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3-Développer des méthodes et des moyens pour prévenir les dangers des
agresseurs chimiques.
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Hygiène et sécurité industrielle
3-Risques ou Agresseurs.
L’Hygiène et Sécurité Industrielle est une science et un art voué a la
reconnaissance, l’évaluation, et au contrôles des risques au milieu du travail.
1)-Risque chimique.
4)-Risque psychologique.
5)-Risque Mécanique.
4-Réglementation d’hygiène.
Selon la conformité et la réglementation du travail, les personnes travaillants
dans des :
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1)-Voie respiratoire.
2)-Voie digestive.
3)-Voie cutané.
Inhalé d’abord par le Nez ou par la bouche, l’agresseur affecte alors le système
respiratoire, transporté ensuite par le sang irrigant les poumons cet agresseur
agira surtout le corp.
Avaler, l’agresseur contamine l’appareil digestives puis passe dans le sang pour
empoisonner les autres organes.
En contacte avec la peau, l’agresseur peut provoquer des brulures graves ensuite
il passe dans le sang pour affecter les autres organes humain.
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Hygiène et sécurité industrielle
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Hygiène et sécurité industrielle
Les produit dangereux sont des produits étiquetés par des pictogrammes de
danger/
1- pictogrammes corrosifs.
2- pictogrammes explosifs.
6- pictogrammes Toxique.
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11-Information toxicologique.
12-Information écologique.
13-Information sur l’élimination des déchets.
14- Information sur le transport.
15- Information sur le classement de l’étiquetttage.
16-Autres information sur la protection individuels.
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Hygiène et sécurité industrielle
Définition
Le terme amiante désigne un ensemble de silicates fibreux résistants au feu. Son
synonyme, asbeste, qui vient du latin asbestos (incombustible), est peu utilisé en
français.
la résistance au feu,
l'élasticité,
un faible coût.
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Mécanisme toxicologique
Les fibres d'amiante sont constituées de faisceaux de fibrilles qui se séparent très
facilement sous l'effet d'usinages, de chocs, de frottements... pour former un
nuage de poussières très fines, souvent invisibles à l'œil nu.
La dimension des fibres est déterminante pour évaluer leurs effets sur la santé :
plus une particule est petite, plus elle peut pénétrer profondément dans
l'appareil respiratoire ;
plus les fibres sont longues et fines, plus l'organisme a des difficultés à les
éliminer, et plus elles sont dangereuses.
Les fibres retenues dans les poumons peuvent interagir localement avec les
tissus et provoquer une inflammation du poumon et/ou du tissu qui l'enveloppe,
Ces manifestations sont très progressives et ne se détectent pas facilement à un
stade précoce. Si la quantité de fibres retenues est importante, une fibrose du
poumon profond, l'asbestose, peut apparaître après plusieurs années.
Les cellules épithéliales des bronches sont également altérées par les fibres
(divisions cellulaires perturbées). Dans certains cas et après un long temps de
latence (entre le début de l'exposition et l'apparition de la maladie), une
transformation cancéreuse peut survenir (cancer broncho-pulmonaire). Ces
cancers broncho-pulmonaires seront d'autant plus fréquents qu'il existe une
exposition concomitante à d'autres agents cancérogènes (effet
du tabac notamment).
Enfin, certaines fibres vont avoir tendance à migrer vers l'extérieur de la cavité
pleurale pour atteindre son enveloppe externe : la plèvre pariétale. A ce niveau,
on pourra également voir se développer des zones de fibroses localisées
(appelées plaques pleurales) ou, après une latence encore plus longue, un cancer
de la plèvre : le mésothéliome.
Cancers
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Dans tous les cas, les premiers symptômes ou signes radiologiques surviennent
plusieurs années après l'exposition.
On a également recensé des cas de cancer du poumon chez les personnes vivant
avec les travailleurs de l'amiante et les membres de leurs familles,
vraisemblablement causés par une exposition aux fibres d'amiante transportées à
la maison sur les vêtements de travail.
