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Arrêté N°12/0667/MINESUP/SG/DDES du 23/11/12

B.P: 30201Yaoundé – Cameroun / Tél. : 22 -31 - 70 – 66

NIVEAU I : GESTION DES SYSTEMES D’INFORMATION


UE : SUPPORT SYSTEMES DES ACCES UTILISATEURS I (30 HEURES) CM :
20H TP: 6H TD : 4H
ENSEIGNANT : M. FOKOU TONFACK Boris
PLAN DETAILLE DU COURS
Objectif général du cours
L’objectif de ce cours est de fournir aux étudiants les outils de recherche et d’analyse en
ce qui concerne les parties matériels et logiciels d’un ordinateur.
CHAPITRE I : le hardware (8heurs)
Objectifs spécifiques :
A la fin de ce cours chaque étudiant devra présenter les aptitudes et les
compétences suivantes :
1. Définir un hardware et un software.
2. Maitrisé les composent matériels interne et externe d’un ordinateur.
3. Connaitre les types d’ordinateurs
4. Connaitre le fonctionnement de l’ordinateur
INTRODUCTION
I. Définition
Ordinateur : Outil de traitement de l’information programmable
Périphérique : est un équipement connecté à l’ordinateur qui ajoute à ce dernier des
fonctionnalités supplémentaires

II. Les organes périphériques


1. Les périphériques d’entrée
Qui servent à fournir les informations au système informatique
Clavier, souris, scanner. Micro, webcam, manette de jeu, appareil photo et caméscope
numérique
2. Les périphériques de sortie
Qui servent à faire sortir des informations du système informatique.
Moniteur, imprimante, hautparleurs, graveur de CD
3. Les périphériques d’entrée/sortie
Qui opèrent dans les deux sens
Lecteur de CD-Rom, clés USB, carte multimédia, disque Dur externe.
Questions a posé après cette partie :
 définir périphérique
 Citer les types de périphériques
 Citer les organes qu’on retrouve à chaque type
III. L’unité centrale
L’unité centrale désigne l’ensemble constitutif d’un ordinateur monté dans un boitier. Elle
se comporte au minimum des éléments essentiel à son fonctionnement telle que :

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 La carte mère
 Les mémoires
 Le processeur
 boitier d’alimentation
1. La carte mère
C’est un circuit imprimé qui supporte la plupart des composants et des connecteurs
nécessaires au fonctionnement d’un ordinateur.
On retrouve sur la carte mère:
 Des sockets, slots d’extension ports USB-(Universel Sérial Bus), PCI-(périphéral
Component InterConnect), ISA-(architecture des Système Industriel), SATA-
(Serial Advanced technology attachment) et IDE-(integrated Drive Eectronics) son
série PS2 connecteur d’alimentation

2. La mémoire
a. La mémoire vive ou RAM
La RAM (Radom accès Memory) encore appeler mémoire volatile est l’unité de stockage
des données en cour de traitement par le microprocesseur. C’est la mémoire primaire de
l’ordinateur, rapidement accessible, dans la quel les données peuvent être lu, écrit où effacer
On distingue principalement les SRAM (statique) et les DRAM (dynamique)

b. La mémoire de masse
Support de mémoire de masse qui est compose d’un ou de plusieurs disques magnetique
generalement solidaire et ayant une tres grande capacite de stockage.
On distingue principalement les disque durs SATA, IDE et ICSI
3. Le processeur
C’est un circuit électronique qui effectue les opérations arithmétiques et logiques
a. L’unité arithmétique et logique : qui prend en charge les calculs arithmétiques et
les tests
b. L’unité de commande
c. Les registres : qui sont les mémoires de petite taille suffisamment rapides pour
l’UAL puisse manipuler leur contenue à chaque cycle d’horloge
d. Le séquenceur : qui permet de synchroniser les différents éléments du processeur.
Il initialise les registres lors du démarrage de la machine et li gère les interruptions.
e. L’horloge : qui synchronise toute les actions de l’unité centrale
f. L’unité d’entrée-Sortie : qui prend en charge la communication avec la mémoire
4. Le socket
Le socket est l’emplacement de la carte mère dans le quelle vient se loger le processeur
central de votre ordinateur.
Il existe plusieurs modèles de socket, chacun compatible avec un type bien particulier de
processeur. Aussi, une carte mère ne peut pas berger n’importe quel processeur. Les sockets
les plus utiliser à leur actuel sont le socket 1366 ,775 dédier au processeur 17; core2 duo
5. Le chipset (jeu de puce)
Qui assure le dialogue ou la communication entre le processeur et les éléments de la carte
mère. Entre le
On distingue deux types :
 Chipset Nord
 Chipset Sup

6. Le boitier d’alimentation
Le rôle d’alimentation est de produire le courant continu (DC) nécessaire aux circuits
électriques. L’alimentation prend son énergie sur le secteur 220volt alternatif, 50HZ.

