MOUDULE : CALCULE PROFESSIONL

Géométrie synthétique dans le plan

1. Le cercle et leur éléments principale
2. Les angles
3. Les triangles et leur élément principal
CHAP 1 : CALCUL DE SURFACE ET VOLUME

1. DES SOLIDES GEOMETRIQUES (CUBE, PARALLEPIPEDE, CYLINDRE, PRISME, PYRAMIDE.

. .)
2. DECOMPOSITION D’UN SOLIDE QUELCONQUE EN SOLIDES GEOMETRIQUES SIMPLES

CHAP 2 : ETUDE DES ELEMENTS CIRCULAIRES

1. (CERCLE, COURONNE, ARC DE CERCLE, CORDE, SECTEUR. . .)

CHAP 3 : LA SPHERE

1. SURFACE
2. VOLUME

CHAP 4 : TRIGONOMETRIE

4. DEFINITION
5. ETUDE DES ANGLES ET CONVERSION ENTRE LES DIFFERENTS ANGLES
6. DEFINITION DES LIGNES TRIGONOMETRIQUES (SINUS, COSINUS, TANGENTE,
COTANGENTE), LECTURE DE LA TABLE TRIGONOMETRIQUE NATURELLE
7. UTILISATION DES LIGNES TRIGONOMETRIQUES DANS LA RESOLUTION DES TRIANGLES
–
RECTANGLES

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CHAP 0: RAPPELS
Les unités de mesure du système international sont de trois types :

- Les unités de base (longueur→ (surface et volume), poids, température, temps. . .)

- Les unités supplémentaires (le radian (rad) pour les angles plans a, le stéradian (sr) pour les angles
solides a)

- Les unités dérivées (elles résultent de la combinaison algébrique des unités de base) Elles

possèdent chacune leurs multiples et sous multiples

Géométrie synthétique dans le plan

1 Le cercle : Dans un plan, le cercle C de centre C et de rayon r (r > 0) est l'ensemble des
points situés à la distance r du point C (Figure 1.1).

1.1.2 Tangente à un cercle

On appelle tangente _a un cercle C en un point P la droite passant par ce point P et
perpendiculaire au rayon d'extrémité P. Ce point est appelé point de tangence (Figure
1.2).

Corde d'un cercle

Une corde d'un cercle est le segment de droite joignant deux points du cercle. Propriétés
1. La mediatrice1 de toute corde d'un cercle passe par le centre de ce cercle.
2. Réciproquement, un diamètre perpendiculaire à une corde est médiateur de cette
Corde (Figure 1.3(a).
3. L'arc AB est partagé par la médiatrice du segment [AB] en deux arcs égaux (Figure1.3(a)).
4. Des cordes égales d'un même cercle sous-tendent des arcs égaux (de ce même cercle) et
réciproquement (figure 1.3(b)).

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5. Des droites parallèles interceptent des arcs égaux d'un même cercle et réciproquement
(figure 1.3(c)).

1.2 Les angles

1.2.1 Angles opposes par le sommet
Deux angles sont dits opposes par le sommet s'ils ont le même sommet et des cotes dans le
prolongement l'un de l'autre.
Propriété
Deux angles opposes par le sommet sont égaux.
Exemple : soient deux droites d et d0 sécantes en un point O. Les angles O1 et O3 sont
opposes par le sommet (Figure 1.4).

1.2.2 Angles correspondants

Soient deux droites d et d0 coupées par une droite d00.
Deux angles sont dits correspondants s'ils sont situés du même cote de la droite d00 et
du même cote des droites d et d0.
Exemple : les angles A1 et B1 sont correspondants (Figure 1.5(a)).

Les triangles
Un triangle est un polygone ayant trois côtes. Un exemple est donné à la figure 1.19

Propriétés
1. La somme des trois angles intérieurs d'un triangle vaut 180_.
2. On distingue principalement trois grands types de triangle : les triangles acutangles
dont les trois angles sont aigus (figure 1.20(a)), les triangles rectangles dont un angle
vaut 90_ (figure 1.20(b)) et les triangles obtusangles dont un angle est obtus (figure
1.20(c)).

