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QUE FAIRE FACE AUX ATTAQUES SPIRITUELLE ?

CHAP. 1. CRIEZ LE NOM DE JESUS-CHRIST.

A. LA PUISSANCE DU NOM DE JESUS

Bien Aimés, beaucoup de chrétiens ne connaissent pas la richesse et la puissance considérables du


Saint nom de Jésus qu’ils utilisent cependant chaque jour dans leurs prières (à l’église, à la maison).

Et pourtant… comme nous le verrons, le nom de Jésus joue un rôle très important pour chacun de
nous.

D’où vient l’autorité du nom de Jésus ?

Dans l’Ancien Testament, Dieu s’est révélé à Moïse au milieu du buisson ardent sous le nom de « YHVH
».

Ce nom secret que l’on doit éviter de prononcer, plein de mystère et tout puissant, a d’ailleurs été
remplacé par « Seigneur ». Mais Dieu s’est également révélé comme celui qui est « Je Suis »

Que constatons –nous ?

Jésus ressuscité, Dieu lui a donné le nom de « Seigneur », le même nom par lequel lui-même s’est
révélé au buisson ardent.

D’ailleurs, l’écriture nous dit que Jésus s’est aussi présenté par 3 fois (chiffre parfait) sous le nom de «
Je Suis ». (Jean 4,26 ; Jean 8, 24 ; Jean 8,58)

Toute l’onction, toute la puissance de son nom, Dieu le Père l’a donné à Jésus après la résurrection.
Tout vient de Dieu le Père. Jésus a dit :

« Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi » Jean 14,11 ; car il disait tout ce que disait le
Père, et faisait tout ce qu’il voyait faire le Père.

Mais attention, Jésus le faisait uniquement de son vivant et sous la puissance de l’Esprit reçu à son
baptême.

Par le sacrifice de la croix, Jésus a accompli toutes les promesses de Dieu, et a obtenu pour nous la
rémission des péchés, la rédemption et la paix avec Dieu.

L’écriture dit dans Philippiens 2 : 8-11

« Il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.
C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout
nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que
toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. »
Tous ceux qui refusent de croire en lui, fléchiront un jour les genoux à la seule prononciation de ce
Nom : Jésus (que ce soit de leur propre chef ou non).

Nous voyons donc que son autorité est souveraine et universelle, puisqu’elle agit dans les cieux sur la
terre et sous la terre. Elle s’exerce aussi bien sur les anges et les saints dans les cieux, que sur les
hommes sur la terre, et sur Satan et les démons. Amen

Il est dit aussi dans l’écriture, que tous confesseront que Jésus Christ est Seigneur, cela signifie qu’ils
reconnaitront tous que Jésus est bien celui dont il avait dit qu’il est le Tout Puissant Apocalypse 1 : 8,
c’est à dire le Dieu qui est au -dessus de tout et de tous. Amen

Lorsque sa mission sur terre fut achevée, Jésus ressuscité a rejoint Dieu le Père et donna aux croyants
le droit légal d’utiliser son nom et par la même, son autorité afin de poursuivre son œuvre.

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera
de plus grandes, parce que je m’en vais au Père » Jean 12 :12

Comme les disciples il nous envoie et nous donne l’ordre en son nom d’annoncer l’Evangile, de guérir
les malades et de chasser les démons. Marc 16 : 17-18

B. QUI PEUT RECEVOIR CETTE AUTORITE ?

Tous ceux qui ont reçu la nouvelle naissance lors de leur baptême.

B.1 Comment l’exercer ?

Avec foi et confiance Jean 14 :12

Avec force et détermination

« Car ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de
sagesse ». 2 Timothée 1 : 7

Dans l’obéissance à la volonté de Dieu

Dans l’humilité pour que la gloire revienne toujours à Dieu

B.2 Que pouvons –nous obtenir par le nom de Jésus ?

– Dans le nom de Jésus nous avons le salut

Il n’est pas de salut hors du nom de Jésus. C’est le seul nom par lequel le pécheur peut s’approcher de
Dieu le Père au moyen de la repentance et du pardon de nos péchés.
Avant même que Jésus soit conçu, l’ange de Dieu annonçait à Joseph

« Elle (Marie) enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c’est lui qui sauvera son peuple de
ses péchés ». Matthieu 1 : 21

Cela signifie que toutes les options possibles pour accéder à Dieu, à la vie éternelle et au salut sont
totalement exclues en dehors de Jésus, et de son nom.

C’est pourquoi l’écriture dit dans Actes 4 : 12

« Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les
hommes, par lequel nous devions être sauvés ».

Par ailleurs l’apôtre Pierre, lors de son discours à la Pentecôte a déclaré :

« Et quiconque alors invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ». Actes 2 : 21

En tant que Seigneur, Jésus peut, comme Dieu le Père nous accorder le pardon de nos péchés.

– Dans le nom de Jésus nous avons la guérison

Comme les apôtres et les premiers disciples dans le livre des Actes, si nous utilisons le nom de Jésus
avec foi, confiance et dans l’onction, nous aurons, nous aussi, des résultats extraordinaires.

Jésus envoie ses disciples pour annoncer l’Evangile, et guérir les malades en son nom, en leur imposant
les mains avec amour et compassion en nous rappelant son commandement nouveau :

« Aimez- vous les uns les autres comme je vous ai aimés ». Sans amour on ne peut rien faire !

De même Pierre et Jean lors de la guérison de l’infime de la Belle Porte ont agi au nom de Jésus avec
amour et compassion. Voilà ce qui est dit dans Actes 3 : 6-7 :

« Alors Pierre lui dit : Je n’ai ni argent, ni or ; mais ce que j’ai, je te le donne : au nom de Jésus Christ
de Nazareth, lève-toi et marche. Et le prenant par la main droite, il le fit lever. Au même instant, ses
pieds et ses chevilles devinrent fermes ; »

Mon frère ma sœur, si tu es souffrant, si tu luttes contre la maladie, exerce l’autorité du nom de Jésus.
À chaque fois que tu prononceras ce Nom avec autorité et confiance, il s’en dégagera de la puissance
et la guérison attendue viendra.

Toutefois, le Nom de Jésus ne doit pas être employé comme un nom fétiche qui nous assurerait
automatiquement l’exaucement, ni simplement comme une signature que l’on met au bas d’une
lettre.
– Dans le nom de Jésus nous avons la délivrance

Frères et sœurs, le Nom de Jésus est une

arme redoutable que le Seigneur nous a donnée pour combattre Satan, et ses démons. Car le nom de
Jésus représente l’autorité du Christ ressuscité, qui a triomphé du péché, de la mort et de Satan.

C’est toujours au nom unique de Jésus que nous chassons les démons.

Satan et ses démons ont terriblement peur du nom de Jésus, qui les a déjà vaincus à la croix.

Lorsque Jésus envoya les 72 disciples en mission, ils sont revenus en disant

« Seigneur les démons nous sont soumis en ton nom » Luc 10 : 17 et au verset suivant Jésus leur dit :
« Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair »

Jésus dit, à nous aussi qu’il nous a donné le pouvoir, de chasser en son Nom, les démons. Marc 16 :17

Les frères et sœurs de notre groupe de prière qui ont reçu le charisme de délivrance libèrent au Nom
de Jésus de nombreux frères et sœurs tourmentés par le démon. Mais attention, c’est par l’autorité
et la puissance du saint Nom de Jésus qu’ils peuvent chasser les démons et non en leur propre nom.,
ni en aucun autre nom. C’est le Seigneur qui est en eux et avec eux, qui agit et, surtout nous lui laissons
toute la gloire.

Mon frère, ma sœur, si Jésus ne t’a pas donné le charisme de délivrance, n’essaie pas de chasser les
démons sur les autres, car tu risques bien de te retrouver tout nu comme les 7 fils de Scéva.

Mon frère ma sœur, sois convaincu que l’Esprit qui est en toi, est plus fort que celui qui est dans le
monde, donc tu ne dois pas avoir peur des démons. Le crois –tu ?

A chaque fois que tu es confronté aux forces du mal, invoque avec foi et détermination le Nom puissant
de Jésus et utilise la Parole de Dieu qui correspond. Ainsi tu pourras faire plier genou à Satan et ses
démons et les chasser de toi, de ta maison.

Par exemple tu peux combattre les maris de nuit en disant ; ‘Au Nom de Jésus, je t’ordonne de partir
et de me laisser tranquille’

Mon frère ma sœur n’aies pas peur, n’aies pas peur car celui qui est en toi est plus fort. Et la victoire
t’appartient. Va voir aussi les prières sur le site Internet de Christ est Vivant.

Et n’oublie jamais que Jésus a déjà remporté la victoire sur Satan, pour toi, à la Croix.
– Dans le nom de Jésus, Dieu pourvoit à tous nos besoins

L’écriture dit dans Philippiens 4, 6-7

« Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières
et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence,
gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ »

Dieu est source de toute grâce (Psaume 87), nous pouvons soit demander à Dieu le Père, mais toujours
au nom de Jésus, (Jean 16,23), soit demander directement au nom de Jésus, (Jean 14,13) Il est
important de toujours rendre grâce à Dieu, comme nous le dit l’apôtre Paul :

« Et quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant
par lui des actions de grâces à Dieu le Père ». Colossiens 3,17

Sachez que ce qui rend inopérant l’efficacité du Nom de Jésus, pour celui qui l’utilise, c’est l’incrédulité,
le péché, le manque de pardon, les mauvaises relations, la pratique de l’occultisme…etc…

Mon frère, ma sœur, et toi ? Que fais-tu de cette autorité que Jésus t’a donnée en son nom ?

Frères et sœurs, et maintenant, vous connaissez la vérité, la vérité qui vous rend libres.

Le nom de Jésus nous donne un pouvoir extraordinaire, dans ce nom tout nous a été donné :

La 1ère vérité qui nous rendra libre c’est que dans le nom de Jésus nous avons :

Le pouvoir, la puissance, l’autorité.

La 2ième vérité qui nous rendra libre c’est que dans le nom de Jésus nous avons :

La guérison, la délivrance et la paix avec Dieu.

La 3ième vérité qui nous rendra libre c’est que :

Ce nom nous appartient. Jésus nous donne le droit légal d’utiliser son nom. Amen, Alléluia !

Le nom de Jésus est donc la clef qui donne accès à notre héritage en Christ et à une vie victorieuse..

Amen, Alléluia

Les démons craignent le nom de Jésus-Christ, alors la première chose à faire est de crier ce nom. Les
démons trembleront dès qu’ils vous entendront crier ce nom.

C. LE COMBAT POUR LE NOM DE JESUS


Satan connaît le secret

Satan a découvert le secret de l'efficacité du croyant. Une attaque massive a été lancée par Satan
contre la puissance du Saint-Esprit et contre l'autorité du nom de Jésus lorsque celui-ci est utilisé par
des croyants.

La Puissance du Saint-Esprit

Les croyants ont reçu la puissance du Saint-Esprit. Sur la terre, ils exercent cette puissance, mais ils
doivent également avoir l'autorité du nom de Jésus.

L'autorité du Nom de Jésus

Non seulement Satan craint la puissance du Saint-Esprit, mais aussi l'autorité du nom de Jésus dans la
vie du croyant.

Marc 16 : 17-18

17 Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons
; ils parleront de nouvelles langues ; 18 ils saisiront des serpents; s'ils boivent quelque breuvage mortel,
il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris.

Quand Jésus leur dit qu'ils chasseraient les démons, parleraient de nouvelles langues, que ni les
serpents ni les breuvages mortels ne pourraient leur faire de mal, que les malades auxquels ils
imposeraient les mains guériraient, il leur enseigna a faire tout cela en son nom : “en mon nom, ils...”.
L'Eglise devait et doit encore agir avec la puissance du Saint-Esprit et l'autorité du nom de Jésus.

Nous devons nous souvenir que le plan de Dieu n'a pas changé. Satan fera de son mieux pour séduire
les croyants et les garder dans l'ignorance de leur puissance et de leur autorité.

Guérison du mendiant boiteux

Pour toute illustration donnée avec tant de précision, nous devrions chercher à en tirer une leçon pour
nous aujourd'hui.

Actes 3 : 1-8

1 Pierre et Jean montaient ensemble au temple, à l'heure de la prière : c'était la neuvième heure. 2 Il
y avait un homme boiteux de naissance, qu'on portait et qu'on plaçait tous les jours à la porte du
temple appelée la Belle, pour qu'il demandât l'aumône à ceux qui entraient dans le temple. Lire la suite

Leçons pour aujourd'hui

En Chemin
Pierre et Jean se dirigeaient vers le temple à l'heure de la prière. Ce miracle eut lieu alors qu'ils se
rendaient à leur lieu de prière. Autant qu'on puisse le savoir, ils n'étaient pas particulièrement préparés
par la prière. Historiquement, l'heure de la prière était un temps réservé pour la prière personnelle,
vers trois heure de l'après-midi.

Un miracle ne s'obtient pas par la quantité des prières ou par la préparation par la prière. Toutefois
ceci n'est pas une excuse pour que les croyants négligent leur vie de prière.

Hors du Temple

Ce miracle se produisit hors du temple. Il eut lieu dans la rue où se trouvaient les passants.

Nous sommes le corps du Christ, nous sommes l'Eglise. Où que nous soyons, là est l'Eglise. Un miracle
peut se produire en tout lieu où se trouve un croyant en Jésus. Il est plus important que les miracles
aient lieu hors de l'église, car c'est là que la parole de Dieu a besoin d'être confirmée.

Jésus attendait le temps fixé par Dieu

Jésus disait qu'il faisait uniquement ce qu'il voyait son Père faire. Il attendait le temps fixé par Dieu.

Cet homme était placé chaque jour à la porte du temple. Jésus était souvent passé par cette porte,
souvent devant lui, mais Jésus ne l'avait pas guéri.

Conduit par l'Esprit

Combien de fois les disciples étaient-ils passés devant cet homme ? Mais cette fois se fut différent,
Pierre et Jean fixèrent leur regard sur lui et attirèrent son attention.

Nous devons être sensibles à la direction et au moment indiqués par le Saint-Esprit si nous désirons
voir nos mains opérer des miracles.

Placé dans l'expectative

L'homme fut placé dans l'expectative. Par une déclaration audacieuse, Pierre créa cette situation.

Au nom de Jésus

“Au nom de Jésus Christ de Nazareth, lève-toi et marche”.

Ce que Pierre avait à lui donner était le nom de Jésus.

Provoquer l'action

Pierre donna à l'homme une motivation pour agir. Il le prit par la main.

Ses pieds et ses chevilles ne s'affermirent pas avant qu'il fut debout :

Actes 3 : 7

7 Et le prenant par la main droite, il le fit lever. Au même instant, ses pieds et ses chevilles devinrent
fermes ;

L'homme loua Dieu

L'homme entra dans le temple, marchant sautant, et louant Dieu.


Il louait Dieu afin que chacun voit, et sans aucune gêne il glorifiait Dieu pour ce miracle.

Tous reconnurent le miracle

Tous reconnurent que sa guérison était un miracle. Ils étaient émerveillés et stupéfaits.

Permet d'apporter la connaissance de Jésus

Le peuple se rassembla et Pierre les instruisit d'un Jésus ressuscité :

Actes 3 : 15

15 Vous avez fait mourir le Prince de la vie, que Dieu a ressuscité des morts ; nous en sommes témoins.

La foi dans le nom de Jésus

Tout d'abord Pierre s'est assuré qu'ils avaient bien compris qui était Jésus, puis qu'ils savaient bien que
ce miracle avait été accompli par la foi dans le nom de Jésus.

Actes 3 : 16

16 C'est par la foi en son nom que son nom a raffermi celui que vous voyez et connaissez ; c'est la foi
en lui qui a donné à cet homme cette entière guérison, en présence de vous tous.

L'attaque immédiate de Satan

Par Quel Pouvoir ou à Quel Nom ?

On s'attendrait à ce que les dirigeants du temple se soient réjouis de la guérison d'un boiteux, mais,
alors que Pierre et Jean parlaient encore, ils se saisirent d'eux et les jetèrent en prison.

Quelle fut leur première question ?

Actes 4 : 7

7 Ils firent placer au milieu d'eux Pierre et Jean, et leur demandèrent : Par quel pouvoir, ou au nom de
qui avez-vous fait cela ?

C.1 COMBAT POUR LE NOM DE JESUS


Actes 4 : 10

10 sachez-le tous, et que tout le peuple d'Israël le sache ! C'est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth,
que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c'est par lui que cet homme se présente en
pleine santé devant vous.

Le dilemme

Actes 4 : 16-18

16 disant : Que ferons-nous à ces hommes ? Car il est manifeste pour tous les habitants de Jérusalem
qu'un miracle signalé a été accompli par eux, et nous ne pouvons pas le nier. 17 Mais, afin que la chose
ne se répande pas davantage parmi le peuple, défendons-leur avec menaces de parler désormais à qui
que ce soit en ce nom-là. Lire la suite

L'avertissement

Mais, afin que la chose ne se répande pas davantage parmi le peuple, défendons-leur avec menaces
de parler désormais à qui que ce soit en ce nom-là.

L'ordre

Et les ayant appelés, ils leur défendirent absolument de parler et d'enseigner au nom de Jésus.

