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cellulaires
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Introduction
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Structure d’une chaîne de télécom
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Structure d’une chaîne de télécom
numérique
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Modèle OSI
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Modèle OSI
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Modèle TCP/IP
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Paquet IP
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Catégories de signaux
Déterministes ou Stochastiques
Analogiques ou Numeriques
Périodiques ou Apériodiques
D’énergie ou De puissance
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Représentations des signaux
L’analogique et le numérique sont deux procédés pour transporter et
stocker des données. (de type audio , photo , vidéo…). L’analogique est né
avec le début de l’électricité tandis que le numérique est apparu plus
récemment avec l’ère de l’informatique.
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Représentations des signaux
Après cette conversion le signal n’est plus qu’une suite de " 0 "
et de " 1 " c’est à dire un signal à deux amplitudes au lieu d’une
infinité en analogique.
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Représentations des signaux
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Déterministe ou aléatoire
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Historique
Systèmes pré-cellulaires analogiques :
Detroit, 1921 : services de police
Saint-Louis, 1946 : réseau AT&T
1950s : réseau allemand «A-Netz»
Inconvénients :
Saturation rapide des ressources radio
Aucune gestion de la mobilité
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Historique
1971 : Bell Telephone «présente» le concept cellulaire
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Historique
1990s : passage au mode numérique :
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Historique
GSM (Global System for Mobile Communication) est une norme
élaborée au cours des années ’80 et ’90, et qui est toujours en
évolution afin de définir les paramètres pour un réseau de
communication cellulaire numérique.
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Historique
Chaque pays avait dû développer son propre réseau ce qui ne
permettait pas à un abonné d’un pays d’utiliser son téléphone dans un
autre. Cette situation était particulièrement critique en Europe où les
passages d’un pays à l’autre son fréquents.
Parallèlement, le marché des équipements était limité, ce qui
empêchait les économies d’échelles. Voyant la croissance des réseaux
cellulaires, on anticipait des problèmes de capacité.
En1982 le Groupe Spéciale Mobile fut créé afin d’élaborer une norme
pour un réseau de communication mobile répondant aux critères
suivants:
Bonne qualité subjective de la voix;
Baisse des coûts des équipements et des services;
Passage d’un pays à l’autre sans interruption de service;
Habilité pour supporter de nouveaux services;
Utilisation efficace du spectre de fréquences;
Compatibilité avec d’autres systèmes, dont RNIS.
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Historique
Le groupe opta pour un réseau numérique pour trois raisons
principales:
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Historique
En 1990, après un transfert de responsabilité du groupe qui change de nom
pour Global System for Mobile communication (même acronyme GSM) la
phase I de la norme est publiée et l’ère des communications mobiles
numériques débute à la mi-91.
Plusieurs extensions de GSM ont été définies depuis. Elles ont surtout pour
but d‘augmenter le débit binaire. On peut mentionner :
• GPRS (General Packet Radio Service)
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Historique
GPRS, 2,5G
Le GPRS (General Packet Radio Service) est une version améliorée de la
norme GSM. La voix est acheminée de manière identique au GSM
classique, mais les données sont transférées par paquets, 3 fois plus vite.
Le point fort du GPRS est la compatibilité globale avec l'ancien réseau
GSM.
L'arrivée de l'UMTS se faisant décidément attendre, le GPRS est vu comme
une étape transitoire et a été baptisé 2,5G.
EDGE, 2,75G
EDGE (Enhanced Data rate for GSM Evolution) est aussi une version
améliorée de GSM. C'est une autre étape économique vers des débits plus
élevés (c'est pourquoi on le surnomme 2,75G).
Son débit théorique est de 250 kBps.
Son débit réel important en upload (de l'utilisateur vers Internet) le rend
intéressant pour les transferts de données. En download, par contre, EDGE
n’est pas efficace pour les futures diffusions de contenu.
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Historique
UMTS, 3G
Avec 2 ans de retard sur le tableau prévisionnel, la 3G, téléphonie de 3e
génération, est enfin disponible.
La 3G doit apporter des débits beaucoup plus importants, désormais
souhaitables pour : la consultation de pages web sur les terminaux
téléphoniques portables, la visiophonie, le transfert de données vers les
ordinateurs.
