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Biréfringence
Matthieu TOULEMONDE
Etudiant en 1ère année de Master Optique Image
Vision, Université Jean Monnet de Saint-Etienne.
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I°- Introduction
Dans le domaine de la physique, et même dans tous les domaines, nous utilisons à
chaque fois les propriétés optiques, électroniques et autres des matériaux pour faire des
expériences ou pour les utiliser dans la vie de tous les jours. Dans notre cas, nous allons nous
intéresser à la détermination des indices optiques des matériaux grâce à une technique
particulière, la biréfringence. En faite, la mesure de la biréfringence ne donne pas directement
les indices optiques. Pour avoir la valeur propre de chaque indice, nous sommes obligés de
passer par une étape intermédiaire; mais cela vous sera expliqué dans la suite du dossier.
En premier lieu, nous allons rappeler des notions importantes de l’optique qui nous
permettrons de comprendre les particularités de la biréfringence.
Ensuite, pour finir, nous découvrirons les différentes techniques qui permettent de
calculer la biréfringence et mesurer les indices optiques des matériaux.
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II°- Définitions et notions de rappels
Un milieu isotrope est un milieu dont les propriétés optiques sont les mêmes dans
toutes les directions. On compte parmi ceux-ci les gaz, les liquides ordinaires, les solides
vitreux (non cristallins) et les corps cristallisés du système cubique. Dans un milieu isotrope,
le champ électrique 𝐸 est colinéaire à l’excitation électrique 𝐷 par la relation :
Un milieu anisotrope est un milieu où l’arrangement des atomes dans le cristal fait
apparaître des directions privilégiées appelées axes principaux de la structure. Selon ces axes
principaux, la propagation de la lumière reste dans la même polarisation. Dans un milieu
anisotrope, le champ électrique 𝐸 n’est pas colinéaire à l’excitation électrique 𝐷 par la
relation :
𝜀1 0 0
𝜀 = 0 𝜀2 0 𝐵𝑎𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑙𝑒
0 0 𝜀3
On en déduit :
𝑛12 0 0
𝜀𝑟 = 0 𝑛22 0 𝐵𝑎𝑠𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑐𝑖𝑝𝑎𝑙𝑒
0 0 𝑛32
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Dans le schéma (a), nous avons la traversée d’une lame anisotrope de forte épaisseur par un faisceau
de polarisation quelconque, de la lumière naturelle. On obtient deux faisceaux distincts dont les
polarisations sont orthogonales.
Dans le schéma (b), nous avons la traversée d’une lame à faces planes par une lumière polarisée
parallèlement à la direction privilégiée de la lame. Le faisceau est transmis sans altération.
3°) La Biréfringence
Lorsqu’un faisceau de lumière naturelle issu d’un milieu isotrope rencontre un milieu
anisotrope, il donne naissance à deux faisceaux réfractés d’égale intensité et polarisés
rectilignement selon deux directions orthogonales. Ce dédoublement de l’onde incidente vient
du fait que les deux composantes de polarisation de l’onde incidente ne voient pas le même
indice de réfraction. Les directions de polarisation des deux faisceaux transmis sont fixées par
le milieu anisotrope, si on fait tourner ce dernier, les polarisations transmises le suivent dans
son mouvement de rotation. Les indices vus par les deux ondes transmises étant différents,
leur vitesse de propagation diffère : 𝑣 = 𝑐/𝑛
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4°) Surface des indices et axes optiques
La surface des indices est définie par l’ensemble des points M tel que :
𝑆 = {𝑀, 𝑂𝑀 = 𝑛𝑢}
L’intérêt de cette surface est de pouvoir représenter les indices 𝑛1 et 𝑛2 par la direction
de propagation incidente donnée par 𝑢 mais aussi de construire les normales aux plans
d’ondes quand l’onde passe par une interface entre deux diélectriques qui peuvent être
anisotrope tous les deux.
𝑂𝑀2 = 𝑛2 𝑢2
𝑂𝑀2 = 𝑛2
𝑥² + 𝑦² + 𝑧² = 𝑛²
𝑥 𝑥²
𝑢𝑥 = 𝑛 → 𝑢𝑥2 = 𝑛²
𝑦 𝑦²
Sachant que 𝑂𝑀 = 𝑛𝑢 𝑢 𝑢𝑦 = → 𝑢𝑦2 =
𝑛 𝑛²
𝑧 𝑧²
𝑢𝑧 = 𝑛 → 𝑢𝑧2 = 𝑛²
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Il existe plusieurs types de milieux anisotropes ; ils dépendent du nombre d’axes
optiques :
A) Milieux uniaxes
Les deux nappes, dans notre cas le cercle et l’ellipse, sont tangentes entre elles et l’axe
optique se trouve selon la direction de la tangence.
