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Proyecto:

Le projet SymBio2 est porté par le groupe Séché Environnement, labellisé par Valorial et co-labellisé par
Advancity. D’un montant global de 4,9 M€, le projet se voit attribuer une aide de 1,7 M€ par le Fonds Unique
Interministériel ; la région Île-de-France, la Mairie de Paris et la région Pays de la Loire. Se déployant sur
quatre ans, SymBio2 participera du développement des bâtiments de 3e génération.

Ces «biofaçades», inventées par X-TU Architects, consistent en l’intégration de «capteurs solaires biolo-
giques» au sein de façades à haute performance envi- ronnementale

Le système renferme une lame d’eau de quelques cen- timètres qui permet aux microalgues de se développer et
de croître. Les particularités techniques du capteur permettent de réduire de plus de 90% le volume d’eau
nécessaire à la production de microalgues par rapport à une culture en bassins.

SymBIO2 rassemble, entre autres, le laboratoire Génie des procédés - environnement –


agroalimentaire (GEPEA, CNRS/Université de Nantes/ONIRIS Nantes/IMT Atlantique), le
Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), l’agence d’architecture XTU, le bureau
d’études OASIIS ainsi que les entreprises Viry, AlgoSource et Séché Environnement. Le
consortium a récemment décroché un des appels à projets de Réinventer.Paris, et installera
plusieurs centaines de mètres carrés de biofaçade sur un immeuble du XIIIe arrondissement
de Paris.

C'est un cabinet d'architectes qui s'est associé à des chercheurs du CNRS


pour mettre au point le procédé : ils ont fabriqué un photo bioréacteur, une
sorte d'aquarium vertical ultra plat, alimenté par de l'eau et du gaz
carbonique, pour nourrir les algues. Le phyto plancton s'y développe,
coincé entre deux parois de verre. Un échangeur thermique est placé à
l'arrière de ces vitres un peu spéciales pour réguler la température des
facades et capter l'énergie dégagée par les microalgues.

Anouk Legendre : PARISBLOOM est un projet d’algoculture urbaine, porté par


XTU Architects. Il consiste à déployer des biofaçades sur les bâtiments pour y
cultiver des microalgues, produites à partir de gaz carbonique transformé par
photosynthèse. Les microalgues sont porteuses de nombreux bénéfices pour un
bâtiment : elles purifient l’eau et l’air qui y circulent et elles captent l’énergie
thermique du soleil, chauffant ainsi naturellement les locaux. Les microalgues
ont l’avantage d’avoir les mêmes besoins thermiques que les humains : elles se
plaisent et se développent entre 16°C et 25°C. Nous pouvons ainsi profiter de
l’ambiance thermique déjà présente dans les bâtiments, sans leur demander un
effort énergétique particulier, pour cultiver ces végétaux microscopiques. Cela
permet d’économiser jusqu’à 80% de l’énergie nécessaire pour produire les
microalgues. Une fois produites, les microalgues pourront être utilisées dans
l’alimentation, la cosmétique ou encore les médicaments biosourcés. C’est un
produit à haute valeur ajoutée, qui génère de la richesse pour le bâtiment qui les
cultive.
A Paris:
Ce bâtiment-laboratoire sera une vitrine et un manifeste de l’intégration
du vivant dans la ville avec une biofaçade active, cultivant des microalgues
pour la recherche médicale. Communiqué.

«In Vivo se veut un manifeste de l’intégration innovante du vivant en ville à travers


trois bâtiments pour les humains et un pour les lombrics : la Tree House développe
de grands balcons- jardinières sur toutes ses façades, des arbustes et arbres propices
à accueillir la biodiversité en ville. La Plant House est dédiée à toutes les formes de
potagers et petite agriculture urbaine en loggias, sous serres ou à l’air libre en toiture
alors que l’AlgoHouse se consacre à la recherche médicale avec une biofaçade
produisant des microalgues. Enfin, la Lombric House, dans laquelle des lombrics
seront élevés, pour le lombricompostage des déchets organiques des habitants et
l’amendement des cultures», décrypte l’architecte.