En Europe, le 3GPP (3d Generation Partnership Project) a choisi la norme
UMTS W-CDMA qui utilise des fréquences entre 1900 et 2200 MHz et
autorise des vitesses supérieures à 1 Mbit/s (elles devraient être plafonnées
à 128 kbps en émission et 384 kbps en réception.
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Historique
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Techniques de multiplexages
Lorsque plusieurs entités d’un même site communiquent avec un
même autre site distant en utilisant des circuits en parallèle, il est
intéressant de concentrer ces circuits sur un support unique de
transmission.
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Techniques de multiplexages
Les câbles métalliques et surtout les fibres optiques offrent souvent des débits très
supérieurs aux besoin d’un seul utilisateur : typiquement 1 Gbit/s pour une fibre, contre
quelques dizaines de kbit/s pour une communication téléphonique.
Or ces supports de transmission sont d’autant plus coûteux à installer et à maintenir que la
liaison est longue. Il est donc souhaitable de partager ces canaux entre plusieurs
utilisateurs.
Le multiplexage consiste a faire transiter sur une seule et même ligne de liaison, dite voie
haute vitesse, des communications appartenant à plusieurs paires d’équipements
émetteurs et récepteurs.
Chaque émetteur est raccordé à multiplexeur par une liaison dite voie basse vitesse.
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Multiplexage fréquentiel (FDMA)
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Multiplexage fréquentiel
De manière générale, un canal de bande passante NB peut être
partagé en N canaux fréquentiels de largeur B, chacun étant dédie a
la transmission d’un signal de largeur spectral B.
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Multiplexage fréquentiel
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Multiplexage fréquentiel
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Multiplexage temporel (TDMA-AMRT)
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Multiplexage temporel synchrone
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Multiplexage temporel synchrone
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Multiplexage temporel asynchrone
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Multiplexage temporel asynchrone
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Multiplexage temporel asynchrone
En résumé, ce type de multiplexage permet à certains
équipements de travailler plus rapidement que si le multiplexage
était synchrone. Au pire des cas, un équipement pourrait utiliser
tous les quanta de temps, si aucun autre équipement ne
sollicitait la ligne.
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Multiplexage par repartition de code
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Multiplexage par repartition de code
Exemple :
Supposons un code de 8-chip.
3 différents mobiles utilisent les codes
suivants:
Mobile A : 10111001
Mobile B : 01101110
Mobile C : 11001101
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Multiplexage par répartition de code
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Multiplexage par repartition de code
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Multiplexage par repartition de code
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Multiplexage spatial
Le multiplexage spatial consiste à réutiliser un même canal pour plusieurs communications, dans
des zones différentes. Il exploite l’atténuation de la puissance des ondes radio en la distance au
carre.
La figure suivante illustre ce principe pour la téléphonie mobile. Dans deux cellules distantes de d,
des utilisateurs communiquent avec leur station de base sur une porteuse de fréquence f0 en
liaison descendante. Les ondes radio de la base B1, ne connaissant pas les frontières des
cellules, se propagent jusqu’au mobile M2, de même que celles de la base B2 parviennent au
mobile M1.
Dans les deux cas, elles sont fortement atténuées, ce qui ne perturbe que modérément les
communications des deux mobiles avec leurs bases respectives.
La distance d de réutilisation d’un canal dépend :
de la taille des cellules (d augmente avec la taille) ;
du ratio signal/interférences acceptable pour une communication (qui dépend notamment du
taux d’erreur acceptable).
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Les techniques de Commutation
Pour transmettre des informations au-delà d'un réseau local, il est nécessaire d'utilisé un réseau
commuté qui est un réseau partiellement maillé, comportant des noeuds de commutation.
Les stations qui échangent des informations doivent être reliées chacune à un noeud de
commutation.
Il existe deux grands types de réseaux commutés : les réseaux à commutation de circuits et les
réseaux à commutation de paquets. Ils sont étudiés en détail plus loin.
Le maillage d'un réseau commuté n'est pas total ce qui serait irréaliste (chaque noeud n'est pas
relié directement à tous les autres noeuds). Il existe donc pour chaque noeud quelques liaisons
directes avec d'autres noeuds, appelés noeuds voisins. Le choix des liaisons résulte d'une
analyse en coûts, en charges et en sécurité.
