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Frédéric Demoulin1
1
frederic.demoulin@voila.fr
Annales Terminale S Suites numériques
N˚ Lieu Année QCM S.R. S.Ar. S.G. S.Ad. f (x) = x Fcts Intégr. Proba.
1 Amérique du Nord Juin 2005 ⋆ ⋆ ⋆ ⋆
2 Asie Juin 2005 ⋆
3 France Juin 2005 ⋆
4 La Réunion Juin 2005 ⋆ ⋆ ⋆ ⋆ ⋆
5 Inde Avril 2005 ⋆
6 Nouvelle-Calédonie Mars 2005 ⋆ ⋆ ⋆
7 Amérique du Sud Nov 2004 ⋆ ⋆ ⋆
8 Nouvelle-Calédonie Nov 2004 ⋆ ⋆ ⋆
9 Antilles-Guyane Juin 2004 ⋆ ⋆ ⋆
10 Centres étrangers Juin 2004 ⋆ ⋆ ⋆
11 France Juin 2004 ⋆
12 La Réunion Juin 2004 ⋆ ⋆
13 Liban Juin 2004
14 Inde Avril 2004 ⋆
15 Nouvelle-Calédonie Nov 2003 ⋆
16 Centres étrangers Juin 2003 ⋆
17 Liban Juin 2003 ⋆
18 Inde Avril 2003 ⋆ ⋆
19 Nouvelle-Calédonie Mars 2003 ⋆ ⋆ ⋆
20 Antilles-Guyane Sept 2002 ⋆ ⋆ ⋆
21 Asie Juin 2002 ⋆ ⋆ ⋆
22 Centres étrangers Juin 2002 ⋆ ⋆ ⋆
23 Amérique du Sud Nov 2001 ⋆ ⋆
1,5
1,0
0,5
0
0 0,5 1,0 1,5 2,0
On s’intéresse dans cet exercice à une suite de nombres rationnels qui converge vers e2 .
On définit, pour tout entier naturel n > 1, l’intégrale :
2
1
Z
In = (2 − x)n ex dx.
0 n!
1. Calculer I1 .
2n 2
2. Établir que pour tout entier naturel n > 1, 0 6 In 6 e −1 .
n!
3. À l’aide d’une intégration par parties, montrer que pour tout entier naturel n > 1, In+1 = In −
2n+1
.
(n + 1)!
2 22 2n
4. Démontrer par récurrence que e2 = 1 + + + ... + + In .
1! 2! n!
2n
5. On pose, pour tout entier naturel n > 1, un = .
n!
un+1 1
(a) Calculer et prouver que pour tout entier naturel n > 3, un+1 6 un .
un 2
!n−3
1
(b) En déduire que pour tout entier naturel n > 3, 0 6 un 6 u3 .
2
Partie B
On considère une suite (un ), définie sur N dont aucun terme n’est nul. On définit alors la suite (vn ) sur N
2
par vn = − .
un
Pour chaque proposition, indiquer si elle est vraie ou fausse et proposer une démonstration pour la réponse
indiquée. Dans le cas d’une proposition fausse, la démonstration consistera à fournir un contre exemple. Une
réponse non démontrée ne rapporte aucun point.
1. Si (un ) est convergente, alors (vn ) est convergente.
2. Si (un ) est minorée par 2, alors (vn ) est minorée par −1.
3. Si (un ) est décroissante, alors (vn ) est croissante.
4. Si (un ) est divergente, alors (vn ) converge vers zéro.
Les quatre questions de cet exercice sont indépendantes et sont notées sur un point chacune.
Pour chaque question, il y a exactement deux propositions correctes. Le candidat doit indiquer sur sa copie
les deux propositions vraies. Aucune justification n’est demandée.
Chaque réponse exacte rapporte 0,5 point, chaque réponse fausse enlève 0,25 point. Donner trois propositions
ou plus à une question, ou bien n’en donner aucune, ne rapporte aucun point.
Si, par application de ce barème, le total des points de l’exercice est négatif, il est ramené à zéro.
1. Les suites suivantes sont convergentes :
! √ ! ! √ !
