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Propagation des ondes mécaniques progressives : Dispersion des ondes mécaniques :

C’est le phénomène de propagation d’une perturbation dans


Un milieu est dit dispersif si la célérité des ondes qui
un milieu matériel sans transport de matière.
se propagent dans ce milieu dépend de leur fréquence.
Types ondes mécaniques progressives
Diffraction des ondes mécaniques :
Onde transversale Onde longitudinale
Lorsque une onde incidente de longueur d’onde  rencontre un
Si la déformation est Si la déformation est parallèle
obstacle possédant une ouverture d’épaisseur a avec a   ,
perpendiculaire à la direction à la direction
l'onde change de direction et de comportement sans
de propagation de propagation
changement de sa longueur d'onde, ni de sa vitesse de
de la perturbation de la perturbation
propagation : elle est diffractée : C’est la diffraction.
La déformation La déformation
Cas : a   Cas : a  
La propagation
La propagation
Vitesse de propagation Retard
d Chaque point du milieu subi la
v 
t même déformation mais après
Onde incidente
Onde diaphragmée
Onde incidente
Onde diffractée
V : vitesse de propagation un retard temporel 
d: Distance parcourue. AB d
   Les ondes lumineuses :
t : durée nécessaire pour v v
parcourir d. Propriétés de l’onde lumineuse
La relation entre l’élongation de deux points du milieu Nature Fréquence et Ordre de longueur
ondulatoire longueur de lumière d’onde visible par
AB
yA(t )  yB (t  )  yB (t  ) de la lumière monochromatique l’œil humain
v
La lumière est Une onde lumineuse Le spectre des
Propagation des ondes mécaniques prog. périodiques : une onde monochromatique radiations visibles
-Onde mécanique progressive périodique : c’est une onde dont électromagnétique qui est caractérisée par par l’œil humain
la perturbation est entretenue et se répète à l’identique se propage dans les sa fréquence  constitué de
pendant des intervalles de temps égaux. milieux transparents qui ne change pas plusieurs ondes
et dans le vide. quelque soit électromagnétiques
-La longueur d’onde  (Périodicité spatiale): distance qui
le milieu variant de violet
sépare deux points consécutifs de l’espace qui se trouvent dans
Indice de réfraction de propagation et au rouge :
le même état de perturbation à un instant donné.
d’un milieu par une longueur [400nm;800nm]
-La période T (Périodicité temporelle): temps nécessaire
transparent d’onde  dépendant
pour que la perturbation en un point donné décrive
C  . du milieu
un mouvement complet. yM(t)  yM(t  T ) n   0 de propagation.
v .
La relation entre longueur d’onde , la fréquence et la vitesse 
0 v   .
 n  T
v   . 
T
Comparaison du mouvement de deux points du milieu Diffraction de la lumière par une fente :
Deux points A et B Deux points A et B vibrent
vibrent en phase si : en opposition de phase si :
a  L
AB  k. 
A B  ( 2 .k  1 ). . D
avec: (k   ) 2
avec : ( k   )
L’écart angulaire  La largeur de la tache centrale
Exemples de quelques O.M.P périodiques 1 L 2. D.
Le long d’une corde Sur la surface de l’eau   .  L 
 a 2 .D a
  Dispersion de la lumière par un prisme :

