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HEALY Frequencies Friday Marcus 27 03 2020 VF

Retranscrit en français à partir du doublage de la vidéo


Les fréquences sont quelque chose dont la puissance n’a pas
encore été bien comprise ni encore totalement utilisée en terme de
technologie. Pourtant ce n’est pas nouveau. L’un des pionniers des
fréquences était Nicolas Tesla. Ce sont ses travaux qui m’ont
amené à m’y interesser et à les étudier de très près, notamment
quand il a déclaré: « si vous voulez comprendre l’univers, il faut
l’observer en terme d’ énergie, de vibration et de frequences. »
En tant que physicien, lorsque j’ai commencé à étudier la physique
en 1984, ça fait maintenant pas mal de temps, j’étais déjà très
fasciné par la physique quantique. Bien avant de commencer à
étudier la physique, 2-3 ans avant la n de mes études mes profs
m’ont donné des livres sur la physique quantique car je trouvais
l’école plutôt ennuyeuse. Donc j’ai eu la chance à l’age de 15-16
ans de pouvoir m’interesser à la physique quantique et aussi très
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.

rapidement à ce que l’on appelait la philosophie quantique. dès


l’age de 18 ans, j’ai contacté un homme qui état très célèbre en
Allemagne à l’époque et qui s’appelait Carl Friedrich Von
Weizsäcker. C’était le frere de notre président de l’époque, mais
surtout l’un des physiciens les plus renommés au moment de la
découverte de la physique quantique. Il était dejà agé. J’ai eu la
chance de pouvoir communiquer rapidement avec lui. Sa principale
recherche portait sur la physique quantique, il voulait comprendre
comment les changements au niveau de la physique affectent la vie
humaine, ceci pour comprendre qui nous sommes, pour
comprendre de quoi se compose l’univers et pourquoi nous
sommes là. En fait, ce que voulait Weizsäcker à l’origine c’était
étudier la philosophie mais Werner Eisenberg l’a alors convaincu
que cela ne rimait à rien d’étudier la philo et qu’il devait avant tout
se consacrer à l’étude de la physique. Parce que, disait Eisenberg,
les nouvelles découvertes issues de la physique, changent
complètement notre façon de voir la vie, notre façon d’aborder la
conscience, et notre façon d’en comprendre la signi cation.
Donc la physique en tant que fondement de la philosophie c’était ce
que j’en comprenais quand j’avais 16 ans. Et donc, à cette époque,
j’ai décidé d’étudier la physique. L’université était plutôt ennuyeuse.
J’ai du passer par l’étude de tonnes de choses comme les maths, la
mécanique ... des bases que je connaissais déjà. Mais ce que
j’attendais c’était le moment où l’on allait aborder la physique
quantique. Et ma déception n’a fait qu’augmenter car mes
professeurs enseignaient la physique quantique comme si c’était
quelque chose de très compréhensible, juste un peu technique,
qu’on maîtrisait depuis longtemps. Mais comme disait Weizsäcker,
l’un des plus grands précurseurs, même l’un des grand-pères de la
physique quantique, si vous n’êtes pas stupéfaits, ébahis par la
physique quantique, cela veut dire que vous ne l’avez pas
comprise. Mes profs n’étaient pas stupéfaits donc j’étais
absolument sûr qu’ils n’y avaient rien compris. Donc j’ai changé
d’université. Et après mon premier cursus, j’ai pris une autre
orientation et je suis allé continuer des études de philosophie à
Heidenberg. Et c’est là que j’ai pris conscience qu’étudier la science
ne répondrait pas à mes questions, cela soulèverait plutôt nombre
de questions sans vraiment y répondre. C’est à ce moment là que
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je me suis dit qu’il fallait que j’emprunte une autre voie pour trouver
des réponses à toutes ces grandes questions que sont qu’est ce
que l’univers, d’où vient-il, qui suis-je, quelles sont mes relations
avec ce monde?, quel est le sens de la vie? Donc j’ai compris que
la science devait être reliée à la spiritualité et la spiritualité est une
chose totalement differente. Cela ne veut pas dire sortir de soi, aller
à l’extérieur, mais plutôt aller en soi, à l’intérieur de soi, et c’est
aussi une sorte de science. À cette époque, j’avais 21 ans, j’ai
décidé de devenir moine. Ce fut une décision plutôt aventureuse.
Et j’ai passé beaucoup de temps en Inde, 10 ans, notamment dans
l’Himalaya, au total j’ai été moine pendant une douzaine d’années.
Et depuis cette époque, ma vie repose sur ces deux fondements.
D’une part la science, en particulier la physique quantique. Et de
l’autre la spiritualité. Mon expérience pratique de la spiritualité. Et
depuis cette époque jusqu’à maintenant, j’ai passé le reste de ma
vie à réunir ces deux éléments a n de les combiner. Et je crois
vraiment que dans la situation présente, il est de la plus haute
importance d’unir intimement la science et la spiritualité parce que
sans la spiritualité la science est aveugle, et sans la science, la
spiritualité est plutôt incomplète. Donc nous avons besoin de les
réunir pour obtenir un moyen puissant mais aussi sage et avisé
d’affronter ce monde. Et c’est quelque chose dont je suis
absolument convaincu. C’est comme si la science traitant de la
matière était un corps et la spiritualité traitant de la conscience était
une psyché plus profonde. Comment l’une pourrait exister sans
l’autre? Il s’agit de les réunir. Et la question, celle que je me suis
toujours posée, c’est qu’est ce qui réunit le corps et l’esprit? Qu’est
ce qui réunit la matière et l’esprit? Comment est-ce qu’ils