B) Milieux biaxes
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4°) Constructions de Descartes et d’Huygens
Il s’agit d’un rappel des règles de construction des directions des rayons et des
normales aux plans d’onde diffractés. On se place dans le cas d’un milieu uniaxe et nous
considèrerons une direction particulière de l’axe optique.
Construction de Descartes : l’intersection des rayons réfractés avec les surfaces des
indices correspondantes ont la même projection orthogonale sur le dioptre que l’intersection
du rayon du rayon incident avec la surface d’indice 1.
Construction de Huygens : les tangentes aux surfaces des inverses des indices, aussi
appelée surface radiale, au point d’intersection avec les normales sont concurrentes sur le
dioptre avec la tangente à la surface des inverses des indices du milieu isotrope prise à
l’intersection avec le faisceau incident.
Sur cette figure sont représentés à la fois : la construction des normales (Descartes, surface
des indices) et la construction des rayons (Huygens, surfaces des inverses des indices). L’axe optique
appartient au plan d’incidence et n’est ni parallèle, ni perpendiculaire au dioptre. Le rayon et la
normale ordinaires sont confondus.
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5°) Polariseur, analyseur :
Ces deux mots sont pratiquement synonymes. Ils désignent tous les deux un élément
optique doué de dichroïsme linéaire, c'est-à-dire qui présente la propriété d’être parfaitement
transparent pour des faisceaux lumineux polarisés rectilignement suivant une direction
particulière Δ généralement appelée direction du polariseur, et d’être absorbants pour des
faisceaux polarisés dans une direction autre que Δ. Leur absorption est maximale pour des
polarisations orthogonales à Δ. La lumière transmise par un polariseur est polarisée
linéairement suivant la direction du polariseur. Dans un montage optique présentant deux
polariseurs, le second sur le trajet optique est appelé analyseur.
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III°-Mesure d’une biréfringence
- du compensateur de Babinet
A) Partie théorique
Nous nous mettons dans le cas où le milieu incident et de transmission sont isotropes.
Maintenant, nous allons nous mettre dans le cas où le milieu incident est anisotrope et le
milieu de transmission est isotrope. On supposera aussi que 𝑛𝑒 < 𝑛𝑜 , uniaxe négatif pour faire
les figures. L'axe optique du cristal anisotrope se trouve dans le plan de l'interface et on
considère dans le milieu anisotrope le rayon d'incidence rasante.
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Premier cas : Axe optique perpendiculaire au plan d'incidence
La construction se fait de
la même manière que
précédemment et la figure
donne deux directions
réfractées IC1 et IC2:
l'une pour le vecteur
d'onde ordinaire et l'autre
pour le vecteur d'onde
extraordinaire.
La construction se fait de la
même manière que
précédemment. Les vecteurs
d'onde ordinaire et
extraordinaire voient tous
deux le même indice
𝐼𝐵 = 𝑛𝑜 dans le milieu
anisotrope et les rayons
réfractés sont confondus
suivant IC.
Conclusion : Lorsque l'on fait pivoter le cristal à étudier autour de la normale au plan de
l'interface, on constate que :
- le rayon ordinaire garde un angle de réfraction constant qui correspond à l'indice
ordinaire 𝑛𝑜 .
- le rayon extraordinaire se déplace entre deux positions extrêmes correspondant
respectivement aux indices 𝑛𝑒 et 𝑛𝑜 , suivant que l’axe optique est placé dans la
direction du rayon incident ou perpendiculaire. Pour avoir différentes valeurs de n on
fera tourner le cristal et son support autour de l'axe du cylindre de révolution en
laissant fixe la direction du plan d'onde P.
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B) Partie expérimentale
Expérimentalement, on ne mesure pas directement 𝜃 car les rayons doivent sortir du support
en verre avant d'entrer dans la lunette. On peut cependant établir la relation entre l'angle
d'émergence 𝛼 effectivement mesuré et l'angle limite 𝜃𝑚𝑎𝑥 et en déduire l'indice n.
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Ainsi, cette technique nous permet de mesurer 𝑛𝑜 et 𝑛𝑒 . Mais nous n’utilisons pas la
biréfringence pour mesurer ces indices.
