biais des eaux


souterraines 19 forages de débit totale de 120 l/s et par la station de dessalement qui
couvre une grande partie des besoins 731.42 l/s
La commune possède 29 réservoirs et 4 châteaux d’eau d’une capacité totale
de 38150 m3.

ACL CHLEF

ACL CHLEF s’alimente en eau potable par le biais de 11 forages de débit totale de
60 l/s et par la station de dessalement qui couvre une grande partie des besoins
704.48 l/s
ACL CHLEF possède 25 réservoirs et 4 châteaux d’eau d’une capacité totale
de 36800 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
17791 44479,0 48926,9
ETAT ACTUEL 4447,90 1,35 66051,32 33025,66 764,48
6 0 0
20012 50031,7 55034,9
COURT TERME 5003,18 1,35 74297,15 37148,57 859,92
7 5 3
MOYEN 22338 55847,0 61431,7
5584,70 1,35 82932,80 41466,40 959,87
TERME 8 0 0
27404 68511,2 75362,3 101739,2
LONG TERME 6851,13 1,35 50869,60 1177,54
5 5 8 1

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 35000 33025,6 1974,34 60,00 764,48 704,48

123
6
37148,5
COURT TERME 35000 2148,57 60,00 859,92 799,92
7
MOYEN 41466,4
35000 6466,40 60,00 959,87 899,87
TERME 0
50869,6 15869,6
LONG TERME 35000 60,00 1177,54 1117,54
0 0
Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par les
réservoirs 2x10000 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable
à partir de la SDEM de TENES

AS . CHEGGA - CHERAIT

AS . CHEGGA - CHERAITs’alimente en eau potable par le biais de 2 forages de


débit totale de 14 l/s et par la station de dessalement qui couvre une partie des
besoins 10.83 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 300 m 3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 10089 1513,35 75,67 1589,02 1,35 2145,17 1072,59 24,83
COURT TERME 10150 1522,50 76,13 1598,63 1,35 2158,14 1079,07 24,98
MOYEN
TERME 10200 1530,00 76,50 1606,50 1,35 2168,78 1084,39 25,10
LONG TERME 10300 1545,00 77,25 1622,25 1,35 2190,04 1095,02 25,35

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 180 1072,59 892,59 14,00 24,83 10,83
COURT TERME 180 1079,07 899,07 14,00 24,98 10,98
MOYEN
180 14,00
TERME 1084,39 904,39 25,10 11,10
LONG TERME 180 1095,02 915,02 14,00 25,35 11,35
Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir
1500 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à partir de la
SDEM de TENES

AS . M O U A F K I A - T E G A G R A

L’AS. M O U A F K I A - T E G A G R A s’alimente en eau potable par le biais de 2


forages de débit totale de 10 l/s et par la station de dessalement qui couvre une
partie des besoins 5.64 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 500 m3.

124
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 6356 953,40 47,67 1001,07 1,35 1351,44 675,72 15,64
COURT TERME 6400 960,00 48,00 1008,00 1,35 1360,80 680,40 15,75
MOYEN
TERME 6450 967,50 48,38 1015,88 1,35 1371,43 685,72 15,87
LONG TERME 6550 982,50 49,13 1031,63 1,35 1392,69 696,35 16,12

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 380 675,72 295,72 10,00 15,64 5,64
COURT TERME 380 680,40 300,40 10,00 15,75 5,75
MOYEN
380 10,00
TERME 685,72 305,72 15,87 5,87
LONG TERME 380 696,35 316,35 10,00 16,12 6,12

Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir


2000 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à partir de la
SDEM de TENES

AS . ERRAMLIA - EL MKHETERIA

L’AS. ERRAMLIA - EL MKHETERIA s’alimente en eau potable par le biais de la


station de dessalement

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 2955 443,25 22,16 465,41 1,35 628,31 314,15 7,27
COURT TERME 3000 450,00 22,50 472,50 1,35 637,88 318,94 7,38
MOYEN
324,25
TERME 3050 457,50 22,88 480,38 1,35 648,51 7,51
LONG TERME 3150 472,50 23,63 496,13 1,35 669,77 334,88 7,75

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 314,15 314,15 7,27 7,27
COURT TERME 318,94 318,94 7,38 7,38
MOYEN
TERME 324,25 324,25 7,51 7,51
LONG TERME 334,88 334,88 7,75 7,75

Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir


1000 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à partir de la
SDEM de TENES

AS . EL AZAIZ – BRANCIA

125
L’AS. EL AZAIZ – BRANCIA s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de
débit totale de 8 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 300 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1917 287,55 14,38 301,93 1,35 407,60 203,80 4,72
COURT TERME 1950 292,50 14,63 307,13 1,35 414,62 207,31 4,80
MOYEN
TERME 2000 300,00 15,00 315,00 1,35 425,25 212,63 4,92
LONG TERME 2100 315,00 15,75 330,75 1,35 446,51 223,26 5,17

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 180 203,80 23,80 8,00 4,72 3,28
COURT TERME 180 207,31 27,31 8,00 4,80 3,20
MOYEN
180 8,00 3,08
TERME 212,63 32,63 4,92
LONG TERME 180 223,26 43,26 8,00 5,17 2,83

Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir


2000 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à partir de la
SDEM de TENES

AS . C H O U I E T

L’AS. ERRAMLIA - EL MKHETERIA s’alimente en eau potable par le biais de la


station de dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 250 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1298 194,70 9,74 204,44 1,35 275,99 137,99 3,19
COURT TERME 1350 202,50 10,13 212,63 1,35 287,04 143,52 3,32
MOYEN
TERME 1400 210,00 10,50 220,50 1,35 297,68 148,84 3,45
LONG TERME 1500 225,00 11,25 236,25 1,35 318,94 159,47 3,69

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 137,99 7,99 3,19 3,19
COURT TERME 130 143,52 13,52 3,32 3,32
MOYEN
130
TERME 148,84 18,84 3,45 3,45
LONG TERME 130 159,47 29,47 3,69 3,69

126
Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir
1500 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à partir de la
SDEM de TENES

ZONE EPARSE
ZONE EPARSE s’alimente en eau potable par le biais de 3 forages de débit totale de
28 l/s

Nbre Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 4314 345,12 1,35 465,91 232,96 5,39
COURT TERME 4350 348,00 1,35 469,80 234,90 5,44
MOYEN
352,00
TERME 4400 1,35 475,20 237,60 5,50
LONG TERME 4500 360,00 1,35 486,00 243,00 5,63

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 232,96 232,96 28,00 5,39 22,61
COURT TERME 234,90 234,90 28,00 5,44 22,56
MOYEN
28,00 22,50
TERME 237,60 237,60 5,50
LONG TERME 243,00 243,00 28,00 5,63 22,38

Le déficit En infrastructure de stockages estimer sera pris en charge par le réservoir


1500 m3 et 2000 m3 projetés dans le cadre de l’étude des transferts d'eau potable à
partir de la SDEM de TENES

La commune de SENDJAS

La commune de SENDJAS s’alimente en eau potable par le biais des eaux


souterraines 2 forages de débit totale de 16 l/s, les eaux de surface du barrage de
SIDI YAAKOUB et par la station de dessalement
La commune possède 19 réservoirs d’une capacité totale de 5320 m3.

ACL SENDJAS

ACL SENDJAS s’alimente en eau potable à partir du barrage de SIDI YAAKOUB


ACL SENDJAS possède 6 réservoirs d’une capacité totale de 2900 m 3.

Variante 1

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 9790 1468,50 73,43 1541,93 1,35 2081,60 1040,80 24,09
COURT TERME 15195 2279,25 113,96 2393,21 1,35 3230,84 1615,42 37,39
MOYEN
2009,31
TERME 18900 2835,00 141,75 2976,75 1,35 4018,61 46,51
LONG TERME 26970 4045,50 202,28 4247,78 1,35 5734,50 2867,25 66,37

127
RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80 1379,20 24,09 24,09
COURT TERME 2420 1615,42 804,58 37,39 37,39
MOYEN
2420 410,69
TERME 2009,31 46,51 46,51
LONG TERME 2420 2867,25 447,25 66,37 66,37

On remarque que l’agglomération soufrera d’un déficit de 447.25 m3 à long terme

Variante 2

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 9790 1468,50 73,43 1541,93 1,35 2081,60 1040,80 24,09
COURT TERME 15195 2279,25 113,96 2393,21 1,35 3230,84 1615,42 37,39
MOYEN
2009,31
TERME 18900 2835,00 141,75 2976,75 1,35 4018,61 46,51
LONG TERME 55639 8345,85 417,29 8763,14 1,35 11830,24 5915,12 136,92

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80 1379,20 24,09 24,09
COURT TERME 2420 1615,42 804,58 37,39 37,39
MOYEN
2420 410,69
TERME 2009,31 46,51 46,51
LONG TERME 2420 5915,12 3495,12 136,92 136,92

On remarque que l’agglomération soufrera d’un déficit de 3495.12 m 3 à long terme

AS. BENI OUEDRENE

L’AS. BENI OUEDRENE s’alimente en eau potable par le biais de la station de


dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 200 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1936 290,40 14,52 304,92 1,35 411,64 205,82 4,76
COURT TERME 2000 300,00 15,00 315,00 1,35 425,25 212,63 4,92
MOYEN
TERME 2050 307,50 15,38 322,88 1,35 435,88 217,94 5,04
LONG TERME 2150 322,50 16,13 338,63 1,35 457,14 228,57 5,29

TERME CR CR Déficit Surplus RE RE Déficit Surplus


128
existante (m3) (m3) (m3) existant (l/s) (l/s) (l/s)
(m3) e
(l/s)
ETAT ACTUEL 80 205,82 125,82 4,76 4,76
COURT TERME 80 212,63 132,63 4,92 4,92
MOYEN
80
TERME 217,94 137,94 5,04 5,04
LONG TERME 80 228,57 148,57 5,29 5,29

On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 125.82 m 3 qui attiendra


148.57 m3 à long terme.

AS. KHELAILIA
L’AS KHELAILIA s’alimente en eau potable par le biais de la station de dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 100 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1317 197,55 9,88 207,43 1,35 280,03 140,01 3,24
COURT TERME 1350 202,50 10,13 212,63 1,35 287,04 143,52 3,32
MOYEN
148,84
TERME 1400 210,00 10,50 220,50 1,35 297,68 3,45
LONG TERME 1500 225,00 11,25 236,25 1,35 318,94 159,47 3,69

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 140,01 40,01 3,24 3,24
COURT TERME 100 143,52 43,52 3,32 3,32
MOYEN
100
TERME 148,84 48,84 3,45 3,45
LONG TERME 100 159,47 59,47 3,69 3,69

On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 40.01 m 3 qui attiendra 59.47
m3 à long terme.

A.S. OULED SI AHMED

L’A.S. OULED SI AHMED s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit
totale de 6 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 250 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1000 150,00 7,50 157,50 1,35 212,63 106,31 2,46
COURT TERME 1050 157,50 7,88 165,38 1,35 223,26 111,63 2,58
MOYEN
TERME 1100 165,00 8,25 173,25 1,35 233,89 116,94 2,71
LONG TERME 1200 180,00 9,00 189,00 1,35 255,15 127,58 2,95

TERME CR CR Déficit Surplus RE RE Déficit Surplus


129
existante (m3) (m3) (m3) existant (l/s) (l/s) (l/s)
(m3) e
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 106,31 23,69 6,00 2,46 3,54
COURT TERME 130 111,63 18,37 6,00 2,58 3,42
MOYEN
130 13,06 6,00 3,29
TERME 116,94 2,71
LONG TERME 130 127,58 2,43 6,00 2,95 3,05

On remarque que l’agglomération ne soufre pas

A.S. SOUAMET

L’A.S SOUAMET s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale de
10 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 250 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 846 126,90 6,35 133,25 1,35 179,88 89,94 2,08
COURT TERME 900 135,00 6,75 141,75 1,35 191,36 95,68 2,21
MOYEN
101,00
TERME 950 142,50 7,13 149,63 1,35 201,99 2,34
LONG TERME 1050 157,50 7,88 165,38 1,35 223,26 111,63 2,58

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 89,94 40,06 10,00 2,08 7,92
COURT TERME 130 95,68 34,32 10,00 2,21 7,79
MOYEN
130 29,00 10,00 7,66
TERME 101,00 2,34
LONG TERME 130 111,63 18,37 10,00 2,58 7,42

On remarque que l’agglomération ne soufre pas


A.S. AMAMRA

L’A.S AMAMRA s’alimente en eau potable par le biais du surplus de l’agglomération


SOUAMET
L’agglomération possède 2 réservoirs d’une capacité total de 350 m 3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 640 96,00 4,80 100,80 1,35 136,08 68,04 1,58
COURT TERME 700 105,00 5,25 110,25 1,35 148,84 74,42 1,72
MOYEN
TERME 750 112,50 5,63 118,13 1,35 159,47 79,73 1,85
LONG TERME 850 127,50 6,38 133,88 1,35 180,73 90,37 2,09

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
130
ETAT ACTUEL 230 68,04 161,96 7,92 1,58 6,34
COURT TERME 230 74,42 155,58 7,79 1,72 6,06
MOYEN
230 150,27 7,66 5,82
TERME 79,73 1,85
LONG TERME 230 90,37 139,63 7,42 2,09 5,32

On remarque que l’agglomération ne soufre pas

A.S. SI YOUSEF

L’A.S. SI YOUSEFs’alimente en eau potable par le biais de la station de


dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 250 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 945 141,75 7,09 148,84 1,35 200,93 100,47 2,33
COURT TERME 1000 150,00 7,50 157,50 1,35 212,63 106,31 2,46
MOYEN
TERME 1050 157,50 7,88 165,38 1,35 223,26 111,63 2,58
LONG TERME 1150 172,50 8,63 181,13 1,35 244,52 122,26 2,83

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 100,47 29,53 2,33 2,33
COURT TERME 130 106,31 23,69 2,46 2,46
MOYEN
130 18,37
TERME 111,63 2,58 2,58
LONG TERME 130 122,26 7,74 2,83 2,83

On remarque que l’agglomération ne soufre pas

A.S. CHERAIRIA

L’A.S CHERAIRIA s’alimente en eau potable par le biais de la station de


dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 100 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1476 221,40 11,07 232,47 1,35 313,83 156,92 3,63
COURT TERME 1500 225,00 11,25 236,25 1,35 318,94 159,47 3,69
MOYEN
TERME 1550 232,50 11,63 244,13 1,35 329,57 164,78 3,81
LONG TERME 1650 247,50 12,38 259,88 1,35 350,83 175,42 4,06

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 156,92 56,92 3,63 3,63

131
COURT TERME 100 159,47 59,47 3,69 3,69
MOYEN
100
TERME 164,78 64,78 3,81 3,81
LONG TERME 100 175,42 75,42 4,06 4,06
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 56.92 m qui attiendra 75.42
3

m3 à long terme.

A.S. OULED HENNI

L’A.S OULED HENNI s’alimente en eau potable par le biais de la station de


dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 200 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 788 118,20 5,91 124,11 1,35 167,55 83,77 1,94
COURT TERME 850 127,50 6,38 133,88 1,35 180,73 90,37 2,09
MOYEN
TERME 900 135,00 6,75 141,75 1,35 191,36 95,68 2,21
LONG TERME 1000 150,00 7,50 157,50 1,35 212,63 106,31 2,46

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 80 83,77 3,77 1,94 1,94
COURT TERME 80 90,37 10,37 2,09 2,09
MOYEN
80
TERME 95,68 15,68 2,21 2,21
LONG TERME 80 106,31 26,31 2,46 2,46
On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 3.77 m qui attiendra 26.31
3

m3 à long terme.

ZONE EPARSE

ZONE EPARSE s’alimente en eau potable par le barrage SIDI YAAKOUB.


L’agglomération possède 04 réservoirs d’une capacité de 720 m3.

Nbre Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 12025 962,00 1,35 1298,70 649,35 15,03
COURT TERME 12100 968,00 1,35 1306,80 653,40 15,13
MOYEN
972,00
TERME 12150 1,35 1312,20 656,10 15,19
LONG TERME 12250 980,00 1,35 1323,00 661,50 15,31

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 480 649,35 169,35 15,03 15,03
COURT TERME 480 653,40 173,40 15,13 15,13
MOYEN
480
TERME 656,10 176,10 15,19 15,19

132
LONG TERME 480 661,50 181,50 15,31 15,31

On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 169.35 m 3 qui attiendra


181.50 m3 à long terme.

RESERVOIR PROJETEE
ACL SANDJAS

Variante 1
ACL : Sendjas
TERME resrvoir resrvoir
besoin
existant propose
(m3)
(m3) (m3)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80
COURT
2420 1615,42
TERME
600
MOYEN
2420 2009,31
TERME
LONG TERME 2420 2867,25

Variante 2

ACL : Sendjas
TERME resrvoir resrvoir
besoin
existant propose
(m3)
(m3) (m3)
ETAT ACTUEL 2420 1040,80
COURT
2420 1615,42
TERME
3650
MOYEN
2420 2009,31
TERME
LONG TERME 2420 5915,12

133
AS SANDJAS

AS : Khelailia AS : Beni Ouadrene AS : Cherairia


TERME resrvoir resrvoir resrvoir resrvoir resrvoir resrvoir
besoin besoin besoin
existant propose existant propose existant propose
(m3) (m3) (m3)
(m3) (m3) (m3) (m3) (m3) (m3)
ETAT ACTUEL 100 140,01 80 205,82 100 157
COURT
100 143,52 80 212,63 100 159
TERME
200 300 220
MOYEN
100 148,84 80 217,94 100 165
TERME
LONG TERME 100 159,47 80 228,57 100 175

ZONE EPARSE
TERME resrvoir resrvoir
besoin
existant propose
(m3)
(m3) (m3)
ETAT ACTUEL 480 649,35
COURT
480 653,40
TERME
300
MOYEN
480 656,10
TERME
LONG TERME 480 661,50

134
La commune de OUM DROU

La commune d’ OUM DROU s’alimente en eau potable par le biais de 7 forages de


débit totale de 64 l/s et par la station de dessalement
La commune possède 16 réservoirs d’une capacité totale de 4120 m 3.

ACL OUM DROU

OUM DROU s’alimente en eau potable par le biais de 2 forages de débit totale de 16
l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède 2 réservoirs d’une capacité totale de 1100 m 3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 8269 1240,35 62,02 1302,37 1,35 1758,20 879,10 20,35
COURT TERME 10928 1639,20 81,96 1721,16 1,35 2323,57 1161,78 26,89
MOYEN
1457,65
TERME 13711 2056,65 102,83 2159,48 1,35 2915,30 33,74
LONG TERME 19773 2965,95 148,30 3114,25 1,35 4204,23 2102,12 48,66

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 980 879,10 100,90 16,00 20,35 4,35
COURT TERME 980 1161,78 181,78 16,00 26,89 10,89
MOYEN
980 16,00
TERME 1457,65 477,65 33,74 17,74
LONG TERME 980 2102,12 1122,12 16,00 48,66 32,66

On remarque que l’agglomération soufrera d’un déficit de 181.78 m 3 au court terme


qui attiendra 1122.12 m3 à long terme.
Remarque
Il ya un réservoir projeté de capacité 1000 m3 .