communiquent? Comment est-ce qu’ils se parlent? Et cela nous
amène à aujourd’hui, à ce vendredi des fréquences. Ce langage qui
permet à la conscience et à la matière, à l’âme et au corps de
communiquer, ce sont les fréquences. Les fréquences sont un
langage que notre corps comprends. Les fréquences sont un
langage que nos cellules comprennent. Mais l’autre caractéristique
des fréquences c’est leur dimension spirituelle, en terme de
nombres, de représentation de l’information, ce qui est aussi
compris par quelque chose qui est proche de la conscience, de
notre psyché
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Je pourrais aller plus avant dans ce domaine mais ce n’est pas
vraiment le moment ni l’endroit. Mais sachez qu’en physique
quantique, tout à l’origine n’est qu’information. Mais cette
information informe l’énergie. Et la façon dont l’information informe
l’énergie c’est en délivrant l’énergie via des vibrations. Et la qualité
de même que la quantité la plus signi cative de la vibration c’est la
fréquence. C’est ce que nous voyons quand nous pénétrons très
profondément dans la matière. Nous voyons des fréquences.
Lorsque nous regardons très loin dans l’univers nous le faisons
grâce aux fréquences. Donc c’est quelque chose qui relie les
microcosmes au macrocosme, qui relie la matière et l’esprit. Voilà
pourquoi j’ai été fasciné par ce que l’on peut faire avec les
fréquences et comment l’on peut comprendre la matière en terme
de fréquences. En particulier dans notre corps. Et comment nous
pouvons comprendre notre corps en termes de fréquences. Cela
c’était au milieu des années 90, et après avoir été moine pendant
trop longtemps, j’ai commencé à reprendre contact avec la société
en me posant cette question: comment pourrais-je contribuer ?
Comment utiliser les connaissances que j’ai acquises au travers de
mes études scienti ques d’université grâce à Weizsäcker et
d’autres et ce que j’ai appris de mes maîtres spirituels à la fois
rencontrés en Inde et en Europe?
La première chose à laquelle je me suis intéressé c’est à ce que
faisaient les fréquences dans notre corps. Il y a tellement de
niveaux differents. En fait, tous les organes, les yeux; les oreilles,
notre système neuronal, tous communiquent sur la base de
fréquences, donc il existe une large gamme de fréquences. J’ai
écrit mon premier livre sur l’importance des fréquences pour la vie
en 1997. Ils s’intitulait « Les champs de la vie ». À cette époque
j’avais déjà une assez bonne compréhension de l’importance des
fréquences et de la façon dont on peut également les utiliser pour
guérir d’une autre façon. Mais il manquait quelque chose de très
important. Et comme toujours dans ma vie, les choses importantes,
les impulsions créatives me sont venues au travers de rencontres
avec des gens. Ce fut une rencontre très importante une personne
que j’ai rencontrée en 1998. Cette personne était un physicien qui
étudiait la physique avec Werner Eisenberg en personne.
Eisenberg était l’un des père fondateur et inventeur de la physique
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quantique. Il vous faut savoir que le principe d’incertitude
d’Eisenberg est un principe très important en physique quantique.
Donc Burkhard Heim a étudié la physique avec W. Eisenberg en se
basant sur la physique quantique et sur la théorie de la relativité
d’Albert Einstein. Il a développé le nouveau concept de l’espace-
temps qui n’est pas en 4 dimensions mais en 6 dimensions. Il y a
donc 2 dimensions de plus. Et il a pu prouver que ces 2 dimensions
supplémentaires sont nécessaires pour permettre la connexion
entre la physique quantique et la théorie de la relativité. Et quelles
sont ces deux dimensions en plus des 4 de l’espace-temps? Nous
les appelons le champs d’information. Ce que signi e champs
d’information c’est que derrière ce monde visible, il existe un
champs invisible situé en dessous du niveau quantique qui en fait,
organise tout ce qui est visible à nos yeux, ce que l’on peut voir, qui
organise cette évolution, qui organise les fonctions au sein de notre
corps et qui renferme le schéma de ce que nous sommes. Biensûr
ce schéma (blueprint), ce plan de ce que nous sommes,
essentiellement le schéma de notre corps, de notre corps en bonne
santé est là, présent. Il est aussi en train d’évoluer en permanence
mais il est là. Et au travers du processus quantique, notre corps est
sans cesse en train de se connecter avec ce champs profond de la
vie. C’est la raison pour laquelle j’ai intitulé le premier livre que j’ai
écrit en 1997 « Les champs de la vie ». La matière de la vie est très
importante mais derrière la matière de la vie, il y a les champs de la
vie qui est constitué d’un niveau de pure information. Donc la
connexion entre le champs de la vie et notre corps se fait par le
biais des fréquences. Des fréquences qui se manifestent au niveau
électromagnétique. Les fréquences traduisent l’information à la
matière. C’est tellement important.
Aujourd’hui nous n’avons pas besoin de traduction car nous parlons
tous plus ou moins anglais. Mais pour ce webinaire européen qui
réunit de nombreuses nationalités, nous avons besoin au moins de
traduction de l’allemand vers l’anglais. Donc entre deux systèmes il
est nécessaire d’avoir une traduction. Et donc les fréquences font la
traduction entre l’information et la matière. Les fréquences sont un
langage.
Ensuite j’ai rencontré deux autres personnes importantes. Le
premier c’est Nuno Nina. L’autre le docteur Carolyn Mc Makin des

