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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Module perfectionnement
Olivier Pal
Directeur BE Géotechnique ECGD

1
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
2 O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282
 Parois continues
o Paroi moulée
o Paroi en palplanches
o Paroi de pieux sécants
o Paroi préfabriquée
o Voiles par passes alternées

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282
 Parois discontinues
o Paroi « Parisienne »
o Paroi « Lutétienne »
o Paroi « Moscovite »
o Paroi « Berlinoise »
o Paroi « Monégasque »
o Paroi de pieux disjoints
o Paroi DSM + profilé / paroi JG + renforts
o Cas des fouilles blindées

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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

Paroi « Berlinoise »
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

Paroi « Berlinoise »
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

Paroi « Micro-Berlinoise »
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

Paroi « Parisienne »
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

Paroi « Parisienne »
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

Paroi « Lutétienne »
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

Paroi « Moscovite »
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Perfectionnement
• Typologie des soutènements
• A sens de la NF P 94 282

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Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
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Perfectionnement
• Typologie des butonnages et ancrages
• Différents types de « butonnage » et ancrages

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Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches expérimentales

Equilibre d’un rideau rigide


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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches expérimentales
 Si le rideau n'est pas ancré en tête, il subit une rotation autour
d'un centre de rotation situé au-dessous du fond de fouille. Le
moment développé par la force F est équilibré par les efforts de
butée et de contre-butée mobilisés de part et d'autre du centre
de rotation (fig. la).
 Si le rideau est ancré en tête, la contre-butée ne peut se
développer en arrière du rideau. Seuls des efforts de butée
s'exercent sur toute la hauteur en fiche. La rupture se produit
par rotation autour du point d'ancrage lorsque la butée
maximale est mobilisée (fig. lb).

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches expérimentales

Comportement d'un rideau


ancré en tête soumis à une
force horizontale croissante
(dans chaque cas on a
représenté de gauche à droite
la distribution des contraintes,
la courbe des moments
fléchissants et la déformée

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches expérimentales
 Pour des valeurs F1 très faibles de F, la réaction du sol est proportionnelle aux
déplacements du rideau et le sol se comporte comme un milieu pseudo-
élastique (fig. 2 a).
 A partir d'une valeur F2 , la réaction du sol sur le rideau se réduit à une butée
et à une contrebutée (fig. 2 b). Tant que F est inférieur à une valeur F3 il n'y a
pas déplacement du pied du rideau.
 Lorsque F atteint la valeur F3, le pied du rideau se déplace vers l'amont et ce
déplacement mobilise la contre-butée maximale. Le moment d'encastrement
passe par un maximum et l'on dit qu'il y a encastrement complet dans le sol
(fig. 2 c).
 Lorsque F continue à croître, la butée augmente tandis que la contre-butée
diminue; le rideau est dit partiellement encastré.

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches expérimentales
 Enfin pour la valeur F4 la contre-butée disparaît et la butée maximale
est mobilisée sur toute la hauteur en fiche. Le rideau qui est alors en
équilibre limite est dit simplement buté en pied (fig. 2d).
 Remarquons que la réaction du sol est la même que dans le cas d'un
rideau rigide ancré en tête (fig. lb).
 En pratique la fiche adoptée pour un rideau flexible est généralement
comprise entre l a fiche correspondant à l'encastrement complet et
celle correspondant à l a butée simple.

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches expérimentales

Expériences de Tschebotarioff
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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches expérimentales

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques

La fiche du rideau est suffisamment faible


pour que des efforts de contre-butée ne
puissent se développer en amont du
rideau et pour que le déplacement en pied
permette la mobilisation de la butée
maximale.

Dans ces conditions la poussée limite


s'exerce sur la face amont du rideau.

Equilibre d’un rideau buté en pied et « tenu » en tête


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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques
 La fiche est obtenue en écrivant que le moment par rapport au
point d'ancrage de l'ensemble des forces appliquées au rideau
est nul . On aboutit à une équation du troisième degré en D .
 D étant alors connu , la poussée P et la butée B résultantes
peuvent être calculées et T s'obtient en projetant sur un axe
horizontal : T = P — B
 La méthode est également applicable aux rideaux battus dans
l'argile. Suivant que l'on étudie le rideau à long terme ou à court
terme, on calcule la poussée et la butée à partir des paramètres
de cisaillement intergranulaire c' et j' ou de la cohésion non
drainée Cu.
Equilibre d’un rideau buté en pied et « tenu » en tête
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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques
 La fiche ainsi calculée est celle correspondant à l'équilibre limite c'est-
à-dire à un coefficient de sécurité F = 1. Il est généralement conseillé
d'adopter une fiche D ' = D(1.414) pour un rideau battu dans un sable
ce qui revient à prendre un coefficient de sécurité un peu inférieur à 2
sur la butée. Lorsque le rideau est fiché dans un sol purement cohérent
on obtient un coefficient de sécurité de 2 en doublant la fiche calculée.
 Remarque: Un rideau calculé en butée simple, en tenant compte d'un
coefficient de sécurité de 2 sur la butée, travaille dans des conditions
différentes de celles du calcul sauf s'il s'agit d'un rideau parfaitement
rigide. Dans ce cas la butée mobilisée est celle représentée figure 4a.
 Au contraire, une contre-butée se développe en arrière d'un rideau
flexible qui se comporte alors comme un rideau partiellement ou
complètement encastré (fig. 4b).
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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques

Equilibre d’un rideau buté en pied et « tenu » en tête


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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques
Un rideau non ancré subit
une rotation autour d'un
point situé dans sa partie
en fiche.
Le calcul est fait sur la
base des hypothèses
simplificatrices suivantes:

Les efforts appliqués au


rideau au-dessus de l'axe
de rotation correspondent
à la poussée et à la butée
maximales données par
Equilibre d’un rideau simplementlesbuté
théories classiques;
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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques
La hauteur sur laquelle
s'exerce les efforts de
contre-butée est égale à
20 % de la hauteur de
butée f0
f0
Les efforts de contre
butée peuvent être
remplacés par une force C
O C appliquée au niveau du
0.2f0
centre de rotation O .

Equilibre d’un rideau simplement buté


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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques

Nota: Certains projeteurs adoptent comme hauteur de contre-butée la valeur 0,2


f ce qui conduit à une fiche un peu supérieure.
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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques
 Les deux inconnues du problème sont alors f0 et C; f0 est
déterminé en écrivant l'équilibre des moments autour du point
O : on obtient une équation d u troisième degré en f0.
 La fiche du rideau est alors D = f+0.2 f0.
 La contre-butée s'obtient en projetant sur un axe horizontal: C =
B'—P'
 La fiche ainsi calculée correspond à l'équilibre limite du rideau.
En pratique on affecte un coefficient de sécurité de 2 au
coefficient de butée pris en compte dans les calculs.

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)

Equilibre d’un rideau encastré et « tenu » en tête


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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)
 On admet, pour le calcul, que la pression des terres se distribue
le long du rideau de la même façon que dans le cas d'un rideau
non ancré.
 Le problème comporte alors trois inconnues, la force d'ancrage T
, la contre-butée C et la fiche D.
 Ces inconnues ne pouvant être obtenues uniquement à partir
des équations de la statique une condition supplémentaire doit
être imposée.

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)
 Cette condition fait intervenir la déformée du rideau ou ligne
élastique; on admet que le rideau est complètement encastré
lorsque la tangente à la ligne élastique au point d'application O
de la contrebutée est verticale, c'est-à-dire que la rotation du
rideau est nulle au point O.
 En pratique, le calcul est fait par approximatives successives. On
se donne une valeur D de la fiche, on détermine les valeurs de T
et de C correspondantes au moyen des équations d'équilibre. On
en déduit le diagramme des moments fléchissants et, par une
double intégration, la déformée du rideau (les deux constantes
d'intégration sont déterminées en écrivant que le point
d'ancrage et le point O ne subissent aucun déplacement).
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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)
 On calcule ensuite la rotation en O, qui n'est généralement pas
nulle au premier essai.
 On recommence le calcul avec d'autres valeurs de D jusqu'à ce
que la condition de rotation nulle soit vérifiée.
 Cette méthode qui conduit à des calculs longs et fastidieux est
assez peu employée.