135
AS GUELAFTIA

L’AS GUELAFTIA s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale
de 6 l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 100 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 3664 549,60 27,48 577,08 1,35 779,06 389,53 9,02
COURT TERME 3700 555,00 27,75 582,75 1,35 786,71 393,36 9,11
MOYEN
TERME 3750 562,50 28,13 590,63 1,35 797,34 398,67 9,23
LONG TERME 3850 577,50 28,88 606,38 1,35 818,61 409,30 9,47

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 389,53 289,53 6,00 9,02 3,02
COURT TERME 100 393,36 293,36 6,00 9,11 3,11
MOYEN
100 6,00
TERME 398,67 298,67 9,23 3,23
LONG TERME 100 409,30 309,30 6,00 9,47 3,47

On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 289.53 m 3 qui attiendra


309.30 m3 à long terme.

AS BESSAKRIA

AS BESSAKRIA s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale de
6 l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède 2 réservoirs de capacité totale de 350 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1300 195,00 9,75 204,75 1,35 276,41 138,21 3,20
COURT TERME 1350 202,50 10,13 212,63 1,35 287,04 143,52 3,32
MOYEN
TERME 1400 210,00 10,50 220,50 1,35 297,68 148,84 3,45
LONG TERME 1500 225,00 11,25 236,25 1,35 318,94 159,47 3,69

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 230 138,21 91,79 6,00 3,20 2,80
COURT TERME 230 143,52 86,48 6,00 3,32 2,68
MOYEN
230 81,16 6,00 2,55
TERME 148,84 3,45
LONG TERME 230 159,47 70,53 6,00 3,69 2,31

On remarque que l’agglomération ne souffre pas


136
AS El HAMMAM

L’A.S. EL HAMMAM s’alimente en eau potable par le biais de la station de


dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 100 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1217 182,55 9,13 191,68 1,35 258,76 129,38 2,99
COURT TERME 1250 187,50 9,38 196,88 1,35 265,78 132,89 3,08
MOYEN
138,21
TERME 1300 195,00 9,75 204,75 1,35 276,41 3,20
LONG TERME 1400 210,00 10,50 220,50 1,35 297,68 148,84 3,45

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 129,38 29,38 2,99 2,99
COURT TERME 100 132,89 32,89 3,08 3,08
MOYEN
100
TERME 138,21 38,21 3,20 3,20
LONG TERME 100 148,84 48,84 3,45 3,45

On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 29.38 m 3 qui attiendra 48.84
m3 à long terme.

AS MENASRIA

L’A.S MENASRIA A. s’alimente en eau potable par le biais de la station de


dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 250 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1164 174,60 8,73 183,33 1,35 247,50 123,75 2,86
COURT TERME 1200 180,00 9,00 189,00 1,35 255,15 127,58 2,95
MOYEN
TERME 1250 187,50 9,38 196,88 1,35 265,78 132,89 3,08
LONG TERME 1350 202,50 10,13 212,63 1,35 287,04 143,52 3,32

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 130 123,75 6,25 2,86 2,86
COURT TERME 130 127,58 2,43 2,95 2,95
MOYEN
130
TERME 132,89 2,89 3,08 3,08
LONG TERME 130 143,52 13,52 3,32 3,32
On remarque que l’agglomération soufrera d’un déficit de 2.89 m AU moyen terme
3

qui attiendra 13.52 m3 à long terme.


137
AS BOUCCA CHEKALLIL

L’A.S BOUCCA CHEKALLIL s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de
débit totale de 10 l/s et par la station de dessalement
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité total de 500 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 1094 164,10 8,21 172,31 1,35 232,61 116,31 2,69
COURT TERME 1150 172,50 8,63 181,13 1,35 244,52 122,26 2,83
MOYEN
TERME 1200 180,00 9,00 189,00 1,35 255,15 127,58 2,95
LONG TERME 1300 195,00 9,75 204,75 1,35 276,41 138,21 3,20

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 380 116,31 263,69 10,00 2,69 7,31
COURT TERME 380 122,26 257,74 10,00 2,83 7,17
MOYEN
380 252,43 10,00 7,05
TERME 127,58 2,95
LONG TERME 380 138,21 241,79 10,00 3,20 6,80

On remarque que l’agglomération ne soufre pas

A.S MAIZIA

L’A.S MAIZIA s’alimente en eau potable par le biais de la station de dessalement


L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 500 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 993 148,95 7,45 156,40 1,35 211,14 105,57 2,44
COURT TERME 1050 157,50 7,88 165,38 1,35 223,26 111,63 2,58
MOYEN
116,94
TERME 1100 165,00 8,25 173,25 1,35 233,89 2,71
LONG TERME 1200 180,00 9,00 189,00 1,35 255,15 127,58 2,95

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 380 105,57 274,43 2,44 2,44
COURT TERME 380 111,63 268,37 2,58 2,58
MOYEN
380 263,06
TERME 116,94 2,71 2,71
LONG TERME 380 127,58 252,43 2,95 2,95

On remarque que l’agglomération ne soufre pas

138
AS OULED MEGHAZI

L’A.S OULED MEGHAZI s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit
totale de 19 l/s
L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 200 m3.
Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 888 133,20 6,66 139,86 1,35 188,81 94,41 2,19
COURT TERME 950 142,50 7,13 149,63 1,35 201,99 101,00 2,34
MOYEN
TERME 1000 150,00 7,50 157,50 1,35 212,63 106,31 2,46
LONG TERME 1100 165,00 8,25 173,25 1,35 233,89 116,94 2,71

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 80 94,41 14,41 19,00 2,19 16,81
COURT TERME 80 101,00 21,00 19,00 2,34 16,66
MOYEN
80 19,00 16,54
TERME 106,31 26,31 2,46
LONG TERME 80 116,94 36,94 19,00 2,71 16,29

On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 14.41 m3 qui attiendra 36.94
m3 à long terme.

AS HAMAICIA

A.S HAMAICIA s’alimente en eau potable par le biais de la station de dessalement


Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 861 129,15 6,46 135,61 1,35 183,07 91,54 2,12
COURT TERME 900 135,00 6,75 141,75 1,35 191,36 95,68 2,21
MOYEN
TERME 950 142,50 7,13 149,63 1,35 201,99 101,00 2,34
LONG TERME 1050 157,50 7,88 165,38 1,35 223,26 111,63 2,58

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 91,54 91,54 2,12 2,12
COURT TERME 95,68 95,68 2,21 2,21
MOYEN
TERME 101,00 101,00 2,34 2,34
LONG TERME 111,63 111,63 2,58 2,58

On remarque que l’agglomération soufre d’un déficit de 91.54 m 3 qui attiendra 111.63
m3 à long terme.

139
AS REZAMA

L’A.S REZAMA s’alimente en eau potable par le biais de la station de dessalement


L’agglomération possède un réservoir d’une capacité de 100 m3.

Nbre Qmoy-h Qmoy- Qmoy Qmax CR RE


TERME Coef
hab (m3/j) eq(m3/j) (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 708 106,20 5,31 111,51 1,35 150,54 75,27 1,74
COURT TERME 750 112,50 5,63 118,13 1,35 159,47 79,73 1,85
MOYEN
85,05
TERME 800 120,00 6,00 126,00 1,35 170,10 1,97
LONG TERME 900 135,00 6,75 141,75 1,35 191,36 95,68 2,21

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 100 75,27 24,73 1,74 1,74
COURT TERME 100 79,73 20,27 1,85 1,85
MOYEN
100 14,95
TERME 85,05 1,97 1,97
LONG TERME 100 95,68 4,32 2,21 2,21

On remarque que l’agglomération ne soufre pas

ZONE EPARSE

ZONE EPARSE s’alimente en eau potable par le biais d’un forage de débit totale de
7 l/s.
L’agglomération possède 05 réservoirs d’une capacité de 920 m3.
Nbre Qmoy Qmax CR RE
TERME Coef
hab (m3/j) (m3/j) (m3) (l/s)
ETAT ACTUEL 4354 348,32 1,35 470,23 235,12 5,44
COURT TERME 4400 352,00 1,35 475,20 237,60 5,50
MOYEN
356,00
TERME 4450 1,35 480,60 240,30 5,56
LONG TERME 4550 364,00 1,35 491,40 245,70 5,69

RE
CR
CR Déficit Surplus existant RE Déficit Surplus
TERME existante
(m3) (m3) (m3) e (l/s) (l/s) (l/s)
(m3)
(l/s)
ETAT ACTUEL 440 235,12 204,88 7,00 5,44 1,56
COURT TERME 440 237,60 202,40 7,00 5,50 1,50
MOYEN
440 199,70 7,00 1,44
TERME 240,30 5,56
LONG TERME 440 245,70 194,30 7,00 5,69 1,31

On remarque que l’agglomération ne souffre pas

140
RESERVOIR PROJETEE
ACL et AS OUM EL DROU

ACL : OUM EL DROU AS: Guelaftia AS: Hamaicia


TERME resrvoir resrvoir resrvoir resrvoir resrvoir resrvoir
besoin besoin besoin
existant propose existant propose existant propose
(m3) (m3) (m3)
(m3) (m3) (m3) (m3) (m3) (m3)
ETAT ACTUEL 879,10 389,53 92
COURT
1161,78 393,36 96
TERME 1000
MOYEN 980 100 500 250
1457,65 +250 398,67 101
TERME
LONG TERME 2102,12 409,30 112

141
3- ASSAINISSEMENT

La commune de CHLEF

L’assainissement La commune de CHLEF est représenté par des rejets


Vers la STEP (ACL CHLEF, AS CHEGGA et AS MOUAFKIA) et oued CHLEF (AS CHOUIET,
AS AZIEZ et RAMLIA)

ACL CHLEF
ACL CHLEF est dotée de réseaux d’assainissement de type
unitaire qui couvre toute l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers la station
d’épuration située à proximité d’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état sauf pour tissu urbain colonial et certains
Cartiers comme RADAR, CHORFA HASSANIA, LALA OUDA et OULED MOHAMED qui sont
vétustes.
À l’état actuel la STEP assaini les eaux usées, mais elle sera saturée plus tard

AS. CHEGGA - CHERAIT

L’AS. CHEGGA - CHERAIT est dotée de réseaux d’assainissement de type


unitaire qui couvre toute l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers la station
d’épuration située à proximité d’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état

AS. M O U A F K I A - T E G A G R A

L’AS.M O U A F K I A- T E G A G R A est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire


qui couvre toute l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers la station d’épuration située
à proximité d’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état

142
AS. ERRAMLIA - EL MKHETERIA

ERRAMLIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers d’oued CHLEF. Les collecteurs sont on
bonne état
Mais pour EL MKHETERIA il existe une étude approuvé non réalisé

AS. EL AZAIZ – BRANCIA

L’AS. EL AZAIZ – BRANCIA il existe uneétude approuvé non réalisé

AS. C H O U I E T

L’AS. C H O U I E T est dotée de réseaux d’assainissement de type


unitaire qui couvre toute l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers d’oued CHLEF. Les
collecteurs sont on bonne état

RECOMMANDATION

- Prévoir une nouvelle STEP


- Rénover et dévier les collecteurs qui passent sous l’habitat (CHORFA, RADAR…)
- Lancer des études d’AEP et d’assainissement pour les terrains a urbanisé
- Prévoir des bassins de décantation pour les rejets qui déversent dans oued CHLEF

143
Commune de SENDJAS

L’assainissement de La commune de SENDJAS est représenté par des rejets Vers les
oueds, dont certains à travers des bassins de décantations

ACL SENDJAS

Le réseau d’assainissement de chef lieu de la commune de SANDJAS et compose par des


collecteurs principaux de différant diamètres. De type unitaire
Certains rejets se font directement dans oued TSIGHAOUT, les autres passes par les bassins de
décantation.
AS. BENI OUEDRENE

BENI OUEDRENE est assainie par un réseau d’assainissement de type unitaire compose de
plusieurs collecteurs de différant diamètres qui couvre toute agglomération, les eaux sont
acheminées vers un seul point de rejeté passer par un déversoir d’orage avant de drainées dans
un bassin de décantation qui rejetée dans oued TSIGHAOUT.

AS. KHELAILIA

il existe uneétude approuvé non réalisé

A.S. OULED SI AHMED

il existe uneétude approuvé non réalisé

A.S. SOUAMET

L’assainissement de l’A.S. SOUAMET est représenté par des rejets Vers l’oued à travers
des bassins de décantations

A.S. AMAMRA

L’assainissement de l’A.S. AMAMRA est réalisé dans le cadre de PPDRI

A.S. SI YOUSEF

Agglomération secondaire de SI YOUSEF est doté d’un réseau d’assainissement de type unitaire
compose par deux collecteur principal est des collecteurs secondaires est tertiaires, de différent
diamètres Ø300 et Ø400 en PVC et Ø500, Ø600 en CAO, les eaux sont acheminées vers deux
point de rejet passant par deux déversoir d’orage avant de drainées dans deux bassin de
décantation, les deux rejetée dans oued TSIGHAOUT.
Le réseau est récemment réalisé.

144
A.S. CHERAIRIA

Il ya une étude approuvé en cours de réalisation

A.S. OULED HENNI

Agglomération secondaire de OULED HENNI est assainie par un réseau d’assainissement de type
unitaire compose par deux collecteurs principaux est des collecteurs secondaire est tertiaires de
diamètres varient entre Ø300 et Ø1000, les eaux sont acheminées vers deux point de rejet le
première dans oued TILEFT est ledeuxième dans un Chabat.

RECOMMANDATION

- Lancer des études d’AEP et d’assainissement pour les terrains a urbanisé


- Prévoir des bassins de décantation pour les rejets qui déversent dans les oueds.

145
Commune d’OUM EL DROU

L’assainissement de La commune d’OUM EL DROU est représenté par des rejets Vers les oueds,
dont certains à travers des bassins de décantations

ACL OUM DROU

L’ACL OUM EL DROU est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS GUELAFTIA

AS GUELAFTIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued CHLEF.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS BESSAKRIA

AS BESSAKRIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre une partie de
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations

AS El HAMMAM

L’AS : El HAMMAM est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations
AS MENASRIA

A.S MENASRIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations

AS BOUCCA CHEKALLIL

A.S BOUCCA CHEKALLIL est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre
toute l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued.
Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations

AS MAIZIA

A.S MAIZIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations

146
AS OULED MEGHAZI

A.S OULED MEGHAZI est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font a travers des bassins de décantations

AS HAMAICIA

A.S HAMAICIA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations

AS REZAMA

A.S REZAMA est dotée de réseaux d’assainissement de type unitaire qui couvre toute
l’agglomération et qui collecte les eaux usée vers l’oued. Les collecteurs sont on bonne état
Les rejets se font à travers des bassins de décantations

RECOMMANDATION

- Lancer des études d’AEP et d’assainissement pour les terrains a urbanisé


- Prévoir des bassins de décantation pour les rejets qui déversent dans les oueds

147
II Orientations en matière de protection de l’environnement
 Garantir un cadre de vie sain par une gestion des déchets, des eaux usées, et des espaces
verts ;
 Prévenir toute forme de pollution ou de nuisance causée à l'environnement en garantissant
la sauvegarde de ses composantes ;
 Prévenir les aléas des risques majeurs ;
 Restaurer les milieux naturels endommagés ;
 Promouvoir l'utilisation écologiquement rationnelle des ressources naturelles disponibles,
 Intégrer l'usage d’énergie propre et renouvelable : (solaire et éolienne) ;
 Renforcer l'information, la sensibilisation et la participation du public et des différents
intervenants aux mesures de protection de l'environnement ;
 Une gestion de déchets écologique qui exigera un système de tri, de récupération et de
compostage adéquat ;
 Un système de récupération des eaux pluviales et un système d’épuration lagunaire ;
 L’aménagement d’espaces verts, de fresques, de fontaines et de toilettes publiques.
 Le tri sélectif et la valorisation des déchets :

Trois grandes méthodes d’élimination des déchets ménagers solides sont connues, à
savoir :

1- L’élimination des déchets par incinération, est la méthode la plus couteuse, qui nécessite
de grands incinérateurs destinés à cet effet, dont le principe est de faire éliminer les
déchets ménagers et assimilés par brulage,
2- L’élimination des déchets par les différents types de compostage.
3- L’élimination des déchets par enfouissement.
Pour des raisons économiques mais surtout écologiques, la mise en décharge n’est pas
convenable pour la totalité des déchets solides urbains.
En effets, l’enfouissement de l’ensemble des volumes de déchets générés par les activités
urbaines entraînerait la diminution de la durée de vie des centres d’enfouissement technique
(CET), et par conséquent la nécessité de création d’autres CET d’une part, la récupération de
certains déchets non biodégradables est très bénéfique sur le plan écologique, d’autre part.

Actuellement il est difficile d’estimer la quantité réelle de revalorisation des déchets pour la
simple raison qu’aucun tri n’est effectué au niveau des ménages, les déchets sont mélangés dans
la poubelle, les composants des déchets son souillés. Les seuls composants qui font l’objet d’une
revalorisation sont le plastique et les métaux. Les autorités concernées peuvent orienter les
promoteurs privés vers la création de micro entreprises de récupération, susceptibles de créer de
l’emploi, de diminuer les quantités de déchets et donc prolonger la durée de vie du centre
d’enfouissement technique.
Sur le plan économique, le marché de la récupération intéresse de plus en plus de
personnes :
- Ruées des jeunes et moins jeunes sur les décharges publiques ;
- Les services offerts par certains particuliers qui sillonnent les différents quartiers avec
leurs véhicules dans le but de récupérer d’éventuels objets inutilisables par les
ménages ;
- La création de micro-entreprise de récupération qui permet, outre la création de
nombreux poste d’emploi au sein des jeunes, la réduction du volume total des déchets
destinés à la mise en décharge demeure, donc, une nécessité.
Le terme « récupération » englobe les opérations de collecte, transport, stockage, tri et
traitement de certains produits ou matériaux de déchets à des fins de réemploi, de recyclage et de
réutilisation, soit leur valorisation.

