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On donne
z = 3 +
3i et
z′ = −1+ 2i
Exercice n°2.
1) Calculer i², i³ et i⁴
z₁ = z − z′ ;
z2 = z ⋅ z
; z3 = z2
; z4 = z′3 ;
z = z z′
2) En déduire la valeur de i2006 et de i2009 , puis les entiers naturels n tels que
in est imaginaire pur
3) Déterminer les entiers naturels n tels que (1+ i)ⁿ soit un réel négatif.
Exercice n°3. Résoudre dans ℂ :
3) Les équations 2z + iz = 3 et
1 2
z² + z ⋅ z = 0
⎩iz1 + 2z2 = 11i
4) Les équations −2z2 + 6z − 5 = 0 et (z2 + 2)(z2 − 4z + 4) = 0
Exercice n°4.
Exercice n°5. → →
Dans le plan complexe muni du repère orthonormal (O;u; v ) , on considère les
points A,B,C et D d’affixes respectives :
zA = −1− 5i
, zB = 4 − 3i ,
zC = 3 + 3i
et zD = −2 + i
1) Déterminer la nature du quadrilatère ABCD.
2) Déterminer l’affixe du point C’, symétrique du point C par rapport à D
3) Déterminer l’affixe du point A’ vérifiant DA′ = DB + DC
4) Quelle est la nature du quadrilatère A’BC’D ?
Exercice n°6.
On considère le plynôme P ( z ) suivant : P ( z ) = z³ + 9iz² + 2 (6i −11) z − 3(4i
+12)
1) Démontrer que l’équation P ( z ) = 0 admet une solution réelle z₁
2) Déterminer un polynôme Q ( z ) tel que P ( z ) = ( z − z₁ )Q ( z )
5) On note
z la 3ⁱᵉ̀ᵐᵉ solution de l’équation
P ( z ) = 0 . Démontrer que les points du plan complexe A,B et C d’affixes
respectives
z1 ,
z2 et
z₃ , sont alignés
Exercice n°7.
Déterminer le module, un argument et une forme exponentielle de chacun des nombres
donnés :
z1 =
6 − i
2 , z2 = − 1 − 1 i et z3 = − 1 + 3 i . En déduire module et argument de
z1 ⋅ z2 ,
z1 ⋅ z3 et ( z2 )2
2 2 2 2
Exercice n°8.
⎛ 1+ i
3 ⎞20
Ecrire 1+ i
3 et 1− i sous la forme trigonométrique et simplifier :
z = ⎜
1− i ⎟
Affirmation
z imaginaire pur ⇔ z = −z
z = − z
⎝ ⎠
VRAI
FAUX
Pour z ∈ℂ et z′∈ℂ , z = z′ ⇔ z = z′
Pour tout z ∈ℂ ,
1 + iz =
1 + z2
Exercice n°10.
Déterminer et représenter dans chaque cas, l’ensemble des points M du plan dont
l’affixe z vérifie la relation donnée :
1) z − 3 = z − 3i
2) 2 − 3i + z = 2 + 3i
3) z − 4 + i = 1
4) arg (z ) = arg (−z ) (2π )
Exercice n°11.
1) Résoudre dans ℂ l’équation l’autre solution
z2 − 2z + 4 = 0 . On désigne par
1 + i
3 , 1 − i
3 , −2 + 2i
3 et −2 − 2i 3
z −1 + i
3 = 2 3 .
Exercice n°12.
Pour tout nombre complexe z, on définit : P ( z ) = z3 + 2 (
2 −1) z2 + 4 (1−
2 ) z − 8
1) Calculer P(2). Déterminer une factorisation de P(z) par (z-2)
2) Résoudre dans ℂ l’équation P ( z ) = 0
On appelle
z1 et
z₂ les solutions de l’équation autres que 2,
z₁ ayant une partie imaginaire positive.
Vérifier que z₁ + z₂ = −2 2 . Déterminer le module et un argument de
z1 et de z2 .
c) Calculer l’affixe zI
de I, puis le module de zI
3π 3π
Exercice n°13.
On considère le polynôme P défini par P ( z ) = z4 − 6z3 + 24z2 −18z + 63
1) Calculer P (i 3 ) et P (−i 3 ) . Déterminer le polynôme Q du second degré à
coefficients réels tel que pour tout z ∈ℂ ,
on a P ( z ) = (z2 + 3)Q ( z )
2) Résoudre dans ℂ l’équation P ( z ) = 0
3) → →
Placer dans le plan complexe rapporté au repère orthonormal (O;u;v ) (unité
graphique : 2 cm) les points A,B,C et D
d’affixes respectives : zA = i 3 ; zB = −i 3 ; zC = 3 + 2i 3 et zD = zC
zC − zB
−iπ
⎧
z étant un complexe, on note (S ) le système ⎪
z = z − 6
.
⎨arg(z² ) = π + 2kπ , k ∈ Z
⎪⎩ 2
Le plan est rapporté à un repère orthonormal direct (O, u, v).
