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TP1 : OSCILLATIONS LIBRES DES SYSTEMES A UN DEGRE DE LIBERTE

0 X
Système mécanique, masse, ressort, amortisseur :
k α
m
Après avoir établi l’équation différentielle qui régit le mouvement du système mécanique on trouve les trois solutions de cette équation
(régime oscillatoire amorti ou pseudopériodique, régime critique et régime apériodique). Leurs graphes sont :
1- Régime pseudopériodique : δ < ω0 2- Régime critique : δ = ω0 3- Régime apériodique : δ > ω0
X(t) X(t)
1 1

0
00,00 0,01
t 0
0
0,00 0,01
t

Dans le régime pseudopériodique, 𝑿(𝒕) = 𝑨𝒆−𝜹𝒕 𝐜𝐨𝐬(𝝎𝒂 𝒕 + 𝝋) 𝑒𝑡 𝝎𝒂 = √𝝎𝟐𝟎 − 𝜹𝟐 est la pseudo pulsation.
1)Dispositif expérimental
A la place du système mécanique plus compliqué à réaliser, on étudie les oscillations amorties sur un circuit électrique dont le
comportement est analogue au comportement du système mécanique. L’analogue de x(t) est la charge du condensateur q(t). On observe
1
q(t) en observant la tension aux bornes du condensateur 𝑉𝐶 = 𝑞(𝑡). X(t) est donc remplacée par VC(t).
𝐶
C e(t) tension carrée
CH1
100Ω Amplitude e0 = 0,4 V
rg R L
Fréquence f ≤ 100 Hz
A CH2

E(t) C La résistance totale dans le circuit est RT = R+ Rr


10Ω e(t) VC(t)
Rr est la résistance résiduelle, celle qui reste toujours dans le circuit
B quand R = 0. La résistance résiduelle est la somme de la nouvelle
résistance interne du nouveau générateur r’g, de la résistance de la
A bobine rL, de la résistance des fils rFils, de la résistance des
’ connexions et contacts : Rr = r’g+ rL+rFils+rconnexions+rcontacts
rg
R L 𝑹𝑻
e(t) C VC(t) Le facteur d’amortissement est 𝜹 =
’ 𝟐𝑳
E (t)
𝟏
et la pulsation propre est 𝝎𝟎 = √ .
𝑳𝑪
B

La nouvelle résistance interne r’g du nouveau générateur E’(t) est obtenue en cherchant la résistance équivalente du circuit en pont
diviseur vue entre les points A et B et en court-circuitant le générateur E(t) (le remplacer par un fil).
(𝑅𝐴𝐶 +𝑟𝑔 )(𝑅𝐴𝐵 )
On trouve : 𝑟𝑔′ =
(𝑅𝐴𝐶 +𝑟𝑔 +𝑅𝐴𝐵 )

2)Observation des différents régimes :


Pour trouver la résistance critique RC, on met la résistance variable R à zéro et on l’augmente jusqu’à obtenir sur l’écran de l’oscilloscope
le régime critique. Il faut une valeur de RC la plus précise possible.
On suppose que la résistance résiduelle Rr est très petite devant R. Dans ce cas RC = RT = R+ Rr = R
On est dans le cas où δ = ω0. Trouver l’expression de l’inductance L en fonction
de RC et C. L = ? H (Henry).
3) Le régime oscillatoire amorti
On met R = 0. On observe sur l’écran de l’oscilloscope un régime
pseudopériodique. Les oscillations amorties sont assurées par la résistance
𝑹𝒓
résiduelle Rr. Dans ce cas 𝜹 = . On mesure le décrément logarithmique D et
𝟐𝑳
la période des oscillations amorties ou pseudo période T a.
𝟏 𝑽𝑪(𝒕)
𝑫 = 𝑳𝒏 𝒆𝒕 𝑫 = 𝜹𝑻𝒂 .
𝒏 𝑽𝑪(𝒕+𝒏𝑻𝒂 )
1 𝑉𝐶 (𝑡)
Pour n = 3 par exemple 𝐷 = 𝐿𝑛
3 𝑉𝐶 (𝑡+3𝑇𝑎 )
𝝅
On déduit le facteur d’amortissement δ, le facteur de qualité 𝑸 ≈ , la valeur de
𝑫
𝟏 (𝟒𝝅𝟐 +𝑫𝟐 )
l’inductance 𝑳 = et la résistance résiduelle Rr. On donne la pulsation propre : 𝛚02 = (à démontrer)
𝑪𝛚𝟐
𝟎 𝑻𝟐
𝒂
Comparer L à la valeur obtenue à partir de la mesure de RC.
4) Application à la mesure de résistances et de capacités inconnues :
On remplace la résistance R et le condensateur C dans le circuit par la résistance inconnue R X et le condensateur inconnu CX. On a
𝑹𝑿 +𝑹𝒓 𝟏
𝜹′ = et 𝝎𝟎 ′ = √ . Faire les mesures comme précédemment (D’ et Ta’), calculer 𝜹′ et ω0’ et déduire RX et CX.
𝟐𝑳 𝑳𝑪𝑿
N° de la Table : Section : Groupe :