2n 2n + (−1)n n 1 n
(a) . (b) . (c) n sin . (d) .
n2005 n+1 n ln n
n>0 n∈N n>0 n>1
2. On considère trois suites (un ), (vn ) et (wn ) ayant, pour tout entier naturel n, les propriétés suivantes :
un 6 vn 6 wn , lim (un ) = −1 et lim (wn ) = 1.
n→+∞ n→+∞
Alors :
(a) lim (vn ) = 0.
n→+∞
(b) La suite (vn ) est minorée.
(c) Pour tout n de N, on a : −1 6 vn 6 1.
(d) On ne sait pas dire si la suite (vn ) a une limite ou non.
u0 = 1, 5
3. Une suite (un ) est définie sur N par
un+1 = 2un − 1 pour tout entier naturel n.
(a) La suite (un ) converge vers 1, abscisse du point d’intersection des droites d’équations y = x et
y = 2x − 1.
(b) La suite (vn ), définie sur N par vn = un − 1, est géométrique.
(c) La suite (vn ) est majorée.
(d) La suite (wn ), définie sur N par wn = ln (un − 1), est arithmétique.
4. Deux suites (xn ) et (yn ) sont définies pour n > 0 par les relations :
1 1 1 1 1 1
xn = + + ... + et yn = + + ... + . Alors :
n n+1 2n n+1 n+2 2n
(a) Les suites (xn ) et (yn ) sont toutes les deux croissantes.
19 37
(b) x3 = et y3 = .
20 60
(c) Les suites (xn ) et (yn ) ne sont pas majorées.
n10
Pour tout entier naturel n, on pose un = . On définit ainsi une suite (un )n∈N .
2n
1. Prouver, pour tout entier naturel n non nul, l’équivalence suivante :
!10
1
un+1 6 0, 95un si et seulement si 1+ 6 1, 9.
n
0 6 un 6 0, 95n−16 u16 .
En déduire la limite de la suite (un )n∈N .
Partie A
Étant donnés deux points distincts A0 et B0 d’une droite, on définit les points :
u n + vn un + 2vn
un+1 = et vn+1 = .
2 3
Partie B
u n + vn un + 2vn
On considère les suites (un ) et (vn ) définies par u0 = 0, v0 = 12, un+1 = et vn+1 = .
2 3
1. Démontrer que la suite (wn ) définie par wn = vn − un est une suite géométrique convergente et que
tous ses termes sont positifs.
2. Montrer que la suite (un ) est croissante puis que la suite (vn ) est décroissante.
3. Déduire des deux questions précédentes que les suites (un ) et (vn ) sont convergentes et ont la même
limite.
4. On considère la suite (tn ) définie par tn = 2un + 3vn .
Montrer qu’elle est constante.
Partie C
À partir des résultats obtenus dans les parties A et B, préciser la limite des points An et Bn lorsque n tend
vers +∞.
f (x) = xe−x .
On note Γ la courbe représentative de la fonction f dans un repère orthonormal (O ; −
→
ı,−
→
) (unité graphique :
10 cm).
Partie A
Partie B
3. On considère la suite (vn ) définie sur N par son premier terme v0 (v0 > 0) et, pour tout entier naturel n,
vn+1 = vn e−vn .
Existe-t-il une valeur de v0 différente de α telle que, pour tout n > 1, on ait un = vn ?
Si oui, préciser laquelle.
On considère les deux suites (un ) et (vn ) définies, pour tout entier naturel n, par :
u0 = 3 v0 = 4
u n + vn et un+1 + vn .
un+1 = vn+1 =
2 2
1. Calculer u1 , v1 , u2 et v2 .
2. Soit la suite (wn ) définie pour tout entier naturel n par : wn = vn − un .
1
(a) Montrer que la suite (wn ) est une suite géométrique de raison .
4
(b) Exprimer wn en fonction de n et préciser la limite de la suite (wn ).
3. Après avoir étudié le sens de variation des suites (un ) et (vn ), démontrer que ces deux suites sont
adjacentes. Que peut-on en déduire ?
un + 2vn
4. On considère à présent la suite (tn ) définie, pour tout entier naturel n, par tn = .
3
(a) Démontrer que la suite (tn ) est constante.
(b) En déduire la limite des suites (un ) et (vn ).
