Vous êtes sur la page 1sur 12

+.

.h
\

RITUEL DE TEI\UE FUNEBRE


,,Ëi

Les Loge est tendLLe de noir, comme poLtr Ltne réception au troisièntc degré.

Elle est très laiblement éclairée. Au milieu se dresse r,ut cuta,fulc1trc, plucé sur le Pavé Mosalque,
encadré par trrtis Colonnettes. Sur ce cataf'alque est posée une branche d'acacia.

Les Frères et Sæurs sont en Terute Sombre. Ils gardent leur tablier et retrrurnent leur cortktn ou
sautoir.

Avant I'entrée en LoS7e, le Maître des Cérémonies.f'ait wt ruppel aux membres présent,s tlc I'ortlre
de deuil et de la battarie de deuil.

Le Vénérable Maître procède à l'ouverture des travaux atL premier tlegré, avec le Ritru:l qui suit :
ô

TENUE FUNEBRE

Salutations.

Vénérable Maître : O

1"'surveillant : O

2è"'" Surveillant : O

Vénérable Maître : Frère Maître des Cérémonies, tous ceux qui doivent m'aider à ouvrir cette
loge sont-ils placés et décorés des signes de leurs pouvoirs ?

M des C : Vénérable Maître, tous les Frères et Sæurs sont prêts pour l'ouverture des
travaux, ils attendent vos ordres.

Vénérable Maître : Quel est le devoir en loge d'un bon lnaçon et principalement d'un Frèrc
Surveillant ?

1" Surveillant : Frère Second Surveillant, quel est le devoir en loge d'un bon maçon et
principalernent d'un Frère Surveillant ?

2"d Surveillant : C'est de s'assurer si la loge est bien couverte, si les prolanes sont écartés, si
les avenues sont gardées, et si tout est en ordre.

l"'Surveillant : Vénérable Maître, c'est de s'assurer si la loge est bien couverte, si les
profanes sont écartés, si les avenues sont gardées, et si tout est en ordre.

Vénérable Maître: Dites donc au Frère Second Surveillant de s'acquitter à l'instant clc son
devoir.

l" Surveillant : Frères Second Surveillant, acquittez-vous à l'instant de votre devoir.

Le second snrveillant va examiner si les portes el uvenues sotxt bien.fermées et gurdées. [)c retour ir
su place, il dit :

2"'l Surveillant : Frère 1"' Surveillant, les profanes sont écartés, la loge est bien couverte, les
avenLles sont gardées, et tout se trouve en bon ordre.

Pause

Vénérable Maître : frappe trois coups : le 1'' faible, le deuxième fort, le troisième taible.
ler Surveillant : O o
2è'" Surveillant : O o
Vénérable Maître : Mes Frères, Mes Sæurs, les coups qui viennent d'être frappés syrnbolisent le
comrnencement, le milieu et la fin de l'existence. Nous commcnçons et finissons dans la faiblesse et
nous ne déployons notre lbrce que dans le plein de la vie.

Rendons hommage à ceux qui ont appliqué toute leur énergie au Travail Maçonnique jusclu'au
mornent où les outils symboliques leur sont tombés des mains.

Consacrons à leur Mémoire les Travaux de deuil auxquels nous allons nous livrer.

Frappant un colrp assourdi.

Vénérable Maître : O

Vénérable Maître : Frère 1'' Surveillant, à quelle heure les francs-maçons ouvrent-ils lours
Travaux funèbres ?

1'' Surveillant : Frère 2"'l Surveillant, à quelle heure les liancs-maçons ouvrent-ils leurs
Travaux funèbres ?

2ndSurveillant: Aminuit.
1" Surveillant Vénérable Maître, à rninuit.

Vénérable Maître : Pourquoi ?

1"'Surveillant Pourquoi, Frère 2"d Surveillant ?

2n'lsurveillant: Parce que c'est 1'heure où Ies ténèbres les plus épaisses étendent leur voile sur
la terre, temporairement veuve du soleil qui la vivifie.

[''Surveillant : Vénérable Maître, parce que c'est l'heure où les ténèbres les plus épaissos
étendent leur voile sur la terre, temporairement veuve du soleil qui la vivifie.