Les ondes sonores


Les ondes sonores sont invisibles à l’œil nu. A l’aide d’un
microphone on les transforme à des ondes électriques -On fait passer un faisceau de lumière blanche à travers un prisme
sinusoïdales récupérables par un oscilloscope. en verre et on place un écran en face des rayons réfractés.
GBF Oscilloscope On observe un étalage de couleur semblable à celle de l’arc en ciel
[ Spectre de la lumière blanche]
-Chaque onde monochromatique est caractérisée par son indice
Emetteur Micro.2
Micro.1 de réfraction différent des indices de réfraction des autres ondes
monochromatiques. [ n  nBleu  nViolet ]
Rouge
Noyau – Masse – Energie : Demi-vie t1/2 : dN
C’est la durée au bout de
a  
Nucléides Symbole et constituants dt
laquelle la moitié des noyaux
Le nucléide est l’ensemble Le noyau d’atome est a(t )  .N (t )
radioactifs initialement
des noyaux identiques constitué des nucléons L’activité est exprimée
présents dans l’échantillon se
caractérisés par le même (protons et neutrons) en becquerel (Bq)
sont désintégré .
nombre de masse. Il est symbolisé par son
N0 1Bq  1desintégration / s
élément chimique X : à t  t1 / 2  N 
2
A
X
ln 2 ‫النويات‬
‫النواة‬
t1 / 2   . ln 2
Les Isotopes 
Ce sont des espèces qui ont Z Défaut de masse du noyau:
le même nombre de protons A : Nombre de masse
Défaut de masse du noyau et ses constituants :
et un nombre de masse Z : Nombre atomique
différent. N=A-Z : Nombre de neutron Z .m p  N .m n  m X
Les transformations nucléaires spontanées  m  ( Z .m p  ( A  Z ) .m n )  m X
Radioactivité  Radioactivité  -
mp : masse de proto ; mn : masse de neutron.
Le noyau père Z
A
X Le noyau père Z
A
X
se désintègre spontanément se désintègre spontanément en mX : masse de noyau.

en émettant émiettant Energie de liaison du noyau :


un noyau d’hélium 4
2
He : un électron 0
1
e : C’est l’énergie qu’il faut fournir à un noyau au repos pour
le dissocier en nucléons.
A
Z
X  A 4
Z 2
Y  24He A
Z
X  A
Z 1
Y  0
1
e
EL  m.C2  [(Z.mp  (A  Z).mn )  mX ].C2
Radioactivité  +
Le rayonnement 
Le noyau père A
X Désexcitation d’un noyau fils Energie de liaison Diagramme
Z
excité ZA Y  en un noyau d’un nucléon d’Aston :
se désintègre spontanément
-E
en émiettant plus stable A
Y avec émission Energie moyenne de liaison
Z Fusion A
d’un nucléon dans le noyau:
un positron  01 e d’un rayonnement  .
A
X  A
Y  0
e E L
Z Z 1 1
A
Z
Y  A
Z
Y     Noyaux
A Stables
Fission
Loi de décroissance radioactive :
Unité : MeV/nucléons
Le nombre N(t) de noyaux radioactifs contenus dans
un échantillon varie suivant la loi : Energie libérée par la réaction Elib.=|E| avec :
N  N 0
.e   .t
E  [  m(Pr oduits ) - m(réactifs )].C 2  0
N0 : nombre de noyaux initialement présents à t0=0. E  E L
(réactifs ) - E L (Pr oduits )  0
 : constante de désintégration de noyau radioactif
Diagramme d’énergie
exprimé en s-1 A1+A2 = A3+A4
E(MeV)
De meme la loi de décroissance peut se présenter par : Z1+Z2 = Z3+Z4
Nucléons
m(Nucléons).C2
m  m0.e .t , C  C0.e .t
EL(X1)+EL(X2)
a  a0.e .t , v  v 0.e .t A1 A2
-[EL(X3)+EL(X4)]
Z1
X  Z2
X
Réactifs
m(Réactifs).C2
A3 A4
E Z3
X  Z4
X
Produits
m(Produits).C2

Relation entre masse d’un Relation entre


50% échantillon et masse d’un noyau les énergies
Relation (1): N N A .m Relation entre énergie produite par
25% 
M(X ) d’un échantillon et d’un noyau :
M( X ) : masse molaire de X  E T  N. E

Relation (2): m E : Energie produite par
N 
Demie vie t1/2 Activité a
m( X ) l’échantillon.

