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Intégration Numérique
(, CN
Calculer f ( x ) dx où / estunefonctiondonnée
v - y
erf : U — > U
2
x
\
(Vf
fn Jo
JO
2
dt
Mais mêmequandon la connaît , il estparfoisdifficile del ’ utiliser. C’ estparexemplele casdela fonction f ( x ) = cos(4x) cos(3sin( x))
pour laquelleon a
rn
I
g} oo (
-9 / 4 ) k
16 kZ
f ( x ) àx = n — ^
Jo = 0 k\ { k + 4 )\’
on voit quele calculdel ’ int égraleesttransformé en un calcul, aussidifficile , dela sommed’ unesérie. Danscertainscas, la
fonctionà intégrer n’ estconnuequeparlesvaleursqu’ elle prendsurun ensemblefini de points( par exemple, desmesures
expérimentales ) . On setrouvealorsdansla mêmesituationquecelleabordée au chapitreprécédentpour l ’ approximation
desfonctions. Danstous cescas, il faut considérer desméthodesnumériquesafin d’ approcherla quantité à laquelleon
s’ int éresse, indépendamment dela difficult é à intégrer la fonction.
Dansles méthodesd’ int égration, l ’ intégrale d’ unefonction / continuesur un intervalleborné [ a, b] est remplacée par
unesommefinie. Le choix dela subdivisionde l ’ intervalled’ int égration et celui descoefficientsqui interviennentdansla
sommeapprochantl’ intégralesont descrit ères essentielspour minimiserl’ erreur. Cesméthodesse répartissenten deux
grandescatégories: les méthodescomposées danslesquellesla fonction est remplacée par un polynôme d’ interpolation
sur chaqueintervalle él émentaire[ x / , xz + i ] de la subdivisionde [ a, b] ( Le. [ a, b] = et les méthodesde GAUSS
fondéessur les polynômesorthogonauxpour lesquellesles pointsdela subdivisionsontimposés.
ha\ b] ( f ) = J fa fU ) dx.
E[ a; b] ( f ) = \[
|Ja
f ( x) - f ( x) d x \
| Ja
f -
|/ ( x) - / ( x)|dx < ( b a) max|/ ( x) - / ( x)|.
x e[ a; b]
L’ approximation/ doit être facilementint égrable, ce qui estle cassi, par exemple, / est un polynôme.
Une approchenaturelleconsisteà prendre/ = L ” 0 / (Xj ) £i ( x) , le polynôme d’ interpolationde LAGRANGE de / sur un
=
£
ensemblede n + 1 nœudsdistincts{ x{\ lr • Ainsi on aura
i =0 ^ ] 0
) i
xi ~ xj
*
93
3. Quadrature
î [ a -,b] if ) = Lai / Ui )
i =0
qui est une somme pond é rée des valeurs de / aux points X / : on dit que ces points sont les n œ uds de la formule de quadra-
ture et que les nombres a / e U sont les coefficients ou encore les poids.
La formule de quadrature de LAGRANGE peut ê tre gé n é ralisée au cas o ù on connaî t les valeurs de la d é rivée de / : ceci
conduit à la formule de quadrature d’ HERMiTE . Les formules de LAGRANGE et d’ HERMiTE sont toutes les deux des formules
de quadrature interpolators, car la fonction / est remplacée par son polyn ô me d’ interpolation.
/'Astuce
Pour vé rifier qu’ une formule de quadrature est d’ ordre r il suffit de vérifier qu’ elle est exacte sur une base de Ur [ x] ( par
exemple la base canonique) et inexacte pour un polyn ôme de degr é r + 1 ( par exemple le polyn ô me xr + 1 ) . En effet, si q
est un polynôme de Rr [ x] , il existe ao , ai , ... , ar tels que q { x ) = T,rk 0 akxk . Alors
=
I [ a ] b] ( q ) - f <7 ( x) ck = y ak
( f Adx)) = y [ akIlmb] ( xk ) ) .
Ja k=QV \ Ja J J fc- ov '
Pour vé rifier qu’ une formule de quadrature ha -,b\ a degré de précision r il suffit alors de vé rifier que ha-,b] ( xk ) = ha-,b) ( xk )
pour tout k = 0 ... r .