Vénérable Maître : Quelle heure est-il ?

l" surveillant : Frère 2"d Surveillant, quelle heure est-il ?

2"d Surveillant : Il est rninuit.

1"' Surveillant : Vénérable Maître, il est minuit.

Vénérable Maître : Puisqu'il est l'heure du deuil, Frères Surveillants, veuillez vous joindre à moi
pour ouvrir la Tenue Funèbre au grade d'Apprenti.

ll frappe un coup sourd.


Yénérable Maître ; O

1'' Surveillant : O

2"d Surveillant : O

Vénérable Maître : Mes Frères, Mes Sæurs, à l'ordre de deuil !


Frère Maître des Cérémonies, rernplissez vos offices.

Tous les assistunts se lèvent, penchent la tête vers le sol et uppuient l'index et le métlius de chuqtte
main sur leurs patLpières cktses, le pouce écurté en équerre.

Le Maître des Cérémonies, porteur d'un flambeat4, se rend à I'Orient par le Nortl, ullumc sort
flambeuu à l'étoile qui se trouve sur le l'lateau du Vénérable Muître, se rend à lu Coktrutetta
(Sagesse) et allume l'étoile qui y est disposée.

lr Vénérable Maître frappe un coup sourd :

Vénérable Maître : O lrs corps de nos Frères et Sæurs disparus ont rejoint les ténèbros, rnais
leur esprit brille encore !

Le Maître cles Cérémonies, tou.jours muni de son ,flumbe(tu, se rend à la coktnnette (Beutfié) et
allume l'étoile Eti y est disposée.

k 1"' Surveillant frappe un coup sourd :

l" surveillant : O Que leur exemple nous guide toujours !

Le Maître des Cérémonics contirute le tour de la ktge, s'arrête à lu coktnnettc (Fort:c) at ullumc
l'étoile qui y est disposée.

I-.e 2"') Surveillant frappe un coupe sourd.

2"'l Surveillant : O Malgré notre douleur, que demeure l'espérance !

Vénérable Maître : frappe trois coups : le 1"' faible, le deuxième fort, le troisième faible.

o
1"'surveillant : O o
2è'n" Surveillant : O o
Vénérable Maître : A la Gloire du Grand Architecte de l'Univers, au nom de l'ordre, et par le
pouvoir que j'en ai reçu, je déclare ouverts les travaux funèbres dans cette respectable loge de St
Jean, constituée à l'Orient de Sallanches, sous le N' 1 et le titre distinctif Piobb.
A moi, mes Frères et mes Sæurs, par la batterie de deuil !

Quittunt l'ordre de deuil, les Frères et Sæurs étendent lc bras guuche, placent snr l'avunt-brus lu
main droite et ensttite fTappent avec celle-ci :

Trois coups en disant : Gémissons !

Trois coups : Gémissons, Gémissons !

Trois coups : Gémissons, Gémissons, mais ESPERONS !

Ir Vénérable Maître liappe un coup sourd.

Vénérable Maître : O

1"' Surveillant : O

2"'l Surveillant : O

lrs travaux sont ouverts, prenez place mes Frères et mes Sæurs.

Musique

Vénérable Maître : Mes très chers Frères, mes très chères Sæurs !

Notre chaîne symbolique ne saurait être rompue, ca[ elle se reforme dès qu'un anneau se brise.
Nous restons à jarnais intimement unis. A cette union participent ceux dont nous ne pouvons plus
étreindre les mains fraternelles.

Ils ont disparu, mais ne sont pas morts pour nous. Leur amour du Vrai, du Bien et du Beau restc
vivant parmi nous. Aimant ce qu'ils ont aimé, nous poursuivons avec ferveur l'cnuvre à laquelle ils
s'étaient consacrés.

Nous leur demeurons solidaires et c'est pour resserrer davantage les liens qui les unissent à nous,
que nous sommes présentement rassemblés.

