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SOMMAIRE
SOMMAIRE ......................................................................................................... 2
SECTION 1 : PROGRAMME D’AJUSTEMENT STRUCTUREL
AGRICOLE .......................................................................................................... 4
INTRODUCTION ................................................................................................ 4
I. CONTEXTE HISTORIQUE ET DEFINITION....................................... 5
1. Contexte historique ................................................................................ 5
2. Définition ............................................................................................... 6
II. LES CAUSES ET OBJECTIFS DU PASA.............................................. 6
1. Les causes .............................................................................................. 6
2. Les objectifs ........................................................................................... 8
III. LES AVANTAGES ET INCONVENIENTS DU PASA ..................... 9
1. Les avantages ......................................................................................... 9
2. Les inconvénients ................................................................................ 10
IV. LES TENTATIVES DE SOLUTIONS DU PASA ............................. 10
1. Au niveau agricole ............................................................................... 11
2. Au niveau institutionnel ....................................................................... 11
CONCLUSION ................................................................................................... 13
SECTION 2 : PROGRAMME D’AJUSTEMENT STRUCTUREL
COMPÉTITIVITÉ (PASCO) ............................................................................. 14
Introduction ......................................................................................................... 14
I. APPROCHE DEFINITIONNELLE ....................................................... 15
1. Notion d’ajustement structurel ............................................................ 15
2. Notion de compétitivité ....................................................................... 15
II. CONTEXTE HISTORIQUE DES PROGRAMMES D’AJUSTEMENT
STRUCTUREL (P.A.S) ................................................................................ 16
1. Causes .................................................................................................. 16
2. Buts ...................................................................................................... 18
III. PROGRAMME D’AJUSTEMENT STRUCTUREL
COMPETITIVITE (PASCO) ....................................................................... 19
1. Historique et objectifs du PASCO ....................................................... 19
2. Politiques mises en place ..................................................................... 19
3. Bilan du Programme ............................................................................ 20
SECTION 3 : LE PROGRAMME D'AJUSTEMENT DU SECTEUR
FINANCIER (PASFI)......................................................................................... 23
INTRODUCTION .............................................................................................. 23
I. CONTEXTE ET OBJECTIFS DU PASFI ............................................. 24
II. PRESENTATION DU PASFI ................................................................ 26
1. Définition ............................................................................................. 26
2. Les principales réformes du PASFI en Côte d’Ivoire ......................... 26
3. L’amélioration de l’environnement bancaire juridique ....................... 27
4. La restructuration bancaire .................................................................. 27
5. La réforme de la Bourse des Valeurs d'Abidjan .................................. 28
III. RESULTATS DE L’APPLICATION DU PASFI .............................. 28
1. Au niveau de l’activité économique .................................................... 28
2. Au niveau des finances publiques........................................................ 29
3. Au niveau de la dette intérieure publique ............................................ 29
4. Au niveau de la balance des paiements ............................................... 29
5. Au niveau du taux d’inflation .............................................................. 30
6. Au niveau de l’épargne intérieur ......................................................... 30
7. Au niveau des banques ........................................................................ 30
8. Au niveau de la Bourse d’Abidjan....................................................... 30
CONCLUSION ................................................................................................... 32
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES............................................................ 33
TABLES DES MATIERES ................................................................................ 33
SECTION 1: PROGRAMME D’AJUSTEMENT STRUCTUREL
AGRICOLE
INTRODUCTION
4
I. CONTEXTE HISTORIQUE ET DEFINITION
1. Contexte historique
5
un rôle prépondérant dans l’économie ivoirienne et la réduction des inégalités
sociales. Sur cette base, le défi majeur à relever reste celui de rendre l’agriculture
ivoirienne plus compétitive et plus rémunératrice pour les producteurs, tout en
assurant la sécurité alimentaire.
2. Définition
1. Les causes
2. Depuis les années 1960 jusqu'aux années 1978, la Côte d'Ivoire connaît une
croissance économique essentiellement liée au boom des exportations du
café, du cacao et du bois. On note aussi une croissance de plus de 7%/an en
moyenne du PIB. En effet, avec une politique de développement centré sur
l'agriculture, les pouvoirs publics vont arrêter des programmes afin
d'accroître la production des produits d'exportation (valorisation des
cultures de rentes : politique paysanne). Ces programmes vont permettre la
croissance de l'économie ivoirienne. Dans les années 1975 à 1977 où les
coûts mondiaux du cacao triplent et du café quadruplent, le niveau
économique de la Côte d'Ivoire se trouve dans un état euphorique, on l'a
qualifié de "miracle ivoirien".
