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UNIVERSIDAD DE JAÉN

Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación

Océan Indien

Alumnos: María Trinidad González Sáez


Lucía Ortega Valenzuela
Ana María Moreno Fuentes
Esteban Quesada Medina

Asignatura: Francés 4
Indice
1. INTRODUCTION
2. LOCALISATION GÉOGRAPHIE
3. L´HISTOIRE DU PAYS
4. TERRITOIRE D´OBOCK
5. L´ÉCONOMIE
6. LA CULTURE
7. CONCLUSION
8. WEBGRAPHIE
1. INTRODUCTION
L’océan Indien, longtemps appelé océan Oriental ou mer des Indes. Il est limité au nord
par l’Inde, le Pakistan et l’Iran, à l’est par la Birmanie, la Thaïlande, la Malaisie, l’Indonésie
(îles de Sumatra, Java, Bali, Sumbawa et Sumba) et l’Australie, au sud par l’océan Austral et
à l’ouest par l’Afrique et la péninsule Arabique.
Son code d'enregistrement numérique de l’Organisation hydrographique internationale est
« B » et son identification dans "Limite des océans et des mers" ; est son nom français dans la
nomenclature des espaces maritimes du Conseil national de l'information géographique est «
Océan Indien.

2. LOCALISATION GÉOGRAPHIQUE
La République de Djibouti est un pays de la Corne de l'Afrique, situé sur la côte ouest du
débouché méridional de la mer Rouge. Il est limitrophe de la Somalie (Somaliland), de
l'Éthiopie, de l'Érythrée et du Yémen. Djibouti est aussi le nom de sa principale ville et
capitale. La forme de l´État est une république. Le président de la République est Ismail Omar
Guelleh. Las langues officielles sont le Français et l’Arabe tandis que las langues no
officielles sont le somali et Afar.
Est une colonie française et prend le nom de "Côte française de Somalis". Implantés dans
la région depuis 1862, les Français, sous l’impulsion de Léonce Lagarde, avaient fondé le port
de Djibouti en 1888. En 1946, la colonie deviendra un Territoire d'outre-mer avant d'accéder à
l'indépendance en 1977. La France continuera pourtant de se servir de Djibouti comme d'une
base militaire en Afrique.

3. L´HISTOIRE DU PAYS
Djibouti constitue une enclave de peuples (les Afars et les Issas) dans une région dominée
par les Ethiopiens, les Egyptiens, les Arabes et les Turcs ottomans.
Dès 1839, des explorateurs français parcoururent la région. La souveraineté française, qui
s'est maintenue jusqu'en 1977, commença à Obock en 1862, avec la signature d'un premier
traité de protectorat avec un chef local. Fort de ses relations avec Ménélik, le gouverneur
Léonce Lagarde fit de Djibouti, fondée en 1888, le port de l'Ethiopie. Le 22 juillet 1898, le
territoire devint une colonie française, sous le nom de Côte française des Somalis à laquelle le
territoire d’Obock fut rattaché
En 1902, le territoire devint colonie française puis territoire d´outre mer en 1946, avant de
prendre le nom de territoire des afars et des issas en 1967
Au référendum constitutionnel de 1958, le maintien du statut de TOM prôné par Hassan
Gouled Aptidon l'emporta. Le président Hassan Gouled, un Somali, réussit jusqu'à la fuite de
Mengistu et l'attaque du Front afar, à rester «neutre» entre l'Éthiopie, pro-Afars, et la Somalie,
pro-Issas. En mars 1967, les électeurs se prononcèrent par référendum pour le maintien de
Djibouti au sein de la France. En juillet 1967, le territoire prit le nom de Territoire français
des Afars et des Issas. Un nouveau référendum, le 8 mai 1977, donna une majorité en faveur
de l'indépendance. Le 27 juin 1977, le nouvel état accéda à l'indépendance sous le nom de
République de Djibouti.