Noms Prénoms
1.
2.

Date :
TP n°1
Oscillations libres des systèmes à un degré de liberté
Note :
/20
Important : Pour chaque résultat préciser les unités.

I. But du T.P :

……………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………….

II. Réalisation pratique :

1) Réalisation d'un générateur à faible résistance interne :


- Retrouver l'expression littérale et la valeur numérique de la résistance interne du nouveau
générateur :

r’g=

2) Observation des différents régimes


- Compléter le schéma suivant avec les termes qui conviennent : pseudopériodique, apériodique et critique

- Décrire la méthode de mesure de la résistance critique RC. valeur de R pour laquelle on obtient le
régime critique, c'est-à-dire celle pour laquelle on passe du régime oscillant au régime
apériodique.
………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………….
- Trouver l’expression de l’inductance L en fonction de RC et C. Calculer L ?

Expression utilisée Valeur numérique (unités?)

L=

1
3) Le régime oscillatoire amorti
a) Expliquer la méthode de mesure du décrément logarithmique D et de la période des oscillations Ta.

Sensibilité verticale:
Base de temps:
Le décrément logarithmique D =

La période Ta des oscillations avec le maximum de précision. Ta =

Expression utilisée Valeur numérique (unités?)




Rr

b) Comparer les valeurs de L et faire des commentaires et interprétations

……………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………….

4) Application à la mesure de résistances et de capacités inconnues:

- Mesurer le Décrément logarithmique D’ et la pseudo-période Ta’ ?


- Calculer ’ et ’? - Déduire RX et CX ?

D’ =

Ta’ =

Expression utilisée Valeur numérique (unités?)


RX

CX

2
3
TP2 : OSCILLATIONS FORCEES DES SYSTEMES A UN DEGRE DE LIBERTE : Informations supplémentaires au polycopié

Dispositif expérimental
On étudie les oscillations forcées sur un circuit électrique en analogie avec un système mécanique.Le circuit électrique est le même que
celui du TP1 sur les oscillations amorties. La tension d’excitation e(t) est une tension sinusoïdale e(t)= A cos (ωt) qu’on observe sur la
voie CH1 de l’oscilloscope. La réponse est une tension aux bornes du condensateur V C(t) = V0(ω) cos [ωt+φ(ω)] qu’on observe sur la
voie CH2. L’amplitude V0(ω) et le déphasage φ(ω) de la réponse varient en fonction de la pulsation ω de la tension d’excitation. On
obtient la courbe de résonance d’amplitude et la courbe du déphasage comme ci dessous. La courbe de résonance passe par un maximum à

une pulsation 𝝎𝒓 = √𝝎𝟐𝟎 − 𝟐𝜹𝟐 . La pulsation ωr est appelée pulsation de résonance et le maximum d’amplitude est appelé phénomène
de résonance ou résonance. Le déphasage est négatif, la réponse est en retard par rapport à l’excitation.
−𝝅
Le déphasage varie de 0 à –π. Il est égale à pour 𝜔 = 𝜔0 .
𝟐
V0()
()
V0max 1 0 2 
0

-/4

-/2

-3/4
e0
-
0 r 

1) Observation du phénomène de résonance


La tension e(t) est sinusoïdale. Son amplitude est fixée à e 0 = 0,4 V pour une fréquence f = 1 kHz.
On met R = 0. On observe le phénomène de résonance d’amplitude et on commente.
On mesure la fréquence de résonance fr et l’amplitude à la résonance V0max.
Effectuer les mêmes opérations que précédemment. R=100 et R = 500 
2) Etude de la réponse du système (amplitude et phase)
Tracer les courbes de l’amplitude V0(f) et du déphasage φ(f) pour R = 0 et pour une fréquence qui varie de f = 1kHz à f = 12kHz. Etablir
les tableaux de mesures. Prendre des valeurs aussi à la résonance et autour de la résonance en ajustant la valeur de e0 si nécessaire.