Protection et prévention
Vous pouvez prendre certaines mesures pour vous protéger des effets de
l’amiante sur votre santé, notamment si vous prévoyez faire des rénovations
L’entrepreneur prendra toutes les mesures nécessaires pour protéger votre santé
et celle de ses travailleurs. Par exemple :
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Hygiène et sécurité industrielle
Les ambiances de travail (bruits, éclairage, ambiance thermique…) sont des éléments
essentiels pour une bonne exécution d’une tâche, tant leur impact sur l’individu (fatigue
physique, stress, irritabilité) est important.
La nuisance engendrée par les ondes sonores est communément appelée bruit. Celui-ci
est plus ou moins gênant selon la source qui est à son origine et selon la sensibilité de celui
qui le reçoit (critère de tolérance).
Les ondes sonores sont caractérisées par leurs amplitudes (ou niveau de pression sonore)
et leurs fréquences. L’amplitude sonore s’exprime en décibels (dB) selon une échelle
logarithmique et la fréquence en hertz (Hz). Les fréquences en dessous de 20 Hz s’appellent
les infrasons, au-delà de 20000 Hz les ultrasons et entre ces deux valeurs extremes les
fréquences audibles (pour l’oreille humaine).
L’oreille humaine a une sensibilité auditive max de 140 db.
2/ Définition – Généralités :
Le son et le bruit.
Les sons sont des vibrations de l’air se propageant sous la forme d’ondes acoustiques.
Le bruit correspond à un ou plusieurs sons provenant de l’environnement de travail (ex :
machines dans un atelier, usagers dans une piscine, enfants dans une cantine scolaire...).
Deux valeurs caractérisent le bruit :
la fréquence : selon sa valeur, le bruit est aiguë (haute fréquence) correspondant
a une longueur d‘onde tres courte Ex : alarme de voiture ou grave, et (basse
fréquence) correspondant a une longueur d‘onde tres grande Ex : Claxon d’1
Bateau. L’unité est le Hertz (Hz) ;
le niveau sonore : il représente la « quantité » de bruit émis lors du travail.
L’unité est le décibel (dB).
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Physiquement, un son est une vibration de l’air qui fait vibrer les cellules receptrices de
l’oreille. L’influx nerveux induit provoque la sensation du bruit.
L’audition :
l’oreille externe, pavillon et conduit auditif, guide le son jusqu’au tympan, membrane
séparant l’oreille externe de l’oreille moyenne, dont le rôle est de capter les variations de
pression sonore, comme le fait la membrane d’un microphone ;
l’oreille moyenne, constituée par une chaîne de 3 osselets - le marteau, l’enclume et
l’étrier - transmet les mouvements du tympan à l’oreille interne. Elle est en communication
avec le milieu extérieur par la trompe d’Eustache habituellement fermée et s’ouvrant à la
déglutition ;
l’oreille interne est au cœur du système auditif. C’est un milieu liquide renfermant
deux fonctionnalités distinctes : le vestibule, organe de l’équilibre, et la cochlée, dédiée à
l’audition. La cochlée abrite environ 15 000 cellules sensorielles ciliées qui ont un rôle
déterminant dans l’audition. Par l’intermédiaire de ces cellules, la cochlée exerce une triple
action :
elle amplifie les vibrations qui lui parviennent,
elle analyse ces mêmes vibrations et les oriente en fonction de leur fréquence
vers les fibres nerveuses qui lui sont connectées,
elle transforme l’énergie vibratoire en influx nerveux.
L’influx nerveux généré par la cochlée est conduit jusqu’aux aires auditives du cerveau
par un faisceau de fibres nerveuses. Le cortex cérébral interprète le message nerveux qu’il
reçoit, et génère la sensation auditive, image perceptive du message sonore capté par l’oreille.
