Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ
PHYSIQUE – CHIMIE
Dès que ce sujet vous est remis, assurez-vous qu’il est complet.
Ce sujet comporte 11 pages numérotées de 1/11 à 11/11
1/11
Exercice 1 : le street une pratique olympique (10,5 points)
On se propose dans cet exercice d’étudier quelques phases de mouvement simple réalisées par un
skateboardeur lors de la pratique du street. Dans tout cet exercice, on appellera skateboardeur le
système {skateboard + skateboardeur}. Ce système de masse m est indéformable et modélisé par un
point matériel assimilé à son centre de masse G . Les études des différentes phases du mouvement sont
effectuées dans le référentiel terrestre considéré galiléen. L’ensemble des phases étudiées est représenté
ci-dessous sans souci d’échelle.
Données :
Le skateboardeur est à l’arrêt au point A en haut d’un module de plan incliné de longueur ABfaisant un
angle α avec le plan l’horizontal. Le skateboardeur s’élance sans vitesse initiale le long de la pente pour
rejoindre le point B. Durant cette phase, on considère que les actions de l’air sont négligeables et que les
actions du plan incliné sur les roues sont modélisées par une force globale, appelée réaction du plan
incliné.
Le script en langage de programmation Python ci-dessous, page suivante, permet de tracer les courbes
représentatives des énergies du système en fonction du temps, le long du trajet AB. L’origine des
énergies potentielles de pesanteur est telle que : E PP ( z=0 m )=0 J .
2/11
Script en langage de programmation Python :
1 import matplotlib.pyplot as plt
2
3 #Saisie des valeurs
4 t=[0.00,0.10,0.20,0.30,0.40,0.50,0.60,0.70,0.80,0.90,1.00,1.10,1.20,1.30,1.35]
5 E1=[0.0,3.9,15.8,34.3,59.4,91.2,129.6,174.6,226.2,284.5,349.3,420.8,498.9,540.5]
6 E2=[588.6,583.1,569.7,549.3,521.7,487.1,445.4,396.6,340.7,277.8,207.7,130.6,46.4,1.6]
7
8 #Calcul de E3 à partir de E1 et E2
9 E3=[]
10 for i in range(len(t)):
11 Ebis=E1[i]+E2[i]
12 E3.append(Ebis)
13
14 plt.axes()
15 plt.plot(t, E1, 'r+-')
16 plt.plot(t, E2, 'go-')
17 plt.plot(t, E3, 'bv-')
18 plt.xlabel('Temps (s)')
19 plt.ylabel('Énergies (J)')
20 plt.title('Évolution temporelle des énergies du système')
21 plt.grid()
22 plt.show()
Q.1. À l’aide du script en langage de programmation Python, nommer en justifiant les énergies
correspondant à E 1, E 2 et E 3. Attribuer ces énergies aux courbes du graphique ci-dessus
(courbes a, b et c).
3/11
Partie B : phase de mouvement horizontal
Durant la phase de mouvement entre les points B et C , Le skateboardeur glisse jusqu’à s’arrêter au point
C . Les actions liées à l’air sont toujours négligées. Le skateboardeur est notamment soumis à la réaction
du plan. Elle peut être décomposée en deux forces :
‒ La réaction tangentielle au plan, notée f⃗ . En effet cette force, opposée au mouvement est
responsable des frottements des roues sur le plan. Cette force a pour norme ou valeur f .
Sens du mouvement
z
k⃗
x
B i⃗ C
Données :
−1
Vitesse du skateboardeur au point B : v B=3 , 8 m· s ;
Théorème de l’énergie cinétique : la variation d’énergie cinétique d’un système entre deux
positions A et B est égale à la somme des travaux des forces appliquées à ce système entre les
deux positions A et B.
Q.4. Faire l’inventaire des forces extérieures appliquées au skateboardeur et les représenter sans souci
d’échelle sur le schéma ci-dessous. La composante normale de la réaction du plan a déjà été
représentée (elle tient compte de l’action du plan sur les quatre roues et est représentée en un
point choisi arbitrairement).
Sens du mouvement
Q.5. À l’aide du théorème de l’énergie cinétique appliqué entre les points B et C , montrer que la
2
m ×v B
v
relation entre B, , et la distance d’arrêt
m f BC s’écrit : BC= .
2f
Q.6. La valeur de la force de frottement étant d’environ 30 N , calculer la valeur de la distance d’arrêt.
4/11
Les roues de skateboard sont réalisées en polyuréthane et sont caractérisées par leur dureté. Plus les
roues sont « dures » plus les frottements sont faibles.
Un skateboardeur choisit de remplacer les roues habituelles de son skateboard par des roues moins
dures de même géométrie.
Q.7. Indiquer en justifiant comment évolue la distance d’arrêt du skateboard suite à ce changement de
roues.
Dans cette partie, on souhaite vérifier si le centre de masse G du skateboardeur franchit l’obstacle.