Ainsi la Côte d'Ivoire fait partir des pays à revenu intermédiaire avec un PIB/hbt
qui atteint 2,237$ par habitant en 1978 (il est aujourd'hui inférieur à 800$). Cette
croissance a permis, un peu une redistribution et le développement d'une classe
moyenne fonctionnaire et primaire dont la consommation contribuait à la santé de
l'économie (en plus on a la consommation ostentatoire de l'élite politico
6
administrative de la bourgeoisie rural et urbaine, et de la communauté française).
L'activité économique permettant la création d'emploi salarié, l'attribution de
bourse aux étudiants et élèves, une gratuité de transport pour les fonctionnaires
d'État, les étudiants et les élèves en plus pour ces derniers une gratuité de logement
de restauration et bien d'autres faveurs. La majorité de la population semblait
trouver son compte dans la croissance. La croyance en un abonnement à vie de la
Côte d'Ivoire à la prospérité était partagée par toutes les classes. Elle avait les
faveurs des idéologies bourgeoises. Cette prospérité reproduisait les inégalités,
dans la mesure où les riches devenaient de plus en plus riches et les pauvres
tendent vers l'aisance.
Par ailleurs l'État ivoirien pèche par optimisme, car selon les analyses du ministre
BRA Kanon Dénis, les pays en voie de développement ont eu une manière de
fonctionnement économique qui consiste à investir tout de suite ce qu'on a comme
recettes. Pour lui "les conséquences sont parfaitement claires « car c'est "une
politique beaucoup plus prudente et beaucoup plus sage ", qu'une politique "qui
aurait consisté à constituer des réserves financières à partir d'une partie même de
ses recettes ". Mais la Côte d'Ivoire étant un pays qui a son économie basée sur
l'exploitation des matières premières, se mettait dans une position très dangereuse,
dans la mesure où "la fluctuation brutale des coûts sur les matières premières ‘’
(qui n'est pas ascendante mais descendante) ont entraîné une diminution des
recettes.
Ainsi, à partir des années 80, après une période de croissance économique
continue, les indicateurs macroéconomiques et sociaux de la Côte d’Ivoire se sont
altérés et le pays a basculé de la catégorie des pays à revenu intermédiaire vers
celle des pays à revenu faible. Le miracle artificiel n'a fait qu'alourdir la dette de
la Côte d'Ivoire à cause des erreurs dans sa conduite et la mauvaise gestion des
biens publiques. En effet, nous constatons à cette période que les excédents de la
CSSPPA (Caisse de Stabilisation et de Soutien des Prix des Produits Agricoles)
7
baissait au fur et à mesure, en 1975, 195 millions d'excédents, en 1977, 231
millions, en 1978, 115 millions et enfin en 1980, 97 millions ; cette baisse
d'excèdent est due à la chute du coût des matières premières agricoles. C'est en ce
sens que l'État se sur endettait et ne pouvait plus faire face à la majeure partie de
ses obligations.
3. Les objectifs
8
• Deux projets pilotes pour la préservation des forêts avec un projet test
pour la mise en place d’une filière "Cacao ami des forêts".
1. Les avantages
La préservation de la biodiversité.
La question foncière est l’une des questions clés de la Côte d’ivoire. En effet, le
développement spectaculaire que connaît l’agriculture ivoirienne a provoqué une
forte poussée démographique dans les zones forestières, propices au
développement des cultures d’exportation que sont le café et le cacao. Cette
situation, n’est pas sans conséquence sur l’évolution des zones d’accueil. Le
couvert forestier et les terres arables ont connu ou connaissent de graves
dégradations dues à l’exploitation massive. Pire, la disponibilité des terres est
devenue très rare. Les enjeux sur la terre se complexifient, entraînant parfois des
conflits entre les différentes communautés.