^Théorè, me Un
Toute formule de quadrature interpolatoire utilisant n + 1 n œ uds distincts a un degré de précision au moins égale à n.
En effet si f G [ x ] , alors le polynôme d'interpolation coï ncide avec / .
La réciproque aussi est vraie : une formule de quadrature utilisant n + 1 n œ uds distincts et ayant un degré de précision au
moins égale à n est n écessairement de type interpolatoire. Le degré de pré cision peut mê me atteindre 2 n + 1 dans le cas
des formules de quadrature de GAUSS.
^ Définition Stabilité
| Une formule de quadrature ha-,b ] ( / ) = Zf=0 « / / ( x/ ) est dite stable s’ il existe M e i* tel que Zf=0 l <Ul M.
^ Théorème
| Une m é thode de quadrature de type interpolation est convergente sur St? [ a ; b ] ssi les formules sont stables.
y— I yr,yj
pb m-1L rpyj
y j++ 1i m 1i
Ila ; b] ( f)=
J/a
f ( x )d x = y / f { x)d x = [ +1 ]
( f ),
Jyj
j =o j o
une formule de quadrature interpolatoire composite est obtenue en rempla çant I\ a -,b\ (/ ) Par
m- i m-1 n
7 =0 j =0 k=0
O Ù /[ yy ; yy +1] ( ;
/ ) « /TU(;
)
J
( /) •
94
3. Quadrature
Uncommon methods
oP numerical integration
I
*
PROF, INSTEAD OF USING RECTANGLES OR
TRAPEZOIDS CAN WE USE OTHER SHAPES?’
|
S
LIKE A PENISP
HA HA HA!
\'
ÎÎ f
THE PENIS METHOD
f (x )
"
ST
Xo Xl X 2 X, Xn
a " b
P,
Ja / / (*) dx ^
^ »= i
\
/
(S
YES, SARAHP
THAT IS CORRECT.
'
IN ORDER TO GET WHAT WE WANT, WE
WOULD NEED INFINITELY MANY PENISES'.
0
Souvent on d éfinit d’ abord une formule de quadrature sur l’ intervalle [0 ; 1] ou sur l’ intervalle [-1; 1] et puis on la gé n é ra-
lise à l’ intervalle [ x / ; x;+1 ] par un changement de variable affine.
f * Astuce Changement de variable affine
Soitxe [ a; b ] et soit y e [ c; d\ . On consid è re une fonction de classe c£ 1 ( [ a; b ) )
g : [ a; b ]
x —— [ c; d ]
y= gM
g ( a ) = c,
g( c) = d.
On a alors
nd nb
I f ( y)dy = I / (gW ) g' (x) dx.
Je Ja
Si g' { x ) est une constante, Le. si g est une transformation affine g ( x) - m x + q , alors
nd rb
/ f ( y )d y = m f { m x + q ) dx.
Je Ja
g ( à) = c, m a + q = c,
Le.
g ( c) = d , raZ? + q = d .
On obtient
m=
d -c, q=
cb - ad
b -a b-a
95
3. Quadrature
VU sAa
1
a b
c
d -c cb- ad
,
Par consequent y = T
b-a
x+
b- a —
d ou
v
rd d-c rb
fl ïd - ac x + c b -- aad\ dx.
(
I ,
/ w <ir = t
,
^i = ~ ~
l
b )
* Exemple ’
Transformer l intervalle [0; 1] dans l’ intervalle [ xp, x; +1 ] par un changement de variable affine.
On a y = (x / + i -
x / ) x + x / et
x/ + i cl
x/ £
/ (y)dy = (x / +1 - xz ) Jo/ / ( (Xj+1 - x / ) x + x / ) dx.
Transformer l’ intervalle [-1; 1] dans l’ intervalle [ x f , Xj + il par un changement de variable affine.
*
, ~
On a y = X + 12 X / x + X / + 12+ X/ , qu’ on peut r éécrire y = xz- + (1 + x) X / + 12 X / et
~
r
J Xi
f ( y )d y = 'Y; +
12 J^ (
f JET + (1 + X)
Y|+
12
Y
' ] dx.