e(t) VC(t)
Le déphasage est donné par :

∆𝑡
0
T 𝜑 = 2𝜋
t 𝑇

t 𝜑 = 2𝜋 𝑓 ∆𝑡

3) Etude de l’acuité de la résonance


𝝎𝟎 𝟐𝝅𝒇𝒓
Déterminer la bande passante à partir des courbes de résonance et du déphasage. Déduire le facteur de qualité 𝑸 = ≈ .
∆𝝎 ∆𝝎
La bande passante est ∆ω = ω2 – ω1 = 2π (f2 – f1)
𝑽𝟎𝒎𝒂𝒙
a) A partir de la courbe d’amplitude. On cherche f1 et f2 qui correspondent à .
√𝟐
−𝝅 −𝟑𝝅
b) A partir de la courbe du déphasage, f1 correspond à 𝝋 = et f2 correspond à 𝝋 = .
𝟒 𝟒
𝑽𝟎𝒎𝒂𝒙 𝑳𝝎𝟎
Comparer les valeurs du facteur de qualité trouvées à la valeur pour 𝑸 = et à la valeur théorique 𝑸 = . Avec RT = R + Rr.
𝒆𝟎 𝑹𝑻
Prendre les valeurs de la résistance résiduelle Rr = 20 et de l’inductance L = 11mH.
4) Application à la mesure d’une résistance et d’une capacité inconnues
On remplace la résistance R et le condensateur C dans le circuit par la résistance inconnue R X et le condensateur inconnu CX.
𝑹𝑿 +𝑹𝒓 𝟏
On a 𝜹= et 𝝎𝟎 = √ .
𝟐𝑳 𝑳𝑪𝑿
𝑉0𝑚𝑎𝑥
On se met à la résonance. On mesure la fréquence de résonance fr et le facteur de qualité 𝑄 = .
𝑒0
𝜔0 2𝜋𝑓𝑟
On a 𝑄 = ≈ et 𝜔𝑟 = √𝜔02 − 2𝛿 2 .
2𝛿 2𝛿
Déterminer l’expression de 𝛿 et 𝜔0 en fonction de Q, fr.
Déterminer l’expression de RX et CX en fonction de Rr, L, 𝛿 et 𝜔0 .
N° de la table : Section : Groupe :
Noms Prénoms
1.
2.
Date :
TP n°2
Oscillations forcées des systèmes à un degré de liberté
Note :
/20

Important : Pour chaque résultat préciser les unités.

I. But du T.P :
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………

II. Réalisation pratique :

1°) Observation du phénomène de résonance en tension :


La résistance R = 0, faire varier la fréquence du signal d’entrée depuis les basses fréquences
jusqu’à la zone des fréquences élevées et observer simultanément la variation des
amplitudes des deux signaux. Relever la fréquence de résonance fR et comparer à la
pulsation propre du circuit f0.
Fixer R =100 et R = 300  ensuite effectuer les mêmes opérations que précédemment.

R () fr ( ) V0max( ) R ( ) f0 ( ) 0 ( )
0
100
300

Commenter l'influence de R sur les écarts éventuels entre 0 et R:

…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………

2°) Etude de la réponse du système (Amplitude et phase)

Tableaux de mesures (Amplitude) : R=0 , e0= 0.4v

f( )
V0 ( )

1
Tableaux de mesures (Déphasage) R= 0 , e0= 0.4 v

f( )

t ( )
( )

- Tracer les courbes donnant l’amplitude et la phase de la tension aux bornes de C en


fonction de la fréquence du signal d’entrée.

- Décrire les deux méthodes permettant la mesure de de la bande passante et du
coefficient de qualité Q:

Utilisation de la courbe de résonance en amplitude :


…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
Utilisation de la courbe de déphasage :
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………

Méthode utilisée  Q


Courbe de résonance en amplitude
Courbe du déphasage

- Comparaison et conclusion.
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………

4°) Mesure d'une résistance et d'une capacité inconnues:

f’r = Q’ =

Expression utilisée Valeur numérique (unités?)


