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RITUEL DE CÉRÉMONIE
DE JUMELAGE DE LOGES
Édition 6012
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CALENDRIER ET DATATION MAÇONNIQUE
On distingue ainsi l’Ère Vulgaire (E∴ V∴ 2012) de l’Ère Maçonnique (E∴ M∴ 6012).
Ainsi, on dira que le 1er Février 2012 (E∴ V∴) est le premier jour du 12ème mois 6011
(E∴ M∴) et le 1er Mars 2012 (E∴ V∴) est le premier jour du 1er mois 6012 de l’E∴M∴, on
peut dire aussi l’année 6012 de la V∴ L∴
Exemple :
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PRÉALABLES
Le Temple doit être préparé avec le plus grand soin comme pour n'importe quelle
cérémonie maçonnique.
Les postes de Premier et Second Surveillants, Orateur, Secrétaire, Expert et Maître des
Cérémonies, Hospitalier, Trésorier seront doublés et occupés simultanément par les Officiers
des deux Ateliers jumelés.
Au milieu du Temple, tout près de l'Orient est placée la table de Jumelage. Sur cette table, se
trouvent :
‐ Les deux Chartes identiques, en français (et, le cas échéant, dans la langue du
pays concerné), que signeront au cours de la cérémonie les Vénérables Maîtres, les
Orateurs et les Secrétaires des deux Ateliers.
‐ La médaille consacrant la cérémonie.
‐ L'équerre et le compas au grade d'Apprenti.
‐ Deux glaives enlacés.
‐ Deux roses, l'une blanche, l'autre rouge.
‐ Une coupe emplie de vin.
‐ Deux flambeaux éclaireront la table de Jumelage pendant toute la cérémonie.
La première rangée des colonnes doit être réservée aux Frères et Sœurs qui formeront la
voûte d'acier.
Le Vénérable Maître de la Loge jumelée ainsi que son collège d'Officiers se réuniront dans
les parvis et seront introduits avec solennité, ainsi que les dignitaires des deux Obédiences
concernées le cas échéant.
Les Frères et Sœurs des Ateliers jumelés seront directement introduits dans le Temple,
sans formalité et avant l'ouverture des travaux. On exigera le silence.
L'organisation de la cérémonie est confiée au Maître des Cérémonies. Prévoir des roses pour
les épouses et les compagnes.
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I ‐ OUVERTURE DES TRAVAUX
‐ Mes Frères et Sœurs, veuillez faire silence. Notre Vénérable Maître, accompagné
des Officiers de la Loge.
‐ Mes Frères et Sœurs, formez la voûte d'acier.
Colonne d'Harmonie
Le cortège entre dans le Temple et se dirige vers l'Orient. Les Officiers gagnent ensuite leurs
plateaux respectifs.
Le Vénérable Maître
‐ Mes Frères et Soeurs, baissez vos glaives et prenez place.
Ceci fait.
Le Vénérable Maître
Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
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Le Second Surveillant
‐ Trois ans.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Premier Surveillant, quel est le premier devoir d'un Surveillant en Loge ?
Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
Le Premier Surveillant invite le Couvreur à s’assurer que le Temple est couvert. Après que le
Couvreur lui ait rendu compte, à voix basse, de son examen :
Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Second Surveillant, quel est le second devoir d'un Surveillant en Loge ?
Le Second Surveillant
‐ Vénérable Maître, c'est de s'assurer que tous les Frères et les Sœurs présents sont
membres réguliers de la Loge ou visiteurs connus.
Le Vénérable Maître
‐ Frères (Sœurs) Premier et Second Surveillants, assurez‐vous que tous les Frères
e t l e s S œ u r s qui décorent les Colonnes sont membres réguliers de la Loge ou visiteurs
connus.
Les Frères (Sœurs) Premier et Second Surveillants tenant leur maillet contre l’épaule gauche,
longent chacun leur Colonne. Ils se croisent à l’Orient en marquant l’Équerre et reviennent
vers l’Occident chacun sur la Colonne opposée, puis ils se croisent à nouveau ; alors, le
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Second Surveillant rend compte à voix basse au Premier Surveillant ; les deux rejoignent leur
plateau respectif.
Le Premier Surveillant
‐ Vénérable Maître, tous les Frères e t l e s S œ u r s qui décorent les Colonnes sont
membres réguliers de la Loge ou visiteurs connus.