1) Donner le module et un argument des trois complexes suivants : a =
3 + i
b = −2 + 2i
c = 3 + 3i
2) Parmi les complexes a, b et c, lesquels sont solutions du système (S ) ?
( justifier la réponse).
3) M étant le point d’affixe z, et A étant le point d’affixe 6, traduire
géométriquement les deux contraintes de (S ) .
4) Résoudre le système (S ) par la méthode de votre choix.
Exercice n°15.
–→ –→
Soit le plan complexe P rapporté au repère orthonormal direct (O; e1; e2 )
zn+1
= 1+ i 3
4 n
1) Calculer
zn en fonction de n.
3) Si rn
donner ?
est le module de
zn , donner la limite de rn
si n tend vers plus l'infini. Quelle interprétation géométrique peut-on
Exercice n°16.
On considère l’application f du plan qui à tout point M, d’affixe z distincte de
2i, associe le point d’affixe :
z′ =
z + i z − 2i
1) Pour
z ≠ 2i , on pose
z = 2i + reiθ , avec r>0 et θ ∈ ℝ . Ecrire
z′ −1 à l’aide de r et θ
2) A est le point d’affixe 2i
a) Déterminer l’ensemble E₁ des points M pour lesquels
z′ −1 = 3
b) Déterminer l’ensemble E₂
des points M pour lesquels arg ( z′ −1) = π
4
(2π )
c) Représenter les ensembles E₁ et E₂
Exercice n°17.
1) Déterminer la forme complexe de la rotation r de centre Ω(−1) et d’angle π
3
−iπ
Préciser l’image par r du point A d’affixe e 3
Exercice n°1
NOMBRES COMPLEXES - CORRECTION
z₁ = z − z′ = 3 +
3i − (−1− 2i ) = 3 + 3i +1+ 2i = 4 + ( 3 + 2)i
z₂ = z ⋅ z =
z 2 = 3 +
3i 2 = 32 + (
3 )2
= 12
z3 = z2 = (3 +
3i)2 = 32 + 2 × 3×
3i + (
3i)2 = 9 + 6 3i + (
3 )2 (i)² = 9 + 6 3i − 3 =
6 + 6 3i
z4 = z′3 = (−1+ 2i)³ = (−1)³ + 3×(−1)² ×(2i ) + 3×(−1)¹ ×(2i )² + (2i)³
z 3 + 3i
(3 + 3i)(−1− 2i )
−3 − 3× 2i −
3i − 2 3i²
−3 − 6i − 3i + 2 3
2 3 − 3 − i (6 + 3 )
2 3 − 3 6 + 3
= = = − i
1− (−4)
Exercice n°2
5 5 5
Ainsi, 1+ i =
2e 4 , et pour tout entier naturel, (1+ i)ⁿ = ⎜ 2e 4 ⎟ = (
2 )n ein 4
⎜ ⎟
⎝ ⎠
Les entiers naturels n tels que (1+ i)ⁿ soit un réel négatif sont donc de la forme
n = 4 (2k +1) , k ∈ ′
Exercice n°3
1)
5z + 2i = (1+ i) z − 3 ⇔ z (5 − (1+ i )) = −2i − 3 ⇔ z (4 − i) = −2i − 3
⇔ z =
−2i − 3 =
4 − i
(−2i − 3)(4 + i )
(4 − i )(4 + i ) =
−8i − 2i² −12 − 3i 42 − i2
= 2 −12 −11i
16 +1
= − 10 − 11 i
17 17
Ainsi,
S = ⎧− 10 − 11 i⎫
⎨ 17 17 ⎬
Pour
⎩ ⎭
z ≠ −1,
z − i = 4i ⇔ z − i = 4i ( z +1) ⇔ z (1− 4i ) = 4i + i z +1
⇔ 5i 5i (1+ 4i) 5i + 20i2 5i − 20 20 5
Ainsi,
S = ⎧− 20 + i 5 ⎫
⎨ 17 17 ⎬
⎩ ⎭
2) On résout le système par combinaison :
⎧3z1 + z2 = 1− 7i L1 ⇔ ⎧6z1 + 2z2 = 2 −14i
2L1
⎨ iz + 2z = 11i L
⎨ iz + 2z = 11i L
⎩ 1 2 2 ⎩ 1 2 2
⎧ z1 = 2 − 25i
2L1 − L2
z1 =
2 − 25i
6 − i
(2 − 25i )(6 + i)
= (6 − i )(6 + i)
= 12 + 2i −150i − 25i²
36 − i2
= 12 + 2i −150i + 25 = 37 −148i
36 + 1 37
= 1− 4i
puis
z2 =
11i − i (1− 4i)
2
= 11i − i + 4i²
2
= −4 +10i
2
= −2 + 5i
Finalement,
S = {(1− 4i; −2 + 5i)}
3) Si on pose z = x + iy , avec x, y ∈ ℝ , l’équation 2z + iz = 3 devient
équivalente à :
2 ( x + iy ) + i ( x − iy ) = 3 ⇔ 2x + 2iy + ix − i² y = 3
⇔ 2x + y + i (2 y + x) = 3
⎧2x + y = 3
donc équivalente au système ⎨2 y + x = 0 , que l’on résout par substitution :
⎧2x + y = 3
L1 ⇔ ⎧
y = 3 − 2x L₁
⎨2 y + x = 0 L2 ⎨2 (3 − 2x) + x = 0 L2
⎩ ⎩
⇔ ⎧ y = 3 − 2x L1 ⇔ ⎧ y = 3 − 2x L1 ⇔ ⎧ y = −1 L1
⎨6 − 4x + x = 0 L2 ⎨ x = 2 L2 ⎨ x = 2 L2
Ainsi
S = {2 − i}
Si on pose z = x + iy , avec
x, y ∈ ℝ , l’équation
z² + z ⋅ z = 0 ⇔ z² + z ² = 0
devient équivalente à :
⎧x = 0
imaginaires purs.