148
En somme, la gestion écologique des déchets doit s’appuyer sur une hiérarchie d’action ou
d’objectifs :
1- Réduire le plus possible la masse de déchet ;
2- Promouvoir le traitement et l’élimination des déchets ;
3- Encourager le recyclage écologiquement rationnel des déchets ;
4- Etendre les services en matière de déchets.
L’intensification de la récupération des déchets produit d’une part, une diminution de la quantité
de déchets à élimine et dynamiser d’autre part, les activités de recyclage existantes déjà dans les
secteurs formels. La récupération de déchets relève donc de l’intérêt public.
A la lumière des constats que l’on peut faire aujourd’hui sur la collecte sélective ou
« récupération » de certains déchets (papiers, cartons et particulièrement le plastique) par les
éboueurs eux-mêmes lors du ramassage des ordures ménagères d’une part, et de la récupération
qui en est faite au niveau des décharges elles-mêmes d’autres part, l’existence d’un marché de
valorisation de certains produits est indéniable.
 L’aménagement d’un autre CET intercommunale qui prendra en charge les déchets de
la commune de SENDJAS mais aussi d’autres communes mitoyenne comme la
commune d’EL HADJAJA.

La mise en place d’un CET doit prendre en considération non seulement les aspects
environnementaux et technique mais aussi les aspects communautaires.
Le choix de l’implantation peut s’avérer très important vu les conséquences qu’il peut avoir
sur le milieu et sur l’environnement. En conséquent, le site ne doit, impérativement pas, être
placés sur des parcs naturels ou des zones naturels protégées, des zones militaires ou encor
proche des lieux d’habitations (la limite est de 200 mètres), loin aussi des aéroports avec une
distance minimum de 5 km. La zone ne doit pas contenir des mines souterraines ou des
marécages.
D’autre part, le site destiner àl’aménagement du CET doit convenir du point de vu
géologique (nature du terrain), géotechnique (tremblement de terre et glissement de terrain) et
hydrogéologique (inondation). Il doit aussi prendre en considération les effets des émissions
(odeurs, bruits, poussières…).
A la suite du choix du site et de l’aménagement du CET, ce dernier doit être munis d’un
poste de contrôle, d’un parking, d’installation sanitaires, d’éclairage, d’une clôture avec un portail
d’entrée, et de routes bien distingue pour l’accessibilité.

149
III Orientation en matière de prévention des risques majeurs

1- Risque d’inondations

Aménagement des oueds par gabionnage Calibrage, Dragage et Curage des oueds
Dans les zones les plus inondables oueds Tisghaout au Sendjas

2- Gonflement d’argile

Les quelques précautions devant être prises pour mieux cerner le problème sont :
- Il y a lieu d’adopter un système de fondation des plus rigides aptes à répondre à d’éventuels
soulèvements du sous-sol par gonflement en disposant un remblai compact avec des matériaux
non gonflant au-dessus des semelles ou une couche de gros béton.
- Prévoir des drains aptes a empêché l’arrivée d’eau dans le sol de fondation pour permettre
l’évacuation immédiate de toute accumulation d’eau superficielle.
- Il est à signaler que la présence de la nappe nécessite pour la réalisation des travaux d’un
rabattement (par pompage) de celle-ci, de plus nous conseillons donc de réaliser ces travaux de
fondation en période sèche.
- Plantation des arbres ayant un grand pouvoir absorbant, pour mieux retenir les sols (pour
l’équilibre des sols).

3- Risque de glissement de terrains

- Drainage des eaux, cette eau aura une influence négative sur les projets de construction si elle
n’est pas drainée. Il est recommandé d’éviter les infiltrations par un drainage périphérique adéquat
et un drainage au sein même du terrain.
- Choix des matériaux de chaussée, la couche d’assise de nature marneuse et sensible à l’eau
devra être protégée contre les venues d’eaux pluviales éventuelles par un remblai sélectionné et
drainé.
- Prévoir des soutènements au niveau des pentes, les côtés équipés de drains afin d’éviter que les
constructions ne soient pas déplacées.
- Procéder à des fondations enchaînées par des longrines rigides afin d’uniformiser les
mouvements du sol.
- Prévoir des soutènements au niveau des pentes coté Oued équipés de drains afin d’éviter que
les constructions glissent ou soient déplacées.
- Plantation des arbres ayant un grand pouvoir absorbant, pour mieux retenir les sols.
Elles affectent les assises Astiennes surplombant des terrains marneux Plais anciennes et sont
caractérisées par des ruptures de falaises et des fluages des marnes.

4- Risque sismique

Les recommandations que nous proposons pour la construction sont :


- Ne pas construire sur des failles actives ou dans leurs environs immédiats.
- Eviter de construire sur les terrains à alluvions récentes et sur les terrains gorgés d’eau.
- Ne pas construire sur les pentes.
- Ne pas construire sur les alluvions épaisses molles où la nappe phréatique est peu profonde.
- Eviter les zones de couverture végétale est réduite, là où l’érosion diffuse et intensive
- Eviter les zones où il existe des cavités dues à une érosion chimique.
- Ne pas construire dans les fonds de vallée : l’érosion agressive peut provoquer l’arrachement de
pans de terrasse.
- Ne pas dépasser une certaine hauteur en relation avec la portance de sol.
- Faire passer les différents projets de construction par le Centre Technique de Control (C.T.C.) et
par le Centre du Génie Sismique (CGS), en construisant selon les règles parasismiques.

150
5- Risque de feux de foret
Les forêts du groupement exigent un programme d'aménagement soutenu (reboisement, entretien
pour leur réhabilitation dans le paysage naturel. Celles qui avoisinent les zones urbaines doivent
constituer des équipements à fonctions récréatives pour les citadins.

Parmi les mesures prises ou à prendre pour réduire l’aléa feu de forêt ou la vulnérabilité des
enjeux, on peut citer :
Les mesures collectives : La prévention consiste en une politique globale d'aménagement et
d'entretien de l'espace rural et forestier :
- Repérer les chemins d'évacuation, et lesabris ;
- Interdiction saisonnière de l’usage du feu dans les zones à risque ;
- Renforcement du matériel de lutte contre l’incendie (points d'eau, camion-citerne…) et mise en
place d’accès pompier ;
- Entretien les tranchets par feux (T.P.F) et débroussaillage régulier ;
- Ouvertures de nouvelles pistes d’accès ;
- Information aux habitants des mesures de prévention ;
- Rondes de surveillance.
Les mesures individuelles : Le débroussaillement et le maintien à l’état débroussaillé sont
obligatoires dans les forêts, plantations autour des habitations, chantiers, ateliers, voies privées et
publiques ;

151
CHAPITRE IV :
REGLEMENT
D’URBANISME

152
V. REGLEMENT D’URBANISME DU PDAU INTERCOMMUNAL DE CHLEF-
SENDJAS-OUMDROU

Le présent règlement d’urbanisme fixe les règles applicables pour chaque zone comprise dans les
secteurs tels que définis par la loi 90.29 du 1er Décembre 1990 relative à l’aménagement et à
l’urbanisme, modifiée et complétée par la loi 05-04 du 14 Aout 2004, il détermine :
► L’affectation dominante des sols.
► Les périmètres d’intervention des plans d’occupation des sols avec les termes de références y
afférents en faisant apparaître les zones d’interventions sur les tissus urbains existants et ceux
des zones à protéger.
► La densité générale à maintenir à modifier ou à créer.
► La localisation et la nature des grands équipements, des infrastructures, des servitudes et des
activités.
En outre il définit les conditions particulières de construire à l’intérieur de certaines parties du
territoire comme les terrains à caractère naturel ou culturel ainsi que les terres agricoles à
potentialités élevées ou bonnes.
Le support cartographique qui lui est annexé se compose des plans état de fait, aménagement,
secteurs, POS et des plans de servitudes : voirie, assainissement, alimentation en eau potable.

1-REGLEMENT D’URBANISME DELA COMMUNE DE CHLEF


Le présent règlement d’urbanisme fixe les règles applicables pour chaque zone comprise dans les
secteurs tels que définis par la loi 90.29 du 1er Décembre 1990 relative à l’aménagement et à
l’urbanisme, modifiée et complétée par la loi 05-04 du 14 Aout 2004, il détermine :
► L’affectation dominante des sols.
► Les périmètres d’intervention des plans d’occupation des sols avec les termes de références y
afférents en faisant apparaître les zones d’interventions sur les tissus urbains existants et ceux
des zones à protéger.
► La densité générale à maintenir à modifier ou à créer.
► La localisation et la nature des grands équipements, des infrastructures, des servitudes et des
activités.
En outre il définit les conditions particulières de construire à l’intérieur de certaines parties du
territoire comme les terrains à caractère naturel ou culturel ainsi que les terres agricoles à
potentialités élevées ou bonnes.
Le support cartographique qui lui est annexé se compose des plans état de fait, aménagement,
secteurs, POS et des plans de servitudes : voirie, assainissement, alimentation en eau potable.
DISPOSITIONS GENERALES

ARTICLE 01 / CHAMP D’APPLICATION TERRITORIALE DU PLAN


Le présent règlement ainsi que les documents graphiques qui lui sont annexés s’appliquent au
territoire de la commune de CHLEF.

ARTICLE 02 / PORTEE DU REGLEMENT


Le présent règlement fixera les règles applicables pour chaque secteur :
 Secteurs urbanisés S.U
 Secteurs à urbaniser S.A.U
 Secteurs d’urbanisation future S.U.F
 Secteurs non urbanisables S.N.U
A cette fin, il doit déterminer :
 La densité générale exprimée par le coefficient d’occupation des sols.
 La nature des activités qui peuvent être interdites ou soumises à des conditions particulières.

153
 Les servitudes à maintenir, à modifier ou à créer.
 Les périmètres d’intervention des plans d’occupation des sols avec les termes de références y
afférents en faisant apparaître les zones d’intervention sur les tissus urbains existants et ceux des
zones à protéger.
 La localisation et la nature des grands équipements, des infrastructures, des services et des
activités.
Il définit en outre les conditions de constructions particulières applicables à certaines parties du
territoire.

ARTICLE 03 / DIVISION DU TERRITOIRE EN SECTEURS


Le territoire de la commune de CHLEF est entièrement couvert par le plan directeur
d’aménagement et d’urbanisme est divisé en :

3.1 – Secteurs urbanisés


Incluent tous les terrains, même non dotés de toutes les viabilités, occupés par les constructions
agglomérées, par leurs espaces de prospect et par les emprises des équipements et activités
même non construits, espaces verts, surfaces libres, parcs et forets urbains, destinés à la
desserte de ces constructions agglomérées. Les secteurs urbanisés incluent également les parties
de territoire urbanisé à restructurer, à rénover, à restaurer et à protéger.
 Secteur S.U1 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U2 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U3 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U4 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U5 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U6 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U7 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U8 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U9 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U10 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U11 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat, équipements et
activités).
 Secteur S.U12 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U13 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U14 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U15 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U16 : Agglomération Secondaire ERRAMLIA-EL MKHETERIA (zone occupée
par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U17/ZA : Agglomération Secondaire ERRAMLIA-EL MKHETERIA (zone
occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U18 : Agglomération Secondaire CHEGGA-CHERAIT (zone occupée par
l’habitat et équipements).
 Secteur S.U19 : Agglomération Secondaire EL AZAIZ-BRANCIA (zone occupée par
l’habitat et équipements).

154
 Secteur S.U20 : Agglomération Secondaire MOUAFKIA-TEGAGRA (zone occupée par
l’habitat et équipements).
 Secteur S.U21 : Agglomération Secondaire MOUAFKIA-TEGAGRA (zone occupée par
l’habitat et équipements).
 Secteur S.U22 : Agglomération Secondaire CHOUIET (zone occupée par l’habitat et
équipements).

3.2 – Secteurs à urbaniser


Incluent les terrains destinés à être urbaniser à court et moyen terme, à un horizon de dix (10)
ans dans l’ordre de priorité prévue par le Plan Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme.

 Secteur S.A.U1 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à court


terme.
 Secteur S.A.U2 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à court
terme.
 Secteur S.A.U3 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à court
terme.
 Secteur S.A.U4 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à court
terme.
 Secteur S.A.U5 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à court
terme.
 Secteur S.A.U6 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à moyen
terme.
 Secteur S.A.U7 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération secondaire
MOUAFKIA – TEGAGRA à moyen terme.
 Secteur S.A.U8 : Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération secondaire CHOUIET
à court terme.

3.3 – Secteurs d’urbanisation future


Incluent les terrains destinés à être urbanisés à long terme, à un horizon de vingt (20) ans, aux
échéances prévues par le Plan Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme.
 Secteur S.U.F1 : Terrains destinés à l’Extension de la comme de CHLEF et la commune
de CHLEF à long terme.

3.4 – Secteurs non urbanisables


Sont ceux dans lesquels les droits de construire peuvent être soit proscrites, soit édictés mais
réglementés dans des proportions limitées, compatibles avec l’économie générales des
territoires de ces secteurs.
 Secteur S.N.U1 : Zone naturelle boisée (foret).
 Secteur S.N.U2 : Zone des exploitations agricoles qui constituent une richesse
économique non renouvelable (terres agricoles).
 Secteur S.N.U3 : Périmètre de sécurité et de protection de l'aéroport.

155
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS URBANISES

DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS S.U 1 ; S.U2 ; S.U 3 ; S.U 4 ;


S.U 5 ; S.U 6 ; S.U 7 ; S.U 8 ; S.U 9 ; S.U 10 ; S.U 11 ; S.U 12 ; S.U 13 ; S.U 14 ;
et S.U15
Surface Foncière : 3205,50 ha

A – CARACTERE DES SECTEURS : S.U 1 ; S.U2 ; S.U 3 ; S.U 4 ; S.U 5 ; S.U 6 ; S.U 7 ; S.U 8 ;
S.U 9 ; S.U 10 ; S.U 11 ; S.U 12 ; S.U 13 ; S.U 14 ; et S.U15.
Ce secteur concerne respectivement l’agglomération chef-lieu :
Cette agglomération est entourée de terres agricoles, et dont les constructions sont généralement
en Rez de Chaussé, parfois du R+1 ou du R+2.
Pour ce secteur, il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.
B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS :
ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS :
Sont interdits
 Les établissements industriels de troisièmes degrés ;
 Industries nuisibles à l’hygiène et au respect de l’environnement ;
 Les constructions ou installations qui par leur nature, leur importance ou leur aspect seraient
incompatibles avec la sécurité, la salubrité, la commodité ou le caractère du voisinage ;
 Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés :
 Les habitations de type individuelles, collectives et semi-collectives ;
 Des constructions à usage de bureaux et services à intégrer ;
 Des équipements collectifs compatibles avec l’habitat ;
 Des établissements à usage de commerces, services ou activité non nuisible ;
 Les travaux de confortation et d’agrandissement des bâtiments à usage d’habitation,
commerces et services existants ;
 Aucune construction ou lotissement ne pourra être engagé sans les autorisations prévues
par la législation en vigueur (permis de construire ou permis de lotir) ;
 L’aménagement des espaces publics, esplanade, placette etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL


ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE
 Pour être constructible, un terrain doit avoir un accès à partir d’une voie publique ou
privée. Les accès doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux
exigences de la sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.
 Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres ;
 Un accotement minimum de 1.20 m est prévu de part et d’autres des voies ;
 Les voies en impasse doivent être aménagées dans leur partie terminale de façon à
permettre aux véhicules privés et à ceux des services publics (lutte contre l’incendie et le
ramassage des ordures ménagères) ;

156
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Toute nouvelle construction doit être raccordée aux réseaux publics d’alimentation d’eau
potable, d’assainissement, d’électricité et de gaz conformément à la réglementation en vigueur et
aux dispositions techniques prévues pour les projets correspondants.
Réseau d’Assainissement
Toute nouvelle construction ou aménagement nouveau doit obligatoirement évacuer ses eaux
usées par canalisations souterraines au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Réseau d’Alimentation en Eau Potable
Toute nouvelle construction doit être accordée au réseau collectif de distribution d’eau potable. Le
branchement sur le réseau se fera obligatoirement aux points de branchements prévus à cet effet.
Réseau d’Electricité, Gaz et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique et du gaz
ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent
être réalisés en souterrain.
Les maîtres d’ouvrages devront se conformer aux prescriptions techniques des organismes
compétents.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 100 m², d’une
largeur de front de rue minimale de 8 mètres. La Forme recommandée pour les lots de terrain est
régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DESCONSTRUCTIONS PARRAPPORT AU DOMAINE PUBLIC


Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres minimum pour
les équipements et les bâtiments publics ;
La marge de recul pour les équipements sera aménagée par le maître de l’ouvrage et versée au
domaine public.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
L’implantation des constructions par rapport aux limites séparatives est à encourager.
Elle est recommandée le long des axes commerciaux.
En cas de retrait par rapport aux limites séparatives, la marge de recul sera au minimum égale à la
moitié des hauteurs construites avec un minimum de 4 mètres (elle est de 2 mètres dans le cas
d’un mur pignon sans ouvertures).

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions peuvent être contiguës ou séparées.
L’espace entre deux constructions contiguës devra être étanche et traité en joint sur toute la
hauteur.

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


Le coefficient d’emprise au sol (C.E.S) est le rapport entre la surface au sol hors œuvres et la
surface de la parcelle.

C.E.S = Surface bâtie /Surface Foncière


 Pour l’habitat individuel

157
L’emprise au sol maximale est fixée à :
 CES max = 100 % si la surface S ≤ 100 M²
 CES max = 70 % si 100 m² < surface S ≤ 200 m²
 CES max = 60% si 200 m² < surface S< 350 m²
 Pour les parcelles de terrain dont la surface S est supérieure à 350 m², l’emprise maximale du
bâti ne doit pas dépasser 200 m².
 Pour l’habitat collectif
. L’emprise maximale est selon la densité des logements
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est fixée est selon la densité des logements.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


- La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Les constructions neuves de toute nature doivent respecter l’échelle architecturale du domaine
bâti environnant et permettre l’établissement d’une cohérence de volumétrie entre l’ensemble des
bâtiments.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.

Murs et Façades
Les différents murs d’un bâtiment y compris les annexes qu’ils soient aveugles ou non, visibles ou
non de la voie publique, doivent être construits en matériaux de même nature ou ayant entre eux
une suffisante parenté d’aspect et de couleur.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.

Toitures
Sont interdites toutes couvertures en amiante ciment et tôle ondulée.

Clôtures
Lorsqu’une clôture s’impose pour des raisons de fonctionnement plusieurs cas se présentent.
1 – La clôture transparente
Elle sera constituée d’un soubassement plein de 50 à 80 cm au maximum surmonté d’un
élément ajouré de façon que la hauteur de l’ensemble n’excède pas 1,80 mètre.
2 – La clôture opaque
Elle sera constituée d’un mur opaque dont le revêtement extérieur sera un matériau
esthétique.
Il est recommandé les matériaux de texture suivants :
 Pierre de parement
 Enduit de ciment peint en couleur, intégré aux clôtures des constructions environnantes.
La hauteur du mur opaque sera fixée en fonction des clôtures environnantes afin de permettre
la perception de la continuité de façade.
La hauteur sera au maximum de 2,20 mètres.