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Les techniques de Commutation
Les noeuds ont pour vocation essentielle de recevoir des
informations par une liaison et de les diriger vers un autre noeud
par une autre liaison de manière à les acheminer au destinataire
(fonction routage).
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Commutation Circuit
Dans ce mode de commutation, un chemin (circuit, channel) est construit entre
l‘émetteur et le récepteur à partir des liaisons du réseau commuté.
Ce circuit est "temporaire" dans la mesure où il n'a d'existence que sur la durée de la
communication entre émetteur et récepteur.
Il est ensuite libéré de manière à ce que les liaisons puissent être utilisées dans le
cadre d'une autre communication.
Une communication, via un réseau à commutation de circuits nécessite donc 3
phases :
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Commutation Circuit
2. le transfert des données: Le circuit de bout en bout étant défini et
construit, les données peuvent être échangées entre les deux
stations (le circuit est généralement full duplex) comme si ces
stations étaient reliées directement.
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Commutation Circuit
Plusieurs remarques doivent être faites sur ce mode de
commutation :
Pour un réseau "chargé", il doit y avoir suffisamment de canaux
sur les liaisons entre les noeuds pour pouvoir satisfaire les
demandes de connexion et donc la construction de circuits.
Une bonne rentabilité du réseau suppose que le circuit soit
pleinement utilisé durant la communication. Ce n'est
généralement pas le cas lors d'une application conversationnelle
(il y a beaucoup de "blancs") ; c'est par contre le cas pour le
transfert de la voix.
La demande de connexion et l'avis de déconnexion demandent
un délai supplémentaire à celui du transfert de données.
Le plus connu et le plus ancien des réseaux à commutation de
circuits est le réseau téléphonique (RTC ou Réseau Téléphonique
Commuté) qui, par la suite a été également utilisé pour la
transmission de données.
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Commutation Circuit
Exemple
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Commutation Paquet
La commutation de paquets est apparue vers 1970 pour résoudre le problème de la
transmission de données numériques sur de longues distances.
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Commutation Paquet
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Commutation Paquet
Exemple:
Le diagramme ci-dessous montre l'intérêt de la commutation de
paquets par rapport à la commutation de circuits en ce qui
concerne le délai de transmission.
L'exemple est basé sur un message de 36 octets ; l'en-tête des
paquets est supposé être de 3 octets. On considère plusieurs
possibilités : 1 seul paquet de 36 octets utiles ; 3 paquets de 12
octets utiles ; 6 paquets de 6 octets utiles ; 12 paquets de 3
octets utiles.
Pour la transmission de chaque paquet on doit prendre en
considération le délai d'acheminement (en principe à la vitesse
de la lumière) et le temps de traitement de chaque paquet
(examen de l'en-tête et stockage dans un buffer) ; il faudrait y
ajouter le temps d'attente avant ré-émission (le paquet est placé
dans une file d'attente) ; le temps d'attente est négligé dans le
diagramme.
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Commutation Paquet
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Commutation Paquet
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La technologie GSM
La téléphonie mobile est fondée sur la radiotéléphonie, c'est-à-dire la transmission de la
voix à l'aide d'onde radioélectrique (fréquences dans la bande des 900 et 1 800 MHz) entre
une base relais qui couvre une zone de plusieurs dizaines de kilomètres de rayon et le
téléphone mobile de l'utilisateur.
Les premiers systèmes mobiles fonctionnaient en mode analogique. Les terminaux étaient
de taille importante, seulement utilisables dans les automobiles où ils occupaient une
partie du coffre et profitaient de l'alimentation électrique du véhicule.
Les avantages des systèmes numériques sont la baisse du prix des terminaux,
l'augmentation des services, l'augmentation du nombre d'abonnés et enfin une meilleure
qualité de réception de la voix.
Les bases de transmission sont réparties sur le territoire selon un schéma de cellules.
Chaque base utilise un groupe de fréquences différent de ses voisines. Les mêmes
fréquences ne sont réutilisées qu'à une distance suffisante afin de ne pas créer
d'interférences.
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La technologie GSM
Les systèmes mobiles sont standardisés pour être compatibles entre les réseaux des différents pays et
s'interconnecter avec les réseaux de téléphonie fixe.