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)
 L'étude des résultats obtenus par la méthode de la ligne
élastique a permis de dégager deux méthodes de calcul
simplifiées des rideaux ancrés.
 La première méthode, fondée sur la constatation que le point U
de contrainte résultante nulle est voisin du point de moment
fléchissant nul, admet que ces deux points sont confondus.
 Les deux parties SU et UO du rideau peuvent alors être
considérées comme deux poutres sur appuis simples auxquelles
sont appliqués les efforts représentés sur la figure suivante.
 Les équations d'équilibre appliquées à la partie supérieure
permettent de déterminer la force d'ancrage T et la réaction R.

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)
 Les équations d'équilibre appliquées à la partie supérieure
permettent de déterminer la force d'ancrage T et la réaction R.
 De l'équilibre de la poutre inférieure on tire les relations: (2/3)f0
B' = f0C , C = (2/3)B' et R = B'-C =B’/3.
 La distribution des contraintes dans la partie en fiche étant
connue, f0 se déduit immédiatement de B' .

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)
 La seconde méthode utilise une relation établie par Blum entre
la position du point de moment fléchissant nul et l'angle de
frottement interne du sol.
 Le point de moment fléchissant nul étant connu, le rideau peut
être découpé en deux éléments que l'on étudie comme des
poutres sur appui simple.

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Perfectionnement
• Approches expérimentales et théoriques
• Approches théoriques (méthode de la ligne élastique)

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Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Equilibre limite de poussée / butée

ν
k0 = ,formule de l'élasticité
1 −ν
k0 = 1 − sinϕ ' ,formule dite de Jacky (matériaux pulvérulents)
σ p'
k0 = (1 − sinϕ ) OCR ,formule dite de Jacky pour les matériaux surconsolidés, OCR = '
'

σv0
k0 = (1 − sinϕ ' ) × (1 + sin β ),formule dite de Jacky pour un talus de pente β

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Actions de poussée / butée

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Actions de poussée / butée

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Coulomb

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Coulomb
γ h2
W= ,pas de frottement sur le mur
2tgθ
Projection sur l'axe Ox: P = R sin(θ − ϕ )
Projection sur l'axe Oy: W=Rcos(θ − ϕ )
γ h2 tg(θ − ϕ )
P = Wtg(θ − ϕ ) =
2 tgθ
∂P tgθ tg(θ − ϕ )
Max(P)pour =0⇔ − =0
∂θ cos (θ − ϕ ) cos (θ )
2 2

π ϕ
Soit: sin2θ =sin(2θ -2ϕ ) ⇒ θ = + [π ]
4 2
γ h2 2π ϕ  γ h2
En posant : P = ka = tg  − 
2 4 2 2

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Poncelet / généralisation de la théorie de Coulomb

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Poncelet / généralisation de la théorie de Coulomb

cos2 (ϕ − λ )
ka = 2
 sin(ϕ + δ a )sin(ϕ − β ) 
cos(λ + δ a ) 1 + 
 cos( λ + δ a )cos( β − λ ) 
γ 2
P = ka
2
 1 sin(δ a + ϕ )cos(β − λ ) 
θa = ϕ + arctg tg(ϕ − λ ) + 
 cos(ϕ − λ ) sin(ϕ − β )cos(δ a + λ ) 

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
• En plus des hypothèses précédentes:
 Sol semi infini, homogène, isotrope
 Condition de déformations planes
 Critère de rupture de Mohr-Coulomb
 Massif à surface libre plane
• Rankine (1857) avait rajouté l’hypothèse que la présence de
l’écran ne modifie pas la répartition des contraintes dans le
massif

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 Avec cette hypothèse, on peut déterminer la répartition des
contraintes de poussée (ou de butée) le long d'un plan OD
représentant l’écran, dans le cas d'un sol pesant pulvérulent (g’,
s’, c’ = 0), non surchargé.
 Le calcul de la contrainte p à une profondeur z sur le plan OD
s'effectue à partir du cercle de MOHR, le plus petit pour
l'équilibre de poussée, passant par l'extrémité M du vecteur
contrainte qui s'exerce sur la facette parallèle à la surface libre et
tangent aux droites intrinsèques de COULOMB (τ = σ’ tgϕ’).

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 L'équilibre de butée s'étudierait à partir du cercle de MOHR, le
plus grand pour l'équilibre de butée, passant par le même point
M et tangent également aux droites intrinsèques de COULOMB.
 OM est le vecteur contrainte γ’z.cosβ s’exerçant sur la facette
parallèle à la surface libre, à une profondeur z.
 OM’ est le vecteur contrainte p* s’exerçant sur la facette
verticale à la même profondeur z. Ces deux contraintes sont
conjuguées.
 ON est le vecteur contrainte p s’exerçant sur la facette inclinée
de λ à la même profondeur z.

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 l'angle δ, que fait le vecteur contrainte p avec la normale à la
facette dépend de ϕ, λ et β. Il est constant quelle que soit la
profondeur z puisqu’il ne dépend pas de z:

sinϕ sin(2λ + α − β
tgδ =
1 − sinϕ cos(2λ + α − β )

sin β
sinα =
sinϕ

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 En particulier, si l’écran est vertical, le cercle de Mohr montre
directement que δ = β, le vecteur contrainte de poussée est
parallèle à la pente.
o Les lignes de glissement, enveloppes des facettes de glissement
forment un réseau de droites faisant entre elles un angle p/2-ϕ
o La contrainte pa en un point du plan OD (écran fictif) est
proportionnelle au rayon polaire l. La distribution des contraintes
est donc triangulaire, pa fait un angle δ avec la normale à l’écran.

 cos(λ − β )sinα 
pa =  [1 − sinϕ cos(2λ + ϕ − β ] γ 
 cos δ sin(α + β ) 
δ : inclinaison de la normale / écran

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine, cas particulier
 Les hypothèses sont les suivantes :
o λ = β = δa = 0 ( pas de frottement sol-écran)
o ϕ ‘≠ 0
o c’ = 0
o Au repos, au point M (σ’v0, σ’h0), la contrainte verticale σ’v0 = γ’ h et
la contrainte horizontale σ’h0 = K0γh sont principales. Le tracé du
cercle de MOHR est donc immédiat.

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 Cas particulier λ = β = δa = 0 ( pas de frottement sol-écran) et sol
pulvérulent
σ a' 1 − sinϕ π ϕ 
ka = ' = = tg2  − 
σ v 0 1 + sinϕ 4 2
σ p' 1 + sinϕ π ϕ 
kp = ' = = tg 2  + 
σ v 0 1 − sinϕ 4 2
1
ka =
kp

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 Cas particulier λ = β = δa = 0 ( pas de frottement sol-écran) et sol
purement cohérent
σ a = σ v − 2cu
σ p = σ v + 2cu

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 Cas particulier λ = β = δa = 0 ( pas de frottement sol-écran) et sol
frottant et cohérent

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 Cas particulier λ = β = δa = 0 (pas de frottement sol-écran) et sol
frottant et cohérent
 On applique le théorème des états correspondant de Caquot

1 − sinϕ ' ' ' cos ϕ


'
σ =
'
a σ − 2c
' v0
1 + sinϕ 1 + sinϕ '
π ϕ '
σ a' = kaσ v' 0 − 2c'tg( − ) = kaσ v' 0 − 2c' ka
4 2
1 + sinϕ ' ' ' cos ϕ
'
σp =
'
σ v 0 + 2c
1 − sinϕ ' 1 + sinϕ '
π ϕ'
σ = kpσ − 2c tg( + ) = kpσ v' 0 + 2c' kp
'
a
'
v0
'

4 2

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Rankine
 Cas particulier λ = β = δa = 0 ( pas de frottement sol-écran) et sol
frottant et cohérent

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq
 BOUSSINESQ (1882) a amélioré la théorie de RANKINE en
prenant l'interaction réelle entre le sol et l'écran, c'est-à-dire en
choisissant la valeur de l'angle de frottement δ sol-écran.
 Dans cet équilibre, BOUSSINESQ considère une première zone où
on a l'équilibre de RANKINE se raccordant à une seconde zone où
il tient compte des conditions aux limites sur l'écran.