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USA. Deux personnes extraordinaires, extraordinaires médecins et
chercheurs. Elles ont consacré leur vie à faire de la recherche
appliquée sur le langage des fréquences. Ils ont tous deux
constitué de grandes bibliothèques, de grandes banques de
données consacrées aux effets des fréquences sur le corps et aux
effets des fréquences au niveau de la conscience. Plus de 144 000
fréquences trouvées par le docteur Nuno Nina. Et aussi plus de 90
000 fréquences découvertes par le docteur Carolyn Mac Makin.
Donc dans le Healy, nous avons d’abord inclu les 144 000
fréquences du docteur Nuno Nina dont on pourrait dire qu’elles
représentent la banque de données à partir de laquelle on transfère
des fréquences d’un côté à l’autre. Mais biensûr il ne s’agit pas
d’une équivalence de 1 pour 1. Cela ne veut pas dire que vous
avez le rein avec sa fréquence ou le foie avec une autre fréquence.
Ou qu’il n’existe qu’une seule fréquence pour chaque objectif que
vous voulez atteindre
Comme toujours dans la nature, il y a un spectre de fréquences.
Par exemple, pour le foie, dans la base de données de notre
bibliothèque que nous appelons les fréquences d’or car elles ont en
fait plus de valeur que l’or, on a plus de 900 fréquences pour le foie.
Plus de 1000 fréquences pour les reins. Parce qu’il s’agit de
l’intégralité d’un large spectre. Tous les organes sont très
complexes. Donc on ne peut pas dire qu’il s’agit de cette fréquence
là ou d’une autre. Et parfois nous avons besoin d’une nouvelle
fréquence, de fréquences qui ont la résonnance adéquate pour un
organisme en particulier. Donc il nous a fallu développer une
nouvelle technologie, differente des autres appareils de fréquence
qui n’utilisent qu’une seule fréquence ou qui balayent une large
gamme de fréquence allant par exemple de 10 000 à 30 000 Hertz
comme le zapper Clark, appareil qui élimine les parasites genre
Candida. Il y a des quantités d’appareils sur le marché qui utilisent
des fréquences spéci ques ou des gammes de fréquences. Nous
avons une approche totalement differente. Et cette approche va très
profondément au niveau du champs d’information. Donc c’est
seulement quand j’ai rencontré Burkhard Heim en 1998 et j’ai passé
pas mal de temps avec lui jusqu’à sa mort en 2001, que j’ai
vraiment avancé. Donc j’ai eu beaucoup de chance de le rencontrer
3 ans avant qu’il ne disparaisse. Cela m’a permis d’aquerir la
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compréhension technique expliquant comment l’espace en 4