Le niveau de bruit
On parle de bruit lorsqu'un ensemble de sons est perçu comme gênant. Cela en fait
une notion subjective : le même son peut être utile, agréable ou gênant selon qui l'entend
et à quel moment. Au-delà d'une certaine limite (niveau sonore très élevé), tous les sons
sont gênants voire dangereux, même les sons agréables comme la musique.
Pour prendre en compte le niveau sonore réellement perçu par l'oreille, on utilise le
décibel dont l'abréviation est dB. Dans les niveaux très élevés, l’oreille humaine ne ressent
pas les bruits de la même manière. On prend en compte cet effet en utilisant comme unité le
décibel
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1-Avion a réaction…………………..145 db
2-Douleur a l’oreille…………………115-130 db
3-scie mécanique…………………….105-110 db
4-Discotheque……………………….95-110 db
5-Motocycle………………………….95-110 db
6-Conversation humaine……………60-65 db
**Exposition au Bruit.
Le temp d’exposition au bruit varie selon le type de bruit. Il exisye 2 types de bruits.
1)- Bruit continu :C’est un bruit qui se propage dans le temp sans discontinuité(scie
mecanique, peinture au pistolet, discotheque…).
**Temp d’exposition pour un bruit continu :
Pour une journée de travail (8 heures), on considère que l'ouïe de l’oreuille est en
danger à partir de 80 dB.
Si le niveau de bruit est supérieur, l'exposition doit être de plus courte durée. Si le
niveau est extrêmement élevé (supérieur à 135 dB, toute exposition, même de très courte
durée, est dangereuse.
Les effets sur la santé peuvent être multiples et peuvent, en plus de la surdité, provoquer
des stress des troubles respiratoires, digestifs, cardio-vasculaires, nerveux…
Fatigue auditive
A la suite d’une exposition à un bruit intense, on peut souffrir temporairement de
sifflements d’oreilles ou de bourdonnements (acouphènes) ainsi que d'une baisse de l'acuité
auditive. Cette fatigue auditive disparaît avec le temps si aucune nouvelle exposition au bruit
ne survient.
Surdité
L'exposition prolongée à des niveaux de bruits intenses détruit peu à peu les cellules
ciliées réceptrices de l'oreille interne. Elle conduit progressivement à une surdité
irréversible. L'exposition à certains solvants, dits écotoxiques, peut amplifier ce phénomène.
Aujourd’hui, on ne sait pas soigner la surdité. Le traitement de la surdité s’effectue en
utilisant un appareillage ou des prothèses électroniques qui fait amplifier l'acuité sonore
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résiduelle de l’oreille, il ne guérit pas la fonction auditive dans son ensemble. Son efficacité
reste donc limitée.
Stades de la Surdité
1er stade surdité légère Le sujet ne se rend pas compte de sa perte auditive car les
fréquences de la parole sont peu touchées.
2e stade surdité moyenne Les fréquences aiguës de la conversation sont touchées, le
sujet devient "dur d'oreille" et ne comprend plus distinctement ce qui se dit.
3e stade surdité profonde et irréversible Le sujet n’entend plus, ou très peu, ce qui se
dit.*
La surdité peut être reconnue comme une maladie professionnelle selon des critères
médicaux, professionnels et administratifs bien précis
Evaluation des risques
L’évaluation des risques liés au bruit passe par une évaluation sonore effectuées au
moyen d’un sonomètre et si nécessaire un mesurage des niveaux de bruit auxquels les
agents sont exposés. Elle a pour objet de déterminer des indicateurs de risques,
principalement niveau d’exposition sonore quotidienne exprimé en dB et niveau de pression
acoustique de crête qui correspond à des bruits intenses mais courts et de décider des mesures
de prévention appropriées.
Exposimétrie
Pour les agents travaillant dans les zones trop bruyantes, on réalise des mesures suivant
des méthodes normalisées (norme NF EN ISO 9612:2009) soit :
à l'aide d'un exposimètre porté par l’agent et mesurant en continu le niveau de
bruit ;
à l'aide d'un sonomètre.