Erreur Si / G ( [ a; b ] ) alors il existe r j G ] a; b [ tel que / ( x) = f i a ) + ( x - a ) f ' irj ) et donc Terreur de quadrature est
majorée par
E\ a ; b ] i f ) = II f
Ja
f i x ) - f M dx I
= |Jfa f i x ) - f i b ) dx
Erreur Si / G c 1
^ i [ a; b] ) alors Terreur de_ quadrature est majorée par
m 1 H2 b- a
= y £ x* ;xt [ - +1 ]
(/ ) m — max|/' ( x)| =
[ a ,u\
H m a x\ f { x ) \ .
[ a , D\
k -Q ^ £
96
3. Quadrature
^
Définition Formule du rectangle à droite
• Formule de base La formule du rectangle à droite est obtenue en rempla çant / par une constante égale à la valeur de
/ en la borne droite de l’ intervalle [ a\ b ] ( polynô me qui interpole / en le point ( b, f i b ) ) et donc de degré 0) , ce qui
donne
f a -,b\ i f ) ~ f a;b] i f ) ~ f a; b ] i f i ) )
^ ~
Ja
f f i b ) dx = i b - a ) f i b ) .
Erreur Si / G ( [ a; b ] ) alors il existe r j e ] a ; b [ tel que f i x ) = f i b ) + ( x - b ) f ' ( r j ) et donc l’ erreur de quadrature est
majorée par
E [ a; b ] ( f ) = \f
\Ja
f i x ) - f i x ) dx I
= \ J fa f { x ) - f i b ) dx
rb . I i b - a)2 . , i b - a ) 2 max|
= \ Ja/ i x - b ) f 1
(77 ) dx =— 1 / (77)| < 2 [ a;b ]
/J ' (x)|.
^
Degr é Le degré de précision de la formule du rectangle à droite est 0.
Formule composite On d écompose maintenant l’intervalle d ’ int égration [ a; b ] en m sous-intervalles de largeur H =
^
frf - avec m > 1. En introduisant les nœ uds de quadrature xjç = a + i k + 1 ) H pour k = - 1 on obtient la
formule composite du rectangle à droite
m-1 m-1 m- l
C b C = kZ= 0 hxk ,- xk
] +l\
Cf ) = H Z f i x k+ ) = H kZ= 0 f { a + ( k + l ) H ) .
k =0
l
^
Définition Formule du rectangle ow dw point milieu
Formule de base La formule du rectangle ou du point milieu est obtenue en remplaçant / par une constante égale à
la valeur de / au milieu de [ a ; b ] ( polynôme qui interpole / en le point et donc de degré 0) , ce qui
donne
a+ b\\ _ I a+ b\ dx . =— ru ( b
( b - a ) + , a+
I [ a; b ] i f ) ~ f a ; b ] i f ) — f a ;b\ 2
a
2 2 j
£[«; &] ( /) = |J f i x) - f i x) d x
a+ b I w l a + Z?
2 / ( 2 j +' 2 (
^ ifx_ ’v
/
2 J f ^
| /"( 7) | i b 12
- a )3 ib- a )3
^ £ ( ^)
^
2
| /" W | x- dx = j <
o /i
24
me?xlf Ml -
\a ; b ]
97
3. Quadrature
<
11 /" ( ?)| fæ (x -
j
J
fl) ( x - /?) dx =||/" ( T?) | 12
max|/" ( x ) |.
[ a ; fc]
Degr é Le degré de pré cision de la formule du point milieu est 1, comme celle du point milieu.
Formule composite Pour obtenir la formule du trapèze composite, on d écompose l'intervalle d'intégration [ a ; b ] en
m sous-intervalles de largeur H = avec m > 1. En introduisant les n œ uds de quadrature x = a + JcH pour
k = 0, 1, ... , m - 1 on obtient la formule composite des trapèzes
^
m- 1 m- 1
CM (/) = Z W,,] l/) = kZ-0 xk+ l2
k =0
xk
(/ Ufc) + / ( Xfc +1) )
I J m-1 1 m-1 2
= (/ (**) + / (*fc +1) ) = H -
Z
/ ( «) + Z
Jfc = l
f { a + k H ) + - f ( b)
Z
2
Erreur Si / e S
^ ( [a; fr] ) alors Terreur de quadrature est majorée par
à
E\ -, b ] ( f ] =
ra- l
Z £ **;*
k=0
[ t + il
( /)
j_[ 3
12 [ æ; Z?] *
* = -12
b a
2
r^ ^ max —
[ a -, b ]
|/" ( x)|.