Pause

Un coup sourd : O

Frère secrétaire, veuillez nous dire quels sont les Frères ou Sæurs que nous avons eu la clouleur de
perdre, en tant que Membres visibles de notre respectable log", mais qui restent unis à nous depuis
qu'ils sont passés à l'Orient éternel.
lr Secrétaire :

Ildonne la liste des Frères ou Sæurs dont il convient d'honorer la mémoire, en rappclant, pour
chacun d'eux, leurs grades, titres et fonctions.

Vénérable Maître : Frères Orateur, je vous donne la parole afin que vous rendiez vivante lir
mémoire du Frère (de la Sæur) qui a vaillamment travaillé avec nous et auquel nous entendons
vouer le culte reconnaissant et affectueux du souvenir.

L'Orateur :

Il prononce l'éloge funèbre du (de la) disparu(e) et termine par l'allocution qui suit :

Mes très chers Frères, Mes très chères Sæurs,

Contrairement à l'usage des Ecoles, notre philosophie traditionnelle ne se comlnunique pas sous
forme d'un enseigtternent direct. L'Initiation n'impose rien, n'oblige pas à croire, mais elle incite à
penser, sollicite f intelligence et conduit à découvrir par soi-rnême laYérité.

Fidèle à cette méthode, la Franc-Maçonnerie ne professe aucune doctrine métapliysiqur: concernant


la vie future. Elle laisse parler ses Symboles.

Or, ceux-ci nous suggèrent que nous ne solnmes dans la vie qu'Apprentis et Cornpagnons, la vrtric
Maîtrise étant réservée à ceux qui ont franchi les portes de la rnort.

[æ grand rnystère de nos destinées ultirnes ne se dévoile pas à nous avant l'heure de l'lnitiation
suprême.

Nous ignorons ce clui est hors du cercle lirnité de nos constatations et nous évitons dotic cl'affinner
ou de nier avec présomption.

Au-delà de la tombe commence pour nous la Nuit Sacrée, dont il serait impie de profaner le
mystère. Devant ce mystère, inclinons-nous humblement, conscients de l'étendue de notre
ignorance et de l'infinitude de ce qui dépasse notre savoir.

Musique

Vénérable Maître : Mes Frères, mes Sæurs, méditons sur cette impuissance à pénétrer lcs secrets
de l'Au-Delà. Rendons hornmage à ceux qui nous ont précédé dans la nuit où nous irons ir nolro
tour. Ne confondons pas cette nuit avec le Néant, car aucune réalité ne saurait corresponclre à la
négation de ce qui existe. L'Humanité n'est pas composée uniquement de quelques générations qui
s'agitent à la surface du globe. Elle dure à travers les siècles en tant qu'êtrc collectif réel et
permanent, dont nous ne somrles que la manifestation multiple et transitoire. Pour cornprenclrc
l'Hotntne, il faut le coucevoir comme une cellule vivante du Grand El.rc que constitue l'Hurnanité.

Pause

Mes llien Airnés Frères (Sæurs) disparus, dont nous garclons pieusement le souvenir !
Si môme vous n'sntondez pas nos paroles, si vous ne voyez pas nos signes, notre émotion prolbndc
vous rattache à nous. Vous continuez à travailler, car rien ne colrlnence, rien ne cesse e[ toul sc
poursuit. Mais votre travail diffère du nôtre, depuis que vous êtes passés derrière le ridcau
impénétrable qui nous sépare de l'ultime Maîtrise. Vous êtes nos inspirateurs et notre (Euvre
s'accomplit sous votre mystérieuse direction. Vous êtes l'impérissable passé dont I'influoncc
détermine l'avenir.

Gloire à vous, prédécesseurs, qui avez tracé notre route ! Nous rnarcherons vers l'avenir, conduits
par vous, soucieux d'agir en fidèles continuateurs de votre (Euvre !

Musique

Iæ Vénérable Maître frappe un coup sourd.

Vénérable Maître : O

1'' surveillant: O

2"'l Surveillant : O

Vénérable Maître : A l'ordre de deuil, mes Frères et Sæurs, pour une minute de recueillement.

Tous exéaftent.
Après unc minutt' t'nvirttn.