https://www.pole-valorial.fr/success_stories/article-symbio2-algonomad/

https://www.youtube.com/watch?v=B7YeHr-H9tI
CONFERENCIA

Conférence
L’idée est née après s’être posé la question de comment ils allaient cultiver en Chine avec
leur manquent d’espace.solution : cultiver dans les façades des édifices.
Les microalgues vivent dans l’eau et sont capables d’activer des réseaux d’eau qui peuvent
reconnecter automatiquement.
Les microalgues contiennent jusqu’à 30 % d’huile, ce qui permet qu’elles soient utilisées
pour : remplacer l’énergie pétrolière, pour remplacer les algocarburant, alimenter les
poissons, purifier l’air et l’eau, dans l’agriculture comme fertilisant et comme nutriment pour
les animaux pour les aider à lutter contre le stress de l’élevage permettant les faire vivre sans
antibiotiques, et aussi pour buster l’immunité des humains, en cosmétique…
Les microalgues se cultive dans des bassins mais il y a des problèmes de contamination donc
c’est pour cela qu’elles se cultivent dans des milieux fermés comme des sacs ou des tubes de
façon qu’elles ne puissent pas se contaminées =fotobioracteur.

Mais cela n’importe pas une rentabilité économique car les microalgues ont les mêmes
besoins thermiques que les humains, elle n’aime pas avoir ni trop chaud ni trop froid. Dans
les tubes faut tout le temps les refroidir ou les chauffer, mais en les cultivant dans les milieux
humain ce problème est réglé.  façade : comme ça il n’y a pas une dépense énergétique
pour le réchauffement des algues.

Pour la production d’algues dans les façades il faut du gaz carbonique, c’est pour cela que
Paris a été choisi (les crématoriums libèrent des gazes carboniques).

Prototype avec système de carteur plan= double vitrage avec de l’eau a l’intérieur et non pas
de l’air. Ils s’inspire de  l’isiecleorotica : il se nourrit d’un algue et au lieu de la digérer elle
vole les chloroplaste de l’algue et elle la range sur son dos, et avec ça elle et autonome en
énergie et c’est pour ça qu’ils ont pensé à faire une façade qui photosynthèse.
Façade:
Cout de la bio-façade:1000€/m2
Production bio massa: 4Kg/m2/an
Prix vente bio masse produite: 350€/kg

Revenu brut: 1400€/m2/an


Bénéfice: 350 a 340 €/m2/an
(pour 1000€ ou 10000m2 de façade)
* la biomasse produite est à haute valeur ajoutée (destination: cosmétique, pharmacie,
complément alimentaire…)

Rentabilité a partir de 7 ans


la idea nacio en china tras plantearse como cultibaban si no tenian espacio, estonces se les
ocurrio cultivar el la fachada del edificio
las microalgas viven en el agua y la ventaja que tienen es que saben activar de reseaux
d’eau que puden recolectar automáticamente. Las algas viven en el agua en recipientes
como tubos bolsas.
Las microalgas contienen hasta 30 % de aceite lo qu permite que sean utilizadas para
remplazar la energia petrolifera, ppour remplacer les algocarburant, alimanter les poisson,
purifier l’air et l’eau, dans l’agriculture comme fertilisant et cm nutriment pour les animeaux
pour les aider a lutter contre le stress de l’elevage permetant les faire vivre sans
antibiotiques, et aussi pour les humans pour buster leur immuniter, en cosmetique.

Se cultivan dans les bassin pero ahí hay problemas de contaminación entonces ahora se
cultivan en medios cerrados como bolsas o tubos de forma que no se
contaminen=fotobioracteur.
Pero no buena rentabilidad economica porque las microalgas tienen les meme besoins
termique que les humains elles n’aime pas avoir ni trop chaud ni trop froid, et dans ls tubes
fout tout le temps les refroidire ou chaufer, mais en le cultivent dans le milieu des humans
c’est ok--facade comme ça il n’y a pas une depense energetique pour le rechaufement des
algue, se usa el hambiente humano tmb para las algas.
Pour la productions d’algues dans les façade il faut du gas carbonique, c’est pour cela qu pari
a et choisi (los crematorios liberan gases carbonicos).

Prototipo avec syteme de carteur plan= double vitrage avec de l’au a l’interiur et non pas de
l’air. Ils s’inspire de :l’isiecleorotica, il se nurit d’un algue et a lieu de la digerer elle vole les
cloroplaste de l’ague et elle la range sur son dos et avec ça elle et autonome en energie et
c’est pour ça qu’ils on pense a feire une façade qui fotosintetis

Façade;:
Cout de la bio-façade:1000€/m2
Production bio massa: 4Kg/m2/an
Prix vente bio masse produite: 350€/kg

Revenu brut: 1400€/m2/an


Bénéfice: 350 a 340 €/m2/an
(pour 1000€ ou 10000m2 de façade)
* la biomasse produite est à haute valeur ajoutée (destination: cosmétique, pharmacie,
complément alimentaire…)

Rentabilité a partir de 7 ans

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