Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
SESSION : 2015
FILIERE : MP
DUREE : 4 HEURES
AUCUN DOCUMENT N’EST AUTORISE
CALCULATRICES AUTORISEES
Composition du sujet :
Le sujet comporte 29 pages (en plus de la page de garde), dont :
• 20 pages de texte ;
• 6 documents annexes ;
Nota : Si un candidat est amené à repérer ce qui peut lui sembler être une erreur d'énoncé, il
le signalera sur sa copie et devra poursuivre sa composition en expliquant les raisons des
initiatives qu'il a été amené à prendre.
Page de garde
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
I – Mise en situation :
Une société de production de bobines de feuilles métalliques dispose de deux ateliers :
- le premier est destiné au laminage des feuilles métalliques et à la constitution des bobines ;
Un chariot retourneur, représenté sur la figure 1, permet de déplacer les bobines métalliques entre les
deux ateliers tout en les retournant de 90° afin de pouvoir les placer dans le four vertical.
Figure 1 Figure 2
Le transfert des bobines depuis le magasin de stockage jusqu’au four se déroule en quatre phases (Figure 3) :
Phase 1 : Chargement d’une bobine horizontalement sur le chariot retourneur :
Pour des bobines en aluminium dont la masse ne dépasse pas 300 kg, cette opération est
réalisée par un chargeur manuel (Figure 2).Toutefois, pour des bobines plus pesantes,
un autre chargeur motorisé, non étudié, est préconisé.
Phase 2 : Déplacement en translation du chariot retourneur sur deux rails de guidage et,
simultanément, retournement de la bobine ;
Phase 3 : Déchargement de la bobine en position verticale vers le four ;
Phase 4 : Retour à la position de départ du chariot, avec remise en position du châssis basculant.
Chargement Figure 3
Retournement
Déchargement
Nous nous intéresserons dans une première partie à l’étude du chargeur manuel des bobines et dans la
seconde au chariot retourneur.
-Une structure à parallélogramme avec à son bout un bras d’orientation sur lequel est monté un
préhenseur qui supporte la bobine. Le préhenseur est interchangeable pour qu’il s’adapte à
l’encombrement des bobines manipulées (Diamètre et hauteur) ;
- Deux actionneurs électriques (vérin de relevage et moteur d’orientation) alimentés par une batterie
embarquée.
Les schémas cinématiques du chargeur sont représentés sur les annexes 2 et 3.
La manipulation de la bobine depuis le magasin de stock jusqu’au chariot retourneur s’effectue en quatre
phases successives :
- Relevage : seul le vérin (7+8) est actionné et le bras (5) est dans le plan de symétrie vertical du
chargeur. La plate-forme est fixe par rapport au sol. La bobine est relevée à la hauteur souhaitée ;
- Déplacement : l’opérateur déplace l’appareil jusqu’au chariot retourneur. Aucun actionneur n’est
activé durant cette phase ;
→
- Orientation : le bras (5) est mis en rotation autour de l’axe ( N , y1 ) pour orienter correctement la
bobine par rapport au chariot retourneur. Seul le moteur d’orientation est actionné dans cette phase
et la plate-forme est fixe par rapport au sol ;
- Dépose : le vérin fait descendre la bobine jusqu’au contact avec le retourneur, le préhenseur est
ensuite séparé de la bobine.
Repérage et paramétrage du chargeur de bobine :
Le diagramme partiel des exigences du chargeur manuel est donné sur le document réponse 1.
A.1 : Compléter le diagramme des exigences du document réponse 1.
A.2 : Expliquer les relations reliant les différentes exigences (Répondre sur le document réponse 1).
Un extrait du Cahier des Charges Fonctionnel du chargeur manuel (CDCF) est donné ci-après :
L’actionneur de relevage choisi par le constructeur est un vérin électrique actionné par un
moteur Mcc à courant continu et alimenté par une batterie embarquée sur la plate-forme. Les
Dans toute cette partie, et sauf indication contraire, on se place dans la phase de relevage.
Figure 4
B.1.6 : Le critère de vitesse de levée verticale imposée par la norme dans le CDCF est-il respecté ?
(Justifier).
On s’intéresse à la chaîne formée par les solides (1), (2), (3), (4), (7) et (8).