Vénérable Maître : A moi, mes Frères et rnes Sæurs, par la batterie de deuil :

Trois coups en disant : Gémissons !

Trois coups : Gémissons, Gémissons !

Trois coups : Gémissons, Gémissons, mais ESPERONS !

tæ Vénérable Maître frappe un coup sourd.

Vénérable Maître : O Prenez place mes Frères et mes Sæurs !

(Eventuellernent) :

Je donne la parole à notre Frère/Sæur ... qui va traiter le sujet suivant :...

[r conférencier traitera un sujet de circonstance, par exemple :

lr problème de la Mort,
Les croyances anciennes concernant la vie future
[æ culte des ancêtres,
La mort, phénornène nécessaire à la vie,
La mort initiatique,
Savoir rnourir,
Mort et progrès,
La mort libératdce et transtbrmatrice,,.

Vénérable Maître : Je vous remercie mon Frère. ma Sæur.

Musique

Vénérable Maître : Frère Surveillant, pourquoi les francs-maçons ne craignent-ils pas la mort ?

1"'Surveillant : Frère 2nd Surveillant, pourquoi les francs-maçons ne craignent-ils pas la


mort ?

2n'l Surveillant : C'est parce qu'ils savent qu'après leur passage à l'Orient éternel, d'autres
frères et sæurs continueront leur (Euvre.

1"'surveillant: Vénérable Maître, c'est parce qu'ils savent qu'après leur passage à l'Orient
éternel, d'autres frères et sæurs continueront leur (Euvre.

Vénérable Maître : O Quelle est cette æuvre ?

1"' Surveillant : Frère 2'd Surveillant, quelle est cette æuvre ?

2"dSurveillant: C'est l'élévation du Temple à la Gloire du Grand Architecte de l'Univors, clui


réunira dans la Fraternité l'humanité entière.

Pause

Vénérable Maître : Frère Eléernosinaire, remplissez votre office afin de nous permettre cle clore
nos travaux.

Circulation du Tronc des Aumônes. Musique

Vénérable Maître : il frappe un coup faible, un coup un peu plus fort, et un troisième coup très
fort.

o o
1-"t Surveillant : O o o
2è" Suryeillant : O o
Vénérable Maître :
Mes Frères, Mes Sæurs, les coups dilTérenciés que vous venez d'cntcnclrc
symbolisent la léthatgie des forces vitales, leur réveil et leur plein épanouissemcnt.

Pause

Vénérable Maître : Frère Surveillant, quand les francs-maçons ferment-ils leurs Travaux
Funèbres ?

1" Surveillant : Frère 2'd Surveillant, quand les francs-maçons ferment-ils leurs Travaux
Funèbres ?

2"'l Surveillant : Au point du jour.

1'' Surveillant : Vénérable Maître, au point du jour.

Vénérable Maître : Pourquoi ?

1"' Surveillant : Pourquoi, Frère 2"1 Surveillant ?

2n'l Surveillant: Parce que c'est le moment où la vie reclevient active sous l'action clc la
lurnière et de la chalcur.

1"' Surveillant : Vénérable Maître, parce que c'est le rnoment où la vie redevienl. activc sous
l'action de la lurnière et de la chaleur.

Vénérable Maître : Ce moment est-il venu ?

l"' Surveillant : Ce moment est-il venu Frère 2"d Surveillant ?

2"'l Surveillant : Lc soleil va poindre à l'horizon.

1'' Surveillant : Vénérable Maître, le soleil va poindre à l'horizon.

Vénérable Maître :
Puisqu'il est l'heure de la renaissance, Frères ler et ztt(t Surveillants, veuillez
vous joindre à rnoi pour fermer les Travaux Funèbres de cette respectable I-oge.

Frère Maître des Cérémonies, veuillez nous assister.

Augmenter un peu l'éclairage du Teruple.

Vénérable Maître : il frappe trois coups de rnaillet.

oo
1"'surveillant: O O

2è'*Surveillant: OO
A l'ordre d'Apprenti, mes Frères et mes Sæurs !
O
)

Que la lunière qui a éclairé nos Travaux continue de briller en nous pour quo nous achevions à
I'extérieur l'æuvre commencée dans la [nge, mais qu'elle ne reste pas exposée aux regarcls cles
profanes.