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Droites remarquables d'un triangle

On appelle droite remarquable une droite qui possède une propriété particulière quel que soit
le triangle. On distingue quatre types de droites remarquables : les médianes d'un triangle, les
hauteurs relatives à chaque côté, les médiatrices de chaque côté et les bissectrices de chaque
angle angle.
Le tableau 1.1 reprend les différents types de droites remarquables d'un triangle ainsi que
leurs caractéristiques. Pour chacune de ces familles de droites, il existe une intersection
commune.

1.5.3 Triangles remarquables

Tout comme les droites remarquables, on appelle triangle remarquable un triangle qui possède
des propriétés particulières. Parmi les nombreux triangles remarquables, on ne reprend que les
triangles isocèles, équilatéral et rectangle.
Triangle isocèle

Un triangle isocèle est un triangle ayant deux côtes de même longueur.

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Le côté de longueur différente est appelé la base et l'angle oppose à ce dernier est parfois
désigne par l'angle au sommet ou l'angle principal.
Triangle équilatéral
Un triangle équilatéral est un triangle dont les trois côtes sont de même longueur.
Triangle rectangle
Un triangle rectangle est un triangle dont deux côtes sont perpendiculaires. De cette façon,
l'angle déni par ces deux côtes vaut 90_. On appelle hypoténuse le côté opposé à
cet angle.
Triangles semblables
Deux triangles sont dits semblables lorsque leurs angles sont deux à deux de même mesure.
Ainsi, deux triangles semblables ont leurs côtes homologues proportionnels.
Théorème de la médiane
Le théorème de la médiane exprime une relation entre les longueurs des côtes d'un triangle et
la longueur d'une médiane de ce dernier.
Soit ABP un triangle quelconque (figure 1.28). Soit M le milieu du côte [A;B]. Le théorème
de la médiane s'exprime par : équation

Theoreme de Thales
1.7.1 Cas général
Un faisceau de droites parallèles découpe sur deux droites des segments dont les longueurs
sont proportionnelles (Figure 1.29).

Par conséquent,

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De plus, on a aussi

Cas du triangles semblable

Les unités de mesure du système international sont de trois types :

- Les unités de base (longueur→ (surface et volume), poids, température, temps. . .)

- Les unités supplémentaires (le radian (rad) pour les angles plans a, le stéradian (sr) pour les angles
solides a)

- Les unités dérivées (elles résultent de la combinaison algébrique des unités de base)

Elles possèdent chacune leurs multiples et sous multiples

N° Unité Multiples Sous - multiples

Le décamètre (dam)= 10 m = 101 m Le décimètre (dm)= 0,1 m = 10-1 m

LONGUEUR (m)

L’hectomètre (hm) =100 m =102 m Le centimètre (cm) =0,01 m =10-2 m

01
Le kilomètre (km) =1000 m =103 m Le millimètre (mm) =0,001 =10-3 m

Le mitron (μ ) =0,000001 =10-6 m

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Le décimètre carré (dm2) = 0,01 m2 = 10-2 m2

SURFACES (m2) Le décamètre carré (dam2) = 100 m2 = 102 m2
02 Le centimètre carré (cm2) =0,0001 m2 =10-4 m2
L’hectomètre carré (hm2) =10.000 m2 =104 m2
Le millimètre carré (mm2) =0,000001 m2=10-6
Le kilomètre carré (km2) =1.000.000 m2 =106 m2
m2

Le décamètre cube (dam3) = 1000 m3 = 103 m3 Le décimètre cube (dm3) = 0,001 m3 = 10-3 m3
VOLUMES (m3)

03 L’hectomètre cube (hm3) =1.000.000 m3 =106m3 Le centimètre cube (cm3) =0,000001 m3 =10-6m3

Le kilomètre cube (km3) =1.000.000.000 m3 =109 Le millimètre cube (mm3) =0,000000001 m3=10-9
m3 m3

.
Les dizaines de kilo ( ) 10 kg =101kg L’hectogramme (hg) =0,1 kg =10-1 kg
MASSE (kg)

04 Le décagramme (dag) = 0,01 kg =10-2 kg

Le quintal(q) =100 kg =102 kg
Le gramme(g) =0,001 kg =10-3 kg
La tonne (T) =1000 kg =103 kg
POIDS (N)

Le déca Newton (daN)= 10 N = 101 N

05
/
3
Le kilo Newton (kN) =1000 N =10 N

Le bar =105N/m2=1daN/cm2
POIDS

06 /
LES

Le méga Newton =106N/m2 = 1N/mm2

VOL (g)
POIDS

07 T/m3 = kg/dm3 = g/cm3 Ici il n’y a pas de multiples ou de sous – multiples (1N = 10 kg)

Dans la suite de notre cours nous allons utiliser quelques-unes des unités présentées.