8 7 9 Arbre 10
F E
→
x7
→
y7 1
Figure 5
Z10 = Z11.
On désigne par « q » le pas de l’hélice (à droite) de la liaison hélicoïdale entre (9) et (8), et par V87 la
vitesse de translation de la tige (8) par rapport au corps (7).
La démarche adoptée pour déterminer le couple du moteur Mcc sera exécutée autour d’une position
particulière des angles α et β . Cette position correspond à un effort maximal Fv obtenu par simulation.
→ →
Cet effort appliqué par la tige (8) du vérin sur le bras inférieur (3) au point F sera noté R (8→3) = Fv . y 7 .
Le tableau ci-dessous regroupe les éléments d’inertie de certains constituants du vérin électrique :
A10 0 0
arbre moteur
m10 G10
→
EG10 = yG10 . y7
→
[I G10 (10)] = 0 B10 0
10 0
0 C10 R 7
A9 0 0
Vis 9 m9 G9
→ →
EG9 = yG 9 . y7 [I G 9 (9)] = 0 B9 0
0 C 9 R 7
0
A8 0 0
Tige 8 m8 G8
→ →
FG8 = yG 8 . y7 [I G 8 (8)]= 0 B8 0
0 C8 R 7
0
• Cm10 : Le couple moteur exercé par le stator (7) de Mcc sur son rotor (10).
B.2.6: Déterminer l’énergie cinétique du solide (10) dans son mouvement par rapport à R1 :
T(10/R1) , en fonction de ωm , kβ , kt et des autres données.
Un calcul similaire permet de trouver les énergies cinétiques de tous les constituants du vérin par rapport
à R1. (Vérin ={7,8,9,10,11}).
Toutes les liaisons sont supposées parfaites.
B.2.7 : Déterminer la puissance, par rapport à R1 , des actions extérieures au vérin en fonction
de Fv , ωm , kt, kβ , β0 et des autres données ;
B.2.8 : Déterminer les puissances des inter-efforts entre les constituants du vérin.
dT(Vérin / R1)
B.2.9 : Expliciter le couple moteur Cm10 en fonction de Fv , et des autres données.
dt
Dans toute cette partie, et sauf indication contraire, on se place dans la phase de déplacement.
(θ = 0° et α = αmax)
OP = y p . y1 + x p x1 , OF = H y1 − L x1 et FG6 = − a6 x1 − h6 y1
a1 = - 72 mm a6 = 198 mm D = 42 mm h6 = 198 mm
Pour tenir compte du frottement, l’action mécanique du sol (0) sur chaque roulette (i) sera modélisée par
un glisseur en Ki de résultante : Ri = N i y1 + Ti x1
On pose : Rmn = 2 N m y 1 + 2Tm x1 résultante de l’action mécanique du sol sur les roulettes m et n.
→
C.1.5 : Appliquer le T.M.S à l’ensemble S, au point K34 projeté sur z 1 et déduire l’équation qui en
découle.
Compte tenue de la déformation élastique des roues, on pose : N2 = δ N1 (δ : réel positif dont la détermination sort
du cadre de ce sujet).
C.1.8 : Dans la phase d’orientation et pour θ positif, que sera, à votre avis, le premier contact à
être rompue en cas de basculement du chargeur ?
Une simulation informatique de l’équilibre de l’appareil permet de tracer les courbes des Figures 7, 8 et 9:
Figure 7 Figure 8
Figure 9
La liaison entre chaque roulette (i) et la plate forme (1) du chariot est réalisée selon le modèle des figures
10 et 11.
→ → →
On suppose que la plate forme est en translation par rapport au sol selon x1 et on pose : V ( B ∈1 / 0 ) = V . x1 .
i
→
C.2.1 : Exprimer le vecteur vitesse de rotation Ω (i / 0 ) et préciser la vitesse de roulement et la vitesse
de pivotement.
C.2.2 : Déterminer la vitesse de glissement en Ki entre la roulette (i) et le sol (0), et donner ses
composantes dans la base de R1.
C.2.3 : Pour ψ constant, que devra être sa valeur pour que le roulement de la roulette par rapport
au sol se fasse sans glissement ?
→
C.2.4 : Que sera sa valeur pour une translation selon z1 de la plate forme ?