Constante du temps  : Activité d’une source nucléaire


m( X ) : masse d’un noyau X ET : Energie produite par
un noyau.
1 est le nombre N : Nombre du noyau X
  de désintégrations par seconde.
m :masse de l’échantillon N :nombre du noyau dans
 l’échantillon
Dipôle (R,C) : Réponse du circuit RC à un échelon décroissant de tension
– La décharge – K en postion (2)
Définition La relation entre la charge q
Montage électrique Equation différentielle
d’un condensateur et la tension uC (1) (2)
K R.i  uC  0
Deux armatures métalliques
séparées par un isolant.
q  C .u C duC
C : Capacité en (F)
R uR R.C.  uC  0
la capacité du condensateur C E
A dt
exprimée en Farad (F). Le courant de la charge C uC du
et de la décharge B . C  uC  0
A B dt
dq du M
i i i(t )   C. C Solution de l’equ. Diff. Diagramme de uC=f(t)
uC dt dt t uC

Charge : i  0 
dq Décharge : i  0 
dq uC (t)  E.e R.C
E
0 ; 0
dt dt 
t
Régime Régime
Association en parallèle Association en série q(t)  C.uC (t)  C.E.e R.C
transitoire permanent
n
1 n
1 dq E t
Ce  Ci  Ce   Ci Ce  Ci 
Ce
 
i 1 Ci
i(t) 
dt
  .e R.C
R
0,37.E
i 1
t

La capacité augmente : C  La capacité diminue : C  uR (t )  E.e R.C
0  5. t
Charge d’un condensateur à l’aide d’un générateur Energie électrique emmagasinée dans le condensateur :
du courant : i = I0 = Cte
1 1
Montage électrique Equation différentielle E  .C .u C 2  .q 2
e
2 2 .C
A d uC
R i= C .  I0 Dipôle (R,L)
dt
I0 C uC d uC I0 Définition d’une bobine La loi d’Ohm d’une bobine
 La bobine est
K
dt C A
(L , r)
un ensemble de spires B
B
constituée d’un petit Cylindre i i
Solution de l’equ. Diff. Diagramme de uC=f(t) uL
à rebords sur lequel on
uc(V) di
I enroule un fil de cuivre. uL  r.i  L.
uC  0 .t ucmax
dt
C Etude de circuit RL en utilisant un GBF en régime
Si le condensateur est
triangulaire (On néglige la résistance interne r)
initalement non chargé
Montage électrique Expression de uR et de uL
uC(0)=0. 0 Y2
t(s)
i di
uR uL  L.
Réponse du circuit RC à un échelon croissant R dt
de tension : GBF M Et
Réponse du circuit RC à un échelon croissant de tension L uL
u R   R .i
– La charge – K en postion (1) i Y1
Montage électrique Equation différentielle
La relation entre uL et uR L’oscillogramme de uR et uL
R.i  uC  E
(1) (2) uR uL 1div
K
du d(  )
R.C. C  uC  E di R uR 1div
R uR
dt
uL  L.  L.
E dt dt
A du
C uC
. C  uC  E L d(uR )
B
dt uL   .
M R dt
Solution de l’équ. Diff. Diagramme de uC=f(t)
t Réponse du circuit RL à un échelon croissant de tension
 uC
uC(t)  E.(1  e R.C
) Montage électrique Equation différentielle
E

t
K uR  uL  E
q(t)  C.uC(t)  C.E.(1  e R.C
)
0,63.E
R uR di
i(t) 
dq E Rt.C
 .e Régime Régime (R  r ).i  L. E
dt R transitoire permanent dt
t E (L,r) uL L di E
uR(t)  E.e R.C

. i 
0  5. t RT dt RT
Solution de l’équ. Diff. Diagramme de i=f(t) Les oscillations électriques libres non amorties avec RT=0
R .t
E  T
i Montage expérimental l’équation différentielle
i(t )  .(1  e L
)
RT I0 uC  uL  0
R .t i
E  T
d 2u C
uR (t )  R. .(1  e L
) 0,63.I0 u C  L.C  0
RT Régime Régime uC C uL L
dt 2
R .t transitoire permanent
E E  T
d 2uC 1
uL (t )  r.  R. .e L
RT RT  .u  0
dt 2 L.C C
0  5. t
Solution de l’éq. diff. Variation de uC(t) et i(t)