La réaction

Dès qu'ils furent relâchés, Pierre et Jean retournèrent auprès des leurs et continuèrent à parler au nom
de Jésus :

Actes 4 : 29-30

29 Et maintenant, Seigneur, vois leurs menaces, et donne à tes serviteurs d'annoncer ta parole avec
une pleine assurance, 30 en étendant ta main, pour qu'il se fasse des guérisons, des miracles et des
prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus.

La punition

Actes 5 : 28

28 en ces termes : Ne vous avons-nous pas défendu expressément d'enseigner en ce nom-là ? Et voici,
vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez faire retomber sur nous le sang de
cet homme !
Les membres du Sanhédrin souhaitaient tuer les apôtres pour avoir continué à parler et à accomplir
des miracles au nom de Jésus. Cependant ils agirent avec prudence ; ils les firent battre de verges et
leur ordonnèrent une fois encore de cesser d'utiliser le nom de Jésus :

Actes 5 : 40

40 Ils se rangèrent à son avis. Et ayant appelé les apôtres, ils les firent battre de verges, ils leur
défendirent de parler au nom de Jésus, et ils les relâchèrent.

Le résultat

Actes 5 : 41-42

41 Les apôtres se retirèrent de devant le sanhédrin, joyeux d'avoir été jugés dignes de subir des
outrages pour le nom de Jésus. 42 Et chaque jour, dans le temple et dans les maisons, ils ne cessaient
d'enseigner, et d'annoncer la bonne nouvelle de Jésus-Christ.

Saul (Paul) et le nom de Jésus

Le Persécuteur

La première persécution de croyants fut motivée par l'invocation du nom de Jésus. Selon Ananias, Saül
reconnaissait les personnes à arrêter par leur habitude d'user du nom de Jésus:

Actes 9 : 13-14

13 Ananias répondit : Seigneur, j'ai appris de plusieurs personnes tous les maux que cet homme a faits
à tes saints dans Jérusalem; 14 et il a ici des pouvoirs, de la part des principaux sacrificateurs, pour lier
tous ceux qui invoquent ton nom.

Choisi pour porter Son Nom

Dieu envoya Ananias vers Saül car il avait choisi Saül pour porter son nom devant les nations, les rois,
et devant les fils d'Israël. Pour faire usage du nom de Jésus, Saül devrait maintenant souffrir à la mesure
de la souffrance qu'il avait causée aux autres:

Actes 9 : 15-16

15 Mais le Seigneur lui dit : Va, car cet homme est un instrument que j'ai choisi, pour porter mon nom
devant les nations, devant les rois, et devant les fils d'Israël; 16 et je lui montrerai tout ce qu'il doit
souffrir pour mon nom.
Prêt à mourir pour Son Nom

Paul était prêt à mourir pour le nom de Jésus:

Actes 21 : 13

13 Alors il répondit : Que faites-vous, en pleurant et en me brisant le coeur ? Je suis prêt, non
seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus.

Il écrit au sujet de Son Nom

Paul connaissait la puissance du nom de Jésus. Il la connaissait pour avoir combattu ce nom et avoir
perdu le combat. Il la connaissait pour avoir été sauvé par le nom de Jésus. Maintes fois Paul a écrit au
sujet du nom de Jésus.

Romains 10 : 13

13 Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.

1 Corinthiens 5 : 4

4 Au nom du Seigneur Jésus, vous et mon esprit étant assemblés avec la puissance de notre Seigneur
Jésus,

Philippiens 2 : 9-10

9 C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout
nom, 10 afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre,

Colossiens 3 : 17

17 Et quoi que vous fassiez, en parole ou en oeuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant
par lui des actions de grâces à Dieu le Père.

C.2 Le Nom de Jésus

Pourquoi les premiers chrétiens préféraient- ils mourir plutôt que de renoncer à l'usage du nom de
Jésus ?
Pourquoi les chefs religieux ont-ils attaqué le nom de Jésus dès les toutes premières occurrences de
son usage ?

Les croyants comme les chefs religieux connaissaient la puissance résultant de l'usage du nom de Jésus.

Il donne le Salut

C'est par le nom de Jésus que nous sommes conduits au salut:

Actes 2 : 21

21 Alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.

Actes 2 : 21-38

21 Alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. 22 Hommes Israélites, écoutez ces
paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles,
les prodiges et les signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes;
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La Victoire

C'est par le nom de Jésus que nous sommes capables d'accomplir le “grand mandat” et d'apporter le
salut au monde entier.

C'est par le nom de Jésus que les démons sont chassés et le peuple libéré.

La Guérison

Le nom de Jésus apporte la guérison :

Actes 3 : 16

16 C'est par la foi en son nom que son nom a raffermi celui que vous voyez et connaissez ; c'est la foi
en lui qui a donné à cet homme cette entière guérison, en présence de vous tous.

La communion avec Dieu

Nous pouvons approcher Dieu le Père en raison de ce que Jésus a fait pour nous et par l'usage de son
nom :

Jean 16 : 23
23 En ce jour-là, vous ne m'interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous
demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.

Ephésiens 5 : 20

20 rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur Jésus-
Christ,

Réservé exclusivement aux croyants

L'usage du nom de Jésus est réservé à l'Eglise. Le nom de Jésus devient puissant quand il est utilisé
avec foi.

Les sept fils de Scéva

Ils étaient sept fils qui tentèrent d'utiliser le nom de Jésus sans le connaître et se sont ainsi attiré des
ennuis certains :

Actes 19 : 13-16

13 Quelques exorcistes juifs ambulants essayèrent d'invoquer sur ceux qui avaient des esprits malins
le nom du Seigneur Jésus, en disant : Je vous conjure par Jésus que Paul prêche ! 14 Ceux qui faisaient
cela étaient sept fils de Scéva, Juif, l'un des principaux sacrificateurs. Lire la suite

Ceux qui faisaient cela étaient sept fils de Scéva, Juif, l'un des principaux sacrificateurs.

L'esprit malin leur répondit : Je connais Jésus, et je sais qui est Paul ; mais vous, qui êtes-vous ?

Et l'homme dans lequel était l'esprit malin s'élança sur eux, se rendit maître de tous deux, et les
maltraita de telle sorte qu'ils s'enfuirent de cette maison nus et blessés.

Nus, blessés, défaits

Le nom de Jésus ne peut pas être utilisé comme un porte-bonheur ou un fétiche. La puissance du nom
de Jésus est quasiment indescriptible lorsqu'il est employé avec foi par un véritable croyant, mais ce
nom demeure sans pouvoir quand il est employé par un incroyant.

Le nom très honorable

Ceux qui ont essayé d'utiliser le nom de Jésus sans en avoir le droit furent discrédités. Cependant ce
type d'incident résulta en un plus grand honneur donné au nom de Jésus et un plus grand nombre de
personnes amenées à connaître Jésus :

Actes 19 : 17-18

17 Cela fut connu de tous les Juifs et de tous les Grecs qui demeuraient à Ephèse, et la crainte s'empara
d'eux tous, et le nom du Seigneur Jésus était glorifié. 18 Plusieurs de ceux qui avaient cru venaient
confesser et déclarer ce qu'ils avaient fait.
La perversion de Son Nom

Satan connaît la puissance du nom de Jésus quand celui-ci est prononcé avec foi par les croyants. C'est
pourquoi l'une de ses attaques a été de pervertir, affaiblir, blasphémer et détruire la puissance de ce
nom.

Le nom de Jésus est souvent employé comme juron. Il est souvent prononcé par les blasphémateurs.

A-t-on jamais entendu un incroyant jurer au nom des fondateurs d'autres religions. Pourquoi donc ?

Ces noms, ou tout autre nom d'un faux dieu, n'ont aucune puissance. Satan n'a aucune raison de
discréditer ces noms. Au contraire il les honorera car ils lui appartiennent.

Appelés par Son Nom

En tant que chrétiens nous jouissons de bénédictions merveilleuses et indescriptibles. Simultanément


ceux qui sont appelés par le nom de Jésus, ceux qui sont nommés “chrétiens”, ont d'énormes
responsabilités.

Donner gloire à Dieu

Paul en parle dans sa lettre à Timothée:

2 Thessaloniciens 1 : 12

12 pour que le nom de notre Seigneur Jésus soit glorifié en vous, et que vous soyez glorifiés en lui,
selon la grâce de notre Dieu et du Seigneur Jésus-Christ.

Ne pas le déshonorer

Dans sa lettre aux Juifs, Paul leur reproche d'avoir déshonoré le nom de Dieu. Le même avertissement
s'adresse à ceux qui portent le nom de “chrétiens” :

Romains 2 : 17-24

17 Toi qui te donnes le nom de Juif, qui te reposes sur la loi, qui te glorifies de Dieu, 18 qui connais sa
volonté, qui apprécies la différence des choses, étant instruit par la loi ; Lire la suite

Toi qui dis de ne pas commettre d'adultère, tu commets l’adultère ! Toi qui as en abomination les
idoles, tu commets des sacrilèges ! Toi qui te fais une gloire de la loi, tu déshonores Dieu par la
transgression de la loi ! Car le nom de Dieu est à cause de vous blasphémé parmi les païens, comme
cela est écrit.

Se détourner de l'iniquité

Paul écrit à Timothée:

2 Timothée 2 : 19
19 Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau :
Le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent ; et : Quiconque prononce le nom du Seigneur, qu'il
s'éloigne de l'iniquité.

Croire en Jésus et croire en Son Nom

Ainsi que nous croyons en Jésus pour notre salut, nous devons croire en la puissance et l'autorité de
son nom afin d'être victorieux dans notre vie quotidienne.

Il est intéressant de noter combien de fois le Nouveau Testament nous exhorte à invoquer le nom de
Jésus et à croire en son nom. Pourquoi ne nous recommande-t-il pas simplement l'un ou l’autre ?
Pourquoi sommes-nous toujours exhortés à faire l'un et l’autre ?

Jésus a acquis notre salut par sa mort sur la croix. Par sa vie en tant qu'homme parfait, par sa mort et
sa résurrection, il a repris à Satan l'autorité pour gouverner la terre. Par l'usage de son nom, les
croyants ont aujourd'hui l'autorité pour gouverner la terre !

Jésus nous a donné son nom. Nous devons parler et agir en son nom. En agissant ainsi et en ayant foi
en la puissance de son nom, nous pouvons faire tout ce que Jésus a fait. Nous pouvons faire de plus
grandes choses encore.

Quand Jésus a dit qu'il bâtirait son Eglise, il ne nous a pas laissés impuissants, aux prises avec
l'adversité, durant notre temps sur terre. Comment vaincre le diable et ses démons sans la puissance
et l’autorité ? Jésus nous a donné la puissance du Saint-Esprit et l'autorité de son nom.

Questions :

1. Quelle importance a le nom de Jésus pour vous ?


2. Nommez quelques-unes des bénédictions attachées au nom de Jésus. Citez quelques-unes
des responsabilités.
3. Qu'est-il arrivé aux fils de Scéva? Pourquoi ?

REPONSES

1. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
2. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………….
3. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
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Répondez-nous a notre adresse email tabkumba@gmail.com

CHAP 2. COMMENCEZ UNE LOUANGE.


La louange : l’arme spirituelle par excellence !

Nous pensons souvent que la louange est réservée à un certain groupe d’élus, aux chantres, à la
chorale. Qu’il faut une belle voix, ce don, ou bien qu’elle crée une atmosphère durant le culte du
dimanche…

En réalité, c’est une réelle arme spirituelle, si ce n’est la plus grande. Beaucoup de mensonges instaurés
par l’ennemi, nous limitent et nous empêchent d’être un canal des cieux vers la terre. Négliger la
louange est de loin le plus regrettable, pour le Royaume.

Histoire de la louange.

De tout temps, l’être humain a cherché à adorer. L’adoration est inscrite dans nos gènes. Dans de
nombreuses civilisations, l’homme adorait la nature, l’animal, etc. C’est un besoin vital pour l’homme.
Comment en serait-il autrement en tant qu’enfant de Dieu ?

Ce qui est le plus intéressant pour nous chrétiens, c’est de comprendre l’origine de la louange. Avant
qu’Adam et Eve soient créés, les anges existaient. Comme dans toute la création divine, il y avait un
ordre établi. Le ministère des anges est très complet : archanges, séraphins, anges guerriers, chérubins.
L’ange le plus important, le plus aimé par Dieu était Lucifer, il était chérubin. Son nom signifiait «
porteur de lumière » et il était l’un des anges les plus élevés. Il était chantre, son ministère était la
musique, comme le précise :

Ezéchiel 28 :13-14 (LSG) : « Tu étais en Eden, le jardin de Dieu ; tu étais couvert de toute espèce de
pierres précieuses, de sardoine, de topaze, de diamant, de chrysolithe, d’onyx, de jaspe, de saphir,
d’escarboucle, d’émeraude, et d’or ; Tes tambourins et tes flûtes étaient à ton service, Préparés pour
le jour où tu fus créé. Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées ; Je t’avais placé et tu étais
sur la sainte montagne de Dieu ; Tu marchais au milieu des pierres étincelantes. »

Il avait donc été créé pour honorer Dieu et emmener la gloire de Dieu au travers de la musique. Vous
connaissez tous la suite. Il s’est enflé d’orgueil, en considérant sa place privilégiée comme une
opportunité d’établir son trône et de prendre la place de Dieu. Il entraîna avec lui un tiers des anges,
qui comme lui, avaient laissé leur cœur s’emplir d’orgueil et de rébellion.

L’enfer fut donc créé pour lui, et les anges déchus. Le combat spirituel débute. Il sera lié durant le
millénium et ne pourra plus agir.

Apocalypse 20 :2 : « Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille
ans. »

En attendant, il est libre. Il est le prince de ce monde ; son ultime but est d’entraîner un maximum
d’enfants de Dieu dans sa chute, avec lui en enfer.

Il n’y a donc rien d’étonnant de voir à quel point la musique prend tellement de place dans nos cultures
; c’est le théâtre du combat spirituel.

Une fois le contexte établi, l’histoire de la louange expliquée, il est bien plus facile de saisir à quel point
c’est l’arme spirituelle par excellence. Il est également primordial de briser les chaînes du mensonge
de Satan : la louange est une arme à portée de tous !

La louange : la clé qui ouvre la porte du Royaume des cieux.


La louange est la clé spirituelle pour que notre âme soit alignée avec le Saint-Esprit. Nous vivons dans
ce monde, nous avons un combat avec notre chair. Nous vivons des épreuves, l’ennemi nous tente,
nous tourmente pour peu que nous ne soyons pas conscients de ce combat spirituel ; ne nous leurrons
pas.

Lorsque nous louons, nous nous connectons directement à Dieu ; nous entrons pleinement dans la
reconnaissance. Tout comme la prière, au travers de la louange, le Seigneur se révèle à nous, Il nous
guide et nous parle. Le roi David l’avait vite compris. Le livre des Psaumes est un livre de louanges, à
l’état pur. Dans nos prières, dans les prédications que nous entendons, nous cherchons à nous
connecter au Père céleste, à recevoir de Lui.

Avec la louange, nous recevons le plus beau cadeau divin qui soit, la paix. Elle nous permet de rester
les yeux fixés sur les hauts sommets. Elle garde nos pensées captives en Christ. La louange est née dans
le ministère des anges ; elle a une puissance activatrice de la gloire de Dieu dans nos vies. Lorsque nous
chantons des louanges, nous proclamons la Parole, nous la déclarons. Bien trop souvent, nous limitons
les paroles que nous prononçons, par habitude ou par lassitude après de nombreuses années de
conversion, mais gardons notre cœur ! Lorsque nous comprenons l’histoire la louange, lorsque nous
savons que Lucifer était chantre, nous comprenons mieux l’impact de la musique du monde dans le
monde mais aussi et malheureusement dans la famille de Dieu.

Louer Dieu avec un cœur sincère, être centrés sur les paroles que nous prononçons et laisser Dieu agir
dans nos vies au travers de la louange, nous appartient c’est un choix. Le Saint-Esprit nous pousse à
chanter et honorer le nom du Seigneur en esprit et en vérité. Il en va de même pour la louange. Lorsque
le Saint-Esprit nous saisit et nous permet de louer pleinement notre Dieu, sans barrière, sans peur,
sans crainte du jugement des autres, la louange en esprit, en langue, est une manifestation
surnaturelle de la gloire de Dieu. Nous passons de la louange à l’adoration.

En étant ainsi connectés directement au royaume, nous donnons du travail aux anges. En tant
qu’enfants de Dieu, nous adorons Dieu seul, nous Le savons, mais au même titre que les ténèbres
travaillent sur cette terre, nous ne doutons pas que le Royaume de Dieu travaille activement aussi.
Cela passe aussi par Son armée d’anges. En louant, nous donnons des missions à cette armée céleste,
nous reprenons également des forces en tant qu’armée terrestre.

Le combat spirituel est bel et bien présent, cela ne se limite pas à la domination de la chair. David nous
donne un exemple :

Psaume 103 : 20-22 (LSG) « Louez Jéhovah, vous, tous Ses anges extrêmement puissants qui, obéissant
à Sa voix, exécutez Sa Parole. Louez Jéhovah, vous, toutes Ses armées, Ses ministres, qui faites Sa
volonté. Louez Jéhovah, vous, toutes Ses œuvres, dans tous les lieux où Il domine. Que tout mon être
loue Jéhovah ! »

Louer Dieu en tout temps.

Qui n’a jamais dansé et loué Dieu lorsqu’une bonne nouvelle lui parvient ? Tout le monde, et c’est
totalement normal et correct. Mais la puissance de la louange se révèle particulièrement au travers
des temps difficiles que nous traversons.