Il est important de relever les solutions qui ont été élaborées et menées par l’état
ivoirien au cours des dix dernières années. Ces solutions ont été regroupées sous
des programmes initiées par le ministère de l’Agriculture, les ministères
10
techniques tel que le Ministère de l’Economie et des Finances, les partenaires
techniques et financiers nationaux et multinationaux tels que la Banque Mondiale,
la Banque Africaine de Développement (BAD), l’Agence Française de
Développement (AFD), etc.
Ces solutions se situent aux niveaux agricole et institutionnel.
1. Au niveau agricole
2. Au niveau institutionnel
11
Les principaux partenaires techniques publics et privé, les bailleurs de fonds
devraient s’intéresser et s’impliquer activement pour assurer la réussite du
programme.
La prise en charge de certaines directives nationales et internationales.
12
CONCLUSION
En définitive, le PASA (Programme d’Ajustement Structurel Agricole), institué
par le gouvernement dans l‘optique de rehausser le niveau économique, ainsi que
promouvoir l’agriculture de la côte d’ivoire, n’a pas été à la hauteur. Toutefois, il
existe d’autres programmes à l’instar du PNIA (Programme Nationale
d’Investissement Agricole) s’inscrivant dans la continuité en poursuivant des
objectifs stratégiques non atteints par le PASA, mais il en diffère par son cadre de
formulation et d’exécution plus inclusive qui met un accent particulier à
l’implication de tous les intervenants (public et privé) du secteur agricole.
13
SECTION 2 : PROGRAMME D’AJUSTEMENT STRUCTUREL
COMPÉTITIVITÉ (PASCO)
Introduction
14
I. APPROCHE DEFINITIONNELLE
2. Notion de compétitivité
15
II. CONTEXTE HISTORIQUE DES PROGRAMMES
D’AJUSTEMENT STRUCTUREL (P.A.S)
1. Causes
Cependant, la Côte d'Ivoire étant un pays qui a son économie basée sur
l'exploitation des matières premières, se mettait dans une position très dangereuse
dans la mesure où la chute brutale des cours de ces matières a entraîné une
diminution des recettes. C'est en ce sens que l'État se surendettait et ne pouvait
plus faire face à la majeure partie de ses obligations.
Ainsi, à partir des années 80, après une période de croissance économique
continue, les indicateurs macroéconomique et sociaux de la Côte d'Ivoire se sont
altérés et le pays a basculé de la catégorie des pays à revenu intermédiaire vers
celle des pays à revenu faible. Le miracle artificiel n'a fait qu'alourdir la dette de
16
la Côte d'Ivoire à cause des erreurs dans sa conduite et la mauvaise gestion des
biens publiques. En effet, nous constatons à cette période que les excédents de la
CSSPPA (Caisse de Stabilisation et de Soutien des Prix des Produits Agricoles) Commenté [IMK1]: CAISSE DE STABILISATION
baissait au fur et à mesure, en 1975, 195 millions d'excédents, en 1977, 231 NOUVELLE CAISSE STABLE
épargnés d'où la contestation sociale vers la fin des années 1980. En plus, nous
avons les arriérés de paiement de l'État à l'égard des entreprises, la diminution
d'achat aux producteurs de la filière du café et du cacao. La petite industrie s'est
essoufflée de 8%/an en moyenne de 1960à 1979, le taux de croissance devient
négatif en 1980,-1,9% les conditions de la population se sont dégradées, nous
avons 37% seulement des ivoiriens qui bénéficient de l'électricité, 45% qui ont
accès aux soins médicaux, un ivoirien sur dix est porteur du VIH Sida, le taux
d'analphabétisme chez les adultes est élevé : 56%.
Enfin, la crise a été aggravée par des chocs extérieurs imprévus. Nous avons la
forte hausse du dollar, l'accroissement des taux d'intérêts sur les prêts accordés au
pays en voie développement, la détérioration des termes de l'échange qui ont
gravement affecté le déficit de la balance courante, la hausse du prix du pétrole en
1979 et enfin les aléas climatiques.
Ce sont ces différentes réalités qui ont poussé le gouvernement ivoirien, sous la
contrainte des institutions de Bretton Woods, a appliqué les Programmes
d'Ajustement Structurel (P.A.S).
17
2. Buts
18
secteur privé, l'on accroîtrait l'efficacité et la compétitivité des économies sous
l'ajustement.