A ce moment, le Vénérable Maître range le Cctmpas, I'Equerre et la Truelle et .ferme le Volume dc


la Loi Sacrée. Le Maître des Cérémonies se rend à lu Colonnette (Sagesse) et éteint l'étoilc qui s'y
trouve.

Vénérable Maître : O Mes Frères, Mes Sæurs, Espérons !

Le Maî.tre des Cérémonies continue sont déplacement, se rend à lu colonnette (Beuuté) et éteint
l'Ebile cpti s'y trluve.

1"' Surveillant : O Espérons en confiance !

Le Muître des Cérémonies continue son déplacement, se rend à lu colonnette (Force) et éteint
l'étoile qui s'y trluve.

2"'l Surveillant : O Espérons en confiance et sérénité !

Le Maître des Cérémonie regagne sa place,

Vénérable Maître : Mes Frères, Mes Sæurs, avant de clore les travaux, formons la Chaîne
d'Union autour de ce catafalque.

Frère Maître des Cérémonies, veuillez placer entre les colonnes le plus jeune lnitié parrni les Frèrcs
et Sæurs présents.

Le Maître des Cérémonies prctcède ainsi. Le dernier Initié se place à I'ortlre entre les colonnas.
La cltaîne est fitrmée, muis demetffe ouverte à I'Occident.
Les deux surveillants se placent chacun à une extrémité tle lu Chaîne.

1'' Surveillant : Vénérable Maître, la chaîne est rompue à l'Occident.

Vénérable Maître: Mes Frères, Mes Sæurs, notre Chaîne ne saurait clemeurer rompue.
Frère/SæurN... (le dernier Initié), veuillez remplacer les Frères et Sæurs disparus et fermer la
Chaîne en vous plaçant entre les 2 Surveillants.

Le Frère (la Sæur) s'avance par les trois pus de I'Apprenti, fait le signe et se place dans lu chaîne
clmnle il lui a été dit.

Vénérable Maître : La vie est une, elle est un courant qui traverse les êtres. Nous somlnes unis à
tout ce qui vit, a vécu et vivra.

Pause

Mes très chers Frères, Mes très chères Sæurs, je vais vous comlnuniquer maintenant la parole
d'espérance.
T
Il se penche à l'oreille de son voisin de droite 1-=) et lui dit à voix basse :

RIEN NE MEURT !

Il se penche à l'oreille de son voisin de gauche 1.-) et lui dit à voix basse :

TOUT EST VIVANT !

Les Frères et Sæurs f'ont circuler ces mots de bouche à oreille.

Quand les mots lui sont revenus, il dit :

Vénérable Maître :
La parole d'Espérance est revenue juste et parfaite. Dispersons-nous pilur la
répandre et faire honneur par nos actes à la mémoire de ceux qui nous sont chers.

Mes Frères, Mes Sæurs, quittons la Chaîne et regagnons nos places !

Tous exécutent.

Vénérable Maître : Mes Frères, Mes Sæurs, en fermant nos travaux nous allons couvrir par unc
Batterie d'Allégresse, les Batteries de Deuil que nous avons tirées tout à l'heure.

Mes Frères et Sæurs. retournez votre Sautoir.

Pause Musique

Le Vénérable Maître éclaire la Loge entièrement.

Vénérable Maître : O A l'ordre d'Apprenti, mes Frères et mes Sæurs !

A la Gloire du Grand Architecte de l'Univers,


Au nom de l'ordre, et par le pouvoir que j'en ai reçu, je déclare fermée cetl.e Respcctable Lo6;c ck: St
Jean, constituée à l'Orient de Sallanches, sous le No 1, et le titre distinctif Piobb..

A moi, mes Frères et mes Sæurs,


par le signe d'Apprenti,
la Batterie d'Allégresse O O O

Jurons de garder le silence sur nos Travaux de ce jour et retirons-nous en paix !

Totts les F'rères et Sæurs en étendant la main :

JE LE JURE !

Vous aimerez peut-être aussi