3/Mesures de prévention :
Prévention collective
Les mesures de prévention collectives sont les plus efficaces car elles visent à
réduire l’émission de bruit ou sa propagation.
Elles consistent à :
intégrer la gestion du problème acoustique dès la conception d’un bâtiment ;
choisir des techniques ou du matériel moins bruyant ;
établir un programme de maintenance et d’entretien des équipements ;
mettre en place des moyens techniques pour réduire la transmission du bruit
(capotage, mur de séparation...) ;
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mettre en place des moyens techniques visant à réduire le bruit dans une
structure existante (plaque d’isolation ou d’amortissement acoustique).
Prévention individuelle
Les espaces confinés sont présents dans de nombreux secteurs d’activité et des milliers de
salariés sont concernés. Dans ces espaces, les risques générés par une atmosphère appauvrie
en oxygène, toxique ou explosive sont bien réels, et s’ajoutent à d’autres risques graves
comme ceux de chute de hauteur ou de noyade. Ces risques sont souvent la cause d’accidents
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graves ou mortels. Il est nécessaire de prendre des précautions particulières et il faut que le
personnel soit formé aux dangers liés à ces activités. Toute intervention dans un espace
confiné se prépare et seule un analyse préalable des risques, menée avec soin par des
personnes compétentes, permet de définir les mesures de prévention et de protection à mettre
en œuvre pour diminuer les risques d’accidents ou tout au moins limiter les conséquences
dommageables.
et au sein duquel l’atmosphère peut présenter des risques pour la santé et la sécurité des
personnes qui y pénètrent en raison de la :
Cet espace n’est pas au préalable conçu ni destiné à être occupé par du personnel évoluant à
l’intérieur. Les opérations qui s’y déroulent sont alors définies comme exceptionnelles, que ce
soit au stade de la fabrication de ces espaces, de leur entretien (nettoyages en particulier) ou
de leur maintenance (vérifications périodiques, réparations).
Les moyens d’accès, à l’extérieur comme à l’intérieur, sont restreints.
Lors de la pénétration dans ces espaces, les opérateurs peuvent être exposés à un nombre
important de risques qu’il convient de maîtriser.
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Ainsi sont qualifiés d’espaces confinés les puits, regards, grosses canalisations, égouts, vide
sanitaires, fosses en tout genre, citernes, silos, réservoirs, cuves, réacteurs de l’industrie
chimique ou nucléaire…
Secteurs concernés
Les secteurs les plus touchés par les interventions à l’intérieur des cuves sont :
1 : Asphyxie
Le risque de loin le plus important dans un espace confiné est l’asphyxie. L'air normal
comprend 78 % d'azote gazeux, 21 % d'oxygène gazeux et 1 % d'argon. Lorsque
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De plus, vos sens ne le perçoivent pas. Cela vous arrive tout simplement. Vous êtes en proie à
un étourdissement et vous ne reconnaissez plus les dangers.
Un manque d'oxygène est causé par une ventilation insuffisante. L'oxygène présent diminue
en raison de réactions chimiques ou biologiques.
Par exemple :
Le séchage de la peinture ou des tuyaux scellés incorrectement libèrent des gaz qui chassent
l'oxygène.
Certains procédés de soudage dégagent également des gaz dangereux. S'il n'est pas possible
de purger ces gaz, un risque survient.
La présence de gaz inertes tels que l'azote ou le dioxyde de carbone entraîne également un
déficit en oxygène. Dans certains cas, cela peut prévenir un risque d'incendie ou d'explosion
(étant donné que la quantité d'air ne doit pas non plus être trop élevée).
2: Incendie ou explosion
L’une des causes les plus courantes d'une concentration trop élevée en oxygène est une
utilisation incorrecte d'appareils de soudage ou de découpe.
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Des matières inflammables et explosives qui peuvent se trouver dans des espaces confinés
sont par exemple des peintures, des solvants, des (résidus de) matériaux et chiffons, du gaz ou
de l’oxygène qui se libère de bouteilles de gaz et d'oxygène mal fermées ou des résidus du
contenu de l'espace confiné.