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq
 BOUSSINESQ garde les résultats de RANKINE concernant la
répartition des contraintes sur l'écran :
o L'obliquité des contraintes est constante le long de l'écran OD, elle
est choisie et fixée à δa ;
o La répartition des contraintes sur l'écran est triangulaire :

pa = kaγ 

 Si BOUSSINESQ avait bien posé le problème, il n'a été résolu


qu'en 1948 par CAQUOT et KERISEL

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq (Résolution de Caquot & Kerisel)
Passage en coordonnées polaires:
 ∂σ r ∂τ σ r − σ θ
 ∂r + r ∂θ + = γ cosθ
r + CDL (Contraintes de Mohr Coulomb)

 ∂τ r + ∂σ θ + 2 τ = −γ sinθ
 ∂r r ∂θ r

 ∂σ θ
 ∂θ + 3τ = −γ r sinθ

 ∂τ + 2(σ − σ ) = γ r cosθ
θ
 ∂θ r

avec : σ θ = kσ r

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Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq (Résolution de Caquot & Kerisel)
 Le système des deux équations différentielles a été intégré par
Caquot et Kérisel, les calculs étant améliorés par ABSI pour
donner des tables complètes de poussée et de butée fournissant
les coefficients ka et kp.
 Le problème est déterminé par les conditions aux frontières :
o surface libre : contraintes nulles
o sur l’écran : obliquité imposée da de la contrainte.
 Entre la surface libre et la première ligne de glissement on a un
équilibre de Rankine et entre la première ligne de glissement et
l’écran un équilibre de Boussinesq.

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq (Résolution de Caquot & Kerisel)
 Entre la surface libre et la première ligne de glissement on a un
équilibre de Rankine et entre la première ligne de glissement et
l’écran un équilibre de Boussinesq.
 Le tracé des lignes de glissement montre que les lignes de
glissement diffèrent peu de lignes droites dans le cas d’équilibre
de poussée, par contre elles s’en éloignent fortement dans le cas
d’équilibre de butée.

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq (Résolution de Caquot & Kerisel)

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq (Résolution de Caquot & Kerisel)

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action du sol sur les soutènements
• Théorie de Boussinesq (Résolution de Caquot & Kerisel)

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
72 O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Prise en compte de l’eau
 Nappe(s) statique(s) si pas d’écoulement
x
C

Hwam

Hwav
uam = gwHwam f
uav = gwHwam
Horizon étanche

z Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Notion de perte de charge
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

u
H= +z
γw
v = ki

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Aspect réglementaire
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Niveaux réglementaires

EB: Eaux basses


EC: Eaux chantier
EH: Eaux hautes
EF: Eaux fréquentes
EE: Eaux exceptionnelles

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Aspect réglementaire

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Aspect réglementaire

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Aspect réglementaire

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Aspect réglementaire

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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1.Le sol 2.Mécanismes de rupture 3.Essais de sol 4. Fondations 5. Amélioration des sols
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Sournoise…
1.Le sol 2.Mécanismes de rupture 3.Essais de sol 4. Fondations 5. Amélioration des sols
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La gestion du risque géotechnique

Et soudaine…
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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Equipotentielles
Surface de suintement

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Choix et calcul du rayon d’action
Formule de Sichardt (Estimation du rayon d’action Ra)
R a = 3000 ⋅ (H − h0 ) ⋅ k
R
Puit de pompage

Régime non perturbé

h0
H

Substratum imperméable

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Choix et calcul du rayon d’action

Formule de Sichardt (Estimation du rayon d’action Ra)

R a = 3000 ⋅ (H − h0 ) ⋅ k

Exemple d’application

10−8 m s < k < 10−3 m s , ∆h = H − h0 = 3 m


   
Argiles Graves

k (m s ) 10− 8 10− 7 10− 6 10− 5 10− 4 10− 3


R a (m) 0.90 2.85 9.00 28.46 90.00 284.60

Compatibilité entre modèle mécanique et modèle hydrogéologique !

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Tranchée H = 3 m x L = 1 m

50 m

Condition de symétrie
Frontière H = 20 m

40 m
kx = ky = 10-5 m/s
30 m

20 m

10 m
Substratum imperméable

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
20

19.5
Charge hydraulique H (m)

19

18.5

18

10 20 30 40 50
Rayon d'action R a (m)

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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
L = 40 m

Configuration 1a et 1b
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Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
L = 20 m L = 10 m

Configuration 2 Configuration 3
Une expertise qui fait la différence
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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Repérage des plans de coupe


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Ecoulement derrière un rideau de palplanches

Caractéristiques géométrique de la fouille


 Profondeur de la fouille : Hf = 7 m

 Hauteur du rideau
Configurations 1a, 2 et 3 : Hr = 10 m
Configuration 1b : Hr = 15 m

 Largeur transversale totale de la fouille : L f = 20 m

Caractéristiques géotechniques
 Sable fin homogène, Nappe à -2m / TN, Ancrage à -1 m / TN
kh = k v = 10−5 m s
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
c ' = 5 kPa , ϕ' = 35° , Rint er = 2 3

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Synthèse des résultats

Configurations Rideau 1a Rideau 1b Rideau 2 Rideau 3


∆h (m) 5.40 4.30 4.20 3.00
Q( x = −5 m) 15.11 11.85 23.82 33.37
Q( x = −15 m) 15.06 11.66 23.97 -
Q( x = −25 m) 15.00 11.64 - -
Q( x = −35 m) 15.05 11.79 - -
Q 15.06 11.74 23.90 33.37
∆Q - -22% +59% +210%

Nota : Q (m3 s m) × 10−6

Incidence des CDL / dispositions constructives !

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Synthèse des résultats

Rideau Rideau
Configurations Rideau 2 Rideau 3
1a 1b
M ELS ( kNm m  ) 68.37 81.31 86.61 158.12
ancrage
TELS ( kN m  ) 81.01 101.90 67.82 87.07
CS 1.56 2.41 1.37 1.20

Adm
Rappel PU 18 M ELS ( kNm m  ) = 282 , σ e = 235 MPa

Incidence des CDL / dispositions constructives !

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Mécanisme de rupture par perte de butée de pied

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Théorie de Mandel

Cas d’un rideau ancré dans une couche de sol infini


Prise en compte des gradients hydrauliques

∆h2 Perte de charge aval


Si on pose ρ = =
∆h Perte de charge totale
La solution exacte donnée par Mandel est :
d
tan( πρ) − πρ = π 2
∆h
Ou encore de de façon approchée :
0.81
ρ = 0.095 +
∆h
1+ 1+
d2

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Théorie de Mandel

Cas d’un rideau ancré dans une couche de sol finie


Prise en compte des gradients hydrauliques

∆h2 Perte de charge aval


Si on pose ρ = =
∆h Perte de charge totale

La solution approchée donnée par Mandel est :


1 8 1 
−ρ = ⋅  − ρ1
2 2
π 2 
 T22 
T
ln 2 + − 1
 T1 − d1 2 
(T1 − d1)
ρ1 =  
 T12   T22 
T T
ln 1 + − 1 + ln 2 + − 1
 T1 − d1 2   T − d 2 
(T1 − d1) 1 1 (T1 − d1)
   

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Approche en régime permanent

Approche hydrostatique

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

U max = 80 kPa U max = 54 kPa

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
Synthèse des résultats

Rideau 4 Rideau 5
Configurations
(Avec écoulement) (Cas hydrostatique)
MELS (kNm m) 175.15 199.32
ancrage
TELS (kN m) 107.50 123.50
CS 1.22 1.30