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On distingue principalement les alimentations AT, ATX, et BTX.
Ces caractéristiques techniques sont :
Tension et courant de sortie : + 3,3V, + 5V, + 12V, -12V, + 5V.

7. Les cartes d’extension


Qui permettent d’augmenter les performances l’ordinateur
On distingue :
 Carte Song
 Carte Graphique
 Carte TV
8. Le disque dur
Support de stockage de masse qui contient tous les données enregistrées par l’ordinateur.
On distingue :
 Le disque dur SATA
 Le disque dur IDE
9. Le ventilateur
C’est le composant que permet de faire refroidir les composants interne de l’ordinateur.
10. Lecteurs/graveur de CD-ROM/DVD
Est un composant qui permet de mettre sur un support magnétique (CD/DVD) nos données.

Questions a posé après cette partie :


 définir périphérique
 Citer les types de périphériques
 Citer les organes qu’on retrouve à chaque type.
 définir unité central, carte mère ; les mémoires et processeur
 Citer les types de périphériques et mémoires
 Les parties de l’unité centrale et processeurs

IV. Les types d’ordinateurs


Questions a posé après cette partie :
 Citer les types d’ordinateurs et boitiers
TD (2heures)
Travaux pratiques en salle de laboratoire informatique (4heurs)
CONCLUSION

CHAPITRE II : Les systèmes d’exploitation (6heures)


Objectifs spécifiques :
A la fin de ce cours chaque étudiant devra présenter les aptitudes et les
compétences suivantes :
1. Définir système d’exploitation
2. Connaitre tous les systèmes d’exploitation que existe
3. Etre capable de faire la différence entre ces systèmes.
INTRODUCTION
Système d’exploitation
Un système d’exploitation (SE, en anglais Operating Système ou O.S) est un ensemble de
programmes responsables de la liaison entre les ressources matérielles d’un ordinateur et les
applications informatiques de l’utilisateur (traitement de texte, jeux vidéo, etc…). Il fournit aux
programmes d’applications des points d’entrée génériques pour les périphériques

COMPOSITION
Un système d’exploitation est typiquement composé :

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 D’un noyau ;
 De bibliothèques ;
 D’un ensemble d’outils systèmes ;
 De programmes applicatifs de base.