Q.8. En appliquant la deuxième loi de Newton, montrer que les équations horaires décrivant la
trajectoire du centre de masse G du skateboardeur lors du saut s’expriment sous la forme :
−1 2
x (t )=v D × cosβ ×t et z (t )= × g × t + v D × sinβ × t+ z 0
2
Q.9. Montrer que l’équation de la trajectoire du centre de masse G s’écrit sous la forme :
−g 2
z (x )= 2 2
× x + tanβ × x+ z 0
2 × v × cos β
D
5/11
L’équation de la trajectoire est modélisée par l’équation suivante, x et z étant exprimées en m :
2
z ( x ) =−0,894 × x +1 , 22× x +0 , 80
Les éléments essentiels d’un flash sont le condensateur et le tube néon émettant un flash
lumineux puissant lorsque le condensateur se décharge.
Q.11. Montrer que l’équation différentielle modélisant l’évolution de la tension uC aux bornes du
condensateur lors de sa décharge peut s’écrire :
d uC 1
+ u =0 où τ est une constante à exprimer en fonction de R et C .
dt τ C
−t
Q.12. Vérifier que l’équation différentielle admet une solution de la forme : u(t )= A × e B . Exprimer les
constantes A et B en fonction de paramètres du circuit électrique.
6/11
On fournit la courbe de décharge du condensateur.
Q.15. À l’aide des équations horaires données question 8, déterminer parmi les trois étapes, celle qui est
photographiée.
Le candidat est invité à prendre des initiatives et à présenter la démarche suivie même si elle n’a
pas abouti.
7/11
Exercice 2 : l’acide lactique, un désinfectant pour les mains (5,5 points)
Toutefois, en l’absence de point d’eau, il est possible d’opter pour des gels
ou solutions désinfectantes à la norme NF EN 14476.
Données :
√( )( )(
u (V A ) 2 u(V E ) 2 u(C B)
)
2
u(C A )
= + +
CA VA VE CB
8/11
Partie A : étude de l’acide lactique
L’autre nom de l’acide lactique est l’acide 2-hydroxypropanoïque. Sa formule développée est la
suivante :
Q.2. Le spectre IR de l’acide lactique est reproduit ci-dessous. Identifier deux bandes d’absorptions
caractéristiques et repérer les liaisons correspondantes sur le schéma de Lewis de la molécule
d’acide lactique.
Q.3. Vérifier que la valeur de la concentration C en acide lactique apporté dans la solution
désinfectante est voisine de 0 , 20 mol ⋅ L−1.
Q.5. Proposer un protocole expérimental pour préparer 100 mL de solution désinfectante diluée 5 fois.
Q.10. Évaluer la concentration C de la solution en acide lactique avant dilution. Évaluer l’incertitude-
type sur la mesure sans prendre en compte la contribution liée à la dilution. Commenter.
L'acide ascorbique, communément appelé vitamine C, est un antioxydant présent dans de nombreux
fruits et légumes. Elle se dégrade à l'air, à la lumière et en présence d'oxydants.
10/11
L'objectif ici est d'étudier la dégradation de la vitamine C laissée à l'air libre dans un jus de fruit.
« La vitamine C est la plus fragile de toutes les vitamines : elle se dégrade rapidement à la chaleur, à
l'eau, à l'air et à la lumière. Par exemple, à température ambiante, la moitié de la teneur en vitamine C
d'un jus de fruit peut être perdue en 24 heures. En conséquence, les modes de stockage doivent être
adaptés de manière à limiter les pertes : les industriels conservent les produits à basse température
(inférieure à 5 °C ) en y adjoignant des agents actifs. »
D'après l'AFSSA - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments
On dispose d'un jus d'orange filtré à la température T 1 égale à 25 ° C . À partir de données
expérimentales, on a modélisé le suivi cinétique de la dégradation de la vitamine C, ou acide
ascorbique, dans ce jus d'orange et à cette température (voir figure 1 ci-dessous).
2.5
Concentration en Vitamine C (en mmol·L-1)
1.5
T1 = 25°C T2 < T1
0.5
0
0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130 140 150 160 170 180 190 200 210 220 230 240
Temps en heures
L'acide ascorbique est un réducteur et fait partie du couple : C 6 H 6 O6 (aq ) /C6 H 8 O 6(aq).
Q.1. Écrire les demi-équations correspondant aux couples mis en jeu lors de la dégradation de la
vitamine C par le dioxygène de l'air et montrer que l'équation de l'oxydation de la vitamine C
s'écrit :
2 C6 H 8 O6(aq) +O2 (g) →2 C 6 H 6 O6(aq )+ 2 H 2 O(l)
Q.6. À partir de la figure 1, en comparant les deux courbes, donner un deuxième facteur cinétique et
indiquer pourquoi il est préférable de ne pas laisser le jus d'orange sur la table du petit déjeuner.