Le Vénérable Maître
Le Vénérable Maître
‐ Mes Frères et mes Sœurs, un Franc‐Maçon du Grand Orient de France doit avoir
toujours présents à l'esprit les principes capitaux de notre Ordre. Les Constitutions
d'Anderson précisent que la Franc‐Maçonnerie a été fondée pour réunir les hautes valeurs
morales qui, sans elle, auraient continué de s'ignorer, et pour être le centre de L'union. La
Franc‐Maçonnerie a pour mission de préparer la concorde universelle ; elle doit donc
améliorer à la fois l'homme et la société. A l'accomplissement de sa mission, le Grand Orient
de France n'admet aucune entrave. Ses moyens sont définis par l'article premier de la
Constitution. Je vais vous en donner lecture.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Premier Surveillant, à quelle heure les Francs‐Maçons ouvrent‐ils leurs
travaux ?
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Le Premier Surveillant
‐ A midi.
Le Vénérable Maître
Le Second Surveillant
‐ Il est midi.
Le Vénérable Maître
Le Premier Surveillant
‐ Frères et Sœurs de la Colonne du Midi, vous êtes invités par le Vénérable Maître et
par moi à vous joindre à nous pour ouvrir les travaux de la Respectable Loge
……………….., Orient de ……………….., au grade d'Apprenti, en la forme accoutumée.
Le Second Surveillant
‐ Frères et Sœurs de la Colonne du Nord, vous êtes invités par le Vénérable Maître, le
Frère (la Sœur) Premier Surveillant et par moi à vous joindre à nous pour ouvrir les travaux
de la Respectable Loge ……………….., Orient de ……………….., au grade d'Apprenti, en la forme
accoutumée.
Le Vénérable Maître
‐ A moi, mes Frères et mes Sœurs, par le signe, la batterie et l'acclamation : Liberté ‐
Égalité – Fraternité !
‐ Les travaux sont ouverts. Prenez place, mes Frères et mes Sœurs.
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II ‐ ENTRÉE DES DÉLÉGATIONS
Lorsque le Vénérable le juge préférable, les visiteurs sont priés d’attendre dans les parvis ;
ils sont introduits en groupe après l’adoption du tracé des derniers travaux. L’entrée du
Temple ne peut être accordée tant qu’un Frère ou une Sœur a la parole. Il est même
préférable, pour donner l’entrée, d’attendre que la discussion en cours soit terminée.
Un coup de maillet : ‐ • ‐
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, veuillez aller dans les parvis voir s’il y a des
Frères et Sœurs visiteurs et en rendre compte à la Loge.
Le Maître des Cérémonies remplit sa mission, se place entre les Colonnes et rend compte en
s’adressant au Vénérable.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, introduisez dans le Temple les Frères et Sœurs
visiteurs.
Le Maître des Cérémonies se rend dans les parvis, frappe à la porte les coups du grade et
annonce les visiteurs.
Le Vénérable Maître
Un coup de maillet : ‐ • ‐
Le Vénérable Maître
La porte ayant été ouverte, le Maître des Cérémonies entre le premier, fait ranger les
visiteurs entre les Colonnes après qu’ils ont fait leur pas et salué. Il se place un peu à leur
gauche. La marche consiste, étant à l’Ordre et le corps légèrement effacé, à faire trois pas en
avant, en partant du pied droit et en assemblant à chaque pas les pieds en équerre, talon
contre talon, puis à faire le signe comme salut au Second Surveillant, au Premier Surveillant,
puis au Vénérable. Le Vénérable complimente les visiteurs et, le cas échéant, fait tirer en leur
honneur une triple batterie.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, conduisez les Frères et Sœurs visiteurs aux
places qu’ils doivent occuper.
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Les visiteurs prennent place sur les Colonnes. Les Vénérables venus en visiteurs seront priés
de prendre place à l’Orient. Il est possible d’y inviter les anciens Vénérables de la Loge.
Le Vénérable Maître
La députation sera conduite jusqu’au bas des marches de l’Orient par le Maître des
Cérémonies, porteur de la canne, assisté de deux Frères (Sœurs) Maîtres, munis d’épées.
Le Maître des Cérémonies prendra le commandement de l’escorte et assumera la conduite
du cortège.
Lorsque les Frères et Sœurs devant composer l’escorte ont été désignés ; Le Premier
Surveillant donne un coup de maillet : ‐ • ‐
Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Premier Surveillant, il va être fait droit à leur demande. Frère (Sœur)
Grand Expert et Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, veuillez vous rendre entre les
colonnes, accompagnés du Frère (de la Sœur) Porte‐étendard. Vous accueillerez ensuite nos
Frères et nos Sœurs et vous les accompagnerez à l'Orient.
Les Frères (Sœurs) constituant l’escorte se rendent dans les parvis où le cortège est formé. A
l’arrivée du cortège, le Couvreur ouvre la porte à deux battants.