lx _ a± b\ { x _ b— ) - a ) ( x-b ) ( x a) [
(
f a+ b\ +'
X
m
ha\b) ( / ) ~ ha; b\ (/) — ha-,b) | 7
b
fl
7TTh ,
- -a+2 b\r
TT
”
\
l( - ) f *l
-
7 ,
ü
+ a+ix
b \ ( a+ b \v 2
'
, a b
( b- a)J( b- + \j —
= /. a \a —a +b ( a b)
2 -
b- a a + b'
6
/ M + 4/ + /( «) •
spikedmath com
SIMPSON ' S RULE © 2010
Erreur Si / G 4
^ ( [ æ; fr] ) on peut démontrer que Terreur de quadrature est majorée par ^ (®) + 4$ ( +@ m
C ; fc] /
( ) = Z
A:= 0
hx2 k -, x2 k +2 ] ( f ) = Z
A:= 0
^ D
- (/ U2 fc ) + 4/ ( X2 fc+1) + / (X2 fc + 2 ) )
98
3. Quadrature
= —^b
m 1 —
Yk =0 ( / (x fc ) + 4/ ( x A:+ ) + f ( X k+ ) )
é 2 2 l 2 2
H
/
m 1 — 777 -1
6
f ( a ) + f ( b) + £ / U2 A ) + 4 £= 0 f { x2 k+\ )
k =1
;
À;
H 777 -1 777-1 \
6
/ (æ) + / ( Z?) +
V/ ) =
£[ «
777
Z%
k =0
-1
2 fc ; x2 /t + 2 ]
( /) m
^^ 7 [ ; ]
2880 a fr
maxl /" WI =
b a
^^
—
2880
774 max|/"W |.
[ <3; /7]
^
Algorithmes
-0
— M éTHODE DU RECTANGLE à DROITE
Require: a ; b > a ; m > 0 ; / : [ a; Z?]
TT
-=
* —0 — b a
m
— [R
——
5 5
= 0 to m - 1 do -
—
for k for k 0 to m 1 do
5 5+ / (a + k H ) 5 5+ / ( a + ( F + l ) Ff )
end for end for
return I
- 0
777 m
f { a)+ f { b)
—
5 6
2
for k - 0 to m - 1 do for k = 1 to m - 1 do
5 5+ / [ a + ( A; +|) H ] 5
—
5 + / ( a + A; //)
end for
return /
M é THODE DE SIMPSON
— Hs
end for
return / #5
—
Require: a ; b > a ; m > 0 ; / : [ a; Z?]
TT b- a — (R
— 777
s f { a ) + f ( b ) + 4 / ( fl + ) .
f
5
—
for k - 1 to m - 1 do
5 + f ( a + k H ) + / (a + ( F +
^ ) FZ)
end for
return / § 6
5
—
99
3. Quadrature
a x0 = a xi x2 x3 x4 = b x
(a) Formule du rectangle à gauche. ( b) Formule du rectangle à gauche composite.
ci x0 = a X\ x2 x3 X\ — b x
( c) Formule du rectangle à droite. (d ) Formule du rectangle à droite composite.
ci+ b
x3 X5 x7
?
X2 X
Xo ^ X4 XQ zz ]j
->
a b X x0 = a x\ x2 x3 x4 = b X
a a+ b XQ — a X\ X2 X3 x4 - b x
(i) -
Formule de Cavalieri Simpson. -
( j) Formule de Cavalieri Simpson composite.