1 2
L’énergie cinétique est : EC = m v . D’après l’énoncé, le skateboardeur est à l’arrêt au point A soit
2
1
v A =0 m ∙ s ; donc : EC ( A ) =0 J . L’énergie cinétique est nulle à l’état initial ; l’énergie E1 correspond à
l’énergie cinétique.
L’énergie potentielle de pesanteur est : E pp=mgz . À l’instant initial, z A ≠ 0 m; donc : E pp ( A ) ≠ 0 J ; l’énergie
E2 correspond à l’énergie potentielle de pesanteur.
Q.1. 1,5
L’énergie mécanique Em d’un système est : Em =EC + E pp . L’énergie E3 se calcule à partir de E1 et E2 ;
l’énergie E3 correspond à l’énergie mécanique.
À l’instant initial, l’énergie cinétique est nulle et au cours du mouvement, la vitesse du système augmente donc
son énergie augmente, cela correspond à la courbe c.
Lors du trajet AB, l’altitude du système diminue, son énergie potentielle de pesanteur diminue, cela correspond à
la courbe b.
L’énergie mécanique étant la somme de EC et de E pp , elle est représentée par la courbe a.
L’énergie mécanique diminue au cours du temps, cette évolution est due aux forces de frottements des roues (qui
Q.2. dissipent de l’énergie sous forme de chaleur).
0,25
L’énergie cinétique est notée E1 , sa valeur finale indiquée dans le script python est de 540 , 5 J :
Q.3. 1
2
×m × v 2B=E 1 ; v B=
m √
2 × E1
=
√
2 ×540 , 5 J
75 , 0 kg
=3 , 80 m∙ s 1
0,5
Q.7. Les roues sont moins dures donc les forces de frottements sont plus fortes. La distance d’arrêt est donc réduite. 0,25
⃗v ( 0 )
( ¿ v x (0)=C1
¿ v z (0)=−g × 0+C2 ) (
=⃗v D ¿ v Dx =v D ×cos
¿ v Dz =v D ×sin ) ; d’où : C 1=v D ×cos et : C 2=v D ×sin .
( )
¿ x ( 0 )=v D × cos × 0+C3 =C3
⃗
OG ( 0 )
¿ z ( 0) =
−1
2
2
g × 0 +v D ×sin ×0+ C 4=C 4
=⃗ OG 0
¿ x 0=0
¿ z0 ( )
; d’où : C 3=0 et : C 4=z 0 .
( )
¿ x(t)=v D × cos ×t
OG sont donc : ⃗
Les coordonnées du vecteur ⃗ OG(t ) 1 2
¿ z (t)¿− g t + v 0 × sin ×t + z 0
2
x
On isole le temps t de l’équation : x (t )=v D × cos ×t ; soit : t= ; pour avoir l’équation de la
v D ×cos
trajectoire y (x ), on reporte l’expression de t dans y (t ) :
Q.9. 0,5
−1 x
2
x −g 2
z (x )= × g ×( ) + v o × sin × + z0 Donc : z ( x ) = 2 2
× x + ( tan ) × x +
2 v D ×cos v o ×cos 2 × v D × cos
z0
2
z ( x ) =−0,894 × x +1 , 22× x +0 , 80
Lorsque le skateboardeur retrouve l’altitude initiale : z 0=0 , 80 m ; on a :
2 2
0 , 80=−0,894 × x +1 , 22× x +0 , 80 ; soit : 0=−0,894 × x +1 , 22× x d’où :
0=x (0,894 × x +1 , 22). Un produit de facteur est nul si l’un des facteurs est nul :
Q.10. x=0 correspond à l’abscisse de la position initiale ; 1
1 , 22
0,894 × x+1 , 22=0 ; soit : 0,894 × x=1 ,22 ; d’où : x= =1 , 36 m.
0,894
Lorsque le centre de masse du skateboardeur retrouve son altitude initiale, pour franchir l’obstacle, il faudrait au
minimum que : x >l+ L (cette condition fonctionne parce que le système complet est assimilé à un point
matériel), or : x=1 , 36 m et : l+ L=1 , 7 m. L’obstacle n’est pas franchi.
D’après la loi des mailles : uC (t )+ uR (t)=0 ; or d’après la loi d’Ohm : u R (t)=R× i(t) ; et par définition :
dq du
i (t )= (t)et : q ( t )=C ×uC ( t ). Comme C est une constante : i (t )=C × C (t ) et donc :
dt dt
Q.11. d uC du 1 1
R ×C × ( t ) +uC ( t ). On divise par R ×C : C ( t )+ ×u C ( t )=0 .
dt dt R ×C
d uC 1
En posant : τ =R ×C , on obtient : + u =0
dt τ C
d(A×e ) d (e )
Q.12. t t 0,75
d uC t t
( B1 ) × e = AB × e .