Elle nous permet de vivre une réelle percée et de ne pas agir selon notre raisonnement ou notre propre
force mais elle nous permet de tenir fermement la main de notre Sauveur afin d’aller vers l’autre
rivage. Lorsque nous louons dans l’épreuve, nous pouvons réellement demeurer dans la joie, une
manifestation du fruit de l’Esprit. De la joie découle de réels bienfaits spirituels mais aussi
physiologiques. La joie, baisse le taux de cortisol, l’hormone du stress et augmente le taux
d’endorphine : l’hormone du bien-être.

Nous offrons véritablement un sacrifice de louange à Dieu ; cela n’est pas naturel. Nous ne nous levons
pas en pleine épreuve, en pleine difficulté avec un cœur reconnaissant ni avec l’envie de louer. Mais
la Bible nous parle de ce sacrifice de louange.

Hébreux 13 :15 (LSG) : « Par Lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit
de lèvres qui confessent Son nom. »

Cela nous coûte, c’est intentionnel et forcé au début peut-être mais la grâce abonde dès le refrain.
L’attaque de l’ennemi est mise à jour, et en continuant de louer Dieu malgré l’épreuve, nous lui
résistons, nous le mettons à jour, et il fuit. Le Saint-Esprit garde nos cœurs et nous révèle la volonté du
Père dans cette situation. Nous ne regardons plus à la montagne, au problème, mais à l’éternité, à la
solution qui vient de Dieu.

Il y a deux Psaumes qui illustrent parfaitement cet acte intentionnel, de louer Dieu lorsque tout va mal.
Dans les Psaumes 102 et 103, nous voyons que tout au long du Psaume 102, David est abattu du verset
9 à 11 ; puis au début du Psaume 103 son âme est rafraîchie, aux versets 1 et 2 puis aux verset suivants,
il a reçu la provision divine spirituelle nécessaire pour affronter ses ennemis. En tant qu’enfants de
Dieu, nous sommes appelés à dominer sur les situations.

Le « New Age » a repris cela avec la pensée positive, mais clairement pour l’avoir testé avant ma
conversion, je peux attester que cela est nature, simplement naturel, et qu’on a beau se répéter des
phrases positives pendant l’épreuve, cela n’est qu’un pansement mis sur une hémorragie. Mais lorsque
nous louons Dieu, avec un cœur disposé et sincère dans l’épreuve, nous vivons le surnaturel de Dieu.
Il nous inonde de Sa paix, de Son amour, on sent réellement Ses bras nous entourer. Même si l’épreuve
et toujours là, nous sommes armés, rafraîchis, et nous ne doutons même pas une seconde, du jour
meilleur qui s’annonce.

Revêtons-nous de louanges ; c’est la volonté de Dieu pour nos vies. Nous le lisons dans Esaïe 61 : 3
(LSG) : « Pour accorder aux affligés de Sion, pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, une
huile de joie au lieu du deuil, un vêtement de louange au lieu d’un esprit abattu, afin qu’on les appelle
des térébinthes de la justice, une plantation de l’Eternel, pour servir à Sa gloire. »

Dans l’Ancien Testament, les chantres étaient envoyés en première ligne, afin de faire descendre la
faveur divine ; ils préparaient le terrain.

Chroniques 20 : 21-23 (LSG) : « Puis, d’accord avec le peuple, il nomma des chantres qui, revêtus
d’ornements sacrés, et marchant devant l’armée, célébraient l’Éternel et disaient : Louez l’Éternel, car
Sa miséricorde dure à toujours ! Au moment où l’on commençait les chants et les louanges, l’Éternel
plaça une embuscade contre les fils d’Ammon et de Moab et ceux de la montagne de Séir, qui étaient
venus contre Juda. Et ils furent battus. Les fils d’Ammon et de Moab se jetèrent sur les habitants de la
montagne de Séir pour les dévouer par interdit et les exterminer ; et quand ils en eurent fini avec les
habitants de Séir, ils s’aidèrent les uns les autres à se détruire. »

Nous voyons clairement le rôle de la louange dans ce combat : l’épreuve, l’ennemi fut terrassé. Bien-
aimés, nous sommes dans un combat spirituel et il est nécessaire de se positionner pour ne plus subir.
Saisissons les armes divines à l’image des guerriers de l’Ancien Testament. Levons-nous, chantons,
louons le seigneur en toutes circonstances et faisons reculer les ténèbres. Toute chanson adorant Dieu
notre Père, Jésus-Christ et le Saint-Esprit effrayera les démons qui vous attaquent.
CHAP 3. PLAIDER LE SANG DE JESUS-CHRIST.

Engage le sang de Jésus dans tes prières !! As-tu fait usage de ton arme puissante et efficace
aujourd’hui ?

Le sang précieux de Jésus est une arme très puissante et efficace que nous devons engager dans nos
prières de tous les jours. Le sang de Jésus a acquis pour l’humanité un lot d’héritage dont le plus grand
bénéfice est le salut de nos âmes (Jean 3 :16).

Nous avons été sauvés par le sang de Jésus « En lui, par son sang, nous sommes rachetés, pardonnés
de nos fautes, conformément à la richesse de sa grâce, Éphésiens 1:7 ». Nous sommes sauvés de la
colère de Dieu (Romains 5 : 9).

Nous avons par le sang de Jésus un accès libre au lieu très saint, Hébreux 10 :19-22. Le sang de Jésus
est précieux. Pierre, disciple de Jésus, ayant vu lui-même le sang de Jésus déclare : « Sachant que ce
n'est pas par des choses périssables, par de l'argent ou de l'or, que vous avez été rachetés de la vaine
manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d'un
agneau sans défaut et sans tâche, 1 Pi 2 : 1 :18 -23.

Nous avons donc été racheté à un grand prix que l’on ne peut acquérir quel que soit la grandeur de
nos richesses. Le sang de Jésus est un sang saint, divin, le sang du fils unique de Dieu. Le sang du
sacrifice de la nouvelle alliance venue remplacer le sang des sacrifices des taureaux et des boucs dans
l’ancienne alliance (hébreux 9 :13-14).

Le sang de Christ est puissant. Cette puissance du sang de Jésus nous accorde la protection divine et
nous donne la victoire sur les attaques du malin.

Apocalypse 12 :11 atteste que nous avons vaincu le diable et ses agents par le sang de Jésus et par la
parole de notre témoignage c’est-à-dire par nos déclarations et proclamations. Ainsi voici 3 sortes de
prières que tu pourras faire souvent en engageant le sang précieux et puissant de Jésus :

- Brandir le sang de Jésus contre les œuvres des ténèbres dans ta maison, ton travail, tes biens et sur
tout objet dans l’environnement (Apocalypse 12 :11 : ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à
cause de la parole de leur témoignage).

- Plaider le sang de Jésus sur toutes les circonstances et situations de ta vie parce que ce sang parle en
ta faveur devant le trône de Dieu. La bible dit dans Hébreux 12 :24 que le sang de Jésus parle mieux que
le sang d’Abel.

- Prendre la Sainte-Cène par la foi, qui représente le sang de Jésus car comme la bible le dit, ce sang
est un breuvage qui donne la vie et guérit. Jésus lui-même dira : celui qui me mange vivra par moi, Jean
6 :57b. Ta victoire est dans du sang de Jésus ! Amen

Plaider le sang de Jésus-Christ à l’endroit où vous vous trouvez fera une grande différence. Ce sera
comme marquer votre territoire où les démons sont interdits.

Les démons commenceront à fuir lorsque vous ferez cela.


A. PRIÈRE D'APPLICATION DU SANG DE JÉSUS SUR SOI-MÊME

PRIÈRE D'APPLICATION DU SANG DE JÉSUS SUR SOI-MÊME

(Pour la protection, délivrance, sanctification, le pardon, la paix de l'âme)

1. Père Éternel, je reconnais que je suis pécheur, j'ai péché et j'ai commis des iniquités, j'ai
certainement brisé ta Loi divine à de nombreuses reprises et de plusieurs façons, j'ai manqué
le but, j'ai offensé Dieu, j'ai offensé aussi l'homme mon prochain (que ce soit mon père, ma
mère, mes frères et sœurs, la famille en général, les voisins, mes amis, les hommes qui avaient
été des ennemis pour moi et des adversaires à combattre, des gens avec qui je m'étais disputé
et querellé par moment, les gens du gouvernement de mon pays et les gens avec qui j'avais eu
quelques relations commerciales, d'affaires, de travail)... Dieu mon Père, j'ai confessé mes
péchés et j'ai mis ma confiance en Jésus l'Agneau de Dieu mort à ma place, pour le pardon de
mes péchés.
2. Maintenant comme le moyen de salut donné au peuple d’Israël pour échapper à la mort des
premiers-nés dans la dixième plaie d’Égypte était le sang de l’agneau de la Pâque qui devait
être mis sur les poteaux et les linteaux des portes ; l’ange destructeur passait par-dessus les
maisons marquées par le sang, car Dieu avait dit : « Je verrai le sang et je passerai par-dessus
vous » (Exode 12:13). L’agneau pascal était une image du Seigneur Jésus (1 Corinthiens 5:7),
c'est son très précieux sang que j'applique maintenant même sur toute ma vie. Par la foi,
maintenant même, je prends par les mains de la foi et je fais l'aspersion sur moi-même du sang
de Jésus, je l'applique sur mon esprit humain et sur mon âme entière et sur mon corps, de la
tête aux pieds. J'applique le sang précieux de Jésus sur mes raisonnements et mes réflexions,
je protège mon intellect et mon mental avec le sang de Jésus, je protège ma pensée et la région
de mon imagination avec le sang de Jésus et je repousse les pensées impures et immoraux.
J'applique le sang de Jésus sur ma sentimentalité, et sur ma sexualité pour l'en préserver des
souillures et des immoralités. J'applique le sang de Jésus sur mon émotivité, sur ma sensibilité,
sur mon affectivité, et je me protège des esprits malins envoyés contre moi, je me protège des
attaques occultes contre ma personne, je me protège en me couvrant avec le sang versé à la
Croix des attaques de sorcellerie et de magie dirigées contre moi, peu importe la source de ces
choses, je me protège chaque jour des fétiches placés sur mon chemin par mes ennemis et
mes adversaires, je me couvre et je suis délivré des agressions des puissances qui me sont
hostiles, qui me détestent et qui voudraient me causer de subir des accidents, des tragédies,
des malheurs, des désastres. Je les repousse par le sang de Jésus l'Agneau de Dieu, le sang qui
me couvre de la tête aux pieds. Les tentatives de séduction sur moi échoueront au nom de
Jésus. Les tentatives du malin et de ses agents de me conduire à l'égarement ne réussiront pas
dans ma vie, au nom de Jésus. Je couvre tous les domaines de ma vie avec le sang de Jésus
l'Agneau de Dieu, par la foi, par la confession de ma bouche, et par le moyen de ma prière, et
je crois que c'est très efficace, c'est du sérieux, c'est puissant, comme les Saintes Écritures le
déclarent.
3. Il y avait aspersion de sang sur les sacrificateurs lors de leur consécration (Exode 29:21), et sur
le propitiatoire du lieu très-saint au jour des propitiations (Lévitique 16:14-15). Pour toute
transgression de la loi, le sang d’une victime devait couler, et en signe de propitiation il fallait
qu’il y ait aspersion du sang sur l’autel ou que le sang soit mis sur les cornes de l’autel ou versé
à son pied (Lév. 4 et 5 et 7). « Sans effusion de sang il n’y a pas de rémission » de péchés
(Hébreux 9:22). Alors je proclame donc que le sang de Jésus que j'ai appliqué sur moi me purifie
moi aussi, le sang du Fils de Dieu sacrifié à la Croix et dans lequel j'ai mis toute mon espérance
et ma confiance, m'a procuré le pardon de mes péchés , j'ai été justifié et déclaré pardonné,
ma culpabilité ayant été mise sur Jésus je suis déclaré non coupable et il n'y a plus de
condamnation pour moi, plus de châtiments à venir sur moi, il n'y a plus de honte sur mon
visage, plus d'humiliation à craindre, plus de prison de l'enfer à redouter après la mort. Je suis
réconcilié avec Dieu par le moyen du sang de Jésus. Il y a maintenant la paix totale entre moi
et Dieu.
4. Le Seigneur Jésus a payé une rançon en donnant Son sang et Sa vie : celle-ci nous a délivrés du
jugement de Dieu et de la condamnation éternelle. L’Ancien Testament en donne une image
avec le rachat des premiers-nés en Israël et l’argent de la rançon de l’âme de chaque Israélite
(Exode 13:13 ; 21:30 ; 30:12). Pour l’éternité, personne ne peut racheter son âme ni celle
d’autrui (Ps. 49:7,8). Seul Christ était en mesure de racheter (1 Tim. 2:5,6 ; Marc 10:45), et
pour cela Il s’est donné Lui-même en rançon pour tous ; cette rançon était suffisante pour le
salut de tous les hommes, mais n’en profitent que ceux qui reçoivent par la foi la rédemption
accomplie. Lui seul était Dieu et homme et pouvait ainsi satisfaire les deux côtés.
5. Rom 5:5 Or, l'espérance ne trompe point, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos
coeurs par le Saint Esprit qui nous a été donné. Rom 5:6 Car, lorsque nous étions encore sans
force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. Rom 5:7 A peine mourrait-on pour
un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien. Rom 5:8 Mais Dieu prouve
son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort
pour nous. Rom 5:9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son
sang, serons-nous sauvés par lui de la colère. Rom 5:10 Car si, lorsque nous étions ennemis,
nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant
réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie.
6. Je proclame que le sang de Jésus versé pour moi c'est ma bénédiction. Par le sang de Jésus-
Christ je suis sauvé et j'ai la vie éternelle.
7. Par le sang de Jésus je suis purifié et sanctifié. Père Éternel, de jour en jour, je prie, lave mon
cœur et mon âme et mon esprit et ma pensée et ma personnalité et mon caractère et mon
intellect et ma mentalité et mon être tout entier. Père Éternel, je ne veux pas pécher mais je
veux être saint comme tu es saint, et je veux être pur comme tu es pur. Préserve-moi de toutes
souillures et de toute contamination. Préserve-moi moi de toute dégénération de ma moralité.
Préserve-moi de tout pervertissement, car je ne veux pas me pervertir, je ne veux pas être
perverti de quelque manière que ce soit, mais je veux être propre jusqu'à la fin, marchant dans
la vérité et la droiture et la sainteté. Préserve-moi de toute chute... et si je tombe, car je ne
suis qu'un simple homme, relève-moi bien vite, je prie. Que je ne roule pas dans la boue du
péché. Préserve-moi de tomber dans le bourbier du péché. Père céleste, fais-moi sortir de tout
bourbier de péché dans lequel je serais pris. Père céleste, fais-moi sortir de tous filets, de tous
pièges, dans lequel le malin m'aurait pris – que j'en sois actuellement conscient de cela ou que
je ne m'en sois pas encore aperçu. Réveille-moi et fais-moi en sortir, je t'en supplie, je t'en
implore. Et pardonne-moi mes égarements et ma résistance. Et brise ma résistance et mon
entêtement à faire à ma façon et à ne pas te consulter, mon entêtement à faire l'indépendant
à ton égard et à courir par mes propres forces. Aide-moi à être comme un petit enfant devant
toi, à agir comme un petit enfant confiant en son papa et dépendant avec joie de son papa et
laissant son papa entreprendre pour lui. Voilà ma prière, oh mon Dieu, oh mon Père céleste.
Amen
CHAP 4. LIEZ ET CHASSEZ LES DEMONS.

CHASSE LES DEMONS DE TA MAISON, DE TA VIE, DANS TES ENTREPRISES

GLOIRE ET VICTOIRE A NOTRE DIEU

LA BIBLE NOUS DEMANDE DE NOUS DEBARRASSER DE TOUT CE QUI EST OCCULTE DANS NOTRE MAISON. TOUT CE QUE TON
VOYANT T’A DONNE, TOUS LES MAUVAIS LIVRES QUE TU AS DANS TA MAISON… JETTE TOUT CELA LOIN DE CHEZ TOI,
DETRUIS TOUTES CES CHOSES MAUVAISES… (LIVRES DE L’ABBE JULIO, LIVRES DE MAGIE BLANCHE, STATUE DE
BOUDDHA …)

MON FRERE, MA SŒUR, SACHE QUE SATAN NE NOUS AIME PAS, ET SON OBJECTIF EST DE NOUS DETRUIRE !

TU PEUX PRIER AINSI :

DIEU NOTRE PERE, ENVOIE L’ARCHANGE MICHEL ET SA PUISSANTE MILICE CELESTE, DANS MA MAISON, AFIN DE DETRUIRE,
D’ANEANTIR TOUS DEMONS ET ESPRITS MAUVAIS QUI S’Y TROUVENT, QUE CE SOIT A L’INTERIEUR OU A L’EXTERIEUR.

VIENS SAINT ESPRIT, ESPRIT DU DIEU TOUT-PUISSANT, VIENS TERRASSER TOUT DEMON ET ESPRIT MAUVAIS QUI SE
TROUVENT DANS MA MAISON. VIENS SAINT ESPRIT, ESPRIT DE FEU, VIENS CONSUMER ET DEVORER TOUT DEMON ET
ESPRIT MAUVAIS ET REMPLIS MA MAISON DE TA PRESENCE.