∆h2 (Mandel) = 2 m , ∆h2 (PLAXIS) = 2 m


∆h = 5 m , ρ = 0.4026 m
Adm
Rappel MELS (kNm m) = 282 , σe = 235 MPa

Incidence des CDL / phasage de construction


Prise en compte des gradients hydrauliques

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
L = 25m

H = 7m

Sables dense H = 8m
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 0kPa, ϕ ' = 35°
kh = kv = 10 −6 m s
H = 15m

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

statique
uam = 130kPa
hydrodynamique
uam = 110.9kPa Principe de Terzaghi

ustatique
av = 80kPa σ h' = σ h − u
hydrodynamique
uav = 109.4kPa

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

∆ham −2 − (−3.5) ∆hav −4.5 − (−7)


iam = = = 0.11m iav = = = 0.31m
ham 13 hav −8
0.81 0.81
ρ = 0.095 + = 0.095 + = 0.4511
∆h 5
1+ 1+ 1+ 1+
d2 8
∆h2 = ρ∆h = 0.4511 × 5 = 2.2554
∆h2 2.2554
iav (Mandel) = = = 0.2819
d2 8
iav (PLAXIS) = 0.31
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement
0.81 0.81
ρ = 0.095 + = 0.095 + = 0.4511
∆h 5
1+ 1+ 1+ 1+
d2 8
∆h2 = ρ∆h = 0.4511 × 5 = 2.2554
∆h2 2.2554
iav (Mandel) = = = 0.2819
d2 8
iav (PLAXIS) = 0.31
∆ham + ∆hav = ∆h ⇔ ∆ham = 5 − 2.2554 = 2.7446
∆ham 2.7446
iam (Mandel) = = = 0.2111
da m 13
iam (PLAXIS) = 0.11
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

v = ki
0.4773 + 0.2377 −6
vmoyen = 10 = 0.3575 × 10 −6 m s
2
k = 10 −6 m s
moyen
iav = 0.3575

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Modélisation
 Nappe(s) hydrodynamique(s) si écoulement

γ'
ic =
γw
0.9
= 1.5
1.35

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Evaluation des débits / Loi sur l’eau
 Evaluation des débits, abaque de Davidenkoff

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Evaluation des débits / Loi sur l’eau
 Evaluation des débits, abaque de Davidenkoff

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Evaluation des débits / Loi sur l’eau
 Evaluation des débits, abaque de Davidenkoff

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Evaluation des débits / Loi sur l’eau
 Evaluation des débits, abaque de Davidenkoff
L = 25m

H = 7m
b = 25m
T1 = 30m H = 8m
T2 = 23m
d1 = 15m
d2 = 8m
H = 15m
∆ h = 7m
∆ h2 (PLAXIS) = 0.31 × 7 = 2.17m
∆ h2 (MANDEL) = 0.2819 × 7 = 1.9733
Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Evaluation des débits / Loi sur l’eau
 Evaluation des débits, abaque de Davidenkoff

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Evaluation des débits / Loi sur l’eau
 Evaluation des débits, abaque de Davidenkoff / PLAXIS (1/2
rideau) QPLAXIS = 3.99 × 10 −6 m s
k∆H 10 −6 × 7
QDAVIDENKOFF = = = 7.85 × 10 −6 m3 s
Φ1Φ2 0.85 × 1.05
T2 23
= = 0.92
b 25
d1 15
= = 0.50 ⇒ Φ1 = 1.05
T1 30
d2 8
= = 0.3478 ⇒ Φ2 = 0.85
T2 23
k∆H 10 −6 × 5
QDAVIDENKOFF = = = 5.61 × 10 −6 m3 s
Φ1Φ2 0.85 × 1.05
Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action de l’eau sur les soutènements
• Evaluation des débits / Loi sur l’eau
 Evaluation des débits, abaque de Davidenkoff / PLAXIS (1/2
rideau)

h
QPLAXIS = ∫ qx dh
0

kh = 10kv = 10 −5 m s
kmoy = kh kv ≈ 3kv = 3 × 10 −6 m s
QPLAXIS = 11.13 × 10 −6 m3 s
Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
130 O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action sur les soutènement, surcharges amont
• Surcharges amont, rappel NF P 94 282, § 15.3

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Surcharges amont, rappel NF P 94 282, § 15.3

H = 7m

H = 7m

H = 8m

Sables dense
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 5kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Surcharges amont, rappel NF P 94 282, § 15.3

CS = 1.8 CS = 2.2
Mmax = 233 kNm/ml Mmax = 202.9 kNm/ml
Tmax = 126.50 kN/ml Tmax = 94.79 kN/ml
Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
134 O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Incidence de la rigidité du rideau

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
z
q

Zwam

g, g’, c’, f’

Zwav

x
C
Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
z
q

g, g’, c’, f’

x
C
Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
z
q

g, g’, c’, f’

x
C
Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
z
q g, g’, c’, f’

Hypothèse de Rankine
Zwam B da = dp = 0
ka= (1-sinf’)/(1+sinf’)
kp=1/ka
H

C A Zwav
F

E D
f
G
H I
x
C
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
Sol homogène
g, g’, c’, f’

Hypothèse de Rankine
da = dp = 0
ka= (1-sinf’)/(1+sinf’)
kp=1/ka

Hypothèse hydraulique
Zwam = H+f
Zwav = f

Résolution
SM/O=0
SF=0, approche F et D
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
N° F d/O M/O
A kaq(H+f) (H+f)/2 kaq(H+f)2/2
B kag(Zwam)2/2 H+f-2Zwam/3 Kag(Zwam)2(H+f-2Zwam/3)/2
C kagZwam (H+f-Zwam) (H+f-Zwam)/2 kagZwam (H+f-Zwam) /2
D Kag’(H+f-Zwam)2/2 (H+f-Zwam)/3 Kag’(H+f-Zwam)3/6
E gw(H+f-Zwam)2/2 (H+f-Zwam)/3 gw(H+f-Zwam)3/6
F -kpg(Zwav)2/2 f-2Zwav/3 -kpg(Zwav)2(f-2Zwav/3)/2
G -kpgZwav(f-Zwav) (f-Zwav)/2 -kpgZwav (f-Zwav)2 /2
H -kpg’(f-Zwav)2/2 (f-Zwav)/3 -kpg’(Zwav)3/6
I -gw (f-Zwav)2/2 (f-Zwav/3 -gw (Zwav)3/6

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Analyses analytiques des configurations A et B
Sol homogène, q = 0 kPa , u = 0 Sol homogène, q = 0 kPa, u ≠ 0 (nappe au TN)
kaγ kp*γ 3 kaγ ' + γ w kp*γ ' + γ w 3
∑ M / O = 6 (H + f ) − 6 f = 0
3
∑ M / O = ( 6 )(H + f ) −( 6 ) f = 0
3

f k f k
On pose α = et kp* = p On pose α = et kp* = p
H CS H CS
ka (1 + α )3 = kp*α 3 ka (1 + α )3 = kpα 3

1+α kp* 1+α kp*γ ' + γ w


=3 =3
α ka α kaγ ' + γ w

1 kp* 1 kp*γ ' + γ w


=3 −1 =3 −1
α ka α kaγ ' + γ w
f 1 f 1 1
= = ≈
H kp* H kp*γ ' + γ w 1 + kp*
3 −1 3 −1 3 −1
ka kaγ + γ w
'
1 + ka
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
Rideau autostable sol homogène nappe q
Hypothèses de calcul
H 8.000 m Hauteur excavée
ZAM 1.500 m Distance de la nappe amont / TN amont ZAM
ZAV 0.000 m Distance de la nappe aval / Fond de fouille
DELTAA 0.000 Obliquité poussée
DELTAP 0.000 Obliquité butée
PHI 30.000 Angle de frottement effectif H
KA 0.333 Coefficient de poussée
KP 3.000 Coefficient de butée
CS 2.000 Coefficient de sécurité sur la butée
KPM 1.500 Coefficient de butée modifié
GAMMA 20.000 kN/m3 Poids volumique humide ou saturé
GW 10.000 kN/m3 Poids volumique de l'eau ZAV
GAMMAD 10.000 kN/m3 Poids volumique déjaugé
q 10.000 kPa Surcharge amont
f 32.268 m fiche
Nota: si pas de nappe, prendre GW=0
f