dimensions est contrôlé par le champs d’information et comment au
travers du processus quantique, on peut faire descendre
l’information en provenance des 5eme et 6eme dimensions depuis
le champs de la vie jusqu’à notre niveau qui est l’espace en 3
dimensions au sein du temps. Et dès que Burkhard Heim m’a fait
découvrir cette connaissance. Comme j’ai dit cela remonte à 2001.
J’ai du lui promettre que la connaissance qu’il m’avait transmise, et
qui était une connaissance très sensible, que je ne l’utiliserai que
pour faire du bien à un maximum de gens. C’était de la plus haute
importance pour lui. Parce qu’il avait un sens très élevé de la
responsabilité d’un scienti que. Il comprenait vraiment la
responsabilité qui incombe à quelqu’un doté d’une connaissance.
Rien à voir avec les scienti ques et les chercheurs d’aujourd’hui,
qui lorsqu’ils découvrent quelque chose se contente de dire « Voilà,
à vous de jouer, faites-en ce que vous voulez, allez-y gagnez de
l’argent avec. ». Plus vous maîtrisez un domaine, plus vous
possédez d’aptitudes et plus la responsabilité de ce qu’il adviendra
de votre découverte vous incombe. Et les deux professeurs de
Burkard Heim n’étaient autres que Werner Eisenberg et Karl
Friedrich Von Weisäcker. Ce sont ces deux scienti ques qui sont à
l’origine de la connaissance permettant de construire une arme
nucléaire. Donc tous les deux, en particulier après la seconde
guerre mondiale étaient très conscients de la responsabilité des
scienti ques. La découverte de Burkhard Heim fut si sensible que
durant les années 50 et 60, il fut surveillé par les services secrets
allemands et américains.
Werner Von Braun, un scienti que allemand qui a développé le
programme Apollo pour aller sur la lune était en contact permanent
avec Burkhard Heim parce qu’il voulait utiliser ses connaissances
pour utiliser un nouveau moteur pour aller dans l’espace, moteur
fondé sur la gravitation, les ondes gravitationnelles que Burkhard
Heim avait découvertes.
Donc j’ai appris toutes ces choses, mais en 2001 j’ai petit à petit
commencé à mettre au point un dispositif technique qui permettrait
de communiquer les champs d’information. Ça m’a pris plusieurs
années. Il m’a fallut attendre 2004 pour obtenir un premier appareil
plus ou moins fonctionnel. Et à cette époque, je crois que c’était en
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2004, j’ai pris une décision, ce sera la partie intégrante d’un
dispositif médical qui peut aider les gens à être en bonne santé.
J’étais encore loin du but car je n’étais pas un expert dans le
domaine médical. Mais j’ai rapidement rencontré une autre
personne, une dame déjà agée à cette époque, qui avait consacré
une grande partie de sa vie à aider, qui possédait une très longue
expérience en matière de soin, en tant que thérapeute. Et elle était
très sensible à ce que j’avais commencé à développer. Je le lui ai
donné et elle a commencé à le tester dans sa clinique. Et au bout
d’un moment elle m’a rejoint. Et nous avons continuer à le
développer ensemble. Donc j’ai toujours rencontré les bonnes
personnes. Ce n’est pas comme si j’avais développé cela tout seul.
Mais il faut avoir la chance de rencontrer les bonnes personnes au
bon moment, les personnes qui sont capables d’accepter cette
connaissance et de l’intégrer. Il me semble avoir un bon esprit de
synthèse, un raisonnement qui parvient à bien connecter les
choses entre elles. Je pense que c’est ça qui est important.
En 2006, l’appareil était au point. Je me trouvais sur la Nordsee en
Allemagne. Il ne s’agit pas d’un océan mais d’une mer, la mer du
Nord. Je me trouvais sur une île lors de vacances d’été avec ma
famille. Je regardais les vagues et j’avais à l’esprit cette question:
comment pouvait-on appeler cet appareil? Et soudain j’ai eu la
réponse que m’envoyait la mer. C’est ainsi qu’est né Timewaver
pour onduler au delà du temps, pour communiquer par ondes via
les fréquences au delà du temps. Et le temps c’est l’articulation
entre la 3eme dimension en bas et les 5eme et 6 eme dimensions
au-dessus. Vous vous souvenez du modèle en 6 dimensions de
Burkhard Heim? Il y a 3 dimensions de l’espace, la 3D, la 4eme est
le temps, et ensuite il y a les 5eme et 6eme dimensions qui
représentent le champs d’information. Le temps se situe entre notre
monde et l’autre monde. Donc il nous faut travers le temps.
Traverser le temps est possible via quelque chose de très rapide en
durée comme les fréquences. Elles sont fugaces. Elles sont très
rapide en temps. Ce sont des éléments du temps comme les
photons. Les photons sont des faisceaux de fréquences qui se
déplacent 100 ans à travers l’univers. C’est quelque chose de très
mystique. Comprendre le temps à travers la physique a toujours été
un élément fascinant de l’analyse philosophique du temps. La