C.2.5 : Quel est l’intérêt de la liaison pivot entre (Si) et (1) permettant le pivotement de la roue ?
C.2.6 : Dans un mouvement plan généralisé de la plate forme (1) par rapport au sol (0), dont I10
→
est le CIR : que sera l’orientation du vecteur z i pour éviter le glissement de la roulette (i)
par rapport au sol (0)?
→
• 1 : Plate forme ; y1
• i : roulette ( i = {1,2,3,4,5}) ;
Si 1
• Si : support de la roulette i ;
Bi
• Ki : point de contact roulette i –sol ;
→
• Ai : centre de la liaison pivot entre i et Si ; x1
i
• Bi : centre de la liaison pivot entre Si et 1 ; Ai
→
z1 →
• Le contact entre la roulette i et le sol 0 est Ki zi
→
Figure 10
supposé ponctuel de normale ( K i , y1 ) .
Dans toute cette partie, et sauf indication contraire, on se place dans la phase d’orientation.
Un moteur d’orientation M45 , implanté en N entre (4) et (5), permet la mise en rotation du bras
→
d’orientation (5) autour de l’axe ( N , y1 ) pour positionner correctement la bobine (6) sur le chariot
retourneur.
• Cylindre plein (51) : homogène, de hauteur h, de rayon R et de masse m51 . Son centre de gravité
→
est en N et d’axe de révolution ( N , y1 ) ;
• Plaque rectangulaire (52) : homogène, de cotés a et b et d’épaisseur négligeable. Sa masse est m52
→ →
et G52 son centre de gravité. La plaque (52) est contenue dans le plan ( N , x5 , y1 , ) ;
• Cylindre creux (53) : homogène de hauteur h, de rayon intérieur R et extérieur R. Sa masse est
2
m53 et G53 son centre de gravité. L’axe de révolution du cylindre (53) est parallèle à celui de (51).
→ 53 52 51
y1
51
→
52 N
x5
→
x5
53 b Figure 13 →
z5
N
a
53 52 51 →
Figure 14
G53 →
y1
z5
b
a
G53 N →
x5
Figure 12
→ → →
D.1.1 : Détermine, dans le repère R5 ( N , x5 , y1 , z 5 ) , la position du centre d’inertie G5 du bras
d’orientation (5) en fonction des données.
D.1.2 : Donner, en justifiant, la forme de la matrice d’inertie de (5) au point N dans la base de R5.
On donne ci-dessous les matrices d’inertie de certains solides usuels, en leur centre de gravité :
b) la matrice d’inertie de (52) en son centre d’inertie, puis déduire le moment d’inertie de
→
(52) par rapport à l’axe ( N , y1 ) : J52 ;
c) la matrice d’inertie de (53) en son centre d’inertie, puis déduire le moment d’inertie de
→
(53) par rapport à l’axe ( N , y1 ) : J53 ;
→
D.1.4 : Déduire le moment d’inertie de (5) par rapport à l’axe ( N , y1 ) : C5 .
0 0 m( )
2 ( − , − ,→z )
Parallélépipède rectangle
homogène b2 + c2
m 0 0
→ 12
z a2 + c2
0 m 0
12
2
a +b
2
0 0 m
→
12 ( →x ,→y ,→z )
y
m : masse
→
→ → →
x
a, b et c : longueurs suivant x , y et z , respectivement
D.2.1 : Déterminer le moment cinétique du solide (56) au point N dans son mouvement par
→
rapport à 1 : σ ( N ,56 / 1) ;
→
D.2.2 : Déterminer la projection sur y1 du moment dynamique du solide (56) au point N dans
→ →
son mouvement par rapport à 1 : δ ( N ,56 / 1) . y1 .
→
Le moteur d’orientation M45 placé entre (4) et (5) exerce sur ce dernier un couple de moment C m y1 . La
liaison pivot entre (4) et (5) est avec frottement visqueux de coefficient f45.
G. Chaînes de solides :
L’objectif de cette partie est de modéliser la liaison équivalente entre le berceau et la bobine.
Lors de la dépose de la bobine sur le berceau, sa mise en position sur ce dernier est réalisée grâce à une
surface plane verticale et une forme en vé (Voir figures 15, 16 et 17).