A L’EXEMPLE DU CHRIST, LORS DE SA TENTATION AU DESERT, ON NE PEUT VAINCRE LES FORCES DU MAL QUE PAR LA
PAROLE DE DIEU ET LE SAINT ESPRIT.

VOICI QUELQUES VERSETS A PROCLAMER DEBOUT ET A HAUTE VOIX, POUR ACCOMPAGNER TA PRIERE :

HEBREUX 2 :14 : CHRIST A PRIS NOTRE CONDITION HUMAINE AFIN QUE PAR SA MORT « IL RENDE IMPUISSANT CELUI
QUI AVAIT LA PUISSANCE DE LA MORT, C’EST-A-DIRE LE DIABLE »

COL : 13-15 :

VOUS QUI ETIEZ MORTS PAR VOS OFFENSES ET PAR L’INCIRCONCISION DE VOTRE CHAIR, IL (JESUS) VOUS A RENDUS A LA
VIE AVEC LUI, EN NOUS FAISANT GRACE POUR TOUTES NOS OFFENSES ; IL A EFFACE L’ACTE DONT LES ORDONNANCES NOUS
CONDAMNAIENT ET QUI SUBSISTAIT CONTRE NOUS, ET IL L’A ELIMINE EN LE CLOUANT A LA CROIX. IL A DEPOUILLE LES
DOMINATIONS ET LES AUTORITES, ET LES A LIVREES PUBLIQUEMENT EN SPECTACLE , EN TRIOMPHANT D’ELLES PAR LA CROIX.

ROMAINS 8 :1 : «IL N’Y A DONC MAINTENANT AUCUNE CONDAMNATION POUR CEUX QUI SONT EN JESUS-CHRIST.» JESUS
CHRIST EST EN MOI ET JE SUIS EN LUI !

APOCALYPSE 12 :11 : LES DISCIPLES ONT VAINCU L’ENNEMI «A CAUSE DU SANG DE L’AGNEAU ET A CAUSE DE LA PAROLE
DE LEUR TEMOIGNAGE, »

LUC 10 :19 : «VOICI, JE VOUS AI DONNE LE POUVOIR DE MARCHER SUR LES SERPENTS ET LES SCORPIONS , ET SUR TOUTE
LA PUISSANCE DE L’ENNEMI ; ET RIEN NE POURRA VOUS NUIRE.»

SACHE QUE JESUS A VAINCU SATAN A LA CROIX ET SA VICTOIRE EST IA VICTOIRE.

RESISTEZ AU DIABLE, ET IL FUIRA LOIN DE VOUS NOUS DIT JACQUES 4 :7


ET, MAINTENANT, DECLARE : ‘SATAN AU NOM DE JESUS QUI T’A VAINCU A LA CROIX, ET QUI TE DOMINE JE TE COMMANDE
DE SORTIR DE MA MAISON, TOI ET TA COHORTE DE DEMONS’.

{X3} RETIRE TOI SATAN

SATAN, JESUS T’A VAINCU A LA CROIX, ET PAR SON SANG VERSE, IL NOUS A LIBERES DE TOUS NOS PECHES. JE CONFESSE
AU NOM DE JESUS QUE LES FORCES DE L’ENFER NE L’EMPORTERONT JAMAIS DANS MA MAISON.

AU NOM DE JESUS, SOUMETS-TOI SATAN, RETIRE-TOI DE MA MAISON ET N’Y REVIENS PLUS JAMAIS.

RETIRE TOI SATAN

SEIGNEUR JESUS, PAR LE SOUFFLE PUISSANT DE TA BOUCHE, REDUIS A NEANT TOUS LES DEMONS ET ESPRITS MAUVAIS
PRESENTS DANS MA MAISON.

TU PEUX COMPLETER CETTE PRIERE PAR LA LITANIE DU SANG DE JESUS ET PAR DES LOUANGES, CAR LA LOUANGE EST UNE
ARME PUISSANTE DANS LE COMBAT SPIRITUEL.

PUIS, CONFORMEMENT A MT 18 :18, LIE LE DEMON AU NOM DE JESUS EN DISANT : JE LIE, J’ENCHAINE TOUS DEMONS
QUI ME RESISTENT. AU NOM DE JESUS JE DETRUIS TOUTE LA PUISSANCE, ET LE POUVOIR DES DEMONS QUI SERAIENT
ENCORE PRESENTS DANS MA MAISON. QUE LE FEU DE DIEU DESCENDE SUR EUX, AU NOM DE JESUS.

ENFIN, N’OUBLIE PAS DE REMERCIER LE SEIGNEUR ET DE LUI RENDRE GRACE.

Notre Seigneur Jésus-Christ a donné aux croyants le pouvoir de lier et de chasser les démons. Lorsque
vous liez des démons, vous les rendez immobiles.

Lorsque vous les éjectez, ils quittent votre position.


CHAP 5. CITEZ LA PAROLE ECRITE DE DIEU.

A. DEMEURONS DANS LA PAROLE DE DIEU

JEAN 8 : 31 A 32 : JESUS DIT AUX JUIFS QUI AVAIENT CRU EN LUI : SI VOUS DEMEUREZ DANS MA PAROLE, VOUS ETES
VRAIMENT MES DISCIPLES.

VOUS CONNAITREZ LA VERITE, ET LA VERITE VOUS AFFRANCHIRA.

UN DISCIPLE DE JESUS : C’EST UNE PERSONNE QUI LE SUIT, FIDELEMENT, TOTALEMENT, ET VIT PRES DE LUI. ELLE SE LAISSE
ENSEIGNER PAR JESUS, ET ELLE ACCOMPLIT LES ŒUVRES DE JESUS.

DEMEURER SIGNIFIE : S’ARRETER, LOGER, PERSEVERER, GARDER CONTINUELLEMENT, RESTER, HABITER, RESIDER,
SEJOURNER.

DEMEURER ENGAGE UN CHOIX, SUIVI D’UNE DECISION ET D’UN ACTE, COMME POUR CHOISIR SA MAISON D’HABITATION.
DEMEURER EN JESUS CONSISTE A S’ABANDONNER SOI MEME POUR ETRE ENSEIGNE, CONDUIT ET SE REPOSER.

VOUS CONNAITREZ LA VERITE DIT JESUS. JESUS NE PARLE PAS DE LA CONNAISSANCE INTELLECTUELLE :

UN DISCIPLE C’EST QUELQU’UN QUI SUIT FIDELEMENT, TOTALEMENT JESUS ET VIT PRES DE JESUS. ELLE SE LAISSE
ENSEIGNER PAR JESUS.

BIBLE DU SEMEUR SI VOUS VOUS ATTACHEZ A LA PAROLE, PERSISTEZ DANS MA PAROLE (BIBLE MARTIN) OU FIDELE (BFC).

DEMEURER : SE MAINTENIR, RESTER, HABITER, RESIDER SEJOURNE ; EGALEMENT : S’ARRETER, LOGER, PERSEVERER,
GARDER CONTINUELLEMENT. DEMEURER : C’EST UN CHOIX DE SUIVRE UNE DECISION ET UN ACTE COMME DANS LA MAISON
D’HABITATION. DEMEURER EN JESUS C’EST S’ABANDONNER SOI-MEME POUR ETRE ENSEIGNE, CONDUIT REPOSE.

VOUS CONNAITREZ LA VERITE : NON PAS LA CONNAISSANCE INTELLECTUELLE. NON PAS LA CONNAITRE PAR EXPERIENCE,
MAIS PAR REVELATION, PAR INTIMITE. AVEC JESUS IL NOUS FAUT VIVRE ET METTRE EN PRATIQUE LA VERITE AFIN DE LA
CONNAITRE. SOUVENT, NOUS VOUDRIONS CONNAITRE LA VERITE ET LA METTRE EN PRATIQUE ENSUITE .

NOUS AFFRANCHIT : AFFRANCHIR : RENDRE LIBRE UN ESCLAVE. ECLAIRER EN FOURNISSANT DES RENSEIGNEMENTS.
AMENER LA LIBERTE : DE LA DOMINATION DU PECHE.

EMANCIPER. LIBERER. LA PAROLE NOUS LIBERE.

EN DEMEURANT DANS LA PAROLE NOUS RECEVONS SA NATURE DE JESUS QUI EST LA PAROLE VIVANTE.

POUR DEMEURER DANS LA PAROLE NOUS AVONS 7 CHOSES A FAIRE :

LA LECTURE : COMPULSER, CONSULTER, AVALER, DEVORER (AVEC PASSION). LA LIRE TOUT HAUT POUR QUE NOS OREILLES
ENTENDENT.

PROVERBES 4 :20. MON FILS SOIT ATTENTIF A MES PAROLES PRETE L ’OREILLE A MES DISCOURS. OREILLE CIRCONCISE :
OREILLE D’ECOUTE

1 TIM 4 : 13-14 JUSQU'A CE QUE JE VIENNE APPLIQUE TOI A LA LECTURE DE LA PAROLE, A L’EXHORTATION, A
L’ENSEIGNEMENT. NE NEGLIGE PAS LE DON DE LA GRACE QUI EST EN TOI.
NOUS AVONS BESOIN D’UN PLAN DE LECTURE QUOTIDIEN DE LA PAROLE POUR CONNAITRE DIEU, CONNAITRE SA VOLONTE,
SON CARACTERE, CE QU’IL AIME, CE QU’IL DETESTE. (CE SERA NOTRE MANNE QUOTIDIENNE)

LIRE LE MATIN SI POSSIBLE. JESUS A DIT L’HOMME NE VIVRA PAS SEULEMENT DE PAIN, MAIS DE TOUTE PAROLES

COMME NOTRE CORPS A BESOIN DE NOURRITURE CHAQUE JOUR AINSI EN EST IL DE NOTRE ETRE SPIRITUEL .

B. L’ETUDE DE LA PAROLE

PROVERBES 25 : 2. LA GLOIRE DE DIEU C’EST DE CACHER LES CHOSES ET LA GLOIRE DES ROIS C’EST DE SONDER LES CHOSES.
NOUS SOMMES ROIS ET PRETRES (SACRIFICATEURS) VOIR 1P29

SONDER : RECHERCHER, PENETRER, EXAMINER, DELIBERER, ENUMERER.

L’ETUDE COMPREND L’ECOUTE DE VIDEOS, DE LIVRES, D’ENSEIGNEMENTS SUR LA PAROLE.

2 TIM 2 : 15 EFFORCE-TOI A TE PRESENTER APPROUVE DE DIEU, COMME UN HOMME EPROUVE QUI N’A POINT A ROUGIR,
QUI DISPENSE DROITEMENT LA PAROLE DE VERITE.

AVOIR DU ZELE A L’EGARD DE LA PAROLE : ETUDE DE LA PAROLE.

C. MEDITER LA PAROLE.

MEDITER SIGNIFIE: MURMURER, PARLER, CONVERSER, REFLECHIR, RUMINER, MASTIQUER, MACHER. NOUS DEVONS ETRE
DES RUMINANTS DE LA PAROLE. RUMINANT : 2 ESTOMACS. NOUS : 2 MEMOIRES. LA BOUCHE EST LE PREMIER
INSTRUMENT DE CELUI QUI MEDITE. PAROLE DANS LE CŒUR, LES PENSEES.

JOSUE 1 : 8. QUE CE LIVRE DE LA LOI NE S’ELOIGNE POINT DE TA BOUCHE ; MEDITE LE JOUR ET NUIT POUR AGIR FIDELEMENT
SELON TOUT CE QUI EST ECRIT ; C’EST ALORS QUE TU AURAS DU SUCCES DANS TES ENTREPRISES, C’EST ALORS QUE TU
REUSSIRAS.

PSAUME 1 : 1A 4 : HEUREUX L’HOMME QUI NE MARCHE PAS SELON LE CONSEIL DES MECHANTS, QUI NE S’ARRETE PAS
SUR LA VOIE DES PECHEURS, ET QUI NE S’ASSIED PAS EN COMPAGNIE DES MOQUEURS, MAIS QUI TROUVE SON PLAISIR
DANS LA LOI DE L’ETERNEL, ET QUI LA MEDITE JOUR ET NUIT ! IL EST COMME UN ARBRE PLANTE PRES D’UN COURANT
D’EAU, QUI DONNE SON FRUIT EN SA SAISON, ET DONT LE FEUILLAGE NE SE FLETRIT POINT : TOUT CE QU’IL FAIT LUI
REUSSIT. IL N’EN EST PAS AINSI DES MECHANTS : ILS SONT COMME LA PAILLE QUE LE VENT DISSIPE.

LA MEDITATION NOUS AMENE A PENSER LA PAROLE, A AVOIR DES SCHEMAS DE PENSEES BASES SUR LA PAROLE.

D. PRATIQUER LA PAROLE

PRATIQUER : EXERCER. METTRE EN APPLICATION, EMPLOYER, APPLIQUER.

METTRE LA PAROLE EN PRATIQUE NOUS PERMET D’EN DECOUVRIR LA PUISSANCE. SANS CETTE PRATIQUE IL EST IMPOSSIBLE
DE VIVRE LES PROMESSES DE DIEU. CHAQUE FOIS QUE NOUS LA PRATIQUONS C’EST UNE PIERRE QUE NOUS AJOUTONS A
NOTRE EDIFICE.

JACQUES 2 : 17. IL EN EST AINSI DE LA FOI, SI ELLE N’A PAS LES ŒUVRES ELLE EST MORTE EN ELLE-MEME. C’EST LA MISE
EN ACTION DE LA PAROLE QUI PRODUIT DU FRUIT. IL N’Y A PAS DE FRUIT SANS ACTION.

2 CORINTHIENS 4 : 13 ET COMME NOUS AVONS LE MEME ESPRIT DE FOI QUI EXPRIME DANS CETTE PAROLE L ’ECRITURE ;
J’AI CRU. C’EST POURQUOI J’AI PARLE ! NOUS AUSSI NOUS CROYONS ET C’EST POUR CELA QUE NOUS PARLONS.
JOSUE MET LA PAROLE EN PRATIQUE : EN PRATIQUANT LA CIRCONCISION, EN CELEBRANT LA PAQUE, IL PASSE LE JOURDAIN
SELON LA PAROLE QUE DIEU LUI DONNE, IL CONQUIT LES VILLES PAR EXEMPLE : JERICHO SELON L’ORDRE DE L’ETERNEL

E. PROCLAMER LA PAROLE DE DIEU

PROCLAMER SIGNIFIE: PUBLIER, CLAMER, CRIER, AFFIRMER, ANNONCER, PRECHER, ENSEIGNER, TEMOIGNER.

PSAUMES 40 : 10-11. JE NE RETIENS PAS DANS MON CŒUR TA JUSTICE. JE PUBLIE (PROCLAME) TA VERITE, TON SALUT ;
TA VERITE ET TON SALUT, JE NE CACHE PAS TA BONTE ET TA FIDELITE DANS LA GRANDE ASSEMBLEE.

PSAUMES 119 : 46. JE PROCLAMERAI (PARLERAI) DE TES PRECEPTES DEVANT LE ROI ET JE NE ROUGIRAI POINT.

2 TIMOTHEE 3 : 16. TOUTES ECRITURES EST INSPIREES DE DIEU ET UTILES POUR ENSEIGNER, POUR CONVAINCRE, POUR
CORRIGER, POUR INSTRUIRE DANS LA JUSTICE.

2 TIMOTHEE 4 : 2. PRECHE LA PAROLE, INSISTE EN TOUTE OCCASION FAVORABLE OU NON, REPREND, EXHORTE, AVEC
TOUTE DOUCEUR ET EN INSTRUISANT.

F. CONFESSER LA PAROLE

CONFESSER SIGNIFIE: DECLARER, DIRE LA MEME CHOSE QUE LA PAROLE DE DIEU. CONFESSER EST UTILE POUR FORTIFIER
NOTRE FOI.

ROMAINS 10 : 8 A11. QUE DIT-ELLE DONC, LA PAROLE ? LA PAROLE EST PRES DE TOI, DANS TA BOUCHE ET DANS TON
CŒUR. OR, C’EST LA PAROLE DE LA FOI QUE NOUS PRECHONS. SI TU CONFESSE DE TA BOUCHE, ET SI TU CROIS DANS TON
CŒUR QUE DIEU L’A RESSUSCITE DES MORTS TU SERAS SAUVE CAR C’EST EN CROYANT DU CŒUR ET C’EST EN CONFESSANT
DE LA BOUCHE QU’ON PARVIENT AU SALUT, SELON CE QUE DIT L’ECRITURE.

ROMAINS 10 : 17. AINSI LA FOI VIENT DE CE QU’ON ENTEND, ET CE QU’ON ENTEND VIENT DE LA PAROLE DE CHRIST.

G. GARDER LA PAROLE

GARDER SIGNIFIE: AMASSER, METTRE EN RESERVE, RECUEILLIR, DETENIR, PROTEGER, SERRER.

PSAUMES 119 : 11. JE SERS TA PAROLE DANS MON CŒUR AFIN DE NE POINT PECHER CONTRE TOI.

LUC 8 : 5A8. PARABOLE DU SEMEUR. AVOIR UN CŒUR BIEN DISPOSE POUR GARDER LA PAROLE. LUC 2 : 19. MARIE
GARDAIT TOUTES CES CHOSES DANS SON CŒUR ET LES REPASSAIT .