Réponse de circuit RL à un échelon de tension 2. Im T0


uC (t)  Um.cos( .t  )
T0 uC
décendente (intrrupteur K fermé ouvert) i
Um : Amplitude en (V) . Um
Montage électrique Equation différentielle t
 : La phase à la date t0=0 0
K uR  uL  0 -Um
T0 : Période propre en (s) T0
R uR di
(R  r ).i  L. 0 T 0  2 . . L.C -Im
dt
E
(L,r) L di Entretien des oscillations électriques libres amorties :
uL . i 0 Pour entretenir les oscillations électriques libres amorties de
RT dt
circuit RLC, on utilise un générateur dont la tension UG=K.i
Solution de l’equ. Diff. Diagramme de i=f(t) pour compenser les pertes d’énergie par effet joule.
R .t i L’équation diff. d’entretien L’équation différentielle
E  T
i(t)  .e L I0 des osci. amorties si K=RT
RT
RT .t Régime Régime uC  uR  uL  uG Pour K proche de
E 
uR(t)  R.i(t)  R. .e L transitoire permanent di la valeur de la résistance
RT uC  R.i  r.i  L.  K.i
0,37.I0 dt totale RT du circuit RLC
RT .t
E 
du d2u on a :
uL(t)  R. .e L
uC  (RT  k).C. C  L.C. 2C  0
RT 0  5. t dt dt d 2uC 1
 .u  0
Energie magnétique emmagasinée dans une bobine d2uC (RT  K) duC 1 dt 2
L.C C
 .  .u  0
1 dt2 L dt L.C C
E  .L .i 2
Transfert d’énergie entre le condensateur et la bobine
m
2
1 1
Les oscillations électriques libres RLC E  E  E  .C .u C 2  .L .i 2
T e m
2 2
Décharge d’un condensateur dans une bobine avec RT0 Cas des osci. élect. libres Cas des osci. élect. libres
Montage expérimental Exploitation sinusoïdales non amortie amorties RLC
(1) K (2) La décharge Dans le régime sinusoïdale, Dans le régime
d’un condensateur dans l’énergie se conserve au cours pseudopériodique et
Y
uL (L,r) une bobine conduit à des du temps. A chaque instant il apériodique, l’énergie diminue
E uC C
oscillations électriques y a échange d’énergie entre le progressivement à cause des
i uR R amorties dont l’amplitude condensateur et la bobine sans pertes d’énergie par effet
de la tension décroit avec perte d’énergie. joule.
M le temps. Energie
Energie
ET
L’équation différentielle vérifiée par uC Ee
Em Em ET
uC  u R  uL  0
di Ee
u C  R.i  r.i  L.  0
dt t t
T0 T0
d uC d 2uC
u C  ( R  r ).C.  L.C.  0 Les oscillateurs électriques forcées du circuit RLC
dt dt 2
d 2u C R d uC 1 Si un générateur GBF de tension sinusoïdale est branché
 T .  .u  0 aux bornes d’un circuit (R,L,C), il impose une tension
dt 2
L dt L.C C
sinusoïdale d’expression :
Régime pseudopériodique Régime apériodique
uC uC U(t)  Um. cos(2..N.t  )  U. 2. cos(2..N.t  u / i )
RT très grande RT très petite et une intensité sinusoïdale d’expression :
i(t)  Im. cos(2..N.t)  I. 2. cos(2..N.t)
t
Avec : N est la fréquence imposée par le générateur.
t GBF : l’excitateur et le circuit RLC : le résonateur.
Montage expérimental pour L’oscillogramme représentant Modulation d’Amplitude
recevoir u(t) ‫ و‬i((t) u(t) et uR(t) Montage de la modulation d’amplitude :
u(t) u(t) T s(t)+U0
uR(t) Y2 Y1 Modulée + Décalage
M i
R (r,L) C

i uS(t)
i uR(t)
GBF Modulée
τ P(t)
Le déphasage entre les deux tensions u(t) et uR(t) : Porteuse