B B
Calculons : (t ) : d uC En insérant les
dt ( t )= =A × =A× B B
dt dt dt
d uC
expressions de uC ( t ) et (t ) dans l’équation différentielle de la question précédente, on a :
dt
t t
t B B t
A A×e A×e A
×e + =0; soit :
B
= × e B . Pour que la relation soit vérifiée quel que soit t , il faut que :
B RC RC B
B=RC =τ . Pour déterminer A , on se place dans les conditions initiales ( t=0 s ) : uC ( 0 )= A × e 0= A ; or
13/11
t
à : t=0 s, le condensateur est chargé : uC ( 0 )=U 1 ; donc : A=U 1 ; d’où : u ( t )=U × e ❑
C 1
Q.13.
D’après l’équation différentielle : dim
( d udt ( t ) )=dim ( 1τ ×u ( t ) )
C
C
; d’où :
0,25
dim ( uC ( t ) )
dim ()
1
τ
× dim ( uC ( t ) ) =
dim (t)
; donc : dim ( τ )=dim ( t )=T ; τ est bien homogène à un temps.
Schéma de Lewis de la molécule d’acide lactique. Il faut ajouter les doublets non liants de
Q.1. façon à ce que chaque atome soit entourer de 8 électrons (règle de l’octet). 0,25
La molécule d’acide lactique possède 3 liaisons caractéristiques et son spectre comprend donc 3 bandes
d’absorptions :
une bande forte vers 1700 cm−1 pour la liaison C=O (acide carboxylique),
−1
une bande forte et large entre 2500 et 3200 cm pour la liaison O−H (acide carboxylique),
−1
une bande forte et large entre 3200 et 3400 cm pour la liaison O−H (alcool).
Q.2. 0,75
m AH
n AH M m AH m AH m AH × ρsolution
On note AH l’acide lactique. C= = = = =
V solution V solution M ×V solution m M × msolution
M × solution
ρ solution
Q.3. 1, 00 g 1 , 00 g 0,5
1, 75 g × 1 , 75 g ×
mL mL
C= = =1 , 94 × 10−4 mol ∙ mL−1=0 , 194 mol ∙ L−1
90 , 1 g 90 ,1 g
×100 g × 100 g
1 mL 1mol
−1
C ≈ 0 , 2 mol ∙ L
+¿¿
Q.4. Un acide selon Brönsted est une espèce chimique capable de céder un ion hydrogène H . 0,25
14/11
Cmère V fiole
Par définition du facteur de dilution : F= = =5.
C fille V pipette
On choisira donc une fiole jaugée de 100 , 0 mL et une pipette jaugée de 20 , 0 mL.
Protocole :
Q.5. Prélever 20 , 0 mL de solution mère à l’aide de la pipette jaugée munie d’une propipette, 0,75
Verser le prélèvement dans la fiole jaugée de 100 mL,
Remplir la fiole jaugée aux ¾ avec de l’eau distillée,
Agiter pour diluer,
Ajuster le trait de jauge,
Boucher puis agiter pour homogénéiser.
Schéma du dispositif de titrage conductimétrique
de l’acide lactique dilué par une solution d’hydroxyde
de sodium
Q.6. 0,75
−¿¿
L’espèce titrée est l’acide lactique AH , l’espèce titrante est la base, l’ion hydroxyde HO présente dans la
Q.7. solution d’hydroxyde de sodium ¿. L’équation de la réaction support de titrage est donc : 0,5
−¿+ H 2 O(l )¿
−¿→ A (aq) ¿
A H (aq )+ H O (aq)
Faisons un bilan des évolutions des concentrations des espèces ioniques lors du titrage (bien lire les données au
début de l’exercice pour ne pas oublier d’espèces).
−¿¿ +¿¿ −¿¿
Ion X H O(aq) Na(aq) A(aq) Pente liée à
Évolution de [ X ]
nulle Augmente augmente λ¿
Avant l’équivalence
Avant l’équivalence, la pente est liée à : λ ¿ on obtient ici une portion de droite de pente positive. Après
l’équivalence, la pente est liée à : λ ¿ . On obtient ici une portion de droite de pente positive mais plus élevée que la
précédente car : λ ¿ .
Q.10. À l’équivalence les réactifs ont été introduits dans les proportions stœchiométriques : 0,75
C B ×V E
n ¿ ¿ ; C diluée ×V A=C B ×V E ; C diluée = ;
VA
−1
1 , 0 ×1 0 ×8 , 6 −1
C diluée = =0,043 mol∙ L
20 ,0
−1 −1
La solution ayant été diluée 5 fois : C=5 ×C diluée =5 ×0,043=0,215 mol∙ L ≈ 0 , 22 mol∙ L
√( )(
u (V A ) 2 u(V E )
)( )
2 2
u(C B )
Déterminons l’incertitude-type : u(C )=C × +
VA VE CB
15/11
√( ) ( )( )
2 2 −1 2
0 , 05 0,1 0 , 1× 10 −1 −1
u ( C )=0,215 × + −1
=0,0217 mol∙ L ≈ 0 , 03 mol∙ L
20 , 0 8,6 1 ,0 × 10
Donc : C=(0 ,22 ± 0 , 03) mol∙ L−1
Q.1.