⎨ . Les solutions sont donc tous les couples
⎪⎩xy = 0
⎨ y ∈ ℝ , c’est-à-dire tous les nombres
4) On calcule le discriminant de l’équation −2z² + 6z − 5 = 0 :
Δ = 62 − 4×(−2)×(−5) = 36 − 40 = −4 = (2i)²
−6 − 2i 3 1
−6 + 2i 3 1
S = ⎧ 3 − 1 i; 3 + 1 i⎫
z1 = 2 ×(−2) = 2 + 2 i
et z2 = 2 ×(−2) = 2 − 2 i
⎨ 2 2 2 2 ⎬
⎩ ⎭
L’équation (z2 + 2)(z2 − 4z + 4) = 0
se réécrit (z + i
2 )(z − i
solutions
S = {−i
2;i
2; 2}
Exercice n°4
1) Pour tout complexe z = x + iy , avec x et y réels,
z ≠ −1 , on calcule :
′ z − i x + iy − i ( x + iy − i )( x + 1 − iy )
x2 + x − ixy + iyx + iy − i2 y2 − ix − i + i2 y
z z + 1 x + iy + 1 ( x + 1 + iy )( x + 1 − iy )
( x + 1)2 + y2
= x2 + x + y2 − y +
( x + 1)2 + y2
i y − x −1 .Ainsi
( x + 1)2 + y2
x2 + x + y2 − y
x ( x + 1)2 + y2
et y′ =
y − x −1
( x + 1)2 + y2
2) z ∈ℝ ⇔ y′ = 0 ⇔
y − x −1
( x + 1)2 + y2
= 0 ⇔ y − x −1 = 0 ⇔
y = x + 1
M appartient donc à la droite d’équation
y = x + 1
Exercice n°5
1) On calcule d’une part
Et d’autre part
z–– –→ = zC − zD = 3 + 3i − (−2 + i) = 3 + 3i + 2 − i = 5 + 2i
Puisque
z–––→ = z–– –→ , on en déduit que AB = DC , donc que le quadrilatère ABCD est un
parallélogramme.
2) Si C’ est le symétrique du point C par rapport à D, alors DC′ = CD , ce qui se
traduit par z––––→ = z–––→ , c’est-à-dire
Ainsi
zC′ = −7 − i
Puisque
z–– –→ = z––––→ , on en déduit que A′B = DC′ , donc que le quadrilatère A’BC’D est
un parallélogramme.
Exercice n°6
1) En réécrivant autrement le polynôme P, à savoir :
P ( z ) = z³ − 22z − 36 + i (9z² +12z −12) = z³ − 22z − 36 + 3i (3z² + 4z − 4) , on
s’apperçoit que si
Q ( z ) =
z + 2
, pour tout
z ≠ −2 )
On obtient :
et l’autre vaut
z2 = −3i
−(9i − 2) + (2 − 3i ) = −12i + 4 = −6i + 2 . L’équation Q(z)=0 admet
2 2
4) L’autre solution de l’équation Q(z)=0 ayant été calculée ci-dessus, et par
application de la règle du produit nul,
P ( z ) = 0 ⇔ ( z + 2)Q ( z ) = 0 ⇔ z + 2 = 0 ou
Q ( z ) = 0 et ainsi
S = {−2; −3i; −6i + 2}
Puisque
z₃ − z₁ = 2 ( z₂ − z₁ ) , on en déduit que
AC = 2 AB , c’est à dire que les vecteurs AB et AC sont colinéaires,
donc que les points A,B et C sont alignés
Exercice n°7
Le module de
z1 vaut
6 − i 2 =
( 6 )2 + (−
2 )2 =
8 = 2 2
6 3 − 2 1 π
Un argument θ de
z₁ vérifie cosθ = =
2 2 2
et sinθ = = − . θ = −
2 2 2 6
convient
Ainsi, z₁ = 2 2e
−iπ
6
1 1
⎛ 1 ⎞2
⎛ 1 ⎞2 1 2
Le module de
z2 vaut − − i = ⎜ − ⎟ + ⎜ − ⎟ = =
2 2 ⎝ 2 ⎠ ⎝ 2 ⎠ 2 2
Un argument θ de
z₂ vérifie cosθ =
− 1
2 = − 1
= − 2
− 1
et sinθ = 2 = − 1 = − 2 . θ = − 3π
convient
Ainsi, z₂ =
2 −i 3π
e 4
2
2 2 2
2
2 2 2 4
2
Pour
z₃ , on reconnaît directement
z3 = − 1 + 3 i = cos⎛ 2π ⎞ + i sin ⎛ 2π ⎞
2 2 ⎜
3 ⎟ ⎜ 3 ⎟
⎝ ⎠ ⎝ ⎠
2π
i 2π
Le module de
z₃ vaut donc 1, un argument
. Une forme exponentielle est donc
3
z3 = e 3 .