2 . 2 . M
  .  .x Le multiplieur permet d’obtenir à sa sortie S d’une tension
T X
modulé proportionnelle au produit de s(t)+U0 et de p(t) :
N  N0 N  N0 N  N0
Tension Porteuse de fréquence F :
1 1 1
L.2..N  L.2..N  L.2..N  p(t )  Pm .cos( 2 . .F .t )
C.2..N C.2..N C.2..N
u/i  0 u/i  0 u/i  0 Signal Modulant de fréquence f :
u(t) en retard u(t) en phase u(t) en avance U 0 +s(t)=U 0 +S m .cos(2 .p.f.t)
/ à i(t) avec i(t) / à i(t) Tension modulé u(t) obtenue à la sortie S :
Circuit Capacitif Résonance Circuit sélectif
u S ( t ) = k . p ( t ) .  U 0 + s ( t ) 
uR(t) u(t) uR(t) u(t)
K : Constante de multiplieur.
U(t)=k.Pm.[U 0 +Sm.cos(2.p.f.t)].cos(2.p.F.t)
u(t) uR(t) Sm
U S (t)=k.Pm .U 0 .[1+ .cos(2.p.f.t)].cos(2.p.F.t)
U0
Les grandeurs efficaces Les grandeurs maximales
La tension modulé u(t) est une tension sinusoïdale de
sont mesurées à l’aide sont mesurées à l’aide
fréquence F dont l’amplitude Um(t) est une fonction
de voltmètre et de l’oscilloscope
sinusoïdale de fréquence f comprise entre :
d’ampèremètre
Um (t )  A.[1  m. cos(2..f .t )]
Variation de I en fonction Variation de Z en fonction
de N de GBF de N de GBF Ummin  A.[1  m]  Um(t)  Ummax  A.[1  m]
Z() I(A)
Expression de A Taux de modulation m
I0 Ummax +Ummin m=
Sm U
= m m ax
-U m m in
A=k.Pm.U0 =
2 U0 U m m ax + U m m in
I0
2
U0 + Sm
R.
T
2
Z0 U0 - Sm

Ummax
N Ummin

N1 N N2 N(Hz) N0 N(Hz)

Bande passante
TS = 10.TP
C’est l’intervalle des fréquences dont l’intensité efficace I est
supérieure ou égale à I0 . Spectre de fréquence
2 u(t)=A.[1+m.cos(2.π.f.t)].cos(2.π.F.t)
La largeur de la bande Facteur de qualité Q : Il est u(t)=A.cos(2.π.F.t)+A.m.cos(2.π.f.t).cos(2.π.F.t)
A.m A.m
passante indépendant de U efficace u(t)=A.cos(2.π.F.t)+ .cos(2.π.(f-F).t)+ .cos(2.π.(F-f).t)
2 2
 N  N - N N0
2 1
Q  La tension modulée est la somme de 3 tensions sinusoïdales
N depend de la valeur N
de fréquences : [F-f ‫ و‬F ‫ و‬F+f]
de RT : RT  N  Q 
Amplitude (V)
RT   N 
La puissance moyenne du circuit RLC forcé A
en régime sinusoïdal A.m/2
 m
 U .I . c o s   R T
.I 2

A la résonance la puissance moyenne est maximale :


F-f F F+f fréquence (Hz)
 m m a x
 Z 0
.I 0 2
 R T
.I 0 2
Qualité de modulation d’amplitude Mvt rectiligne Mvt de rotation
Condition de modulation de bonne qualité : uniformément varié uniformément varié
a
••
S
F  10.f θ •

m  m  1  U0  Sm et x = x .t 2 + v 0x.t + x 0 θ= .t 2
+ θ 0 .t + θ0
U0 2 2
v x = a x .t + v 0 x
• •• •
θ = θ .t + θ 0
Démodulation d’Amplitude
a x = C st e ••
θ =C st e