LUC 2 : 51. SA MERE GARDAIT TOUTES CES CHOSES DANS SON CŒUR.

APO 3 : 10. PAR CE QUE TU AS GARDE LA PAROLE DE LA PERSEVERANCE, JE TE GARDERAI A L’HEURE DE LA TENTATION QUI
VA VENIR EPROUVER LES HABITANTS DE LA TERRE .

APO 1 : 3. HEUREUX CELUI QUI LIT ET CEUX QUI ENTENDENT LES PAROLES DE LA PROPHETIE, ET QUI GARDENT LES CHOSES
QUI Y SONT ECRITES.

ETRE CIRCONCIS D’OREILLES ET DE CŒUR : OREILLES CIRCONCISES : AVOIR DES OREILLES D’ECOUTE. AVOIR UN CŒUR
CIRCONCIS, C’EST UN CŒUR QUI REÇOIS, QUI GARDE, ET QUI PORTE DU FRUIT.

LUC 11 : 27-28. TANDIS QUE JESUS PARLAIT AINSI, UNE FEMME, ELEVANT LA VOIX DU MILIEU DE LA FOULE LUI DIT : «
HEUREUX LE SEIN QUI T’AS PORTE, HEUREUSES LES MAMELLES QUI T’ONT ALLAITEES ». ET IL REPONDIT : « HEUREUX
PLUTOT, CEUX QUI ECOUTENT LA PAROLE DE DIEU ET LA GARDENT ».
JEAN 14 : 21. CELUI QUI A MES COMMANDEMENTS ET LES GARDES, C’EST CELUI QUI M’AIME ET CELUI QUI M’AIME SERA
AIME DE MON PERE, JE L’AIMERAI ET JE ME FERAI CONNAITRE A LUI.

JEAN 14 : 23-24. JESUS LEUR REPONDIT : « SI QUELQU’UN M’AIME, IL GARDERA MA PAROLE, ET MON PERE L’AIMERA ;
NOUS VIENDRONS A LUI, ET NOUS FERONS NOTRE DEMEURE CHEZ LUI. CELUI QUI NE M’AIME PAS NE GARDE POINT MES
PAROLES. ET LA PAROLE QUE VOUS ENTENDEZ N’EST PAS DE MOI MAIS DU PERE QUI M’A ENVOYE ».

GARDER LA PAROLE DIFFERENCIE LE DISCIPLE DU RESTE DU MONDE.

GARDER LA PAROLE EST LE TEST D’AMOUR DU DISCIPLE.

GARDER LA PAROLE PERMET A DIEU DE SE REVELER AU DISCIPLE.

GARDER LA PAROLE PERMET AU FILS ET AU PERE DE VENIR DANS LA VIE DU DISCIPLE ET DE CONFIRMER LEUR DEMEURE.

H. LA PAROLE DE DIEU EST UN MARTEAU

JEREMIE 23 : 29. (GROS MARTEAU) MA PAROLE N’EST ELLE PAS COMME UN FEU DIT L’ETERNEL ET COMME UN MARTEAU
QUI BRISE LE ROC ? ELLE BRISE LE ROC DES CŒURS POUR EN FAIRE DES CŒURS DE CHAIR SELON EZECHIEL 36 : 26 : JE VOUS
DONNERAI UN CŒUR NOUVEAU, ET JE METTRAI EN VOUS UN ESPRIT NOUVEAU ; J’OTERAI DE VOTRE CORPS LE CŒUR DE
PIERRE, ET JE VOUS DONNERAI UN CŒUR DE CHAIR.

NOMBRES 8 : 4.LE CHANDELIER ETAIT D’OR BATTU ; JUSQU'A SON PIED, JUSQU’A SES FLEURES, IL ETAIT D’OR BATTU ;
MOÏSE AVAIT FAIT LE CHANDELIER D’APRES LE MODELE QUE L’ETERNEL LUI AVAIT MONTRE.

PETIT MARTEAU : EXODE 25 : 31. IL ETAIT UTILISE POUR CONFECTIONNER UN OUVRAGE D’ART COMME LE CHANDELIER :
SEULE LUMIERE DANS LE TABERNACLE.

LA PAROLE NOUS FAÇONNE DE MEME POUR QUE NOUS SOYONS LA LUMIERE DANS LE MONDE . NOUS SOMMES DEVENUS
LE TEMPLE DU SAINT-ESPRIT. MAINTENANT C’EST CHACUN D’ENTRE NOUS QUI AVONS ACCEPTE JESUS, COMME SAUVEUR
DE NOTRE VIE, QUI DEVONS REFLETER SA LUMIERE DANS LE MONDE. LE PETIT MARTEAU REPRESENTE L’ŒUVRE DU SAINT-
ESPRIT DANS NOS VIES POUR QUE CETTE LUMIERE, DONT NOUS SOMMES DEPOSITAIRES, PUISSE ECLAIRER CEUX QUE DIEU
A PLACES AUTOUR DE NOUS.

LA PAROLE DE DIEU EST UNE EPEE SELON HEBREUX 4 : 12. CAR LA PAROLE DE DIEU EST VIVANTE ET EFFICACE, PLUS
TRANCHANTE QU’UNE EPEE QUELCONQUE A DEUX TRANCHANTS, PENETRANTE JUSQU’A PARTAGER AME ET ESPRIT,
JOINTURES ET MOELLES ; ELLE JUGE LES SENTIMENTS ET LES PENSEES DU COEUR

ELLE SEPARE AME ET ESPRIT.

L’EPEE EST EGALEMENT INDISPENSABLE POUR LUTTER CONTRE L’ENNEMI QUI CHERCHE A ENTRAVER NOS PROJETS. JESUS
NOUS EN A DONNE L’EXEMPLE EN MATTHIEU 4 OU NOUS VOYONS JESUS TENTE PAR SATAN A 3 REPRISES IL VA LUI DECLARE
: « IL EST ECRIT ». ET SATAN PREND LA FUITE.

NEHEMIE 4 : 15A18. LORSQUE NOS ENNEMIS APPRIRENT QUE NOUS ETIONS AVERTIS, DIEU ANEANTIT LEUR PASSE ET
NOUS RETOURNAMES TOUS A LA MURAILLE, CHACUN SON OUVRAGE. DEPUIS CE JOUR, LA MOITIE DE MES SERVITEURS
TRAVAILLAIT, ET L’AUTRE MOITIE ETAIT ARMEE DE LANCES, DE BOUCLIERS, D’ARCS ET DE CUIRASSES. LES CHEFS ETAIENT
DERRIERE TOUTE LA MAISON DE JUDA. CEUX QUI BATISSAIENT LA MURAILLE, ET CEUX QUI PORTAIENT OU CHARGEAIENT
LES FARDEAUX, TRAVAILLAIENT D’UNE MAIN ET TENAIENT UNE ARME DE L’AUTRE ; CHACUN D’EUX, EN TRAVAILLANT, AVAIT
SON EPEE CEINTE AUTOUR DES REINS. CELUI QUI SONNAIT DE LA TROMPETTE ETAIT PRET DE MOI.
CELA NOUS MONTRE QUE NOUS DEVONS TOUJOURS ETRE ARMES DE L’EPEE DE L’ESPRIT, C'EST-A-DIRE LA PAROLE DE
DIEU, POUR NOUS DEFENDRE, COMME JESUS DEVANT LES ATTAQUES DE SATAN. LA PAROLE, OU L’EPEE DE L’ESPRIT C’EST
LA SEULE ARME OFFENSIVE QUE DIEU NOUS A DONNE.

C’EST EGALEMENT LE COUTEAU DE DIEU POUR LA CIRCONCISION DU CŒUR. COLOSSIENS 2 : 11. ET C’EST EN LUI (JESUS)
QUE VOUS AVEZ ETE CIRCONCIS D’UNE CIRCONCISION QUE LA MAIN N’A PAS FAITE, MAIS DE LA CIRCONCISION DE CHRIST,
QUI CONSISTE DANS LE DEPOUILLEMENT DU CORPS, DE LA CHAIR.

I. LA PAROLE DE DIEU EST UNE LIGNE

ESAIE 28 : 9-10. (DARBY) A QUI ENSEIGNERA-T-IL LA CONNAISSANCE ? ET A QUI FERA –T-IL COMPRENDRE CE QUI EST
ANNONCE ? A CEUX QUI SONT SEVRES DU LAIT, ARRACHES AUX MAMELLES. CAR COMMANDEMENTS SUR
COMMANDEMENTS, LIGNES SUR LIGNES, LIGNES SUR LIGNES ; ICI UN PEU ET LA UN PEU…

J. LA PAROLE DE DIEU EST UN FEU

JEREMIE 23 : 29. MA PAROLE N’EST ELLE PAS UN FEU, DIT L’ETERNEL. LE FEU DE LA PAROLE BRULE TOUT CE QUI EST DE
LA PAILLE DANS NOS VIES, TOUT CE QUI EST CONTRAIRE A LA VERITE DANS NOS VIES.

LUC 24 : 32. LA PAROLE DE VERITE, OINTE DE L’ONCTION DU SAINT-ESPRIT, MET UN FEU EN NOUS QUI ATTESTE ET
MANIFESTE LA VIE DE DIEU EN NOUS.

ET ILS SE DIRENT L’UN A L’AUTRE (LES DISCIPLES SUR LA ROUTE EMMAÜS) NOTRE CŒUR NE BRULAIT-IL PAS AU-DEDANS
DE NOUS, LORSQU’IL (JESUS) NOUS PARLAIT EN CHEMIN ET NOUS EXPLIQUAIT LES ECRITURES ?

K. LA PAROLE DE DIEU EST UNE LAMPE SPIRITUELLE

PSAUMES 119 : 105. TA PAROLE EST UNE LAMPE A MES PIEDS ET UNE LUMIERE SUR MON SENTIER ? ELLE DOIT ETRE
COMME LA LUMIERE DE MINEUR.

L. LA PAROLE DE DIEU EST UNE SEMENCE

JACQUES 1 : 18. IL NOUS A ENGENDRES SELON SA VOLONTE, PAR LA PAROLE DE VERITE, AFIN QUE NOUS SOYONS EN
QUELQUES SORTES LES PREMICES DE SES CREATURES.

M. LA PAROLE DE DIEU EST LE GERME QUI EST ENSEMENCE DANS NOS CŒURS ET QUI VA PRODUIRE LA VIE .

1 PIERRE 1 : 23 PUISQUE VOUS AVEZ ETE REGENERES, NON PAR UNE SEMENCE CORRUPTIBLE, MAIS PAR UNE SEMENCE
INCORRUPTIBLE, PAR LA PAROLE VIVANTE ET PERMANENTE DE DIEU.

JEAN 1 : 12 MAIS A CEUX QUI L’ONT REÇUE A CEUX QUI CROIENT EN SON NOM, ELLE A DONNE LE POUVOIR DE DEVENIR
ENFANT DE DIEU, LESQUELS SONT NES, NON DU SANG, NI DE LA VOLONTE DE LA CHAIR, NI DE LA VOLONTE DE L’HOMME
MAIS DE DIEU.

LA PAROLE EST UN ROC. ELLE DOIT ETRE LA BASE DE MA DEMEURE SELON MATTHIEU 7 : 24-27

JESUS EST LA PAROLE VIVANTE, DEMEURER DANS LA PAROLE C’EST DEMEURER EN JESUS.
DEMEURER EN JESUS CE N’EST RIEN D’AUTRE QUE DE S’ABANDONNER SOI-MEME POUR ETRE GOUVERNER, ENSEIGNE,
CONDUIT ET SE REPOSER EN LUI AINSI RECEVOIR SON AMOUR.

DEMEURER DANS LA PAROLE NOUS PERMET DE RESTER EN COMMUNION AVEC JESUS MON SALUT

PROCLAMES LA PAROLE DE DIEU AVEC CONVICTION, TA VIE VA LITTERALEMENT CHANGER…

TU NE PEUX PAS ETRE LIBRE ENTIEREMENT, SI TU NE LAISSES PAS LE SEIGNEUR TE PARLER. ET EN RETOUR SI TU N’ACCEPTES
PAS D’ASSEOIR EN TOI CE QU’IL DIT, DANS SES ECRITURES.

CAR IL DIT: CELUI QUI M’AIME, GARDERA MA PAROLE (JEAN 14/15)

POUR QUE LA PAROLE PRENNE VIE EN TOI, IL FAUT L’ETUDIER, LA MEDITER, LA PROCLAMER. LES 3 ETAPES VONT ENSEMBLE,
IL FAUT EN FAIRE UNE ROUTINE, POUR FORTIFIER TON HOMME INTERIEUR, ET GRANDIR EN PUISSANCE, ET EN FOI.

PEU IMPORTE LA SITUATION QUE TU TRAVERSES, EN CE MOMENT. DANS LA PAROLE DE DIEU SE TROUVE LA SOLUTION.

PROCLAMES CE QUI SUIT AVEC CONVICTION :

L’ETERNEL SERA AVEC MOI, PARTOUT OU JE SERAI.

IL EXTERMINERA TOUS MES ENNEMIS. ET RENDRA MON NOM GRAND, AUSSI ME FERA ASSEOIR AVEC LES GRANDS.

TOUS MES ADVERSAIRES SERONT HUMILIES.

IL ME BATIRA UNE MAISON.

ELEVEE SERA MA POSTERITE, CAR CE QUE TU BENIS OH ETERNEL, EST BENI POUR L’ETERNITE !

MA POSTERITE SERVIRA L’ETERNEL.

L’ETERNEL M’EXAUCE QUAND JE L’INVOQUE

ALORS, JE CROIS EN SES PROMESSES, CAR IL N’EST PAS UN HOMME POUR ME MENTIR.

PEU IMPORTE LES PLANS DE L’ENNEMI, JE DECLARE CAR JE SAIS, QUE TOUTE ARME FORGEE CONTRE MOI, EST NULLE ET
SANS EFFET...

JE RENONCE A LA PEUR, A L’INCREDULITE, AU MENSONGE, ET A TOUT CE QUI N’HONORE PAS DIEU.

JE RENONCE A TOUT CE QUI ATTRISTE LE SAINT-ESPRIT…

JE SUIS LA TETE ET NON LA QUEUE, ET DONC JE DECLARE QUE C’EST MA SAISON.

JE VERRAI DES AUJOURD’HUI, TOUS LES PLANS DE DIEU S’ACCOMPLIRENT DANS MA VIE, DANS LE NOM DE JESUS.

JE SAISIS TOUTES LES GRACES, ATTACHEES A MA DESTINEE.

JE RENVERSE TOUS LES PLANS DE L’ENNEMI DANS MA VIE. ET DETRUIS TOUT HOTELS QUI PARLENT CONTRE MA VIE, CONTRE
MA FAMILLE, MES ENFANTS …

J’ENVOIES LE FEU DANS LE CLAN ADVERSE.

J’ANNULE TOUTES PAROLES LIMITANTES PROCLAMEES VOLONTAIREMENT, OU INVOLONTAIREMENT SUR MOI, MES
ENFANTS, ETC… CAR CHRIST EN A PAYE LE PRIX. NOUS SOMMES DONC LIBRES ET PLUS REDEVABLES, DANS LE NOM DE
JESUS.

AUCUN MALHEUR NE M’ARRIVERA ;


JE CHASSE LES DEMONS, LES SORCIERS, ET TOUT ESPRIT MECHANT RODANT AUTOUR DE NOUS.

JE RECUPERE ET ME REVET DE TOUTES LES ARMES DONT J’AI BESOIN, CAR DANS TOUTES CES CHOSES JE SUIS PLUS QUE
VAINQUEUR.

LA VIE ZOE COULE EN MOI

JE SUIS UNE SOURCE SA BENEDICTION, JE SUIS UN ENFANT DE LUMIERE.

J’ETEINTS TOUS LES TRAITS ENFLAMMES DE L’ENNEMI.

JE SUIS UNE VICTOIRE

JE NE CRAINS RIEN, CAR L’ETERNEL EST AVEC MOI

IL EST MON BOUCLIER ET MA FORTERESSE.

La parole écrite de Dieu dans la Bible est si puissante. Lorsque vous citez verbalement la parole de
Dieu, elle sortira de votre bouche comme une épée flamboyante qui transpercera et brûlera les
démons. Ils seront contraints de fuir.

La parole écrite de Dieu est comme une épée flamboyante qui percera et brûlera les démons.

CHAP 6. Invitez la présence de Dieu notre Père

1 SAMUEL 17
Ps. 144:1 : L’Éternel enseigne mes mains pour le combat, mes doigts pour la bataille

Un trait qui est commun à tous ceux que Dieu a formés pour son service, c’est qu’ils ont eu affaire à lui
en secret, avant qu’ils se soient signalés aux yeux des hommes. Le caractère inverse de celui-là, c’est
l’impatience de la chair, qui cherche à attirer l’attention avant que l’âme ait reçu cette discipline
nécessaire. On court sans être envoyé, et l’on est ainsi forcé de s’instruire soi-même par de cruelles
chutes. Si Paul est un vase choisi de Dieu pour porter son nom, c’est qu’il est élevé à l’école de l’épreuve
: « Je lui montrerai », disait Jésus, « combien il doit souffrir pour mon nom. » C’est ainsi que Dieu a des
moyens, que lui seul connaît, de préparer des âmes pour son oeuvre. Il l’a montré à l’égard de son
serviteur parfait, son Fils bien-aimé. Il en a usé de même avec David, comme nous le lisons au premier
livre de Samuel, au chap. 17.