100
3. Quadrature
f ( Xi + h) ~ f {X i )
f ' ( X j ) = lim
—
h *0 fi
f { X j ) - f ( X j - h)
—
= filim0 h
f ( X i + fi / 2) - f ( X i - fi / 2)
l /
tite et à calculer t
I
t
/
l /
--
/ t
f { + h ) - f { X j)
f (Xi) ^ Ô fJiXi) = xi
t
(3.1)
h
y
cXi ; /
/
f { X j ) - f ( X j - h)
/
I /
==
f ' ( X j ) <5 / ( X; ) =
^ (3.2) / /
i I /
h I /
f ( X i + h) - f ( X j - h)
/
!
f ' ( X i ) ^ ôh f { X i ) =
/
(3.3) I t
/
2 fi t
/
/
t
On les appelles taux d’accroissement ou différences finies f ( x i - h)
* à droite (ou progressive ) 5 ,
* à gauche ( ou rétrograde ) <5 ,
* centrée Ô i . ,
^^ /
t
Xi - h
h
xi
h
Xi + fi
->x
on obtient
f ( X j + h) ~ f { X j ) f ( X i ) + h f ' ( X i ) + h2 f " ( X i ) + 0 ( ( h f ) - f ( X i )
h h
= / ' ( x, ) + 0 ( h ) ,
f { x i ) - f ( x j - h) f ( x j ) - f ( x j ) + h f ' ( X j ) - h2 f " ( x j ) + Q( fo 3)
h fi
= +
f ( Xj + h) - f ( Xj - h) / ( x, ) + h f ' ( X j ) + ( h ) 2 f" ( X j ) + 0( / z3) - f ( X j ) + h f ' ( X j ) - ( /? ) 2 /"( x,- )
2h 2h
= /' ( x, ) + 0( /r ) .
Donc, si / est assez réguliè re, les diff é rences finies convergent vers /' (x / ) lorsque fi tend vers zé ro. De plus, pour les diff é-
rences finies à gauche et à droite la convergence est d’ ordre 1 alors que la diff érence finie centrée converge à l’ ordre 2.
» On
Exemple
compare pour diff é rentes valeurs de fi les valeurs donn ées par ces trois formules pour la d érivée de la fonction sinus en 0 :
# TEST
def f(x):
return sin(x)
x =0
for i in ranged ,13):
101
3. Quadrature
*h = 10**(- i)
dfg = DFgauche(f ,x ,h)
*dfd = DFdroite (f ,x ,h)
dfc = DFcentree(f ,x ,h)
print '7.5.6 °/017.15f °/017.15f 7.17.15f " °/,(h, dfg , dfd , dfc)
On constate qu ’ à partir de h = 10-8 la valeur donn ée est exacte.
^Remarque
erreurs
Les
Erreurs d'arrondis
de troncature diminuent lorsque h diminue. En revanche, les erreurs d’ arrondis augmentent lorsque h
diminue En effet , le calcul de ô* se fait avec une précision absolue de l’ ordre de 2 x e x \ f ( x ) \ l h o ù e « 10 15. Par
.
ailleurs, d’ après l’ inégalité de Taylor- Lagrange, on a | - £ j r| |
< max| f" ( x ) \ . L’ in égalit é triangulaire entraîne alors
p ^^
\ f ' { Xi ) - üt{Ô \ <|max|/" ( x)| + 2c y . Une étude rapide de la fonction h
y [
|max|/" ( x )| + 2c
fonction possè de un minimum absolu sur IR + atteint en h = 2 £ max \ " x)\ • P ur une fonction suffisamment réguliè re, il
f °
^
^ montre que cette
est donc judicieux de choisir une valeur de h qui soit de l’ ordre de \Jê, c’ est-à-dire de l’ ordre de 10-8.
~
Exemple
*Par exemple, en utilisant le code de l exemple précédent pour calculer la d é rivée première de la fonction vT +T en 0, on obtient
’
Cette fois- ci on voit apparaître très nettement la perte de précision lorsque h est trop petit.
102
3. Quadrature
f ( X j + h) - 2 f { X j ) + f ( X j - h)
/"(*< ) ~ ( h )2
et on a l’ estimation d’ erreur :
f { x i + h) - 2 / (Xj ) + f ( X i - h )
h2
f { X j ) + h f ' ( X j ) + ( h ) 2 f " { X j ) + Q( ( /z ) 3 ) - 2 f ( X j ) + / ( Xj ) - h f ' ( X j ) + ( h f f ' j x j )
f " { xù + 0 ( h 2 ) .
h2
103