158
Les aménagements des façades commerciales
Aucun élément de la devanture ne peut présenter une saillie supérieure à 16 cm.
Façades commerciales – Enseigne et publicité murale
Les enseignes lumineuses et publicitaires : Les sigles commerciaux peuvent être autorisés si leur
aspect, leur luminosité et leur réalisation ne présente pas de gène ou de risques pour la circulation
des piétons ou des automobilistes et qu’elles ne dénaturent pas le paysage environnant.
Traitement des façades
- Les traitements de façades doivent être individualisés par bâtiment ou groupe homogène de
bâtiments (îlot, rue, zone réglementaire).
- La forme et la taille des ouvertures restent à l’appréciation du ou des maîtres d’œuvres.
- Toutefois l’administration pourra tirer argument d’une meilleure intégration architecturale pour
demander une révision de formes ou de dimensions d’ouvertures.
- Les séchoirs à linge sont obligatoirement dérobés à la vue directe par des dispositifs appropriés

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Les projets de constructions nouvelles devront prévoir dans l’emprise foncière qu’ils occupent un
nombre de places de stationnement de véhicules conformes aux ratios suivants :
- Habitat Collectif : 1 Place pour 2 logements
- Construction à usage de bureaux : 1 Place pour 30 m² de plancher hors œuvre en sous-sol.
- Etablissement commercial : 1 Place pour 15 m² de surface de vente.
- Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysager urbain.
- Le traitement entre aires de circulation et places de stationnement devra être différencié.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces non construits sur les parcelles ou emprises foncières de grandes opérations à
concurrence de 50 % devront être accessibles aux véhicules automobiles et aménagés en
espaces verts avec obligation de plantation d’un arbre à haute tige au minimum par 50 m².

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassements et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

159
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR : S.U16 ; S.U17/ZA ; S.U18 ;
S.U19 ; S.U20 ; S.U21 et S.U22

A – CARACTERE DU SECTEUR : S.U16 ; S.U17/ZA (zone agro-alimentaire) ; S.U18 ; S.U20 ;


S.U21 et S.U22
Ce secteur concerne respectivement les agglomérations secondaires suivantes :
ERRAMLIA-EL MKHETERIA, CHEGGA-CHERAIT, EL AZAIZ-BRANCIA, MOIAFKIA-TEGAGRA
et CHOUIET.
Ces agglomérations sont tous entourées de terres agricoles, et dont les constructions sont
généralement en Rez de Chaussé ,parfois du R+1 ou du R+2.
Pour ce secteur il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.
B – NATURE DE L’OCCUPATION DES SOLS :

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Des établissements industriels de toute nature non compatible avec l’habitat.
 Des constructions présentant un caractère précaire.
 Des constructions à usage de dépôts et entrepôts.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés
 Habitat individuel et semi collectif.
 Les équipements publics et privé compatible avec l’habitat.
 Des constructions à usage commercial, services et activités artisanales non nuisibles.
 Les travaux de rénovation des constructions en mauvais état.
 La surélévation des constructions existantes à conditions qu’elles répondent aux normes
de sécurité et de construction.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


Pour être constructible un terrain doit avoir accès à partir d’une voie publique ou privée.
Les voies doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la
sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.
La largeur minimale de la voie est de 8 mètres.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée par canalisations souterraines au réseau
public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau collectif de distribution d’eau
potable.

160
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements aux lignes électriques ainsi
qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être
réalisés de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 100 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 8 mètres. La Forme recommandée pour les lots de terrain est
régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONSPAR RAPPORT AU DOMAINE PUBLIC


Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres minimum pour
les équipements et les bâtiments publics ;
La marge de recul pour les équipements sera aménagée par le maître de l’ouvrage et versée au
domaine public.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier des charges le prévoit
explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.
Les constructions non contiguës aux limites séparatives devront être édifiées de telle manière que
la distance de la construction aux limites séparatives soit au moins égale à la moitié de leurs
hauteurs, sans pour autant être inférieure à 4 mètres (minimum de 2 mètres dans le cas de murs
pignons sans ouvertures).

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

161
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
 Pour l’habitat individuel.
L’emprise au sol maximale est fixée à :
 100 % : si la surface S ≤ 100 M²
 70 % : si 100 m² < surface S ≤ 200 m²
 60 % : si 200 m² < surface S < 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S> 350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².

 Pour l’habitat semi collectif.


L’emprise au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale.
 Pour les équipements.
L’emprise au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


- La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme.

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100 m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aire de
jeux et de détente. Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


 L’habitat individuel
Le COS maximal est fixé à :
162
 COS = 3 : surface S ≤ à 100 m²
 COS = 2,1 : 100 m² < surface S ≤ 200 m²
 COS = 1,8 : surface S> 200 m²

 Pour l’habitat semi collectif


Le COS maximal est fixé à 2,00
 Pour les équipements
Le COS maximal est fixé à 1,5

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassements et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

163
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS A URBANISER

DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS : S.A.U 1 ; S.A.U 2 ; S.A.U 3


S.A.U 4 ; S.A.U 5 ET S.A.U 6
Surface Foncière : S.A.U1 = 133.30 ha ; S.A.U2 = 72 ha ; S.A.U3 = 278.30 ha
; S.A.U4 = 73.40 ha ; S.A.U5 = 106.40 ha ; S.A.U6 = 140.20 ha
Avec une Densité Brute = 60 logement / ha

A – CARACTERE DES SECTEURS S.A.U 1 ; S.A.U 2 et S.A.U 3


Il s’agit de terres proposées pour l’urbanisation. Ils représentent l’extension de l’agglomération
chef-lieu pour le court et moyen terme pour la réalisation de programmes de logements,
d’équipements et de services.
S.A.U1 : secteur à urbaniser à court terme de l’A C L.
S.A.U2 : secteur à urbaniser à court terme de l’A C L.
S.A.U3 : secteur à urbaniser à court terme de l’A C L.
S.A.U4 : secteur à urbaniser à court terme de l’A C L.
S.A.U5 : secteur à urbaniser à court terme de l’A C L.
S.A.U6 : secteur à urbaniser à moyen terme de l’A C L.
S.A.U7 : secteur à urbaniser à moyen terme de l’AS MOUAFKIA - TEGARGA.
S.A.U8 : secteur à urbaniser à court terme de l’AS CHOUIET.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les établissements industriels de toute nature.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement ;
 Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITION SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations à usage d’habitat semi collectif et collectif ;
 Les habitations à usage d’habitat individuel ;
 Les équipements collectifs ;
 Les constructions à usage de bureaux et services ;
 Les établissements à usage de commerces et ateliers d’artisanat compatibles avec
l’habitat.
 Les lotissements d'habitat individuels au ou le terrain s’avère de faible portance.
 Le mobilier urbain nécessaire pour l’aménagement des espaces publics, esplanade,
placette etc.

164
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


-Aucune autorisation de construire ne sera accordée sur les terrains qui ne seraient pas desservis
par des voies publiques dans des conditions répondant à l’importance et à la destination de la
construction qui doit être édifiée.
-La commodité des accès, la sécurité de la circulation ainsi que la circulation ainsi que l’approche
de matériel de lutte contre de l’incendie, doivent notamment être assurées hors des voies
publiques.
-Les chemins piétons doivent être conçus de telle façon à pouvoir supporter le passage des
véhicules de la protection civile, ambulances et camions d’éboueurs.
-Ces cheminements piétons ne seront pas conçus sous forme linéaire, mais doivent être ponctués
par des aires de jeux et équipés de bancs et de corbeilles à papiers.
-Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 150 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 9 mètres.
La forme recommandée pour les parcelles de terrain est régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres pour les
équipements et les bâtiments publics.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier de charges le prévoit explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES

165
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
 CES max = 100 %, si la surface S ≤ 100 m²
 CES max = 70 %, si 100 m² < surface S ≤ 200 m²
 CES max = 60 %, si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S> 350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².

 Pour l’habitat collectif


L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est fixée est selon la densité des logements.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Le parti architectural choisi pour les constructions devra s’harmoniser avec le contexte
environnant.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².

166
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aires de jeux
et de détente.
Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.
Mobilier urbain
Bancs : Veiller à intégrer les bancs et sièges au revêtement de sol et à l’ensemble des autres
aménagements paysagers. Les formes et matériaux doivent être étudiés.
Fontaines et bassins : Pour des raisons de sécurité, prévoir des bassins peu profonds (max 0,40
mètres), limités par des bordures arrondies.
Le revêtement au sol devra être rugueux (antidérapant) à proximité de ces installations.
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)
ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS
Les conditions de dépassement et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

167
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR D’URBANISATION FUTURE

DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR D’URBANISATION FUTURE S.U.F1


Surface Foncière : S.U.F1=230,60 ha

A – CARACTERE DU SECTEUR S.U.F1


-Il s’agit des terres proposées pour l’urbanisation. Ils représentent l’extension Du groupement
(CHLEF ET SENDJAS) pour le long terme pour la réalisation de programmes de logements,
d’équipements et de services.

B – NATURE DEL’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DESSOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les établissements industriels de toute nature.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement ;
 Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITION SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations à usage d’habitat semi collectif et collectif ;
 Les habitations à usage d’habitat individuel ;
 Les équipements collectifs ;
 Les constructions à usage de bureaux et services ;
 Les établissements à usage de commerces et ateliers d’artisanat compatibles avec
l’habitat.
 Les lotissements d'habitat individuels au ou le terrain s’avère de faible portance.
 Le mobilier urbain nécessaire pour l’aménagement des espaces publics, esplanade,
placette etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


-Aucune autorisation de construire ne sera accordée sur les terrains qui ne seraient pas desservis
par des voies publiques dans des conditions répondant à l’importance et à la destination de la
construction qui doit être édifiée.
-La commodité des accès, la sécurité de la circulation ainsi que la circulation ainsi que l’approche
de matériel de lutte contre de l’incendie, doivent notamment être assurées hors des voies
publiques.
-Les chemins piétons doivent être conçus de telle façon à pouvoir supporter le passage des
véhicules de la protection civile, ambulances et camions d’éboueurs.
-Ces cheminements piétons ne seront pas conçus sous forme linéaire, mais doivent être ponctués
par des aires de jeux et équipés de bancs et de corbeilles à papiers.
-Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


Assainissement

168
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 150 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 9 mètres.
La forme recommandée pour les parcelles de terrain est régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres pour les
équipements et les bâtiments publics.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier de charges le prévoit explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

169
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
 CES max = 100 %, si la surface S ≤ 100 m²
 CES max = 70 %, si 100 m² < surface S ≤ 200 m²
 CES max = 60 %, si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S> 350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².
 Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Le parti architectural choisi pour les constructions devra s’harmoniser avec le contexte
environnant.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.

170
ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES
Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aires de jeux
et de détente.
Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.
Mobilier urbain
Bancs : Veiller à intégrer les bancs et sièges au revêtement de sol et à l’ensemble des autres
aménagements paysagers. Les formes et matériaux doivent être étudiés.
Fontaines et bassins : Pour des raisons de sécurité, prévoir des bassins peu profonds (max 0,40
mètres), limités par des bordures arrondies.
Le revêtement au sol devra être rugueux (antidérapant) à proximité de ces installations.
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassement et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

171
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS NON URBANISABLES

DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR NU1


Surface Foncière : N U 1

A – CARACTERE DU SECTEUR NU1


Il s’agit d’une zone naturelle (un site à vocation forestière) à protéger en raison de sa qualité
paysagère.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Tout type de construction à usage d’habitation même à titre précaire et révocable ;
 Les établissements industriels de toutes natures et les dépôts ;
 les camps de campings sauvages ;
 l’exploitation des produits de forêts sans autorisation ;
 Les carrières et décharges publiques et privées ;
 Affouillement et exhaussement des sols ;
 Le défrichage sans autorisation ;
 Les équipements collectifs lourds ;
 L’incinération à l’aire libre ou dans les fours de tout objet ;
 L’abattage des arbres.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés
 L’installation des postes de vigie indispensables pour la surveillance permanente des forets ;
 Les installations légères nécessaires à l’équipement sportif et touristique ;
 L’ouverture de piste ;
 Aménagement d’aires de jeux, de loisirs et de détente ;
 Transport et distribution d’énergie ;
 Les ouvrages hydrauliques ;
 Station d’incinération ;
 Les installations légères servant de laboratoire pour les observations scientifiques et station
de détente ;
 Les allées coupe-feu pour la protection contre l’incendie.
 Les bâtiments à usage forestier liés à la sauvegarde et à la mise en valeur du secteur
forestier.
 Les projets d’aménagements de forêt récréative : Lieux de repos, Points d’eau, des circuits de
promenade, des pistes cyclables…etc.
 La réalisation de la zone de détente.

172
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


Néant

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


Néant

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Néant

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Néant

ARTICLE 07/ IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
Néant

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNE PAR RAPPORT AUX


AUTRES :
Néant

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


Néant

ARTICLE 10 / HAUTEURS DES CONSTRUCTIONS


Néant

ARTICLE 11/ ASPECT EXTERIEUR


Néant.

ARTICLE 12/ STATIONNEMENT


Néant.

ARTICLE 13/ PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Néant

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Néant

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Néant

173
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR SNU2

A – CARACTERE DU SECTEUR SNU2


Il s’agit d’un secteur naturel à protéger du fait de sa valeur agricole à potentialités élevées ou
bonnes .L’ensemble de ces zones constituent les secteurs non urbanisables dans lesquels les
droits à construire peuvent être édictées mais réglementées dans des proportions limitées. Tout
terrain destiné à l’exploitation agricole sous toutes ses formes et dit « terre agricole » même s’il est
laissé en jachère.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les constructions qui ne sont pas liées à l’exploitation agricole ;
 Les établissements industriels classés et les dépôts qui ne sont pas liés à l’exploitation
agricole ;
 Toute forme d’habitations, même à titre précaire et révocable sauf celles autorisées par
l’article 2 ci-dessous.
 Les équipements collectifs.
 Les décharges publiques et privées.
 Les cimetières.
 Les carrières et affouillement des sols

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATIONOU D’UTILISATIONDES SOLSSOUMIS A CONDITIONS


SPECIALES
Sont autorisés
 Les constructions et installations nécessaires à l’hydraulique et à l’exploitation agricole ;
 Les constructions d’habitation unifamiliale (liées à l’exploitation agricole) ;
 Les établissements liés à l’agriculture ou à l’élevage ;
 Les voiries et réseaux divers.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


Pour être constructible un terrain dont avoir un accès à partir d’une voie publique ou privée. Les
voies doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la sécurité,
de la défense contre l’incendie et de la protection civile.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


 A.E.P Toute construction ou installation nouvelle doit être raccordée au réseau
public d’adduction en eau potable.
 Assainissement Toute construction ou installation nouvelle doit être raccordée par
des canalisations souterraines au réseau public d’assainissement existant.
 Electricité et téléphone Pour toute construction et installation nouvelle, les
branchements au réseau électrique ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine
public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées de préférence en
souterrain.

174
ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN
Néant

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Néant

ARTICLE 07/ IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
Néant

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORTAUX


AUTRES
Néant

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


Se référer à l’arrêté interministériel du 13 Septembre 1992 relatif aux droits de construction
applicables aux territoires situés hors des parties urbanisées de communes.
 Normes applicables aux installations d’équipements liés à l’exploitation agricole

L’emprise des constructions nécessaires aux installations d’équipements liés à l’exploitation


agricole ne doit pas excéder le un cinquantième (1/50) de la propriété lorsque celle-ci est
inférieure à cinq (5) hectares.
Au-delà de cette fourchette, l’emprise est majorée de cinquante (50) mètres carrés par fraction
d’hectare supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité, l’emprise des constructions ne peut excéder le un
vingt cinquième (1/25) de la superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de
limites et de majoration.
 Normes applicables aux constructions à usage d’habitation

L’emprise des constructions à usage d’habitation ne doit pas excéder les deux cents cinquantième
(1/250) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure à cinq (5) hectares. Elle est
majorée de vingt (20) mètre carrés par fraction d’hectare supérieure pour les propriétés dont la
superficie est comprise entre cinq (5) et dix (10) hectares et au-delà, de dix(10) mètres carrés par
fraction d’hectare supérieure.

Pour les terres agricoles à faible potentialité et présentant contraintes topographiques, l’emprise
ne doit pas excéder le dixième (1/10) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure
à mille (1000) mètres carrés. Au-delà, elle est majorée de vingt (20) mètres carrés par fraction de
mille (1000) mètres carrés supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité autres que celles présentant de fortes contraintes
topographiques, l’emprise des constructions ne doit pas excéder le centième (1/100) de la
superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de limites et de majoration.

ARTICLE 10 / HAUTEURS DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11/ ASPECT EXTERIEUR


Néant.

ARTICLE 12/ STATIONNEMENT

175
Néant.

ARTICLE 13/ PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Néant.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Néant.

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Néant.

176
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR SNU3

A – CARACTERE DU SECTEUR SNU3 :

Il s’agit du secteur de périmètre de sécurité et de protection de l'aéroport.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

Article 01
Le périmètre définit de l’aéroport de la ville de Chlef situant dans la commune de Chlef, par une
superficie totale de : 136,2 ha.
Article 02
La zone de sécurité et de protection de l’aéroport de Chlef est définie comme suit :
1- Les zones situant le long de l’axe de piste 26/08 :
1-1 A l’Est de l’aéroport
- Jusqu’à 2 km de piste de décollage et d’une largeur de 400 m de part et d’autre de l’axe de
piste, toute construction est interdite.
- Entre 2 km et 3 km de piste de décollage 26 et d’une largeur de 500 m de part et d’autre de
l’axe de piste toutes les constructions ne devant pas dépasser la hauteur de 8 m maximum.
- Entre 3 km et 4 km dépiste de décollage 26 et d’une largeur de 700 m de part et d’autre de
l’axe de piste (lieudit Bolet el Hammam, Ouled Rouadhi) les constructions tolérer de hauteur
maximum 20 m.

2-2 A l’Ouest de l’aéroport


- Jusqu’à 2 km de piste de décollage 08 et d’une largeur de 400 m de part et d’autre
de l’axe de piste, toute construction est interdite.
- Entre 2 km et 3 km de piste de décollage 08 et d’une largeur de 500 m de part et d’autre de
l’axe de piste (lieudit Boket el Bransia) toutes les constructions ne devant pas dépasser la
hauteur de 8 m maximum.
- Entre 3 km et 4 km depiste de décollage 08 et d’une largeur de 700 m de part et d’autre de
l’axe de piste les constructions tolérer de hauteur maximum 20 m.
- En dors de 4 km le long de l’axe de piste, les constructions tolérer et leur hauteur
doivent être consulté par l’entreprise national de l’aéronautique (ANNA/DENA).
2- Les zones situées de part et d’autre de l’axe de piste 26/08
- Nord et sud de l’aéroport sur une bande de 470 m de part et d’autre de l’axe de
piste sur une longueur totale de 3000 m, toute réalisation ou construction non
autorisé.
- Hors 470 m de l’axe de piste, les réalisations sont limitées de hauteur 45 m
maximum, Just par rapport à la zone située au sud de l’aéroport après consultation
de l’entreprise national de l’aéronautique.