1
an+1 = (2an + bn )
On définit les suites (an ) et (bn ) par a0 = 1, b0 = 7 et 3 .
1
= (a + 2b )
b
n+1 n n
3
Soit D une droite munie d’un repère (O ; − →
ı ). Pour tout n ∈ N, on considère les points An et Bn d’abscisses
respectives an et bn .
1. Placer les points A0 , B0 , A1 , B1 , A2 et B2 .
2. Soit (un ) la suite définie par un = bn − an pour tout n ∈ N. Démontrer que (un ) est une suite
géométrique dont on précisera la raison et le premier terme.
Exprimer un en fonction de n.
3. Comparer an et bn . Étudier le sens de variation des suites (an ) et (bn ). Interpréter géométriquement
ces résultats.
4. Démontrer que les suites (an ) et (bn ) sont adjacentes.
5. Soit (vn ) la suite définie par vn = an +bn pour tout n ∈ N. Démontrer que (vn ) est une suite constante.
En déduire que les segments [An Bn ] ont tous le même milieu I.
6. Justifier que les suites (an ) et (bn ) sont convergentes et calculer leur limite. Interpréter géométrique-
ment ce résultat.
Un employé se rend à son travail. S’il est à l’heure il prend le bus de ramassage gratuit mis à disposition
par l’entreprise, s’il est en retard il prend le bus de la ville et il lui en coûte 1,5 A
C.
1
Si l’employé est à l’heure un jour donné, la probabilité qu’il soit en retard le lendemain est , s’il est en
5
1
retard un jour donné la probabilité qu’il soit en retard le lendemain est .
20
Pour tout entier naturel non nul n, on appelle Rn l’événement « l’employé est en retard le jour n ». On
note pn , la probabilité de Rn et qn , celle de Rn . On suppose que p1 = 0.
1. Détermination d’une relation de récurrence.
(a) Déterminer les probabilités conditionnelles pRn (Rn+1 ) et pRn (Rn+1 ).
(b) Déterminer p (Rn+1 ∩ Rn ) en fonction de pn et p Rn+1 ∩ Rn en fonction de qn .
(c) Exprimer pn+1 en fonction de pn et de qn .
1 3
(d) En déduire que pn+1 = − pn .
5 20
4
2. Étude de la suite (pn ). Pour tout entier naturel non nul n, on pose vn = pn − .
23
3
(a) Démontrer que (vn ) est une suite géométrique de raison − .
20
(b) Exprimer vn puis pn en fonction de n.
(c) Justifier que la suite (pn ) est convergente et calculer sa limite.
x 0 1 +∞
1 1
f (x)
∆
1
C
0
x
0 1 2
kn kk
6 .
n! k!
(b) En déduire que, pour tout entier n supérieur ou égal à k :
!n
xn x kk
6 × .
n! k k!
xn
lim= 0.
n→+∞ n!
nn−1
> 1.
n!
nn−1
(on pourra écrire comme un produit de n − 1 facteurs supérieurs ou égaux à 1).
n!
(b) En déduire que :
nn
lim = +∞.
n→+∞ n!
Sn = v1 + v2 + ... + vn .
Exprimer Sn en fonction de n.
Déterminer la limite de Sn lorsque n tend vers +∞.
On observe sur une longue période le nombre d’accidents de scooters à un carrefour. Il est alors possible
de proposer la modélisation suivante : pour n scooters franchissant le carrefour durant une année (n est un
grand nombre inconnu), on admet que la variable aléatoire Sn qui totalise le nombre d’accidents de scooters
à ce carrefour durant cette année suit une loi binomiale ; on estime que l’espérance mathématique de Sn
notée E(Sn ) est égale à 10.
Soit p la probabilité pour un scooter d’être accidenté à ce carrefour pendant l’année considérée.
!k !n−k
10 10
n
1. Calculer p, puis justifier l’égalité P (Sn = k) = 1− , où k est un entier naturel
k n n
tel que 0 6 k 6 n.
2. (a) Établir l’égalité :
!
10
ln 1 −
n
ln [P (Sn = 0)] = −10 × ,
10
−
n
où ln désigne la fonction logarithme népérien ; en déduire que lim P (Sn = 0) = e−10 .
n→+∞
(b) Démontrer que :
n−k 10
P (Sn = k + 1) = P (Sn = k) × × ,
n − 10 k + 1
où k est un entier naturel tel que 0 6 k 6 n − 1.