i 5π
2 −i3π
⎛ 5π 3π ⎞
⎜ 6 4 ⎟
i π
On calcule z1 ⋅ z2 = 2 2e 6 × 2 e
4 = 2e ⎝ ⎠ = 2e 12
π
Le module de
z1 ⋅ z2 vaut donc 2 et un argument de z1 ⋅ z2 est donc 12
i 5π
i 2π
i⎛ 5π + 2π ⎞
i9π
−i3π
−iπ
⎜ 6 3 ⎟
On calcule
z1 ⋅ z3 = 2 2e
6 × e 3
= 2 2e ⎝ ⎠ = 2 2e 6
= 2 2e
π
6 = 2 2e 2
Le module de
z1 ⋅ z3 vaut donc 2 2 et un argument de
z1 ⋅ z3 est donc − 2
⎛ − 3π ⎞2 2
2×3π
3π π
On calcule ( z
)2 = ⎜ 2 e i 4 ⎟
= ⎛ 2 ⎞ × e−i 4
= 1 × e−i 2
= 1 × ei 2
2 ⎜ 2 ⎟ ⎜ 2 ⎟ 2 2
⎝ ⎠ ⎝ ⎠
Le module de ( z2 )²
Exercice n°8
vaut donc 1
2
et un argument de ( z2 )²
π
est donc
2
1 3
3 )2 = 1+ 3 =
π
4 = 2 . Pour trouver un argument de
iπ
z1 ,
De même, notons
z2 = 1− i . Alors le module de z2
est
z2 =
1² + (−1)2 =
2 . Pour trouver un argument de
z2 ,
1 2 −1 2 π
−iπ
2 2 2
i π
2
⎛ π ⎛ π ⎞⎞
4
7π
1+ i 3
1+ i 3 2e 3
i⎜ 3 −⎜ − 4 ⎟⎟ i
Le quotient
1− i
s’écrit donc
1− i =
−iπ =
2e 4
2e ⎝
⎝ ⎠⎠ =
2e 12 .
⎛ 1+ i
3 ⎞20 ⎛
7π 20
i
₂₀ i 20×7π ⎛
₂ ⎞10
i140π
Alors
z = ⎜ ⎟
= ⎜ 2e 12 ⎟ = ( 2 )
e 12
= ⎜( 2 ) ⎟ e 12
⎝ 1− i ⎠
⎝ ⎠
140π
6 × 24π
⎝ ⎠
4π π π
i140π
−i π
⎛ π ⎞ ⎛ π ⎞ 1 3
Ainsi e 12
= e 3 = cos⎜ −
⎟ + i sin ⎜ −
⎟ = − i
2 10
⎝ 3 ⎠ ⎝ 3 ⎠
2 2
⎛ 1+ i
3 ⎞20
⎛ 1 3 ⎞
Enfin, ⎛⎜ (
2 ) ⎞⎟
= 2¹⁰ = 1024 En conclusion
z = ⎜ ⎟
= 1024 ⎜ −
i ⎟ = 512 − 512 3i
⎝ ⎠ ⎝
1− i
⎠ ⎝ 2 2 ⎠
Exercice n9
1) « Pour tout z ∈ℂ ,
z imaginaire pur ⇔ z = −z
2) « Pour tout z ∈ℂ ,
z = − z
» est FAUX. En effet, pour tout z ∈ℂ , z = z
3) « Pour z ∈ℂ et z′∈ℂ , z = z′ ⇔
z = z′
» est FAUX. Exemple : deux complexes.