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Le Vénérable Maître
‐ Debout et à l’Ordre, mes Frères et mes Sœurs. Formez la voûte d'acier. Frères
(Sœurs) Surveillants, maillets battants.
Tous les Frères et Sœurs se lèvent et se mettent à l’Ordre. La députation pénètre dans le
Temple et est conduite jusqu’au bas des marches de l’Orient. Les membres de la
députation ne sont pas assujettis à faire le pas, ni à saluer les Surveillants. Ils ne saluent du
signe que le Vénérable lorsqu’ils s’arrêtent.
Lorsque le cortège arrive devant les marches de l’Orient, le Maître des Cérémonies se place
à gauche du Chef de la Députation, les deux Frères (Sœurs) munis d’épées les encadrent
tous les deux, tous font face à l’Orient.
Le Vénérable Maître
Le Vénérable Maître complimente alors les membres de la députation et fait tirer une triple
batterie en leur honneur.
Cela fait ;
Le Vénérable Maître (la Vénérable Maîtresse) de la Loge jumelée monte à l'Orient, les Frères
(Sœurs) Officiers gagnent leurs plateaux respectifs.
Les Dignitaires du Grand Orient de France sont introduits après les visiteurs isolés et les
députations d’Ateliers. S’il y a plusieurs Dignitaires, on introduit d’abord les membres du
Conseil de l’Ordre, puis les Grands Maîtres Adjoints, enfin le Grand Maître. Quand le
Grand Maître (ou un Grand Maître Adjoint) est accompagné d’autres membres du Conseil de
l’Ordre et qu’il décide que ceux‐ci seront reçus en même temps que lui, il doit toujours entrer
le dernier.
Le Grand Maître est conduit jusqu’au bas des marches de l’Orient par le Maître des
Cérémonies assisté de quinze Frères et Sœurs, les Grands Maîtres Adjoints de neuf, les
membres du Conseil de l’Ordre de sept. L’escorte doit comprendre le Maître des
Cérémonies, porteur de la canne, le Grand Expert muni de l’épée, deux porteurs de
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flambeaux allumés, enfin douze, six ou quatre Frères et Sœurs selon le cas (si possible des
Maîtres), tenant des épées. Le Maître des Cérémonies prend le commandement de l’escorte
et assume la conduite du cortège.
Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, introduisez dans le Temple le Grand Maître (ou
le Grand Maître Adjoint, ou le représentant du Conseil de l’Ordre) du Grand Orient de
France. Mes Frères et mes Sœurs, tenez‐vous prêts à le recevoir.
Les Frères et les Sœurs constituant l’escorte se rendent dans les parvis, cependant que les
Frères et les Sœurs autant que possible des Maîtres, rangés sur le premier banc de l’une de
chacune des Colonnes, prennent une épée dans la main droite et la tiennent verticalement,
pointe à terre.
Le cortège se forme sur les parvis de la manière suivante : en tête, les deux Frères (Sœurs)
porteurs de flambeaux, puis le Maître des Cérémonies, ensuite le Dignitaire ayant à sa
droite le Grand Expert, enfin les autres Frères et Sœurs de l’escorte deux par deux.
Les délégations des Puissances maçonniques étrangères reconnues par le Grand Orient de
France doivent être reçues avec les mêmes honneurs que ceux du Grand Orient de France,
selon le rang du Dignitaire, chef de la délégation. S’il y a plusieurs délégations, on introduit
d’abord celles des Ateliers de Perfectionnement, puis celles des Obédiences ; dans chaque
groupe, les délégations des puissances maçonniques les plus récemment créées viennent en
tête, celle de la Puissance maçonnique la plus ancienne la dernière.
Tous les Frères et les Sœurs se lèvent ; ceux qui sont munis d’épées tiennent celles‐ci dans
la main droite, pointe à terre, le bras gauche pendant naturellement ; les autres se mettent
à l’Ordre.
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‐ Donnez‐lui l’entrée du Temple. Frères et Sœurs munis d’épées, formez la voûte
d’acier ; Frères (Sœurs) Surveillants, maillets battants.
Les Frères et Sœurs munis d’épées gardent la main haute, en levant leurs épées devant eux,
la lame légèrement inclinée pour former une voûte sous laquelle le Dignitaire pourra passer.
Elle est tenue de la main droite, la gauche pendant naturellement. Elles doivent rester
immobiles. Elles ne doivent pas se heurter les unes contre les autres pour produire un
cliquetis. Les Frères et Sœurs conservent cette position jusqu’au commandement "reprenez
vos places mes Frères et mes Sœurs".