Bobine
Berceau
y
→ y
z Chariot de →
x
→ roulement
x
Figure 15
Berceau
y Figure 17 Surface plane
u
Bobine
→
z y
G
B A Vé
x
v z
Bobine
Vé
Les bases ( x, y , z ) et ( x, u , v ) sont orthonormées directes
Figure 16
L3
G.2 : Par une étude statique, identifier la liaison équivalente entre la bobine et le berceau, et
évaluer sa mobilité cinématique. (Si nécessaire, réduire les torseurs au centre de gravité G de la bobine).
H.1 : Préciser les vecteurs n i pour le berceau 1 et pour chacun des solides de 3 à 9.
H.2 : Exprimer, en fonction des données, les rapports suivants : r1 = ω1 , r2 = ω 4 , r3 = ω 6 et
ω3 ω5 ω7
ω8
r4 =
ω9
Un extrait (Figure 19) de la courbe de variation de la puissance P1 au niveau du berceau (1) est donné ci-
après :
Figure 19
Données complémentaires :
• Rendements :
H.6 : Evaluer la puissance maximale P9 max que doit fournir le moteur de retournement du
berceau.
Les grandeurs physiques mises en jeu et les notations adoptées sont les suivantes :
ωm(t) : Vitesse de rotation de l’arbre moteur (9) Inductance total de l’induit : L= 3.10-3 Henry
Le comportement linéarisé de l’ensemble de la transmission est modélisé par les équations suivantes :
dω m (t )
• Equation mécanique : cm (t ) − f .ω m (t ) + cr (t ) = jeq ;
dt
di (t )
• Equation électrique : um (t ) = R.i (t ) + e(t ) + L. ;
dt
cm (t ) = k c .i (t ) ;
J.1.1 : En supposant les conditions initiales nulles, donner les transformées de Laplace des cinq
équations précédentes.
Pour de faibles valeurs du couple résistant (cr(t) négligé), on alimente le moteur par une tension en
échelon d’amplitude 90v (um(t) = 90.u(t)) et on relève la réponse ω1(t ) représentée sur le document
réponse 2.
J.2.2 : Pour une entrée échelon d’amplitude 90 volts , évaluer la valeur initiale et finale du
courant i(t).
J.2.3 : Conclure quant à la nécessité d’asservir le courant.
Pour respecter la condition sur le courant maximal, une boucle d’asservissement de courant est prévue.
La structure de l’asservissement du courant choisie comporte:
La nouvelle structure de l’asservissement est représentée par le schéma-bloc ci-dessous (Figure 20) :
Cr(p)
Ω1 ( p )
J.2.4 : Pour Cr(p) = 0, montrer qu’on peut mettre la fonction de transfert H 2 ( p) = sous la
I C ( p)
forme suivante : K2
H 2 ( p) =
2z p2
1+ .p +
ωn ωn 2
Expliciter K2, z et ω n en fonction de k , rg , Rm ,R, f et jeq .
K2
Indépendamment des résultats précédents, on prend pour la suite : H 2 ( p) =
4,6 p2
1+ .p +
100 100 2
K2 1 1
J.2.5 : Montrer que : H 2 ( p ) = avec T1 = et T2 =
(1+ T1 p )(1+ T2 p ) 437,12 22,87
K2
J.2.6 : justifier alors que H2(p) peut être mise sous la forme : H 2 ( p) ≈ et identifier la
1 + T3 . p
valeur de T3 .
Figure 21 H3(p)
Ω c ( p) Uc εv I c ( p)
Ka Cv ( p) H2(p) Ω1 ( p )
Uv
Kg
Les courbes de Bode de la fonction de transfert Cv(p) du correcteur sont représentées sur l’annexe 6.
J.3.4 : Préciser le type de ce correcteur et justifier son choix vis-à-vis de la précision souhaitée.
Dans la suite, on prend Cr(p)=0 et on néglige l’influence du zéro du correcteur dont la fonction de
K
transfert sera sous la forme : Cv ( p ) = v .
p
Ω1 ( p )
J.3.5 : Déterminer la fonction de transfert H ( p) = de la boucle d’asservissement en
Ω c ( p)
vitesse. Conclure quant à la stabilité de cet asservissement de vitesse.