Ainsi, ont été répertorié les buts et les objectifs que s'étaient assignés les
institutions de Brettons Woods vis-à-vis des PAS dans les pays en voie de
développement. L'économie elle a sûrement subir des modifications.
Au nombre des politiques mises en place dans le cadre du PASCO, nous pouvons
citer :
19
- La privatisation des entreprises dès 1990 qui s’est accéléré après la
dévaluation qui ont permis à l’Etat d’engranger de nouvelles ressources tout
en mobilisant les investissements privés nécessaires à la relance
économique ;
3. Bilan du Programme
Les PAS ont eu des conséquences aussi bien positives que négatives, tant sur le
niveau économique de la Côte d'Ivoire et ses politiques de développement que sur
la population ivoirienne.
20
entreprises dû à la faillite et à la fermeture de certaines entreprises, du refus
d'investissements de certains bailleurs de fonds.
21
L'avènement des PAS visant à améliorer notre économie et surtout nos conditions
de vie a plutôt échoué dans la mesure où le problème de la dette extérieure
persiste, le taux de chômage ne fait qu'augmenter d'années en années, ce qui
accroît certains vices tels que le banditisme, la prostitution, l'alcoolisme etc.
22
SECTION 3 : LE PROGRAMME D'AJUSTEMENT DU SECTEUR
FINANCIER (PASFI)
INTRODUCTION
23
dans la sous-région. Dans le cadre d'accords signés avec les institutions de
Brettons Woods, le gouvernement poursuit la stabilisation de ses comptes, le poids
de la dette extérieure diminue, la libéralisation de l'économie connaît des avancées
décisives tant sur le plan intérieur que sur le plan commercial, et le système
financier achève un plan de restructuration.
Après les années 70 et “le miracle ivoirien”, l’économie ivoirienne présente des
faiblesses structurelles : une forte dépendance extérieure et des déséquilibres
importants entre ses différents secteurs d'activités. Le cacao, qui en est la force,
constitue un point faible dans la mesure où aucun autre produit ni aucun autre
secteur n'influence autant l'économie de la Côte d'Ivoire. Certes, la production de
cacao injecte d'importants flux financiers dans le circuit économique, distribue des
revenus, permet à l'État par le biais de l'impôt, de disposer de marges de
manœuvres importantes, et à la balance commerciale d'être excédentaire, mais
lorsque les termes de l'échange lui sont défavorables, l'économie ivoirienne
vacille. La chute des cours des produits agricoles de base survenue à la fin des
années 1970 a ainsi provoqué une dépression d'autant plus grave qu'à la faveur du
« boum du café et du cacao ».
24
L’augmentation de l'endettement extérieur a alors été immédiate autant que la
montée de l'inflation. Le taux de change réel du pays, reposant sur un taux
d'inflation nettement supérieur à celui de ses partenaires, s'est trouvé surévalué
ruinant la compétitivité de l’industrie nationale. Durant les années 1980, le déficit
du secteur public atteint 12 % du PNB et celui du compte d'opérations courantes
17 % du PNB. Confronté à une croissance économique fortement ralentie, le pays
s’engage dans des Programmes d'ajustement structurel (PAS), parmi lesquels : le
Programme d’Ajustement Structurel du secteur Financier (PASFI).
25
II. PRESENTATION DU PASFI
1. Définition
Le PASFI s’inscrivait dans le cadre d’un plan à moyen terme (Juin 1992- Janvier
1994). La plupart des reformes prévues pour soutenir les efforts de relance des
activités économiques et pour promouvoir un système financier solvable,
diversifié et performant ont été réalisé fin 1993.
26
Nous avons plusieurs réformes qui ont été prises, parmi lesquelles figures : le
développement du marché des capitaux, l’assainissement du secteur des
assurances, l’amélioration de l’environnement bancaire juridique, la
restructuration bancaire et la réforme de la bourse des valeurs d’Abidjan. Nous
présenterons quelques reformes.
4. La restructuration bancaire
27
désengagement limitera sa part en capital à 20%. Par ailleurs, il est prévu
l'assainissement de la Caisse Autonome d'Amortissement, la liquidation de la
Banque Nationale du Développement Agricole.