Détermination de la fiche
Moment
M1 2702.561 kNm/ml Moment surcharge amont
M2 32371.145 kNm/ml Moment poussée sol sous la nappe
M3 7514.909 kNm/ml Moment surcharge sol au dessus de la nappe amont
M4 294.512 kNm/ml Moment poussée sol au dessus de la nappe
M5 97113.434 kNm/ml Moment poussée eau amont
M6 0.000 kNm/ml Moment butée sol au dessus de la nappe
M7 0.000 kNm/ml Moment surcharge sol au dessus de la nappe
M8 -83997.936 kNm/ml Moment butée sol sous la nappe aval
M9 -55998.624 kNm/ml Moment poussée eau aval
0.001 kNm/ml Somme des moments

Moment de flexion (kNm/ml) Effort tranchant (kN/ml)


9 9

8 8

7 7

6 6

5 5

4 4

3 3

2 2

1 1

0 0
0 2000 4000 6000 8000 10000 0 200 400 600 800 1000
-1 -1
Moment de flexion
-2 -2 Effort tranchant (kN/ml)
(kNm/ml)
-3 -3

-4 -4

-5 -5

-6 -6

-7 -7

-8 -8

-9 -9

-10 -10

-11 -11

-12 -12

-13 -13

Moment max 9390.694 kNm/ml T max 809.405 kN/ml


Moment min 0.000 kNm/ml T min 0.000 kN/ml

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa ou Analytique
10.00

9.00

8.00

7.00 δa = δ p = 0
6.00
kp/2.0 sans nappe
f/H

5.00
kp/1.5 sans nappe
4.00 kp/1.5 avec nappe
kp/2.0 avec nappe
3.00

2.00

1.00

0.00
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
f(°)

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A, situation durable

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Approche MEL Kréa, configuration A, situation provisoire

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Influence des surcharges, configuration A (sans nappe)
4.50

4.00
δa = δ p = 0
3.50

3.00

2.50 kp/2, sans eau, q=10 kPa, H=5m


f/H

2.00 kp/2, sans eau, q=10kPa,


H=7.5m
1.50 kp/2, sans eau, q=10kPa, H=10m

1.00

0.50

0.00
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
f(°)

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Influence des surcharges, configuration A (sans nappe)
6.00

5.00 δa = δ p = 0

4.00

kp/2, sans eau, q=10 kPa, H=5m


f/H

3.00
kp/2, sans eau, q=30 kPa, H=5m

2.00 kp/2, sans eau, q = 50 kPa,


H=5m

1.00

0.00
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
f(°)

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Influence de l’obliquité des contraintes (composantes
horizontales)

j’(0) da=0 dp=0 da=1/3 dp=-1/3 da=2/3 dp=-2/3


20 0.490 2.050 0.463 2.386 0.430 2.682
25 0.406 2.450 0.381 3.073 0.349 3.557
30 0.333 3.000 0.312 3.950 0.282 5.001
35 0.271 3.700 0.254 5.308 0.227 7.388
40 0.217 4.600 0.204 7.743 0.181 10.821

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Influence de l’obliquité des contraintes
kp/2, sans eau, q=0 kPa, H=5m
4.00

3.50

3.00

2.50

da = db = 0
f/H

2.00
|da| = |db| = 1/3
1.50
|da| = |db| = 2/3
1.00

0.50

0.00
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
f(°)

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants
C
x

Cas sans surcharge et sans nappe


kaγ (H + f )3 kpγ f (H + 2 f 3)
* 2
H
=
3 2
g, g’, c’, f’ H kp
On pose α = et kp = *

f CS
ka (1 + α )3 = kp* (2 + 3α )
f γ
Tbuton = ka (H + f )2 − kp* f 2 
2

z Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants
Cas sans surcharge et sans nappe
Pour z ≤ H
kaγ z 2
T (z) = − Tbuton
2
kaγ z 3
M( z ) = − Tbuton z
6
∂ 2u M ∂u 1  kaγ z 4 z2 
2
= ⇒ =  − Tbuton + α  ⇒
∂z E paroi Iparoi ∂z E paroi Iparoi  24 2 
1  kaγ z 5 z3 
u(z) =  − Tbuton + α z + β 
E paroi Iparoi  120 6 
Tbuton TbutonE paroi Iparoi
CDL : u(z = 0) = ⇒ β=
kbuton kbuton
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants
Cas sans surcharge et sans nappe
Pour z > H
kaγ z 2 kp*γ (z − H)2
T (z ) = − Tbuton −
2 2
kaγ z 3 kp*γ (z − H)3
M( z ) = − Tbuton z −
6 6
∂ 2u M ∂u 1  kaγ z 4 kp*γ (z − H)4 z2 
= ⇒ =  − − Tbuton + α  ⇒
∂z 2 E paroi Iparoi ∂z E paroi Iparoi  24 24 2 
1  kaγ z 5 kp*γ (z − H)5 z3 
u(z) =  − − Tbuton + α z + β 
E paroi Iparoi  120 120 6 

1  kaγ (H + f )5 kpγ f (H + f )3 TbutonE paroi Iparoi 


* 5
CDL : u(z = H + f ) = 0 ⇒ α = −  − − Tbuton + 
(H + f )  120 120 6 kbuton 
Une expertise qui fait la différence
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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Exemple d’un rideau buté en pied, butonné en tête
Approche avec surcharge + sans nappe

∑M / C = 0

ka q(H + f )2 kaγ (H + f )3 kpγ f (H + 2 f 3)
* 2
+ =
2 3 2
γ
Tbuton = kaq(H + f ) + ka (H + f )2 − kp* f 2 
2
* kp
Avec kp =
CS

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Exemple d’un rideau buté en pied, butonné en tête
Approche avec surcharge + nappe au TN

∑M / C = 0

ka q(H + f )2 kaγ ' (H + f )3 γ w (H + f )3 kpγ f (H + 2 f 3) γ w f 2 (H + 2 f 3)
* ' 2
+ + = +
2 3 3 2 2
γ' γ
Tbuton = kaq(H + f ) + ka (H + f )2 − kp* f 2  + w (H + f )2 − f 2 
2 2
*
kp
Avec kp =
CS

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Exemple d’un rideau buté en pied, butonné en tête
Pour z ≤ H
(kaγ ' + γ w )z 2
T (z) = ka qz + − Tbuton
2
kaqz 2 (kaγ ' + γ w )z 3
M( z ) = + − Tbuton z
2 6

Pour z ≥ H
(kaγ ' + γ w )z 2 (kp*γ ' + γ w )(z − H)2
T (z) = ka qz + − Tbuton −
2 2
ka qz 2 (kaγ ' + γ w )z 3 (kp*γ ' + γ w )(z − H)3
M( z ) = + − Tbuton z −
2 6 6

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Exemple d’un rideau buté en pied, butonné en tête

Pour z ≤ H
(kaγ ' + γ w )z 2
T (z) = ka qz + − Tbuton
2
kaqz 2 (kaγ ' + γ w )z 3
M( z ) = + − Tbuton z
2 6
∂ 2u(z) M( z ) 1  kaqz 4 (kaγ ' + γ w )z 5 z3 
= ⇒ u(z) =  + − Tbuton + α z + β 
∂z 2 E paroi Iparoi E paroi Iparoi  24 120 6 
β Tbuton TbutonE paroi Iparoi
u(z = 0) = = ⇔ β=
E paroi Iparoi kbuton kbuton

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Exemple d’un rideau buté en pied, butonné en tête