Le Dignitaire pénètre dans le Temple et est conduit jusqu’au bas des marches de l’Orient. Les
Dignitaires de l’Ordre ne sont pas assujettis à faire les pas, ni à saluer les Surveillants. Ils ne
saluent, du signe que le Vénérable lorsqu’ils s’arrêtent.
Au fur et à mesure que le cortège entre dans le Temple, et s’il est nécessaire, les Frères et
Sœurs munis d’épées qui l’accompagnent se rangent de chaque côté pour prolonger la voûte
d’acier. Si le besoin ne s’en fait pas sentir, ils restent dans le cortège, l’épée au creux de
l’épaule.
Lorsque le cortège arrive aux marches de l’Orient, le Maître des Cérémonies se place à la
gauche du Dignitaire, cependant que le Grand Expert reste à sa droite, les deux Frères
(Sœurs) porteurs de flambeaux les encadrent tous trois, les Frères et Sœurs munis d’épées,
s’ils ne prolongent pas la voûte d’acier, restent à leur place respective dans le cortège, tous
font face à l’Orient.
Le Vénérable Maître
Le Vénérable souhaite la bienvenue au Dignitaire et fait tirer une triple batterie en son
honneur.
‐ Et maintenant, mon Très Cher Frère Conseiller de l'Ordre, veuillez prendre place à
l'Orient.
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Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, veuillez vous munir de votre flambeau éteint
et vous rendre au‐devant de ce Frère (cette Sœur) que vous ferez pénétrer dans le Temple.
Le Frère (la Sœur) Maître des Cérémonies se rend à la porte du Temple, accueille le Frère (la
Sœur) et l'accompagne jusqu'à l'Orient avec son flambeau éteint.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, allumez maintenant votre flambeau à celui de
notre Frère (Sœur) ……. Il (elle) nous l'a apporté pour contribuer désormais à éclairer nos
travaux. La fraternité est un des postulats les plus importants de notre institution. Mes
Frères et mes Sœurs, vous venez de fournir le témoignage de votre attachement à notre
Atelier. Soyez‐en vivement remerciés et que la Lumière que vous apportez de …………….
conduise désormais nos travaux dans la recherche de la Vérité.
‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, conduisez notre Frère (Sœur) ………. à sa
colonne et reprenez votre place.
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III ‐ CÉRÉMONIE DE JUMELAGE PROPREMENT DITE
Le Vénérable Maître
Le Premier Surveillant
‐ Vénérable Maître, nous devons concrétiser avec nos Frères (nos Sœurs) de la
Respectable Loge ………….., à l'Orient de …………, les contacts et les démarches effectués en
vue d'un jumelage fraternel. Ces liens scellés aujourd'hui seront ensuite éprouvés et
confirmés par le temps, ainsi que les efforts et le travail consacré en commun à la réalisation
de notre Idéal maçonnique.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Second Surveillant, quel est l'Idéal des Maçons de tous pays ?
Le Second Surveillant
Le Vénérable Maître
Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
‐ Tels sont en effet succinctement résumés et nos buts et nos moyens. Nous
regardons tous les Hommes comme nos égaux et nos Frères et Sœurs. Nous nous
attachons à combattre l'orgueil, les erreurs et les préjugés. Nous luttons sans trêve contre
l'ignorance et les superstitions qui sont les principales sources des maux de l'Humanité.
Nous poursuivons sans relâche ceux qui, en vue d'intérêts matériels ou par esprit de
domination, s'efforcent de les maintenir et de les propager. Nous recommandons la Justice
réciproque, grâce à laquelle les droits et les intérêts de chacun sont préservés et la
Tolérance qui laisse tout homme maître de sa pensée. Nous aimons tous nos semblables
sans distinction, le pauvre comme le riche, le faible comme le fort, l'ignorant comme le
savant. Nous plaignons celui qui s'égare quelle que soit sa condition et nous nous efforçons
de le ramener dans le droit chemin. Nous venons au secours de l'infortune et de l'affliction.
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Ces biens sont universels et c'est pourquoi il nous a paru important, à nous Maçons de la
Respectable Loge ………., pour le progrès de l'individu, autant que pour l'amélioration
matérielle et morale, le perfectionnement intellectuel et social de l'Humanité, de sortir des
frontières artificielles du monde profane, en nous tournant vers nos Frères (nos Sœurs) de
la Respectable Loge …………… qui ont si fraternellement répondu à notre appel.
‐ Vénérable Maître, ….
Le Vénérable Maître
‐ Mes Frères (mes Sœurs) Grands Experts des deux Ateliers, veuillez prendre place au
pied des marches de l'Orient, munis de vos glaives respectifs.