LE NOYAU DU SYSTEME
Le noyau (ou cœur) assure les fonctionnalités suivantes :
 Gestion des périphériques (au noyau de pilotes) ;
 Gestion de ’exécution l des programmes (aussi nommes processus) ;
 Gestion de la mémoire attribuée à chaque processus ;
 Ordonnancement des processus (réparation du temps d’exécution sur le ou les
processus).
 Synchronisation et communication entre processus (services de synchronisation,
d’échange de messages, mise en commun de segments de mémoire, etc.)
 Gestion des fichiers (au moyen de systèmes de fichiers) ;
 Gestion des protocoles réseau (PTC/IP, IPX, etc.).
Il s’agit de la couche primordiale, celle qui est lance lors du démarrage de l’ordinateur.
Grace à celui-ci, les premiers services peuvent accéder aux applications système : gestion de la
mémoire, accès aux disques durs et accès aux périphériques. Il gère donc les ressources de
l’ordinateur et permet aux différents composants matériels et logiciels applicatifs de
communiquer entre eux.
Dans certains systèmes d’exploitation, la mémoire vive est divisée en deux parties
indépendantes : le noyau et l’espace utilisateur. Ce dernier est l’espace de la mémoire dédie aux
applications, ce qui permet plus de sécurité : les applications de l’espace utilisateur ne peuvent
ni accidentellement ni intentionnellement accéder à une zone mémoire ne leur appartenant pas.
Les noyaux ont comme fonction de base d’assurer le chargement et l’exécution des processeurs,
de gérer les entrées-sorties et de proposer une interface entre l’espace noyau et les programmes
de l’espace utilisateur.
Le système d’exploitation, par cette double structure noyau/utilisateur, permet le plus souvent
aux applications d’être indépendantes de la machine sur laquelle elles fonctionnent. Le système
d’exploitation masque donc les particularités de chaque ordinateur, en garantissant les
interfaces nécessaires à la comptabilité.
Les bibliothèques
Les bibliothèques servent à regrouper les opérations les plus utilisées dans les programmes
informatiques, afin d’éviter la redondance de la réécriture de ces opérations dans tous les
programmes.
On distingue généralement deux types de bibliothèques : les bibliothèques système, et les
bibliothèques utilitaires. Les bibliothèques systèmes sont constituées de fonctions permettant
l’utilisation agréable des fonctionnalités systèmes (généralement des points d’entrée vers des
fonctions du noyau, mais pas seulement), Les bibliothèques utilitaires contiennent des fonctions
d’usage courant et pratique (fonction mathématiques, fonctions de tri, etc.).
Du point de vue du système, les bibliothèques ont différentes tiquescaracteris. Il y a le caractère
statique ou dynamique, et le caractère partage ou non.
Une bibliothèque statique contient des fonctions qui seront intégrées aucode génère par le
compilateur (Edition de liens statique). L’inconvénient est qu’un code ainsi obtenu n’est pas
mis à jour lorsque la bibliothèque change. L’avantage est que le code à lui seul est autonome.
Une bibliothèque dynamique qui contient des fonctions qui seront intégrées au code au moment
de son exécution (Edition de liens dynamique). L’avantage est que le code est à jour vis-à-vis
de la mise à jour des bibliothèques. L’inconvénient est que l’exécution dépend de l’existence
de la bibliothèque. On raffine aussi l’aspect dynamique en liaison tardive (intégration de la

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fonction lorsqu’elle est appelée) ou au chargement (intégration des fonctions desque le
programme commence à s’exécuter).
Une bibliothèque partagée est une bibliothèque dont il est garanti que le contenu ne sera présent
qu’en un seul exemplaire dans le système d’exécution, les fonctions seront partagées par toutes
les applications les utilisant.

Le système de fichiers
Un système de fichiers (PS ou file system en anglais) ou système des gestions de fichiers (SGF)
est une structure de données permettant de stocker les informations et de les organiser dans les
fichiers sur ce que l’on appelle des mémoires secondaires (disque dur, disquette, CD-ROM, clé
USB, etc.). Ce stockage de l’information est persistant. Une telle gestion des fichiers permet de
traiter de conserver des quantités importantes de données ainsi que de les partager entre
plusieurs programmes informatiques. Il offre à l’utilisateur une vue abstraite sur les données et
permet de les localiser à partir d’un chemin d’accès.

Les outils système


Les outils système permettent :
 De configurer le système (gestion des comptes des utilisateurs, configuration des
paramètres réseau, démarrage automatique des services, etc.) ;
 De passer le relais aux applications proposant des services a un ou plusieurs utilisateurs
ou à d’autres ordinateurs, grâce au réseau par exemple.

L’interface utilisateur
L’interface utilisateur aussi nommée interface homme-machine (IHM) permet à un homme de
se servir de l’ordinateur.
Au niveau matériel, elle consistait à l’origine en des interrupteurs et des lampes, puis des cartes
perforées. De nos jours, la plupart des ordinateurs sont équipes de clavier, souris et moniteur.
Cette interaction homme machine s’élabore tant par le biais d’interfaces graphiques qu’en ligne
de commande par le <<Shell>>.

La ligne de commande
La ligne de commande (en anglais CLI Command Line Interface) était la seule interface
disponible sur les ordinateurs des années 1970. Elle est encore utilisée en raison de sa puissance
(Turing-complétude du langage), de sa grande rapidité et du peu de ressources nécessaires à
son fonctionnement.