Dans les méthodes qui suivent, nous allons calculer directement la biréfringence, mais
nous ne savons pas la valeur propre de chaque indice. Nous pouvons dire que ces méthodes
nous permettent de vérifier si nos mesures avec la technique l’angle limite sont justes.
Exemple d’un spectre cannelé avec un Polariseur à 45° des lignes neutres et une rotation de
l’analyseur.
Cette méthode est utilisée pour analyser la lumière qui traverse une lame cristalline à
faces parallèles placée entre un polariseur et un analyseur, en plaçant sur le trajet de la
lumière, un système dispersif. Ce système dispersif crée un spectre cannelé ; c'est-à-dire que
des radiations sont éteintes. Pour obtenir un contraste élevé, le Polariseur 𝒫 et l’analyseur 𝒜
sont croisés ou parallèles avec 𝛼𝑝 = 𝜋/4.
Entre 𝒫et 𝒜 croisés, les cannelures correspondent aux longueurs d’onde (dans le vide)
λ telles que :
2𝜋
𝑛0 − 𝑛𝑒 𝑒 = 𝑚 × 2𝜋 soit 𝑛0 − 𝑛𝑒 𝑒 = 𝑚𝜆 avec 𝑚 entier
𝜆
Considérons les deux cannelures extrêmes du spectre, l’une de rang 1, l’autre de rang 𝑚,
correspondant respectivement aux longueures d’ondes 𝜆1 dans le rouge et 𝜆𝑚 dans le violet.
On a :
𝑛0 − 𝑛𝑒 𝑒 = 𝑚1 𝜆1 et 𝑛0 − 𝑛𝑒 𝑒 = 𝑚1 + 𝑚 − 1 𝜆𝑚
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d’où l’on déduit :
𝑚 −1 𝜆 𝑚 𝑚 −1 𝜆1 𝜆𝑚
𝑚1 = et 𝑛𝑒 − 𝑛0 =
𝜆1 − 𝜆𝑚 𝑒 𝜆1− 𝜆𝑚
Un compensateur est un dispositif qui permet d'introduire dans un système optique une
différence de marche variable et mesurable. Il est formé de lames cristallines dont une partie
est mobile. En général les lames sont en quartz, matériau mécaniquement et chimiquement
robuste. Le compensateur de Babinet se compose de deux prismes de quartz de même angle θ,
traversés par une lumière normale à l'axe optique, mais pour un prisme l'axe optique est
parallèle à l'arête alors que pour l'autre, il lui est normal. L'un des prismes est mobile au
moyen d'une vis micrométrique.
La différence de phase introduite par le compensateur est, puisque d’un prisme à l’autre les
axes ordinaire et extraordinaire sont permutés :
2𝜋
𝜙𝑐 = 𝜙1 + 𝜙2 = 𝑛 − 𝑛𝑒 𝑒1 − 𝑒2
𝜆0 0
𝑒1 et 𝑒2 étant les trajets de la lumière dans les prismes. Cette différence de phase 𝜙𝑐 est nulle,
lorsque la position du prisme mobile est telle que : 𝑒1 = 𝑒2 = 𝑒0 . Si l’on choisit, comme
origine du déplacement, cette position et, comme sens, celui des épaisseurs croissantes dans le
prisme fixe, les épaisseurs traversées ont pour expressions respectives, en fonction du
déplacement x :
𝑒1 = 𝑒0 et 𝑒2 = 𝑒0 + 𝑥 tan 𝜃
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On en déduit :
2𝜋 2𝜋
𝜙𝑐 = − 𝑛0 − 𝑛𝑒 𝑥 tan 𝜃 = 𝐶𝑥 où 𝐶 = 𝑛𝑒 − 𝑛0 tan 𝜃
𝜆0 𝜆0
Dans le montage interférentiel, en lumière blanche, avec une lame cristalline mince, entre le
polariseur et l’analyseur croisés, on place le compensateur, de telle sorte que ses lignes neutre
coïncident avec celles de la lame et soient inclinées de 𝜋/4 par rapport à la direction du
polariseur, comme dans le schéma ci contre :
𝜙𝑐
𝐼 = 𝐼0 sin²
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Lorsque 𝑥 = 0, 𝐼 = 0 pour toutes les longueurs d’onde, au centre du champ d’observation,
d’où l’apparition d’une frange d’interférence noire. En revanche, en dehors du centre, 𝜙𝑐
diffère de 0 pour certaines longueurs d’onde seulement, ce qui colore l’image observé.
À l’aide du compensateur de Babinet, on peut distinguer les axes lent et rapide de la lame
cristalline.