c’est-à-dire
z > 2
5) « Pour tout z ∈ℂ ,
Exercice n°10
1 + iz =
1 + z2
» est FAUX. exemple : z = −i
→ →
Dans le plan muni du repère orthonormal (O;u; v ) ,
1) Si on note A et B les points dont les affixes respectives sont 3 et 3i, et M le
point dont l’affixe est noté z, l’égalité
z − 3 =
z − 3i
se traduit par AM=BM. Le point M étant équidistant des points A et B, il appartient
à la médiatrice de
Puisque
2 + 3i =
22 + 32 =
13 , l’égalité
2 − 3i + z
= 2 + 3i ⇔
z − (−2 + 3i ) =
13 se traduit par CM = 13
Le point M appartient donc au cercle de centre C et de rayon 13 . L’ensemble des
points M du plan dont l’affixe z
vérifie 2 − 3i + z
= 2 + 3i
est donc le cercle de centre C(–2+3i) et de rayon 13
3) Si on pose z = x + iy , avec
x, y ∈ ℝ , l’égalité
z − 4 + i = 1 , équivalente à
z − 4 + i 2 = 12 = 1, se réécrit
x − iy − 4 + i ² = 1 ⇔
x − 4 − i ( y −1) ² = 1 ⇔
( x − 4)² + ( y −1)² = 1
On reconnaît là l’équation du cercle de centre D(4 ;1) et de rayon 1
Exercice n°11
1) Le discrimant de l’équation
z2 − 2z + 4 = 0
vaut
Δ = (−2)2 − 4 ×1× 4 = −12 . L’équation admet donc deux solutions
complexes conjuguées z
= 2 + i
12 = 2 + 2i
3 = 1 + i 3
et z
= 2 − 2i
3 = 1 − i 3
1 2 2 2 2
2) On calcule
z1 = 1 + i 3 =
12 + (
3 )2 =
4 = 2
et z2
= 1 − i 3 =
12 + (−
3 )2 =
4 = 2 .
cos(θ ) = 1 ⎫
cos(θ
) = 1 ⎫
Si on note
θ1 = arg( z1 )[2π ]
, alors
2 ⎪ ⇒ θ = π
[2π ] et
2 ⎪ ⇒ θ = − π
[2π ]
θ2 = arg( z2 )[2π ]
sin (θ ) = 3 ⎪ 3
sin (θ
) = − 3 ⎪ 3
1 2 ⎪⎭ 2 2 ⎪⎭
3) On calcule ( z )2 = (1 + i
3 )2 = −2 + 2i
3 et ( z2
)2 = (1 − i
3 )2 = −2 − 2i 3 .
On a alors ( z )2
= −2 + 2i 3 =
(−2)2 + (2 3 )2 =
16 = 4
(remarque : ( z )2
= z1
2 ). De même ( z )2
= 4 .
cos(α ) = −2 ⎫
cos(α
) = −2 ⎫
Si on note
α1 = arg( z1 )[2π ]
, alors
4 ⎪ ⇒ α =
2π [2π ] et
4 ⎪ ⇒ α = − 2π
[2π ]
α = arg (z 2 )[2π ]
sin (α1 ) =
2 3 ⎪ 3
4 ⎪⎭
sin (α2 ) =
−2 3 ⎪ 3
4 ⎪⎭
4) On calcule
z––––→ = zB − zA = −2i
3 et
z––––––––→– = z − z
= −4i
3 . On constate que
z––––––– –→– = 2z––––– –→– .
AB A′B′
B′ A′
A′B′ AB
On en conclut que
A′B′ = 2 AB , donc ( A′B′) // ( AB ) , donc le quadrilatère AA’B’B est un trapèze
5) On calcule respectivement :
AA′ = zA′ − zA
= −3 + i 3 =
(−3)2 + (
3 )2 =
12 ,
6) L’égalité
z −1 + i
3 = 2 3 , réécrite en
z − (1− i
3 ) = 2 3 , se traduit par
BM = 2 3 . L’ensemble des points M
d’affixe z vérifiant
z −1 + i
3 = 2 3
est donc le cercle de centre B et de rayon 2 3 .
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Exercice n°12
1) On calcule P (2) = 23 + 2 (
2 −1)× 22 + 4 (1−
2 )× 2 − 8 = 8 + 8 2 − 8 + 8 − 8 2 − 8 = 0
On peut donc factoriser P(z) par (z-2). Il existe donc trois nombres a,b et c, tels
que pour tout z,
P ( z ) = ( z − 2)(az2 + bz + c) . Déterminons a,b et c par identification. Pour
tout z,
( z − 2)(az2 + bz + c) = az3 + bz2 + cz − 2az2 − 2bz − 2c
⎧a = 1
pour tout z si
⎪b − 2a = 2 (
et seulement si ⎨
2 −1)
⎪
, ce qui nous permet d’obtenir ⎨b = 2 2 .
⎪c − 2b = 4 (1− 2 )
⎪
⎪⎩−2c = −8
⎪c = 4
Ainsi, pour tout z, P ( z ) = ( z − 2)(z2 + 2 2z + 4)
L’équation
z² + 2 2z + 4 = 0 admet donc deux racines complexes conjuguées :
z1 = −2 2 + 2 2i = − 2 +
2
2i et
z2 = −2 2 − 2 2i = − 2 −
2
2i . On vérifie que
z₁ + z₂ = −2 2 .