physique quantique quand à elle s’addresse exclusivement à la


compréhension du temps. Le Timewaver a été le premier appareil
qui a montré beaucoup de succès, d’abord en Allemagne, puis en
Europe et très vite dans le monde entier. Des milliers et des milliers
de personnes, des médecins, des thérapeutes et des cliniques
travaillent avec cet appareil qui est doté de la certi cation médicale
européenne et qui est également enregistré comme appareil
médical dans de nombreux autres endroits du monde à l’heure
actuelle. Et c’est un gros appareil. Il faut qu’il soit relié à un
ordinateur pour fonctionner. Il est d’ailleurs de la taille d’un
ordinateur portable et il faut être aussi bien formé pour l’utiliser. Ce
sont surtout des professionnels qui l’utilisent.

Et le voyage n’était pas terminé. La prochaine personne très


importante que j’ai rencontrée lors de ce voyage c’était en 2010, 3
ans après que nous ayons commencé à distribuer le Timewaver.
C’est un chercheur dont j’ai déjà mentionné le nom, qui est
directeur de nombreuses cliniques et qui n’est autre que Nuno Nina
de Lisbonne. Il travaillait déjà avec les fréquences depuis des
années mais il était confronté à un problème: comment trouver les
bonnes fréquences pour le patient? Il les cherchait de façon
manuelle parce qu’il savait les détecter; il avait cette aptitude. Et il
m’a contacté après qu’un célèbre thérapeute de Norvège lui ait
parlé de moi en lui disant que nous avions développé un appareil
qui pouvait lire à travers le champs d’informations et décrypter les
fréquences dont quelqu’un a besoin.
Donc c’était l’association parfaite. Nous nous sommes rencontrés
en septembre 2010. Je me suis rendu à Lisbonne parce qu’il fait
très beau en septembre et que c’est au bord de l’Océan Atlantique
que j’aime y aller. Nous avons passé une semaine ensemble et au
cours de cette semaine nous avons pris les décisions les plus
importantes de ma vie. Nous avons pris la décision de rassembler
nos connaissances. Tout ce que j’avais développé en me fondant
sur la physique quantique, le champs d’informations et la
technologie Timewaver et ce que lui avait développé, tous les
protocoles de thérapie qu’il avait testé avec plus de 40 000 patients.
Les patients qui continuent de venir tous les jours dans sa clinique
qui ont des problèmes très sévères. Et ce moment-là a été une

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décision d’amitié. Nous n’avons pas du tout parlé affaires. Et ce
pendant 2 ans et demi. C’était une expérience inédite pour moi.
C’était un échange totalement libre de toutes nos connaissances.
Et nous n’avons jamais pensé à établir un contrat ni songé qu’à un
moment donné cela deviendrait une entreprise et qu’il faudrait
parler d’argent. C’était purement idéaliste. Je me souviens qu’en
2012 quand l’appareil était prêt, je voyagais dans l’Himalaya, à
4000 m d’altitude. Et j’ai reçu un coup de l. Heureusement, le
mobile passe là-haut. Un coup de l me disant l’appareil est prêt et
on peut le commercialiser mais il nous faut un contrat avec les
développeurs. Nous n’avions jamais parlé de ça. Donc j’ai
téléphoné à Nuno Nina et en 5 minutes nous sommes tombés
d’accord et nous n’en avons plus jamais reparlé. Et ça, c’est
quelque chose que j’ai vraiment apprécié avec les personnes que
j’ai rencontrées et qui ont contribué à tracer la voie vers ce que
nous avons atteint aujourd’hui. Il s’agit de personnes très idéalistes
qui se sentent investies d’une grande mission. Pas seulement en ce
qui concerne la technologie que j’ai développée ou la science qu’ils
ont intégrée mais comment elle peut béné cier au monde