Les figures suivantes montrent les standards qui existent et leurs évolutions.
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La technologie GSM
Le GSM (Global System for Mobile)
Correspond à la norme actuelle des téléphones mobiles créée au
début de 1990.
Tel qu'il a été conçu, le réseau GSM est idéal pour les
communications de type « voix ». Le réseau étant commuté, les
ressources ne sont allouées que pour la durée de la conversation,
comme lors de l'utilisation de lignes téléphoniques fixes.
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Le concept des cellules
Les réseaux de première génération possédaient des cellules de grande
taille (50km de rayon) au centre desquelles se situait une station de base
(antenne d'émission). Au tout début, ce système allouait une bande de
fréquences de manière statique à chaque utilisateur qui se trouvait dans la
cellule qu'il en ait besoin ou non.
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Le concept des cellules
C'est pour résoudre ces différents problèmes qu'est apparu le
concept de cellule. Le principe de ce système est de diviser le
territoire en de petites zones, appelées cellules, et de partager les
fréquences radio entre celles-ci. Ainsi, chaque cellule est constituée
d'une station de base (reliée au Réseau Téléphonique
Commuté, RTC) à laquelle on associe un certain nombre de canaux
de fréquences à bande étroite, sommairement nommés fréquences.
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Le concept des cellules
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Le concept des cellules
Graphiquement, on représente une cellule par un hexagone car cette forme approche
celle d'un cercle. Cependant, en fonction de la nature du terrain et des constructions,
les cellules n'ont pas une forme circulaire.
De plus, afin de permettre à un utilisateur passant d'une cellule à une autre de garder
sa communication, il est nécessaire que les zones de couverture se recouvrent
de 10 à 15%, ce qui renforce la contrainte de ne pas avoir une même bande de
fréquences dans deux cellules voisines.
Pour éviter les interférences à plus grande distance entre cellules utilisant les mêmes
fréquences, il est également possible d'asservir la puissance d'émission de la station
de base en fonction de la distance qui la sépare de l'utilisateur. Le même processus
du contrôle de la puissance d'émission est également appliqué en sens inverse.
En effet, pour diminuer la consommation d'énergie des mobiles et ainsi augmenter leur
autonomie, leur puissance d'émission est calculée en fonction de leur distance à la station
de base. Grâce à des mesures permanentes entre un téléphone mobile et une station de
base, les puissances d'émission sont régulées en permanence pour garantir une qualité
adéquate pour une puissance minimale.
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Le concept des cellules
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Le concept des cellules
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Le concept des cellules
En résumé, une cellule se caractérise:
par sa puissance d'émission nominale -ce qui se traduit par une zone de
couverture à l'intérieur de laquelle le niveau du champ électrique est supérieur à
un seuil déterminé-, par la fréquence de porteuse utilisée pour l'émission radio-
électrique et par le réseau auquel elle est interconnectée.
Il faut noter que la taille des cellules n'est pas la même sur tout le territoire. En
effet, celle-ci dépend:
du nombre d'utilisateurs potentiels dans la zone, de la configuration du terrain
(relief géographique, présence d'immeubles, ...), de la nature des constructions
(maisons, buildings, immeubles en béton, ...) et de la localisation (rurale,
suburbaine ou urbaine) et donc de la densité des constructions.
Ainsi, dans une zone rurale où le nombre d'abonnés est faible et le terrain
relativement plat, les cellules seront plus grandes qu'en ville où le nombre
d'utilisateurs est très important sur une petite zone et où l'atténuation due aux
bâtiments est forte.
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Architecture d’un réseau GSM
La figure suivante représente l’architecture d’un réseau GSM.
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Architecture d’un réseau GSM
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Architecture d’un réseau GSM
Partie Radio
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
Le sous-système radio gère la transmission
radio (les ressources radio). Il est constitué
de plusieurs entités dont le mobile, la station
de base (BTS, Base Transceiver Station) et
un contrôleur de station de base (BSC, Base
Station Controller).
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
Le mobile :
Le téléphone (IMEI) et la carte SIM (Subscriber Identity Module) sont
les deux seuls éléments auxquels un utilisateur a directement accès.
Ces deux éléments suffisent à réaliser l'ensemble des fonctionnalités
nécessaires à la transmission et à la gestion des déplacements.