10k
(c) Démontrer que si lim P (Sn = k) = e−10 pour 0 6 k 6 n, alors on a également :
n→+∞ k!
10k+1
lim P (Sn = k + 1) = e−10 pour 0 6 k + 1 6 n.
n→+∞ (k + 1)!
(d) Démontrer en utilisant un raisonnement par récurrence sur l’entier naturel k que :
10k
lim P (Sn = k) = e−10 où k est un entier naturel tel que 0 6 k 6 n.
n→+∞ k!
10k
3. On suppose que le nombre n est suffisamment grand pour que l’on puisse admettre que e−10 est
k!
−4
une approximation acceptable de P (Sn = k). Utiliser cette approximation pour calculer à 10 près la
probabilité pour qu’au cours de cette année il y ait au moins trois accidents de scooters à ce carrefour.
n2
On définit, pour tout entier naturel n > 0, la suite (un ) de nombres réels strictement positifs par un = .
2n
un+1
1. Pour tout entier naturel n > 0, on pose vn = .
un
1
(a) Montrer que lim vn = .
n→+∞ 2
1
(b) Montrer que pour tout entier naturel n > 0, vn > .
2
3
(c) Trouver le plus petit entier N tel que si n > N , vn < .
4
3
(d) En déduire que si n > N , alors un+1 < un .
4
On pose pour tout entier naturel n > 5, Sn = u5 + u6 + ... + un .
2. On se propose de montrer que la suite (Sn )n>5 est convergente.
(a) Montrer par récurrence que pour tout entier naturel n > 5 :
!n−5
3
un 6 u5 .
4
3. On pose : Sn = p2 + p3 + ... + pn .
(a) Démontrer par récurrence que pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 2, on a :
! !n
n 2
Sn = 1 − +1 × .
2 3
vn = 1 − u n .
(a) Exprimer, pour tout entier n, vn+1 en fonction de vn .
(b) En déduire l’expression de vn en fonction de n.
(c) Déterminer la limite de la suite (vn ), puis celle de la suite (un ).
Une société de maintenance de photocopieurs désire optimiser ses prestations au niveau des entreprises, afin
de proposer un abonnement adapté à ses services.
On note, pour n entier naturel non nul, In l’événement « la société intervient durant le ne mois qui suit
l’installation d’un photocopieur » et pn = p(In ) la probabilité de l’événement In .
Le bureau d’études a mis en évidence les résultats suivants pour une entreprise déterminée :
– p(I1 ) = p1 = 0, 75 ;
– sachant qu’il y a eu une intervention durant le ne mois qui suit l’installation d’un photocopieur, la
probabilité d’intervention le mois suivant est égale 0, 04 ;
– sachant qu’il n’y a pas eu d’intervention durant le ne mois qui suit l’installation d’un photocopieur, la
probabilité d’intervention le mois suivant est égale à 0, 64.
On rappelle que A est l’événement contraire de l’événement A et que pB (A) est la probabilité conditionnelle
de A sachant que B est réalisé.
Partie 1
1. Préciser pIn (In+1 ) et pIn (In+1 ) puis calculer p (In+1 ∩ In ) et p In+1 ∩ In en fonction de pn (n ∈ N∗ ).
2. En déduire pn+1 = −0, 6pn + 0, 64.
3. On considère la suite (qn ) définie sur N∗ par : qn = pn − 0, 4.
(a) Démontrer que (qn ) est une suite géométrique.
(b) En déduire qn puis pn en fonction de n.
Partie 2
Le même mois, la société de maintenance installe un photocopieur dans 10 entreprises. Six mois plus tard,
elle désire libérer une partie de son personnel afin de proposer un stage de mise à niveau.
On estime que la probabilité d’intervention du service de maintenance durant ce mois auprès de chacune de
ces entreprises est égale à 0, 373.
Donner, à 10−3 près par excès, la probabilité qu’il y ait au moins un déplacement du service de maintenance
durant ce mois (on supposera que les interventions dans les différentes entreprises sont des événements
indépendants).