Mouvement vertical d’un solide dans fluide



Le mouvement vertical sans frottement dans le champ g
      

F  m. a  P  m. g  m. a  a  g
a Z
 g Z
 g
Circuit Détecteur Filtre v Z
  g .t  v 0 Z
d’accord d’enveloppe passe-haut
g
Pour sélectionner le C’est un filtre C’est un filtre Z   .t 2
 v .t  Z
2 0 Z 0
signal modulé u(t), passe-bas qui laisse passe-haut qui
Avec : z0 ‫ و‬v 0 z grandeurs (Position et vitesse à t0=0)
il faut que la passer les basses ne laisse passer
qui dépendent des conditions initiales .
fréquence propre f0 fréquences. que les hautes
du circuit d’accord Pour avoir fréquences. Le mouvement vertical avec frottement fluide

(L0,C0) est égale à une bonne une très La composante Bilan des forces

la fréquence F du bonne détection continue U0 Poids Poussée Force


signal modulé : d’enveloppe il faut (Tension de du solide d’Archimède de frottement
     
1 que : décalage) va
f 0 =F= P  m. g F  m f . g f  k .v n . k
2. π. L 0 C0 pouvoir être
TP    R.C  TS
éliminée.
P = ρS .V .g F = ρf . V . g f= K .v n
Les lois de Newton :
L’équation différentielle verifiée par la vitesse v
Démarche pour l’étude dynamique d’un système mécanique
D’après La deuxième loi de Newton :
1- On détermine les forces agissantes sur le système. 
   
2-On applique : Le principe fondamental de la dynamique : FA
P  F  f  m. a G


 f
P z  f z  F z  m .a z
F  m.aG
m .g  k.v n  m f .g  m .a z 
Ou La relation fondamentale de la dynamique : P
  (m  mf ) k
g  .v n  m f .g  m .a z
 M(F )  J .  m m
3-Dans le cas du mouvement de translation on projeté dans dv
A  B .v n 
 
le repère cartésien (O, i , j) : 
  F x
 m .a x
dt

  F y
 m .a y Les paramètres caractéristiques du mouvement
Dans le cas du mouvement circulaire on projeté dans le Temps caracteristique: v (m/s)
vL  a0.

  
repère de Frenet ( M, u, n ) :   FT  m.aT  m. v vL
 v2 Accéleration initaile :
  FN  m.a N  m.
 r f
a0  A  g.(1  ) Régime Régime
4-Dans le cas de la rotation on utilise la relation S initial permanent
fondamentale de la dynamique :
Vitesse limite :
On choisit le sens du mouvement comme sens positif,
A
et on détermine le moment de chaque force par rapport vLn   t(s)
à l’axe de rotation.
B
Méthode d’Euler
Quelques types du mouvement rectiligne
C’est une méthode des résolutions numérique des équations
et de rotation :
différentielles, applicable de proche en proche pendant
Mvt rectiligne uniforme Mvt de rotation uniforme
des intervalles du temps égaux et successifs appelé pas
x = v 0
.t + x 0 θ = θ

0 . t + θ de calcul ∆t.
0

v = v = C st e • •
ai  A  B.v i n
x 0 θ = θ 0
= C s t e
-D’après l’équ. Diff. :
a = 0
v i 1  ai .t  v i
• •
x
θ = 0 -D’après l’approximation d’Euler :
Les mouvements plans : Le mouvement plan d’une charge dans le champ B  v 0
 


Le mouvement plan d’un corps solide dans le champ g Le mouvement Circulaire s’effectue dans le plan (Oxy) :
     
Le mouvement parabolique s’effectue dans le plan (Oxy) :
    
F  m. a  Fm  q. v  E  m. a

 F ext  m. a  P  m. g  m. a q  
 
a  . v  B  C te

m
 ax  gx  0
 y g    
a  g   a  v  a  u
ay  gy  g G dv

 aT   0 v0 I O' x
 v x  v0x dt q 
v  

P
v y  g.t  v0y  v  v 0  C ste 
F S

x  v0x.t  x0 Mouvement uniforme. 


Dm
x

 aT  0 et a  aN F
0G   g 2 
y   .t  v0y.t  y0 q v2
 2 .v .B  m . C
m 
(x0 ,y0 ) ‫( و‬v0x ,v0y ) grandeurs qui dépendent des conditions y L
m .v
initiales t0 = 0.     C te
 R
q .B

Le mouvement plan d’une charge dans le champ E Mouvement Circulaire.
 
