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Les projections de même nom de ces deux droites se coupent sur la même de
rappel deux à deux.
Z Z
F F P
(δ’1) (δ’2) (δ’2) (δ’’1)
(i’) (δ’’2)
(δ’’2) (δ’1)
(Δ1) (i’’)
(i’’) (i’)
(I) P
(Δ2) X Y
O
(δ’’1 (δ2)
O
X (δ1) (i)
(i) (δ1)
(δ2)
H H
Y Figure 15
Y
Remarque :
Dans l’exemple suivant, les points d’intersection sur les trois plans sont différents,
donc cela veut dire que les deux droites ne sont pas concourantes.
Z Z
F F (δ’’1) P
(δ’2) (δ’1) (δ’2) (δ’’2)
(δ’’1)
(δ’’2) P
X Y
(Δ1) (Δ2) O
X O (δ1)
(δ1)
(δ2) (δ’1)
H Y H
Y Figure 15
c. Application :
Tracer l’épure d’une droite horizontale (H) concourante avec une droite
quelconque (Δ) donné au point I dont on connait uniquement la valeur de son
abscisse (IX = +30) ; tel que (Δ) (δ, δ’, δ’’) est complètement définie et la droite
horizontale (H) qui passe par un point M avec la valeur les valeurs de son abscisse
et sa cote son connus, (MX = +20) et (MY = +25)
Réponse :
A partir de (IX = +30), et à l’aide des lignes de rappel sur les projections (δ),
(δ’) et (δ’’), nous déterminons l’épure du point I (+30, +20, +25)
Puisque les deux droites sont concourantes au point I, donc par i’ nous
traçons la projection frontale (h’) de (H) en sachant que par définition elle doit
être parallèle à (OX) et perpendiculaire à (OZ) sur la cote unique qui concorde
avec (IZ = +25).
Puisque la projection m est connue, donc par les lignes de rappel sur la
projection (h’), et sachant que c’est une droite horizontale, nous avons une
valeur de la cote unique ; (MZ = +25)
De même, par i’’ nous traçons la projection frontale (h’’) de (H) en sachant
que par définition elle doit être parallèle à (OY) et perpendiculaire à (OZ) sur
la cote unique qui concorde elle aussi avec (IZ = +25).
La projection horizontale (h) de (H) se trace en joignons i et m.
Z
F P
(δ’) (δ’’)
i’ m’ +25 i’’ m’’
(h’) (h’’)
(h)
+20
i
(δ) +25
m
H
Y Figure 16
Considérons deux droites (Δ1) et (Δ2) parallèles entre elles dans l’espace.
Déterminer leurs projections en espace et en épure.
Z Z
F
F (δ’) P
1 (δ’’)
2
(δ’)
2 (δ’)
(δ’)
2
1
(δ’’)
2
P
(Δ1) (δ’’)
1
(Δ2) X O Y
(δ)1
O
X (δ’’)
1
(δ)1
(δ)2
(δ)2 H
H Y Y Figure 17
(δ1) // (δ2)
c. Application :
Etant donné l’épure d’une droite (Δ1) (δ1, δ1’, δ1’’).
Question :
Par un point I (+40, +15, +25) donné, tracer l’épure de la droite (Δ2), parallèle à la
droite (Δ1) (δ1, δ1’, δ1’’) donnée.
Réponse :
F P
(δ2’) (δ1’) (δ2’’) (δ1’’)
+25 i’’
i’
+30
X Y
0 +15
i +15
(δ2)
(δ1)
H
Y Figure 18