Elle n’avait connu aucune nouvelle admission de société de 1983 à 1991. Aussi,
sa redynamisation est-elle incluse dans le PASFI. Il s’agit de la restructurer par la
privatisation de sa gestion et la création de SGI distinctes des banques.
28
2. Au niveau des finances publiques
Le financement du déficit des finances publiques s’est fait, en partie, par une
accumulation des arriérés intérieurs et extérieurs. La dette publique intérieure a
progressé pendant l’exécution du PASFI passant de 973.5 milliards (fin1991) à
1130.8 milliards (fin 1993), soit près de 40% du PIB. Elle n’atteignait que 634.7
milliards en 1990 (soit 24% du PIB).
Après une longue période de détérioration, la balance des paiements marque une
reprise sensible de la compétitivité de l’économie ivoirienne. Le changement de
parité du franc CFA a permis d’accroître les exportations de biens et services de
4.7% et 4.9% en volume en 1994 et 1995 alors qu’elles avaient baissé de -0.2% et
-10% les deux années précédentes.
29
5. Au niveau du taux d’inflation
Comme les autres indicateurs économiques, le taux d’inflation reflète l’état d’une
économie en récession. La dévaluation de franc CFA, intervenue en janvier 1994
entraine une poussée inflationniste. Mais la politique de rigueur budgétaire et
monétaire, dont la mise en place est facilitée par les améliorations du système
financier apportées par le PASFI, permet de contenir cette inflation à 32% en 1994
et 7.7% en 1995.
L’épargne intérieure qui représentait 11.3% du PIB en 1990 et 9.4% fin 1993, fait
un bond en passant à 21.8% en 1994 et 20.7% en 1995.
30
assiste à l’émergence d’un marché financier dynamique dopé par les
privatisations, la dévaluation et l’amélioration du cadre macroéconomique sous-
tendu par le PASFI.
31
CONCLUSION
32
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
BRA Kanon, Denis, 1985. Développement ou appauvrissement. Paris
Economica, 188p
Dictionnaire universel
Georges CAZES et alli... Le sous-développement et ses critères.
Jacques BRASSEUL février 1993 Introduction à l'économie du
développement
Lexique d'économie 6è édition 1999 Dalloz
Mamadou KOULIBALY, 1992. Le libéralisme, Nouveau départ pour l'Afrique
Noire, L’Harmattan, 223p
https://www.memoireonline.com/08/09/2561/m_Expose-sur-
lesprogrammes-dajustementstructurels0.html consulté le 21/03/2021
à 22h04
https://journals.openedition.org/ema/1262 consulté le 24/03/2021 à
20h06
http://www.fao.org/3/AB788F/ab788f08.htm consulté le 26/03/2021 à
19h09
https://www.persee.fr/doc/tiers_00407356_1991_num_32_125_457 8
consulté le 28/03/2021 à 23h11
https://www.pamdagro.ci/blog-amd consulté le 29/03/2021 à 00h59
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SECTION 3 : LE PROGRAMME D'AJUSTEMENT DU SECTEUR
FINANCIER (PASFI)......................................................................................... 23
INTRODUCTION .............................................................................................. 23
I. CONTEXTE ET OBJECTIFS DU PASFI ............................................. 24
II. PRESENTATION DU PASFI ................................................................ 26
1. Définition ................................................................................................ 26
2. Les principales réformes du PASFI en Côte d’Ivoire............................. 26
3. L’amélioration de l’environnement bancaire juridique .......................... 27
4. La restructuration bancaire ..................................................................... 27
5. La réforme de la Bourse des Valeurs d'Abidjan ..................................... 28
III. RESULTATS DE L’APPLICATION DU PASFI .............................. 28
1. Au niveau de l’activité économique ....................................................... 28
2. Au niveau des finances publiques ........................................................... 29
3. Au niveau de la dette intérieure publique ............................................... 29
4. Au niveau de la balance des paiements .................................................. 29
5. Au niveau du taux d’inflation ................................................................. 30
6. Au niveau de l’épargne intérieur ............................................................ 30
7. Au niveau des banques............................................................................ 30
8. Au niveau de la Bourse d’Abidjan .......................................................... 30
CONCLUSION ................................................................................................... 32
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES............................................................ 33
TABLES DES MATIERES ................................................................................ 33
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