O2( g) / H 2 O(l) : O2(aq) + 4 H +¿+4
(aq)
e ¿
0,75
-----------------------------------------------------------------
2 C6 H 8 O6(aq) +O2 (g) →2 C 6 H 6 O6(aq )+ 2 H 2 O(l)
−d [ C 6 H 8 O6 ]
Q.2. v= 0,5
dt
D’après la définition précédente, la vitesse de disparition de l’acide lactique à instant t est égale à l’opposé du
coefficient directeur de la tangente à l’instant t à la courbe de la figure 1. Or au cours de la transformation, donc
au cours du temps, les tangentes sont de « plus en plus horizontales », donc les coefficients directeurs
Q.3.
d [C 6 H 8 O6 ] 0,75
sont de plus en plus grands (🧨ils sont de moins en moins négatifs), soit de plus en plus petit en
dt
valeur absolue donc les vitesses de disparition acide lactique sont de plus en plus petites. Le facteur cinétique qui
explique cette évolution est la concentration en vitamine C. En effet au fur et à mesure du temps la concentration
diminue, donc la vitesse diminue.
On trace la tangente à la courbe à la date t 1 (droite rouge).
0−1 , 2 −1 −1
On détermine le coefficient directeur de cette tangente : =−0,013 mmol ∙ L ∙ h
93−0
Q.4. 0,75
−d [ C 6 H 8 O6 ] −1 −1
v 60 =
dt
( t 1 )=0,013 mmol∙ L ∙ h
Q.5. Le temps de demi-réaction t 1/ 2 est la durée de transformation pour que l’avancement x (t ) parvienne à la moitié 0,75
xf
de sa valeur finale x f : x ( t 1 /2 ) = . Or d’après l’équation de la réaction et la figure 1 la réaction est totale et le
2
n ( C 6 H 8 O 6 )0
réactif limitant est la vitamine C, d’où : n ( C 6 H 8 O 6 ) f =n ( C 6 H 8 O 6 )0−2 x f =0 ; d’où : x =
f
2
n ( C 6 H 8 O6 ) 0
et : x ( t 1 /2 ) = ; soit :
4
n ( C6 H 8 O6 )0 n ( C6 H 8 O6 )0
n ( C 6 H 8 O6 )t =n ( C 6 H 8 O6 )0−2 x ( t 1/ 2 )=n ( C 6 H 8 O6 ) 0− = ;
1/2
2 2
donc : [ C H O ] =
[ C6 H 8 O6 ]0 . Par lecture graphique (tracé en vert), on trouve :
6 8 6 t 1 /2
2
[C H O ]
[ C 6 H 8 O6 ]0=2 , 5 mmol ∙ L−1 ; soit : 6 8 6 0 =1, 25 mmol ∙ L−1 ; donc : t 1/ 2=24 h. Cette valeur est
2
16/11
la même que celle donnée dans le texte introductif pour la même définition : « la moitié de la teneur en vitamine C
d'un jus de fruit peut être perdue en 24 heures ».
Les courbes montrent que la baisse de température conduit à augmenter la durée nécessaire pour que la
vitamine C soit totalement consommée. Le jus d’orange laissé sur une table se trouve à une température plus
Q.6. 0,5
élevée que conservé au réfrigérateur ; ainsi la vitamine C sera dégradée plus vite sur la table dans le jus d’orange
laissé sur la table que dans le réfrigérateur.
Note : 20
1 2
EC = m v . D’après l’énoncé, le skateboardeur est à l’arrêt au point A soit
L’énergie cinétique est :
2
1
E
v A =0 m ∙ s ; donc : C ( A ) =0 J . L’énergie cinétique est nulle à l’état initial ; l’énergie E1
correspond à l’énergie cinétique (0,25).
L’énergie potentielle de pesanteur est : E pp=mgz . À l’instant initial, z A ≠ 0 m; donc : E pp ( A ) ≠ 0 J ;
l’énergie E2 correspond à l’énergie potentielle de pesanteur (0,25).
Q.1. 1,5
L’énergie mécanique Em d’un système est : Em =EC + E pp . L’énergie E3 se calcule à partir de E1 et
E2 ; l’énergie E3 correspond à l’énergie mécanique (0,25).
À l’instant initial, l’énergie cinétique est nulle et au cours du mouvement, la vitesse du système
augmente donc son énergie augmente, cela correspond à la courbe c (0,25).
Lors du trajet AB, l’altitude du système diminue, son énergie potentielle de pesanteur diminue, cela
correspond à la courbe b (0,25).