177
Article 03
Toute la construction ou implantation d’arbres à hauteur considérable sera soumise à l’avance à la
consultation à l’intérêt technique de l’entreprise national de l’aéronautique et cela tout le long du
périmètre de l’aéroport de Chlef définis dans l’article 02 cités en haut.

Article 04
Les personnes concernées par la zone de sécurité et de protection sont obligées de se conformer
aux dispositions de la présente résolution et chaque infraction subieà son propriétaire de prendre
une action judiciaire contre lui.

Article 05
Cette décision se publie dans deux journaux quotidiens (langue arabe et française) et afficher au
niveau de siège de la commune et toute les endroits alloués à cet effet.

Article 06
Attribué à chacun des éléments suivant : le secrétaire général de la wilaya,le directeur de
l’organisation et les affaire général, le directeur de transport, le directeur des travaux public, le
directeur de la construction et d’urbanisme, le directeur des domaines de l’état.Le directeur des
services agricole, le directeur du cadastre, le chef de daïra de Chlef, le chef de daïra de Ouled
Fares, le président du conseil populaire municipal de la commune de Chlef , le président du
conseil municipal de la commune de Chettia, le commandant du groupe de la gendarmerie
nationale , le président de la sureté wilaya et chacun selon ca spécialité, la mise en œuvre de la
présente résolution qui sera publier dans le code des contrats administratifs.

178
REGLEMENT DE LA ZONE DE DEPOT

A- Caractéristiques de la zone :
La zone de dépôt en question est située au Nord de l’agglomération de CHLEF, en dehors des
secteurs de l’urbanisation de l’agglomération.
Elle s’étend d’Est en Ouest sur une superficie de 88 ha.
Il s’agit d’une zone uni fonctionnelle à vocation d’entreposage.
Elle est limitée :
Au Nord par un cimetière et une forêt,
Au Sud par des terrains agricoles,
A l’Ouest par une forêt et des terrains agricoles,
A l’Est par des terrains agricoles.
L’installation dans cette zone est subordonnée à l’autorisation des services compétents.
B- Nature de l’occupation et de l’utilisation de sol à autoriser :

Article 1/ : NATURE DE L'OCCUPATION ET DE L'UTILISATION DE SOL A UTORISER :

Des constructions à usage d'habitation destinées au personnel dont la présence permanente est
nécessaire au bon fonctionnement et à la surveillance des édifices.
Les bâtiments de service et les annexes lies au bon fonctionnement des établissements de la
zone de dépôt.

Article 2/ : HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS :

Se référer à l’autorisation des services compétents.


Article 3/: OCCUPATION ET UTILISATION DE SOL INTERDITES :

Les habitations (à l'exception de celles strictement indispensables à la surveillance et la direction


des entreprises) exemple logements de fonction, construction à usage social.
Sont interdites toutes les constructions du sol autres que celle réservée à l'utilisation ou
à1'Implantation d'équipements d'intérêt général
L’autorisation des services compétents précise les types d'activités retenus et ceux qui ne sont
pas admis

Article 4/: COEFFICIENT D'OCCUPATION AU SOL (C.0.5) :

Le C.O.S maximum applicable est celui dont la valeur est fixée à 1.

Article 5/: COEFFICIENT D'EMPRISE AU SOL (C.E.S) :


L'emprise totale hors-œuvre de la construction principale ne dépasse pas 50% de la superficie du
terrain.

Article 6/ : IMPLANTATION DES CONSTRUCTION PAR RAPPORT AUX VOIS ET AU


DOMAINE PUBLIC :
Toutes les constructions devront être édifiées à la limite de la marge de recul définie par le plan de
lotissement.
Aucune construction ne peut être édifiée à moins de six mètres de l'axe de la voie sauf s'il s'agit
de lotissements ou d'ensembles d'habitations approuvées (article 11 décret 91-175).
Toutes les constructions devront être édifiées obligatoirement sur toute la hauteur.
Article 7/: IMPLANTATION DES CONSTRUCTION PAR RAPPORT AUX LIMITE
SEPARATIVES :

179
Les constructions doivent respecter les reculs prescrits selon l’autorisation des services
compétents.
Dans le souci d'harmonie, les constructions édifiées en limite séparative, devront si possible
s’accorder aux constructions voisines si celle-ci sont déjà implantées en limite.

Article 8/:IMPLANTA TION DES CONSTRUCTION LES UNES PAR RAPPORT AUX AUTRES:
L'implantation des constructions sera soumise aux conditions édictées par les services
compétents.

Article 9/:PARKING ETSTA TIONNEMENT:


Le stationnement des véhicules correspondant aux besoins des constructions et installations doit
être assuré en dehors de voies publiques.
- Entrepôts : 15% de la S. P. H.O (surface de planchers hors œuvres)
-Bureaux 60%de la S. P. H.O
Les établissements industriels et commerciaux devront également réserver sur les terrains les
emplacements nécessaires pour assurer toutes les opérations de chargement, déchargement et
manutention sans encombrer la voie publique. L’accès du parking réalisé dans la marge de
règlement devra obligatoirement se faire par l'intérieur de la propriété et non directement sur la
voie publique.
Article 10/:ESPA CE PA YSA GERS ET PLANTA TIONS :
Chaque lot doit comporter des surfaces libres aménagées en espace vert à raison de 5m 2par
emploi.
Article 11/ : VOIRIE :
Le plan d'aménagement devra indiquer la voirie et les circulations internes à chaque lot, ainsi que
leur accès et leur desserte par le réseau de voirie, en correspondance avec le schème général de
voirie et de circulation.

Article 12/:DESSERTE PAR LES RESEA UX :


Le long des rives des oueds ,sur une distance de trente (30) mètres à compter de la crête des
berges ,tout abattage d'arbres est interdit ,toutes constructions dans ces périmètres sont
proscrites .tous prélèvements de sable est formellement interdit.

180
2- REGLEMENT D’URBANISME DE LA COMMUNE DE SENDJAS

DISPOSITIONS GENERALES

ARTICLE 01 / CHAMP D’APPLICATION TERRITORIALE DU PLAN


Le présent règlement ainsi que les documents graphiques qui lui sont annexés s’appliquent au
territoire de la commune de SENDJAS .

ARTICLE 02 / PORTEE DU REGLEMENT


Le présent règlement fixera les règles applicables pour chaque secteur :
 Secteurs urbanisés S.U
 Secteurs à urbaniser S.A.U
 Secteurs d’urbanisation future S.U.F
 Secteurs non urbanisables S.N.U
A cette fin, il doit déterminer :
- La densité générale exprimée par le coefficient d’occupation des sols.
- La nature des activités qui peuvent être interdites ou soumises à des conditions
particulières.
- Les servitudes à maintenir, à modifier ou à créer.
- Les périmètres d’intervention des plans d’occupation des sols avec les termes de
références y afférents en faisant apparaître les zones d’intervention sur les tissus urbains
existants et ceux des zones à protéger.
- La localisation et la nature des grands équipements, des infrastructures, des services et
des activités.
Il définit en outre les conditions de constructions particulières applicables à certaines parties du
territoire.

ARTICLE 03 / DIVISION DU TERRITOIRE EN SECTEURS

Le territoire de la commune de SENDJAS est entièrement couvert par le plan directeur


d’aménagement et d’urbanisme est divisé en :
3.1 – Secteurs urbanisés
Incluent tous les terrains, même non dotés de toutes les viabilités, occupés par les constructions
agglomérées, par leurs espaces de prospect et par les emprises des équipements et activités
même non construits, espaces verts, surfaces libres, parcs et forets urbains , destinés à la
desserte de ces constructions agglomérées. Les secteurs urbanisés incluent également les parties
de territoire urbanisé à restructurer, à rénover, à restaurer et à protéger.
 Secteur S.U1 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U2: Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U3 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U4 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U5: Agglomération Secondaire BENI OUEDRENE (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U6: Agglomération Secondaire BENI OUEDRENE (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U7: Agglomération Secondaire KHELAILIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U8: Agglomération Secondaire OULED SI AHMED (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U9: Agglomération Secondaire SOUAMET (zone occupée par l’habitat et
équipements).

181
 Secteur S.U10 : Agglomération Secondaire AMAMRA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U11: Agglomération Secondaire OULED HENNI (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U12: Agglomération Secondaire CHERAIRIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U12: Agglomération Secondaire SI YOUCEF (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteurs S.U13et S.U14: Agglomération Secondaire SI YOUCEF (zone occupée par l’habitat
et équipements).

3.2 – Secteurs à urbaniser


Incluent les terrains destinés à être urbaniser à court et moyen terme, à un horizon de dix (10)
ans dans l’ordre de priorité prévue par le Plan Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme.
 Secteur S.A.U1: Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à court terme.
.(POS en cours de réalisation).
 Secteur S.A.U2 /ZA: zone d’activité
 Secteur S.A.U3 : AS BENI OUEDRENE

3.3 – Secteurs d’urbanisation future


Incluent les terrains destinés à être urbanisés à long terme, à un horizon de vingt (20) ans, aux
échéances prévues par le Plan Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme.
 Secteur S.U.F1: Terrains destinés à l’Extension de la comme de SENDJAS et la commune
de CHLEF à long terme.
 Secteur S.U.F2: Terrains destinés à l’Extension de la comme de SENDJAS et la commune
de CHLEF à long terme.
 Secteur S.U.F3: Terrains destinés à l’Extension de la comme de SENDJAS et la commune
de CHLEF à long terme.
 Secteur S.U.F4 : Terrains destinés à l’Extension de la comme de CHLEF à long terme.(AS
BENI OUEDERNE).

3.4 – Secteurs non urbanisables


Sont ceux dans lesquels les droits de construire peuvent être soit proscrites, soit édictés mais
réglementés dans des proportions limitées, compatibles avec l’économie générales des
territoires de ces secteurs.
 Secteur SNU 1 : composé de toute la zone forestière qui se trouve au Sud de la commune.
 S.N.U 2: Zone des exploitations agricoles qui constituent une richesse économique non
renouvelable (terres agricoles).

182
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS URBANISES

DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS S.U 1 ; S.U2, S.U3 et S.U4


Surface Foncière : 170ha

A – CARACTERE DES SECTEURS S.U1 ; S.U2 ,S.U3 et S.U4.


Pour ce secteur, il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
- Les établissements industriels de toute nature ;
- Tous les stockages, dépôts et entrepôts et d’une façon générale tous les dépôts de
déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de l’environnement ;
- Les constructions ou installations qui par leur nature, leur importance ou leur aspect
seraient incompatibles avec la sécurité, la salubrité, la commodité ou le caractère du
voisinage ;
- Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations de type individuelles, collectives et semicollectives ;
 Des constructions à usage de bureaux et services à intégrer ;
 Des équipements collectifs compatibles avecl’habitat ;
 Des établissements à usage de commerces, services et d’artisanat non nuisible ;
 Les travaux de confortation et d’agrandissement des bâtiments à usage d’habitation,
commerces et services existants ;
 Aucune construction ou lotissement ne pourra être engagé sans les autorisations prévues par
la législation en vigueur (permis de construire ou permis de lotir) ;
 L’aménagement des espaces publics, esplanade, placette etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


 Pour être constructible, un terrain doit avoir un accès à partir d’une voie publique ou privée.
Les accès doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la
sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.
 Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres ;
 Un accotement minimum de 1.20 m est prévu de part et d’autres des voies ;
 Les voies en impasse doivent être aménagées dans leur partie terminale de façon à
permettre aux véhicules privés et à ceux des services publics (lutte contre l’incendie et le
ramassage des ordures ménagères) ;

183
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Toute nouvelle construction doit être raccordée aux réseaux publics d’alimentation d’eau
potable, d’assainissement, d’électricité et de gaz conformément à la réglementation en vigueur et
aux dispositions techniques prévues pour les projets correspondants.

Réseau d’Assainissement
Toute nouvelle construction ou aménagement nouveau doit obligatoirement évacuer ses eaux
usées par canalisations souterraines au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Réseau d’Alimentation en Eau Potable
Toute nouvelle construction doit être accordée au réseau collectif de distribution d’eau potable. Le
branchement sur le réseau se fera obligatoirement aux points de branchements prévus à cet effet.
Réseau d’Electricité, Gaz et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseauélectrique et du gaz
ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent
être réalisés en souterrain.
Les maîtres d’ouvrages devront se conformer aux prescriptions techniques des organismes
compétents.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 100 m², d’une
largeur de front de rue minimale de 8 mètres. La Forme recommandée pour les lots de terrain est
régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DESCONSTRUCTIONS PARRAPPORT AU DOMAINE PUBLIC


Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres minimum pour
les équipements et les bâtiments publics ;
La marge de recul pour les équipements sera aménagée par le maître de l’ouvrage et versée au
domaine public.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
L’implantation des constructions par rapport aux limites séparatives est à encourager.
Elle est recommandée le long des axes commerciaux.
En cas de retrait par rapport aux limites séparatives, la marge de recul sera au minimum égale à la
moitié des hauteurs construites avec un minimum de 4 mètres (elle est de 2 mètres dans le cas
d’un mur pignon sans ouvertures).

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions peuvent être contiguës ou séparées.
L’espace entre deux constructions contiguës devra être étanche et traité en joint sur toute la
hauteur.

184
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
Le coefficient d’emprise au sol (C.E.S) est le rapport entre la surface au sol hors œuvres et la
surface de la parcelle.

C.E.S = Surface bâtie /Surface Foncière


 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
- CES max = 100 % si la surface S ≤ 100 M²
- CES max = 70 % si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- CES max = 60% si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S est supérieure à 350 m², l’emprise
maximale du bâti ne doit pas dépasser 200 m².
 Pour l’habitat collectif
L’emprise maximale au sol est selon la densité des logements.
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise maximale au sol est selon la densité.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Les constructions neuves de toute nature doivent respecter l’échelle architecturale du domaine
bâti environnant et permettre l’établissement d’une cohérence de volumétrie entre l’ensemble des
bâtiments.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Murs et Façades
Les différents murs d’un bâtiment y compris les annexes qu’ils soient aveugles ou non, visibles ou
non de la voie publique, doivent être construits en matériaux de même nature ou ayant entre eux
une suffisante parenté d’aspect et de couleur.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Toitures
Sont interdites toutes couvertures en amiante ciment et tôle ondulée.
Clôtures
Lorsqu’une clôture s’impose pour des raisons de fonctionnement plusieurs cas se présentent.
1 – La clôture transparente
Elle sera constituée d’un soubassement plein de 50 à 80 cm au maximum surmonté d’un
élément ajouré de façon que la hauteur de l’ensemble n’excède pas 1,80 mètre.
2 – La clôture opaque
Elle sera constituée d’un mur opaque dont le revêtement extérieur sera un matériau
esthétique.
Il est recommandé les matériaux de texture suivants :
 Pierre de parement
 Enduit de ciment peint en couleur, intégré aux clôtures des constructions environnantes.

185
La hauteur du mur opaque sera fixée en fonction des clôtures environnantes afin de permettre
la perception de la continuité de façade.
La hauteur sera au maximum de 2,20 mètres.
Les aménagements des façades commerciales
Aucun élément de la devanture ne peut présenter une saillie supérieure à 16 cm.
Façades commerciales – Enseigne et publicité murale
Les enseignes lumineuses et publicitaires : Les sigles commerciaux peuvent être autorisés si leur
aspect, leur luminosité et leur réalisation ne présente pas de gêne ou de risques pour la circulation
des piétons ou des automobilistes et qu’elles ne dénaturent pas le paysage environnant.
Traitement des façades
- Les traitements de façades doivent être individualisés par bâtiment ou groupe homogène de
bâtiments (îlot, rue, zone réglementaire).
- La forme et la taille des ouvertures restent à l’appréciation du ou des maîtres d’œuvres.
- Toutefois l’administration pourra tirer argument d’une meilleure intégration architecturale pour
demander une révision de formes ou de dimensions d’ouvertures.
- Les séchoirs à linge sont obligatoirement dérobés à la vue directe par des dispositifs appropriés

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Les projets de constructions nouvelles devront prévoir dans l’emprise foncière qu’ils occupent un
nombre de places de stationnement de véhicules conformes aux ratios suivants :
- Habitat Collectif : 1 Place pour 2 logements
- Construction à usage de bureaux : 1 Place pour 30 m² de plancher hors œuvre en sous-sol.
- Etablissement commercial : 1 Place pour 15 m² de surface de vente.
- Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysager urbain.
- Le traitement entre aires de circulation et places de stationnement devra être différencié.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces non construits sur les parcelles ou emprises foncières de grandes opérations à
concurrence de 50 % devront être accessibles aux véhicules automobiles et aménagés en
espaces verts avec obligation de plantation d’un arbre à haute tige au minimum par 50 m².

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassements et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

186
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR : S.U5 ; S.U6 ; S.U7 ; S.U8 ; S.U9 ;
S.U10 ; S.U11 et S.U14

A – CARACTERE DU SECTEUR : S.U4 ; S.U5; S.U6 ; S.U7 ; S.U8 ; S.U9 ; S.U10; S.U11et
S.U14
Ce secteur concerne respectivement les agglomérations secondaires suivantes :
AMAMRA, SOUAMET, BENI OUEDRENE, KHELAILIA, OULED SI AHMED, OULED HENNI,
CHERAIRIA et SI YOUCEF
Ces agglomérations sont tous entourées de terres agricoles, et dont les constructions sont
généralement en Rez deChaussé, parfois du R+1 ou du R+2.
Pour ce secteur il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.

B – NATURE DE L’OCCUPATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Des établissements industriels de toute nature non compatible avec l’habitat.
 Des constructions présentant un caractère précaire.
 Des constructions à usage de dépôts et entrepôts.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés
 Habitat individuel et semi collectif.
 Les équipements publics et privé compatible avec l’habitat.
 Des constructions à usage commercial, services et activités artisanales non nuisibles.
 Les travaux de rénovation des constructions en mauvais état.
 La surélévation des constructions existantes à conditions qu’elles répondent aux normes de
sécurité et de construction.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


Pour être constructible un terrain doit avoir accès à partir d’une voie publique ou privée.
Les voies doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la
sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.
La largeur minimale de la voie est de 8 mètres.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée par canalisations souterraines au réseau
public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.

Alimentation en eau potable


Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau collectif de distribution d’eau
potable.

187
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements aux lignes électriques ainsi
qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être
réalisés de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 100 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 8 mètres. La Forme recommandée pour les lots de terrain est
régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONSPAR RAPPORT AU DOMAINE PUBLIC


Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres minimum pour
les équipements et les bâtiments publics ;
La marge de recul pour les équipements sera aménagée par le maître de l’ouvrage et versée au
domaine public.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier des charges le prévoit
explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.
Les constructions non contiguës aux limites séparatives devront être édifiées de telle manière que
la distance de la construction aux limites séparatives soit au moins égale à la moitié de leurs
hauteurs, sans pour autant être inférieure à 4 mètres (minimum de 2 mètres dans le cas de murs
pignons sans ouvertures).