1
1. Soit la suite (un ) définie par u1 = et par la relation de récurrence :
2
1 1
un+1 = un + .
6 3
2
(a) Soit la suite (vn ) définie pour n > 1 par vn = un − ; montrer que (vn ) est une suite géométrique
5
dont on précisera la raison.
(b) En déduire l’expression de vn en fonction de n, puis celle de un .
2. On considère deux dés, notés A et B. Le dé A comporte trois faces rouges et trois faces blanches. Le
dé B comporte quatre faces rouges et deux faces blanches.
On choisit un dé au hasard et on le lance : si on obtient rouge, on garde le même dé, si on obtient
blanc, on change de dé. Puis on relance le dé et ainsi de suite.
On désigne par :
– An l’événement « on utilise le dé A au ne lancer » ;
– An l’événement contraire de An ;
– Rn l’événement « on obtient rouge au ne lancer» ;
– Rn l’événement contraire de Rn ;
– an et rn les probabilités respectives de An et Rn .
(a) Déterminer a1 .
(b) Déterminer r1 . Pour cela, on pourra s’aider d’un arbre.
(c) En remarquant que, pour tout n > 1, Rn = (Rn ∩ An ) ∪ Rn ∩ An , montrer que :
1 2
rn = − an + .
6 3
(d) Montrer que, pour tout n > 1, An+1 = (An ∩ Rn ) ∪ An ∩ Rn .
1 1
(e) En déduire que, pour tout n > 1, an+1 = an + , puis déterminer l’expression de an en fonction
6 3
de n.
(f) En déduire l’expression de rn en fonction de n puis la limite de rn quand n tend vers +∞.
Amélie est en vacances dans une très grande métropole. Elle doit traverser cette ville en suivant l’avenue
principale, qui est jalonnée de nombreux feux tricolores.
Pour tout entier naturel n > 1 , on note En l’événement « Amélie est arrêtée par le ne feu rouge ou orange »
et E n l’événement contraire. Le feu orange est considéré comme un feu rouge.
Soit pn la probabilité de En et qn celle de E n . La probabilité que le premier feu tricolore soit rouge ou
1
orange vaut .
8
On suppose que les deux conditions suivantes sont réalisées :
1
– la probabilité que le (n + 1)e feu tricolore soit rouge ou orange, si le ne feu est rouge ou orange, vaut .
20
9
– la probabilité que le (n + 1)e feu tricolore soit rouge ou orange, si le ne feu est vert, est égale à .
20
1. On s’intéresse, tout d’abord, aux deux premiers feux tricolores.
(a) Recopier et compléter l’arbre pondéré ci-dessous.
...
...
9
20
...
rouge ou orange
vert
1
8
...
...
rouge ou orange 1
20
...
1 9
pn+1 = pn + qn .
20 20
(c) En déduire l’expression de pn+1 en fonction de pn .
3. Soit la suite (un ) de nombres réels définie pour tout entier naturel n > 1 par un = 28pn − 9.
(a) Montrer que (un ) est une suite géométrique et déterminer sa raison k.
(b) Exprimer un , puis pn en fonction de n.
(c) Déterminer la limite, si elle existe, de pn , quand n tend vers +∞ . Donner une interprétation de
ce résultat.
1
un+1 = (un + 2vn )
3 .
1
n+1 = (un + 3vn )
v
4
1. On appelle w la suite définie pour tout entier naturel n par wn = vn − un .
(a) Montrer que w est une suite géométrique à termes positifs, dont on précisera la raison.
(b) Déterminer la limite de la suite w.
2. (a) Montrer que la suite u est croissante.
(b) Montrer que la suite v est décroissante.
(c) En déduire que, pour tout entier naturel n, u0 6 un 6 vn 6 v0 .
3. Montrer que les suites u et v convergent et ont la même limite que l’on appellera ℓ.
4. On appelle t la suite définie pour tout entier naturel n par tn = 3un + 8vn .
(a) Montrer que t est une suite constante. Déterminer cette constante.
(b) Déterminer alors la valeur de ℓ.
1
4 − un+1 6 (4 − un ) .
2
(b) Retrouver le résultat du 1.(c).
(c) Étudier la convergence de la suite (vn ) définie sur N par :
vn = n2 (4 − un ) .