L’énergie mécanique étant la somme de EC et de E pp , elle est représentée par la courbe a (0,25).
L’énergie mécanique diminue au cours du temps, cette évolution est due aux forces de frottements
Q.2. 0,25
des roues (qui dissipent de l’énergie sous forme de chaleur).
L’énergie cinétique est notée E1 , sa valeur finale indiquée dans le script python est de 540 , 5 J (0,25)
:
√
Q.3. 0,5
1
2
×m × v 2B=E 1 ; v B=
2 × E1
m
=
√
2 ×540 , 5 J
75 , 0 kg
=3 , 80 m∙ s 1 (0,25)
Les roues sont moins dures donc les forces de frottements sont plus fortes. La distance d’arrêt est
Q.7. 0,25
donc réduite.
(
a⃗ x
a =0
a z=−g ) ⃗ ( t )=
(0,5). Or : a
d ⃗v
dt
; donc ⃗
(
v est une primitive de a⃗ ; soit : ⃗v (t) )
¿ v x (t)=C 1
¿ v z (t )=−¿+C 2
Pour déterminer les constantes C 1 et C 2 on se place dans les conditions initiales, soit à t égal 0 s :
(
⃗v ( 0 ) ¿ v x (0)=C1
¿ v z (0)=−g × 0+C2 ) ( )
=⃗v D ¿ v Dx =v D ×cos ; d’où : C 1=v D ×cos et : C 2=v D ×sin .
¿ v Dz =v D ×sin
v sont donc : ⃗v
Les coordonnées du vecteur ⃗
( )
¿ v x ( t )=v D ×cos
¿ v z ( t )=−¿+v D ×sin
(0,75)
Q.8. 2
d⃗ OG
v ( t )=
Or : ⃗ ; donc : ⃗
O G est une primitive de ⃗v ; soit :
dt
( )
¿ x ( t )=v D . cos . t +C3
⃗
OG(t ) 1 2
¿ z (t)¿− g t + v D . sin . t+C 4
2
Pour déterminer les constantes C 3 et C 4 on se place dans les conditions initiales, soit à t égal 0 s :
( )
¿ x ( 0 )=v D × cos × 0+C3 =C3
⃗
OG ( 0 )
¿ z ( 0) =
−1
2
2
g × 0 +v D ×sin ×0+ C 4=C 4
=⃗
OG 0
¿ x 0=0
¿ z0 ( )
; d’où : C 3=0 et : C 4=z 0 .
( )
¿ x(t)=v D × cos ×t
OG sont donc : ⃗
Les coordonnées du vecteur ⃗ OG(t ) 1 2 (0,5)
¿ z (t)¿− g t + v 0 × sin ×t + z 0
2
x
On isole le temps t de l’équation : x (t )=v D × cos ×t ; soit : t= (0,25) ; pour avoir
v D ×cos
l’équation de la trajectoire y (x ), on reporte l’expression de t dans y (t ) :
2
Q.9. −1 x x 0,5
z (x )= × g ×( ) + v o × sin × + z0
2 v D ×cos v o ×cos
−g 2
Donc : z ( x ) = 2 2
× x + ( tan ) × x + z 0 (0,25)
2 × v D × cos
2
z ( x ) =−0,894 × x +1 , 22× x +0 , 80 (0,25)
Lorsque le skateboardeur retrouve l’altitude initiale : z 0=0 , 80 m ; on a :
2 2
0 , 80=−0,894 × x +1 , 22× x +0 , 80 ; soit : 0=−0,894 × x +1 , 22× x d’où :
0=x (0,894 × x +1 , 22) (0,25). Un produit de facteur est nul si l’un des facteurs est nul :
Q.10. x=0 correspond à l’abscisse de la position initiale ; 1
1 , 22
0,894 × x+1 , 22=0 ; soit : 0,894 × x=1 ,22 ; d’où : x= =1 , 36 m (0,25).
0,894
Lorsque le centre de masse du skateboardeur retrouve son altitude initiale, pour franchir l’obstacle, il
faudrait au minimum que : x >l+ L (cette condition fonctionne parce que le système complet est
assimilé à un point matériel), or : x=1 , 36 m et : l+ L=1 , 7 m. L’obstacle n’est pas franchi (0,25).