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


 Pour l’habitat individuel.
L’emprise au sol maximale est fixée à :
- 100 % : si la surface S ≤ 100 M²
- 70 % : si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- 60 % : si 200 m² < surface S < 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S>350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².
 Pour l’habitat semi collectif.
L’emprise au sol est selon la densité des logements.
 Pour les équipements.

188
L’emprise au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100 m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aire de
jeux et de détente. Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


 L’habitat individuel
Le COS maximal est fixé à :
- COS = 3 : surface S ≤ à 100 m²
- COS = 2,1 : 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- COS = 1,8 : surface S>200 m²

 Pour l’habitat semi collectif


Le COS maximal est fixé à 2,00

 Pour les équipements


Le COS maximal est fixé à 1,5

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassements et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

189
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS A URBANISER

DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS : S.A.U 1 et S.A.U3


Surface Foncière : S.A.U1 =38 ,30 ha+SAU3=4.25 ha
Avec une Densité Brute = 50 logement / ha

A – CARACTERE DES SECTEURS S.A.U 1 ; S.A.U 2 et S.A.U3


Il s’agit de terres proposées pour l’urbanisation. Il représente l’extension de l’agglomération chef-
lieu pour le court et moyen terme pour la réalisation de programmes de logements,
d’équipements et de services.
S.A.U1: secteur à urbaniser à court terme de l’A C L.
S.A.U3: secteur à urbaniser à court et moyen terme d’AS BENI OUEDERNE

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les établissements industriels de toute nature.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement ;
 Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITION SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations à usage d’habitat semi collectif et collectif ;
 Les habitations à usage d’habitat individuel ;
 Les équipements collectifs ;
 Les constructions à usage de bureaux et services ;
 Les établissements à usage de commerces et ateliers d’artisanat compatibles avec l’habitat.
 Les lotissements d'habitat individuels au ou le terrain s’avère de faible portance.
 Le mobilier urbain nécessaire pour l’aménagement des espaces publics, esplanade, placette
etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


-Aucune autorisation de construire ne sera accordée sur les terrains qui ne seraient pas desservis
par des voies publiques dans des conditions répondant à l’importance et à la destination de la
construction qui doit être édifiée.
-La commodité des accès, la sécurité de la circulation ainsi que la circulation ainsi que l’approche
de matériel de lutte contre de l’incendie, doivent notamment être assurées hors des voies
publiques.
-Les chemins piétons doivent être conçus de telle façon à pouvoir supporter le passage des
véhicules de la protection civile, ambulances et camions d’éboueurs.
-Ces cheminements piétons ne seront pas conçus sous forme linéaire, mais doivent être ponctués
par des aires de jeux et équipés de bancs et de corbeilles à papiers.
-Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres.

190
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 150 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 9 mètres.
La forme recommandée pour les parcelles de terrain est régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres pour les
équipements et les bâtiments publics.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier de charges le prévoit explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
- CES max = 100 %, si la surface S ≤ 100 m²
- CES max = 70 %, si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- CES max = 60 %, si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S>350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².

191
 Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Le parti architectural choisi pour les constructions devra s’harmoniser avec le contexte
environnant.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aires de jeux
et de détente.
Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.
Mobilier urbain
Bancs : Veiller à intégrer les bancs et sièges au revêtement de sol et à l’ensemble des autres
aménagements paysagers. Les formes et matériaux doivent être étudiés.
Fontaines et bassins : Pour des raisons de sécurité, prévoir des bassins peu profonds (max 0,40
mètres), limités par des bordures arrondies.
Le revêtement au sol devra être rugueux (antidérapant) à proximité de ces installations.

192
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassement et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

193
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR S.A.U2/Z.A
Surface Foncière :5 ha

A – CARACTERE DU SECTEUR Z.A

Il s’agit des terres proposées pour une zone d’activité.


Pour ce secteur il est prévu un aménagement conformément à un cahier de charge prédéfini :
-la préservation des aménagements urbains et paysagers.
-l’intégration des volumes au site.
-la qualité architecturale des constructions.
-la réalisation des parkings et aires de stockages à l’intérieur des parcelles hors de la vue des
passants.
-l’élimination des risques importants de nuisances et de pollution.
L’installation dans ces zones est subordonnée à l’établissement d’un cahier des charges et
d’un règlement de construction, de même que l’évacuation des déchets doivent obéir à la
réglementation des zones industrielles.

B – NATURE DE L’OCCUPATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les constructions à usage d’habitation dont l’usage n’est pas lié au fonctionnement de la
zone.
 Les constructions à légères à usage précaire .
 L’affouillement de sol en vue de l’extraction de matériaux de constructions.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement.
 Les établissements présentant des dangers importants pour la sécurité des installations
voisines.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS


Occupation des sols autorisés
 Les parcelles de ce secteur sont affectés exclusivement à des bâtiments à usage
industriel destinées à l’activité de production, de transformation, entretien, réparation et
entrepôts ,ainsi qu’aux services et activités annexes qui y sont liés :
- Locaux de gardiennage et de sécurité
- Locaux à usage de bureaux nécessaires au fonctionnement de l’unité
économique.
 Sont autorisés sous conditions les constructions à usage d’habitation destinées au
personnel dont la présence permanente sont nécessaires au bon fonctionnement et à la
surveillance des établissements.
Occupation des sols soumis à des conditions spéciales
- Sont soumises à autorisation spéciales conformément aux dispositions du code
de la santé et à la loi relative à la protection de l’environnement et à la
promotion de la santé,les constructions d’établissements classés dangereux,
insalubres et incommodes.
- Les installations soumises à autorisation préalables et leurs extension.

194
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


- Chaque parcelle doit avoir au maximum deux accès mécaniques.
- L’accès des parcelles ne doit pas sous peine de sanctions entraver ni gêner la
circulation
- L’accès mécanique doit être disposé de manière à permettre au poids lourd
d’accéder à la parcelle en marche avant sans effectuer de manœuvres sur la
voie publique.
- L’aménagement à l’intérieur des parcelles doit aussi permettre au poids lourd
de sortir en marche avant.
La largeur minimale des voies mécaniques est de 8 mètres.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


 A.E.P L’installation peut être raccordée au réseau de distribution d’eau potable qui doit
avoir les caractéristiques nécessaire (débit de point et pression) pour être suffisant.
Le propriétaire doit mettre en œuvre les moyens de recyclage des eaux utilisées pour
minimiser la consommation d’eau potable à partir du réseau public.
Prévoir des bouches d’incendie qui couvre un rayon de 200m
 Assainissement L’installation doit être raccordée par des canalisations souterraines, au
réseau collectif d’assainissement.
-Il est interdit d’installer à l’intérieur de la parcelle des fosses septiques.
-Il est interdit de rejeter dans le réseau d’eaux usées, avant traitement, tout produit polluant en
suspension, en émulsion où en solution moléculaire ou ionique, et toute matière inflammable
explosive, radioactive ou toxique.
-Il est interdit de déverser dans les ouvrages d’évacuation, toute matière solide, liquide ou
gazeuse susceptible d’être la cause d’accident pour le personnel, dégradation des ouvrages ou
gène de fonctionnement.
-Le propriétaire de l’installation industrielle doit s’engager à prévoir un système de
prétraitement de ses eaux résiduelles avant le rejet dans le réseau public d’assainissement.
-L’entretien de l’installation de prétraitement est à la charge du propriétaire qui s’oblige à la
maintenir en bon état de fonctionnement.
-Les eaux pluviales et de ruissellement devront être évacuées a partir d’un réseau séparatif.
 Electricité et téléphone Pour toute construction ou installation nouvelle, les
branchements aux lignes électriques ainsi qu’au réseau téléphonique est nécessaire.

ARTICLE 5 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Se référer aux clauses du cahier des charges.

ARTICLE 6 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE PUBLIC


Les constructions doivent avoir une marge de retrait minimum de trois mètre par rapport aux
limites de l’emprise de la voie publique, sauf dans le cas de la proximité d’une route nationale
ou le retrait doit être fixé par le ministère des travaux publics.

ARTICLE 7 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
Les constructions doivent respecter les reculs prescrits dans le cahier des charges du lotissement
industriel.

ARTICLE 8 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX AUTRES


L’écartement entre deux bâtiments doit être supérieur ou égale à la hauteur des bâtiments le plus
haut sans être inférieure à trois mètres.

195
ARTICLE9 / EMPRISE AU SOL (C.E.S)
Se référer aux clauses du cahier des charges.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


Se référer aux clauses du cahier des charges.

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR ET CLOTURE


Les bâtiments et annexes doivent participer à une même composition architecturale par leur
volume et leur traitement.
Les constructions doivent être orientés de manière à présenter des façades esthétiques du
côté des accès.
L’édification des constructions est soumise à la législation du permis de construire.
Le propriétaire doit obligatoirement édifier sa clôture en limite avec la voie publique d’une part et
avec les parcelles mitoyennes d’autre part et qui aura 2,20m de hauteur et ceci sera spécifié dans
le dossier soumis à l’agrément.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT ET AIRES DE STOCKAGE


Les aires de stationnement devront être prévues à l’intérieur de la parcelle, et tout stationnement,
chargement et déchargement sur la voie publique est strictement interdit.
Le stationnement des véhicules (correspondant aux besoins des constructions et installations) doit
être assuré en dehors des voies publiques.
Industrie et entrepôts : 15 % de la S.P.H.O (surface de planchers hors œuvres) bureau 60 % de la
S.P.H.O.
Les établissements industriels et commerciaux devront également réserver sur les terrains les
emplacements nécessaires pour assurer toutes les opérations du chargement, déchargement et
manutention sans encombrer la voie publique.
L’accès des parkings réalisés dans la marge du règlement devra obligatoirement se faire par
l’intérieur de la propriété et non directement sur la voie publique.
Le propriétaire n’est pas autorisé à créer des dépôts de résidus industriels sur son terrain, ces
résidus doivent être évacués régulièrement, néanmoins on peut autoriser la création d’aires de
stockage de matières, nécessaires au fonctionnement de l’entreprise tout en laissant des accès
assez faciles pour les services d’hygiène et sécurité en tout point de l’entreprise.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Après avoir prévu les voies d’accès, aires de manœuvres, parkings et aires de stockages
nécessaires, le reste de la parcelle doit être traité en espace vert et éventuellement plantes
d’arbres.

D-POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le C.O.S maximum applicable se réfère aux clauses du cahier des charges des lotissements
industriels à défaut.

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Néant.

196
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR A URBANISATION FUTURE

DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR A URBANISATION


FUTURE S.U.F1 ; S.U.F2 ; S.UF3 et S.U.F4
Surface Foncière : S.U.F1=14.50ha, S.U.F2 =5.4 ha et S.U.F3=19,80 ha,et
S.U.F4=43 ,80ha

A – CARACTERE DU SECTEUR S.U.F1 et S.U.F2


-Il s’agit des terres proposées pour l’urbanisation. Ils représentent l’extension Du groupement
(SENDJAS et CHLEF) pour le long terme pour la réalisation de programmes de logements,
d’équipements et de services.

B – NATURE DEL’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DESSOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les établissements industriels de toute nature.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement ;
 Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITION SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations à usage d’habitat semi collectif et collectif ;
 Les habitations à usage d’habitat individuel ;
 Les équipements collectifs ;
 Les constructions à usage de bureaux et services ;
 Les établissements à usage de commerces et ateliers d’artisanat compatibles avec l’habitat.
 Les lotissements d’habitat individuels au ou le terrain s’avère de faible portance.
 Le mobilier urbain nécessaire pour l’aménagement des espaces publics, esplanade, placette
etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


-Aucune autorisation de construire ne sera accordée sur les terrains qui ne seraient pas desservis
par des voies publiques dans des conditions répondant à l’importance et à la destination de la
construction qui doit être édifiée.
-La commodité des accès, la sécurité de la circulation ainsi que la circulation ainsi que l’approche
de matériel de lutte contre de l’incendie, doivent notamment être assurées hors des voies
publiques.
-Les chemins piétons doivent être conçus de telle façon à pouvoir supporter le passage des
véhicules de la protection civile, ambulances et camions d’éboueurs.
-Ces cheminements piétons ne seront pas conçus sous forme linéaire, mais doivent être ponctués
par des aires de jeux et équipés de bancs et de corbeilles à papiers.
-Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres.

197
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 150 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 9 mètres.
La forme recommandée pour les parcelles de terrain est régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres pour les
équipements et les bâtiments publics.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier de charges le prévoit explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
- CES max = 100 %, si la surface S ≤ 100 m²
- CES max = 70 %, si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- CES max = 60 %, si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S>350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².

198
 Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise au sol maximale estselon la densité des logements.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


- La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Le parti architectural choisi pour les constructions devra s’harmoniser avec le contexte
environnant.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².

199
Aménagement des parkings

-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aires de jeux
et de détente.
Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.
Mobilier urbain
Bancs : Veiller à intégrer les bancs et sièges au revêtement de sol et à l’ensemble des autres
aménagements paysagers. Les formes et matériaux doivent être étudiés.
Fontaines et bassins : Pour des raisons de sécurité, prévoir des bassins peu profonds (max 0,40
mètres), limités par des bordures arrondies.
Le revêtement au sol devra être rugueux (antidérapant) à proximité de ces installations.
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassement et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

200
DISPOSITIONS APPLICABLES AUXSECTEURS NON URBANISABLES

DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR NU1


Surface Foncière : N U 1

A – CARACTERE DU SECTEUR NU1


Il s’agit d’une zone naturelle (un site à vocation forestière) à protéger en raison de sa qualité
paysagère.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Tout type de construction à usage d’habitation même à titre précaire est révocable ;
 Les établissements industriels de toutes natures et les dépôts ;
 les camps de campings sauvages ;
 l’exploitation des produits de forêts sans autorisation ;
 Les carrières et décharges publiques et privées ;
 Affouillement et exhaussement des sols ;
 Le défrichage sans autorisation ;
 Les équipements collectifs lourds ;
 L’incinération à l’aire libre ou dans les fours de tout objet ;
 L’abattage des arbres.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés
 L’installation des postes de vigie indispensables pour la surveillance permanente des forets ;
 Les installations légères nécessaires à l’équipement sportif et touristique ;
 L’ouverture de piste ;
 Aménagement d’aires de jeux, de loisirs et de détente ;
 Transport et distribution d’énergie ;
 Les ouvrages hydrauliques ;
 Station d’incinération ;
 Les installations légères servant de laboratoire pour les observations scientifiques et station
de détente ;
 Les allées coupe-feu pour la protection contre l’incendie.
 Les bâtiments à usage forestier liés à la sauvegarde et à la mise en valeur du secteur
forestier.
 Les projets d’aménagements de forêt récréative : Lieux de repos, Points d’eau, des circuits de
promenade, des pistes cyclables…etc.
 La réalisation de la zone de détente.

201
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL
ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE
Néant

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


Néant

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Néant

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Néant

ARTICLE 07/ IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
Néant

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNE PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Néant

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


Néant

ARTICLE 10 / HAUTEURS DES CONSTRUCTIONS


Néant

ARTICLE 11/ ASPECT EXTERIEUR


Néant.

ARTICLE 12/ STATIONNEMENT

Néant.

ARTICLE 13/ PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Néant

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Néant

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Néant

202
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR SNU2

A – CARACTERE DU SECTEUR NU2


Il s’agit d’un secteur naturel à protéger du fait de sa valeur agricole à potentialités élevées ou
bonnes .L’ensemble de ces zones constituent les secteurs non urbanisables dans lesquels les
droits à construire peuvent être édictées mais réglementées dans des proportions limitées. Tout
terrain destiné à l’exploitation agricole sous toutes ses formes et dit « terre agricole » même s’il est
laissé en jachère.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS :

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les constructions qui ne sont pas liées à l’exploitation agricole ;
 Les établissements industriels classés et les dépôts qui ne sont pas liés à l’exploitation
agricole ;
 Toute forme d’habitations, même à titre précaire est révocable sauf celles autorisées par
l’article 2 ci-dessous.
 Les équipements collectifs.
 Les décharges publiques et privées.
 Les cimetières.
 Les carrières et affouillement des sols

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATIONOU D’UTILISATIONDES SOLSSOUMIS A CONDITIONS


SPECIALES
Sont autorisés
 Les constructions et installations nécessaires à l’hydraulique et à l’exploitation agricole ;
 Les constructions d’habitation unifamiliale (liées à l’exploitation agricole) ;
 Les établissements liés à l’agriculture ou à l’élevage ;
 Les voiries et réseaux divers.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


Pour être constructible un terrain dont avoir un accès à partir d’une voie publique ou privée. Les
voies doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la sécurité,
de la défense contre l’incendie et de la protection civile.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


 A.E.P Toute construction ou installation nouvelle doit être raccordée au réseau public
d’adduction en eau potable.
 Assainissement Toute construction ou installation nouvelle doit être raccordée par des
canalisations souterraines au réseau public d’assainissement existant.
 Electricité et téléphone Pour toute construction et installation nouvelle, les
branchements au réseau électrique ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine
public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées de préférence en
souterrain.

203
ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN
Néant

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Néant

ARTICLE 07/ IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
Néant

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Néant

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


Se référer à l’arrêté interministériel du 13 Septembre 1992 relatif aux droits de construction
applicables aux territoires situés hors des parties urbanisées de communes.
- Normes applicables aux installations d’équipements liés à l’exploitation agricole

L’emprise des constructions nécessaires aux installations d’équipements liés à l’exploitation


agricole ne doit pas excéder le un cinquantième (1/50) de la propriété lorsque celle-ci est
inférieure à cinq (5) hectares.
Au-delà de cette fourchette, l’emprise est majorée de cinquante (50) mètres carrés par fraction
d’hectare supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité, l’emprise des constructions ne peut excéder le un
vingt cinquième (1/25) de la superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de
limites et de majoration.
- Normes applicables aux constructions à usage d’habitation

L’emprise des constructions à usage d’habitation ne doit pas excéder les deux cents cinquantième
(1/250) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure à cinq (5) hectares. Elle est
majorée de vingt (20) mètre carrés par fraction d’hectare supérieure pour les propriétés dont la
superficie est comprise entre cinq (5) et dix (10) hectares et au-delà, de dix(10) mètres carrés par
fraction d’hectare supérieure.

Pour les terres agricoles à faible potentialité et présentant contraintes topographiques, l’emprise
ne doit pas excéder le dixième (1/10) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure
à mille (1000) mètres carrés. Au-delà, elle est majorée de vingt (20) mètres carrés par fraction de
mille (1000) mètres carrés supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité autres que celles présentant de fortes contraintes
topographiques, l’emprise des constructions ne doit pas excéder le centième (1/100) de la
superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de limites et de majoration.