Le Vénérable Maître
‐ Mes Frères et mes Sœurs, au glaive qui symbolise l'égalité entre tous les
membres d'une même Loge, s'associe presque toujours l'idée de Lumière. C'est le symbole
du verbe, autrement dit de la pensée active. Il ne peut vaincre que par la puissance de l'Idée
et la Force qu'elle porte en elle‐même. Il caractérise l'esprit de lutte, c'est‐à‐dire la volonté
de se cultiver soi‐même, et sans aucune pensée homicide, de triompher de l'inculture, de
l'obscurantisme et de la paresse pour arriver à la connaissance, à la Lumière que nous
recherchons tous.
‐ Vous allez échanger vos glaives afin que soit concrétisé de façon symbolique
l'échange qui doit se produire entre nous et nos Frères (nos Sœurs) jumeaux sur le plan de la
Pensée, de la Morale et de l'Action.
L'échange se fait.
Le Vénérable Maître
Ceci fait.
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‐ Vénérable Maître, … ……
Ceci fait.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Orateur, nous allons procéder au jumelage proprement dit. Veuillez
donner lecture de l'engagement solennel qui va désormais lier nos deux Ateliers.
L'Orateur
‐ CHARTE DE JUMELAGE
En ce …..e jour du …..e mois de l'an 6…....., les Frères et Sœurs Apprentis, Compagnons et
Maîtres des Respectables Loges ………………….........… à l'Orient de ……………............…………
et………………..................... à l'Orient de ……………….....…………….., réunis fraternellement à
……………….......………….., proclament solennellement leur commune volonté :
‐ de s'unir dans une totale liberté de conscience pour apporter leur pierre à la
construction du Temple de la Franc‐Maçonnerie universelle.
‐ de s'unir pour atteindre le but essentiel de la Franc‐Maçonnerie : la recherche de la
vérité.
‐ de s'unir pour hâter la réalisation de l'idéal de la Franc‐Maçonnerie : le progrès de
l'humanité.
‐ de s'unir pour répandre en commun la lumière de la Franc‐Maçonnerie : l'amour de
l'humanité.
Maillons d'une Chaîne d'Union qu'elles voudraient sans fin, nos Respectables Loges en
appellent à toutes les Loges maçonniques du monde, pour qu'elles se jumellent entre
elles et établissent ainsi les liens qui devraient unir les Francs‐Maçons du monde entier.
Pour donner un objectif de travail et un but à leur jumelage, les deux Ateliers décident
de conduire en commun et en permanence, des travaux de recherche sur l'évolution de
la pensée et de l'action maçonniques, dans la triple voie de la recherche initiatique, de la
recherche philosophique, de la recherche progressive.
L'Orateur étranger
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Le Vénérable Maître
‐ Nous le promettons.
Le Vénérable Maître
Ceci fait.
‐ Nous le promettons.
Ceci fait.
Le Vénérable Maître
Ceci fait.
‐ Mon Très Cher Frère et Vénérable Maître (ma Très Chère Sœur et Vénérable
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Maîtresse), je t'invite à signer, avec nos Frères (et Sœurs) Secrétaires et Orateurs respectifs,
les documents qui scelleront pour les temps qui viennent notre Fraternité.
Ceci fait.
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IV – RECEPTION DES EPOUSES (EPOUX) ET DES COMPAGNES (COMPAGNONS)
(Éventuellement)
Le Vénérable Maître
Le Vénérable Maître
‐ Frères (Sœurs) Maîtres des Cérémonies, faites‐vous accompagner par vos adjoints et
introduisez dans le Temple nos invités.
Le Vénérable Maître
Le Premier Surveillant
‐ De tous temps, notre Ordre a considéré le Travail comme sacré. Notre idéal de
perfectionnement humain ne se limite pas à nos Frères et à nos Sœurs. Nous avons le culte
de l'amitié, du partage et de la mise en commun des efforts ; là est la véritable source de
notre fraternité.
Le Vénérable Maître
‐ Dites‐nous encore les raisons de notre présence en ces lieux, Frère (Sœur) Second
Surveillant.
Le Second Surveillant
‐ La recherche de la vérité est aussi un de nos soucis constants, comme l'est également
la philanthropie. Hommes du siècle, nous restons attentifs à tous les mouvements culturels,
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techniques, artistiques et sociaux de notre temps. La philosophie et la morale ont, tout
naturellement, leur place dans nos études. Le jumelage scellé aujourd'hui entre nos deux
Ateliers en est un témoignage certain.