Entre un président Issa (Hassan Gouled Aptidon) et un Premier ministre Afar (aujourd'hui
Barkat Gourad Hamado), l'équilibre demeure précaire. Le Parlement institutionnalisa le parti
unique en octobre 1981. La volonté du président de maintenir un équilibre entre les ethnies se
traduisit par une relative stabilité à partir de 1982. En 1992, Hassan Gouled accepta le
multipartisme; les élections législatives (1992) puis présidentielles (1993) ont confirmé le
pouvoir en place mais cristallisé davantage l'opposition entre Afars et Issas ; les deux peuples
nomades, organisés selon des structures claniques affaiblies par les troubles, l'effondrement
du pastoralisme et les progrès de l'éducation, se disputent les pacages et, maintenant, la
succession d'Hassan Gouled Aptidon.

4. TERRITOIRE DE OBOCK
Obock, également appelé Obock ou Ubuk, est une petite ville portuaire de Djibouti, située
dans la partie nord du golfe de Tadjoura. En 2003, sa population était de 8 300 habitants.
La ville a été la première ville créée dans la région par les colons français après avoir
conclu un accord avec les gouverneurs locaux le 11 mars 1862. Cette ville est née du désir
français d'établir un poste d'approvisionnement en carburant pour les navires nationaux après
l’ouverture du canal de Suez en 1869.
En 1885, Obock avait une population de 800 habitants et une école. Cependant, sa
situation géographique en fait un port très exposé aux attaques des nations ennemies, de sorte
que la position d'approvisionnement a été transférée à Djibouti. En conséquence, la population
a diminué.
À la fin de 2002, les troupes américaines se sont installées dans la région pour mener des
manœuvres d'entraînement avant l'invasion de l'Irak.
5. L´ÉCONOMIE
L'économie djiboutienne est très largement dépendante de son secteur tertiaire (82 % du
PIB). Le pays est pauvre en activités industrielles (15 % du PIB) et surtout agricoles (3 % du
PIB), La principale activité industrielle est le port de Djibouti, et maintenant son extension à
Doraleh. Le pays reçoit également une assistance internationale.
Pour ses besoins alimentaires, Djibouti s'approvisionne auprès de ses voisins (Éthiopie,
Somalie et Yémen) et, pour ce qui est des produits manufacturés principalement, de la France.
La France apporte une aide économique au pays et participe à de nombreuses
infrastructures. Djibouti est la plus grande base militaire dehors de la France.
Le franc Djibouti est la monnaie djiboutienne. Utilisée dans la colonie française de la Côte
française des Somalis depuis le 20 mars 1949, elle est devenue la monnaie nationale de la
République de Djibouti à son indépendance en juin 1977.

6. LA CULTURE
La musique djiboutienne est caractérisée par la poésie, si bien qu'écouter une chanson
djiboutienne c'est d'abord prêter attention à sa signification. L'artiste berce les auditeurs dans
la gaieté des refrains et de la tournure des phrases. Souvent chanté par un couple, un morceau
est joué sous forme de tour de passe-passe entre un homme et une femme, l'un racontant ses
sentiments et son amour, voire sa passion pour l'autre, jusqu'à ce que l'autre accepte ou rejette
cette offre.
On pratique plusieurs religions à Djibouti. La grande majorité de la population est
musulmane. De nombreuses mosquées sont installées dans tout le pays. Une petite minorité
de la population est chrétienne1, principalement des orthodoxes monophysites éthiopiens et
des catholiques qui ont chacun une cathédrale dans le centre-ville de la capitale.

7. CONCLUSION
Djibouti a été appelé de différents manières comme nous ont vu et nous devrions
remarquer l’importance de la diversité qui est présent en Djibouti pour être en contact direct
avec Somalie ou Ethiopie par exemple

8. WEBGRAPHIE
- http://www.afrique-planete.com/djibouti/histoire.htm
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Djibouti
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Obock
- https://www.franceculture.fr/theme/concept/colonisation

Débat
- Tu voyagerais à Djibouti ? (Trini)
- Je préférerais voyager á l’Europa (Lucía)
- Qu’est que tu penses de la colonisation ? (luci)
- Je pense que la colonisation est mal (ana)
- Es que tu connais ce pays avant de faire le travail ?
- Non je ne le connais pas mais je pense que Djibouti est très intéressant (trini)
- Et toi Estéban, tu le connais ?
- Oui je le connais parce que j’ai lu un nouvel placé dans Djibouti.
- Et vous le connaissiez ?

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