J.3.6 : Déterminer Kv en fonction de K2, Kg et T3 pour que cet asservissement de vitesse soit
plus rapide et sans dépassement.
J.3.7 : Conclure sur le respect des exigences du cahier des charges du modèle souhaité.
En l’absence de la perturbation, La boucle d’asservissement de la position du berceau (1) par rapport à (0)
est modélisée par le schéma bloc de la Figure 22:
θ c ( p) Ω c ( p) K4 Ω1 ( p ) 1 θ ( p)
KA Correcteur
(1 + Tp ) 2 p
Ur
Figure 22
KA
K4. Kc . K A
H bo ( p ) = avec : K4.KA = 10.
p (1 + Tp ) 2
J.4.3 : Déterminer :
J.4.4 : Pour Kc = 1 et T =10-2s, tracer sur le document réponse 3, les diagrammes asymptotiques
de Bode et l’allure de la courbe réelle de phase de Hbo(p).
J.4.5 : Relever de votre tracé les valeurs approchées des marges de gain et de phase.
J.4.6 : Quelle valeur imposer à Kc pour avoir une marge de gain de 10dB ? Que devient la
marge de phase ?
Préhenseur
interchangeable fixé
sur le bras
d’orientation
Bobine
Poignée de
poussée
Vérin de relevage
Colonne
Batterie
Plate forme
à roulettes
21
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
y1
Poignée de
2 A poussée
D 3
5 4
C P
N F
1
8 7 E
G6
Bobine 6
x1
O
K1
K5
z1
K4
K2
K3
N
D
2
4 C
Q
Bobine 6 F
3 B
G6
8 A
P
1
7 E
→
y1
→
→
z1 x1
→ → →
→ → y1 → x1
y1
y3 y7 x5
→ → →
x3 x7 z5
→
α → →
β → →
θ →
z1 x1 z1 x1 y1 z1
23
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
Chaîne de retournement
Motoréducteur de Berceau
retournement du
berceau
Châssis
Enrouleur roulant
de câble Motoréducteur
de translation
du châssis
roulant
Voie de roulement
24
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
Réducteur
Moteur 6
7
0
0
y
Chaîne 2 de
retournement
attachée au berceau
x
1
z
Berceau
1
Pignon moteur 3
25
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
PHAS
20
-20
-40
-60
-80
-100
10-2 10-1 100 101 102
PULS
26
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
Document réponse 1
Diagramme partiel de certaines exigences du chargeur manuel:
Req [Modele] Data[Exigence principale]
«block»
« Requirement » « Requirement »
Satisfy
Chargement d’une bobine
Id=‘1.1’’ ………………………………….
Id=‘’1’’ (R1) Text= Positionner (SA)
Text= Le système doit la bobine sur le
permettre de charger chariot
horizontalement une bobine «block»
sur le chariot retourneur
« Requirement » Satisfy
Id=‘’1.2.1’’ ………………………………….
(SB)
Text= Fournir une énergie
« Requirement » autonome
Id=‘’1.2’’ «block»
Text= Lever verticalement la « Requirement » Satisfy
bobine
Id=‘’1.2.2’’ ………………………………….
(SC)
Text= Animer le système de
levage
Refine
(R2)
« Requirement »
« Requirement » Text= la masse de la bobine
ne doit pas dépasser 300Kg
Id=‘’1.3’’
Text= Déplacer le
chargeur vers le
chariot «block»
« Requirement »
Id=‘’1.3.1’’ Satisfy
Text= Pousser Embase mobile
manuellement le chargeur
SB :……………………………………………………………………………………………………
SC :……………………………………………………………………………………………………
R1 :……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
R2 :……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
27
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
Document réponse 2
Question J.1.2 :
Jeq.p
Cr(p)
E(p)
U(p)
Question J.1.5 :
(rd / s)
01/03/11 1 AAE3.TMP
DID'ACSYDE REPONSE TEMPORELLE
19:55:35 AAE2.TMP
s
0,0550
0,04 40
0,0330
0,0220
0,01 10
-0,01
-10 t (s)
0.0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6
TEMPS
28
Concours National Commun Filière : MP Session 2015
Document réponse 3
Gain en
20dB
0dB
-20dB
10 dB
-10 dB
Phase en (°)
-90°
-180°
29