La décharge d'électricité statique ou l'utilisation d'outils qui ne sont pas antistatiques provoque
l'inflammation.
3: Intoxication
Les symptômes d'empoisonnement apparaissent lorsque vous êtes exposé à des substances
dangereuses. Les effets de cette exposition sur la santé sont généralement immédiats, mais ne
sont parfois perceptibles qu'après un certain temps.
Ces substances pénètrent dans votre corps par les poumons, la bouche ou la peau.
4: Électrocution
L'électrocution se produit lorsque vous touchez des objets sous tension électrique. Lorsque
des outils électriques ou des câbles sont endommagés, par exemple par coincement, le risque
d'électrocution est élevé.
Si les câbles endommagés entrent en contact avec des pièces ou des parois métalliques d’un
espace confiné, ceux-ci peuvent également se retrouver sous tension.
5: Stress thermique
Le stress thermique se présente lorsque vous n'êtes plus en mesure de réguler votre
température corporelle en raison des températures élevées et de l'humidité de l’air. Les causes
sont diverses : chaleur rayonnante, humidité ou vêtements de protection (combinaisons anti-
gaz).
Si vous travaillez dans un espace où la chaleur est extrême (par exemple le compartiment
moteur), il est important de boire suffisamment d'eau pour compenser la transpiration (toutes
les 15 à 20 minutes).
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6: Coincement
Comme nous l'avons expliqué précédemment, l'ouverture d'un espace confiné est souvent
étroite.
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Cette analyse doit aussi tenir compte des conditions particulières créées par l’intervention ou
les travaux.
En outre, la nécessité de faire pénétrer des personnes dans des lieux exigus et mal ventilés doit
impérativement attirer l’attention des donneurs d’ordres et du personnel d’encadrement des
entreprises intervenantes sur l’importance de cette analyse pour définir et arrêter les mesures
de prévention et de protection appropriées.
Les conclusions de cette démarche préalable doivent permettre d’informer les sous-traitants et
le personnel d’intervention concernés. Pour que les travaux se déroulent dans de bonnes
conditions, cela suppose que :
un responsable soit désigné.
un plan de prévention de tous les risques (appauvrissement en oxygène, gaz délétères,
atmosphère explosive, noyade, ensevelissement…) soit établi.
des procédures spécifiques d’intervention en espaces confinés soient mises au point.
des instructions adaptées soient arrêtées et explicitées aux intervenants.
un surveillant extérieur soit désigné et une bonne coordination des travaux dans l’espace et
dans le temps soit assurée en tenant compte du fait que les intervenants peuvent ne pas être en
contact visuel avec l’extérieur.
les installations ou les équipements dangereux soient consignés,
une aération ou une ventilation renforcée soit mise en place (cf. encadré).
les intervenants disposent tous de détecteurs de gaz avec alarme, fiables, régulièrement
étalonnés et contrôlés.
les intervenants disposent de moyens de protection adaptés (masques auto-sauveteurs,
appareils respiratoires isolants autonomes à circuit ouvert, dispositifs de protection contre les
chutes de hauteur…).
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le bon fonctionnement de tous les équipements de protection ou de contrôle soit vérifié avant
l’opération.
les intervenants soient formés et aient reçu une autorisation de travail en espaces confinés,
un permis de pénétrer ait été établi, informant en particulier les intervenants des dangers
inhérents aux installations et aux matières ainsi qu’à la configuration particulière les lieux.
les mesures à prendre en cas d’incident ou d’accident soient arrêtées et communiquées aux
intervenants.
Pour toutes les interventions dans un espace confiné, le rôle de l’encadrement est essentiel
pour limiter les risques. Il doit être impliqué dans l’ensemble des opérations, de la préparation
de l’intervention jusqu’à son achèvement, déconsignation et remise en service des
installations comprises.
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