Donc en 2012, notre première appareil à fréquence était prêt.


L’appareil qui allait chercher les fréquences dans le champs
d’informations pour les appliquer directement au patient via un
micro-courant qui module le passage des fréquences. Et déjà lors
de notre première rencontre à Lisbonne, Nuno Nina et moi
partagions la même idée et sommes arrivés à la conclusion que ce
n’était que le début et qu’il fallait sur la base de nos connaissances
mettre au point un petit dispositif que quelqu’un peut porter sur soi
et qui soit capable via internet de se connecter à un cloud a n que
nous puissions fournir aux gens de nouvelles fréquences, de
nouveaux protocoles de fréquences et ce, où qu’ils se trouvent, et
de façon très rapide.
Ce nouveau développement nous a encore pris 7 ans, notamment
pour les spéci cations médicales qui étaient très complexes. Car il
ne s’agit pas seulement de la certi cation du matériel informatique
mais de la connexion au smartphone, de la connexion du
smartphone au cloud.
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Et il faut que le cloud soit certi é comme dispositif médical. C’est
une chose dingue à faire. Cela nous a demandé plusieurs années.
Nous avons tous ensemble obtenu ces certi cations.
Et récemment nous avons aussi obtenu l’autorisation de mise sur le
marché de la FDA pour nos dispositifs. La FDA est l’équivalent de
l’ANSM, Agence Nationale de Sécurité du Médicament aux USA.

L’appareil dont je parle est le plus petit des membres de notre


famille. C’est le Healy. Déjà le nom Healy est court, simple, c’est un
objet très personnel qu’on aime porter sur soi, prêt du corps. Et la
raison pour laquelle on le porte très prêt du corps. En général, je
l’accroche là (ndlr: Marcus accroche le Healy à son col) a n qu’il
soit proche car si le Healy est très prêt du corps, il entre en
résonnance avec le champs de votre corps, et la résonnance avec
le champs de votre corps se fait via un centre quantique qui traduit
l’entropie, la mesure du désordre, qui est relié au champs
d’information en fréquence. Donc c’est quelque chose qu’on trouve
au dos du Healy. Je sais que la plupart des gens qui regardent
maintenant se trouvent aux Etats-Unis. Et aux USA, vous n’avez
pas encore le healy. Vous l’aurez très bientôt. Après la conférence,
nous vous dirons très probablement quand vous pourrez
commander votre Healy. Donc voici Healy. C’est petit mais ce que
vous voyez ce n’est que la partié émergée de l’Iceberg. La partie la
plus importante du Healy est virtuelle. C’est un cloud médical.
Nous avons regroupé des centaines et des centaines de
fréquences, des milliers de centaines de fréquences qui fournissent
sans cesse de nouveaux programmes au Healy. Donc il s’agit là de
la petite partie.
Sur le devant du healy vous voyez le générateur de fréquences qui
crée les fréquences physiques qui sont distribuées via un courant
électrique, un micro-courant que vous recevez via des électrodes
en bracelet pour les poignets, des pastilles d’oreilles ou des
adhésifs pour tous les endroits de votre corps où vous en avez
besoin. Mais au dos du Healy, il y a le centre quantique. Dans mon
healy personnel, il y a un trou, c’est moi qui l’ai demandé pour
pouvoir observer le centre quantique. Je vais l’approcher très
proche de la caméra. On sent qu’il y a quelque chose mais on ne
peut pas vraiment le voir. Mais il y a une partie électronique dotée

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de quelque chose qui utilise un procédé quantique ouvert. Un


procédé quantique ouvert est un procédé où le résultat n’est pas
soumis aux lois de la physique mais qui se produit via une
impulsion quantique créative. C’est le côté fascinant des
manifestations quantiques. Elles sont créatives. Elles créent de
nouvelles informations. Et ces nouvelles informations ne
proviennent pas des paramètre physiques de l’environnement mais
du champs d’informations, donc des 5 eme et 6eme dimensions.
Donc le capteur quantique connecte avec les 5ème et 6ème
dimensions. Et nous ne pouvons qu’indirectement mesurer le
diagnostique entre guillemets, le résultat de l’entropie qui indique
les fréquences distribuées qui nous sont nécessaires à un instant t.
Et c’est cela la puissance du Healy.