ARTICLE 10 / HAUTEURS DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11/ ASPECT EXTERIEUR


Néant.

ARTICLE 12/ STATIONNEMENT


Néant.

204
ARTICLE 13/ PLANTATION DES ESPACES LIBRES
Néant.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Néant.

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Néant.

205
3- REGLEMENT D’URBANISME DE LA COMMUNE DE OUM-DROU

DISPOSITIONS GENERALES

ARTICLE 01 / CHAMP D’APPLICATION TERRITORIALE DU PLAN


Le présent règlement ainsi que les documents graphiques qui lui sont annexés s’appliquent au
territoire de la commune de OUM DROU.

ARTICLE 02 / PORTEE DU REGLEMENT


Le présent règlement fixera les règles applicables pour chaque secteur :
 Secteurs urbanisés S.U
 Secteurs à urbaniser S.A.U
 Secteurs non urbanisables S.N.U
A cette fin, il doit déterminer :
- La densité générale exprimée par le coefficient d’occupation des sols.
- La nature des activités qui peuvent être interdites ou soumises à des conditions
particulières.
- Les servitudes à maintenir, à modifier ou à créer.
- Les périmètres d’intervention des plans d’occupation des sols avec les termes de
références y afférents en faisant apparaître les zones d’intervention sur les tissus urbains
existants et ceux des zones à protéger.
- La localisation et la nature des grands équipements, des infrastructures, des services et
des activités.
Il définit en outre les conditions de constructions particulières applicables à certaines parties du
territoire.

ARTICLE 03 / DIVISION DU TERRITOIRE EN SECTEURS


Le territoire de la commune de OUM DROU est entièrement couvert par le plan directeur
d’aménagement et d’urbanisme est divisé en :
3.1 – Secteurs urbanisés Incluent tous les terrains, même non dotés de toutes les viabilités,
occupés par les constructions agglomérées, par leurs espaces de prospect et par les emprises
des équipements et activités même non construits, espaces verts, surfaces libres, parcs et forets
urbains , destinés à la desserte de ces constructions agglomérées. Les secteurs urbanisés
incluent également les parties de territoire urbanisé à restructurer, à rénover, à restaurer et à
protéger.
 Secteur S.U1 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U2: zone d’activités existante au niveau de l’ A.C.L.
 Secteur S.U3 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U4 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U5 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U6 : Agglomération chef-lieu (zone occupée par l’habitat et équipements).
 Secteur S.U7 : Agglomération Secondaire GUELAFTIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U8: Agglomération Secondaire MAIZIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U9: Agglomération Secondaire REZAMA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U10: Agglomération Secondaire BESSAKRA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U11: Agglomération Secondaire HEMAISSIA (zone occupée par Zone d’activité).

206
 Secteur S.U12: Agglomération Secondaire HEMAISSIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U13: Agglomération Secondaire HEMAISSIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U14: Agglomération Secondaire MENASSERIA (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U15: Agglomération Secondaire EL HAMMAM (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U16: Agglomération Secondaire OULED GHAZI (zone occupée par l’habitat et
équipements).
 Secteur S.U17: Agglomération Secondaire CHEKALIL EL HAMMAM (zone occupée par
l’habitat et équipements).

3.2 – Secteurs à urbaniser Incluent les terrains destinés à être urbaniser à court et moyen
terme, à un horizon de trois (03) ans dans l’ordre de priorité prévue par le Plan Directeur
d’Aménagement et d’Urbanisme.
 Secteur S.A.U1 : Terrain destiné à l’urbanisation au niveau de l’A C L.
 Secteur S.A.U2: Terrains destinés à l’Extension de l’agglomération chef-lieu à moyen terme.

3.3 – Secteurs non urbanisables Sont ceux dans lesquels les droits de construire peuvent être
soit proscrites, soit édictés mais réglementés dans des proportions limitées, compatibles avec
l’économie générales des territoires de ces secteurs.
 Secteur S.N.U2 : Zone des exploitations agricoles qui constituent une richesse économique
non renouvelable (terres agricoles).

207
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS URBANISES

DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS S.U 1 ; S.U3 S.U4 et S.U5


Surface Foncière : 182,8 ha

A – CARACTERE DES SECTEUR : S.U1 S.U3 S.U4 S.U4 S.U5 ET S.U6


L’agglomération chef-lieu est une ancienne ville coloniale à laquelle sont venues se greffer les
nouvelles constructions tel que l’habitat collectif, les lotissements d’habitat individuel el les
équipements.
Pour ce secteur, il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
- Les établissements industriels de toute nature ;
- Tous les stockages, dépôts et entrepôts et d’une façon générales tous les dépôts de
déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de l’environnement ;
- Les constructions ou installations qui par leur nature, leur importance ou leur aspect
seraient incompatibles avec la sécurité, la salubrité, la commodité ou le caractère du
voisinage ;
- Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations de type individuelles, collectives et semi collectives;
 Des constructions à usage de bureaux et services à intégrer ;
 Des équipements collectifs compatibles avec l’habitat;
 Des établissements à usage de commerces, services et d’artisanat non nuisible;
 Les travaux de confortation et d’agrandissement des bâtiments à usage d’habitation,
commerces et services existants ;
 Aucune construction ou lotissement ne pourra être engagé sans les autorisations prévues par
la législation en vigueur (permis de construire ou permis de lotir) ;
 L’aménagement des espaces publics, esplanade, placette etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


 Pour être constructible, un terrain doit avoir un accès à partir d’une voie publique ou privée.
Les accès doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la
sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.
 Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres ;
 Un accotement minimum de 1.20 m est prévu de part et d’autres des voies ;
 Les voies en impasse doivent être aménagées dans leur partie terminale de façon à
permettre aux véhicules privés et à ceux des services publics (lutte contre l’incendie et le
ramassage des ordures ménagères) ;

208
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX

Toute nouvelle construction doit être raccordée aux réseaux publics d’alimentation d’eau
potable, d’assainissement, d’électricité et de gaz conformément à la réglementation en vigueur et
aux dispositions techniques prévues pour les projets correspondants.
Réseau d’Assainissement
Toute nouvelle construction ou aménagement nouveau doit obligatoirement évacuer ses eaux
usées par canalisations souterraines au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Réseau d’Alimentation en Eau Potable
Toute nouvelle construction doit être accordée au réseau collectif de distribution d’eau potable. Le
branchement sur le réseau se fera obligatoirement aux points de branchements prévus à cet effet.
Réseau d’Electricité, Gaz et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseauélectrique et du gaz
ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent
être réalisés en souterrain.
Les maîtres d’ouvrages devront se conformer aux prescriptions techniques des organismes
compétents.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 100 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 8 mètres. La Forme recommandée pour les lots de terrain est
régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DESCONSTRUCTIONS PARRAPPORT AU DOMAINE PUBLIC


Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres minimum pour
les équipements et les bâtiments publics ;
La marge de recul pour les équipements sera aménagée par le maître de l’ouvrage et versée au
domaine public.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
L’implantation des constructions par rapport aux limites séparatives est à encourager.
Elle est recommandée le long des axes commerciaux.
En cas de retrait par rapport aux limites séparatives, la marge de recul sera au minimum égale à la
moitié des hauteurs construites avec un minimum de 4 mètres (elle est de 2 mètres dans le cas
d’un mur pignon sans ouvertures).

209
ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX
AUTRES
Des constructions peuvent être contiguës ou séparées.
L’espace entre deux constructions contiguës devra être étanche et traité en joint sur toute la
hauteur.

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


Le coefficient d’emprise au sol (C.E.S) est le rapport entre la surface au sol hors œuvres et la
surface de la parcelle.
C.E.S = Surface bâtie /Surface Foncière
 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
- CES max = 100 % si la surface S =100 M²
- CES max = 70 % si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- CES max = 60% si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S est supérieure à 350 m², l’emprise
maximale du bâti ne doit pas dépasser 200 m².

 Pour l’habitat collectif


L’emprise maximale au sol est selon la densité des logements.
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise maximale au sol est selon la densité.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Les constructions neuves de toute nature doivent respecter l’échelle architecturale du domaine
bâti environnant et permettre l’établissement d’une cohérence de volumétrie entre l’ensemble des
bâtiments.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.

210
Murs et Façades
Les différents murs d’un bâtiment y compris les annexes qu’ils soient aveugles ou non, visibles ou
non de la voie publique, doivent être construits en matériaux de même nature ou ayant entre eux
une suffisante parenté d’aspect et de couleur.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Toitures
Sont interdites toutes couvertures en amiante ciment et tôle ondulée.
Clôtures
Lorsqu’une clôture s’impose pour des raisons de fonctionnement plusieurs cas se présentent.
1 – La clôture transparente
Elle sera constituée d’un soubassement plein de 50 à 80 cm au maximum surmonté d’un
élément ajouré de façon que la hauteur de l’ensemble n’excède pas 1,80 mètre.
2 – La clôture opaque
Elle sera constituée d’un mur opaque dont le revêtement extérieur sera un matériau
esthétique.
Il est recommandé les matériaux de texture suivants :
 Pierre de parement
 Enduit de ciment peint en couleur, intégré aux clôtures des constructions environnantes.
La hauteur du mur opaque sera fixée en fonction des clôtures environnantes afin de permettre
la perception de la continuité de façade.
La hauteur sera au maximum de 2,20 mètres.
Les aménagements des façades commerciales
Aucun élément de la devanture ne peut présenter une saillie supérieure à 16 cm.
Façades commerciales – Enseigne et publicité murale
Les enseignes lumineuses et publicitaires : Les sigles commerciaux peuvent être autorisés si leur
aspect, leur luminosité et leur réalisation ne présente pas de gène ou de risques pour la circulation
des piétons ou des automobilistes et qu’elles ne dénaturent pas le paysage environnant.
Traitement des façades
- Les traitements de façades doivent être individualisés par bâtiment ou groupe homogène de
bâtiments (îlot, rue, zone réglementaire).
- La forme et la taille des ouvertures restent à l’appréciation du ou des maîtres d’œuvres.
- Toutefois l’administration pourra tirer argument d’une meilleure intégration architecturale pour
demander une révision de formes ou de dimensions d’ouvertures.
- Les séchoirs à linge sont obligatoirement dérobés à la vue directe par des dispositifs appropriés.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Les projets de constructions nouvelles devront prévoir dans l’emprise foncière qu’ils occupent un
nombre de places de stationnement de véhicules conformes aux ratios suivants :
- Habitat Collectif : 1 Place pour 2 logements
- Construction à usage de bureaux : 1 Place pour 30 m² de plancher hors œuvre en sous-sol.
- Etablissement commercial : 1 Place pour 15 m² de surface de vente.
- Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysager urbain.
- Le traitement entre aires de circulation et places de stationnement devra être différencié.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces non construits sur les parcelles ou emprises foncières de grandes opérations à
concurrence de 50 % devront être accessibles aux véhicules automobiles et aménagés en
espaces verts avec obligation de plantation d’un arbre à haute tige au minimum par 50 m².

211
D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassements et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

212
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR S.U2 et S.U11
Surface Foncière :S.U2=23 ha et S.U11=21,40 ha

A – CARACTERE DU SECTEUR S.U2 et S.U11


Ce secteur concerne la zone d’activités d’OUM DROU se trouvant à l’Est de l’A.C.L.et AS
HEMAISSIA
Pour ce secteur il est prévu une restructuration avec amélioration urbaine en respectant :
-la préservation des aménagements urbains et paysagers.
-l’intégration des volumes au site.
-la qualité architecturale des constructions.
-la réalisation des parking et aires de stockages à l’intérieur des parcelles hors de la vue
des passants.
-l’élimination des risques importants de nuisances et de pollution.
L’installation dans ces zones est subordonnée à l’établissement d’un cahier des charges et
d’un règlement de construction, de même que l’évacuation des déchets doivent obéir à la
réglementation des zones industrielles.

B – NATURE DE L’OCCUPATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS :


Sont interdits
 Les constructions à usage d’habitation dont l’usage n’est pas lié au fonctionnement de la
zone.
 Les constructions à légères à usage précaire .
 L’affouillement de sol en vue de l’extraction de matériaux de constructions.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement.
 Les établissements présentant des dangers importants pour la sécurité des installations
voisines.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS


Occupation des sols autorisés
 Les parcelles de ce secteur sont affectés exclusivement à des bâtiments à usage
industriel destinées à l’activité de production, de transformation, entretien, réparation et
entrepôts ,ainsi qu’aux services et activités annexes qui y sont liés :
- Locaux de gardiennage et de sécurité
- Locaux à usage de bureaux nécessaires au fonctionnement de l’unité
économique.
 Sont autorisés sous conditions les constructions à usage d’habitation destinées au
personnel dont la présence permanente sont nécessaires au bon fonctionnement et à la
surveillance des établissements.
Occupation des sols soumis à des conditions spéciales
- Sont soumises à autorisation spéciales conformément aux dispositions du code
de la santé et à la loi relative à la protection de l’environnement et à la
promotion de la santé,les constructions d’établissements classés dangereux,
insalubres et incommodes.
- Les installations soumises à autorisation préalables et leurs extension.

213
C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


- Chaque parcelle doit avoir au maximum deux accès mécaniques.
- L’accès des parcelles ne doit pas sous peine de sanctions entraver ni gêner la
circulation
- L’accès mécanique doit être disposé de manière à permettre au poids lourd
d’accéder à la parcelle en marche avant sans effectuer de manœuvres sur la
voie publique.
- L’aménagement à l’intérieur des parcelles doit aussi permettre au poids lourd
de sortir en marche avant.
La largeur minimale des voies mécaniques est de 8 mètres.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


 A.E.PL’installation peut être raccordée au réseau de distribution d’eau potable qui doit
avoir les caractéristiques nécessaire (débit de point et pression) pour être suffisant.
Le propriétaire doit mettre en œuvre les moyens de recyclage des eaux utilisées pour
minimiser la consommation d’eau potable à partir du réseau public.
Prévoir des bouches d’incendie qui couvre un rayon de 200m
 Assainissement L’installation doit être raccordée par des canalisations souterraines, au
réseau collectif d’assainissement.
-Il est interdit d’installer à l’intérieur de la parcelle des fosses septiques.
-Il est interdit de rejeter dans le réseau d’eaux usées, avant traitement, tout produit polluant en
suspension, en émulsion où en solution moléculaire ou ionique, et toute matière inflammable
explosive, radioactive ou toxique.
-Il est interdit de déverser dans les ouvrages d’évacuation, toute matière solide, liquide ou
gazeuse susceptible d’être la cause d’accident pour le personnel, dégradation des ouvrages ou
gène de fonctionnement.
-Le propriétaire de l’installation industrielle doit s’engager à prévoir un système de
prétraitement de ses eaux résiduelles avant le rejet dans le réseau public d’assainissement.
-L’entretien de l’installation de prétraitement est à la charge du propriétaire qui s’oblige à la
maintenir en bon état de fonctionnement.
-Les eaux pluviales et de ruissellement devront être évacuées a partir d’un réseau séparatif.
 Electricité et téléphonePour toute construction ou installation nouvelle, les
branchements aux lignes électriques ainsi qu’au réseau téléphonique est nécessaire.

ARTICLE 5 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Se référer aux clauses du cahier des charges.

ARTICLE 6 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE PUBLIC


Les constructions doivent avoir une marge de retrait minimum de trois mètre par rapport aux
limites de l’emprise de la voie publique, sauf dans le cas de la proximité d’une route nationale
ou le retrait doit être fixé par le ministère des travaux publics.

ARTICLE 7 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
Les constructions doivent respecter les reculs prescrits dans le cahier des charges du lotissement
industriel.

ARTICLE 8 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX AUTRES


L’écartement entre deux bâtiments doit être supérieur ou égale à la hauteur des bâtiments le plus
haut sans être inférieure à trois mètres.

214
ARTICLE9 / EMPRISE AU SOL (C.E.S)
Se référer aux clauses du cahier des charges.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


Se référer aux clauses du cahier des charges.

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR ET CLOTURE


Les bâtiments et annexes doivent participer à une même composition architecturale par leur
volume et leur traitement.
Les constructions doivent êtres orientés de manière à présenter des façades esthétiques du
coté des accès.
L’édification des constructions est soumise à la législation du permis de construire.
Le propriétaire doit obligatoirement édifier sa clôture en limite avec la voie publique d’une part et
avec les parcelles mitoyennes d’autre part et qui aura 2,20m de hauteur et ceci sera spécifié dans
le dossier soumis à l’agrément.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT ET AIRES DE STOCKAGE


Les aires de stationnement devront être prévues à l’intérieur de la parcelle, et tout stationnement,
chargement et déchargement sur la voie publique est strictement interdit.
Le stationnement des véhicules (correspondant aux besoins des constructions et installations) doit
être assuré en dehors des voies publiques.
Industrie et entrepôts : 15 % de la S.P.H.O (surface de planchers hors œuvres) bureau 60 % de la
S.P.H.O.
Les établissements industriels et commerciaux devront également réserver sur les terrains les
emplacements nécessaires pour assurer toutes les opérations du chargement, déchargement et
manutention sans encombrer la voie publique.
L’accès des parkings réalisés dans la marge du règlement devra obligatoirement se faire par
l’intérieur de la propriété et non directement sur la voie publique.
Le propriétaire n’est pas autorisé à créer des dépôts de résidus industriels sur son terrain, ces
résidus doivent être évacués régulièrement, néanmoins on peut autoriser la création d’aires de
stockage de matières, nécessaires au fonctionnement de l’entreprise tout en laissant des accès
assez faciles pour les services d’hygiène et sécurité en tout point de l’entreprise.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Après avoir prévu les voies d’accès, aires de manœuvres, parkings et aires de stockages
nécessaires, le reste de la parcelle doit être traité en espace vert et éventuellement plantes
d’arbres.

D-POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le C.O.S maximum applicable se réfère aux clauses du cahier des charges des lotissements
industriels à défaut.

ARTICLE15 / DEPASSEMENT DU COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Néant.

215
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR : S.U7 ; S.U8 ; S.U9 ; S.U10 ;
S.U11 ; S.U12 ; S.U13 ; S.U14 ;S.U15 ; S.U16 et S.U17

A – CARACTERE DU SECTEUR : S.U7 ; S.U8; S.U9 ; S.U10 ; S.U11 ; S.U12 ; S.U12 ;S.U13 ;
S.U14 ;S.U15 ;S.U16 et S.U17.
Ce secteur concerne respectivement les agglomérations secondaires suivantes :
GUELAFTIA- REZAMA- BESSAKRA- HEMAISSIA- MAIZIA- MENASSERIA- OULED GHAZI-
CHEKALIL- EL HAMMAM
Ces agglomérations sont tous entourées de terres agricoles, et dont les constructions sont
généralement en Rez de Chaussé ,parfois du R+1 ou du R+2.
Pour ce secteur il est prévu des restructurations, des densifications et des opérations
d’amélioration urbaine.