Le Vénérable Maître
‐ Mesdames (Messieurs), il nous a paru très important, pour l'avenir de nos relations
futures avec nos Frères jumeaux (Sœurs jumelles), que nos familles, tant de France que de
……….. soient étroitement associées à nos travaux et participent effectivement à cette
cérémonie.
Le Premier Surveillant
‐ Vénérable Maître, celle qui, près de nous, nous aide dans notre tâche quotidienne et
mérite grandement d'être à l'honneur.
Le Vénérable Maître
‐ Frère (Sœur) Second Surveillant, pourquoi notre choix se porte‐t‐il sur elle ?
Le Second Surveillant
‐ Vénérable Maître, c'est qu'il est tout naturel que, partageant nos peines, elle
participe à nos joies. C'est la personne que l'on estime le plus, celle à qui est destinée la rose
du premier jour.
Le Vénérable Maître
‐ Puisqu'il en est ainsi, Frères Maîtres des Cérémonies et Frères Grands Experts, allez
chercher pour les honorer Madame (Monsieur) ………………. et Madame (Monsieur)
……………….
Les Maîtres des Cérémonies et les Experts conduisent les deux personnes à l'Orient.
Le Vénérable Maître
‐ Mesdames (Messieurs), vous symbolisez par votre présence l'intérêt que nous
portons à voir nos familles étroitement associées à notre vie maçonnique. Vous symbolisez
également par cette même présence l'affection que vous nous portez et que nous vous
rendons bien. C'est pourquoi, je demande aux Frères (Sœurs) Grands Experts de remettre à
chacune de vous la rose décorée.
Ceci fait.
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Le Vénérable Maître
Pour symboliser l'union totale de nos familles entre elles, veuillez échanger vos roses.
Ceci fait.
Ceci fait.
Le Vénérable Maître
‐ Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont bien voulu en venant participer à
cette cérémonie, nous apporter un témoignage d'affection et de sympathie. J'espère qu'elles
emporteront d'ici des sentiments d'estime pour nos institutions séculaires, mais bien
vivantes et actives.
‐ En assistant à nos travaux, elles comprennent mieux l'importance des symboles dont
nous avons coutume d'entourer toutes les grandes circonstances de la vie. De même, les
grands événements sont toujours chez les hommes des occasions d'émotions aussi vives
qu'imprécises et fugaces, nous pensons qu'il y a un intérêt certain à les préciser et à les
rendre durables en les matérialisant en quelque sorte dans des images symboliques.
‐ Le symbolisme n'est en réalité qu'une des formes du langage universel. C'est à lui que
la Franc‐Maçonnerie s'adresse pour idéaliser ses doctrines, les rendre plus sensibles à ses
membres, les graver profondément dans leurs mémoires. C'est par lui qu'elle donne en
même temps une satisfaction légitime à ce besoin latent, au fond du cœur de tous les
humains, de rendre emblématiques les grands événements publics ou privés qui comme
celui d'aujourd'hui, constituent dans l'existence une date, un souvenir, un enseignement.
Musique douce.
Le Frère (la Sœur) Maître des Cérémonies et ses adjoints distribuent les roses. Ceci fait.
Le Vénérable Maître
‐ Nous vous donnons cela en partage, en vous remerciant une fois encore de votre
visite. Nous espérons vous revoir dans ce Temple où vous serez toujours les bienvenus.
‐ Les usages maçonniques veulent que nous terminions nos travaux de ce jour entre
Francs‐Maçons, suivant les règles de notre institution. Veuillez en comprendre les raisons
et ne pas vous en formaliser. Nous vous rejoindrons très rapidement.
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‐ Frère (Sœur) Maître des Cérémonies, veuillez raccompagner nos invités avec l'aide
de vos adjoints.
Les membres de la Loge se lèvent. La sortie se fait lentement en ordre, par travées,
en musique éventuellement. Quelques Frères et Sœurs peuvent accompagner les profanes et
rester avec eux, en attendant l'arrivée des autres Frères et Sœurs de la Loge.
Le Vénérable Maître
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V ‐ CHAÎNE D'UNION
Le Vénérable Maître
Un coup de maillet : ‐ • ‐
‐ Debout, mes Frères et mes Sœurs, et unissons nos mains suivant la forme rituelle.
Pour unir les chaînons, chacun des Frères et Soeurs qui compose la Chaîne croise les bras
devant sa poitrine et, de sa main droite, prend la main gauche de celui qui est placé à sa
gauche. Bras droit sur le gauche.
Si la distance qui peut exister entre certains des Frères et Sœurs constituant la Chaîne ne
permet pas de croiser les bras, ces Frères et Sœurs peuvent se contenter d'étendre les bras
et de prendre, de leur main droite, la main gauche de celui qui est à leur droite et, de leur
main gauche, la main droite de celui qui est à leur gauche.