Le module de
z₁ vaut − 2 +
2i =
(− 2 )2 + (
2 )2 = 2
− 2 2 3π
Un argument θ de
z₁ vérifie cosθ = et sinθ = . θ =
(2π ) convient
2 2 4
z2 est θ = − 3π
4
(2π ) .
3) a)
b) On calcule OA = zA
= 2 = 2 et OB =
z₁ = 2 . Puisque OA=OB, le triangle OAB est isocèle en O.
Puisque le trianble OAB est isocèle en O, la médiane (OI) issue de O est aussi
bissectrice de l’angle ‸AOB .
Une mesure de l’angle ( → ––→ ) est donc 1 ⎛ 3π ⎞ = 3π
u;OI
2 ⎜ 4 ⎟ 8
2i = 1−
2 + i 2
2 2 2 2
2 2 ⎛
2 ⎞2
⎛ 2 ⎞2 1 1
Le module de zI
vaut donc 1− + i =
2 2
⎜1− 2 ⎟
⎜ 2 ⎟
= 1−
2 + + =
2 − 2
→ ––→ 3π
⎝ ⎠ ⎝ ⎠ 2 2
3π
d) Puisque (u;OI ) =
(2π ) , on a donc arg ( zI ) =
8
(2π )
1− 2
1− 2
2 2 8 zI
2 2
2 − 2 2 2 − 2 2
sin 3π
= 2 = 2 = 2 =
2 2 + 2
= 2 2 + 2 =
2 2 + 2 =
2 + 2
8 zI
2 − 2 2 2 −
2 2 2 −
2 2 +
2 2 22 − (
2 )2 2 2 2
Exercice n°13
1) On calcule :
P (i 3 ) = (i
3 )4 − 6 (i
3 )3 + 24 (i
3 )2 −18(i
3 )+ 63 = (
3 )4 i⁴ − 6 (
3 )3 i³ + 24 (
3 )2 i² −18i
3 + 63
2 2 ⎛ ⎞2 2 2
= ⎛⎜ (
3 ) ⎞⎟ i² − 6 ( 3 ) ×( 3 )i² × i + 24 ( 3 ) i² −18i
3 + 63
⎜ m ⎟
⎝ −1 ⎠
= 9 +18 3i − 72 −18i
et de même
m m
−1 −1
3 + 63 = −63 + 63 = 0
P (−i
3 ) = (−i
3 )4 − 6 (−i
3 )3 + 24 (−i
3 )2 −18(−i
3 )+ 63 = (−
3 )4 i⁴ − 6 (−
3 )3 i³ + 24 (−
3 )2 i² +18i
3 + 63
2 2 ⎛ ⎞2 2 2
⎜ m ⎟
⎝ −1 ⎠
= 9 −18 3i − 72 +18i
m m
−1 −1
3 + 63 = −63 + 63 = 0
Les complexes i
3 et −i
3 sont donc racines sur polynôme P.
Ainsi, il existe un polynôme Q du second degré à coefficients réels tels que :
P ( z ) = (z − i 3 )(z + i 3 )Q ( z ) ⇔ P ( z ) = ⎛⎜ z² − (i 3 )2 ⎞⎟ Q ( z ) ⇔ P
( z ) = (z² + 3)Q ( z ) Pour trouver Q, on
⎝ ⎠
effectue une division entre polynômes : Pour tout z différent de i
3 et
−i 3 , on a
P ( z )
Q ( z ) =
z² + 3
. On effectue la division :
Ainsi
Q ( z ) = z² − 6z + 21
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2) Puisque
P ( z ) = (z² + 3)(z² − 6z + 21) , la règle du produit nul affirme que
P ( z ) = 0 ⇔ z² + 3 = 0 . Ou
z² − 6z + 21 = 0
Résolvons l’équation
z² − 6z + 21 = 0 ⇔ Q ( z ) = 0
en calculant le discriminant du polynôme Q :
Δ = (−6)2 − 4 ×1× 21 = 36 − 84 = −48 . Le polynôme Q admet donc deux racines
complexes conjuquées
−(−6) + i 48 6 + 4i 3
z1 = 2 ×1 = 2 = 3 + 2i 3 et z2 = z1 = 3 − 2i 3 . Ainsi S = {i 3; −i
3) cf fin d’exercice
3;3 + 2i
3;3 − 2i 3}
4) Si E est le symétrique de D par rapport à O, alors zE = −zD = −(3 − 2i 3 ) = −3
+ 2i 3
On calcule alors
zC − zB zE − zB
= 3 + 2i
−3 + 2i
3 + i
3 + i
3 = 3 + 3i
3 −3 + 3i
3 = 1+ i 3
3 −1+ i 3
On multiplie numérateur et cénominateur de la fraction par la quantité conjuguée du
dénominateur :
z − z
(1+ i 3 )(−1− i 3 )
−1− i 3 − i 3 + 3 2 − 2i 3 1 3
C B = = = = − i
zE − zB
(−1+ i
3 )(−1− i
3 ) (−1)2 − (i
3 )2