Cas où q<0 et v 0 parallèle au vecteur champ E Déflexion magnétique Dm = O'P: ( L  l )
D’après la figure on a :
Chambre d’accélération :
De l
Le mouvement se fait uniquement sur l’axe (Ox) : tan   et s in  
L  O 'I R
   
F  m. a  q. E  m. a q .B

q  Dm  .l.L
 a  .E m.v 0
m
 q Mouvement des planètes et des satellites

a   .E
a   x m 
q Loi 1 : La loi 2 : La loi 3 :
a y
  0 F
Loi des trajectoires Loi des aires Loi des périodes
 q

v x  
v   m
.E .t  v 0 
E
Les planètes L’aire balayée par
T 2
v y  0 décrivent des orbites la planète pendant  k

elliptiques dont l’un des intervalles du a3
 q.E

x   .t 2  v 0 .t des foyers est temps égaux,
OG   2 .m
occupé par se conserve : k : Constante
y  0
 en m2/s3
  le soleil. S1  S 2
Cas où q<0 et v 0 non parallèle au vecteur champ E
La loi de gravitation universelle
Chambre de déviation :  
m A .m B 

Le mouvement parabolique s’effectue dans le plan (Oxy) :


F A / B   F B / A  G. . u AB
   
AB 2
F  m. a  q. E  m. a G=6,62.10 -11
s.i : Constante de gravitation universelle.

q  
 a  .E u A B : vecteur unitaire orienté de A vers B.
m
a x  0 Mouvement circulaire des planètes autour du soleil

 
mS : masse du soleil , mP : Messe de planète
a   q F S De
a y   .E q yS D’après la loi de Newton :
 m 
v x  v 0 x  v 0 O'

m S .m P  

 I F P / S  G . .u  mP. aG
r 2 SP
v   q
v y   .E .t m
  
(T)
 m a G   G . 2S . u S P u
 x  v 0 .t l/2 r


OG  
 mS v2 n
q.E L G. 2 
y   .t 2 r r
 2 .m
mS
Déflexion électrique De = O'A' : L a v it e s s e : v  G. (N)
r
2 .y S De
tan    r
l l L a p é r i o d e : T  2 .
D’après la figure on a : L  v
2
4 2
q .E l  T 2  r 3.
De  .l . ( L  ) G .m S
m .v 0 2
2
Mouvement circulaire des satellites autour de la terre -Si n=1 : Etat fondamental de l’atome qui correspond
mS : masse du satellite , mT : Messe de la terre à l’état le plus stable de l’atome.
D’après la loi de Newton : -Si n : Etat d’excitation maximal qui correspond

m S .m T   à l’état d’ionisation de l’atome.
F S /T  G . . u SP  m S . a G
r2 (T)  -Si 1n  : Etats d’excitation de l’atome.
u

mT 
Diagramme énergétique de l’atome d’hydrogène :
aG  G . . u SP 
( RT  h ) 2
n
mT v 2
G.  Etat
( RT  h ) 2 ( RT  h ) (N)
d’ionisation
mT
L a v it e s s e : v  G.
( RT  h )
( RT  h ) Etats
L a p é r io d e : T  2 .
v d’excitation
4 2
 T 2
 ( RT  h ) 3.
G .m T
Dans le référentiel terrestre, les satellites géostationnaire
s’évoluent sur une trajectoire circulaire, située dans Etat
le plan de l’équateur, à une période de révolution fondamental
d’un jour soit TT=86164s.
Les transitions possibles dans l’atome d’hydrogène
G . m T .T 2
h = 3 T
 R T
4 . 2
Atome et la mécanique de Newton

Postulats de Bohr :
-Postulat 1 : Les variations d’énergie de l’atome sont
quantifiées. La transition d’un état
excité n>3 à l’état p=3
-Postulat 2 : L’atome ne peut exister que dans certains
états d’énergie bien définis ; chaque état
est caractérisé par un niveau d’énergie. La transition d’un état
-Postulat 3 : Un photon de fréquence  est émis lorsque excité n>2 à l’état p=2
l’atome se désexcite en effectuant une
transition d’un niveau d’énergie Ep vers
un niveau d’énergie inférieur En , tel que : La transition d’un état
C excité n>1 à l’état p=1
E n
 E p
 h.  h.