CALCUL DE SURFACE ET VOLUME

INTRODUCTION : Le calcul de surface et de volume a pour pré requis la connaissance des figures
géométriques simples. Les unités qui sont utilisées pour les aires et les volumes sont directement
liées à celle de longueur

I – REPRESENTATION DES FIURES

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Carré Rectangle Triangle Cercle Trapèze

Cube Parallépipède Cylindre

Cône Prisme Pyramide

II –DETERMINATION DES AIRES (SURFACES)

L’aire est obtenue par la multiplication de deux longueurs

DESIGNATION FIGURES FORMULES OBSERVATIONS

CARRE S = a x a = a2 Côté au carré

RECTANGLE S=Lxl Longueur x largeur

TRIANGLE Voir
S = H.B / 2 (Hauteur x Base) / 2
QUELCONQUE figure
TRIANGLE S = a2.√3 / 4
Trois côtés égaux
EQUILATERAL

Valable pour tous les

TRAPEZE S = (B + b) x H / 2
trapèzes

LOSANGE S = (A x B) / 2 A ne pas confondre avec le

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parallélogramme

PARALLELOGRAMM
S=LxH Base x Hauteur
E

S = 5a2 / 4tang α = 360°/5 = 72°

PENTAGONE
(36°) polygone à 5 côtés (a) tous égaux

α = 360°/6 = 60°
HEXAGONE S = 3a2 x √3 / 2
polygone à 6 côtés (a) tous égaux

α = 360°/8 = 45°
2
S = 2a / tan
OCTOGONE polygone à 8 côtés (a) tous
(22.5°)
égaux

D = Diamètre du cercle
2
S = π. D / 4 = π.
CERCLE R = Rayon du cercle
R2
S = Surface du disque

S = π. (D2 – d2) / 4 Surface du cercle intérieur

COURONNE
S = S = π. (R2 – r2) ôtée de celle du cercle extérieur

ELLIPSE S = π. D.d / 4 Surface de la plaque ellipsoïdale

SPHERE S = π. D2 = 4.π. R2
Surface latérale du globe
Voir figure
Périmètre du cercle de
CYLINDRE S = 2.π. R.H
base x hauteurs.

(surface latérale)

Surface latérale

CONE S = π. R. a a = apothème

H = Hauteur du cône

S = π. R2.α / 360°
SECTEUR (α en °)
ANGULAIRE S = π. R2.α / 400°
(α en gr)

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R = Rayon du cercle

B = Base du segment

S = (π. R2.α / 360°) D = Diamètre du cercle

SEGMENT - (B x H) /2
(Surface du secteur
CIRCULAIRE S = (π. R2.α /
400°)- (B x H) /2 Angulaire – surface du

Triangle de base B et de

hauteur H

III –DETERMINATION DES VOLUMES

Le volume est obtenu par la multiplication de trois longueurs

DESIGNATION FIGURES FORMULES OBSERVATIONS

V = produit des trois

CUBE V = a x a x a = a3
dimensions

PARALLELIPIPEDE V=Lxlxe V = produit des trois

RECTANGLE dimensions

Voir figure SB = surface de base de

PRISME DROIT V = SB x H
forme quelconque

Surface de base multipliée

PYRAMIDE V = SB x H / 3
par le tiers de la hauteur

V = H. (Sb + SB + √SB
TRONC DE PYRAMIDE
xSb) /3

V = H / 6[A (2B + b)
TAS DE CAILLOUX
+ a (2b + B)]
Voir figure

V = π. D2.H / 4 = π.
R2.H SB = surface de Base x
CYLINDRE
Hauteur
V = SB x Hauteur

CÔNE V = π. R2.H / 3 SB = surface de Base x 1/3

Hauteur

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V = π. H. [(R2 + r2 +
R = Rayon de la grande base
TRONC DE CÔNE (√R x
r = Rayon de la petite base
r)]/ 3

SPHERE V = 4.π. R3 / 3

IV – DECOMPOSITION D’UN SOLIDE QUELCONQUE EN SOLIDES GEOMETRIQUES SIMPLES

Il est important d’être bien concentré car cette opération nécessite une bonne connaissance des
figures citées ci – dessus ; et pour cela nous prendrons quelques exemples.