Si des Frères et Sœurs restent placés en arrière du premier rang des Colonnes ou de
l'Orient, ils doivent former entre eux des portions de chaînes et les Frères et Sœurs placés
à chaque extrémité de ces chaînes secondaires doivent se rattacher à la Chaîne principale en
portant leur main libre sur des mains unies du rang qui est devant eux ou, en cas
d'impossibilité, sur l'épaule d'un des Frères participant à la Chaîne.
Tous les Frères et Sœurs présents doivent avoir les deux mains rattachées à la Chaîne, si le
Vénérable conservait son maillet de la main droite ou tenait entre ses mains le rituel ou
un morceau d'architecture, les Frères et Sœurs placés à ses côtés poseraient chacun leur
main libre sur l'une de ses épaules.
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Le Vénérable Maître
‐ Que nos cœurs se rapprochent en même temps que nos mains ; que l'Amour
fraternel unisse tous les anneaux de cette Chaîne formée librement par nous. Comprenons
la grandeur et la beauté de ce symbole ; inspirons‐nous de son sens profond. Cette Chaîne
nous lie dans le temps comme dans l'espace ; elle nous vient du passé et tend vers
l'avenir. Par elle, nous sommes rattachés à la lignée de nos ancêtres, nos Maîtres vénérés
qui la formaient hier ; par elle, doivent s'unir les Francs‐Maçons de tous les rites, de
tous les pays. Enrichissons‐la de nombreux et solides anneaux de pur métal et, élevant
nos esprits vers l'Idéal de notre Ordre, efforçons‐nous de rapprocher tous les hommes par
la Fraternité.
Chant des Adieux
Faut‐il nous quitter sans espoir,
Sans espoir de retour,
Faut‐il nous quitter sans espoir
De nous revoir un jour.
Ce n'est qu'un au revoir, mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir
Oui, nous nous reverrons mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir.
Formons de nos mains qui s'enlacent
Au déclin de ce jour,
Formons de nos mains qui s'enlacent
Une chaîne d'amour.
Ce n'est qu'un au revoir, mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir
Oui, nous nous reverrons mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir.
Unis par cette douce chaîne
Tous, en ce même lieu,
Unis par cette douce chaîne,
Ne faisons point d'adieu.
Ce n'est qu'un au revoir, mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir
Oui, nous nous reverrons mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir.
Car l'Idéal qui nous ressemble
Vivra dans l'Avenir,
Car l'Idéal qui nous ressemble
Saura ne nous réunir.
Ce n'est qu'un au revoir, mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir
Oui, nous nous reverrons mes Frères,
Ce n'est qu'un au revoir.
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‐ Francs‐Maçons, étendons la main droite. Promettons de conserver les uns pour les
autres la plus fraternelle affection et de travailler sans relâche à réaliser la Fraternité
universelle.
Les Grands Experts étendent la main droite vers l’Orient.
Le Vénérable Maître
‐ Je prends acte de votre promesse. Reprenez vos places, mes Frères et mes Sœurs.
‐ Mes Frères et mes Sœurs, restez debout et munissez‐vous des épées. Frères
(Sœurs) Maître des Cérémonies, préparez‐vous à reconduire hors du Temple les Dignitaires
de l'Ordre.
Le Maître des Cérémonies prépare l'escorte qui doit comprendre le Maître des Cérémonies
porteur de la canne, le Grand Expert muni du glaive, deux Maîtres porteurs de flambeaux
allumés, enfin douze, six ou quatre FF∴ (autant que possible des Maîtres) suivant le rang du
Dignitaire le plus important, tenant des épées.
Lorsque l'escorte est prête, les Frères et Sœurs qui la composent s'approchent de l'Orient. Le
Couvreur ouvre la porte à deux battants.
Le Grand Maître, s'il est présent, ou le plus haut Dignitaire du Grand Orient de France,
descend le premier, suivi par les autres Dignitaires qui descendent deux à deux de l'Orient,
venant de droite et de gauche, en commençant par les plus près du fauteuil présidentiel.
La sortie s'effectue dans l'ordre suivant : en tête les deux Frères (Sœurs) porteurs de
flambeaux, puis le Maître des Cérémonies, ensuite le plus haut Dignitaire du Grand Orient de
France ayant à sa droite le Grand Expert, après les autres Dignitaires deux par deux, enfin les
autres membres de l'escorte deux par deux.
Lorsque le cortège a quitté le Temple, le Couvreur ferme la porte.