Donc quand vous téléchargez un programme dans le healy via le


smartphone, via une application qu’il suf t de télécharger, vous
sélectionnez le programme que vous souhaitez utiliser. Par
exemple, en Europe, le Healy est conforme aux normes
européennes et reconnu comme dispositif médical pour soulager
les douleurs mais aussi pour beaucoup d’autres indications que je
ne souhaite pas aborder ici parce que ce sera mentionné
differemment aux USA.
Nous nous focaliserons sur un dispositif médical destiné au
soulagement de la douleur mais les fréquences peuvent faire
beaucoup plus. En fait le Healy ne sera pas un dispositif médical
qui traite des maladies. Son action qui est de loin la plus importante
et qui délivre de bonnes fréquences qui vont équilibrer votre
champs bioénergétique. Donc nous n’avons aucune prétention
médicale. Nous n’avons aucun besoin de les revendiquer. Les
résultats qu’obtiennent les gens, leurs expériences avec le Healy
parlent d’elles-mêmes. Nous n’avons pas besoin de faire des
déclarations médicales et biensûr en dehors de l’autorisation que
nous a délivré la FDA nous ne ferons aucune af rmation médicale.
Donc le vocabulaire que nous utilisons, c’est que les fréquences
que délivrent le Healy n’ont pour but que d’équilibrer le champs
bioénergétique, le renforcer. C’est ce qui est le plus important,
surtout en ce moment, en période du Corona. Si notre champs
bioénergétique est vigoureux, il y aura une bonne communication

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entre differents aspects de notre corps physique, de notre
psychisme, de notre conscience, le champs d’informations, le
champs de la vie en arrière plan et nous pouvons tous comprendre
ce que cela signi e.
Et pour le langage des fréquences, nous avons une banque de
fréquences, dans laquelle se trouvent les 144 000 fréquences de
Nuno Nina qu’on peut regrouper en plus de 1000 catégories. Et
lorsque vous téléchargez un programme de fréquences dans votre
healy, vous avez accès à quelques 400 fréquences pour un seul
programme. Par exemple, le healy propose un programme qui
s’appelle équilibre et qui a pour but d’équilibrer le champs
bioénergétique et le champs bioénergétique des organes de votre
système. Pour atteindre cet objectif il propose 400 fréquences mais
lorsque vous faites une séance, le healy va procéder à une analyse
et ne sélectionnera que les 3/4, parfois 7 fréquences qui sont
importantes pour vous à cet instant précis. Donc les fréquences
seront toujours differentes d’une personne à l’autre et si vous-
même vous refaites le même programme deux semaines plus tard,
les fréquences que vous recevrez seront à nouveau differentes. Il
est donc impossible de toujours obtenir des fréquences identiques,
xes pour une indication ou un état particulier car cet état doit
toujours être analysé au moment où vous appliquez ce programme.
C’est là la grande force du healy.
Pour le décrire autrement, il s’agit de la combinaison entre la
technologie des fréquences qui proposent 144 000 fréquences, les
fréquence d’or, avec le capteur quantique qui connecte le healy aux
champs de l’information. Ces deux choses sont absolument
uniques.
Et si ensuite vous connectez le healy au cloud qui est un réseau
global d’échange d’informations entre les thérapeutes et les gens à
travers le monde alors il s’agit de quelque chose qui peut apporter
un véritable changement sur cette planète. Et c’est notre souhait, le
but que nous poursuivons depuis plus de 15 ans. Nous aimerions
voir le healy dans plus de 100 millions de familles sur cette planète,
ce qui veut dire qu’un milliard de personnes pourraient utiliser les
fréquences et cela aurait un impact sur les 6 ou 7 milliards d’autres
personnes sur cette planète. Je crois que c’est une grande vision et
nous ne pourrons la réaliser que si nous intégrons ce fabuleux
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marché que représentent les USA. Donc je suis vraiment très


emballé à l’idée que nous entamions la dernière étape

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