- 1/ Le trapèze
b b

H
H H
= +
B-b
B
B =30 cm, b = 20 cm, H =20 cm

S= ( B+2 b ) H=( 30+20

2 )
20=500 c m
2

[ ] [ ]
- 2/ Le losange H ( B−b ) 20 ( 10 )
S= ( b . H )+ =( 20.20 ) +
2 2
2
¿ 500 c m

B B =40 cm, A = 20 cm,

A
S= ( B2. b )=( 40.20
2 )
=400 c m
2

[ ][ ]
( A. ) ( 20. )
B 40
2 2 2
S= 2= 2 =400 c m
2 2

ETUDE DES ELEMENTS CIRCULAIRES

INTRODUCTION : Les éléments circulaires se retrouvent dans les objets que nous manipulons au
quotidien, ceux – ci sont reconnaissable par leur forme totale ou partiellement arrondie. Nous allons
utiliser les connaissances vues plus haut afin de les mettre à profit.

REPRESENTATION ET APPLICATION

Les dimensions qui les caractérisent et les modes de calculs ne sont pas forcément les mêmes

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N° FIGURES REPRESENTATION OBSERVATIONS

2
2 πD
1 Le cercle S=πR =
D 4

π ( D ¿ ¿ 2−d )
2
2
La couronne S=π (R ¿ ¿ 2−r )= ¿¿
4

2 d D

π (R¿¿ 2) π ( D¿¿ 2)
3 L’arc de cercle D S= = ¿¿
4 16

a D 2 2
πR α πD α
4 S= =
Le secteur angulaire 360 4 x 360

2 2
C D πR α Ch πD α Ch
5 Le segment S= − = −
360 2 4 x 360 2

6 La corde C = 2R Sin 𝛂/2 ou C =2√ (2RF – F2)

La flèche Longueurs F = R (1 - Cos𝛂/2) ou F = R – √ (R2 – C2/4)

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L’arc A = 𝛑 R𝛂 / 180

LA SPHERE

INTRODUCTION : La sphère est une figure géométrique solide de forme circulaire dont possède un
centre et un rayon ; Semblable à la bille ou à un ballon de football.

Si on récupère une sphère et on la coupe suivant le plan horizontal, nous obtenons deux
hémisphères de base circulaire.

REPRESENTATION ET APPLICATION

OBSERVATIONS
N° FIGURES REPRESENTATION
SURFACE VOLUME

3 3
2 2 4 πR πD
1 La sphère S=πR =πD V= =
3 6
VOIR FIGURE

Le segment
2 Sphérique à
une base

TRIGONOMETRIE
INTRODUCTION : La trigonométrie est la science qui étudie les angles et leur mesure

I - ETUDE DES ANGLES ET CONVERSION ENTRE LES DIFFERENTES ANGLES

-1/ Unités usuelles : Elles sont des subdivisions de la mesure du cercle, appelé tour (tr).

L’unité légale de la mesure des arcs est le radian (rad) sur un cercle de rayon R avec un tour de 2π, la
longueur correspond à 2πR. Un radian est représenté par un arc dont la longueur est égale à celle du
rayon du cercle.

Dans la pratique, on utilise aussi les unités dérivées qui sont :

- Le degré (°), ici le tour est de 360° ; on note que 1° = 60’ = 3600 ‘’

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- Le grade (gr), ici le tour est de 400gr et l’unité compte des sous multiples (le décigrade, le
centigrade. . .)

-2/ Tableau de correspondance :

GRADE DEGRE RADIAN OBSERVATION

400 gr 360° 2 π rad 6, 28 rad CIRCONFERENCE
200 gr 180° π rad 3, 14 rad ANGLE PLAT
100 gr 90° π 1,57 rad ANGLE DROIT
rad
2
66,667 gr 60° π 1,04 rad /
rad
3
50 gr 45° π 0,785 rad /
rad
4
33, 33 gr 30° π 0,523 rad /
rad
6