h  6, 63.10 34 j.s : constante de Planck.
C  3 .1 0 8 m .s  1 : Vitesse de la lumière dans le vide
 : fréquence de l’onde ,  : longueur d’onde
Emission d’un photon Absorption d’un photon
La transition de l’atome La transition de l’atome
d’un état énergétique En d’un état énergétique Ep
à un état énergétique à un état énergétique
inferieur Ep : supérieur En :
C’et l’excitation. C’et la désexcitation.
EP EP

En En

Quantification des niveaux d’énergie de l’atome


d’hydrogène :
E0
E n =- avec: n   * et E 0 =13 ,6 eV
n2
Les oscillateurs mécaniques non amorties
Pendule simple Pendule pesant Pendule de torsion Pendule élastique Oscill.
Z O
O
G Fil de Dispos-
 
Z torsion itif
Z0 
G 
Barre
          
 M ( Fi )  J 
.  M ( Fi )  J 
.  M (F )  J 
. P  R  F  m. a
        
Px  R x  Fx  m .a x
M  ( P )  M  (R )  J  .  M  ( P )  M  (R )  J  .  M (P)  M (R)  MC  J . 

 K .x  m . x
  
J  .    m .g.O G . s in  Equ.
J  .    m.g.O G . sin   C .  J 
.


diff .
J  .    m.g.O G . sin  C
m.L2 .    m.g.L. sin 
 
  .  0
 
K
x  .x  0

m . g .O G J  m
 
g  .  0
  .  0 J
L
2 . 2.  2. 2.  Equ.
  m .co s( .t   )    m . co s( .t   )    m .cos( .t  ) x  X m .cos( .t   )
T0 T0 T0 T0 Horaire

Aspects énergétiques des oscillateurs mécaniques non amorties


1 L 1 J 1 J 1 m Période
T0   2. . T0   2.. T0   2. . T0   2. .
f0 g f0 m.g.OG f0 C f0 K propre

Energie pot. de pesanteur Energie pot. de pesanteur Energie pot. de torsion : Energie pot. élastique :
E p p  m .g .( z G  z 0 ) E p p  m .g .( z G  z 0 ) C Ener.
Ept  . 2  C ste
K Poten-
2 2 2 E pe  .x 2  C ste
E p p  m . g .L . E p p  m .g .O G . 2 -tiel
2 2
Em  EC  Epp Em  EC  Epp Em  EC  Ept Em  EC  Epe Ener.
2 méca-
2
J  m.g.L 2 J m.g.OG 2 J  C
2
m 2 K 2
Em  .  .  Cste Em  .  .  Cste Em  .   .2  C ste Em  .v  .x  C ste -nique
2 2 2 2 2 2 2 2
E(j) E(j) E(j) E(j)
Em Em Em Em

Epp Epp Ept Epe


E=f(x)

EC EC EC EC

-m + m  -m +m  -m + m  -Xm +Xm x

E E E E

Em Em Em Em
Epp Epp Ept Epe
E=f(t)

EC EC EC EC
t t t t
 
WC    Ept 
W (T )    Epe
Force
W ( P )    Epp W ( P )    Epp 1   2 x1  x2 de
1  2 1  2
C 
K rappel
W (T ) .  .(  1 2   2 2 ) W (T ) .  .(x1 2  x2 2 )
1   2 2 x1  x2 2
Cas du pendule élastique vertical ou incliné
  
W (T )    E Travail
W (T )    E pe W (T )    E pe pe
x1  x2 x1  x2 x1  x2 de la force
K
 K K 
de rappel
W (T )  .((L0  x1 )2  (L0  x2 )2 ) W (T )  .(( L0  x1 )2  ( L0  x2 )2 ) W (T )  . ( x 12  x 22 )
x1 x2 2 x1 x2 2 x1  x2 2

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