B – NATURE DE L’OCCUPATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Des établissements industriels de toute nature non compatible avec l’habitat.
 Des constructions présentant un caractère précaire.
 Des constructions à usage de dépôts et entrepôts.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES
Sont autorisés
 Habitat individuel et semi collectif.
 Les équipements publics et privé compatible avec l’habitat.
 Des constructions à usage commercial, services et activités artisanales non nuisibles.
 Les travaux de rénovation des constructions en mauvais état.
 La surélévation des constructions existantes à conditions qu’elles répondent aux normes de
sécurité et de construction.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


Pour être constructible un terrain doit avoir accès à partir d’une voie publique ou privée.
Les voies doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la
sécurité, de la défense contre l’incendie et de la protection civile.
La largeur minimale de la voie est de 8 mètres.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée par canalisations souterraines au réseau
public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau collectif de distribution d’eau
potable.

216
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements aux lignes électriques ainsi
qu’au réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être
réalisés de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 100 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 8 mètres. La Forme recommandée pour les lots de terrain est
régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres minimum pour
les équipements et les bâtiments publics ;
La marge de recul pour les équipements sera aménagée par le maître de l’ouvrage et versée au
domaine public.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier des charges le prévoit
explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.
Les constructions non contiguës aux limites séparatives devront être édifiées de telle manière que
la distance de la construction aux limites séparatives soit au moins égale à la moitié de leurs
hauteurs, sans pour autant être inférieure à 4 mètres (minimum de 2 mètres dans le cas de murs
pignons sans ouvertures).

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.
 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
- CES max = 100 % si la surface S =100 M²
- CES max = 70 % si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- CES max = 60% si 200 m² < surface S< 350 m²
Pour les parcelles de terrain dont la surface S est supérieure à 350 m², l’emprise maximale du
bâti ne doit pas dépasser 200 m².

 Pour l’habitat semi collectif.


L’emprise au sol est selon la densité des logements.

217
 Pour les équipements.

L’emprise au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS

La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

11 / ASPECT EXTERIEUR
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100 m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aire de
jeux et de détente. Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


 L’habitat individuel
Le COS maximal est fixé à :
- COS = 3 si la surface S = 100 m²
- COS = 2,1 : 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- COS = 1,8 : si la surface S>200 m²
 L’habitat collectif
Le COS maximal est fixé = 2
 L’habitat semi collectif
Le COS maximal est fixé = 2
 Les équipements
Le COS maximal est fixé = 2

218
ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS
Les conditions de dépassements et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

219
DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS A URBANISER

DISPOSITIONS APPLICABLES AUX SECTEURS : S.A.U 1; S.A.U 2et S.A.U 3


Surface Foncière : S.A.U1 = 28,90 ha ; S.A.U2 = 18,80 ha et
S.A.U 3= 25,50 Avec une Densité Brute = 50 logement / ha

A – CARACTERE DES SECTEURS S.A.U 1 ; S.A.U 2 ; S.A.U3 et S.A.U4


Il s’agit de terres proposées pour l’urbanisation. Ils représentent l’extension de l’agglomération
chef-lieu pour le court et moyen terme pour la réalisation de programmes de logements,
d’équipements et de services.
S.A.U1 : secteur à urbaniser au niveau de l’A C L.
S.A.U2: secteur à urbaniser à court terme de l’A C L.
S.A.U2: secteur à urbaniser à court terme de l’A S GUELAFTIA et AS MAIZIA.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS :

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les établissements industriels de toute nature.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement ;
 Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITION SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations à usage d’habitat semi collectif et collectif ;
 Les habitations à usage d’habitat individuel ;
 Les équipements collectifs ;
 Les constructions à usage de bureaux et services ;
 Les établissements à usage de commerces et ateliers d’artisanat compatibles avec l’habitat.
 Les lotissements d'habitat individuels au ou le terrain s’avère de faible portance.
 Le mobilier urbain nécessaire pour l’aménagement des espaces publics, esplanade, placette
etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


-Aucune autorisation de construire ne sera accordée sur les terrains qui ne seraient pas desservis
par des voies publiques dans des conditions répondant à l’importance et à la destination de la
construction qui doit être édifiée.
-La commodité des accès, la sécurité de la circulation ainsi que la circulation ainsi que l’approche
de matériel de lutte contre de l’incendie, doivent notamment être assurées hors des voies
publiques.
-Les chemins piétons doivent être conçus de telle façon à pouvoir supporter le passage des
véhicules de la protection civile, ambulances et camions d’éboueurs.
-Ces cheminements piétons ne seront pas conçus sous forme linéaire, mais doivent être ponctués
par des aires de jeux et équipés de bancs et de corbeilles à papiers.
-Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres.

220
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 150 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 9 mètres.
La forme recommandée pour les parcelles de terrain est régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres pour les
équipements et les bâtiments publics.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier de charges le prévoit explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

221
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL

 Pour l’habitat individuel


L’emprise au sol maximale est fixée à :
- CES max = 100 %, si la surface S = 100 m²
- CES max = 70 %, si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- CES max = 60 %, si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S>350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².

 Pour l’habitat collectif


L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS


La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

Toutes les constructions doivent être construites en conformité avec les règles
parasismiques.

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Le parti architectural choisi pour les constructions devra s’harmoniser avec le contexte
environnant.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

222
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit
être assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aires de jeux
et de détente.
Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.
Mobilier urbain
Bancs : Veiller à intégrer les bancs et sièges au revêtement de sol et à l’ensemble des autres
aménagements paysagers. Les formes et matériaux doivent être étudiés.
Fontaines et bassins : Pour des raisons de sécurité, prévoir des bassins peu profonds (max 0,40
mètres), limités par des bordures arrondies.
Le revêtement au sol devra être rugueux (antidérapant) à proximité de ces installations.
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassement et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable..

223
DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR A URBANISATION FUTURE

DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR A URBANISATION


FUTURE S.U.F1 et S.U.F2
Surface Foncière : S.U.F1=27 ha

A – CARACTERE DU SECTEUR S.U.F1, S.U.F2 et S.U.F3


-Il s’agit des terres proposées pour l’urbanisation. Ils représentent l’extension De OUMDROU
pour le long terme pour la réalisation de programmes de logements, d’équipements et de
services.

B – NATURE DEL’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DESSOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les établissements industriels de toute nature.
 Tous dépôts de déchets, ferrailles ou autres nuisibles à l’hygiène et au respect de
l’environnement ;
 Les constructions présentant un caractère précaire.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITION SPECIALES
Sont autorisés
 Les habitations à usage d’habitat semi collectif et collectif ;
 Les habitations à usage d’habitat individuel ;
 Les équipements collectifs ;
 Les constructions à usage de bureaux et services ;
 Les établissements à usage de commerces et ateliers d’artisanat compatibles avec l’habitat.
 Les lotissements d’habitat individuels au ou le terrain s’avère de faible portance.
 Le mobilier urbain nécessaire pour l’aménagement des espaces publics, esplanade, placette
etc.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


-Aucune autorisation de construire ne sera accordée sur les terrains qui ne seraient pas desservis
par des voies publiques dans des conditions répondant à l’importance et à la destination de la
construction qui doit être édifiée.
-La commodité des accès, la sécurité de la circulation ainsi que la circulation ainsi que l’approche
de matériel de lutte contre de l’incendie, doivent notamment être assurées hors des voies
publiques.
-Les chemins piétons doivent être conçus de telle façon à pouvoir supporter le passage des
véhicules de la protection civile, ambulances et camions d’éboueurs.
-Ces cheminements piétons ne seront pas conçus sous forme linéaire, mais doivent être ponctués
par des aires de jeux et équipés de bancs et de corbeilles à papiers.
-Les voies mécaniques auront une largeur minimale de 8 mètres.

224
ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX
Assainissement
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau public d’assainissement.
Les raccordements doivent être réalisés en accord et sous contrôle des services techniques
concernés.
Alimentation en eau potable
Toute nouvelle construction doit être raccordée au réseau de distribution d’eau potable et assurant
un débit pour le fonctionnement des appareils de lutte contre l’incendie.
Electricité et téléphone
Pour toute construction et installation nouvelle, les branchements au réseau électrique ainsi qu’au
réseau téléphonique sur le domaine public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées
de préférence en souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Pour être constructible, une parcelle devra avoir une superficie minimale de 150 m², d’une largeur
de front de rue minimale de 9 mètres.
La forme recommandée pour les parcelles de terrain est régulière.

ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE


PUBLIC
Les constructions en front de rue sont recommandées par rapport à la voie. Cette disposition est
obligatoire pour les bâtiments à caractère commercial.
Dans le cas où cette disposition ne serait pas adoptée, le recul par rapport au domaine public (axe
de la voie) sera de 6 mètres pour les constructions à usage d’habitat et de 9 mètres pour les
équipements et les bâtiments publics.

ARTICLE 07 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES


SEPARATIVES
En règle générale, l’implantation des constructions en front de rue et par rapport aux limites
séparatives latérales est à encourager.
Elle est obligatoire dans les zones de centralité ou si le cahier de charges le prévoit explicitement.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX


AUTRES
Des constructions différentes peuvent être soit contiguës ou séparées. La distance entre deux
constructions séparées devra être supérieure ou égale à la moyenne des hauteurs des deux
constructions. Elle ne pourra être inférieure à 4 mètres qu’en cas d’alignement de murs pignons
sans ouvertures permettant des vues directes sur les fonds voisins.
L’espace entre deux constructions contiguës (en cas de mitoyenneté) devra être étanche aux eaux
et à la pluie. Il doit être traité comme un joint sur toute sa hauteur.

ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL


 Pour l’habitat individuel
L’emprise au sol maximale est fixée à :
- CES max = 100 %, si la surface S ≤ 100 m²
- CES max = 70 %, si 100 m²< surface S ≤ 200 m²
- CES max = 60 %, si 200 m² < surface S< 350 m²
- Pour les parcelles de terrain dont la surface S>350 m², la surface bâtie ne doit pas dépasser 200
m².

225
 Pour l’habitat collectif
L’emprise au sol maximale est selon la densité des logements.
 Pour l’habitat semi collectif
L’emprise maximale au sol ne doit pas dépasser 50 % de la surface totale de la parcelle.
 Pour les équipements

L’emprise au sol maximale estselon la densité des logements

ARTICLE 10 / HAUTEUR DES CONSTRUCTIONS

La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme

ARTICLE 11 / ASPECT EXTERIEUR


Le parti architectural choisi pour les constructions devra s’harmoniser avec le contexte
environnant.
Les bâtiments doivent présenter une unité d’aspect et de volume et s’intégrer dans le paysage.
Les matériaux préconisés seront des matériaux naturels apparents ou avec enduits lissés ou
talochés de teinte naturelle.
Les matériaux de remplissage destinés à être enduits ne peuvent rester apparents (briques
creuses, parpaings et carreaux de plâtre).
Les murs séparatifs et les murs aveugles apparents d’un bâtiment doivent, lorsqu’ils ne sont pas
construits avec les mêmes matériaux que les murs des façades, avoir un aspect qui s’harmonise
avec celui des façades.
Clôtures
Peuvent être réalisées en maçonnerie ou constituées par des haies vertes, leur hauteur sera au
maximum de 2.20 mètres.

226
ARTICLE 12 / STATIONNEMENT
Le stationnement des véhicules correspond aux besoins des constructions et installations doit être
assuré en dehors des axes animés.
Le nombre de places de stationnement de véhicules automobiles conforme au ratio minimum sont
les suivants :
-Pour 02 logements, 01 place de parking
-Pour les établissements commerciaux de plus de 150 m² (marché, galerie marchande et centre
commercial), il est prévu 1 place de stationnement pour 15 m² de surface de vente.
-Pour les constructions à usage de bureaux, il faut prévoir 1 place pour 30 m² de plancher hors
œuvre.
-Pour les restaurants dépassant 100m² de salle de restauration, il faut prévoir 1 place par 10 m².
Aménagement des parkings
-Les parkings au sol devront être conçus de façon à participer à l’aménagement paysage urbain et
à éviter l’impression de vastes espaces vides.
-Le traitement de sol des aires de circulation et des aires de stationnement devra être différencié.
Les plates-bandes devront être surélevées pour assurer une meilleure protection des plantations.

ARTICLE 13 / PLANTATION DES ESPACES LIBRES


Les espaces libres des parcelles doivent être plantés et entretenus en espaces verts, aires de jeux
et de détente.
Des alignements d’arbres sont recommandés le long des voies importantes.
Mobilier urbain
Bancs : Veiller à intégrer les bancs et sièges au revêtement de sol et à l’ensemble des autres
aménagements paysagers. Les formes et matériaux doivent être étudiés.
Fontaines et bassins : Pour des raisons de sécurité, prévoir des bassins peu profonds (max 0,40
mètres), limités par des bordures arrondies.
Le revêtement au sol devra être rugueux (antidérapant) à proximité de ces installations.
Eclairage :
L’éclairage des parkings, circulation, espaces de rencontre et de loisirs est obligatoire. Il n’aura
pas seulement un rôle fonctionnel, on devra rechercher une gamme d’appareils et de support qui
devront répondre aux objectifs suivants :
-Eviter la monotonie des espaces traités.
-Rechercher un effet d’ambiance et d’esthétique de l’espace à traiter.

D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL

ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL


Le coefficient d’occupation des sols (C.O.S) devra être fixé d’une manière très précise et détaillé
dans le cadre de l’élaboration de l’étude du plan d’occupation du sol y afférent (POS)

ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS


Les conditions de dépassement et la majoration des coefficients d’occupation du sol seront fixées
par le POS, par exemple pour les bâtiments d’angles ou constituant un repère urbain, mais d’une
manière générale un dépassement de plus ou moins 10 % est tolérable.

227
DISPOSITIONS APPLICABLES AUXSECTEURS NON URBANISABLES

DISPOSITIONS APPLICABLES AU SECTEUR NU2

A – CARACTERE DU SECTEUR NU2


Il s’agit d’un secteur naturel à protéger du fait de sa valeur agricole à potentialités élevées ou
bonnes. L’ensemble de ces zones constituent les secteurs non urbanisables dans lesquels les
droits à construire peuvent être édictées mais réglementées dans des proportions limitées. Tout
terrain destiné à l’exploitation agricole sous toutes ses formes et dit « terre agricole » même s’il est
laissé en jachère.

B – NATURE DE L’OCCUPATION ET DE L’UTILISATION DES SOLS

ARTICLE 01 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS INTERDITS


Sont interdits
 Les constructions qui ne sont pas liées à l’exploitation agricole ;
 Les établissements industriels classés et les dépôts qui ne sont pas liés à l’exploitation
agricole ;
 Toute forme d’habitations, même à titre précaire est révocable sauf celles autorisées par
l’article 2 ci-dessous.
 Les équipements collectifs.
 Les décharges publiques et privées.
 Les cimetières.
 Les carrières et affouillement des sols.

ARTICLE 02 / TYPES D’OCCUPATION OU D’UTILISATION DES SOLS SOUMIS A


CONDITIONS SPECIALES :
Sont autorisés :
 Les constructions et installations nécessaires à l’hydraulique et à l’exploitation agricole ;
 Les constructions d’habitation unifamiliale (liées à l’exploitation agricole) ;
 Les établissements liés à l’agriculture ou à l’élevage ;
 Les voiries et réseaux divers.

C – CONDITIONS DE L’OCCUPATION DU SOL :

ARTICLE 03 / ACCES ET VOIRIE


Pour être constructible un terrain dont avoir un accès à partir d’une voie publique ou privée. Les
voies doivent présenter des caractéristiques permettant de satisfaire aux exigences de la sécurité,
de la défense contre l’incendie et de la protection civile.

ARTICLE 04 / DESSERTE PAR LES RESEAUX


 A.E.P Toute construction ou installation nouvelle doit être raccordée au réseau public
d’adduction en eau potable.
 Assainissement Toute construction ou installation nouvelle doit être raccordée par des
canalisations souterraines au réseau public d’assainissement existant.
 Electricité et téléphone Pour toute construction et installation nouvelle, les
branchements au réseau électrique ainsi qu’au réseau téléphonique sur le domaine

228
public comme sur les propriétés privées doivent être réalisées de préférence en
souterrain.

ARTICLE 05 / CARACTERISTIQUES DU TERRAIN


Néant
ARTICLE 06 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AU DOMAINE
PUBLIC
Néant
ARTICLE 07/ IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS PAR RAPPORT AUX LIMITES
SEPARATIVES
Néant
ARTICLE 08 / IMPLANTATION DES CONSTRUCTIONS LES UNES PAR RAPPORT AUX
AUTRES
Néant
ARTICLE 09 / EMPRISE AU SOL
Se référer à l’arrêté interministériel du 13 Septembre 1992 relatif aux droits de construction
applicables aux territoires situés hors des parties urbanisées de communes.
- Normes applicables aux installations d’équipements liés à l’exploitation agricole
L’emprise des constructions nécessaires aux installations d’équipements liés à l’exploitation
agricole ne doit pas excéder le un cinquantième (1/50) de la propriété lorsque celle-ci est
inférieure à cinq (5) hectares.
Au-delà de cette fourchette, l’emprise est majorée de cinquante (50) mètres carrés par fraction
d’hectare supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité, l’emprise des constructions ne peut excéder le un
vingt cinquième (1/25) de la superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de
limites et de majoration.
- Normes applicables aux constructions à usage d’habitation
L’emprise des constructions à usage d’habitation ne doit pas excéder les deux cents cinquantième
(1/250) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure à cinq (5) hectares. Elle est
majorée de vingt (20) mètre carrés par fraction d’hectare supérieure pour les propriétés dont la
superficie est comprise entre cinq (5) et dix (10) hectares et au-delà, de dix(10) mètres carrés par
fraction d’hectare supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité et présentant contraintes topographiques, l’emprise
ne doit pas excéder le dixième (1/10) de la superficie de la propriété lorsque celle-ci est inférieure
à mille (1000) mètres carrés. Au-delà, elle est majorée de vingt (20) mètres carrés par fraction de
mille (1000) mètres carrés supérieure.
Pour les terres agricoles à faible potentialité autres que celles présentant de fortes contraintes
topographiques, l’emprise des constructions ne doit pas excéder le centième (1/100) de la
superficie de la propriété déterminée dans les mêmes conditions de limites et de majoration.

229
ARTICLE 10 / HAUTEURS DES CONSTRUCTIONS
La hauteur des constructions sera déterminée selon les règles générales d’urbanisme
ARTICLE 11/ ASPECT EXTERIEUR
Néant.
ARTICLE 12/ STATIONNEMENT
Néant.
ARTICLE 13/ PLANTATION DES ESPACES LIBRES
Néant.
D – POSSIBILITES MAXIMALES D’OCCUPATION DU SOL
ARTICLE 14 / COEFFICIENT D’OCCUPATION DU SOL
Néant.
ARTICLE 15 / DEPASSEMENT DU COS
Néant.

230

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