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
La principale fonction de la carte SIM est de contenir et
de gérer une série d'informations. Elle se comporte donc
comme une mini-base de données dont les principaux
champs sont fournis dans le tableau de la prochaine
diapo.
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
L'identification d'un mobile s'effectue exclusivement au moyen de la carte
SIM. En effet, elle contient des données spécifiques comme le
code PIN (Personal Identification Number) et d'autres caractéristiques de
l'abonné, de l'environnement radio et de l'environnement de l'utilisateur.
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
La station de base (BTS)
La station de base est l'élément central, que l'on
pourrait définir comme un ensemble
émetteur/récepteur pilotant une ou plusieurs cellules.
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
C'est la station de base qui fait le
relais entre le mobile et le sous-
système réseau. Comme le
multiplexage temporel est limité
à 8 intervalles de temps, une station
de base peut gérer tout au plus huit
connections simultanées par cellule.
Elle réalise les fonctions de la
couche physique et de la couche
liaison de données.
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
Le contrôleur de station de base (BSC)
Le contrôleur de station de base gère une ou plusieurs
stations de base et communique avec elles par le biais de
l'interface A-bis. Ce contrôleur remplit différentes fonctions
tant au niveau de la communication qu'au niveau de
l'exploitation.
Pour les fonctions des communications des signaux en
provenance des stations de base, le BSC agit comme
un concentrateur puisqu'il transfère les communications
provenant des différentes stations de base vers une sortie
unique. Dans l'autre sens, le contrôleur commute les
données en les dirigeant vers la bonne station de base.
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Architecture d’un réseau GSM (partie
radio)
En plus, le BSC remplit le rôle de relais pour les différents signaux d'alarme
destinés au centre d'exploitation et de maintenance. Il alimente aussi la
base de données des stations de base.
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Architecture d’un réseau GSM
La figure suivante représente l’architecture d’un réseau GSM.
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Interface Radio (Um)
Il existe plusieurs interfaces dans les réseaux cellulaire, on
trouve entre autre Um, Abis, A, etc. ces interfaces permettent de
déterminer les méthodes et manières de communication entre
les différentes entités du réseau cellulaire.
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Interface Radio (Um)
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Interface Radio (Um)
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Interface Radio (Um)
Il est à noter que ce ne sont pas tous les pays qui peuvent utiliser
toutes les bandes spectrales en raison d’applications militaires et d’une
utilisation déjà réservée pour les systèmes cellulaires analogiques. De
plus, si dans un pays donné plusieurs compagnies exploitent un réseau
numérique, alors chacun aura une bande de fréquences différentes afin
de prévenir les chevauchements.
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Interface Radio (Um)
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Interface Radio (Um)
Trame TDMA :
La figure précédente indique que les données sont assemblées sous la forme de trame. Un
groupe de trame est appelé multitrame.
On peut avoir deux types de multitrames: l’une avec 26 trames TDMA et l’autre avec 51
trames. Cette dernière multitrame est utilisée pour la signalisation. La figure suivante donne la
structure et la hiérarchie d’une multitrame 26.
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Interface Radio (Um)
Chaque slot d’une trame TDMA contient une structure de données de
148 bits appelée trame de données, qui correspond à l’unité de
données de transmission radioélectrique.
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Interface Radio (Um)
Un champ Synchronisation de 26 bits entre les deux champs
Information permet au récepteur de se synchroniser avec la
trame de données de l’émetteur.
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Interface Radio (Um)
Nous venons de voir la trame normale qui est utilisée pour
transporter la voix ou des données. Cependant il existe trois
autres types de trame qui sont utilisés sur des canaux de
contrôle. Nous verrons à la section suivante les différents types
de canaux que GSM définie. Les différentes trames sont:
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Architecture UMTS
Basé principalement sur le W-CDMA FDD et TDD
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Architecture LTE/SAE
Basé sur une architecture toute IP, techniques utilisées OFDMA et MIMO
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MIMO
Multiple-Input Multiple-Output ou MIMO (« entrées multiples, sorties
multiples ») est une technique utilisée pour les réseaux sans fil et
permettant des transferts de données à plus longue portée et à plus grande
vitesse que la technique SISO (Single-Input Single-Output).
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MIMO
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Développement du LTE
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