Pour z ≥ H
(kaγ ' + γ w )z 2 (kp*γ ' + γ w )(z − H)2
T (z) = kaqz + − Tbuton −
2 2
kaqz 2 (kaγ ' + γ w )z 3 (kp*γ ' + γ w )(z − H)3
M( z ) = + − Tbuton z −
2 6 6
∂ 2u(z) M(z ) 1  kaqz 4 (kaγ ' + γ w )z 5 (kp*γ ' + γ w )(z − H)5 z3 
= ⇒ u(z) =  + − − Tbuton + α z + β 
∂z 2 E paroi Iparoi E paroi Iparoi  24 120 120 6 

1  kaq(H + f )4 (kaγ ' + γ w )(H + f )5 (kp*γ ' + γ w ) f 5 (H + f )3 


u(z = H + f ) = 0 ⇔ α = −  + − − Tbuton +β
H+ f  24 120 120 6 

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Exemple d’un rideau buté en pied, butonné en tête
Hypothèses de calcul
γ h = 21 kN m3 , γ ' = 11 kN m3
c ' = 0 kPa , ϕ ' = 35°, δ a ϕ ' = 0 à 0.667, δ p ϕ ' = −0.667 à 0
H = 5m, zbuton = 0
q = 10 kPa
qs = 150kPa

Approches
ELS type kp α
ELU types 2 et type 3 NF P 94 − 282
Avec eau et sans eau
Avec écoulement et sans écoulement
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants
Effort tranchant (kN/ml) Moment fléchissant Déplacement (mm)
-50 0 50
(kNm/ml) 0 20 40
0 -80 -60 -40 -20 0 0
0

1 1 APPROCHE MEL
1
Phase Fond de Fouille
2
2
2 Mmax = 72.17 kNm/ml
Tbuton = 34.27 kN/ml
3 3
3 Tmax = 41.28 kN/ml
4
4
4 dmax,h = 33.94 mm
CS =2.0
5 5 5

6 6 6

7 7 7

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants

APPROCHE MISS-K
Phase Fond de Fouille
Mmax = 58.46 kNm/ml
Tbuton = 30.01 kN/ml
Tmax = 43.19 kN/ml
dmax,h = 30.01 mm
CS =1.15

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure

Palplanche PU22
6m

4m k = 106 kN/ml
I = 49460 cm4
A = 183 cm2
E = 2.1x108 kPa
T = 59 kN/ml
Sables denses smax = 84 kPa
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure

Palplanche PU8
6m

4m k = 106 kN/ml
I = 11620 cm4
A = 116 cm2
E = 2.1x108 kPa
T = 56 kN/ml
Sables denses smax = 100 kPa
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure

Palplanche PU8
6m

4m k = 103 kN/ml
I = 11620 cm4
A = 116 cm2
E = 2.1x108 kPa
T = 38 kN/ml
Sables denses smax = 110 kPa
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure

Palplanche PU22
6m

3m k = 103 kN/ml
I = 49460 cm4
A = 183 cm2
E = 2.1x108 kPa
T = 42 kN/ml
Sables denses smax = 85 kPa
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure

Palplanche PU22
6m

2m k = 103 kN/ml
I = 49460 cm4
A = 183 cm2
E = 2.1x108 kPa
T = 42 kN/ml
Sables denses smax = 83 kPa
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure

Palplanche PU22
6m

1.75m k = 103 kN/ml


I = 49460 cm4
A = 183 cm2
E = 2.1x108 kPa
T = 50 kN/ml
Sables denses smax = 124 kPa
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure

Palplanche PU22
6m 7.75
Pa = ∫ σ h' dh = 157.06 kN ml
1.75m 0 k = 103 kN/ml
1.75
I = 49460 cm4
Pb = ∫
0
σ h' dh = 108.45 kN ml A = 183 cm2
E = 2.1x108 kPa
Tbuton = 49.50 kN ml
T = 50 kN/ml
Sables denses smax = 124 kPa
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3 Pb + Tbuton = 157.95 kN ml
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée

7.75
Pa = ∫
0
σ h' dh = 157.06 kN ml

Plot area from baseline 0:


Worksheet = Worksheet2
X Column = C
Y Column = D
Above Baseline Area = 0
Below Baseline Area = 157.055771984
Total Area = 157.055771984

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de butée

1.75
Pb = ∫
0
σ h' dh = 108.45 kN ml

Plot area from baseline 0:


Worksheet = Worksheet2
X Column = A
Y Column = B
Above Baseline Area = 0
Below Baseline Area = 108.447292257
Total Area = 108.447292257

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée et de butée, approche Kréa

tgϕinterface
'
σ h'
Rint er =
tgϕ '
τ τ
tgδ = = tgϕ '
interface = Rint er tgϕ '
δ
σ h'
arctg(Rint er tgϕ ' )
δ ϕ = '

ϕ'
Pour Rint er = 0.67 et ϕ ' = 35°

δ = 25.13° et δ ϕ ' = 0.71

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée et de butée, approche Kréa

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée et de butée, approche Kréa

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée et de butée, approche Kréa

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée et de butée, approche Kréa

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée et de butée, approche Kréa

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des efforts de poussée et de butée
π ϕ'
θ= + kaPLAXIS = 0.290
4 2
kaCaquot −Kerisel (δ ϕ ' = 0.71) = 0.226
RANKINE 1 − sinϕ '
ka = = 0.271
1 + sinϕ '

kpPLAXIS = 3.934
kpCaquot −Kerisel ( −δ ϕ ' = 0.71) = 7.593
π ϕ'
θ= − RANKINE 1 + sinϕ '
4 2 k p = = 3.690
1 − sinϕ '

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants
APPROCHE MISS-F PLAXIS
Phase Fond de Fouille
Mmax = 125.7 kNm/ml
Tbuton = 49.5 kN/ml
Tmax = 60 kN/ml
dmax,h = 51 mm
CS =1.1

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants
APPROCHE MISS-K KREA
da = dp = 0 (Rankine)
Phase Fond de Fouille
Mmax = 112.84 kNm/ml
Tbuton = 41.19 kN/ml
Tmax = 53.57 kN/ml
dmax,h = 41.19 mm
CS =1.15

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Interaction sol-structure
• Calcul des moments de flexion et efforts tranchants
APPROCHE MISS-K KREA
da = 0.71, dp = -0.71 (Caquot - Kerisel)
Phase Fond de Fouille
Mmax = 72.30 kNm/ml
Tbuton = 28.81 kN/ml
Tmax = 46.66 kN/ml
dmax,h = 29 mm !
CS =1.99

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
188 O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Rideaux autostables, approches MEL / MISS-K
z
Sables denses
q = 10 kPa
γ h = 20 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°
δ a ϕ ' = 2 3, δ p ϕ ' = −2 3

H=5 m kh = 25000 kN m3

g, g’, c’, f’

x
C
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Approche MEL / MISS-K
ksol = 25000 kN/m3
7
Solution MEL, f = 3.94m
6

4
Fiche (m)

3 ksol = 25000 kN/m3


Domaine de
2 non convergence
MISS-K
1

0
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5
Coefficient de sécurité sur la butée

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Approche MEL

f = 3.94 m

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité générale

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité
q = 10kPa

Mur poids béton


γ b = 23 kN m3 , E = 10000MPa , ν = 0.2

Sables argileux
γ h = 19 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 10kPa , ϕ ' = 30°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité

Approche CAR, CS = 1.75


Méthode Bishop

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité

Approche MEF, CS = 1.43

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité
Approche MEF, CS = 1.43

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité

Approche MEF, CS = 1.61

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité

Approche MEF, CS = 1.03

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Choix et pertinence du mécanisme de ruine pour l’évaluation
du niveau de sécurité

Approche CAR, CS = 1.12

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

D’après NF P 94 270 / XP 94 240

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Sables argileux 1
γ h = 19 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 10kPa , ϕ ' = 30°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Approche MEF, CS = 1.54