D’après la loi des mailles : uC (t )+ uR (t)=0 (0 , 25) ; or d’après la loi d’Ohm : u R (t)=R× i(t) ; et
Q.11. dq du 1
par définition : i (t )= (t)et : q ( t )=C ×uC ( t ). Comme C est une constante : i (t )=C × C (t )
dt dt
18/11
d uC du 1
(0,25) et donc : R ×C × ( t ) +uC ( t ). On divise par R ×C : C ( t )+ ×u C ( t )=0 .
dt dt R ×C
d uC 1
En posant : τ =R ×C (0,25), on obtient : + u =0 (0,25)
dt τ C
( ) ( )
t t
d uC t t
()
B B
Calculons : ( t ) : d u C ( t )= d A × e =A × d e = A × 1 × e B = A × e B (0 , 25). En
dt dt dt dt B B
d uC
insérant les expressions de uC ( t ) et ( t ) dans l’équation différentielle de la question précédente,
dt
t t
Q.12. t t 0,75
on a : A A×eB A×eB A
× e B+ =0; soit : = × e B . Pour que la relation soit vérifiée quel que soit t ,
B RC RC B
il faut que : B=RC =τ (0,25). Pour déterminer A , on se place dans les conditions initiales ( t=0 s ) :
0
uC ( 0 )= A × e = A ; or à : t=0 s, le condensateur est chargé : uC ( 0 )=U 1 ; donc : A=U 1 (0,25);
t
d’où : u ( t )=U × e ❑
C 1
Q.13.
D’après l’équation différentielle : dim
( d udt ( t ) )=dim ( 1τ ×u ( t ) )
C
C
; d’où :
0,25
dim ( uC ( t ) )
dim
1
τ()× dim ( uC ( t ) ) =
dim (t)
; donc : dim ( τ )=dim ( t )=T ; τ est bien homogène à un temps.
Calculons x ( t=7 , 5 ms ). x ( t=7 ,5 × 103 s )=3 , 5× cos ( 50 , 7 ) ×7 , 5 ×103 =1, 66 × 102 m (0,25).
Q.15 x ( t=7 ,5 × 103 ) <l=0 , 70 m. 0,5
L’étape avant l’obstacle (étape 1) est donc photographiée (0,25).
Schéma de Lewis de la molécule d’acide lactique. Il faut ajouter les doublets non
Q.1. liants de façon à ce que chaque atome soit entourer de 8 électrons (règle de 0,25
l’octet).
La molécule d’acide lactique possède 3 liaisons caractéristiques et son spectre comprend donc 3
bandes d’absorptions : (0,5)
Q.2. une bande forte vers 1700 cm−1 pour la liaison C=O (acide carboxylique), 0,75
une bande forte et large entre 2500 et 3200 cm−1 pour la liaison O−H (acide carboxylique),
une bande forte et large entre 3200 et 3400 cm−1pour la liaison O−H (alcool).
19/11
(0,25)
m AH
n AH M m AH m AH m AH × ρsolution
On note AH l’acide lactique. C= = = = =
V solution V solution M ×V solution m M × msolution
M × solution
ρ solution
Q.3. (0,25) 0,5
1, 00 g 1 , 00 g
1, 75 g × 1 , 75 g ×
mL mL
C= = =1 , 94 × 10−4 mol ∙ mL−1=0 , 194 mol ∙ L−1
90 , 1 g 90 ,1 g
×100 g × 100 g
1 mL 1mol
−1
C ≈ 0 , 2 mol ∙ L (0,25)
+¿¿
Q.4. Un acide selon Brönsted est une espèce chimique capable de céder un ion hydrogène H . 0,25
Cmère V fiole
Par définition du facteur de dilution : F= = =5.
C fille V pipette
On choisira donc une fiole jaugée de 100 , 0 mL et une pipette jaugée de 20 , 0 mL. (0,25)
Protocole : (0,5)
Q.5. Prélever 20 , 0 mL de solution mère à l’aide de la pipette jaugée munie d’une propipette, 0,75
Verser le prélèvement dans la fiole jaugée de 100 mL,
Remplir la fiole jaugée aux ¾ avec de l’eau distillée,
Agiter pour diluer,
Ajuster le trait de jauge,
Boucher puis agiter pour homogénéiser.
Schéma du dispositif de titrage conductimétrique
de l’acide lactique dilué par une solution d’hydroxyde de sodium
Q.6. 0,75
(−0 , 25)
par oubli
−¿¿
L’espèce titrée est l’acide lactique AH , l’espèce titrante est la base, l’ion hydroxyde HO présente
Q.7. dans la solution d’hydroxyde de sodium ¿. L’équation de la réaction support de titrage est donc : 0,5
−¿+ H 2 O(l )¿
−¿→ A (aq) ¿
A H (aq )+ H O (aq) (0,25 pour la simple flèche même si équation fausse)
20/11
Faisons un bilan des évolutions des concentrations des espèces ioniques lors du titrage (bien lire les
données au début de l’exercice pour ne pas oublier d’espèces).