L'escorte accompagne les Dignitaires jusqu'aux parvis, après quoi les Frères et les Sœurs qui
la composent regagnent sans cérémonie le Temple.
Lorsqu'ils ont repris leurs places sur les Colonnes, le Vénérable ordonne la circulation des
troncs et la clôture des travaux.
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VI ‐ CIRCULATION DES TRONCS ET CLÔTURE DES TRAVAUX
Le Vénérable Maître
Si des Frères ou des Sœurs demandent la parole, le Vénérable Maître la leur accorde. Le
Vénérable donne un coup de maillet : ‐ • ‐
Le Vénérable Maître
‐ Le sac aux propositions et le Tronc de la Veuve vont circuler. Frères (Sœurs) Maîtres
des Cérémonies et Frères (Sœurs) Hospitaliers, remplissez votre Office.
Leur mission étant accomplie, les Officiers se placent entre les Colonnes. Le Premier
Surveillant donne un coup de maillet : ‐ • ‐
Le Premier Surveillant
Le Vénérable Maître
Le Vénérable vérifie le sac aux propositions. S'il n'y trouve rien, il en informe la Loge. S'il y a
des propositions signées, il en donne le contenu pour qu'il y soit donné suite lors des
prochaines Tenues. S'il y a des écrits non signés, il les détruit immédiatement. Suivant la
tradition de la Loge, il compte ensuite le contenu du Tronc de la Veuve avec le Secrétaire et
l'Orateur ou il le remet directement au Frère (à la Sœur) Hospitalier qui devra le compter
et en préciser le contenu au Secrétaire.
‐ Nos travaux sont terminés. De longs et pénibles efforts seront encore nécessaires
avant que notre tâche soit achevée. La pierre brute est à peine dégrossie. L’heure du
repos n’est donc pas arrivée.
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Le Premier Surveillant
‐ Vénérable Maître, nos Frères et nos Sœurs n’aspirent pas au repos ; ils
promettent de continuer, au dehors du Temple, l’œuvre maçonnique.
Le Second Surveillant
‐ Ils répandront les vérités qu’ils ont acquises, ils feront aimer notre Ordre par
l’exemple de leurs qualités, ils prépareront, par une action incessante et féconde,
l’avènement d’une humanité meilleure et plus éclairée.
Le Vénérable Maître
‐ La Lumière qui éclaire le Temple doit rayonner sur tout l’univers. A toute heure,
rappelons la grandeur des devoirs que nous nous sommes imposés. A toute heure, soyons
prêts à les remplir.
‐ Frère (Sœur) Premier Surveillant, jusqu’à quelle heure travaillent les Francs‐Maçons ?
Le Premier Surveillant
‐ Jusqu’à minuit.
Le Vénérable Maître
Le Second Surveillant
‐ Il est minuit.
Le Vénérable Maître
‐ Puisqu'il est l'heure du repos, Frère (Sœur) Premier Surveillant et Frère (Sœur)
Second Surveillant, invitez les Frères et Sœurs qui décorent vos Colonnes respectives à se
joindre à vous et à moi pour fermer les travaux des Respectables Loges ……………….., au grade
d’Apprenti en la forme accoutumée.
Le Premier Surveillant
‐ Frère (Sœur) Second Surveillant, Frères et Sœurs qui décorez la Colonne du Midi,
vous êtes invités par le Vénérable Maître et par moi à vous joindre à nous pour fermer les
travaux des Respectables Loges ……………….., au grade d’Apprenti en la forme accoutumée.
Le Second Surveillant
‐ Frères et Sœurs qui décorez la Colonne du Nord, vous êtes invités par le Vénérable
Maître, par le Frère (Sœur) Premier Surveillant et par moi à fermer les travaux des
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Respectables Loges ……………….., au grade d’Apprenti en la forme accoutumée.
Le Vénérable Maître
‐ Debout et à l'Ordre.
Le Vénérable Maître
‐ A moi mes Frères et mes Sœurs, par le signe, la batterie et l'acclamation : Liberté ‐
Égalité – Fraternité !
Tous
‐ Je le promets.
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Ce Cahier du Rituel de Cérémonie de Jumelage de Loges a été revu en 6012 par la
Commission du Maçonnisme du Conseil de l’Ordre et approuvé par le Conseil de l’Ordre
dans sa Tenue du mercredi 29 août 6012.
Le présent exemplaire des Cahiers du Rituel Cérémonie de Jumelage de Loges est délivré,
avec deux exemplaires identiques, sous le sceau du Grand Orient de France,
à la R∴ L∴ ………..………………., à l’O∴ de …………..…………….
Délivré sous le n°
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