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Sables argileux
γ h = 19 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 10kPa , ϕ ' = 30°
épaisseur = 50 cm

Argile molle
γ h = 16 kN m3 , γ sat = 17 kN m3
Eu = 5MPa , cuu = 10kPa

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Approche MEF, CS = 1.22

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble
q = 10 kPa
Tube acier 500/15, esp = 5 m

H=5m
Palplanche PU18

f=5m

Sables moyennement dense


γ h = 19 kN m3 , γ sat = 21 kN m3
ref
E50 = 30MPa, c ' = 5kPa, ϕ ' = 30°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble
Umax = 25mm
Mmax = 218.2kNm/ml
Tbuton = 106.52kN/ml

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble
Tbuton = 195.60kN/ml

CS = 1.57
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Sables moyennement dense


γ h = 19 kN m3 , γ sat = 21 kN m3
ref
E50 = 30MPa, c ' = 5kPa, ϕ ' = 30°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

CS CAR = 2.05

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

CS CAR = 1.61
CS PLAXIS = 1.57

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

ycm

Argile molle
γ h = 16 kN m3 , γ sat = 17 kN m3
Eu = 1MPa , cuu = 10kPa
épaisseur = 50cm
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Ycm= 0m

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

CS = 1.20, Tbuton = 159.80kN/ml


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Ycm= 1m

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

CS = 1.34, Tbuton = 173.01 kN/ml


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Ycm= 2m

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

CS = 1.49, Tbuton = 183.57 kN/ml


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

Ycm= 3m

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Prise en compte d’hétérogénéité sur la stabilité d’ensemble

CS = 1.57, Tbuton = 194.35 kN/ml


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Approche MEF, CS = 1.34 Approche MEF, CS = 1.54


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Stabilité en pied de paroi !

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité générale des ouvrages
• Mécanismes de ruine pour les ouvrages en sols renforcés

Carte isovaleurs sxz


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent
Tube acier 500/15, esp = 5 m

5m 10m

Palplanche PU22
da = 2/3j et dp = -2/3j

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

Approche MEF, CS = 1.54


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

5m 10m

da = 2/3j
dp = -2/3j

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

da = 2/3j et dp = -2/3j

Approche MEF, CS = 1.57


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

da = 2/3j et dp = -2/3j

Approche MEF, CS = 1.57


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent
Tube acier 500/15, esp = 5 m

5m 10m

Palplanche PU22
da = 2/3j et dp = -2/3j

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 10kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des rideaux,
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 2/3j et dp = -2/3j

Approche MEF, CS = 2.0


Une expertise qui fait la différence
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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 2/3j et dp = -2/3j

Approche MEF, CS = 2.0


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 2/3j et dp = -2/3j

5m 10m

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 10kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 2/3j et dp = -2/3j

Approche MEF, CS = 2.0


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 2/3j et dp = -2/3j

Approche MEF, CS = 2.0


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 0 et dp = 0

5m 10m

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
ref
E50 = 30MPa , c ' = 10kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 0 et dp = 0

Approche MEF, CS = 1.71


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent et
cohérent, da = 0 et dp = 0

Approche MEF, CS = 1.71


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent
Tube acier 500/15, esp = 5 m

5m 10m

Palplanche PU22
da = 0 et dp = 0

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent
Butons élastiques
Butons élastoplastiques Fult = 150 kN
10m
Palplanche PU22

10m

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

CS = 2.0 Butons élastiques CS = 1.8


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

CS = 2.0 Butons élastoplastiques CS = 1.7


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent
Butons élastiques
Butons élastoplastiques Fult = 150 kN
10m
Palplanche PU22

5m

Sables denses
γ h = 18 kN m3 , γ sat = 20 kN m3
E5ref0 = 30MPa , c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

CS = 2.0 Butons élastiques CS = 1.6


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine, matériau pulvérulent

CS = 2.0 Butons élastoplastiques CS = 1.3


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité globale des rideaux
• Interaction des mécanismes de ruine

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
253 O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide », rappel NF P 94 282, § 15.3

qdst ;d ≤ qstb;d
qdst ;d : contrainte déstabilisatrice
qstb;d : contrainte stabilisatrice

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide », rappel NF P 94 282, § 15.3
qdst ;d ≤ qstb;d
qdst ;d = σ v' 1;k = γ∆Z1 + ∆Z f 1 (γ ' + iamont γ w )
ck'
qstb;d = Nqσ '
v 2;k + Nq − 1
tgϕk '

σ v' 2;k = γ∆Z2 + (γ ' − iavalγ w )∆Z f 2


γ'
Nota : ic =
γw
σ v' 1;k : contrainte verticale effective à la base de l'écran à l'amont
σ v' 2;k : contrainte verticale effective à la base de l'écran à l'aval
ϕk' : valeur caractéristique de l'angle de frottement effectif sous la base de l'écran
ck' : valeur caractéristique de la cohésion effective sous la base de l'écran
 π ϕk'  π tgϕk'
2
Nq = tg  +  e (terme de Terzaghi)
4 2 
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide », rappel NF P 94 282, § 15.3

qdst ;d ≤ qstb;d
qdst ;d = σ v 1;k = (∆Z1 + ∆Z f 1 )γ
qstb;d = σ v 2;k + (π + 2)cu;k
σ v 1;k : contrainte verticale totale à la base de l'écran à l'amont
σ v 2;k : contrainte verticale totale à la base de l'écran à l'aval
cu ;k : valeur caractéristique de la cohésion non drainée sous la base de l'écran

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide »

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide »
q = 10 kPa
Buton, k = 106 kN/ml

H = 12 m Palplanche PU18

H=3m

Sables lâches
γ h = 19 kN m3 , γ sat = 21 kN m3
E = 75MPa , c ' = 1kPa , ϕ ' = 20°

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Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide »

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide »

Terrassement NIV -4 Phase SF, CS = 1.04


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide »
Si champ de contrainte effective homogène
qdst ;d = γ 'Hamont + q = 11 × 151 + 0 = 175kPa
qstb;d = γ 'Haval Nq = 11 × 3 = 33 × 6.3993 = 211.17kPa
 π ϕ '  π tgϕk'
ϕ = 20° ⇒ Nq = tg  +  e
'
k
2
= 6.3994
4 2 
q
CS = stb;d = 1.2
qdst ;d

Champ de contrainte non homogène + écoulement


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Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide »
 L’ajout de butons, tirants ou autres dispositifs pour contrer la
poussée horizontale ne permet pas de contrôler le problème du
« Renard solide » qui est avant tout un problème de fondation
(équilibre des charges verticales).
 Il faut rehausser le niveau de contrainte verticale effective dans
la fouille en diminuant le niveau de pression interstitielle qui
passera par un rallongement de la fiche pour éviter cette fois le
«Renard liquide ».
 En abaissant le niveau d’eau de 2 m dans la fouille, le coefficient
de sécurité passe de 1.04 à 1.20. Un abaissement plus
conséquent n’apporte plus rien car en dehors du mécanisme de
Prandtl
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des soutènements, fond de fouille / HYD
• Cas du « renard solide »

Nappe -2m/FF, CS = 1.20 Nappe -4m/FF, CS = 1.25


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
Sables denses
γ h = 19 kN m3 , γ sat = 21 kN m3
c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°
ZW = ?m δ a ϕ ' = 2 3 , δ p ϕ ' = −2 3
H = 6.5m

L = 7.5m

f = 2m

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL

2 '
β≈ ϕ
3
Sables denses
γ h = 19 kN m3 , γ sat = 21 kN m3
c ' = 0kPa , ϕ ' = 35°
δ a ϕ ' = 2 3 , δ p ϕ ' = −2 3

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
Hypothèses
Poids du radier : H 6.50

PR = γ bétonLHR  tg 2ϕ ' 3  f 2.00


β = arctg 
'