Le chapitre précédent nous montre David dans la plus grande obscurité ; ses frères, et même son père,
ne font aucun cas de lui ; il est éloigné de sa famille, gardant les brebis ; on ne le croit pas digne d’être
invité à se trouver au sacrifice.

Cependant il était l’élu du Seigneur ; dans le désert il n’avait point été seul ni sans direction : il avait eu
Dieu pour docteur ; il avait été préparé pour le ministère public par Celui qui ne juge point sur
l’apparence, et qui ne regarde point à ce à quoi l’homme regarde. Il faut qu’il en soit ainsi de nous. Il
faut que nous marchions avec le Seigneur, que nous vivions devant lui. À moins que notre âme ne soit
exercée sous son regard, il ne nous emploiera pas comme des instruments dans son oeuvre. Nous
pouvons croire le contraire, mais il n’en sera rien. Dieu a toujours à dire quelque chose en secret à celui
qu’il a l’intention d’employer à un ministère quelconque. La parfaite sagesse de notre Dieu à cet égard,
se montre clairement dans l’histoire de plusieurs de ses plus éminents serviteurs. Ils paraissent à l’heure
du besoin, se tenant prêts à faire ce que les circonstances demanderont. On les trouve calmes, sages et
patients, lorsque tous ceux qui les entourent sont dans la crainte ou dans la perplexité. Tout ce qu’ils
disent et tout ce qu’ils font nous montre qu’ils ont été préparés pour leur oeuvre.

Ces caractères qui ont vécu en secret devant le Dieu vivant, peuvent librement aller en avant à travers
la confusion et la discorde où s’agitent les hommes. Ils ont appris à se tenir à la brèche devant Israël
effrayé, ils savent affronter le géant philistin. Leur apprentissage a été leur vie cachée devant Celui qui
est infiniment plus grand que tous : — le Dieu Fort !

Tel a été David. C’est dans le désert qu’il a appris à connaître les ressources que la foi possède en Dieu,
et maintenant il va devenir le champion de Dieu contre le champion des incirconcis. Il a déjà terrassé
l’ours et le lion sans avoir été vu des hommes ; et le voilà maintenant qui va triompher de Goliath à la
vue des armées d’Israël et des Philistins.

Quel ennemi terrible que ce Goliath pour Israël ! Matin et soir il défiait leur armée, et son défi demeurait
sans réponse, car le découragement et l’effroi s’emparaient de tous. Saül avait beau ranger ses troupes
en bataille (17:19-21), « voici le champion, nommé Goliath, le Philistin de Gath, qui s’avançait hors des
rangs des Philistins et il proféra les mêmes paroles ; et David l’entendit. Et tous les hommes d’Israël,
voyant l’homme, s’enfuirent de devant lui et eurent très peur » (vers. 23, 24). Ceci se passait au moment
où David, arrivant au camp, entendit le défi de Goliath (vers. 23), et vit l’outrage fait à Israël, et son
désespoir. Les « grands cris », signal du combat, avaient cessé, et tout le peuple était dans la terreur ;
mais David était le seul qui soit calme et sans peur, lui, ce jeune garçon, comme on l’appelait, que ses
frères méprisaient et dont ils parlaient avec légèreté dans la méchanceté de leur coeur, lui, enfin, que
le Philistin dédaigna et maudit. Or, il est impossible d’apercevoir pour quelle raison David se mettait en
avant pour aller combattre le Philistin, lorsque nul autre n’en avait le courage. Bien loin de discerner en
lui quelque puissance d’action, ceux qui ne jugeaient que sur l’apparence, y voyaient tout le contraire.
La chair voyait bien cette sorte de puissance dans « l’armée », dans « cette multitude », et dans les
armes, ou même dans ce redoutable Goliath, mais pouvait-elle en voir dans ce jeune garçon, qui
revenait de garder son petit troupeau de brebis dans le désert ?

Chers amis, remarquez ceci. David avait été avec le Dieu vivant dans la retraite, maintenant il voit que
la gloire de l’Éternel est intéressée dans ce qui se passe. Israël regardait aux forces d’Israël, et
qu’étaient-elles comparées à celles des Philistins ! mais voici un homme qui avait la pensée de Dieu, et
qui estime les ressources qui sont dans le Dieu vivant. Ce n’est pas que David ait eu plus de courage
naturel que Saül, mais David avait de la foi ; il avait vécu, il est vrai, dans l’obscurité au milieu du désert,
mais là, il avait appris à être en communion avec Dieu, et maintenant le voici sortant tout fraîchement,
si l’on peut dire, d’auprès de son Dieu, et jugeant aussi selon Dieu les circonstances du moment. En un
mot, ce qu’il a appris dans cette intimité, David le fait servir, à cette heure, à la gloire de son Dieu. C’est
là le secret de sa force et de sa victoire. Il a bien considéré l’événement, il en a bien pesé les difficultés
et les dangers, mais sa foi y fait intervenir le Seigneur ; il agit dans cette conjoncture avec une sagesse
et avec une puissance qui viennent d’en haut ; c’est dans cet esprit qu’il considère tout ce qui l’entoure
: l’armée d’Israël est pour lui celle du Dieu vivant ; il la voit à la lumière de Celui qu’il vient de prier en
secret (vers. 26).

Je demande donc si ce n’est pas en ceci que se montrent nos infidélités : que nous n’avons pas conversé
en secret avec le Dieu vivant. C’est cependant la chose vraiment essentielle. Estimons-nous la
communion avec Dieu notre plus grand privilège ? Attachons-nous plus de prix à vivre avec Dieu qu’à
vivre devant les saints et avec les saints ? Je crois que nous préférons cette dernière manière de vivre.
Nous trouvons de la consolation à être entourés des saints, mais notre force est de marcher dans la
communion du Dieu vivant, sachant que nous devons souffrir comme voyant Celui qui est invisible. La
chair aussi recherche ce qui lui est propre, et le trouve même parmi les fidèles ; mais elle se dessèche,
« elle est vraiment comme l’herbe dans la présence de Dieu ».

C’est pourquoi c’est notre sûreté aussi bien que notre joie de demeurer par la foi « dans le sanctuaire
du Tout-Puissant », et d’en sortir pour son service avec la force que nous y aurons puisée. Alors nous
pourrons regarder tout ennemi en face, comme David le fait à l’égard de Goliath : « Car, dit-il, qui est
ce Philistin, cet incirconcis, pour outrager les troupes rangées du Dieu vivant ? »

Mais le langage de la foi irrite la chair à l’instant même. Il en fut ainsi, lorsque Joseph racontait ses
songes à ses frères. Il en est de même de David par rapport à ses frères, témoin ces paroles que lui
adresse Éliab : « Je connais, moi, ton orgueil et la méchanceté de ton coeur ». Du moment que la chair
découvre une puissance, supérieure à la sienne, et c’est ici le cas d’Éliab par rapport à David, tout ce
qu’elle peut faire, c’est de l’attribuer à l’orgueil. Or Éliab était le fils aîné, et il se présente ici dans cet
état d’élévation que la chair aime et recherche toujours. C’était un homme distingué par ses avantages
extérieurs, mais quelque beau qu’ait été son visage ou sa stature, Dieu « l’avait rejeté » (Chap. 16:6,
7). L’oint du Seigneur n’était point celui que l’homme appréciait. Et que de fois il nous est donné dans
l’Écriture, cet enseignement, que Dieu rejette l’aîné et choisit le cadet. Ainsi Éliab représente, comme
Ismaël ou Ésaü, les titres naturels de la chair, et c’est en vertu de ces titres qu’il repousse David avec
tant de mépris. Mais David parlait selon une sagesse, et par l’effet d’une puissance qu’Éliab ne
connaissait pas : David parlait le langage de la foi. Le Dieu vivant, le Dieu des armées d’Israël était
devant ses yeux, et c’est à cette mesure qu’il mesurait les Philistins et leur champion. Éliab n’en avait
pas une semblable devant lui ; il sentait et parlait comme un homme ; aussi le langage de la foi était-il
pour lui « de l’orgueil et de la méchanceté de coeur ».
C’est ainsi que la chair se trompe toujours à l’égard de la foi. « C’est de l’orgueil », réplique-t-elle
aussitôt avec colère, toutes les fois qu’on parle de confiance dans le Seigneur. Cependant cette
confiance n’est que de l’humilité, car quoi de plus profondément humble que de s’oublier, soi, pour faire
place à Dieu ! Dans toute cette affaire, David s’oublie pour ne voir que l’Éternel et ses armées. C’est le
privilège et la vertu de la foi de mettre entièrement de côté le moi, pour que Dieu occupe seul ses
regards. Nulle chair ne se glorifiera devant lui ; que « celui qui se glorifie, se glorifie dans le Seigneur ».
Voilà ce que David avait appris, et montrait dans cette occasion, mais c’est cela qu’Éliab appelle de
l’orgueil. La vérité est que c’est la chair qui est orgueilleuse. J’espère que nous le sentons tous, et que
nous comprenons que c’est la foi qui fait que nous nous oublions nous-mêmes, puisqu’elle reçoit toute
chose comme de Dieu. Oui, chers amis, elle reçoit Dieu lui-même comme la plus grande bénédiction
qu’il puisse donner.

David, à son tour, dit à Éliab : « Qu’ai-je fait maintenant ? N’y a-t-il pas de quoi ? » David assurément
ne se glorifiait pas lui-même. Mais n’y avait-il pas un motif qui l’ait porté à parler de la sorte ? Oui, sans
doute, il y en a toujours un dès que le nom du Dieu vivant est mis en cause. Le vrai but pour lequel nous
sommes laissés dans ce monde, c’est que nous confessions le nom de Jésus devant les hommes, et
mettions le nôtre de côté. Oh ! pourquoi les coeurs de tous les saints de Dieu ne s’unissent-ils pas dans
cet unique but, de confesser le nom du Seigneur Jésus ?

Mais suivons David lorsque, après avoir été avec Éliab, il se trouve en présence de Saül. Quelle dignité
! comme il se possède ! Il dit à Saül : « Que le coeur ne défaille à personne à cause de lui ! Ton serviteur
ira et combattra avec ce Philistin » (vers. 32). Tandis que toute l’armée d’Israël tremble, un jeune garçon
est devant le roi, et lui dit : « Que le coeur ne défaille à personne ». Oui, il y a dans la foi cette possession
de nous-mêmes, qui non seulement nous communique, mais encore nous rend capables de
communiquer à d’autres de la consolation et de la confiance au milieu des plus grandes épreuves. La
foi a des ressources qui ne sont pas atteintes par les circonstances ; c’est pourquoi, au lieu d’être
accablée par l’affliction, elle est, au contraire, en état, comme le dit l’apôtre, « de consoler ceux qui
sont dans quelque affliction que ce soit, par la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés de
Dieu » (2 Cor. 1:4). David avait déjà passé par les tribulations, et avait déjà éprouvé ce Dieu en qui il se
confiait. Il savait en qui il avait cru ; il s’était vu dans le péril et il en était sorti vainqueur. C’est pourquoi
il est maintenant plein de confiance. Dieu avait parlé à son âme dans le désert, et lui avait dit, à ce qu’il
paraît, des choses dont personne n’avait eu connaissance jusqu’alors (vers. 34-37). Oh ! chers amis, où
est-ce que les saints apprennent véritablement à remporter la victoire ? Je crois que c’est là où aucun
oeil ne nous voit excepté celui de Dieu. Renoncer de tout son coeur à soi-même, porter sa croix en secret,
reconnaître dans la solitude de notre chambre, le moyen d’abattre toute imagination ou toute autre
chose qui s’élève contre la connaissance de Dieu, voilà nos plus grands exploits. Le cabinet est le grand
champ de bataille de la foi. Que l’ennemi s’y présente, et qu’il y soit vaincu ; alors nous pourrons
demeurer fermes nous-mêmes, en consoler et en édifier d’autres aussi à l’heure du combat au-dehors.
Celui qui avait déjà tué le lion et l’ours dans le désert, est le seul qui reste sans crainte devant Goliath
dans la vallée d’Éla ou du chêne.

Comme cela nous découvre le vrai secret de la force de David, c’est-à-dire la vraie puissance de la foi !
À présent nous comprenons le sens de ces mots de l’apôtre : « Je suis insensé ». C’est qu’il était obligé
de parler de lui, et c’était là sa folie. Son énergie dans le ministère, cette patience avec laquelle il
supportait tant de choses pénibles de la part de ses frères, s’expliquent par les relations qui avaient eu
lieu entre le Seigneur et son âme, et qui n’avaient pour témoins que lui et son Dieu. C’est aussi pourquoi
David peut dire à Saül : « Que le cœur ne défaille à personne » à cause de cet homme.

« Et Saül dit à David : Tu n’es pas capable d’aller contre ce Philistin pour combattre avec lui ». Saül
regarde David, puis Goliath, et, comme homme, il avait raison de s’exprimer ainsi qu’il venait de le faire.
Mais il ne connaissait pas le secret de Dieu que David avait appris ; il ne savait pas ce que David allait
dire. Si Éliab avait fait les mêmes exploits que lui, il n’en aurait pas gardé le secret un seul jour ; David
avait été à une autre école, à une école où il avait appris à ne pas faire grand cas de lui, mais du Dieu
vivant. Il paraît, d’après le silence de l’Écriture, que David ne s’était jamais vanté de sa victoire ; mais
lorsque l’occasion le demande, il se met en avant et raconte la bonté du Seigneur à son égard. L’apôtre
Paul agit de même : « Je connais, dit-il, un homme en Christ, qui, il y a quatorze ans … » Pendant
quatorze ans, à ce qu’il paraît, personne n’avait jamais su qu’il avait été transporté au troisième ciel ;
mais lorsqu’une occasion se présente de le publier, non pour sa propre gloire, mais pour celle de son
Maître, alors il en profite. Il se passait entre le Seigneur et Paul bien d’autres choses que personne ne
savait. Il en était ainsi de David. Qui est-ce qui savait ce qu’avait déjà fait ce jeune garçon ? Qui est-ce
qui connaissait la victoire merveilleuse qu’il avait déjà remportée ? Savait-on qu’il avait délivré un
agneau de son troupeau de la gueule du lion, et que le lion et l’ours avaient péri par ses mains ? Éliab
l’ignorait, Saül aussi. Il est possible que ces faits n’aient pas échappé à l’oeil pénétrant de la foi de tel
ou tel (1 Sam. 16:18), mais c’est tout ce qu’on peut dire. Chers amis, soyez assurés que, si vous voulez
être vraiment forts, il faut que votre vie soit cachée en Dieu. La raison pour laquelle nous sommes tous
si faibles, c’est que nous faisons trop peu cas de cette vie secrète devant Dieu. Nous sommes prompts
à courir à l’oeuvre pour être vus des hommes, mais estimons-nous la communion avec Dieu et sa
discipline invisible plus que toutes autres choses ? Soyez sûrs que, si vous ne tuez pas le lion et l’ours en
secret, vous ne parviendrez jamais à terrasser Goliath en public ; il n’y aura ni efficace, ni sagesse, dans
votre service extérieur.

Ceci doit nous amener à comprendre ce petit mot , « prendre sa croix chaque jour ». On peut s’imaginer
que l’on prend sa croix dans quelque grande occasion ; mais ce n’est pas là porter sa croix chaque jour,
renoncer à soi chaque jour, haïr et laisser sa vie dans ce monde chaque jour. Dieu a toujours l’oeil sur
nous ; c’est notre privilège de marcher toujours devant Dieu, et nous avons ainsi, à chaque instant,
l’occasion de porter la croix devant lui, en confessant Jésus et en renonçant à nous-mêmes.

« David dit : L’Éternel qui m’a délivré de la patte du lion et de la patte de l’ours, lui me délivrera de la
main de ce Philistin » (vers. 37). Il savait que l’un était aussi facile à Dieu que l’autre. Quand nous
sommes en communion avec Dieu, nous ne comparons pas difficulté à difficulté, car y en a-t-il pour
Dieu ? La foi mesure tous les obstacles à la mesure de la puissance de Dieu, et alors la montagne devient
comme une plaine. Trop souvent, chers amis, nous pensons que, dans les petites choses, nous n’avons
pas absolument besoin de la toute-puissance de Dieu, et c’est alors que nous bronchons. N’avons-nous
pas vu des fidèles dévoués et zélés faillir pour un rien ? La raison en est qu’ils n’avaient pas pensé à
faire intervenir Dieu dans toutes leurs voies. Abraham quitta sa famille et la maison de son père, et
partit à l’appel de Dieu sans savoir où il allait ; mais du moment qu’il rencontre une difficulté qui
paraissait telle à sa propre sagesse et qu’il va en Égypte, que devient-il ? Il faillit à chaque instant dans
de petites choses. Une fois dans une mauvaise position, celle que nous avons choisie, oh ! comme nous
sommes faibles ! La foi ne connaît pas de petites choses, elle discerne si clairement notre faiblesse,
qu’elle voit qu’il ne faut rien moins que le pouvoir de Dieu pour nous donner la force de vaincre en
toutes circonstances. Aussi ne tient-elle pas pour indifférent le danger, car elle sait ce que nous sommes,
tout comme, d’un autre côté, elle ne faiblit pas au moment du péril, parce qu’elle sait aussi ce que Dieu
est. Cette juste appréciation de notre faiblesse et de notre danger donne toujours une sage mesure à
la confiance de la foi.