1+ 3 2 2
On détermine module er argument de 1 − i 3 :
2 2
⎛ 1 ⎞²
⎛ 3 ⎞2 1 3 1
Le module de ce complexe vaut
⎜ 2 ⎟
⎜ 2 ⎟
= + =
1 = 1. On cherche ensuite θ tel que
cosθ = et
2
⎝ ⎠ ⎝ ⎠ 4 4
3 π z − z 1 3
−i π
2 3
z − z
zE − zB 2 2
−iπ BC
⎜ z − z ⎟ 3
BE; BC
3
Figure :
⎝ E B ⎠
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Exercice n°14
1) On calcule a =
3 + i =
( 3 )2 +1² =
et sinθ = 1 . On trouve θ =
2
π [2π ]. Un argument de a est donc π
6 6
On calcule
b = −2 + 2i =
(−2)2 + 2² =
8 = 2 2 . Le module de b vaut donc 2 2 , et on cherche θ tel que
cosθ = −2 =
−1 = − 2
2 3π 3π
et sin = . On trouve = 2 . Un argument de b est donc
2 2 2 2 2 4 4
On calcule
c = 3 + 3i =
3² + 3² =
18 = 3 2 . Le module de c vaut donc 3 2 , et on cherche θ tel que
cosθ = 3 = 1 = 2 sinθ = 3 = 1 = 2 . On trouve θ = π [2π ]. Un argument de c
est donc π
3 2 2 2 3 2 2 2 4 4
2) La condition arg(z² ) = π + 2kπ , k ∈ Z ⇔ 2 arg(z) = π + 2kπ , k ∈ Z ⇔ arg(z)
= π + kπ , k ∈ Z permet déjà
2 2 4
d’éliminer les complexes a et b . Seul le complexe c est
candidat. On calcule
c − 6 = 3 + 3i − 6 = −3 + 3i =
système (S)
(−3)2 + 3² =
18 = 3 2 . Comme
c − 6 = c , le complexe c est le seul à vérifier le
3) La contrainte
z = z − 6 ⇔
z − 0 =
z − 6
se traduit par la condition géométrique OM = AM . La contrainte
arg(z² ) = π + 2kπ , k ∈ Z ⇔ 2 arg(z) = π + 2kπ , k ∈ Z ⇔ arg(z) = π + kπ , k ∈ Z
se traduit par la condition
2 2 4
→ ––––→ π
géométrique (u;OM ) = + kπ , k ∈ Z .
4) Les complexes solutions du système (S )
→ ––––→
droite formée des points M tels que u;OM
= π + kπ , k ∈ Z , cest-à-dire la 1ᵉ̀ʳᵉ bissectrice. Ces deux droites n’ayant
4
qu’un seul point d’intersection, on en déduit que le système (S) n’admet qu’un
seule solution. Cette solution est le complexe c, comme démontré précédemment.
Exercice n°15
1) La suite ( z
n∈ℕ
est une suite géométrique de raison q = 1+ i 3
4
1+ i 3
⎛ 1 ⎞²
⎛ 3 ⎞2
4 1 1
Forme exponentielle de q =
4
: q =
⎜ 4 ⎟
⎜ 4 ⎟ = 16 =
= , et si on note θ un argument de q, à
4 2
⎝ ⎠ ⎝ ⎠
1 3
4 1 4 3
π 1 iπ
1 ⎛ 1
i 3 ⎞ 1 ⎛
π π ⎞ 1 iπ
2 ⎝ 2 2 ⎠ 2 ⎝
3 3 ⎠ 2
Ainsi, pour tout entier n ∈ ℕ zn
= z0
× qⁿ = 8⎛ 1 ⎞
⎝ ⎠
⎛ iπ ⎞n
⎜ e 3 ⎟
⎝ ⎠
= 8⎛ 1 ⎞
⎝ ⎠
n i nπ
e 3
1+ i 3 z − z
1+ i 3 −1
1+ i 3 − 4
−3 + i 3 1− i 3
z − z n n
−3 + i 3 4
( )( )
n+1
n = 4 = 4 = 4 4 = × =
zn+1
1+ i 3 z
4 n
1+ i 3 1+ i 3
4 4
4 1+ i 3
(1+ i
3 )(1− i 3 )
−3 + 3 3i + 3i − i² ( 3 )2
= = 4 3i − 3 + 3 = 3i
1− (i
3 )2 4
M M = 3OM
(le réel k dont parle l ‘énoncé est 3 .). De plus,
arg ⎛ zn+1 − zn ⎞ = arg (
3i )[2π ] ⇔
n n+1
––––– –→ ––––––––→
n+1
π
⎜ ⎟
⎝ n+1 ⎠
(OMn+1; Mn Mn+1 ) =
[2π ] donc le triangle OMnMn+₁ est rectangle en Mn+₁
2
⎛ 1 ⎞n
i nπ
⎛ 1 ⎞n
0 < 1 < 1 ,
2
l'infini.