L’interface graphique
L’interface graphique (en anglais GUI pour Graphique User Interface) s’oppose à l’interface en
ligne de commande. Les parties les plus typiques de ce type d’environnement sont le pointeur
de souris, les fenêtres, le bureau, les icones. D’autres contrôles graphiques sont couramment
utilisés pour interagir avec l’utilisateur : les boutons, le menu, les barres de défilement.
Les systèmes d’exploitation grand public (Windows, MacOs, les distributions grand public de
GNU/Linux, etc.) sont pourvus d’une interface graphique qui, dans un souci d’ergonomie, veut
conviviale, simple d’utilisation et accessible au plus grand nombre pour l’usage d’un ordinateur
personnel. Ils incluent généralement aussi des utilitaires gestion de fichiers et de configuration
du système.
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L’interface graphique est en général relativement indépendante des autres composants du
systèmes d’exploitation. Il est ainsi possible dans certains systèmes d’exploitation de changer
ou de personnaliser son environnement graphique. Sous Windows, ce changement peut
s’effectuer à l’aide de programme annexes, cette fonctionnalité n’étant pas facile à mettre en
place sans cette aide.
L’interface graphique représente la partie visible du système d’exploitation. Pour les systèmes
d’exploitation commerciaux, elle évolue en même temps que le reste du système et donne son
identité a chaque génération du système. Cela contribue à renforcer, pour l’utilisation,
l’impression d’une évolution tangible du système d’exploitation.

Les programmes applicatifs de base


Les programmes applicatifs de base offrent des services à l’utilisateur (calculatrice, éditeur de
texte, navigateur web, etc.). Ces programmes applicatifs sont souvent fournis en bundle (en
vente liée) avec le système d’exploitation. Certaines personnes estiment qu’ils ne font pas
réellement partie du système d’exploitation. La séparation entre les programmes applicatifs de
base et le système d’exploitation est difficile à définir, du fait que l’un devient inutile sans
l’autre, et que bon nombre d’applications sont programmées en supposant que les programmes
applicatifs de base sont toujours présents.

Historique
Un type de programme héritier d’autres systèmes d’exploitation
Les micro-ordinateurs sont parmi les dernières générations d’ordinateurs. Les systèmes
d’exploitations qui leur sont dédies ont donc été développes après les autres types de systèmes
d’exploitation (systèmes pour ordinateur central et pour station de travail dont les plus connus
aujourd’hui sont GNU/Linux et Windows).
Un type de systèmes d’exploitation embarques.

Les années 1980


A cette époque les systèmes n’avaient ni la capacité ni la nécessite d’utiliser les systèmes
d’exploitations pour mini et grands ordinateurs. Les premiers systèmes d’exploitation appelés
moniteurs offraient seulement des fonctionnalités très basiques, et étaient charges le plus
souvent depuis de la mémoire morte.
CP/M fut l’un des pionniers en matière de système d’exploitation installe sur un disque (non
sur mémoire morte). Ce système d’exploitation influença largement la conception de PC-DOS.
Ce dernier, choisi par IBM comme système d’exploitation pour ses premiers PC, fit de
Microsoft l’une des compagnies les plus rentables au monde. Les principales alternatives durant
les années 1980 sur le marché des systèmes d’exploitation furent Mac OS en 1984 Amigos et
Atari en 1985 et OS/2 en 1987.

Depuis les années 1990


A la fin des années 1990, Microsoft améliore la fiabilité, la sécurité et la convivialité son
interface graphique. En termes de sécurité et de fiabilité, les systèmes d’exploitation grand
public de Microsoft sont loin derrière les dérives d’Unix et des autres systèmes d’exploitation
utilises sur les serveurs des entreprises.

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Microsoft a donc opéré une migration de tous ses systèmes d’exploitation vers la branche
Windows NT, mettant fin à la famille des Windows 9x, qui était dérivée de Windows 3.1 et
avant cela, de MS-DOS.
Durant la même période, Apple a totalement repensé le noyau et l’interface de son système
d’exploitation en lançant Mac OS X. La partie non graphique est basée sur un système UNIX
libre FreeBSD. Le moteur d’affichage de l’interface graphique, nomme Quartz, est gère en
mode vectoriel.
Le troisième grand acteur des systèmes d’exploitation est constitué par l’ensemble des
distributeurs GNU/Linux. Ses parts de marche dans le domaine des ordinateurs personnels sont
minoritaires, mais il est très présent sur le marché des serveurs. On parle de système
GNU/Linux, car la communauté Linux fournit le noyau, tandis que la communauté GNU fournit
les applicatifs de base, le compilateur, les bibliothèques. Chaque partie est essentielle au
fonctionnement d’un ordinateur.
Depuis quelques années, la communauté de développeurs de Linux étend les services auprès
des néophytes avec des distributeurs comme Ubuntu ou Mandriva. Cette ouverture est réussie
tant sur le plan technique que commercial puisque certaines marques proposent leurs
ordinateurs grand public avec GNU/Linux. Par exemple certains ordinateurs Dell sont proposés
avec la distribution Ubuntu. Un autre exemple, plus récent, est celui de la société ASUS qui a
lancé sa gamme de micro portables EEEPC, qui sont vendus en série avec un système
GNU/Linux modifie par ASUS afin de l’adapter à l’appareil et simplifier son usage.