Que paraissons-nous quand nous nous comparons à nos ennemis ? « Car notre lutte n’est pas contre le
sang et la chair, mais contre les principautés, contre les autorités, contre les dominateurs de ces
ténèbres, contre la puissance spirituelle de méchanceté qui est dans les lieux célestes » (Éph. 6:12).
Qu’est notre force à côté de la leur ? que sommes-nous devant eux ? Ce qu’étaient les Israélites auprès
des Anakims — « comme des sauterelles » (Nom. 13:34). C’est pourquoi « revêtez-vous de l’armure
complète de Dieu ». Ainsi la foi découvre la réalité de notre faiblesse, tandis qu’elle s’assure dans la
puissance du Seigneur ; ainsi la foi sait ce qu’est la chair, quoique la chair ne se connaisse pas elle-
même ; et, par conséquent, celui qui est le plus fort dans la foi, est précisément celui qui se glorifiera le
moins en lui-même. « Car quand je suis faible, alors je suis fort », disait Paul.

Tel était aussi David. Il savait bien qu’il ne pouvait pas s’égaler à Goliath ; il n’agissait pas non plus dans
l’orgueil de son coeur, et loin de se fier à sa propre force lorsqu’il vit le terrible géant, il se sentit, au
contraire, inférieur à ce qu’Éliab, ou Saül, ou Goliath pensaient de lui. C’est cependant avec une parfaite
confiance qu’il se présenta, parce qu’il était sûr de sa délivrance. C’est de la faiblesse que sortit sa force.

« Et Saül dit à David : Va, et que l’Éternel soit avec toi. » Ayant dit cela, Saül fit armer David de ses
armes ; il « lui mit un casque d’airain sur la tête, et le revêtit d’une cotte de mailles ». Saül pouvait dire
: « Que l’Éternel soit avec toi », mais il ne savait pas, comme David, ce que c’était que de se confier en
Dieu. Il chercha à armer David de la même manière que Goliath, en le revêtant de ses propres armes
charnelles. Mais celles-ci ne peuvent convenir au soldat de la foi, car, dès que David en est chargé, il
sent qu’il ne peut se mouvoir ; tout devient gênant, il est embarrassé. Or, chers amis, il n’y a rien de
pareil dans la foi. Dès que nous agissons en dehors de la foi, dès que nous voulons outrepasser la foi,
nous sentons que c’est forcé, et nous devenons maladroits. Tandis que, lorsque c’est avec une foi simple
dans le Seigneur que les saints agissent, nous les voyons marcher tranquillement, aisément, sans
encombre, et on peut le dire, d’une manière victorieuse. Il est, dans le service de la foi, une heureuse
liberté que ni adresse, ni effort de la chair ne sauraient donner ; et faisons attention de ne pas prendre
pour la foi un pénible effort. Il y a plusieurs manières de commettre cette méprise pour imiter la foi
d’autrui ; c’en est une, par exemple, que de faire des sacrifices parce qu’un autre en a fait. Tout cela
n’est pas sans quelque danger. En un mot, là où est une véritable force de la part du Seigneur, on agit
avec aisance et avec calme, sans vouloir d’autres expédients que ceux que l’on a appris sous la croix.

« Et David dit à Saül : Je ne puis marcher avec ces choses, car je ne l’ai jamais essayé. » Il ne craignait
pas d’aller, le Seigneur étant avec lui, comme Saül l’avait dit ; mais il ne pouvait pas aller non plus avec
ces armes. La foi ne se confie pas en partie en Dieu, et en partie en l’homme. David n’avait ni casque
d’airain, ni cotte de mailles, lorsqu’il tua le lion et l’ours. Ainsi donc, il alla, l’Éternel seul étant sa force,
et, comme il l’avait dit, le Seigneur le délivra. De même que Paul qui disait : « Personne n’a été avec
moi, mais tous m’ont abandonné… Mais le Seigneur s’est tenu près de moi… et j’ai été délivré de la
gueule du lion » (2 Tim. 4:16,17), de même David avait bien éprouvé que le bras du Seigneur est fidèle,
mais il n’avait jamais essayé l’armure de Saül.

Combien de fois ne nous sommes-nous pas chargés et laissé charger de cet attirail sans nous apercevoir
aussitôt, comme David, de son inconvénient, et sans le rejeter loin de nous ? Ne l’avons-nous pas traîné
souvent avec complaisance ? Ne sommes-nous pas allés jusqu’à vouloir combattre avec cela ? N’avons-
nous pas souvent agi comme si l’oeuvre de Dieu avait besoin d’un pouvoir humain de telle ou telle
forme, comme si ce qui était commencé par l’Esprit pouvait être achevé par la chair ? C’est pourquoi,
pour comprendre notre folie et notre incrédulité, il faut que nous voyions toute l’étendue de notre ruine.
Mais ce n’est pas ici le cas de David ; il reconnaît tout de suite que l’armure polie et travaillée de Saül
ne va pas au soldat de la foi. Les paroles qu’avait dites Saül étaient bonnes, mais elles étaient démenties
par la manière dont il voulait armer David ; et je crois que ceux avec qui Dieu agit beaucoup en secret,
seront ici comme David ; ils discerneront promptement, intuitivement, les avances faites par la chair,
et les rejetteront ; ils distingueront ainsi entre la chose précieuse et la chose méprisable ; ils auront un
tact spirituel, une délicatesse de sentiment (Phil. 1:9), qui ne peut s’acquérir que dans une communion
intime avec Dieu ; et si, du milieu des pièges et des ruses de l’ennemi, je ne sais quel futile objet vient à
passer devant l’oeil de leur foi, ils en sentiront la fausseté sans même qu’ils la voient. C’est le cas de
David. Il se met à revêtir l’armure de Saül tout entière, mais au moment où Saül le croit prêt au combat,
David se sent enchaîné et chargé. Les plus habiles secours du monde sont les plus sûres entraves de la
foi.

David ôta ces armes de dessus lui. C’est ainsi que la foi se dépouille de toute arme charnelle, car toute
sa force doit dépendre de Dieu. Or c’est là souvent, pour nous, la partie la plus difficile de notre leçon,
celle que nous apprenons le plus lentement, et que nous oublions le plus vite. Mais si nous connaissions
mieux cette vie cachée avec Christ en Dieu, nous nous débarrasserions beaucoup plus promptement de
ces armes matérielles. L’âme qui, comme celle de David, a été beaucoup exercée en secret devant Dieu,
sait que tout est vain, excepté la vertu de Dieu. Dès lors, elle se hâte de rejeter les choses que la chair
estime tant comme aides, et se sent mise en liberté par leur absence. Combien la communion intime
avec Dieu est le meilleur moyen d’apprendre à connaître la chair et à y renoncer ! Hors de là, nous avons
à l’apprendre par une discipline bien dure, et après de nombreuses erreurs, et ce qu’il y a de plus difficile,
c’est de nous dépouiller des choses que, par habitude ou par éducation, nous avons crues nécessaires,
de nous garder de certaines manières de faire dans lesquelles on allie ensemble, comme Saül, le nom
du Seigneur et l’autorité ou la sagesse de l’homme. Ces combinaisons, que l’on considère souvent
comme judicieuses et utiles, sont trompeuses et pleines de danger. Comment se fait-il que nous voyions
l’apôtre, pour l’amour de Christ, regarder joyeusement comme une perte toutes les choses que les
hommes estiment ? Est-ce que ce n’était pas pénible pour lui ? Comment pouvait-il ainsi renoncer à ces
avantages ? C’est qu’il avait appris à se réjouir en Jésus Christ, à se fortifier « dans le Seigneur et dans
la puissance de sa force ».

Souvenez-vous donc, chers amis, que celui qui est beaucoup avec Dieu en particulier, ne peut pas
employer des armes charnelles. Et assurément, cela devrait nous montrer l’importance de ne nous
présenter pour son service que lorsque nous venons de nous entretenir avec lui, afin que nous soyons
ainsi préparés à découvrir et à mortifier toutes les prétentions et toutes les avances de la chair ; car il
est triste, en vérité, de voir un fidèle, à défaut de cette préparation, essayer de combattre au nom du
Seigneur, tout revêtu qu’il est de l’armure du monde. Ainsi le monde obtient une place dans l’Église ;
ses principes et sa puissance sont reconnus là même où Dieu a dit : « N’aimez pas le monde » ; « tout
ce qui est dans le monde… n’est pas du Père ». « L’amitié du monde est inimitié contre Dieu » (1 Jean
2:15, 16 ; Jacq. 4:4).

C’est ce qu’on voit souvent pratiqué dans la controverse. On répond à un argument humain par un
argument humain, au lieu de faire simplement usage de la parole du Seigneur. Le casque et la cuirasse
de Saül, au lieu de la fronde, de la pierre et du bras de la foi, voilà ce qu’on oppose à l’airain et aux
mailles de la cuirasse de Goliath. Combien il arrive souvent que le Seigneur justifie sa Parole quand elle
est employée par la foi, en la faisant aller, avec une efficace divine, droit au coeur. Et que de fois il nous
humilie en nous montrant que nos plus forts raisonnements ne servent qu’à exciter l’aigreur et la
discorde. Le Seigneur veuille nous rendre plus simples !

Cependant David ne s’avance pas au combat sans être armé, bien qu’il rejette l’armure de Saül. Il prit
son bâton en sa main, cinq pierres lisses dans son sac de berger, et sa fronde. Ainsi armé, il s’approcha
du Philistin (vers. 40). Il n’avait donc fait que changer d’armure pour en prendre une autre ; mais que
celle-ci est simple ! Si David, ainsi équipé, triomphe de Goliath, la victoire vient certainement du
Seigneur. Une pareille armure ne fut jamais le produit de l’art et du génie humains ; en effet, c’était le
cours d’un torrent qui avait poli les cailloux. Oui, et la foi est toujours armée de cette façon, aussi son
armure paraît toujours faible et insensée aux yeux des hommes. Les plus grandes victoires de Dieu ont
été remportées par des instruments que l’homme a le plus méprisés. La folie de la prédication (car c’est
une folie pour le monde, et le sujet en paraît insensé, — Christ crucifié), l’homme la traite avec dédain
; c’est cependant « la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu ». La prédication a toujours été un aussi
chétif, un aussi simple moyen que la fronde de David ; mais ce qu’il nous faut, c’est de cette simplicité
en une beaucoup plus grande mesure, nous rappelant que nous avons à présenter la vérité de Dieu à la
conscience des hommes. Nous avons des armes « puissantes par la vertu de Dieu » ; si seulement nous
avions une foi simple pour nous confier en elles seules en rejetant celles de la sagesse, de la force et de
l’autorité humaines.

« Et le Philistin s’avança, allant et s’approchant de David » (vers. 41), et méprisant David et son armure,
Goliath lui dit : « Suis-je un chien, moi, que tu viennes à moi avec des bâtons ? » Souvenez-vous de ceci,
chers amis, que la chair se croit toujours insultée, parce que nos armes ne sont pas celles qu’elle
emploie. La chair aime à voir épée contre épée, casque contre casque ; elle n’aime que ce qui est
matériel comme elle. David répondit : « Tu viens à moi avec une épée, et avec une lance, et avec un
javelot ; et moi, je viens à toi au nom de l’Éternel des armées, du Dieu des troupes rangées d’Israël, que
tu as outragé ». C’est ainsi que David place la question sur son véritable terrain ; comme on le voit, le
différend est simplement entre le Seigneur des armées et le Philistin. David se met tout à fait hors de
cause, et fait intervenir Dieu lui-même comme antagoniste de Goliath. C’est là ce que nous devrions
toujours faire. Que sommes-nous ? Quel est l’ennemi ? Qu’importe ce que nous sommes ou quelle est
la force de l’ennemi ? Qu’importe que l’un soit puissant et l’autre faible ? Dieu ne défendra-t-il pas son
nom ? David s’avance au nom du Dieu des armées ; Dieu ne sera-t-il pas jaloux de son nom ? Permettra-
t-il que le Philistin déshonore ce nom ? Jamais ! Telle est donc la puissance de la foi. Elle fait
constamment appel à la toute puissance de Dieu. « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » Voilà
ce qu’elle dit sans cesse.

David, avons-nous dit, n’aurait jamais tenu ferme en ce moment, s’il n’avait appris à connaître Dieu
comme son Dieu, en secret. Voilà pourquoi il pouvait dire : « Que personne ne perde courage ». Voilà
pourquoi il pouvait ainsi marcher contre Goliath. Le nom du Seigneur doit être notre force contre tout
le mal, soit au-dehors, soit au-dedans. Supposez ce qu’il y a de pire, le péché commis par un chrétien
(car nous devons tous savoir que le péché dans un chrétien est bien pire que dans un autre homme),
quel est son refuge ? Il s’écriera : « À cause de ton nom, ô Éternel ! tu me pardonneras mon iniquité ;
car elle est grande » (Ps. 25:11). Vous n’avez qu’à rappeler à Dieu son grand nom, et il sera jaloux de
ce nom. Ainsi la foi peut toujours employer le nom du Seigneur comme sa force contre tout adversaire.
En sorte que, bien loin qu’il y ait eu alors de l’orgueil dans le coeur de David, cet homme s’annulait, se
faisait rien, en faisant Dieu tout. Les paroles qui, chez lui, montrent le plus de confiance, sont celles qui
expriment le plus d’humilité. Et n’est-ce pas le nom de Jésus que nous devons opposer à toute tentation,
à toute angoisse, à tout mal quelconque ? N’est-ce pas ce que Dieu enseigne en secret à beaucoup
d’âmes, les amenant à reconnaître en elles un état de souillure et de faiblesse qu’elles avaient jusque-
là ignoré, les faisant passer par une épreuve dont elles ne s’étaient jamais doutées, afin qu’elles
connaissent la valeur de ce qu’elles possèdent dans la croix ? Non pas comme si elles ne possédaient
pas déjà tout en Jésus Christ, mais pour leur faire sentir que c’est bien une réalité, et pour les unir
étroitement entre elles. Plusieurs comprennent par expérience ce qu’est la rédemption, parce qu’il leur
est donné de sentir la nécessité d’un ami tout puissant tel qu’est notre Dieu. Dieu enseigne maintenant
de cette secrète manière à bien des âmes la valeur de la croix. Et pourquoi ? Afin qu’elles puissent être
fortes à l’heure du combat.

Cette vie cachée avec Dieu nous fera toujours agir d’une manière agressive, si je puis m’exprimer ainsi,
telle qu’on la voit dans David. Il dit : « En ce jour, l’Éternel te livrera en ma main ; et je te frapperai, et
j’ôterai ta tête de dessus toi… et toute la terre saura qu’il y a un Dieu pour Israël… Et comme le Philistin
se levait et s’avançait, et s’approchait à la rencontre de David, David se hâta et courut vers la ligne de
bataille, à la rencontre du Philistin » (vers. 46, 48). Sans s’arrêter, ni hésiter, David employa à l’instant
même ses simples armes, et terrassa son ennemi (vers. 49). « Et David, avec une fronde et une pierre,
fut plus fort que le Philistin, et frappa le Philistin et le tua ; et David n’avait pas d’épée en sa main »
(vers. 50, 51).

Ainsi donc David n’attendit pas simplement d’être attaqué, mais il se hâta et courut pour combattre le
Philistin. Nous confessons le nom du Seigneur avec plus de puissance lorsque nous avons appris de lui
la valeur de ce nom. Alors la grâce et la sagesse nous sont souvent données, même pour prendre
l’offensive contre le mal. Mais sûrement nous avons appris combien il faut de grâce, combien il faut
posséder la pensée de Christ pour protester, témoigner contre le mal. Combien, à cet égard, nous
manquons, faute d’avoir cultivé davantage la communion avec Dieu ! Remarquez avec quelle sagesse,
avec quel calme, quoique avec promptitude, David prit la pierre. Point d’effort, il fit cela comme s’il
l’avait fait seul dans le désert sans qu’aucun oeil le voie, excepté celui de Dieu. Et le Seigneur dirigea
cette pierre de la même manière qu’il avait conduit le bras qui avait vaincu le lion et l’ours. Ainsi David
fut le plus fort, et c’est ainsi que la foi est toujours victorieuse.

Je crois le moment actuel très opportun pour ce même déploiement de foi ; mais la force pour cela, je
le répète, nous devons la chercher dans une vie secrète en la présence de Dieu. Alors, quoi que ce soit
que notre main trouve à faire, nous pourrons l’accomplir dans la vertu de Dieu. Quand un chrétien est
abondamment béni du Seigneur en public, nous pouvons être sûrs que Dieu a agi avec lui en secret,
d’une façon à laquelle nous n’avions pas pensé. Mais combien souvent, après qu’un chrétien a été
employé à son service d’une manière distinguée, ne le voyons-nous pas faillir même dans les plus petites
choses. Cela vient de l’oubli du précepte : « Prie ton Père qui demeure dans le secret ; et ton Père qui
voit dans le secret, te récompensera ».

CHAP 7. LIRE QUELQUES PSAUMES DE GUERRE SPIRITUELLE ET FAIRE DES PRIERES EN LANGUES

A. Les Psaumes De Combat Spirituel Enfin Révélés


Prières Et Invocation

Pourquoi connaître par cœur les psaumes de combat spirituel et comment les UTILISER ?