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4°) Méthode de la lame quart d’onde
A) Analyse de la méthode
Une lame quart d’onde permet dans certaines conditions de transformer une onde
elliptique en une onde rectiligne. En effet, considérons une onde rectiligne tombant sur une
lame cristalline, en faisant un angle de 𝜋/4 avec les lignes neutres.
Les composantes du champ D s’écrivent (toutes les données sont en notation complexe) :
𝐷𝑥 = 𝐷𝑚 exp −𝑖 𝑤𝑡 − 𝜙𝑒 et 𝐷𝑦 = 𝐷𝑚 exp −𝑖 𝑤𝑡 − 𝜙0
𝐷𝑥 = 𝐷𝑚 exp −𝑖 𝑤𝑡 et 𝐷𝑦 = 𝐷𝑚 exp −𝑖 𝑤𝑡 − 𝜙
soit :
1 𝜙 𝜙
𝐷𝑋 = [1 + exp 𝑖𝜙 ] 𝐷𝑚 exp −𝑖𝑤𝑡 = 2𝐷𝑚 cos exp 𝑖 2 exp −𝑖𝑤𝑡
2 2
et :
1 𝜙 𝜙
𝐷𝑌 = [−1 + exp 𝑖𝜙 ] 𝐷𝑚 exp −𝑖𝑤𝑡 = 𝑖 2𝐷𝑚 sin exp 𝑖 exp −𝑖𝑤𝑡
2 2 2
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Pour transformer cette onde elliptique en une onde rectiligne, il suffit de multiplier 𝐷𝑌 par ±𝑖,
c’est-à-dire d’introduite un déphasage de ±𝜋/2 : d’où l’utilisation d’un lame 𝜆/4 dont les
axes coïncident avec les directions du polariseur et de l’analyseur. Par conséquent, après la
traversé de la lame quart d’onde, on a, en effectuant un nouveau changement de l’origine des
temps :
𝜙 𝜙 𝜙 𝜙
𝐷𝑋 = 2𝐷𝑚 cos exp 𝑖 2 exp −𝑖𝑤𝑡 et 𝐷𝑌 = ∓ 2𝐷𝑚 sin exp 𝑖 2 exp −𝑖𝑤𝑡
2 2
La vibration issue de l’ensemble « lame cristalline – quart d’onde » est donc une vibration
rectiligne inclinée de l’angle 𝜃 = 𝜙/2 + 𝑚𝜋 par rapport à la direction du polariseur. En
rétablissant l’extinction par une rotation de l’analyseur de l’angle 𝜃, on en déduit
𝜙 = 2𝜋/𝜆0 𝑛0 − 𝑛𝑒 𝑒 et donc 𝑛𝑒 − 𝑛0 , connaissant 𝑒 de la lame et la longueur d’onde
𝜆0 .
On notera que la lame quart d’onde doit être relative à la longueur d’onde de la
lumière monochromatique utilisée, et que l’angle 𝜙/2 est déterminé à 𝑚𝜋 près, ce qui limite
la méthode aux cas où les différences de phase introduites sont inférieures à 𝜋.
B) Mise en œuvre
Dans une deuxième phase, on enlève provisoirement 𝒞 et on introduit sur le faisceau une lame
quart d’onde 𝒬 que l’on fait tourner jusqu’à obtenir l’extinction. Les axes de 𝒬 coïncident
alors avec les directions de 𝒫 et 𝒜.
Dans une dernière phase, on remet 𝒞 à sa place ; la lumière polarisée, issue de 𝒫, rencontre
successivement 𝒞 et 𝒬. On tourne alors l’analyseur d’un angle 𝜃 = 𝜙/2 afin de rétablir
l’extinction. De la mesure de 𝜃, on déduit 𝜙 et donc 𝑛𝑒 − 𝑛0 .
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IV°- Conclusion
A travers ce dossier, nous avons pu nous rendre compte que la mesure d’indice par
biréfringence ne se cantonne pas à une seule technique, il existe plusieurs méthodes de
détermination de la biréfringence mais qui nécessite une opération au préalable. Il doit sans
doute exister encore différentes méthodes pour calculer la biréfringence.
Ce dossier m’a apporté des informations complémentaires aux cours que j’ai suivi
cette année. Ainsi, j’ai pu mettre en liens mes différents cours pour ce sujet.
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V°- Bibliographie
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/spectre/locution
http://www.lac.u-psud.fr/experiences-optique/polarisation/spectres-canneles/spectres-
canneles.htm
Informations diverses
http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=1302
http://www.wikipedia.org
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