ZW 2.94

Sous pression:  1.25  Radier

SP = γ w (H = f − ZW ) Hr
GAMMAb
0.50
25.00
L 7.50
Poids dièdre stabilisateur amont: PR 93.75

tg β '
PDSAM = γ h ZW (2H + 2 f − ZW ) + γ ' (H + f − ZW ) 2  Sous pression
GAMMAw 10.00
2 SP 416.92
Poids dièdre stabilisateur amont:
Dièdre amont
γ f tg β
' 2 ' GAMMA 19.00
PDSAV = GAMMAD 11.00
2 PDSAM 313.68

Equilibre: Dièdre aval


PDSAV 9.49
0.9 × (PR + PDSAM + PDSAV ) − SP = 0
SUM 0.00

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Perfectionnement
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL

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Perfectionnement
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL

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Perfectionnement
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
Hypothèses
Poids du radier : H 6.50

PR = γ bétonLHR f
ZW
2.00
3.73

Sous pression: Radier

SP = γ w (H = f − ZW ) Hr
GAMMAb
0.50
25.00
L 7.50
Poids dièdre stabilisateur amont: PR 93.75

tg β
PDSAM = γ h ZW (2H + 2 f − ZW ) + γ ' (H + f − ZW ) 2  Sous pression
2 GAMMAw
SP
10.00
358.02
Poids dièdre stabilisateur amont:
Dièdre amont
γ f tg β
' 2 GAMMA 19.00
PDSAV = GAMMAD 11.00
2 PDSAM 296.46

Equilibre: Dièdre aval


PDSAV 7.59
PR + PDSAM + PDSAV − SP = 0
SUM 0.00

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Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et butonnée ou ancrée

MEL , rideau autostable


MEL , MISS-K, MISS-F
MEL , rideau autostable

MEL , MISS-K, MISS-F

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Une expertise qui fait la différence


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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Si appuis indéformables
∆ε = α∆T ⇒ ∆σ = Eα∆T
∆σ = 2.1 × 108 (kPa) × 1.2 × 10 −5 × 27° (C ) = 68 MPa!

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée
Si appuis déformables
α∆TL
Temperature-induced load: PT =
2I L
+
sE sm E s As
L
Load Ratio: LR =
2E s As
+L
sE sm
2IPT
Mobilized Elastic Modulus: E sm =
 PL 
s α∆TL + T 
 E S AS 
α : Coefficient de dilatation thermique
∆T : Variation de température
L : Longueur du buton
I : Coefficient d'influence pour la surface chargée par le buton
s: espacement moyen vertical et horizontal
A s : surface de contact du buton
E sm : Module élastique sécant du so l support
E s : Module élastique de l'acier

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Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

PT
ε tot = = ε buton + ε sol
keq
2∆L1 P PT P
ε buton = = T = , ε sol = T
L Lkbuton LEbuton Abuton ksol
L
PT  L L 
ε tot =  +  = α∆T
L  Ebuton Abuton ksol 
α∆TL
PT =
 1 L 
k + 
 buton k sol 

Une expertise qui fait la différence


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U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des rideaux de palplanches
• Phases en console et phase butonnée ou ancrée

Exercice pratique:
KREA + PLAXIS

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

E = 107 kPa
L × P × H = 10m × 1m × 0.5m
q = 15 kN ml
4
PLAXIS RDM 5qL
umax = 18.14mm, umax = = 18.75mm
384EI
PLAXIS RDM qL2
Mmax = 187.5 kNm ml , Mmax = = 187.5 kNm ml
8
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F
 Si on divise le module d’Young par 2 pour simuler une phase de
fluage et que l’on poursuit le calcul la déformée reste inchangée
!

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F
 En éléments finis, le PTV ou PPV, Principe des Travaux Virtuels ou
Principe des Puissances Virtuels conduit à un champ de
contraintes interne qui équilibre le travail ou la puissance des
forces extérieures.
 Le fait de modifier un module de déformation sans changer le
niveau de chargement ne modifie pas l’état d’équilibre de la
structure, il ne peut y avoir de fluage.

∫∫∫ Bσ dv = ∫∫ tds + ∫∫∫ f dv


Ω Γ
v

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F
 Le fluage correspond physiquement à une réorganisation de la
matière sous charge constante. Cette réorganisation des
particules qui constituent un sol s’accompagne de déformation.
 Dans le cas des sols, des structures et plus particulièrement des
soutènements, ces déformations sous charges constantes
s’accompagnent de d’une redistribution des efforts.
 Les moments sur appuis diminuent pour « recharger » les
moments en travées.
 Il se produit le même phénomène avec l’apparition de rotules
plastiques dans les structures qui permettent un redistribution
des efforts sans pour autant entraîner la rupture (si équilibre
isostatique)
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

PLAXIS
Umax = 5.82mm
Mmin =-78.07 kNm/ml
Mmax = 85.17 kNm/ml
KREA
Umax =5.93mm
Mmin =-111.45 kN/ml
Mmax =114.97 kN/ml

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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Avant fluage plancher et paroi: E = 20000 MPa  E = 10000 MPa


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Après fluage plancher et paroi: E = 20000 MPa  E = 10000 MPa


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Une expertise qui fait la différence


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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Avant fluage plancher et paroi: E = 20000 MPa, éléments de structure

Avant fluage plancher et paroi: E = 20000 MPa, éléments volumique


Une expertise qui fait la différence
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Après fluage plancher et paroi: E = 20000 MPa, éléments de structure

Après fluage plancher et paroi: E = 20000 MPa, éléments volumique


Une expertise qui fait la différence
O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Perfectionnement
• Cas particulier des parois et ouvrages en BA
• Phase de fluage, approches MISS-K et MISS-F

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approches expérimentales et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
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318 O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• ZIG et soutènements

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• ZIG et soutènements

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• ZIG et soutènements

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• ZIG et soutènements

Une expertise qui fait la différence


O. Pal, 17 et 18 février 2016
U N E E X P E RT I S E Q U I FA I T L A D I F F É R E N C E

Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Introduction
• Typologie des soutènements
• Typologie des butonnages et ancrages
• Approche expérimentale et théoriques
• Action du sol sur les soutènements
• Action de l’eau sur les soutènements
• Action sur les soutènement , surcharges amont
• Interaction sol-structure
• Rideaux autostables, approche MEL / MISS-K
• Stabilité générale des ouvrages
• Stabilité des soutènements en fond de fouille / HYD
• Stabilité des ouvrages / sous-pressions / UPL
• Cas particulier des ouvrages en palplanches
• Cas particulier des ouvrages en BA
• Comportement d’interaction sol-structure, ZIG
• Conclusions
Une expertise qui fait la différence
323 O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Conclusions
• Les hypothèses retenues pour modéliser l’interaction sol-
structure étant très différentes entre les approches MEL,
MISS-K et MISS-F, les résultats présentent nécessairement des
variations qui dépendent en grande partie du degré
d’interaction entre les sols et l’ouvrage et du phasage de
réalisation.
• Le phasage des calculs doit être aussi proche que possible de
celui de l’exécution des ouvrages.
• L’évolution du comportement des matériaux (plasticité, fluage,
dégradation) doit être également intégré pour apprécier au
mieux la redistribution des efforts dans les structures.

Une expertise qui fait la différence


324 O. Pal, 17 et 18 février 2016
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Justification des ouvrages de soutènement


Perfectionnement
• Conclusions
• L’action de l’eau est prépondérante sur celle du sol !
• Le choix des hypothèses de frottement sur le rideau ou la
paroi sont également prépondérants sur le dimensionnement.
• L’anisotropie des sols joue un rôle déterminant dans la
mobilisation de la butée.
• Les comportements gonflants et résiduels sont d’une grande
importance sur la stabilité en butée et d’ensemble.
• Pour les ouvrages complexes, les mécanismes de ruine
peuvent interférer et sont difficiles d’accès par la calcul à la
rupture.
• Les phases provisoires sont souvent dimensionnantes !
Une expertise qui fait la différence
325 O. Pal, 17 et 18 février 2016

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