Architecture matérielle
Microsoft Windows n’est actuellement compatible qu’avec les processeurs d’architecture
compatible i386 (32bits) et amd64 (64bits), soit principalement les processeurs de marque Intel,
AMD et certains mode 64bits.
Microsoft Windows CE est compatible avec quatre familles de processeurs X87,ARM,MIPS et
SH. La liste précise des processeurs supporte peut-être consultée sur le MSDN Linux s’est vu
porte sur à peu près toutes les architectures disponibles. Les diverses distributions Linux
proposent un ensemble plus ou moins étendu d’architectures. Jusqu’en 2006, Mac OS n’était
compatible qu’avec Apple, équipes de processeurs PowerPC d’IBM.

Depuis 2006, les ordinateurs Apple utilisent les processeurs Intel rendant possible l’utilisation
de Windows sur les ordinateurs Apple et Mac OS sur Intel AMD.
Il est possible de réaliser un multiboot a, savoir installer plusieurs systèmes sur une seule et
même machine en ayant le choix du système au démarrage.
Compatibilité des pilotes
Certains problèmes empêchant le fonctionnement optimal du système peuvent provenir des
pilotes des différents périphériques.
Ceci arrive par exemple avec des périphériques pour lesquels aucun pilote n’a été développe,
comme c’est parfois le cas pour Linux. En effet, certains constructeurs préfèrent proposer des
pilotes pour d’autres systèmes et il est donc important de se renseigner sur la compatibilité d’un
périphérique donne avec un système Linux lors de l’achat de ce périphérique. En revanche de
vieux matériels non compatibles avec les systèmes propriétaires se trouvent être supportes par
le noyau, car les développeurs incluent parfois dans les dernières versions des matériels anciens.
Pour Mac OS, certains pilotes ne sont jamais développes s par les constructeurs pour des
périphériques qui ne sont pas censés être montes dans un ordinateur Macintosh.
Ces manques sont généralement compensés par le travail de développeurs ou de communautés
de développeurs libres.

L’interopérabilité
Pour les systèmes de fichiers
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L’un des problèmes qui se posent en matière d’interopérabilité concerne l’échange de données
au travers des mémoires de masses, c’est-à-dire les systèmes de fichiers :

Prise en charge de certains systèmes de fichiers sur différents OS, en natif

Système de Opération Linux Mac OS X Windows


fichiers
Ext2/ext3/ext4 Lecture  × Non × Non

Ecriture  × Non × Non


FAT 32 Lecture  × Non 

Ecriture   
HFSX Lecture   × Non

Ecriture   × Non
NTFS Lecture   

Ecriture  × Non 

L’utilisation de ces programmes utilitaires adaptes peut-être nécessaire pour échanger des
données d’un système à l’autre. Par exemple, l’installation du logiciel libre Exploe2fs ou bien
du gratuiciel FS driver sur Windows, permettent l’utilisation des systèmes de fichiers
ext2/ext3/ext4.

Par réseau
La popularité d’Internet a permis de généralement l’utilisation de ses protocoles. L’échanges
de données par réseau n’est plus un problème majeur.

Questions a posé après cette partie :


 Quels sont les types de système d’exploitation.
 Quels sont les différences.

CONCLUSION
CHAPITRE II : les typologie des applications, logiciels et formats de
données (6 heures)
Objectifs spécifiques :
A la fin de ce cours chaque étudiant devra présenter les aptitudes et les
compétences suivantes :
4. Définir application, logiciels et format de donnée
8
5. Connaitre les types d’application
6. Connaitre les formats de données
INTRODUCTION
1. définitions
2. les types d’applications
3. les formats de données
Conclusion

TP en environnements réel et virtuel. (4heurs)

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