⎛ 1 ⎞n
lim ⎜ ⎟
n→+∞ ⎝ 2 ⎠
= 0 , donc lim r = 0 , donc le point M
n→+∞
a pour position limite le point O lorsque n tend vers plus
Exercice n°16
1) Pour tout
z ≠ 2i , on calcule
z′ −1 =
z + i
−1 =
z + i
− z − 2i = 3i
z − 2i z − 2i z − 2i z − 2i
Si on pose
z = 2i + reiθ , avec r>0 et θ ∈ ℝ , alors z′ −1 = 3i = 3i
= 3i = 3i e−iθ
z − 2i
iπ i⎛ π −θ ⎞
2i + reiθ − 2i reiθ r
3i −iθ 3
−iθ
3 ⎜ 2 ⎟
3 ⎜ 2 ⎟
3 ⎜ 2 ⎟
3/ 1
e ⎝ ⎠
r
= 3 ⇔
e ⎝ ⎠
r
–_–,
1
= 3 ⇔ = 3/ ⇔ = 1 ⇔
r r
r = 1
Ainsi, on aura
z = zA + eiθ
⇔ z − zA = eiθ , ce qui implique
z − zA
= eiθ
= 1 ⇔ AM = 1 et arg ( z − zA ) = θ
(2π ) .
Le point M appartient donc au cercle de centre A et de rayon 1. E₁ est donc le
cercle de centre A et de rayon 1.
i⎛ π −θ ⎞
3 ⎜ 2 ⎟ π
b) Puisque
z′ −1 =
e ⎝ ⎠ , on aura
r
arg ( z′ −1) = −θ
2
(2π ) . Un point M aura une affixe z vérifiant
π π π π iπ
arg ( z′ −1) =
(2π ) si et seulement si : −θ = (2π ) ⇔ θ = (2π ) . Ainsi z − zA = e 4 ,
donc
4
→ ––––→ π
2 4 4
π
(u; AM ) =
(2π ) . Le point M appartient donc à la demi-droite d’origine A et d’équation
polaire θ =
4
π
(2π )
E₂ est donc la demi-droite d’origine A et d’équation polaire θ =
4
c)
Exercice n°17
1) La rotation r de centre Ω(−1) et d’angle π est la transformation qui, à tout z
associe z′ = r ( z ) tel que
3
iπ iπ iπ
⎛ 1 3 ⎞ 3 1
−iπ
iπ ⎛
−iπ
⎝ ⎠
⎞ iπ iπ
⎛⎛ 1 3 ⎞
3 1 ⎞
t ∘ r ( z ) = t (r ( z )) = t ⎜⎜ 2 + 2 i ⎟ z +
2 i − 2 ⎟
⎛ 1 3 ⎞
⎝⎝ ⎠
3 1
⎠
⎛ 1 3 ⎞
3 1 ⎛ 1 3
⎞ ⎛ 1 3 ⎞ iπ iπ
= ⎜ 2 +
2 i ⎟ z +
i − −
2 2
3i = ⎜ 2 +
2 i ⎟ z −
2 i − 2 = ⎜ 2 +
2 i ⎟ z − ⎜ 2 +
2 i ⎟ = e 3 z − e 3
⎝ ⎠ ⎝ ⎠ ⎝ ⎠ ⎝ ⎠
Déterminons les éventuels points fixes de cette transformation, en résolvant
l’équation :
t ∘ r ( z ) = z
2π π
iπ π
⇔ ⎛ 1 +
3 ⎞ − ⎛ 1 +
3 i ⎞ = z
⎛ 1 3 ⎞
= ⎛ 1 +
3 i ⎞ ⇔ ei 3 z = ei 3
⇔ z = e 3 = e−i 3
⎜ 2 2
i ⎟ z
⎜ 2 2 ⎟
⇔ ⎜ − 2 +
2 i ⎟ z
⎜ 2 2 ⎟
2π
⎝ ⎠ ⎝ ⎠ ⎝ ⎠ ⎝ ⎠
On reconnaît l’affixe du point A. L’unique point fixe de la transformation t ∘ r
i
e 3
est le point A
iπ iπ iπ iπ
En écrivant simultanément t ∘ r ( z ) = e 3 z − e 3 et et zA = e 3 zA − e 3 ,
iπ
on obtient, par soustraction, t ∘ r ( z ) − zA = e 3 ( z − zA )
π
La transformation t ∘ r
est donc la rotation de centre A et d’angle
3
Exercice n°18
1) Déterminons les éventuels points fixes de cette transformation, en résolvant
l’équation :
z′ = z ⇔ z = 2 ( z + 3 − 4i) − 3 + 4i
⇔ z = 2z + 6 − 8i − 3 + 4i
⇔ z = −3 + 4i
La transformation f admet un point fixe Ω , d’affixe zΩ = −3 + 4i .
En écrivant successivement
z′ − zΩ = 2 ( z − zΩ ) .
z′ = 2z + 3 + 4i et
zΩ = 2zΩ + 3 + 4i , puis en soustrayant membre à membre, on obtient :