𝜹′

𝝎𝟎 ′

RX

CX

2
3
TP3 : OSCILLATIONS LIBRES DE SYSTEMES A DEUX DEGRES DE LIBERTE : Informations supplémentaires au polycopié
V1 0 V2
k 0 k
kO
Système mécanique: 22
m m

Après avoir établi le système d’équations différentielles qui régit le mouvement du système mécanique on trouve les deux solutions
(modes propres d’oscillations) de ce système d’équations.
1- mode propre 1 2- mode propre 2 Solution générale
V1(t) = A1cos (ω1 t + φ1) V1(t) = A2cos (ω2 t + φ2) V1(t) = A1cos (ω1 t + φ1) + A2cos (ω2 t + φ2)
V2(t) = A1cos (ω1 t + φ1) V1(t) = - A2cos (ω2 t + φ2) V2(t) = A1cos (ω1 t + φ1) - A2cos (ω2 t + φ2)
Phénomène de battements : pour des conditions initiales X1(t) TB
particulière, la solution générale devient :

𝜔2 −𝜔1 𝜔2 +𝜔1
𝑉1 (𝑡) = 2𝐴 cos ( ) 𝑡 cos ( ) 0
2 2
𝜔2 −𝜔1 𝜔2 +𝜔1
t
𝑉2 (𝑡) = 2𝐴 sin ( ) 𝑡 sin ( )𝑡
2 2
𝜔2 −𝜔1 2𝜋
𝜔𝑀 = 𝑒𝑡 𝜔𝑀 = ; TM=2TB
2 𝑇𝑀
𝜔2 +𝜔1 2𝜋
𝜔𝑜𝑠𝑐 = 𝑒𝑡 𝜔𝑜𝑠𝑐 =
2 𝑇𝑜𝑠𝑐
X2(t) Tosc Tosc

TB et ωB sont la période et la pulsation de battements,


TM et ωM sont la période et la pulsation de modulation,
Tosc et ωosc sont la période et la pulsation d’oscillation. 0
t

TM

Schéma du montage électrique : comme lors des TP précédents et pour les mêmes raisons, on étudie à la place du système mécanique à
deux degrés de liberté les oscillations libres (amorties) sur un circuit électrique à deux mailles dont le schéma est présenté ci-dessous :
C e(t) tension carrée
100Ω Amplitude e0 = 0,4 V
L L
P Fréquence f ≤ 100 Hz
E(t) A
10Ω e(t) CO
C V0(t) C
B
CH1

CH2

1°) Etude des battements V1(t) V2(t)


a) Observation : observer V1(t) sur CH2 et V2(t) en faisant l’addition de Inv CH2 et CH1 au mêmes calibres. Comparer avec les prévisions
théoriques (allures, déphasages, …etc.…).
b) Mesures à effectuer : mesurer les périodes des oscillations T osc et des battements TB. En déduire les valeurs des pulsations propres ω 1 et
𝝎𝟐 𝟐
𝟐− 𝝎𝟏
ω2 puis celle du coefficient de couplage K dont l’expression est 𝑲 =
𝝎𝟐 𝟐
𝟐+ 𝝎𝟏
2°) Méthode des tensions moyennes
Mesurer les valeurs moyennes <V1> et <V2> autour desquelles oscillent V1(t) et V2(t).
En déduire la valeur du coefficient de couplage K (voir polycopié).
3°) Etudes des modes propres
On montre que le mode propre 1 est proportionnel à V1(𝑡) + 𝑉2 (𝑡) = 2𝐴 cos(𝜔1 𝑡 + 𝜑1 )
On observe sur CH1 une tension sinusoïdale amortie (à cause de la présence de petites résistances dans le circuit).
On mesure sa période propre T 1 et on en déduit la pulsation propre ω1.
On montre que le mode propre 2 est proportionnel à V1(𝑡) − 𝑉2 (𝑡) = 2𝐴 cos(𝜔2 𝑡 + 𝜑2 )

1 1 1
V1(𝑡) − 𝑉2 (𝑡) = ʃ 𝐼1 𝑑𝑡 - ʃ 𝐼2 𝑑𝑡 𝑉0 (𝑡) = ʃ (𝐼1 − 𝐼2 ) 𝑑𝑡
𝐶 𝐶 𝐶0
On observe la tension 𝑉0 (𝑡) proportionnelle à V1(𝑡) − 𝑉2 (𝑡) en faisant l’addition de INV CH2 et CH1 au point P pour les mêmes
calibres. On mesure sa période propre T 2 et on en déduit la pulsation propre ω2.
On déduit ensuite le coefficient de couplage K.
4°) Valeur théorique K= C/(C+C0)
N° de la Table : Section : Groupe :

Noms Prénoms
1.
2.