Nous vivons de nos jours dans un monde mouvementé. Avec un mode vie dit « moderne », nous sommes
une proie facile pour les sectes, les esprits malins et mêmes des sorciers. Nous sommes en constance
combat spirituel contre le monde occulte. Dans ce combat, nous avons besoin de prières puissantes
pour invoquer le secours divin.

LE combat spirituel peut durer des jours, des semaines, des mois, voire un an, mais à la fin, il y a toujours
un vainqueur. Si vous utilisez les psaumes de combat et les versets Bibliques adaptés, vous sortirez
toujours vainqueur.

Avant de vous dire quels sont les psaumes de combat, il est important des savoir ce qu’on appelle «
combat spirituel » selon la Bible.

❖ Qu’est-ce que le combat SPIRITUEL ?

Combat Spirituel Paint Par Luca Giordano

Le Combat Spirituel Ou La Guerre Spirituelle Est Le Concept Chrétien Pour Lutter Contre Le Travail Des
Forces Diaboliques Surnaturelles. Il Est Base Sur La Croyance Biblique En Des Esprits Diaboliques, Ou
Démons, Censés Intervenir Dans Les Affaires Humaines De Différentes Manières. Divers Groupes
Chrétiens Ont Adopté Des Pratiques Pour Repousser De Telles Forces, Fondées Sur Leur Doctrine De La
Démonologie Chrétienne. La Prière Est Une Forme Courante De Combat Spirituel Parmi Les Chrétiens.
L’exorcisme, L’imposition Des Mains, Le Jeune Et L’onction D’huile Sont D’autres Pratiques.

❖ Les Psaumes de combat spirituel

Voici 10 psaumes de guerre spirituelle que Dieu qui peuvent servir d’antidote au combat spirituel et
vous aider à sortir le vainqueur.

Psaume 5 – Chercher Dieu le matin

Au cours D’UN combat SPIRITUEL, vous auriez envie de commencer la conversation avec Dieu tous les
JOURS.

Ce psaume nous rappelle de demander à Dieu D’ETRE attentif à notre cri du matin. DONC, il est
impératif de nourrir votre esprit dans la matinée avec la prière du MATIN. Soyez intime avec DIEU. Criez
vers lui ! Il se réjouit dans vos larmes et est proche de ceux qui ont le cœur brisé et dans le besoin.
Pendant une bataille spirituelle – en fonction de la maturité spirituelle – il peut être difficile de garder
un sourire sur votre visage ou de maintenir un esprit JOYEUX. Il peut être facile à se soucier et se sentir
responsable de ce que vous êtes allez à travers.

Psaume 25 – Priez ce psaume pour être guidé et dirigé


Dieu est saint. Dieu est omniprésent. Dieu est juste, la justice, la vérité et la connaissance. Pourquoi ne
voudriez pas vous être conduit par exemple un parfait DIEU ? La guerre spirituelle apporte l’incertitude
et peur. Vous ne pouvez pas toujours savoir ce qu’il faut faire ou ce que vous devez écouter. Parfois,
vous sentez influencé à agir de chair et non vouloir tendre aux commandes de l’Esprit. Restez nourris
par le Saint- Esprit en passant du temps en présence de Dieu par des voies de PRIERE, de culte et de
lecture de sa parole. Il va guider-vous à la victoire, non seulement si vous laissez LUI, mais quand vous
obéir à Lui.

Psaume 63 – Soif de Dieu plus que tout

Dieu devrait être notre désir principal et notre objectif principal. Ne pas se concentrer davantage sur
votre victoire seule plus que Dieu parce que votre victoire est en DIEU. Nous ne devrions pas faire
L’ERREUR et adorer ce que nous voulons à la place de notre Créateur. Plus nous avons soif de Dieu et
plus nous développons en fonction de lui, plus la joie, la paix et la force vous sera avoir pendant votre
bataille. Vous saurez alors être plus à L’ECOUTE du Saint-Esprit et commencer à parler de Dieu. Tout ce
QUE ne VOUS POURRIEZ JAMAIS vouloir et avoir besoin peut être trouvé dans le Dieu que nous SERVONS
! Il est VIVANT ! Il est notre SOURCE ! Cherchez -LE, adorez -le et aimez -le par- dessus tout (Matthieu 6
:33).

Psaume 91 – Protection et sécurité de Dieu

Ce passage est rempli avec les promesses de Dieu et de sa protection. Cela ne veut pas dire que nous
ne devons jamais faire face à des défis difficiles comme les croyants, cela signifie plutôt que Dieu va
nous protéger des situations qui vont nous détruire. Votre souffrance juste maintenant n’est pas en
vain. Elle fera la naissance de grandes choses sur vous COMME : devenir plus fort dans le Saint- ESPRIT
; une onction SUPERIEURE ; apporter la SAGESSE ; être utilisé par Dieu de manière plus puissante et
avoir plus d’impact nos âmes. Continuez à adorer en esprit et en vérité pour rester invulnérable aux
fléchettes enflammées de L’ENNEMI.

Psaume 96 – Adorer Dieu

Adorez Dieu pendant cette bataille, il est L’UN des plus puissants des armes que vous pouvez utiliser.
Adorez Dieu pour qui il est et qu’Il puisse faire l’impossible pour vous. S’il est une louange dans votre
esprit pendant ce temps, pensez pas qu’il soit étrange… au lieu de cela, suivre cette envie et la louange
de Dieu vous suivra juste où vous ETES ! Louez, adorez et chantez la louange votre à travers votre
combat SPIRITUEL !

Psaume 97 – Connaître la domination et le pouvoir de Dieu

Avez- vous besoin D’UN rappel de la grandeur de notre Dieu ? Lire le Psaume 97. Comment peut un
Dieu qui est si puissant ne pas se charger de VOUS ? Comment un Dieu qui a créé et contrôle les cieux
et la nature soit incapable de dominer sur les forces qui interviennent sur votre VIE ? La seule chose que
Dieu ne peut pas faire est D’ECHOUER !

Mesurez Dieu à sa vraie mesure et laisser lui la main. Il dominera et vous apportera victoire en toute
circonstance.

Mais c’est Dieu qui en connaît le chemin, il sait Où elle habite. C’est lui qui regarde jusqu’au bout du
monde et il voit tout ce qui est sous le ciel. En effet, c’est lui qui a donné sa force au vent, il a mesuré la
quantité de l’eau, il a fixé une limite à la pluie, et un chemin au tonnerre qui gronde. Job 28 : 23-26
Psaume 103 – Avantages de Dieu

Ce psaume est tout. Ce paume de combat spirituel montre à quel point Dieu est fidèle envers ses justes.
Vous avez affaire à un combat spirituel parce que vous êtes juste (ROMAINS 8 :28) ! Vous être élevé et
promu en Dieu et dans votre vie et L’ENNEMI est jaloux ! Mais c’est une bataille que Dieu va se battre
pour vous et tout ce que vous avez à faire est vous mettre à genoux dans la prière. Rappelez-vous et
restez encouragé par la bonté de Dieu et sachez qu’il est saint et saura vous porter à la victoire si vous
avez la foi et le permettre de travailler dans votre VIE.

Psaume 119 : 97-104 – Obéissance

Comment prier avec les psaumes de combat spirituel requiert l’utilisation de foi. Notre foi est
insuffisante et inféconde quand nous la gardons juste dans nos esprits. Parler de notre foi, c’est mieux.
Mais nous ne voyons pas les fruits de notre foi tant que nous n’obéissons pas activement à ce que Dieu
commande.

Alors, comment savons-nous ce que Dieu veut de NOUS ? SIMPLE :

Lire sa parole et méditer sur chaque jour.

Parlez avec Dieu dans la prière (je ne saurais trop insister là- dessus !).

Priez en communion et fréquenter régulièrement les lieux de culte comme les églises.

Inonder votre environnement avec des versets et mots inspirants de rappels de DIEU, même si vous
devez saturer les murs de votre chambre ou de votre bureau avec L’ECRITURE.

Devenez plus connecté avec Dieu la parole va aider à vous discernez de Dieu la volonté de votre vie,
même maintenant pendant votre juste COMBAT.

Parlez avec Dieu dans la prière (je ne saurais trop insister là- dessus !). Priez en communion et
fréquenter régulièrement les lieux de culte comme les églises.

Inonder votre environnement avec de Dieu mot et inspirants de RAPPELS, même si vous devez saturer
votre chambre mur ou d’un bureau de bureau avec L’ECRITURE.

Psaume 130 – ATTENDEZ DIEU

Cela peut être la chose la plus difficile à faire, surtout en ce moment de combat. L’attente de Dieu est
L’UN des grands maîtres mots de notre évolution spirituelle, car il y a une grande récompense que nous
recevons lorsque nous attendons. Nous gagnons une nouvelle force quand nous attendons à Dieu.

L’attente de Dieu est importante parce QUE, bien que Dieu a déjà travaillé sur notre récolte (ou quoi
que c’est que vous êtes en attente pour) dans le royaume spirituel, nous devons toujours attendre pour
le royaume naturel pour rattraper son retard. Il l’a déjà fait !

Quel que soit ce que Dieu a pour nous ne pouvons l’obtenir par notre force, ni par L’HOMME, ni par la
force. Tout ce que nous avons à faire est D’ATTENDRE la réponse divine lors que nous récitons et prions
avec les psaumes de combat spirituel.

Gardez à L’ESPRIT que L’ATTENTE de Dieu est un privilège – OUI, c’est la vérité. Il est un privilège parce
que nous sommes dans une bénédiction qui va dépasser nos attentes et L’IMAGINATION et il est de ma
conviction personnelle que le plus nous sommes tenus D’ATTENDRE de Dieu, plus de bénédiction nous
RECEVRONS.
Psaume 146 – La Confiance en Dieu dans le combat spirituel

Qui êtes – VOUS ? Vous – même ? Votre TRAVAIL ? Votre TRANSPORT ? D’autres PERSONNES ? Votre
compte bancaire ? Si votre confiance réside dans une de ces choses, vous serez être déçu. Toutes ces
choses sont éphémères, elles ne PARVIENDRONT pas à vous rendre heureux sur le long terme et ne sont
pas suffisantes pour gagner un bataille spirituel.

Quand il s’agit de prier les psaumes de combat spirituel, rappelez – vous de mettre votre confiance en
quelqu’un éternel. Dieu ne manquera jamais d’être à votre côté et il ne vous abandonnera jamais.

Ce psaume de guerre spirituelle nous dit pourquoi nous devrions mettre notre confiance en DIEU : « il
donne la vue aux AVEUGLES ; fournit un foyer aux sans – abri ; remplace les sentiments de solitude par
sa présence ; étend vos derniers dollars afin que vous pouvez manger chaque soir cette semaine ; et est
votre part quand vous êtes malade ». Dieu est sans LIMITES, contrairement à nos possessions matériels.
Mettez votre confiance en Dieu et voyez comment il se MONTRE !

❖ Comment prier les PSAUMES ?

Maintenant que vous savez quel psaume prier pour le combat spirituel, vous pouvez vous demander
comment prier avec puissance pour vaincre.

Mettez-vous dans un état de pureté physique et spirituel. Il s’agit de vous vêtir proprement et de purifier
vos pensées des choses futiles

Choisir une bonne heure de prière. Récitez ces psaumes avec dévotion et foi.

Les psaumes sont récités un après l’autre. IL n’y A PAS DE nombre indiqué, juste sentir la présence de
Dieu et sentir la connexion.

Finir avec la gratitude, dire « merci » et au nom de « Jésus ».

Le combat spirituel est nécessaire pour notre croissance spirituelle et vous aide à grandir plus à Dieu et
comprendre sa volonté pour nos vies. Vous allez recevoir la couronne de vie et D’ABONDANTES
bénédictions si vous endurez jusqu’à la FIN !

Les psaumes sont des poèmes, des prières traditionnelles du peuple d’Israël. Ils sont la parole du peuple
qui s’adresse au Dieu de l’Alliance. Utilisés par Jésus lui-même, ils formaient le recueil des chants pour
le culte : louanges, supplications, demande de pardon, action de grâce.

Ils sont la parole de Dieu dans la bouche du peuple qui loue Dieu ou qui crie vers lui. Il y a donc
différentes manières de prier les psaumes, tout du moins de les aborder. Ainsi je peux prier les psaumes
en me mettant dans la peau du psalmiste… ils sont loin de moi dans l’histoire, mais sont proches par
leur expérience.

Je peux également entendre les psaumes dans la bouche de Jésus puisqu’il a prié avec les psaumes et
je peux prendre un psaume, ses images, à mon compte en y lisant ma propre histoire devant Dieu

❖ Etapes pour prier les psaumes :


Un temps de prière est un moment privilégié de rencontre avec Dieu lui-même. Alors pour vivre ce
rendez-vous et ne pas le rater, il vous suffit de vous mettre en conditions de manières simples :

Se préparer en fixant le moment de la rencontre comme un ami le fait avec son ami.

Se mettre sous le regard de Dieu et se rendre disponible pour se mettre à son écoute

Lui demander ce que je veux, ce que je désire qu’il me donne.

Lire et relire lentement le Psaume. Être attentif aux images utilisées, aux demandes exprimées, au
rythme des phrases, des strophes. S’en laisser imprégner jusqu’à faire siens les mots, la prière du
psalmiste.

Rester sur le mot ou le groupe de mots dans lequel j’y trouve du goût, sans se soucier d’aller plus loin

Quels sont ceux qui me touchent, qui me rejoignent dans ce que je vis. Qu’est-ce qu’ils produisent en
moi… A quoi m’invitent ils ?

Recueillir ce qui monte en moi à la fin de ce temps de prière (action de grâce, supplication etc) ; en
parler à Jésus comme un ami parle à son ami.

Terminer par la lecture du psaume dans son entier en demandant à Dieu ce dont j’ai le plus besoin

Les démons auront peur lorsque vous commencerez à lire à voix haute n’importe quel Psaume de guerre
spirituelle.

Un Psaume comme 31 est si puissant qu’au moment où vous finissez de le lire, les démons auront déjà
fui.

❖ L’IMPORTANCE DE LA PRIERE EN LANGUES DANS LE COMBAT SPIRITUEL

Notre combat contre l’ennemi est spirituel et nous devons utiliser les armes spirituelles. Et l’un des
armes spirituelles que Dieu nous a donné pour le combat spirituel, c’est la prière en langues.

Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les
autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux
célestes. […] Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à
cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints. (Ephésiens 6:12, 18)

Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles ; mais elles sont puissantes,
par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses. (2 Corinthiens 10 : 4)

Parce que la Parole en elle-même est puissante et tranchante comme une épée, la prière en langues
est une arme précieuse dans le combat spirituel.
C’est pour une bonne raison que l’Esprit de Dieu nous donne le don de la prière en langues. Le fait
de prier en langues sensibilise notre cœur aux choses de l’Esprit (Jude 20). Prier par l’Esprit est une
arme puissante dans la guerre contre les ténèbres spirituelles. Pourquoi ? Parce que lorsque vous
priez en langues, vous priez des prières parfaites qui vous sont communiquées par l’Esprit de Dieu.
Votre foi et vos cinq sens n’interviennent plus pour limiter l’impact de votre prière. Cette dimension
de prière libère la manifestation de la puissance de Dieu dans nos vies.

Sans la puissance de Dieu, notre vie avec Dieu n'est qu'une théorie.

C’est pourquoi l’apôtre Paul dit que la puissance de Dieu est beaucoup plus importante que nos
mots humains.

Car le royaume de Dieu ne consiste pas en paroles, mais en puissance. (1 Corinthiens 4 : 20)

La prière en langues est puissante. Vous ne ressentez peut-être rien lorsque vous priez dans l’Esprit,
mais bien aimé, ne vous attachez pas à vos sentiments. Ne cherchez pas à évaluer ce qui se passe
lorsque vous priez en langues en vous appuyant sur ce que vous ressentez. Le sentiment est
trompeur. Prier en langues, c’est puissant!

Le parler en langues est un bon cadeau

La Bible dit que Dieu est BON et que tout ce qui vient de Dieu est aussi totalement, totalement BON
:

Louez l’Eternel, car il est bon, Car sa miséricorde dure à toujours ! (Psaumes 107 : 1)

Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel
il n’y a ni changement ni ombre de variation. (Jacques 1 : 17)

Vous n’avez donc pas à avoir peur des dons de Dieu, parce qu’ils sont bons et parfaits pour vous. Il
n’y a aucune raison d’avoir peur lorsque nous prions pour que le Saint-Esprit nous soit donné par
Dieu :

Si donc, méchants comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien
plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent. (Luc 11 : 13)

Alors, si ce LIVRE vous a donné soif du Saint-Esprit, et que vous souhaitez être rempli du Saint-Esprit,
demandez simplement au Père. Le parler en langues est un don disponible pour tous les croyants.

Et si vous avez déjà reçu le don des langues, priez en langues, souvent, tous les jours. Ne méprisez
pas ce cadeau merveilleux que vous avez reçu du Saint-Esprit. Il vous permet prier en accord parfait
avec la volonté de Dieu, car les prières en langues sont des prières inspirées par le Saint-Esprit. Prier
en langues vous garde connecté avec le Saint-Esprit et fortifie votre esprit alors que vous résistez
aux œuvres de l’ennemi dans vos vies. Ne négligez pas ce don puissant de Dieu. Désirez-le. Recevez-
le. Utilisez-le pleinement, quotidiennement, et savourez la force qu’elle ajoute à votre vie
spirituelle.

Dieu vous bénisse!

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