Ion X H O−¿¿
(aq)
+¿¿
Na(aq) A−¿¿
(aq) Pente liée à
Évolution de [ X ]
nulle Augmente augmente λ¿
Avant l’équivalence
Espèce Produit de la
Commentaires Ion spectateur
titrante réaction
Avant l’équivalence, la pente est liée à : λ ¿ on obtient ici une portion de droite de pente positive. (0,25)
Après l’équivalence, la pente est liée à : λ ¿ . On obtient ici une portion de droite de pente positive mais
plus élevée que la précédente car : λ ¿ . (0,25)
À l’équivalence les réactifs ont été introduits dans les proportions stœchiométriques (0,25) :
C B ×V E
n ¿ ¿ ; C diluée ×V A=C B ×V E ; C diluée = ;
VA
−1
1 , 0 ×1 0 ×8 , 6 −1
C diluée = =0,043 mol∙ L (0,25)
20 ,0
−1 −1
La solution ayant été diluée 5 fois : C=5 ×C diluée =5 ×0,043=0,215 mol∙ L ≈ 0 , 22 mol∙ L
Q.10. 0,75
√( )( )( )
2 2 2
u (V A ) u(V E ) u(C B )
Déterminons l’incertitude-type : u(C )=C × +
VA VE CB
√( ) ( )( )
2 2 −1 2
0 , 05 0,1 0 , 1× 10 −1 −1
u ( C )=0,215 × + −1
=0,0217 mol∙ L ≈ 0 , 03 mol∙ L
20 , 0 8,6 1 ,0 × 10
Donc : C=(0 ,22 ± 0 , 03) mol∙ L−1 (0,25)
21/11
C 6 H 6 O6 (aq ) /C6 H 8 O 6(aq): ¿ (0,25)
−¿=2 H2 O(l) ¿
O2( g) / H 2 O(l) : O2(aq) + 4 H +¿+4 e ¿
(0,25)
Q.1. (aq) 0,75
-----------------------------------------------------------------
2 C6 H 8 O6(aq) +O2 (g) →2 C 6 H 6 O6(aq )+ 2 H 2 O(l) (0,25 pour ×2 )
−d [ C 6 H 8 O6 ]
Q.2. v= 0,5
dt
D’après la définition précédente, la vitesse de disparition de l’acide lactique à instant t est égale à
l’opposé du coefficient directeur de la tangente à l’instant t à la courbe de la figure 1 (0,25). Or au
cours de la transformation, donc au cours du temps, les tangentes sont de « plus en plus
d [C 6 H 8 O6 ]
Q.3. horizontales », donc les coefficients directeurs sont de plus en plus grands (🧨ils sont de 0,75
dt
moins en moins négatifs), soit de plus en plus petit en valeur absolue donc les vitesses de disparition
acide lactique sont de plus en plus petites (0,25). Le facteur cinétique qui explique cette évolution est
la concentration en vitamine C (0,25). En effet au fur et à mesure du temps la concentration diminue,
donc la vitesse diminue.
On trace la tangente à la courbe à la date t 1 (droite rouge). (0,25)
0−1 , 2 −1 −1
On détermine le coefficient directeur de cette tangente : =−0,013 mmol ∙ L ∙ h
93−0
(0,25)
Q.4. 0,75
−d [ C 6 H 8 O6 ] −1 −1
v 60=
dt
( t 1 )=0,013 mmol∙ L ∙ h (0,25)
Le temps de demi-réaction t 1/ 2 est la durée de transformation pour que l’avancement x (t ) parvienne à
xf
la moitié de sa valeur finale x f : x ( t 1 /2 ) = . Or d’après l’équation de la réaction et la figure 1 la
2
réaction est totale et le réactif limitant est la vitamine C, d’où :
n ( C 6 H 8 O 6 )0 n ( C 6 H 8 O6 ) 0
n ( C 6 H 8 O6 ) f =n ( C 6 H 8 O6 )0−2 x f =0 ; d’où : x f = et : x ( t 1 /2 ) = ; soit :
2 4
n ( C6 H 8 O6 )0 n ( C6 H 8 O6 )0
Q.5. n ( C 6 H 8 O 6 )t =n ( C 6 H 8 O6 )0−2 x ( t 1/ 2 )=n ( C 6 H 8 O 6 ) 0− = ; 0,75
1/2
2 2
donc : [ C 6 H 8 O 6 ] =
[ C6 H 8 O6 ]0 (0,25). Par lecture graphique (tracé en vert), on trouve :
t
1 /2
2
[ C 6 H 8 O6 ]0=2 , 5 mmol ∙ L−1 ; soit : [
C6 H 8 O6 ] 0
=1, 25 mmol ∙ L ; donc : t 1/ 2=24 h (0,25). Cette
−1
2
valeur est la même que celle donnée dans le texte introductif pour la même définition : « la moitié de
la teneur en vitamine C d'un jus de fruit peut être perdue en 24 heures » (0,25).
22/11
Les courbes montrent que la baisse de température (0,25) conduit à augmenter la durée
nécessaire pour que la vitamine C soit totalement consommée. Le jus d’orange laissé sur une table
Q.6. 0,5
se trouve à une température plus élevée que conservé au réfrigérateur ; ainsi la vitamine C sera
dégradée plus vite sur la table dans le jus d’orange laissé sur la table que dans le réfrigérateur (0,25).
Note : 20
23/11