Date :
TP n°3
Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Note :
/20

Important : Pour chaque résultat préciser les unités.

I. But du T.P :
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………

II. Réalisation pratique : - Représenter le schéma du montage réalisé :

1°) Etude des battements


Observation de V1(t) :

- Résultat des mesures :

Période des oscillations Tosc =

Période des battements TB =

Période de modulation TM =

Expression utilisée Résultat


Pulsation Propre 

Pulsation Propre 

Coefficient de couplage 

1
2°) Méthode des tensions moyennes
- Expliquer la procédure de mesure de V2 (Indiquer les précautions à prendre):
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
- Mesurer les valeurs moyennes autour desquelles oscillent V1(t) et V2(t) :

<V1> = <V2> =

- En déduire le coefficient de couplage : K =

3°) Etude des modes propres


a) Observation de la tension V1 + V2

- Voie utilisée : CH1 ou CH2 ? ………

- Mesure de la période T1 : T1 =

- Comment expliquez-vous l'allure de la tension observée ?


…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………

b) Observation de la tension V0 proportionnelle à V1 - V2

- Expliquer la procédure de mesure de V0 :


…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………

- Mesure de la période T2 : T2 =

- Valeur du coefficient de couplage :


Expression utilisée Résultat
Pulsation Propre 

Pulsation Propre 

Coefficient de couplage 

4°) Comparaison des différentes méthodes


- Remplir toutes les cellules du tableau.
- Dans la première colonne donner un nom à chacune de ces méthodes.
expression utilisée Résultat
Première méthode :
…………………………….
Seconde méthode :
…………………………….

Troisième méthode :
……………………………

Calcul théorique :

2
3
TP4 : OSCILLATIONS FORCEES DES SYSTEMES A DEUX DEGRES DE LIBERTE : Informations supplémentaires au
polycopié

On étudie les oscillations forcées sur un circuit électrique à deux mailles, le même que celui utilisé dans le TP3 sur les oscillations
libres. La tension e(t) est sinusoïdale. Les tensions V1(t) et V2(t) sont observées comme précédemment.
A la tension d’excitation e(t) = e0 cos (ω t) on obtient les réponses V1(t) = V01(ω) cos (ω t + φ1(ω)) et V2(t) = V02(ω) cos (ω t + φ2(ω))
des tensions aux bornes des condensateurs dans la maille 1 et dans la maille 2. On s’intéresse particulièrement aux amplitudes des
réponses dont les courbes théoriques sont présentées ci-dessous. Les deux courbes d’amplitude présentent chacune deux maximums
(résonances) se produisant pour les pulsations ω=ω 1 et ω=ω2 et un minimum (anti résonance) se produisant pour la pulsation ω=ω min.
Les pulsations ω1 et ω2 sont les pulsations de résonance et la pulsation ω min est la pulsation d’anti résonance.
La variation théorique des pulsations propres (ou pulsations de résonance dans notre cas) en fonction du coefficient de couplage K est
présentée dans la figure ci-dessous.

V0() V01() 
2

V02()

2
2

2
1

0 1 min 2  0 1 K

II. Réalisation pratique


A) Première partie : Etude des courbes de réponses en tension
1- Observation des réponses V1(t) et V2(t)
e(t) est sinusoïdale d’amplitude e0 = 0,4 V fixée à une fréquence f ≤ 500 Hz.
Observer V1(t) et V2(t). Mettre en évidence les résonances et l’atténuation (anti résonance). Mesurer les fréquences de résonances f 1 et
f2 pour V1(t) ainsi que la fréquence d’anti résonance fmin. Mesurer en même temps les amplitudes à ces fréquences.

2- Tracé des courbes de réponse (amplitude)


Dresser un tableau de mesures donnant les amplitudes V 01(ω) et V02(ω) de V1(t) et V2(t) respectivement pour desfréquences variant
de f = 1 kHz à f = 15 kHz. Prendre des valeurs aussi aux résonances et anti résonance.