-3/ Formule de transition

Si on désigne par :
p gr d
p : Angle en radian
= = Exemple : Déterminer la
3 ,14 200 180
valeur de 15° en radian et en grade
gr : Angle en grade

d : Angle en degré

II – DEFINITION DES LIGNES TRIGONOMETRIQUES

Ce sont les axes du repère orthonormé baptisés de cosinus (Abscisse) et de sinus (Ordonnée)
auxquels on associe un cercle de centre 0 et de rayon 1

-1/ Sinus : C’est la projection de l’angle 𝛂 sur l’axe des ordonnées ou encore le rapport entre le
côté opposé et l’hypoténuse

-2/ Cosinus : C’est la projection de l’angle 𝛂 sur l’axe des abscisses ou encore le rapport entre le
côté adjacent et l’hypoténuse

-3/ Tangente : La tangente de l’angle 𝛂 c’est le rapport entre le Sinus et le Cosinus ou encore le
rapport entre le côté opposé et le côté adjacent

-4/ Cotangente : La tangente de l’angle 𝛂 c’est le rapport entre le Cosinus et le Sinus ou encore le
rapport entre le côté adjacent et le côté opposé.

Nous pouvons établir le tableau des valeurs naturelles des angles remarquables

ANGLES
0 30 ou π/6 45 ou π/4 60 ou π/3 90 ou π/2
SINUS 0 1/2 √2/2 √3/2 1
COSINUS 1 √3/2 √2/2 1/2 0
TANGENTE 0 1/√3 1 √3 ∞
COTANGENTE 0 √3 1 1/√3 0

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III – UTILISATION DES LIGNES TRIGONOMETRIQUES DANS LA RESOLUTION DES TRIANGLES

-1/ Triangle
Quelconque B AB =55,37 BC =67,85 θ =97,36°
-Déterminer la valeur de x.
97,36° -Trouver l’angle α.
55,37 α 67,85
β
A x C

a2 = b2+c2-2bcCosθ b2 = a2+c2-2acCosα ^B c2 = b2+ a2 -2abCosβ ^C ^C (angle de

sommet C)

-2/ Triangle Rectangle

L’angle  étant de 90° la formule ci – dessus nous donne le théorème de PYTHAGORE qui est a2 = b2 +
c2

B b =25, 05 m c =39, 75 m
- Déterminer la valeur du côté BC
- Sachant qu’A =90° et Sin A =1
c a Calculer la mesure B et C

A C
b
EXERCICE D’APPLICATION

Repère du plan
Une base du plan constituée par deux vecteurs i et j linéairement indépendants (i:e: non
parallèles et non nuls) et un point O forment un repère du plan. Le point O est

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l'origine du repère. Les droites passant par l'origine et dont des vecteurs directeurs sont les
vecteurs de base sont appelées axes du repère linéairement indépendants (i:e: non parallèles et
non nuls) et un point O forment un rep_ere du plan. Le point O est l'origine du repère. Les
droites passant par l'origine et dont des vecteurs directeurs sont les vecteurs de base sont
appelées axes du repère.

3.2.2 Equation cartésienne d'une droite

Une _équation cartésienne de la droite d s'obtient en éliminant le paramètre r des équations
paramétriques. Dans un repère du plan, toute droite a une équation cartésienne de la forme.
ax + by + c = 0
Plusieurs cas particuliers de droite peuvent alors être observés :
1. une droite parallèle à l'axe des abscisses (Figure 3.3(a)) a pour _équation
y=b
2. une droite parallèle à l'axe des ordonnées (figure 3.3(b)) a pour équation
x = a;;
3. une droite non parallèle à aucun des deux axes (figure 3.3(c)) a pour équation
y = mx + p; m; p 2 R

Intersection
De fa_con g_en_erale, d_eterminer l'intersection de deux courbes donn_ees par leurs
_equations
cart_esiennes consiste _a r_esoudre le syst_eme form_e par leurs _equations. D_es lors,
l'intersection de deux droites est donn_ee par la solution d'un syst_eme de deux _equations
lin_eaires _a deux inconnues.
Trois cas peuvent se pr_esenter (_gure 3.4) :
1. le syst_eme admet une seule solution : les deux droites sont s_ecantes ;
2. le syst_eme n'admet pas de solution : les deux droites sont parall_eles et distinctes ;
3. le syst_eme admet une in_nit_e de solutions (syst_eme simplement ind_etermin_e) : les
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deux droites sont parall_eles et confondues

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