3- Comparaison avec les prévisions


Déduire à partir du graphe, la valeur des pulsations de résonance et d’anti résonance ω 1, ω2 et ωmin. Déduire le coefficient de couplage
𝝎𝟐 𝟐
𝟐− 𝝎𝟏 𝝎𝟐
𝟏
K en utilisant les expressions 𝑲 = et 𝑲= 𝟏− .
𝝎𝟐 𝟐
𝟐+ 𝝎𝟏 𝝎𝟐
𝒎𝒊𝒏
Déterminer, par extrapolation des courbes de réponses, les valeurs limites des amplitudes, V 01(0) et V02(0), pour f → 0.
𝑽𝟎𝟐 (𝟎)
Déduire le coefficient de couplage 𝑲 = (voir polycopié).
𝑽𝟎𝟏 (𝟎)
Calculer, en utilisant les éléments présents dans le circuit, la valeur théorique de ces mêmes grandeurs physiques
𝐶
𝐾= , ω1= et ω2= , ωmin= , V01(0)= et V02(0)= …….(voir polycopié))..
𝐶+𝐶0
Comparer les valeurs expérimentales aux valeurs théoriques.

B) Deuxième partie : Influence du couplage sur les fréquences propres


On utilise le phénomène de résonance pour mesurer les pulsations propres ω1et ω2 (pulsations de résonance dans notre cas) du
système à deux degrés de liberté dont on fait varier le coefficient de couplage K.
𝐶
On modifie la capacité C0 du condensateur de couplage à l’aide de divers condensateur. Pour chacune des valeurs de 𝐾 =
𝐶+𝐶0
obtenues on détermine les deux fréquences de résonance f 1 et f2 ensuite on déduit 𝑓12 et 𝑓22 . Dresser un tableau de mesures.
Tracer sur le même repère 𝑓12 et 𝑓22 en fonction de K. Comparer avec les prévisions théoriques et discuter.
N° de la table : Section : Groupe :
Noms Prénoms
1.
2.
Date :
TP n°4
Oscillations forcées des systèmes à deux degrés de liberté
Note :
/20
Important : Pour chaque résultat préciser les unités et l'incertitude.

I. But du T.P :

II. Réalisation pratique

A. Première partie : Etude des courbes de réponse en tension


1. Observation des réponses v1(t) et v2(t)
Le signal d’entrée e(t) est sinusoïdal d’amplitude e0 = 0,4 V. fixer la fréquence f ≤ 500Hz.
Observer V1(t) et V2(t). Mettre en évidence les résonances et l’atténuation (anti résonance). Mesurer
les fréquences de résonances f1 et f2 pour V1(t) ainsi que la fréquence d’anti résonance f min. Mesurer en
même temps les amplitudes à ces fréquences.
Résonance 1 Antirésonance Résonance 2
Fréquence ( )
Amplitude ( )

2. Tracé des courbes de réponse (amplitude)


Dresser un tableau de mesures donnant les amplitudes V01(ω) et V02(ω) de V1(t) et V2(t)
respectivement pour des fréquences variant de f = 1 kHz à f = 15 kHz.
Prendre des valeurs aussi aux résonances et anti résonance. Faire attention au choix de l'échelle et
prendre un nombre suffisant de mesures.

f( )
V01 ( )
V02 ( )

3. Comparaison avec les prévisions

Déduire à partir du graphe, la valeur des pulsations de résonance et d’anti résonance ω1, ω2 et ωmin.
Déduire le coefficient de couplage K en utilisant trois expressions différentes.
Calculer, en utilisant les éléments présents dans le circuit, la valeur théorique de ces mêmes grandeurs
physiques Comparer les valeurs expérimentales aux valeurs théoriques.

 Eléments du circuit :

L( ) C( ) C0( ) e0( )
Valeur

1
 Comparaison des différents résultats :

Résultats expérimentaux Valeurs théoriques


Expression utilisée Résultat

K= 
 =

K=
K=

K=

 = =

 = =

min = min =

V01(0) = V01(0) =

V02(0) = V02(0) =

 Conclusion

B) Deuxième partie : Influence du couplage sur les fréquences propres

On modifie la capacité C0 du condensateur de couplage à l’aide de divers condensateur. Pour chacune


des valeurs de K obtenues on détermine les deux fréquences de résonance f1 et f2. Dresser un tableau
de mesures.
Tracer sur le même repère 𝜔12 et 𝜔22 en fonction de K.

(Indiquer dans le tableau, l'expression utilisée pour le calcul du coefficient de couplage K.)

C0 ( )

K=

f1( )

f( )

12( )

( )

 Comparer avec les prévisions théoriques et discuter.

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